BE438710A - - Google Patents

Description

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  PRESSE POUR   VETEMENTS.   



   La présente invention concerne les presses, pour vêtements et, en particulier, les machines du type dans lequel la vapeur est éjectée par le plateau supérieur de la presse. L'invention se rapporte plus spécialement à un mécanisme perfeotionné com- mandant la soupape et destiné à règler le jet de vapeur émis par la surface de compression du plateau mobile de la presse. 



   Le principal but de la construction selon l'invention est.de fournir des moyens simples et efficaces permettant de commander l'ouverture de la soupape soit à la main, soit par une pédale. Cette construction facilite les manipulations et elle est particulièrement avantageuse quand l'actionnement se fait à la main; elle assure une ouverture et une fermeture rapides de la soupape, permettant ainsi à l'ouvrier de régler le débit de la vapeur de même que le temps pendant lequel celle-ci doit être projetée. 



   Le mécanisme est représenté au dessin annexé sur lequel: 

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La   Fig.l   est une coupe verticale de la soupape à vapeur et des dispositifs de règlage ou de commande suivant la présente inven- tion, certaines parties étant représentées en élévation et la con- nexion avec le levier à pédale étant arrachée. 



   La fig.2 est une vue en plan; 
La fig.3 est une coupe horizontale suivant la ligne III-III de la Fig.l; 
La fig.4 est une vue partielle représentant les organes de liai- son entre la pédale et la soupape qui commandent cette dernière et 
La   fig.5   est une coupe transversale suivant la ligne V-V de la fig.l. 



   La soupape proprement dite est du type dans lequel le disque de fermeture est déplacé de son siège par la pression de la vapeur qui se trouve sous contrôle, comme représenté à la   Fig.1   et comme décrit et revendiqué dans le brevet américain N  1. 942.987 de Sutten. 



   Sur le dessin, 1 indique une partie du plateau supérieur d'une presse pour vêtements pourvu d'une chambre de chauffage et de pres- sion 2. La paroi inférieure de la chambre 2 est désignée par 3; à une certaine distance de celle-ci se trouve une paroi perforée 4 dont les ouvertures servent à la projection de la vapeur, La paroi 4 et la surface inférieure de la paroi 3 forment un espace que l'on appelle habituellement "chambre de vaporisation" et qui porte sur le dessin la référence 5. 



   Un carter en forme de dôme 6 recouvre le plateau supérieur et la chambre formée au sommet de ce carter est en communication direc- te avec la chambre de chauffage et de pression 2 dans laquelle on introduit la vapeur vive sous pression, comme à l'ordinaire. Le corps tubulaire de la soupape qui est désigné par 7 est fileté à sa partie inférieure qui est vissée dans la paroi 3 et il est en tout temps en communication directe avec la chambre 5, Un écrou 3 et une rondelle d'étanchéité 9 (cette dernière logée à la partie supérieure externe du dôme 6) assurent une liaison étanche à la va- peur entre le corps de la soupape et le dôme, comme dans le brevet 

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 sus-mentionné de Sutton. 



   En se référant aux Fig. I et 5, on verra clairement que le corps de   'la   soupape est pourvu d'une chambre centrale 10, ména- gée à sa partie inférieure, dans laquelle aboutissent des con- duits ou passages 11 et 12 qui sont en communication directe avec la chambre à vapeur du dôme 6. L'extrémité supérieure de la paroi dans laquelle est formée la chambre 10 est réalisée sous forme de siège de soupape, comme dans le brevet mentionné ci-dessus, les conduits longitudinaux 13 et 14 s'étendent de- puis le niveau du siège de la soupape jusqu'à l'extrémité in- férieure ouverte du corps de soupape 7 en traversant celui-ci de haut en bas, comme représenté à la Fig.l. 



   Normalement la fermeture de la soupape est assurée par un disque 15 logé dans la partie inférieure d'un piston 16 qui peut effectuer librement un mouvement de va et vient à l'inté- rieur du corps de la soupape. A l'extrémité supérieure de ce piston est creusé un logement dans lequel se déplace une tige 17 laquelle traverse à sa partie supérieure une pièce de guida- ge 18 vissée dans l'extrémité supérieure du corps 7 de la sou- pape. On verra plus loin que la tige 17 peut se déplacer libre- ment vers le haut en position "soupape ouverte" du fait de la libération d'un certain mécanisme de freinage qui sera décrit. 



