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"Nouvelle machine monter les bouts"
Société dite: UNITED SHOE MACHINERY COMPANY, :Société Anonyme Belge
Priorité de deux demandes de brevet déposées aux Etats-
Unis d'Amérique dont une demande déposée le 19 octobre
1937 aux noms de:Fred Cecil EASTMAN et Arthur Frederick
PYM et l'autre déposée le 15 novembre 1937 aux noms de
Arthur Frederick PYM et Philip Edgar BURBY.
Cette invention concerne le montage des chaussures sur leur forme de fabrication, en particulier le montage des bouts, et elle vise doter le métier d'une machine commandée par moteur et capable d'exécuter son travail rapidement et toujours bien sans exiger un grand effort de la part de l'opérateur ni une connaissance approfondie de la partie. Bien que l'invention soit décrite ici dans son application au montage du cousu-tré- pointe, il est entendu que plusieurs des innovations qu'elle comporte ne sont pas exclusivement réservées à cet usage, non plus qu'aux machines commandées par moteur.
Une particularité importante de la nouvelle machine réside dans la combinaison de rabatteurs perfectionnés avec des pinces servant tendre l'empeigne & point sur le corps de la forme.
Dans le présent système de montage, les rabatteurs servent à refouler l'empeigne en hauteur du bout de la forme avant de la replier vers l'intérieur par-dessus la semelle première, tandis que les pinces servent à l'étirer d'abord vers l'extérieur par
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en dessus des rabatteurs, puis en hauteur de la forme. Les diverses opérations du montage sont ainsi coordonnées que les rides apparaissant sur l'avant-bout de l'empeigne sont complétement effacées par le mouvement extérieur des pinces sans avoir à exercer une forte traction sur ledit bout, les pinces ayant presque fini de tirer ainsi sur l'empeigne avant que les rabatteurs commencent de la refouler en hauteur de la forme, après quoi elles étirent l'empeigne dans cette direction avec les rabatteurs.
Une autre particularité de l'invention comporte l'emploi de moyens inédits pour l'étirage de l'empeigne vers l'extérieur dans la mesure désirée, ces moyens consistant en trois pinces faites pour agir l'une sur l'extrémité du bout, et les deux autres sur les coins opposés de ce bout, et commandées par des ressorts qui leur font étirer l'empeigne vers l'extérieur par en dessus des rabatteurs quand elles sont abandonnées à l'action desdits ressorts par un mécanisme ad hoc, après quoi elles tiennent l'empeigne tendue dans cette direction cependant que les rabatteurs la replient vers l'intérieur par-dessus la semelle première.
Avec les pinces vont des dispositifs à friction qui servent d'abord à augmenter la force de traction qu'elles exercent sur l'empeigne sous l'action de leurs ressorts de commande, et qui les font tirer ensuite moins fort sur elle pour ne pas la surtendre au cours du repliage. L'utilisation de tels moyens pour étirer l'empeigne dans la mesure désirée n'est pas subordonnée en principe au nombre de pinces employées, non plus qu'à la direction dans laquelle s'effectue l'étirage.
Le mécanismeétire-empeigne offre aussi plusieurs points de nouveauté. Ainsi, chaque pince est facile à ajuster en hauteur de la forme parce qu'elle est actionnée par des pièces qui.restent
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séparées à l'état normal et dont l'une peut être rapprochée ou écartée de l'autre pour effectuer l'ajustage désiré. En outre, les pinces mordant les coins du bout de la chaussure sont mues en hauteur de la forme, pour leur faire étirer l'empeigne dans cette direction, par leur venue en contact avec le bas de tiges montantes situées à côté d'elles mais y raccordées, lesdites pinces étant aussi mobiles autour des axes de ces tiges afin de pouvoir étirer l'empeigne vers l'extérieur en travers de la forme.
Avec des moyens pour faire osciller les pinces latérales autour desdits axes sont combinés des moyens qui permettent de les ajuster au préalable autour d'axes sis en long et en large de la forme, afin de les préparer à agir sur des empeignes de pointures différentes.
D'autre part les pinces latérales sont actionnées de manière à pouvoir non seulement se mouvoir inversement vers l'intérieur et dans des directions convergentes durant le repliage de l'empeigne par-dessus la semelle première âpres qu'elle a été tendue vers l'extérieur par en dessus des ra- batteurs, mais aussi de manière à pouvoir être tirées vers l'arriére de la forme et presque en long de celle-ci, en vainquant la résistance de leurs ressorts de commande, par l'effort de traction exercé sur elles par l'empeigne, la partie marginale de celle-ci pouvant ainsi prendre plus aisé- ment la position déterminée par les rabatteurs sans distordre les pinces.
L'invention prévoit encore des moyens par quoi les pinces effectuent leurs mouvements d'étirage indépendamment de leur mécanisme de fermeture, la disposition étant ici telle que les mâchoires de chaque pince sont rapprochées l'une de l'autre, pour leur faire mordre l'empeigne, par un ressort y logé
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et commandé par une pièce indépendante de la commande de la pince et mobile de façon à permettre aux mâchoires de se fermer, puis à les rouvrir.
Bien qu'un tel système de pinces soit d'un emploi tout particulièrement avantageux dans une machine possédant des rabatteurs de bout comme la présente machine, dans laquelle on devrait être capable de faire agir les pinces de différentes manières sur l'empeigne, aussi bien que de les ajuster suivant la nature du montage 8 exécuter, il est évident que les innovations dont il a été parlé sont applicables à d'autres machines.
L'invention comporte aussi l'emploi de moyens inédits pour déterminer la quantité de pression à exercer sur l'empeigne au cours du repliage, de même que pour ajuster les rabatteurs de bout. Dans la présente machine, ceux-ci sont avancés en long de la chaussure par un levier dont le point d'appui peut vaincre la tension d'un ressort pour obéir à la résistance offerte par l'empeigne au mouvement des rabatteurs, le mouvement dudit point d'appui servant aussi à ajuster les rabatteurs en long de la chaussure.
Pour aider 8 tenir la chaussure solidement en place dans la machine, il est prévu une bande flexible qui est serrée par un ressort contre la face postérieure ou partie contrefort de la chaussure, puis enclenchée automatiquement dans cette position, ladite bande étant attachée, par les deux bouts, à des bras élastiques que la pression de la chaussure sur elle peut faire tourner l'un vers l'autre autour d'axes sis en long de la chaussure. La bande serre-contrefort est replacée en position inactive par un mécanisme renfermant un ressort qui est capable de se comprimer pour ne pas blesser l'opérateur au cas où la bande le frapperait en revenant vers l'arrière.
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Une autre particularité importante de l'invention réside dans des perfectionnements apportés à la fixation du bout de l'empeigne dans la position où il est tendu à point sur la forme, cette fixation Otant opérée avec un fil métallique que l'opéra- teur passe autour du bout et accreche à la chaussure, ledit fil étant d'ailleurs serré fortement contre une lèvre ou épaulement de l'empeigne par les rabatteurs.
En vue de parer . la détente de l'empeigne et dans le but aussi de faciliter le faufilage du bout, la machine est ainsi réglée qu'elle s'arrête quand les rabatteurs,ayant fini de replier l'empeigne, exercent une moindre pression sur elle en hauteur de la forme, en sorte que l'opérateur peut alors commencer de- tirer le fil.. vers l'intérieur, entre les rabatteurs et l'empeigne, à l'extrémité de devant du dessous de la chaussure, durant le repos de la machine.
Quand celle-ci est remise en marche, la pression susdite est relâchée davantage et l'opérateur est alors capable de tirer le fil vers l'intérieur tout contre la partie retroussée de l'empeigne, les rabatteurs étant reculés un peu pendant que l'opérateur continue de tirer sur le fil, après quoi ils sont mus de nouveau vers l'intérieur pour serrer le fil fortement contre la portion marginale de l'empeigne, et .actionnés aussi de façon à augmenter leur pression sur l'empeigne en hauteur de la forme. Tandis que le fil est tenu serré ainsi par les rabatteurs, la machine est mise de nouveau en marche pourvue l'opérateur, qui a déjà accroché le fil à une semence implantée dans un côté du dessous de la chaussure, puisse l'attacher à une semence implantée dans l'autre côté du dessous de la chaussure.
La pince de bout continue de tirer sur le bord de l'empeigne durant le repliage dudit bord vers l'intérieur par les rabatteurs, mais elle lâche prise avant que la machine s'arrête afin de permettre à l'opérateur de faufiler le bout, et elle n'a par conséquent aucune tendance à déplacer le faufil en tirant sur l'empeigne après le recul partiel des rabatteurs.
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L'invention prévoit encore l'emploi d'un dispositif nouveau pour former dans un bout du fil à faufiler une boucle qui sera accrochée à une semence implantée dans la chaussure. On verra que ce dispositif forme-boucle est fait pour recevoir et tenir un bout du fil à faufiler, et qu'il est mû de façon à lui faire décrire un arc d'environ 1800 pour former une boucle qui est amenée en un point où l'opérateur peut l'en enlever, ledit dispositif étant actionné ainsi par le mouvement d'un portechaussure autour duquel il peut tourner.
Une autre particularité de l'invention comporte l'utilisation d'un nouveau mécanisme pour transmettre la force motrice à divers organes de la machine, ou pour opposer une résistance plus ou moins grande 9. leur entrainement. Ce mécanisme possède deux ressorts à boudin de puissance différente, lesquels sont installés entre des pièces relativement mobiles pour être comprimés par le mouvement de l'une de ces pièces par rapport à l'autre sous l'impulsion de dispositifs associés respectivement auxdits ressorts, un desdits dispositifs pouvant être rendu inactif pour ne pas comprimer le ressort y associé pendant que l'autre dispositif comprime le sien.
Afin de paralyser ainsi l'action de l'un ou l'autre des dispositifs en question, chacun d'eux est muni de chevilles disposées de manière à pouvoir s'introduire dans des trous (percés dans une des pièces relativement mobiles) lorsque ces trous sont en regard desdites chevilles, le mouvement relatif de cette pièce n'ayant dès lors aucun effet sur le ressort associé 8 ce dispositif-la. Quand les chevilles et les trous ne sont pas en regard, la pièce dans laquelle sont percés les trous appuiera contre les chevilles pour faire comprimer le ressort par le mouvement relatif des deux pièces susmentionnées. On verra que ce mouvement relatif comprimera les deux ressorts ensemble ou séparément suivant la position dans laquelle les pièces du mécanisme auront étéajustées au préalable les unes par rapport aux autres.
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Les autres particularités de l'invention ressortiront clairement de la description qui va suivre en regard du dessin ci-joint dont
Fig. 1 est une vue de face et fig. 2, une vue de profil droite de la nouvelle machine;
Fig. 3, une vue agrandie montrant une portion de la machine, partie de profil à droite et partie en coupe;
Fig. 4 illustre principalement en plan les rabatteurs de bout et leur mécanisme moteur et régulateur;
Fig. 5 montre partie de profil à droite et partie en coupe prise par la ligne V--V de fig. 4, le mécanisme moteur des rabatteurs ;
Fig. 6 est une vue partielle du mécanisme moteur et régulateur des rabatteurs en élévation postérieure;
Fig. 7, une section suivant la ligne VII-VII de fig. 4 ;
Fig. 8, une section suivant la ligne VIII-VIII de fig. 4 ;
Fig. 9, une section analogue, mais à plus grande échelle, d'une portion de la structure représentée fig. 8 ;
Fig. 10, une section suivant la ligne X--X de fig. 8 ;
Fig. 11, une section suivant la ligne XI-XI de fig. 8 ;
Fig. 12, une section suivant la ligne XII-XII de fig. 8 ;
Fig. 13, une section suivant la ligne XIII-XIII de fig. 8 ;
Fig. 14, une vue en partie brisée montrant, de face et à plus grande échelle, les pinces et des portions du mécanisme moteur et régulateur de chacune d'elles;
Fig. 15, une vue en partie brisée montrant en plan les mêmes parties de la machine que fig. 14;
Fig. 16, une section suivant la ligne XVI--XVI: de fig. 14 ;
Fig. 17, une vue en coupe verticale de l'une des pinces latérales;
Fig. 18, une vue de profil d'un fragment de la pince de bout, cette vue montrant aussi en coupe certaines parties de son mécanisme régulateur;
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Fig. 19 illustre, partie en élévation latérale et partie en coupe, une portion du mécanisme régulateur de l'une des pinces latérales ;
Fig. 20 illustre, partie en coupe, une autre portion du même mécanisme ;
Fig. 21 est une section suivant la ligne ]=--]= de fig. 3 ;
Fig. 22, une section suivant la ligne XXII-XXII de fig. 3 ;
Fig. 23, une section suivant la ligne XXIII--XXIII de fig.3;
Fig. 24, une vue en partie brisée, montrant de face l'appuiebout dont la machine est munie, ainsi que les moyens y associés pour former une boucle dans le bout du fil à faufiler ;
Fig. 25, une vue en coupe verticale de l'embrayage et des pièces y associées;
Fig. 26, une vue en partie brisée montrant, en élévation latérale, une portion de la commande de l'embrayage;
Fig. 27, une vue en plan d'une portion du dispositif formeboucle tel qu'il apparaît âpres la formation d'une boucle ;
Fig. 28 illustre principalement en coupe la position de la pince de bout et des rabatteurs par rapport à la chaussure juste avant le refoulement de l'empeigne en hauteur par les rabatteurs ;
Fig. 29 est une vue analogue à une portion de fig. 28 et indique les positions des pièces à la fin du refoulement de l'empeigne en hauteur;
Fig. 30, une vue analogue indiquant les positions des pièces lorsque la machine s'arrête la première fois pour permettre à l'opérateur de faufiler le bout de l'empeigne;
Fig. 31, une vue en plan montrant les pinces et les rabatteurs dans les positions qu'ils occupent après le second arrêt de la machine, le fil à faufiler ayant été fixé à la chaussure ;
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Fig. 32, une vue en coupe des pièces occupant les mêmes positions que sur fig. 31 ;
Fig. 33, un diagramme illustrant la corrélation des mouvements des pièces actives de la machine.