   Oomme il a été mentionné au début, il est avantageux de com- mander le mécanisme libérant la tige de la soupape, soit à la main en appuyant sur une "touche", soit par l'intermédiaire d'un levier pivoté sur la partie inférieure de la presse et actionné par une pédale, de façon à permettre à la vapeur sous pression de soulever la soupape de son siège et de circuler dans la ma- chine. Le mécanisme de contrôle par "touche", qui assure l'ou- verture de la soupape quand on y appuie le doigt, est directe- ment relié au corps de soupape proprement dit et porté par lui; l'agencement est tel que l'ouvrier peut ouvrir la soupape sans pour cela lâcher la poignée qui se trouve habituellement à la partie supérieure d'une presse pour vêtements et qui sert à sou- 

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 lever et à abaisser le plateau supérieur. 



   Le corps de la soupape 7 est pourvu d'un épaulement 19 qui peut servir à maintenir le corps de la soupape en place quand on a vissé ce dernier et peut jouer en même temps le rôle d'un siège ou d'une butée pour la surface inférieure d'une douille 21 formée à la partie la plus basse d'un support désigné par 22. 



  La douille 21 est maintenue en place entre les parties 18 et 19 de la presse quand la partie 18 a été vissée à fond, comme repré- senté clairement à la   Fig.l.   Le support 22 est pourvu de deux parties relevées qui sont formées par deux parois 23 et   24   séparées par un certain espacement, comme il ressort nettement de la   Fig.   



  3, reliées à leurs extrémités supérieures par un pont qui s'é- tend latéralement et qui est désigné par 25. 



   Ce pont 25 porte en 26 un logement pour un ressort disposé verticalement sur le même axe que la tige 17. A la partie infé- rieure de ce logement coulisse un plongeur en forme de coupelle 27 qui sert de siège au ressort 28 lequel s'appuie à son extré- mité supérieure   contr3   une vis réglable 29 et presse la coupelle 27 vers le bas pour l'amener au contact d'un levier fonctionnant dans les deux sens qui est interposé entre la coupelle et l'ex- trémité supérieure de la tige 17 de la soupape. Oe levier a été désigné généralement par la référence 31; celles de ses parties qui sont en contact avec la coupelle et avec la tige sont arrondies et ont été désignées respectivement par les références 32 et 33. 



  La forme arrondie de ces parties du levier facilite le mouvement réciproque des organes et leur commande. 



   A son extrémité extérieure le levier 31 est pivoté en   34a   sur l'extrémité inférieure d'un braq 34, qui pivote à son tour à son extrémité supérieure sur l'extrémité supérieure et exté- rieure d'un levier de sonnette 35 pivoté sur un 'boulon 38 qui est logé   dans la   pont 25. Le levier de sonnette 35 est relié à sa partie inférieure à un bras 37 qui est réuni à son tour (Fig.4) à son autre extrémité à un second levier de sonnette 38 pivoté 

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 en 59 sur une partie fixe de lamachine. L'autre extrémité du levier 38 est réunie par un organe de liaison 40 à un levier de sonnette 41 monté à pivotement sur une partie fixe du bâti de la machine.

   Ce dernier levier 41 est relié par un   b@as   41a au doigt 43 d'un levier à pédale 42, Ce der- nier est pivoté en 43a et soumis à un ressort de compression 44 qui tend à le basculer dans le sens des aiguilles d'une montre. Les diverses connexions sont réalisées de telle sorte que normalement le ressort 44 maintient le levier 31 dans la position représentée à la   Fig,l   quand la soupape est fermée. 



  Une butée règlable 45 prévue sur le levier à pédale 42 empêche le ressort 44 de faire travailler les diverses parties de cette transmission de façon   excessive.   



   Le levier 31 est engagé par son extrémité intérieure entre deux oreilles 46 et 47 formant   l'extrémité   intérieursd'un levier 48 servant à libérer la soupape. Un axe 49 traverse ledit levier 31 ainsi que les deux oreilles 46 et 47   (Fig.3)   en for- mant l'articulation dudit levier 31 et du levier 48 qu'il re- lie ainsi, Le levier 48 a son point d'appui   sur-l'axe   51 qui le traverse et qui est maintenu en place par les parois 23 et 24 du support 22. 



   Une vis d'arrêt 52 (v, en particulier les Fig. 1 et 3), vis- sée dans le levier 31 vient butor sur l'axe transversal   49   ou même pénétrer à l'intérieur de   celui-ci.   Chacune des parties verticales des parois 23 et 24 est prolongée vers l'intérieur par un talon, désigné respectivement par les références 53 et 54, qui se trouve au dessous des extrémités de l'axe 49 et qui dans certaines conditions de¯travail fournit un point d'ap- pui pour le levier 51, c'est-à-dire lorsque ledit levier est déplacé de telle façon que son extrémité extérieure 34a est soulevée par la manoeuvre du levier à pédale 42. lorsqu'on appuie sur la pédale, le bras vertical articulé 34 est soulevé et il en résulte que le levier 31 bascule autour de l'axe 49 qui forme point d'appui;

   la partie arrondie 32 du levier 31 pousse 

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 la coupelle du ressort contre ce dernier dans le sens as- cendant, de sorte que la vapeur sous pression peut soulever la soupape de son siège et passer de la chambre de pression 6 dans la chambre de vaporisation 5 du plateau supérieur. 