La position que chaque chaussure et sa forme doivent occuper durant le montage du bout est déterminée exactement par une plaque 2 (fig. 1, 16) qui, pour la fabrication du cousu-trépointe, est munie comme ici d'un ressaut descendant 4 fait pour accoter sur la face interne de la lèvre de la semelle première autour du bout, le bord inférieur de ce ressaut se recourbant un peu en long de la chaussure pour se prêter au bombage éventuel du dessous de la chaussure à l'avant-pied. Afin de pouvoir bien effectuer le placement de chaussures variant entre elles comme pointure ou modelé, on est tenu d'employer des plaques différentes. C'est pourquoi la plaque 2 est facile à démonter de son support 6.
De ce support descendent deux saillies 8 qui se logent dans des ouvertures ménagées dans la plaque 2 qui sont munies de lèvres 10 appùyant par en dessous contre d'autres lvres de ladite plaque (voir fig. 16). Sur la face inférieure du support 6 est montée, entre ce dernier- et la plaque 2, une glissière 12 qu'une vis 14 retient sur ledit support et qui peut effectuer un mouvement limité par rapport à lui en long de la chaussure.
Cette glissière est munie aussi de logements pour les saillies 8 du pbrte-plaque, ainsi que de rebords 16 qui en descendent, pour s'engager sur des épaulements formés dans les ouvertures de la
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plaque 2. QR¯ns.le.4upport 6 est logé un.piston à ressort 18 dont la venue en contact avec une oreille 20 de la glissière 12 tend Pouvoir celle-ci vers l'avant de la machine où stationne l'opérateur. La plaque 2 est donc tenue normalement en prise avec les lèvres 10 des saillies 8 par les rebords 16 de la
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glissière 12.
Four démonter la plaque 2, l'opérateur recule la Glissière 12 en poussant sur l'oreille 20, après quoi il peut enlever la plaque aisément des saillies 8 et en mettre une autre à sa place, l'enclenchement de la nouvelle plaque .3'opérant en laissant revonir la glissière 12 en avant.
Le support 6 est formé au bas d'une tige 22 ajustable en hauteur dans des paliers ménagés dans un cadre 24 en fonte fixé au sommet du bâti principal 26 de la machine. La partie supérieure, moins grosse, de la tige 22 (fig. 14) est en prise avec un pas de vis formé sur le dehors d'un manchon 28 qui est pourvu d'un volant 30 pour le tourner, et qui se taraude dans le cadre 24. Une clavette 32 (fig. 16) bloque la rotation de la tige 22.
Le cadre 24 porte une aiguille 34 dont la position par rapport à des chiffras inscrits sur le volant 30 indique la hauteur à laquelle la plaque place-chaussure 2 a été ajustée. Bien
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e::1,::;::du, c"t ajustage sera fait de manière à adapter la plaque au travail particulier que la machine est appelée à exécuter.
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vant de In^t.t. e; la 1;iachli;e en marche, l'opérateur lui présente. la chaussurp d'Yt..ic position déterminée par la plaque 2 et, des 4ilT la machine Cülûil31lC0 de fonctionner, la chaussure 8,3 à"6;rrÉ':2 C01;tT.'O ladite plaque par un appui -bout S6 (fig. 3) : =¯.:: 1 de C0: décrit dn3 le mémoire annexé au brevet ¯ ¯ u.¯:, r.¯.. ùw il? fb'"'1"à" :;''::'::'-2 (n E34.144 ) .
Cet appui -bout -. ', ±-± .:.-l.T l'extrémité :.Li.la:Liiw réduite d'une lise 38 1.i- - ' -' J'"li :!..ii, 08,-; y.l::.::- verticaux m6nag6d dans le C. ',';' ::s ... ',5Ji' ¯.. otü;i.z; ¯wt bloquée par une clavette ' . . 'r\i -¯i.; 42, ¯..." ,'.¯, eu bas de la 11, appuie sur un ß;i ..¯.. 0.1--."" pn.;.- li#it'".r la descente de 1a tie et de '-h91i<+ .,..". e ,-:'.r2L:'(" peut 1: serré plus ou moins vi- ;S!,"-)::'?,:'.:a',1crl contre 1:: chaussure, suivant la nature du travail à exécuter, en utilisant pour cela un des ressorts 44 et 46 ou lesdeux, lE) ressort 46 étant le plus puissant. Ces ressorts
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appuient par le bas sur une rondelle assise sur des écrous 50 qui se vissent sur un manchon 52 monté à glissement sur la tige 38.
Les ressorts 44 et 46 appuient respectivement par le haut contre des anneaux 54 et 56 mobiles dans le sens vertical indépendamment l'un de l'autre. Dans l'anneau 54 sont implantées, pic trois chevilles 58 (fig. 22) et dans l'anneau 56 trois chevilles analogues 60. Ces chevilles sont surmontées d'un 'disque 62 muni de trois trous 64 disposés de manière à se trouver en regard des chevilles 58 quand le disque occupe une certaine position, et muni de trois autres trous 66 disposés de manière à se trouver en regard des chevilles 60 quand le disque occupe une autre position, ce dernier pouvant tourner autour de la tige 38 pour prendre l'une ou l'autre de ces positions ou une troisième position qui laisse ses deux jeux de trous hors d'alignement avec les chevilles correspondantes.
On voit donc que le disque 62 peut être exhaussé par le ressort 44 ou 46, ou par ces deux ressorts à la fois, en levant le manchon 52 et sa rondelle 48, l'exhaussement du disque faisant monter la tige 38 et l'appui -bout 36 parce qu'il vient appuyer contre un épaulement 68 au bas d'un épanouissement de la tige (fig. 3). Pour lever le manchon 52, il est prévu un étrier 70 qui peut glisser sur la tige 38 par en dessous du manchon, le haut de cet étrier pouvant glisser aussi sur un manchon 72 qui est solidaire du disque 62 et enfilé sur la partie épanouie de la tige 38. Au sommet de l'étrier 70 est articulée une paire de bielles 74 (fig. 1, 3) qui sont jointes ensemble par une âme 76 et dont le bas est articulé son tour à des bras 78 reportés vers l'avant et assujettis un arbre 82 monté 8 bascule dans deux croisillons 84 fixés au bâti 26.
Sur cet arbre est fixé également un bras 85 qui porte un galet 86 sur lequel appuie une came 88 formée sur la périphérie d'un disque 90 calé sur un arbre porte-cames 92 tournait dans les bras 84.
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dans
L'appui -bout 36 est donc serré contre la chaussure par la montée de l'étrier 70, et cet étrier continue son mouvement ascendant pour comprimer le ressort 44 ou 46 ou les deux, suivant l'ajustage préalable du disque 62, quand la pièce 36 vient appuyer contre la chaussure. L'intensité du serrage de celle-ci contre la plaque 2 dépend donc de la position du disque 62.
Pour ajuster ce disque, sur la tige 38 est monté un secteur denté 94 du moyeu duquel descend une paire de doigts 96 logés dans les coulisses verticales du manchon 72. Le secteur 94 est empêché de remonter par un épaulement du bâti, et il est supporté par en dessous par un pignon 98 formant corps avec un arbre 100 tournant dans le bâti. Le bout antérieur de cet arbre porte une manivelle 102 qui permet de le tourner et dans laquelle est montée une broche ressort 104 faite pour s'introduire dans l'un quelconque de trois trous 106 percés dans le bâti et correspondant aux trois positions de réglage du disque 62. Un bouton 108, calé sur l'avant-bout de la broche 104, sert retirer la broche du trou dans lequel elle s'est introduite, aussi bien qu'à tourner la manivelle 102.
Il est entendu que lorsque l'ajustage est fait de manire laisser le ressort 44 ou 46 inactif, les chevilles de l'anneau 54 ou 56 commandées par ce ressort resteront en regard des trous correspondants du disque 62 et monteront ineffectivement ces trous, tandis que les chevilles de l'autre anneau accoteront sur ledit disque. Afin de maintenir les deux groupes de chevilles dans la position voulue l'unpar rapport à l'autre, elles sont toutes soumises à l'action d'un disque 110 formant corps avec le haut du manchon 52 et percé de trous par où passent les deux groupes de chevilles.
Deux vis 112, taraudées dans l'étrier 70 tiennent le disque 110 dans la position qu'il faut, ces vis appuyant respectivement contre les côtés opposés d'une saillie du disque.
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La chaussure est empêchée de se déplacer vers l'arrire dans le sens de sa longueur par un appui 114 (fig. 1, 2, 3, 28) consistant en une chaîne flexible 116 revétue d'une bande 118 en feutre, ou autre matière convenable, faite pour embrasser l'extrémité postérieure de la chaussure. Les deux bouts de la chaîne reposent sur des blocs 120 qui sont munis de broches 122 mobiles dans le haut d'une paire de consoles 124, autour dtaxes sis à peu prés en long de la chaussure. Les deux consoles sont fixées en position réglable a des bras 126 qui'sont capables d'osciller en travers de la chaussure autour des extrémités antérieures, réduites,de tiges 128 mobiles en long de la chaussure dans des coussinets formés dans le bâti.
Chaque console 124 présente une languette 130 qui décrit une courbe autour d'un axe sis en travers de la chaussure, et qui s'encastre dans un coulisseau de courbe correspondante 132 pratiqué dans le bras 126. En outre, de la console se projette dans une coulisse de courbe analogue 134, ménagée dans ledit bras, une broche 136 sur le bout de laquelle se visse un écrou 138 qui sert! fixer la console dans la position qui lui est donnée par rapport au bras. L'axe de courbure de chaque languette 130 et de son coulisseau 132 est sis dans le voisinage du dessous de l'avant-pied de la chaussure et, durant son ajustage, l'appui 114 suit une direction correspondant virtuellement à la courbe montante de la face postérieure de la chaussure, l'ajustage ëtant effectué différemment suivant le modelé particulier de la chaussure en main.
Les bras 126 sont retenus sur les tiges 128 par des chapeaux 140 fixés par des vis 142 sur les bouts desdites tiges, et dans un évidement annulaire du moyen de chaque bras se loge un ressort à boudin 144 (fig. 3, 23) attaché par un bout au moyeu du bras et, par l'autre, au chapeau. Les ressorts 144 tendent à faire osciller les bras 126 dans des directions qui les écartent l'un de
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l'autre pour redresser la bande embrasse-contrefort, mais qui lui permettent d'envelopper l'extrémité postérieure de la chaussure lorsqu'elle est serrée contre elle. La bande est serrée ainsi contre la chaussure par un mouvement rétrograde des tiges 128 qui sont accouplées fixement ensemble par un étrier 146 (fig. 21). Le mécanisme de commande des tiges sera décrit plus loin avec d'autres pièces.
Le bout de l'empeigne est refoulé en hauteur de la forme et sa partie marginale repliée ensuite vers l'intérieur pardessus la semelle première par une paire de rabatteurs 148 (fig. 4,5, 7), comme on a coutume de le faire dans les machines à monter les bouts. Ici, ces rabatteurs sont montés amoviblement sur des supports 150 dans des coulisses y ménagées, et ilssont retenus en place par des broches à ressort 152 qui sont logées dans des raccords 154 assujettis aux supports des rabatteurs, et qui s'introduisent dans des trous percés dans ceux-ci. Pour dégager les rabatteurs, les broches sont baissées en tirant sur un bouton au bas de chaque broche. Les rabatteurs sont ainsi galbés qu'on peut les renverser dans leurs supports pour le montage des chaussures du pied droit et gauche.
Les supports 150 des rabatteurs reposent sur une monture 158 par en dessous d'un couvercle 160, et ils sont munis de nervures courbes 162 qui en descendent pour se loger dans un coulisseau de forme correspondante 164 pratiqué dans la monture des porterabatteurs. Les rabatteurs sont donc guidés de manière à pouvoir se fermer en travers de la chaussure autour d'un axe sis à peu près au point de rencontre de leurs bords actifs. Un manchon 166, enfilé sur un boulon 168, qui traverse la monture des porte-rabatteurs et qui se visse dans le couvercle 160, aide à placer ce dernier dans la position qu'il faut, les faces opposées des supports 150 des rabatteurs étant munies d'évidements pour y loger le manchon.
Des coulisses 170 formées dans la monture 158 des supports des rabatteurs ménagent de la place pour mouvoir les raccords 154 avec les supports 150.
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Afin de pouvoir avancer et reculer les rabatteurs en long de la chaussure, la monture 158 des porte-rabatteurs repose sur une paire de bielles 172 (fig. 1, 5) espacées l'une de l'autre en travers de la chaussure et articulées par le haut à des oreilles 174 de la monture 158 près de l'avant de celle- ei, et elle repose aussi sur le haut d'un levier 176 monté en un point de sa longueur sur un pivot 178 dont il sera re- parlé. Le bras supérieur du levier 176 est articulé par une tige 180 à la monture 158 des porte-rabatteurs à peu près à mi-distance de ses côtés opposés, et il constitue en réalité une bielle virtuellement parallèle aux bielles 172.
Les deux bielles 172 sont articulées à leur tour par le bas à des bras de levier 182 calés sur un arbre 184 monté à bascule dans les croisillons 84, et sur cet arbre est calé aussi un bras de
188 levier 186 muni d'un galet/courant dans une piste de came 190 formée dans un côté du disque 90. Grâce! ce mécanisme, la monture 158 des supports des rabatteurs bascule vers le haut autour de la tige 180 pour amener ceux-là à refouler l'empeigne en hauteur de la forme, âpres quoi la monture est penchée vers le bas pour augmenter la pression des rabatteurs sur la portion marginale de l'empeigne préalablement repliée par-dessus la semelle première.
D'autre part, pour avancer et reculer ladite monture et les rabatteurs en long de la chaussure, le levier 176 tourne autour de la tige 178 sous l'action d'une piste de came 192 (fig. 5) formée dans un côté d'une roue d'engrenage 194 (fig. 5) commandant l'arbre porte-cames 92, comme expliqué ci-après, le levier 176 portant un galet 196 qui court dans ladite piste. Il est entendu que lorsque la monture des supports des rabatteurs est actionnée ainsi, les bielles 172 tournent à vide autour de leurs articulations aux bras 182.
Afin de pouvoir avancer les rabatteurs élastiquement en long de la chaussure et pouvoir aussi ajuster dans le même sens la monture 158 des supports des rabatteurs, la tige pivotale 178
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du levier 176 est supportéepar un bras de levier 198 qui est fait pour osciller en long de la chaussure sur deux courtes tiges 200 (fig. 6) implantées dans les croisillons 84 et sises en contre-bas de la tige 178, le bras 198 portant une âme 202 qui joint ensemble, de chaque côté du levier 176, les deux parties du moyeu dudit bras qui sont espacées l'une de l'autre.
Dans lé haut bifurqué du même bras est montée folle une broche 204 (fig. 4,8) dans laquelle se visse l'extrémité postérieure d'une tige 206 qui se projette vers l'avant à travers un carter cylindrique 208. Ce carter est fixé à demeure au bâti de la machine par une bride 210 et des vis 212 (fig. 3, 13), et dans son extrémité arrière (fig. 8) est sertie une tête 214 dans laquelle la tige 206 est montée à frottement doux. Cette tête fait l'office d'une butée appuyant contre les extrémités postérieures d'une paire de ressorts 216,218 logés dans le carter 208, le ressort 218 étant plus puissant que le ressort 216. Ces ressorts appuient respectivement par devant contre deux anneaux, 220 et 222 (fig. 12).
Dans l'anneau 220 sont implantées trois chevilles 224 et dans l'anneau 222 trois chevilles 226, toutes ces chevilles traversant des trous percés dans une tête 228 (fig. 8) sertie dans l'extrémité avant du carter 208. En avant des chevilles est installé un disque 230 formant corps avec un manchon 232 enfilé sur la tige 206, ce disque étant muni de trous 234 (fig. 11) faits pour venir se placer en regard des chevilles 224 quand le disque occupe une certaine position. Le disque et son manchon sont munis de trous 236 faits pour venir se placer en regard des chevilles 226 quand le disque est tourné dans une autre position autour de la tige 206. Enfin, quand le disque occupe une troisième position tous les trous sont hors d'alignement avec les chevilles.
On voit donc que tout mouvement rétrograde du disque 230 sera contrecarré par le ressort 216 ou 218, ou les deux, selon l'ajustage préalable du disque. Le devant élargi de la tige 806 appuie
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contre un épaulement 238 du manchon 232, d'où il suit que le disque 230 sera mû vers l'arriére par un mouvement quelconque de la tige 206 dans cette direction. La tige sera mue ainsi par la résistance de la chaussure à l'avancement des rabatteurs quand cette résistance devient assez grande pour vaincre celle du ou des ressorts agissant sur le disque 230.
Autrement dit, le levier 176 tournera alors autour de la tige 180 qui le raccorde ! la monture 158 des porte-rabatteurs pour déplacer vers l'arriére la tige 178, autour de laquelle il tourne normalement, et faire osciller en même temps le bras de levier 198 dans cette direction pour exercer une traction rétrograde sur la tige 206. On a donc ici un moyen commode pour serrer les rabatteurs élastiquement. contre l'empeigne en long de la chaussure, et pour varier l'intensité de ce serrage suivant la nature des matériaux de l'empeigne.
Pour ajuster le disque 230, il est prévu une pièce cylindrique 240 (fig. 4) tourillonnée dans le bâti et muni d'une douille qui se prolonge vers l'arriére et qui est faite pour s'enfiler sur le devant élargi de la tige 206, cette douille étant pourvue de deux coulisses 242 oÙ pénètrent des doigts 244 qui se projettent vers l'avant à partir du manchon 232 sur lequel est formé le disque 230. La rotation de la pièce 240 fait donc tourner le disque qui peut Atre mû vers l'arrière avec la tige 206, tel que susdit, grâce à son enclenchement au manchon 232. Avec la pièce 240 fait corps une manivelle 246 qui sert a la tourner, cette manivelle portant une cheville à ressort 248 faite pour maintenir le disque 230 dans la position voulue en-s'introduisant dans l'un quelconque de trois trous 250 percés dans le bâti.
Un bouton 252 sur la cheville 248 permet de la retirer de l'un quelconque desdits trous, aussi bien que de tourner la manivelle 246. Il est entendu que lorsque le disque 230 occupe une position qui laisse les trous
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234 en regard des chevilles 224, comme indiqué au dessin, le mouvement du disque 230 résultant de la résistance de la chaussure à l'avancement des rabatteurs ne fera comprimer que le ressort 218, le ressort 216 demeurant alors inactif parce que les chevilles 224 s'introduiront dans les trous correspondants 234 du disque. De même, après l'ajustage du disque dans une deuxième position, le ressort 216 sera le seul comprimé parce que les chevilles 226 s'introduiront dans les trous correspondants 236.
Enfin, quand le disque occupera sa troisième position. d'ajustage, les deux ressorts seront comprimés parce que toutes les chevilles seront hors d'alignement avec les trous du disque.
Le taraudage de la tige 206 dans la broche 204 montée dans le bras de levier 198 permet encore de la tourner pour ajuster la monture 158 des porte-rabatteurs et les rabatteurs en long de la chaussure, ce mouvement tournant de la tige faisant basculer le bras 198 vers l'avant ou vers l'arrire et déplaçant par suite dans le même sens la tige pivotale 178 du levier 176 sans altérer la tension de l'un ou l'autre des ressorts 216, 218. Pour tourner ainsi la tige 206, dans la pièce cylindrique 240 est tourillonné un arbre 254 dont l'extrémité arrière, plus grosse, pénètre dans un alésage pratiqué dans l'épanouissement antérieur de la tige 206, ces pièces étant jointes ensemble par une clavette 256 afin de pouvoir faire tourner ladite tige par l'arbre 254, et lui permettre en même temps de se mouvoir longitudinalement par rapport à lui.
La partie plus grosse de l'arbre 254 appuie par devant contre la pièce 240 pour empêcher ledit arbre d'avancer. Le devant de l'arbre 254 porte un volant 258 qui sert à le tourner. Avec ce volant va un mécanisme (voir fig. 9 et 10) qui indique l'opérateur la position dans laquelle les rabatteurs ont été ajustés, et qui comporte deux pignons, 260 et 262, concentriques à l'arbre 254 et logés dans un évidement du volant 258, et aussi un troisième pignon, 264, logé
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dans ce même évidement et monté pour tourner autour d'une broche 266 implantée dans le volant, ce pignon étant en prise avec les pignons 260 et 262.
Le pignon 260 fait corps avec un manchon 268 enfilé sur l'arbre 254 et muni d'une paire de doigts 270 pénétrant dans une fente verticale 272 pratiquée dans une plaque 274 qui est calée sur le bâti de la machine et qui empiète sur le devant de la pièce 240 pour la tenir en place et bloquer la rotation du pignon 260. Quant au pignon 262, il fait corps avec un manchon 276 enveloppant le manchon 268 et monté fixe dans une ouverture formée dans un disque 278 intercalé entre le volant 258 et la plaque 274, disque et pignon pouvant tourner ensemble autour du manchon 268.
Le pignon 262 portant une dent de plus que le pignon 260, chaque révolution du volant 258 fait tourner le pignon 262 et le disque 278 d'une certaine distance par rapport au pignon fixe 260 sous l'impulsion du pignon 264. La face biseautée du disque 278 porte une graduation dont les chiffres sont ainsi espacés les uns des autres que, à chaque révolution du volant 258, l'un d'eux viendra se placer en regard d'un repère 280 (fig. 4) sur la plaque 274. Les rabatteurs seront ajustés en différentes positions pour adapter la machine agir au mieux sur les divers modèles de chaussures qu'elle est appelée à monter. En vue de parer au danger de mouvoir la tige 206 trop loin en avant, sur ladite tige se vissent, derrière la broche 204, des contre-écrous 282 qui en restent écartés normalement, mais qui peuvent être serrés contre elle pour limiter son mouvement tournant.
Les rabatteurs sont fermés latéralement par-dessus le fond de la chaussure par des bielles 284 (fig. 4) dont ltextrémité antérieure de chacune porte une tête 286 articulée . une oreille 288 formée sur chaque porte-rabatteur 150. L'extrémité postérieure de chaque bielle 284 est montée à glissement dans
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/une une douille formée dans une pièce 290 articulée à glissière 292 mobile en long de la chaussure et pourvue d'une languette 294 (fig. 5) logée dans un coulisseau 296 forme dans la monture 158 des supports des rabatteurs.
Entre les pièces 290 et les têtes 286 des bielles 284 sont interposés des ressorts de faible calibre qui peuvent obéir à la pression de la chaussure sur les rabatteurs durant le refoulement de l'empeigne en hauteur, de même qu'à la résistance de l'empeigne aux mouvementsde fermeture des rabatteurs durant son refoulement vers l'intérieur contre la lévre de la semelle première. Les bielles 284 portent des chevilles 300 qui engrènent dans des coulisses 302 formées dans les pièces 290 et limitent la compression des ressorts 298, ce qui fait que les pièces 290 agissent inélastiquement sur les bielles 284 avant la fin du repliage de l'empeigne par les rabatteurs.
Pour actionner la glissière 292 de manire fermer les rabatteurs, il est prévu une tige 304 (fig. 5) dont l'extré- mité antérieure, moins grosse, est fixée à ladite glissière et sur laquelle s'enfile un manchon 306 muni d'écrous 308 contre lesquels accote une rondelle 310. Sur cette rondelle appuie l'extrémité antérieure de deux ressorts, 312 et 314, le ressort 314 est plus puissant que l'autre, tandis que leurs extrémités postérieures appuient respectivement contre des bagues 316 et 318. Dans la bague 316 sont implantées trois chevilles 320 (fig. 6) et dans la bague 318 trois autres chevilles, 322, toutes ces chevilles se dirigeant vers l'arrière pour se loger dans des trous percés à l'arrière du manchon 306 dans une joue 324 venue de fonte avec ce manchon.
Les chevilles 32o sont disposées de manière à se trouver en regard de trous 326 percés dans un disque 328 quand ce disque a été ajusté dans une certaine position par rapport au manchon 306, les chevilles 322 étant disposées aussi de manire se trouver en regard de trous 330 percés dans le même disque quand ce dernier a été ajusté
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dans une autre position par rapport audit manchon. Quand les pièces occupent une troisième position d'ajustage, les chevilles ne se trouvent plus en regard des trous du disque. L'avancement du disque 328 fera donc actionner la glissière de fermeture des rabatteurs par l'un ou l'autre des ressorts 312 et 314, ou par ces deux ressorts à la fois, suivant l'ajustage préalable des pièces.
Le disque 328 est capable de glisser sur un manchon 332 enfilé sur le bout arrière de la tige 304, et il est accouplé par des broches 334 (fig. 6) à une paire de bielles 336 (fig. 4) articulées par devant à l'extrémité supérieure bifurquée de la branche montante 338 d'un levier coudé 340 qui pivote sur des oreilles 342 descendant de la monture 158 des supports des rabatteurs. Une bielle réglable 346 raccorde la branche en saillie postérieure 344 du levier coudé un bras 348 calé sur un arbre 350 monté . bascule dans les deux croisillons 84. Sur ce même arbre est calé aussi un bras 352 au bas duquel est adapté un galet 354 courant dans une piste de came 356 formée dans un côté de la roue d'engrenage 194.