  Au moment où l'ouvrier libère la pédale, le ressort de com- pression 44 ramène les différents organes dans la position représentée aux Fig.l et 4 et la soupape se ferme sous l'ac- tion du ressort 28 qui agit par l'intermédiaire du levier 31 et de la tige 17 de la soupape. ' 
Au cas où l'on préfère ouvrir la soupape par abaissement du levier 48, l'ouvrier peut, sans qu'il lui soit nécessaire de retirer les mains de la poignée principale ménagée sur le plateau supérieur et servant à le soulever et à l'abaisser, exercer une simple pression avec son doigt sur un coussinet 55 porté par l'extrémité extérieure du levier 48.

   Le levier 48 bascule alors autour de son axe de pivotement 51 et sou- lève ainsi les oreilles 46 et 47 ainsi que l'axe 49 en même temps que l'extrémité correspondante du levier 31; ce der- nier pivote alors autour de son point d'appui qui relie son extrémité extérieure   34a   à, l'extrémité inférieure du bras vertical 34. La surface arrondie 33 se soulève et la tige 17 de la soupape peut se déplacer vers le haut en même temps que le disque 15 est soulevé de son siège sous la pression de la vapeur qui agit dans la chambre 10. 



   La libération de la soupape à vapeur du plateau supérieur par abaissement du levier 43 dont la commande se fait en ap- 
 EMI6.1 
 y'u.JT l: ¯ 1,'/':':'- .ai -jct..;t t',Jr 11;10 "touche" est conditionnée' pJ,r la. présE7ic,,s, :l'1.11:;' ressort da C01T.PY'#Hi,1ion z4 sous le levier à pédule 43. Le ressort, sort à maintenir en place les organes de connexion, de sorte que l'extrémité extérieure 34a du levier 31 fournira un point d'appui à l'endroit où elle est reliée au bras vertical 34 quand la soupape est comman- dée à la main. Il est à noter que la soupape peut être li- bérée par l'action simultanée de la pédale 42 et de la tou- 

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 che 55; dans ce cas le levier 31 se soulève à la fois à ses deux extrémités et la pression de la vapeur ouvre la soupape. 



   Afin de règler le débit de la vapeur passant par la sou- pape du plateau supérieur, une vis de butée 56 est montée dans un talon 67 débordant à l'extérieur du support 22. 



  Cette vis de butée est placée au dessous du levier 48 et en l'ajustant de façon appropriée elle limite le mouvement dudit levier 48 et du levier 31 qui commande la course du mouvement ascendant de la tige 17 et, par conséquent, le degré d'ouverture de la soupape. 



   Comme il a été indiqué ci-dessus, le levier 31 est du type fonctionnant dans les deux sens, une des extrémités servant à un certain moment de premier point d'appui et l'autre extrémité servant, à un autre moment, sous l'effet d'une manipulation différente, de second point   d'appui,   
La description qui précède permet de se rendre compte que la presse suivant l'invention est simple; son application pratique a démontré qu'elle est d'un maniement facile. 



  Le contrôle par "touche" du levier 48 présente un avantage appréciable et l'ouvrier une   Fois   familiarisé avec cette manipulation ne se servira plus du levier à pédale, à moins que, exceptionnellement le plateau supérieur se trouvant en position relevée, il ne désire maintenir le vêtement ou la pièce de tissu contre la surface de projection de la vapeur en utilisant les deux mains pour présenter le tissu à la va- porisation, dans quel cas il se servira du levier à pédala 42 pour donner de la vapeur.

Claims (1)

1. RESUME.

   ------------- I.Presse pour vêtements comprenant un plateau supérieur avec chambre à vapeur ainsi qu'une chambre de vaporisation, lesdites chambres étant séparées par une soupape qui en fer- <Desc/Clms Page number 8> me la communication et qui est nobmalement maintenue fermée par un ressort, un levier fonctionnant dans les deux sens étant interposé entre ce ressort et la soupa- pe et formant point d'appui par chacune de ses extrémités, des dispositifs fonctionnant indépendamment par rapport à chacune des extrémités du levier permettant de les sou- lever en basculant ainsi le levier, au choix, autour de l'un ou l'autre des point.s d'appui, le ressort étant ainsi comprimé et permettant l'ouverture de la soupape.