On voit donc que la mise en jeu du levier coudé 340 entraîne le disque 328 vers l'avant et imprime à la glissière 292, par l'entremise de l'un ou l'autre des ressorts 312 et 314, ou des deux, un mouvement qui lui fait fermer les rabatteurs, ledit ou lesdits ressorts pouvant obéir durant la dernière phase du travail de repliage après que les ressorts 298 ont cessé de se comprimer. La bielle 346 est formée de deux courtes tiges jointes ensemble par un tourniquet 358 qui peut servir à rapprocher ou écarter les rabatteurs plus ou moins l'un de l'autre en faisant osciller les supports 150 des rabatteurs.
Pour aider à supporter la tige de commande 304 de la glissière @ ferme-rabatteurs et les pièces montées sur cette tige, les broches 334 raccordant les bielles 336 au disque 328 portent des galets 360 mobiles dans des coulisseaux362 (fig. 4) formés dans la monture 158 des porte-rabatteurs. Le disque 328 ne peut
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donc point tourner, et l'ajustage effectuer, pour faire agir le ressort 312 ou 314, ou les deux, durant la fermeture des rabatteurs, consiste tourner le manchon 306, et les pièces montées dessus, de façon à changer la position des chevilles 320 et 322 par rapport aux trous du disque. Dans ce but, l'extrémité postérieure du manchon 306 porte deux oreilles 364 (fig. 5) qui pénètrent dans des évidements du manchon 332 pour enclencher ces deux manchons l'un à l'autre.
De plus, avec le manchon 332 fait corps un secteur denté 366 qui est en prise avec une crémaillère 368 (fig. 6) calée sur une tige 370 montée à glissement dans la monture 158 des porte-rabatteurs. Le manchon 332 est retenu sur la tige 304 par une vis 372 et par une rondelle 374. Pour actionner la tige 370, dans des paliers formés dans les parties avant et arrière du bâti est monté à bascule un arbre 376 muni, par devant, d'une manivelle 378 (fig. 1, 2) et, prés de son extrémité postérieure, d'un bras pendant 380 (fig. 4, 6) calé dessus, ce bras portant une broche 382 qui engrène dans une coulisse 384 ménagée dans un bras 386 sur un bout de la tige 370. Une autre broche, 388, implantée dans le moyeu du bras 386, peut glisser dans un trou percé dans la monture 158 du porte-rabatteur pour bloquer la rotation de la tige 370.
On voit donc que l'ajustage du manchon 306 dans le but susindiqué est effectué au moyen de la manivelle 378 à l'avant de la machine. Cette manivelle porte une goupille à ressort 390 (fig. 1) munie d'une poignée de manoeuvre 392 et faite pour entrer dans l'un quelconque de trois trous 394 percés dans le bati.
Pour exercer sur l'extrémité du bout de l'empeigne une traction qui aidera à la tendre & point sur le corps de la forme et par-dessus la semelle première, la machine possède une pince 396 (fig. 16) faite pour mordre la portion marginale de l'empeigne a l'extrémité du bout, ainsi que deux pinces 398
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faites pour mordre les côtés opposés de l'empeigne en des points situés à peu prés aux coins du bout.
Chaque pince latérale (fig. 17) comporte une boite 400 supportée de la manière expliquée ci-après et partagée en deux au bas afin de pouvoir monter dans l'interstice une mâchoire 402 solidaire de la botte et une mâchoire 404 y articulée en 406, un bras 408 remontant de cette dernière mâchoire étant raccordé par une bielle 410 à une extrémité d'un levier 412 de formé à peu près semi-circulaire, lequel pivote à sa mi-longueur sur une broche 414 implantée dans la boite. L'autre extrémité du levier 412 est raccordée à son tour par une bielle 216 à une tige de fermeture sur le haut'de laquelle est monté à glissement un piston 420. Ce piston porte une broche 422 qui engrène dans des coulisses 424 ménagées dans là tige 418, de chaque côté d'une perforation 426 au centre de ladite tige.
La broche 422 est tenue amoviblement en place par un déclic 428 qui est monté à glissement dans la perforation 426 et porte une tête arrondie logée dans une gorge annulaire (non représentée) de la broche. En dessous du déclic est monte* aussi, dans la perforation 426, un ressort 430 comparativement léger qui tend à pousser le déclic en haut. Dans la boite 400 est monté, en contre-bas du piston 420, un ressort de plus fort calibre 432, ce ressort faisant osciller la mâchoire 404, quand il le peut, pour l'amener serrer l'empeigne contre la mâchoire 402 en imprimant au piston 420 et à la tige 418 un mouvement ascendant dans la boîte 400, la broche 422 s'engageant sur la tige 418 au sommet des coulisses 424.
Durant cette opération, le pincement de l'empeigne est intensifié par l'action des pièces raccordant la tige 418 à la mâchoire 404, un bras du levier 412 et la bielle 410 agissant en effet ici comme les branches d'un coude pliant.
Les mâchoires sont munies de dents pour empêcher l'empeigne de glisser entre elles, et elles sont rouvertes par une pression
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de la broche 422 et du ressort 430 sur l'extrémité supérieure du piston 420, le ressort 430 pouvant obéir pour laisser descendre le piston par rapport à la tige 418 quand les mâchoires ont fini de s'ouvrir.
La pince agissant sur l'extrémité du bout est construite à peu de chose près comme chacune des pinces latérales, sauf que ses mâchoires 434 et 436 (fig. 18) sont formées et agencées de manire ce que le vide laissé entre elles par leur ouverture est virtuellement horizontal afin de pouvoir y introduire aisément la partie marginale de l'empeigne, tandis que l'ouverture des mâchoires des pinces latérales laisse entre elles un vide virtuellement vertical. La mâchoire 434 est montée fixe sur une boite 438 laquelle la mâchoire 436 est articulée, cette dernière étant munie d'un bras 440 disposé angulairement par rapport à sa partie pince-empeigne et raccordé par une bielle 442 à un levier 444 qui pivote sur la boîte et correspond au levier 412 de chaque pince latérale.
Le levier 444 est raccordé à son tour par une bielle 446 une tige ferme-mâchoire 448 sur l'extrémité supérieure de laquelle il y a un piston 450 (fig. 16), pareil au piston 420 de chacune des pinces latérales. Il est entendu que la pince de bout renferme aussi un ressort ferme-mâchoire pareil au ressort 432 de chaque pince latérale, et un ressort de faible calibre correspondant au ressort 430, aussi bien que des pièces pareilles aux pièces 422 et 428 des pinces latérales.
L'ouverture des trois pinces est effectuée au moyen d'une plaque 452 appuyant sur le sommet des pistons 420 et.450. Dans cette plaque sont implantées deux broches 454 (fig. 14, 15) qui l'articulent à des bras 456 solidaires d'une barre 458 pivotant sur des oreilles 460 formées sur une plaque 462 assujettie au cadre 24. La plaque 452 est tenue constamment dans une position quasi horizontale par un bras pendant 464 formant corps avec une des broches 454, et par une bielle 466 articulée au bas de ce bras
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et faite pour tourner autour d'une broche 468 (fig. 15) implantée dans une oreille 470 sur la plaque 462, la bielle 466 étant parallèle au bras porte-plaque 456 en dessus d'elle.
D'autre part, avec la barre 458,fait corps un bras 472 qu' une bielle 474 (fig. 3, 14) accouple à un bras d'un levier 476 mobile autour de l'arbre 350 et portant un galet 480 (fig. 26) sur lequel s'engage une came périphérique 482 formée sur un disque 484 calé sur l'arbre porte-came 92. Il est entendu que cette came agit de façon à baisser la plaque 452 pour ouvrir les mâchoires des diverses pinces et que, quand elle permet à la plaque de monter, les mâchoires sont fermées par les ressorts logés dans les boites des pinces.
Un ressort 485 (fig. 3), attaché au levier 476, tient le galet 480 constamment contre la came 482 et sert à lever la plaque 452 quand la came lui permet de ce faire, la plaque étant levée assez haut pour rester écartée des pistons 420 et 450, même lorsque les pinces ont atteint la limite de leurs mouvements d'étirage.
La boite 438 de la pince de bout est montée dans une bride fendue 486 (fig. 14,15) qui est serrée autour'de ladite boite au moyen,d'une vis 488 et qui pivote sur l'extrémité antérieure bifurquée d'un bras de levier 490 formant corps avec une barre horizontale 492. Un bout de la barre 492 est calé sur la broche 468 susmentionnée qui est montée folle dans l'oreille 470 de la plaque 462, tandis que l'autre bout de ladite barre est calé sur une broche 494 montée folle dans une oreille 496 formée également sur la plaque 462. wec la barre 492 fait corps un bras 498 qui empiète par devant sur le bras postérieur d'un levier 500 (fig. 15,16) articulé en un point de sa longueur sur une broche 02 implantée dans la pièce en fonte 24.
Une bielle 504 relie le devant du levier 500 à un bras de levier 506 (fig. 2) calé sur un arbre 508 monté à bascule dans les croisillons 84. En outre, sur ce même arbre est calé un bras 510
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(fig. 3) qu'une bielle 512 raccorde . un bras 514 qui fait partie intégrante du levier à came 186 servant à imprimer un mouvement d'étirage en hauteur aux rabatteurs. Ce mouvement est imprimé aux rabatteurs par l'oscillation du levier 186 dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 3), et l'on verra que ce mouvement fait descendre la bielle 504 pour faire osciller le levier 500 (fig. 16) en sens inverse des aiguilles d'une montre et lever de ce fait le bras 498 afin d'amener la pince de bout 396 à étirer l'empeigne en hauteur de la forme pendant qu'elle est refoulée en hauteur par les rabatteurs.
Au brassupport 490 de la pince de bout est articulée une bielle 516 (fig. 15, 16) qui s'articule par le haut à l'extrémité inférieure d'une tige 518 à mouvement vertical. Sur cette tige peut tourner un manchon 520 dont l'extérieur fileté se taraude dans la pièce 24 et qui porte une tête molettée 522 servant à le tourner, cette tête supportant la tige 518 et l'empeigne en s'engageant sur un écrou 523 au sommet de la tige. On voit donc que, en tournant le manchon 520, la tige 518 et la bielle 516 peuvent être levées ou baissées pour ajuster la pince de bout comme il faut en hauteur de la forme, attendu que cet ajustage rapproche ou écarte le bras 498 de l'extrémité inférieure du levier 500 commandant ledit bras.
Chacune des boites des pinces latérales 400 est fixée solidement dans un étrier 524 (fig. 14,15) dont les branches supérieure et inférieure sont munies des ouvertures où se loge la boite et entre lesquelles est monté un manchon 526 enveloppant la boite, une queue 528 venue de fonte avec ce manchon s'enfilant dans une ouverture de l'étrier 524 et dans un manchon 530 monté dans un coussinet 532. Sur le bout de la queue 528 se visse un écrou 534 qui serre le manchon 530 contre l'étrier 524 et qui, par l'entremise de la queue 528 et du manchon 526, serre en même temps la boite à pince 400 fermement contre les
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branches de l'étrier. L'étrier 524 et le manchon 526 font donc ici l'office d'un support pour la pince, ce support reposant sur la pièce 532.
Dans une partie presque cylindrique de cette pièce est fixée, au moyen d'une goupille 536 (fig. 15), une tige 538 dont les extrémités supérieure et inférieure coulissent respectivement dans des oreilles 540 et 542 (fig. 14,15) formées sur une.console 544 montée, comme expliqué ci-après, sur la pièce en fonte 24. L'extrémité inférieure de la tige 538 repose sur un bras d'un levier 546 qui est calé sur un court arbre 548 monté à bascule dans la pièce 24. Dans une oreille 550 de ce levier se taraude le haut d'une vis 552 qui est filetée dans la pièce 24 et qui porte une tête molettée 554 pour la tourner.
La rotation de cette vis permet donc d'ajuster préalablement la pince latérale en hauteur de la chaussure, la tige 538 glissant de bas en haut ou de haut en bas dans les oreilles 540 et 542.
Pour faire étirer l'empeigne en hauteur par la pince latérale de droite, le levier 546 allant avec cette pince est mis en jeu par un collier 556 calé sur la bielle de commande 504 de la pince de bout, le collier pouvant être ajusté de façon à déterminer le moment où il s'engagera sur le levier 546 pour le mettre en jeu durant la descente de la bielle. Le levier allant avec la pince latérale de gauche est actionnée de même manière par un collier 558 fixé en position réglable sur le haut d'une bielle 560 qui descend à travers une ouverture du levier et qui est accouplée par le bas (fig. 3) à un bras 562 calé sur l'arbre à bascule 508 portant le bras de commande 506 (fig. 2) de la bielle 504.
Il est entendu que, durant l'ajustage de l'une ou l'autre des pinces latérales en hauteur de la forme, à l'aide de la vis 552, le levier 546 se rapproche ou s'écarte de son collier de commande 556 ou 558. Une vis 564 assujettit sur le devant de chaque arbre 8. bascule 548 une aiguille 556 qui se déplace sur une graduation 568 (fig. 1) de la pièce 24
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pour indiquer à l'opérateur la quantité de mouvement d'étirage imprimé chaque pince latérale. Cette aiguille est facile à ajuster par rapport a la graduation âpres avoir placé la pince à la hauteur voulue à l'aide de la vis 552, la vis 564 étant serrée ensuite pour fixer l'aiguille dans la position qui lui a été donnée.
Chaque pince latérale 398 peut se mouvoir dans un sens ou l'autre en long de la chaussure en oscillant avec l'étrier 524 autour de l'axe de la queue 528, le manchon 530 tournant avec cette dernière dans la pièce 532. Un piston à ressort 570 (fig.15) logé dans l'étrier 524 et appuyant contre cette partie-là de la pièce 532 qui entoure la tige 538, tend à faire osciller la pince de façon a entrainer ses mâchoires vers l'arrière de la chaussure.
Pour déterminer la position initiale de la pince, avec ce piston coopère uns tige 572 (fig. 16,20) qui se visse dans un bras 574 solidaire de la pièce 532 et portant une broche ressort, 576, dont le haut s'engage sur un bras 578 (fig. 15) solidaire de l'étrier 524. La broche 576, montée glissement dans la tige 572 (fig. 20), appuie contre une broche transversale 580 traversant des coulisses ménagées dans la tige et reposant sur une rondelle 582. Entre cette rondelle et un écrou 584, vissé sur la tige, est interposé un ressort 586 qui est plus puissant que le ressort de commande du piston 570. La tige 572 porte une tête molettée 588 qui permet de la tourner et il est évident que cette rotation de la tige placera la pince latérale dans la position voulue en long de la chaussure.
En outre, la broche 576 et le ressort 586 permettent à la pince latérale de basculer élastiquement vers l'arrière sous l'effort de traction...exercé dessus par l'empeigne lorsque celle-ci est repliée vers l'intérieur par-dessus la semelle première par les rabatteurs, le débordant de l'empeigne pouvant ainsi prendre plus aisément la position déterminée par les rabatteurs sans se tuyauter
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par trop entre la pince latérale et la pince de bout.
Avec chaque console 544, par rapport à laquelle la pince latérale correspondante peut se mouvoir en hauteur de la forme de la façon expliquée plus haut, fait corps une tige 590 (fig.
15) capable de tourner dans la pièce en fonte 24 et retenue en place par une rondelle 592 et par une vis 594 taraudée dans ladite tige. En faisant basculer la console autour de l'axe de la tige en question, la pince latérale peut être ajustée en large de la chaussure, les deux tiges s'étendant en long de la chaussure, et inclinant l'une par rapport l'autre de façon à décrire un angle correspondant virtuellement à celui que font entre elles les faces opposées de l'extrémité du bout de la forme.
Pour effectuer l'ajustage, chaque console 544 est munie d'un bras 596 qu'une bielle 598 relie au bas d'une tige 600 (fig. 14) sur laquelle est monté fou un manchon 602 vissé dans la pièce en fonte 24, ce manchon portant une tête molettée 604 qui permet de le tourner pour placer la pince plus ou moins en dedans ou plus ou moins en dehors pour l'adapter à la pointure particulière de la chaussure en oeuvre. Sur le haut de chaque tige 600 est monté un écrou 605 qui s'engage sur la tête 604 pour supporter la tige.
Outre les mouvements susdéorits, la pince de bout 396 est capable de basculer en long de la chaussure autour d'un axe horizontal sis aux points d'articulation de la bride 486 et du bras porte-place 490, et les pinces latérales 398 sont capables aussi de basculer autour d'axes verticaux coïncidant avec les axes des tiges 538, ces dernières tournant dans les oreilles 540 et 542. Ainsi qu'il est montré fig. 18, une bielle 606 accouple la boite 438 de la pince de bout au bas d'un levier 608 qui est monté en un point de sa longueur sur un arbre bascule 610 tourillonné dans la pièce en fonte 24.
Le levier 608 n'est pas solidaire de l'arbre, mais il y est
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raccordé par un dispositif friction qui lui permet de tourner à certains moments par rapport au levier. Ce dispositif à friction comporte d'une part un anneau 612 fixé l'arbre par une goupille 614 afin de pouvoir tourner avec lui et, d'autre part, une bride dont les moitiés supérieure et inférieure, 616 et 618, embrassant l'anneau 612 sont reliées ensemble, d'un côté de l'arbre, par une bielle 620. De l'autre côté de l'arbre, un levier 622 pivote sur la moitié supérieure 616 de la bride et une bielle 624 accouple sa partie milieu à la moitié inférieure 618 de la bride.
A l'extrémité arrière du levier 622 est attachée un ressort 626 dont l'extrémité supérieure (fig. 14, 15) est attachée à son tour à un mentonnet 628 implanté dans la branche presque horizontale d'un levier coudé 630 articulé à une broche 632 sur la plaque 462 susmentionnée. Avec la moitié supérieure 616 de la bride du dispositif à friction fait corps un bras 634 raccordé à l'extrémité supérieure du levier 608 par une tige 636 qui est montée folle dans un bloc 638 articulé sur le levier 608 et qui se visse dans un bloc 640 pivotant sur le bras 634. Ladite tige porte un volant 642 qui permet de la tourner pour faire basculer le levier 608 autour de l'arbre 610 par rapport au bras 634 de la bride du dispositif friction afin d'ajuster la pince de bout dans un sens et l'autre en long de la chaussure.
Il va de soi que le ressort 626 tend a serrer la bride 616-618 autour de l'anneau 612, aussi bien qu'à tourner ladite bride en sens inverse des aiguilles d'une montre (fig. 18) pour faire basculer la pince de bout vers l'arriére en long de la chaussure. La goupille 614 engrené dans une coulisse 644 formée dans la moitié inférieure 618 de la pince et, quand les pièces accusent les positions illustrées fig. 18, elle empêche la pince de tourner sous l'action du ressort 626 et détermine par suite la position initiale de la
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pince de bout en long de la chaussure.
On verra plus loin .que, à une certaine période du cycle opératoire de la machine, l'arbre 610 tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre, ce qui non seulement permet au ressort d'imprimer & la pince de bout un mouvement étire-empeigne en long de la chaussure en faisant .¯tourner la bride du dispositif! friction, mais rend cet étirage plus énergique par suite du frottement de l'anneau 612 sur la bride cependant que l'arbre tourne par rapport !celle-ci. On verra aussi que, ! une période ultérieure du cycle opératoire, l'arbre 610 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre et que l'action de l'anneau 612 sur la bride enlevé alors au ressort 626 une partie de sa puissance, en sorte que la pince ne tire pas sur l'empeigne aussi fort qu'elle le ferait sous l'action dudit ressort.
Pour faire basculer les pinces latérales autour des axes des tiges 538 et pour régler ces mouvements de bascule, il est prévu des mécanismes virtuellement pareils à ceux servant ici à actionner et régler les mouvements de la pince de bout. De la pièce 532 allant avec chaque pince latérale se projette latéralement un bras 646 (fig. 15) assemblé par un joint rotule 648 à une bielle 650 qu'un joint! rotule 652 assemble par derrière (voir fig. 19) à un bras 654 formant corps avec la moitié supérieure 656 d'une bride fendue dont la moitié inférieure 658 est accouplée! la moitié supérieure par une bielle 660. Cette bride embrasse un anneau de friction 662 retenu sur l'arbre 610 par une goupille 664 qui engrené dans une coulisse 666 formée dans la moitié inférieure de la bride.
Les deux moitiés de celle-ci sont jointes ensemble par un levier 668 et une bielle 670, tandis que l'extrémité arrière dudit levier est attachée un ressort 672 dont le haut (fig. 14,15) est attaché! son tour! une broche 674 assujettie à la branche presque horizontale d'un levier coudé 676
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pivotant sur une broche 677 sur la plaque 462. On voit donc que lorsque l'arbre 610 tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre tel que susdit, cela permet aux deux pinces latérales de s'écarter l'une de l'autre en oscillant vers l'extérieur autour des axes des tiges 538 sous l'action des ressorts 672, le frottement intensifiant aussi l'action de ces ressorts sur les pinces. D'autre part, lorsque l'arbre tourne plus tard en sens inverse, le frottement diminue et les ressorts ne poussent pas les pinces aussi vigoureusement vers l'extérieur.
Il ressortclairement de fig. 15 que, en oscillant vers l'extérieur, chaque pince latérale se meut tant en long qu'en large de la chaussure.
Des leviers coudés 630 et 676 descendent des bras qui sont tous articulés à une traverse 678, et l'un des leviers 676 porte un bras 680 qui permet de mouvoir les trois leviers coudés la fois pour augmenter ou diminuer la compression des ressorts 626 et 672 afin de les faire agir plus ou moins vigoureusement sur les diverses pinces durant l'étirage de l'empeigne vers l'extérieur. Dans le bras 680 est montée une broche à ressort 682 (fig. 14,16) qui est munie d'un bouton de manoeuvre 684 (fig. 15) sur son bout externe et qui est faite pour se loger dans l'un quelconque de plusieurs trous 686, percés dans la plaque 462, pour tenir ledit bras dans la position où il est ajusté.
Pour tourner l'arbre 610, il est prévu un bras 688 (fig. 16) assujetti audit arbre et accouplé par une bielle 690 à une branche d'un levier coudé 692 (fig. 2) qui pivote sur l'arbre 350, l'autre branche de ce levier coudé portant un galet 694 sur lequel appuie la périphérie d'une came 696 calée sur l'arbre 92. Le galet est maintenu constamment en contact avec la came par un ressort 698 attaché sur le levier coudé. Il est entendu que la came fait tourner l'arbre 610
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dans le sens des aiguilles d'une montre (fig. 16), et que le ressort le fait tourner en sens inverse quand la came lui permet de ce faire. C'est donc la came 696 qui imprime aux pinces leurs mouvements d'écartement.
Il a été dit que la bande embrasse-contrefort 114 repose sur des tiges 128 mobiles dans le bâti et jointes ensemble par l'étrier 146 (fig. 21). Or, les tiges 128 sont mues vers l'arrière, pour serrer ladite bande contre la chaussure, par un mécanisme à ressort, lequel est commandé par la bielle 474 (fig. 3) formant partie du mécanisme servant à ouvrir les mâchoires des pinces et à provoquer leur fermeture. En se reportant à fig. 2 et 21, on verra qu'une bielle 700 accouple l'une des tiges 128 un bras de levier 702 porté par un arbre 704 monté à bascule dans des oreilles 706 du bâti.
Ledit bras de levier n'est pas solidaire de l'arbre 704, mais ce dernier le fait osciller tout de même dans le sens qu'il faut pour imprimer un mouvement rétrograde aux tiges 128 parce qu'une cheville 708, implantée dans ledit arbre, est logée dans une fente 710 pratiquée dans le moyeu du bras. L'arbre 704 bascule, pour faire osciller le bras 702, sous l'impulsion d'un ressort 712 (fig. 3) attaché par un bout à un mentonnet implanté dans un des croisillons 84 et, par l'autre bout, à un bras 714 sur l'arbre. Afin de pouvoir replacer la bande embrasse-contrefort en position inactive, le bras 714 est relié par une bielle 716 à une branche d'un levier coudé 718 pivotant sur le bâti, l'autre branche de ce levier coudé portant un galet 720 sur lequel peut s'engager une oreille 722 de la bielle 474.
Il est entendu que cette bielle est exhaussée pour opérer la fermeture des mâchoires des pinces,. , @ l'oreille 722 s'écartant alors du galet 720 afin de permettre au ressort 712 de serrer la bande 114 contre la chaussure. Quand la bielle descend vers la fin du cycle
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d'opérations, l'action de l'oreille 722 sur le galet 720 replace ladite bande en position inactive. Pour éviter de blesser l'opérateur au cas où il se tiendrait trop prés de la machine durant le recul de la bande, sur l'arbre à bascule 704 s'enroule un ressort de torsion 724 (fig. 21) qui est attaché par un bout à un collier 726 calé sur ledit arbre et, par l'autre bout, au moyeu du bras 702, ce ressort fournissant un raccord élastique contre l'arbre et le bras.
Pour tenir la bande embrasse-contrefort fermement serrée contre la chaussure durant le montage, il est prévu un cliquet 728 (fig. 3) fait pour entrer en prise avec une plaque rochet 730 calée sur l'étrier 146. Le cliquet est articulé dans une bifurcation d'un support 732 qui fait partie d'un manchon 734 (fig. 21) monté fou sur une tige 736 implantée dans le bâti.
Sur le porte-cliquet est monté un ressort 738 qui tend faire descendre le cliquet relativement à son support pour le rapprocher des dents rochet, un tel mouvement du cliquet étant limité au début par sa rencontre avec une portion du portecliquet (voir fig. 3). Le cliquet est amené en prise avec les dents rochet en tournant le porte-cliquet, ce que fait un ressort 740 qui est tenu comprimé entre un bras 742 (sur un des croisillons 84) et des écrous 744 qui se vissent sur une tige 746 enfilée dans ledit ressort et raccordée par le haut à un bras 748 formant corps avec le manchon 734.
Pour faire sortir le cliquet des dents rochet vers la fin du cycle d'opérations, le porte-cliquet 732 est accouplé par une bielle 750 (fig. 3 ,5) à un bras 752 solidaire du levier came 186 servant à imprimer aux rabatteurs le mouvement qui leur fait refouler le bout de l'empeigne en hauteur de la forme. Afin de permettre au ressort 740 d'amener le cliquet en prise avec les dents à rochet, la bielle 750 est munie d'une coulisse 754 dans laquelle engrené une broche 756 implantée dans le bras 752. Il est entendu
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que, durant la montée des rabatteurs, cette broche se meut vers la droite (fig. 5) pour abandonner le porte-cliquet 732 à l'action du ressort 740.