   !!.Formes d'exécution d'une presse pour vêtements sui- vant I caractérisées par un ou plusieurs des dispositifs suivante: a)l'une des extrémités du levier qui fonctionne dans les deux sens est réunie à un levier à main permettant de le basculer, ledit levier à main s' étenda,nt dans la direc- tion du bord avant du plateau supérieur et se trouvant à portée de la main de l'ouvre or. b)l'une des extrémités du levier qui fonctionne dans EMI8.1 les :-19',-, ( 89l'l2 3è1, .,1 îé'1 i"'Ll.1.Y'-'!C[;'=I;-,:

   6nt à un levier à pé- dale grâce auquel il peut basculer. c)le levier fonctionnant dans les deux sens peut être basculé au choix à la main ou par le pied. d)la soupape qui règle la projection de la vapeur à partir de la chambre de vaporisation et qui soumise EMI8.2 ,\ la )r'7:''.L,J-. l3 l'i vap3ur pendant son mo'rleIl8nt d'ouver- tare, support'-! une tige qu'elle déplace dans le sens ascendant pendant qu'elle s'ouvre et dont l'extrémité supérieure u:3t pormalement en contact avec un levier fonctionnant dans les deux sens qui la surmonte et qui est comprimé EMI8.3 par ,'Il r-)3aorb 8i[:

   .11\3 au des'3U3 de 0'3 levier eh 9'aßpi78.'it contre celui-ci en un point opposé au point de contact du levier et de la tige, l'une des extrémités de ce le- vier étant soulevée par un levier à main et comprimant <Desc/Clms Page number 9> ainsi le ressort, ce qui provoque l'ouverture de la soupa- pe sous l'effet de la pression de la vapeur. e)chacune des extrémités du lovier qui fonctionne dans les deux sens comporte un point d'appui et des moyens sont prévus pour basouler le levier à m'aide d'organes de con- nexion actionnés par une pédale.

   f) la chambre à vapeur et la chambre de vaporisation sont réunies par.un passage pour la vapeur s'étendant de l'une à l'autre et se terminant en un siège à l'une de des extrémités, la fermeturedudit passage étant assurée par un disque soumis à la pression de la vapeur qui tend à le soulever de son siège et relié à une tige qu'il entraine avec lui dans la position d'ouverture de la soupape;

   un le- vier fonctionnant dans les deux sens est disposé au dessus de l'extrémité extérieure de la tige et s'étend latéralement des deux côtés de celle-ci, l'une de ses extrémités étant reliée à pivotement avec un bras de façon à ce que la con- nexion mobile forme un point d'appui pour ladite extrémité, ce point d'appui pouvant être soulevé par des moyens se trouvant sous le contrôle de l'ouvrier, l'autre extrémité du levier qui fonctionne dans les deux sens étant reliée à pivotement avec un levier à main, lui-même pivoté sur une partie fixe du bâti de la soupape et ayant un point d'appui relié à l'extrémité dû levier fonctionnant dans les deux sens sur lequel pivote le levier à main,

   tandis que des ressorts agissent sur le premier'levier et sur la tige et que par leur intermédiaire le disque de la soupape est main- tenu sur son siège. g) la chambre à vapeur, la chambre de vaporisation et le corps de la soupape forment parties intégrantes du plateau supérieur de la presse, un organe de support étant fixé à la partie extérieure du corps de la soupape et étant pourvu <Desc/Clms Page number 10> EMI10.1 à son extrémité supérieure d'un prolongement latéral et d'une paire de talons rigides s'étendanh dans la même direction ,que ledit prolongement et espaces entre eux, cet organe de support étaiT. relié à pi-O;3'--31J avec un levier à nain dont l'extrémité 1:'1[,':'"IL3¯ 3 1¯. p "¯ -.- .1 ' , 3ü." l'¯:¯1." i -ce ':;:',c\3:J1Gés du levier fonc- tiouna-nb dans les de-'x 89118, des prolongements de la connexion p.vo,;rri,:

   duri'ontant lesdits talons, tandis que l'extrémité opposée du levier fonctionnant dans les deux sens est reliée 3. 7J.'J:.3.:3;- :,lé',C un iJT':7,8 qui se trouve en comCau''licat3.0i1 à son tour avec un levier 3. p±;àJ.le dont l'abaÍssaill8l1.G le soulevé en basculant le preaier levier aubour du point d'appui précité} un organe plongeur se trouvant sous la pression d'un ressort '33 t. ,::onté chna le prolongement latéral du support et agit sur 15, partie supérieure du levier fonctionnant dans les deux sens cl)u.:L,13-,'11t. ave !.. ,. f.i¯.,, ledib 1.>vier étant maintenu dans sa position neutre C;J':.':'. l'è .1 i. 31';'1](-) de 10. soupape eat ferné 3t posé :'.Uj.'' 3 ' 1 i-?,