Le fil de fer servant à tenir le bout de l'empeigne dans la position où il est tendu & point sur la forme est enroulé sur un dévidoir 758 (fig. 1) qui est monté sur une console 760 fixée au côté dessous d'une petite table 762 assujettie à la droite du bâti de la machine. Comme expliqué plus au long ciaprès, quand le temps est venu de faufiler le bout, l'opérateur commence par attacher l'extrémité du fil une semence implantée à gauche dans le dessous de la chaussure; puis, après avoir passé le fil autour dudit bout, il l'enroule autour d'une semence du côté opposé et le coupe au ras de cette semence.
En vue de faciliter l'accrochage du faufil à la semence de gauche, la machine est munie du dispositif automatique illustré fig.24 et 27, lequel est étudié pour former dans l'extrémité du fil une boucle que l'opérateur enfile sur ladite semence. Ce dispositif comporte une broche 764 remontant d'un bloc 766 monté fixe sur le haut d'un bras 768 inclinant de bas en haut et muni d'un moyeu 770 mobile autour de la tige-support 38 de l'appui bout 36. Une pièce en forme de fer à cheval 772, assujettie au sommet du bâti, présente un rebord qui pénètre dans une rainure 774 du moyeu 770 afin d'empêcher le bras 768 de remonter, tout en lui permettant d'osciller autour de la tige 38.
Une cheville 776, sertie dans le moyeu 770 et logée dans une coulisse hélicoïdale-778 formée dans la tige-support 38, imprime au bras 768 un mouvement qui lui fait décrire un arc d'environ 180 depuis un point sis la droite de ladite tige jusqu'en pn point sis la gauche d'icelle lorsqu'elle est levée pour serrer 1'appuie-bout contre la chaussure. Avant la mise en marche de la machine, l'opérateur fait accoter le fil contre la face postérieure de la broche 764, puis il en introduit
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l'extrémité dans une coulisse en saillie antérieure 780 formée dans le bloc 766 auprès de ladite broche, l'extrémité du fil étant retenue dans cette coulisse par une arête 782 du bloc.
Il résulte de cette disposition que l'oscillation ultérieure du bras 768 entraine le bloc 766 d'un côté à l'autre de la tige- /'faire support 38 de l'appui -bout en lui faisant/un arc, ce qui a pour effet de plier l'extrémité du fil autour de la broche 764 pour y former une boucle, la portion du fil venant du dévidoir s'étendant en travers de celle logée dans la coulisse 780 (voir fig. 27).
Quand l'opérateur est prêt t'accrocher le fil à la semence implan- tée dans le côté gauche de la chaussure, il fait glisser l'extrémité du fil de bas en haut de la coulisse 780 pour l'en retirer, puis il la plie par-dessous la portion de fil en dessus d'elle et, enfin, il décroche de la broche 764 la boucle y formée et l'enfile sur la semence chassée dans la chaussure. Cela dispense l'opérateur d'enrouler l'extrémité du fil autour de cette semence.
La roue d'engrenage 194 est commandée par une vis sans fin 784 (fig. 2, 25) calé sur un arbre 786 qui est tourillonné dans une console 788 montée sur l'un des croisillons 84, et qui appuie à l'arrière sur un roulement à billes 790 logé dans une console 792 solidaire du bâti. Sur l'arbre 786 est claveté un manchon 794 portant un tambour d'embrayage 796 qu'une courroie 798 fait tourner continuellement sous l'impulsion d'un moteur électrique 800 installé au sommet de la machine.
Le tambour 796 est muni d'une face 802 faite pour venir en contact avec un anneau friction 804 calé sur un organe d'embrayage coactif 806 qui peut glisser le long de l'arbre 786, mais qui est accouplé à ce dernier, pour tourner avec lui, par deux fiches 808 serties dans l'organe 806 et capables de glisser dans des ouvertures ménagées dans une pièce 810 fixée à l'arbre au moyen d'une goupille 812. Un ressort 814, logé dans une gorge annulaire de l'organe d'embrayage 806 et appuyant contre la pièce 810, tend à amener l'organe 806
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en un point où il sera entraîné par le manchon 796.
L'organe 806 est commandé par un étrier 816 dont une branche est solidaire d'un court arbre rotatif 818 (fig. 2) monté dans une oreille du bâti, et dont l'autre branche est calée sur un arbre 820 (fig. 25, 26) tournant dans un autre support sur le bâti.
Au bas des branches de l'étrier 816 sont articulés deux sabots de frein 822 logés dans une rainure 824 de l'organe d'embrayage 806. L'arbre 820 porte un bras 826 (fig. 26) muni d'un loquet 828 sous lequel s'engage normalement un épaulement 830, formé sur un bloc 832, pour tenir l'étrier 816 en position telle que l'organe 806 reste découplé du tambour d'embrayage 796. Le bloc 832 est assujetti à un levier 834 au moyen d'une vis 836 qui traverse une coulisse 838 ménagée dans ledit levier, ledit bloc pouvant être ajusté à une hauteur déterminée par une vis 840 appuyant contre le dessous de la vis 836. Le haut du levier 834 pivote sur une branche d'un levier coudé 842 qui pivote à son tour en 844 sur une oreille du bâti, l'autre branche de ce levier coudé portant un galet 846 qui court dans une piste 848 formée dans un côté de la came 484 susmentionnée.
Un ressort 850 tend à faire basculer le levier 834 vers l'arrière pour tenir l'épaulement 830 sous le loquet 828. Le bas du levier 834 traverse une coulisse formée dans une barre presque horizontale 852 (fig. 2) et, en dessous de cette barre, il porte un mentonnet 854 fait pour rencontrer un épaulement 856 de celle-là. La barre 852 est articulée par devant à un bras montant 858 calé sur un arbre à bascule 860 monté dans le bâti, un ressort 862 attaché à ce bras tendant à le faire basculer vers l'arrière pour tenir l'extrémité postérieure de la barre 852 contre la tête d'une vis 864 qui se taraude dans le bâti et qui peut être réglée de façon déterminer la position normale de la barre.
L'extrémité postérieure de celle-ci repose sur le haut d'une vis 866, qui est montée en position réglable dans une oreille du bâti, et ladite extrémité
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est tirée en bas contre cette vis par un ressort 868.
Enfin, sur l'a.rbre a bascule 860 est calée une pédale 870. On voit donc que la descente de la pédale fait avancer la barre 852 qui agit alors sur le mentonnet 854 de façon à tourner le levier 834 vers l'avant pour dégager du loquet 828 le bloc 832. Cela. permet au ressort 814 de pousser l'organe d'embrayage 806 Jusqu'au point ou il sera entraîne par le tambour 796.
Pour mettre après cela la machine au repos, le levier 834 est baissé par l'action de la piste de came 848 sur le levier coude 842 afin de placer de nJuveau l'épaulement 830 du bloc 832 sous le loquet 828, après quoi ledit levier est levé pour faire basculer l'étrier 816 de manière à découpler les organes d'embrayage l'un de l'autre, l'opérateur ayant laisse aller la pédale 870. On verra que la piste de came 848 est ainsi étudiée que la machine effectue deux arrêts avant d'être mise finalement au repos après l'exécution de son travail sur chaque chaussure.
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Mode d'emploi de la machine.- Après avoir pré- 2 senté une chaussure à la plaque%de manière à placer la semelle première de cette chaussure dans la position qu'il faut par rapport à ladite plaque, l'opérateur introduit dans les mâchoires ouvertes de la pince de bout et des pinces latérales le débordant de l'empeigne a l'extrémité avant. La chaussure est supposée avoir déjà été tirée en longueur et montée en position définitive sur la forme à l'endroit des flancs. Avant de placer une telle chaussure dans la position susdite dans la machine, l'opérateur arrache la semence d'arrêt chassée dans l'extrémité du bout de l'empeigne durant le montage préliminaire, ainsi que les deux semences latérales les plus proches d'elle.
Une fois la chaussure en bonne place, l'opérateur met la machine en marche en appuyant sur la pédale 870. En se reportant au diagramme de fig.33, ligne D, on verra que des que l'arbre des cames commence de tourner sous l'impulsion du moteur 800, 1'appuie-bout 36 monte pour serrer la chaussure contre la plaque 2, et que durant cette montée le bras 768 bascule vers l'arrire et vers la gauche autour de la tige-support 38 de l'appui@-bout pour former une boucle dans l'extrémité du fil w, comme expliqué plus haut, et pour amener cette boucle en un point où elle pourra être enlevée aisément du bras 768 par l'opérateur.
Afin de faciliter l'introduction de la portion marginale de l'empeigne dans les mâchoires de la pince de bout, cette pince est placée tout d'abord un peu plus en arrière de la plaque 2 qu'elle doit l'être quand ladite portion marginale est mordue par ladite pince. Cette dernière effectue en conséquence un faible mouvement de bascule vers l'avant ou vers l'intérieur sous l'action de la came 696 (fig. 2) lorsque la machine démarre, comme indiqué par la ligne F du diagramme, les deux pinces latérales effectuant incidemment un mouvement de basculecorrespondant parce qu'elles sont commandées par la
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bout pour 1;,8 pi,±pare=. à le refoulc-r en hauteur, la fermeture des rabatteurs ::'Ul.t retardée jusque vers la fin de leur avancement puur p6clier 1>=.i:Ts é5 to;,".::: actifs de frotter prejudiciablement .ur 1: :6tss du bout de l'empeigne.
Ces mouvements des rabatteurs i;r fcnt us 1s s n:-.ttr-3 ru ét5.t de bien refouler l'empeigne en :¯.:;.t,: . TI ' piu= , bien .' - la came, 1SO ,,, . , 3), qui fait osciller lt¯.....,7¯tttl:'¯ jp perte-rabatteur vers le haut, serve aussi à exhaus- : -1..'::.. rabatteurs, ce -ilouvement a elors peu ou point d'effet sur 1'.? 1.)::..:..-.(..::: parce que le 1:iiriz:r 560 est espace du bras 498 au '::'-,-, (vcir rir- 1C ) et l(;;.:; le:-1<;:>;: 5#6 espac61 aussi des colliers r' .
V5± (,'l-J..:;.' fi.';:'. 14). ,uand les pincss ont presque fini de basculer vers 1'extérieur, la monture 158 des porte-rabatteur bacoule de façon à faire refouler l'empeigne en hauteur par les
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rabatteurs et à amener ceux-ci en un point où ils pourront replier la portion marginale de l'empeigne vers l'intérieur pardessus la semelle première (voir fig. 29), les diverses pinces étant levées en même temps pour leur faire étirer l'empeigne en hauteur de la forme. Durant cet étirage, le cliquet 728 (fig. 3) tient la bande embrasse-contrefort serrée contre la chaussure.
Les rabatteurs sont avancés ensuite plus'loin, puis fermes pour leur faire refouler l'empeigne vers l'intérieur par-dessus le bord aminci de la semelle première et jusque contre la lèvre de celleci dont le côté dedans accote sur la plaque 2 pour combattre la pression des rabatteurs. Durant cette action des rabatteu=s, la pince de bout et les pinces latérales sont mues en sens inverse , autrement dit vers l'intérieur, par l'effort de traction exercé sur elles par la portion marginale de l'empeigne, cet effort de traction étant cependant diminué en faisant tourner en sens inverse l'arbre 610 et ses anneaux de friction 612,662 qui enlèvent aux ressorts'd'écartement des pinces, une partie de leur puissance.
Il est clair maintenant que les pinces latérales oscillent ainsi vers l'intérieur autour des axes des tiges 538 dans des directions convergentes en se mouvant tant en long qu'en large de la chaussure, et qu'elles sont rendues capables d'osciller aussi vers l'arrire presque¯en long de la chaussure par l'effort de traction exercé dessus par la portion marginale de l'empeigne, à 1 encontre des ressorts 586 (fig. 20), afin de ne pas trop tuyauter ou rider ladite portion marginale, comme expliqué plus haut.
Les rabatteurs ayant presque fini de replier l'empeigne par-dessus la semelle première, les pinces, qui ont continué de tenir la portion marginale de l'empeigne sans la laisser glisser dans leurs mâchoires, s'ouvrent suffisamment pour la lâcher, l'arbre 610 ayant tourné alors autant qu'il faut pour que les chevilles 614 et 664 empêchent les pinces de basculer vers l'extérieur. Peu de temps après cela, la machine s'arrête, les
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rabatteurs ayant été préalablement exhausssés un peu pour diminuer leur pression sur l'empeigne.
Durait le premier arrêt de la machine, les pièces occupant alors les positions indiquées fig. 30, l'opérateur fait glisser l'extrémité du fil à faufiler hors de la fente 780 du bloc 766 du boudeur (fig. 24) qui se trouve maintenant à gauche de la tige-support 38 de l'appuie-bout, puis il ploie ladite extrémité sur la portion de fil en dessus d'elle, après quoi il enlevé de la broche 764 la boucle ainsi formée et l'accroche a une semence que l'opérateur peut avoir implantée à Gauche dans le dessous de la chaussure, après l'arrêt de la machine.
En tirant ensuite sur le fil de gauche droite, l'opérat@ur le pas#5: autour du bout et commence de le serrer entre les rabatteurs et l'empeigne à l'extrémité du dessous de la chaussure (fig. 30), autant que lui permet de le faire le desserrage des rabatteurs opéré avant la venue de la machine au repos. Puis, continuant de tirer ainsi sur le fil, l'opérateur remet la machine en marche. Les rabatteurs re- montent aussitôt un peu pour que le fil puisse être tiré fermement vers l'intérieur contre le bord retroussé de l'empeigne, après quoi lesdits rabatteurs sont reculés partiellement et ouverts.
Cependant que l'opérateur continue de tirer sur le 'fil, les rabatteurs sent avancés et fermés de nouveau pour serrer le fil fermement contre le bord retroussé de l'empeigne, et il @ont baissés aussi pour augmenter leur pression sur celleci, puis serrés davantage par une plus forte compression du ou des ressorts servant à serrer l'appui -bout contre la chaussure. La machine s'arrête alors une deuxième fois en laissant les rabatteurs dans les positions indiquées fig. 31 et 32, et l'opérateur enroule aussitôt le fil autour de la semence implantée a droite dans le dessous de la chaussure, puis il le coupe à cet endroit. Il remet maintenant la machine en marche
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pour ramener les pices . leurs points de départ.
Avant d'être ôtés de dessus la chaussure, les rabatteurs sont soulevés pour les desserrer de l'empeigne. Ainsi qu'il est montré fig. 5, les pistes de came 198 et 356 imprimant aux rabatteurs leurs mouvements d'avancement (ligne A du diagramme) et leurs mouve- ments de fermeture (ligne B) présentent respectivement en a et b des élargissements qui assurent alors la décompression rapide du ou des ressorts de fermeture (fig. 4) desdits rabatteurs, de même qu'une décompression rapide du ou des ressorts (fig. 8) qui se compriment durant l'avancement des rabatteurs en long de la chaussure, cette décompression desserrant ceux-là du bord retroussé de l'empeigne durant leur exhaussement.
La ligne C du diagramme de fig. 33 représente les mouvements effectués par- les pinces pendant qu'elles étirent 1'empeigne en hauteur de la forme, aussi b'ien que ceux effectués par les rabatteurs pendant qu'ils refoulent l'empeigne dans la même direction sur le bout de la forme. D'autre part, la ligne E indique les mouvements de fermeture des pinces et la ligne G, les mouvements des organes d'embrayage. Enfin, les deux lignes verticales du même diagramme indiquent les moments. où la machine effectue ses deux arrêts au cours du montage.
Apres avoir enlevé la chaussure de la machine et avant de lui en présenter une autre, l'opérateur introduit de nouveau l'extrémité libre du fil à faufiler dans le dispositif forme- boucle.
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"New machine to climb ends"
Company known as: UNITED SHOE MACHINERY COMPANY,: Belgian Public Limited Company
Priority of two patent applications filed in the United States
United States of America including an application filed on October 19
1937 in the names of: Fred Cecil EASTMAN and Arthur Frederick
PYM and the other filed on November 15, 1937 in the names of
Arthur Frederick PYM and Philip Edgar BURBY.
This invention relates to the fitting of the shoes on their manufacturing form, in particular the fitting of the toes, and it aims to provide the loom with a machine controlled by a motor and capable of performing its work quickly and always well without requiring a great effort of on the part of the operator nor in-depth knowledge of the game. Although the invention is described here in its application to the assembly of the sewn-toe, it is understood that several of the innovations which it comprises are not exclusively reserved for this use, nor for machines controlled by a motor.
An important feature of the new machine is the combination of improved reels with grippers serving to tighten the upper & point on the body of the last.
In the present assembly system, the reels are used to push the upper upwards from the tip of the last before folding it inwards over the sole sole, while the clamps are used to stretch it out first. outside by
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above the reels, then in height of the form. The various assembly operations are thus coordinated that the wrinkles appearing on the forefoot of the upper are completely erased by the external movement of the pliers without having to exert strong traction on said tip, the pliers having almost finished pulling thus on the upper before the beaters start pushing it back up to the shape, after which they stretch the upper in that direction with the beaters.
Another feature of the invention involves the use of novel means for stretching the upper outwards to the desired extent, these means consisting of three grippers made to act one on the end of the toe, and the other two on the opposite corners of this end, and controlled by springs which make them stretch the upper outwards from above the reels when they are abandoned to the action of said springs by an ad hoc mechanism, after They keep the upper stretched in that direction as the reelers fold it inward over the sole.
With the clamps go friction devices which serve first to increase the tensile force they exert on the upper under the action of their control springs, and which then make them pull less hard on it so as not to overtension it during folding. The use of such means to stretch the upper to the desired extent is not in principle dependent on the number of grippers employed, nor on the direction in which the stretching takes place.
The stretch-vamp mechanism also offers several points of novelty. Thus, each clamp is easy to adjust in height of the form because it is actuated by parts that remain.
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separated in the normal state and one of which can be moved closer to or apart from the other to effect the desired adjustment. In addition, the clamps biting the corners of the toe of the shoe are moved in height of the form, to make them stretch the upper in this direction, by their coming into contact with the bottom of rising stems located next to them but Connected thereto, said clamps also being movable around the axes of these rods in order to be able to stretch the upper outwardly across the form.
With means for making the lateral grippers oscillate around said axes, means are combined which make it possible to adjust them beforehand around axes situated lengthwise and broadly in the form, in order to prepare them to act on uppers of different sizes.
On the other hand, the side grippers are actuated so as to be able not only to move inversely inward and in converging directions during the folding of the upper over the first sole after it has been stretched towards the upper. outside from above the scrapers, but also so as to be able to be pulled towards the rear of the form and almost along it, overcoming the resistance of their control springs, by the tensile force exerted on them by the upper, the marginal part of the latter thus being able to assume the position determined by the reelers more easily without distorting the grippers.
The invention also provides means by which the grippers perform their stretching movements independently of their closing mechanism, the arrangement here being such that the jaws of each gripper are brought closer to each other, to make them bite. upper, by a spring housed therein
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and controlled by a part independent of the control of the gripper and movable so as to allow the jaws to close and then to reopen them.
Although such a gripper system would be of particular advantage in a machine having end reels like the present machine, in which one should be able to operate the grippers in different ways on the upper, as well. than to adjust them according to the nature of the assembly 8 performed, it is obvious that the innovations of which it has been spoken are applicable to other machines.
The invention also includes the use of novel means for determining the amount of pressure to be exerted on the upper during folding, as well as for adjusting the end reels. In the present machine, these are advanced along the boot by a lever whose fulcrum can overcome the tension of a spring to obey the resistance offered by the upper to the movement of the reels, the movement of said fulcrum also used to adjust the reels along the shoe.
To help hold the shoe securely in place in the machine, a flexible band is provided which is clamped by a spring against the rear face or buttress part of the boot, then automatically engaged in this position, said band being attached, by the at both ends, to elastic arms that the pressure of the shoe on it can turn towards each other around axes located along the shoe. The clamping strip is returned to the inactive position by a mechanism containing a spring which is able to compress so as not to injure the operator in the event that the strip hits him on the way back.
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Another important feature of the invention lies in the improvements made to the attachment of the tip of the vamp in the position where it is stretched to point on the last, this attachment being made with a metal wire that the operator passes. around the toe and hangs on the shoe, said thread being moreover tightened strongly against a lip or shoulder of the upper by the beaters.
In order to ward off. the relaxation of the upper and also with the aim of facilitating the basting of the toe, the machine is adjusted so that it stops when the reelers, having finished folding the upper, exert less pressure on it in height of shape, so that the operator can then start pulling the yarn .. inward, between the reels and the upper, at the front end of the underside of the shoe, while the machine is at rest .
When this is restarted, the aforesaid pressure is released further and the operator is then able to pull the thread inwards against the upturned part of the upper, the reels being pulled back a little while the operator continues to pull on the thread, after which they are pulled inward again to tighten the thread tightly against the marginal portion of the vamp, and also actuated so as to increase their pressure on the vamp in height of the form. While the thread is thus held tight by the reelers, the machine is restarted provided the operator, who has already hooked the thread to a seed implanted in one side of the underside of the shoe, can tie it to a seed implanted in the other side of the underside of the shoe.
The toe clamp continues to pull on the edge of the upper during the folding of said edge inwards by the reelers, but it releases its grip before the machine stops to allow the operator to thread the toe. and it therefore has no tendency to move the bead when pulling on the vamp after the reels have partially retreated.
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The invention also provides for the use of a new device for forming in one end of the thread to be threaded a loop which will be hooked to a seed implanted in the shoe. It will be seen that this loop-forming device is made to receive and hold one end of the thread to be threaded, and that it is moved so as to make it describe an arc of about 1800 to form a loop which is brought to a point where the operator can remove it, said device thus being actuated by the movement of a shoe rack around which it can turn.
Another feature of the invention involves the use of a new mechanism for transmitting the driving force to various parts of the machine, or for opposing a greater or lesser resistance to their training. This mechanism has two coil springs of different power, which are installed between relatively mobile parts to be compressed by the movement of one of these parts with respect to the other under the impulse of devices associated respectively with said springs, a said devices being able to be made inactive so as not to compress the spring associated therewith while the other device compresses its own.
In order to thus paralyze the action of one or other of the devices in question, each of them is provided with plugs arranged so as to be able to be introduced into holes (drilled in one of the relatively mobile parts) when these holes are opposite said pins, the relative movement of this part therefore having no effect on the associated spring 8 this device. When the dowels and the holes are not opposite, the part in which the holes are drilled will press against the dowels to compress the spring by the relative movement of the two aforementioned parts. It will be seen that this relative movement will compress the two springs together or separately depending on the position in which the parts of the mechanism have been adjusted beforehand with respect to one another.
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The other features of the invention will emerge clearly from the description which follows with reference to the attached drawing, of which
Fig. 1 is a front view and FIG. 2, a right side view of the new machine;
Fig. 3, an enlarged view showing a portion of the machine, part in profile to the right and part in section;
Fig. 4 illustrates mainly in plan the end reels and their motor and regulator mechanism;
Fig. 5 shows part in profile to the right and part in section taken by line V - V of fig. 4, the driving mechanism of the reels;
Fig. 6 is a partial view of the driving and regulating mechanism of the reels in rear elevation;
Fig. 7, a section along line VII-VII of fig. 4;
Fig. 8, a section along line VIII-VIII of fig. 4;
Fig. 9, a similar section, but on a larger scale, of a portion of the structure shown in FIG. 8;
Fig. 10, a section along the line X - X of fig. 8;
Fig. 11, a section along the line XI-XI of fig. 8;
Fig. 12, a section along line XII-XII of fig. 8;
Fig. 13, a section along line XIII-XIII of fig. 8;
Fig. 14, a partially broken view showing, from the front and on a larger scale, the clamps and portions of the motor and regulator mechanism of each of them;
Fig. 15, a partly broken view showing in plan the same parts of the machine as in FIG. 14;
Fig. 16, a section along the line XVI - XVI: of fig. 14;
Fig. 17, a vertical sectional view of one of the side clamps;
Fig. 18, a side view of a fragment of the end clamp, this view also showing in section certain parts of its regulating mechanism;
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Fig. 19 illustrates, partly in side elevation and partly in section, a portion of the regulating mechanism of one of the side clamps;
Fig. 20 illustrates, partly in section, another portion of the same mechanism;
Fig. 21 is a section following the line] = -] = of fig. 3;
Fig. 22, a section along line XXII-XXII of fig. 3;
Fig. 23, a section along line XXIII - XXIII of fig.3;
Fig. 24, a partially broken view, showing from the front the end support with which the machine is fitted, as well as the means associated therewith to form a loop in the end of the thread to be threaded;
Fig. 25, a vertical sectional view of the clutch and associated parts;
Fig. 26, a partially broken away view showing, in side elevation, a portion of the clutch control;
Fig. 27, a plan view of a portion of the loop-forming device as it appears after the formation of a loop;
Fig. 28 illustrates mainly in section the position of the end clamp and the reels with respect to the boot just before the vamp is pushed back upwards by the reels;
Fig. 29 is a view similar to a portion of FIG. 28 and indicates the positions of the pieces at the end of the repression of the upper in height;
Fig. 30, a similar view showing the positions of the parts when the machine first stops to allow the operator to thread the tip of the upper;
Fig. 31, a plan view showing the grippers and the reels in the positions they occupy after the second stop of the machine, the thread to be threaded having been fixed to the shoe;
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Fig. 32, a sectional view of the parts occupying the same positions as in FIG. 31;
Fig. 33, a diagram illustrating the correlation of the movements of the active parts of the machine.
The position that each shoe and its shape must occupy during the fitting of the toe is determined exactly by a plate 2 (fig. 1, 16) which, for the manufacture of the welt-welt, is provided as here with a descending projection 4 made to rest on the inside face of the lip of the first sole around the toe, the lower edge of this projection curving a little along the length of the shoe to lend itself to the possible bulging of the underside of the shoe at the forefoot. In order to be able to correctly place shoes varying between them in size or model, it is necessary to use different plates. This is why plate 2 is easy to remove from its support 6.
From this support descend two projections 8 which are housed in openings formed in the plate 2 which are provided with lips 10 resting from below against other lips of said plate (see FIG. 16). On the underside of the support 6 is mounted, between the latter and the plate 2, a slide 12 which a screw 14 retains on said support and which can perform a limited movement with respect to it along the boot.
This slideway is also provided with housings for the projections 8 of the pbrte-plate, as well as flanges 16 which descend therefrom, to engage on shoulders formed in the openings of the plate.
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plate 2. QR¯ns.le.4upport 6 is housed un.piston with spring 18 whose coming into contact with an ear 20 of the slide 12 tends to be able to allow the latter towards the front of the machine where the operator is stationed. The plate 2 is therefore held normally in engagement with the lips 10 of the projections 8 by the edges 16 of the
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slide 12.
Oven dismantle the plate 2, the operator moves the Slide 12 back by pushing on the lug 20, after which he can easily remove the plate from the projections 8 and put another in its place, the engagement of the new plate. 3 'operating by letting slide 12 forward again.
The support 6 is formed at the bottom of a rod 22 adjustable in height in bearings formed in a cast iron frame 24 fixed to the top of the main frame 26 of the machine. The upper part, less coarse, of the rod 22 (fig. 14) is engaged with a screw thread formed on the outside of a sleeve 28 which is provided with a flywheel 30 to turn it, and which threads in. the frame 24. A key 32 (fig. 16) blocks the rotation of the rod 22.
The frame 24 carries a needle 34, the position of which relative to the numerals inscribed on the steering wheel 30 indicates the height to which the shoe-place plate 2 has been adjusted. Well
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support from below on a washer seated on nuts 50 which are screwed on a sleeve 52 slidably mounted on the rod 38.
The springs 44 and 46 bear respectively from above against rings 54 and 56 movable in the vertical direction independently of one another. In the ring 54 are implanted, three pegs 58 (fig. 22) and in the ring 56 three similar pegs 60. These pegs are surmounted by a 'disc 62 provided with three holes 64 arranged so as to be in look at the pegs 58 when the disc occupies a certain position, and provided with three other holes 66 arranged so as to be facing the pegs 60 when the disc occupies another position, the latter being able to rotate around the rod 38 to take the 'either of these positions or a third position which leaves its two sets of holes out of alignment with the corresponding pegs.
It can therefore be seen that the disc 62 can be raised by the spring 44 or 46, or by these two springs at the same time, by lifting the sleeve 52 and its washer 48, the raising of the disc causing the rod 38 and the support to rise. -bout 36 because it comes to rest against a shoulder 68 at the bottom of a development of the rod (fig. 3). To lift the sleeve 52, a stirrup 70 is provided which can slide on the rod 38 from below the sleeve, the top of this stirrup also being able to slide on a sleeve 72 which is integral with the disc 62 and slipped over the open part of the sleeve. the rod 38. At the top of the caliper 70 is articulated a pair of connecting rods 74 (fig. 1, 3) which are joined together by a web 76 and the bottom of which is in turn articulated to arms 78 carried forward and secured a shaft 82 mounted 8 to tilt in two cross members 84 fixed to the frame 26.
On this shaft is also fixed an arm 85 which carries a roller 86 on which rests a cam 88 formed on the periphery of a disc 90 wedged on a cam-holder shaft 92 rotated in the arms 84.
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The support -bout 36 is therefore clamped against the boot by the rise of the caliper 70, and this caliper continues its upward movement to compress the spring 44 or 46 or both, depending on the prior adjustment of the disc 62, when the part 36 presses against the shoe. The intensity of the clamping thereof against the plate 2 therefore depends on the position of the disc 62.
To adjust this disc, on the rod 38 is mounted a toothed sector 94 of the hub from which descends a pair of fingers 96 housed in the vertical slides of the sleeve 72. The sector 94 is prevented from rising by a shoulder of the frame, and it is supported. from below by a pinion 98 forming a body with a shaft 100 rotating in the frame. The front end of this shaft carries a crank 102 which allows it to be turned and in which is mounted a spring pin 104 made to be introduced into any of three holes 106 drilled in the frame and corresponding to the three adjustment positions of the disc 62. A button 108, wedged on the front end of the spindle 104, serves to withdraw the spindle from the hole in which it is introduced, as well as to turn the crank 102.
It is understood that when the adjustment is made so as to leave the spring 44 or 46 inactive, the pins of the ring 54 or 56 controlled by this spring will remain opposite the corresponding holes of the disc 62 and will ineffectively mount these holes, while the pegs of the other ring will abut on said disc. In order to maintain the two groups of pins in the desired position relative to each other, they are all subjected to the action of a disc 110 forming a body with the top of the sleeve 52 and pierced with holes through which the two groups of pegs.
Two screws 112, threaded into the caliper 70 hold the disc 110 in the correct position, these screws respectively pressing against opposite sides of a protrusion on the disc.
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The shoe is prevented from moving backwards in the direction of its length by a support 114 (fig. 1, 2, 3, 28) consisting of a flexible chain 116 covered with a strip 118 of felt or other material. suitable, made to embrace the posterior end of the shoe. The two ends of the chain rest on blocks 120 which are provided with movable pins 122 in the top of a pair of consoles 124, around axes located approximately along the length of the shoe. The two consoles are fixed in an adjustable position to arms 126 which are capable of oscillating across the shoe about the anterior, reduced ends of rods 128 movable along the shoe in pads formed in the frame.
Each console 124 has a tongue 130 which describes a curve about an axis located across the shoe, and which fits into a corresponding curve slider 132 made in the arm 126. In addition, the console projects into a slide of similar curve 134, formed in said arm, a pin 136 on the end of which is screwed a nut 138 which serves! fix the console in the position given to it in relation to the arm. The axis of curvature of each tongue 130 and of its slide 132 is located in the vicinity of the underside of the forefoot of the shoe and, during its adjustment, the support 114 follows a direction corresponding virtually to the rising curve of the shoe. the rear face of the shoe, the adjustment being performed differently depending on the particular model of the shoe in hand.
The arms 126 are retained on the rods 128 by caps 140 fixed by screws 142 on the ends of said rods, and in an annular recess of the means of each arm is housed a coil spring 144 (fig. 3, 23) attached by one end at the hub of the arm and the other at the hat. The springs 144 tend to oscillate the arms 126 in directions which move them apart from one another.
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the other to straighten the tie-back tape, but which allow it to wrap the posterior end of the shoe when it is tight against it. The band is thus clamped against the shoe by a retrograde movement of the rods 128 which are fixedly coupled together by a stirrup 146 (Fig. 21). The rod control mechanism will be described later with other parts.
The end of the vamp is driven back up to the shape and its marginal part then folded inwards over the first sole by a pair of reels 148 (fig. 4,5, 7), as is customary. in end-fitting machines. Here, these reelers are removably mounted on supports 150 in slides therein, and they are held in place by spring pins 152 which are housed in fittings 154 secured to the reel supports, and which are introduced into drilled holes. in those. To release the reelers, the pins are lowered by pulling a button at the bottom of each pin. The reels are so curved that they can be reversed in their supports for mounting the shoes of the right and left foot.
The supports 150 of the reelers rest on a frame 158 from below a cover 160, and they are provided with curved ribs 162 which descend therefrom to be housed in a correspondingly shaped slider 164 formed in the frame of the fallers. The reels are therefore guided so as to be able to close across the boot around an axis located approximately at the point of meeting of their active edges. A sleeve 166, threaded onto a bolt 168, which passes through the frame of the reel holders and which screws into the cover 160, helps to place the latter in the correct position, the opposite faces of the supports 150 of the reel being provided recesses for housing the sleeve.
Slides 170 formed in the frame 158 of the reel supports leave room for moving the connectors 154 with the supports 150.
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In order to be able to move the reels forward and backward along the boot, the frame 158 of the reel carriers rests on a pair of connecting rods 172 (fig. 1, 5) spaced apart from one another across the boot and articulated. from above to lugs 174 of the mount 158 near the front thereof, and it also rests on the top of a lever 176 mounted at a point along its length on a pivot 178 which will be discussed later. . The upper arm of lever 176 is hinged by a rod 180 to the reel holder mount 158 at about halfway between its opposite sides, and is in effect a connecting rod virtually parallel to the connecting rods 172.
The two connecting rods 172 are in turn articulated from below to lever arms 182 wedged on a shaft 184 mounted to rock in the cross members 84, and on this shaft is also wedged an arm of
188 lever 186 provided with a roller / running in a cam track 190 formed in one side of the disc 90. Grace! this mechanism, the frame 158 of the reel supports swings up around the rod 180 to cause these to push the vamp up to the shape, after which the frame is tilted down to increase the pressure of the reelers on the marginal portion of the upper previously folded over the sole sole.
On the other hand, to move forward and backward said frame and the reels along the boot, the lever 176 rotates around the rod 178 under the action of a cam track 192 (FIG. 5) formed in a side of the boot. 'a gear wheel 194 (fig. 5) controlling the camshaft 92, as explained below, the lever 176 carrying a roller 196 which runs in said track. It is understood that when the frame of the reel supports is actuated in this way, the connecting rods 172 rotate empty around their articulations to the arms 182.
In order to be able to advance the reelers elastically along the boot and also to be able to adjust the frame 158 of the reel supports in the same direction, the pivotal rod 178
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lever 176 is supported by a lever arm 198 which is made to oscillate along the shoe on two short rods 200 (fig. 6) implanted in the braces 84 and located against the bottom of the rod 178, the arm 198 carrying a core 202 which joins together, on each side of the lever 176, the two parts of the hub of said arm which are spaced apart from one another.
In the bifurcated top of the same arm is mounted a loose spindle 204 (fig. 4,8) in which is screwed the rear end of a rod 206 which projects forward through a cylindrical housing 208. This housing is permanently fixed to the frame of the machine by a flange 210 and screws 212 (Fig. 3, 13), and in its rear end (Fig. 8) is crimped a head 214 in which the rod 206 is mounted with gentle friction. This head acts as a stop pressing against the posterior ends of a pair of springs 216,218 housed in the housing 208, the spring 218 being more powerful than the spring 216. These springs respectively press from the front against two rings, 220 and 222 (fig. 12).
In the ring 220 are implanted three dowels 224 and in the ring 222 three dowels 226, all these dowels passing through holes drilled in a head 228 (FIG. 8) crimped in the front end of the casing 208. In front of the dowels is installed a disc 230 forming a body with a sleeve 232 threaded onto the rod 206, this disc being provided with holes 234 (FIG. 11) made to come to be placed opposite the pins 224 when the disc occupies a certain position. The disc and its sleeve are provided with holes 236 made to come to be placed opposite the pins 226 when the disc is turned into another position around the rod 206. Finally, when the disc occupies a third position all the holes are out of the way. alignment with the ankles.
It can therefore be seen that any retrograde movement of the disc 230 will be thwarted by the spring 216 or 218, or both, depending on the prior adjustment of the disc. The enlarged front of the 806 upper supports
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against a shoulder 238 of the sleeve 232, from which it follows that the disc 230 will be moved rearwardly by any movement of the rod 206 in this direction. The upper will thus be moved by the resistance of the boot to the advancement of the reelers when this resistance becomes large enough to overcome that of the spring or springs acting on the disc 230.
In other words, the lever 176 will then turn around the rod 180 which connects it! the mounting 158 of the reel holders to move the rod 178, around which it normally rotates, backwards, and at the same time to oscillate the lever arm 198 in this direction to exert a retrograde traction on the rod 206. We have so here a convenient way to tighten the reels elastically. against the upper lengthwise of the shoe, and to vary the intensity of this tightening according to the nature of the materials of the upper.
To adjust the disc 230, there is provided a cylindrical piece 240 (fig. 4) journaled in the frame and provided with a sleeve which extends towards the rear and which is made to slip on the widened front of the rod. 206, this sleeve being provided with two slides 242 which penetrate fingers 244 which project forward from the sleeve 232 on which the disc 230 is formed. The rotation of the part 240 therefore rotates the disc which can be moved. backwards with the rod 206, as aforesaid, thanks to its engagement with the sleeve 232. With the part 240 forms a crank 246 which is used to turn it, this crank carrying a spring pin 248 made to hold the disc 230 in the desired position by-being introduced into any of three holes 250 drilled in the frame.
A button 252 on the pin 248 allows it to be removed from any of said holes, as well as to turn the crank 246. It is understood that when the disc 230 occupies a position which leaves the holes
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234 opposite the ankles 224, as indicated in the drawing, the movement of the disc 230 resulting from the resistance of the boot to the advancement of the reels will only compress the spring 218, the spring 216 then remaining inactive because the ankles 224 s 'will introduce into the corresponding holes 234 of the disc. Likewise, after adjusting the disc to a second position, the spring 216 will be the only compressed one because the pegs 226 will enter the corresponding holes 236.
Finally, when the disc will occupy its third position. adjustment, both springs will be compressed because all of the pegs will be out of alignment with the holes in the disc.
The tapping of the shank 206 in the spindle 204 mounted in the lever arm 198 still allows it to be rotated to adjust the frame 158 of the reel holders and the reels along the shoe, this rotating movement of the shank causing the arm to tilt. 198 forwards or backwards and consequently moving in the same direction the pivot rod 178 of the lever 176 without altering the tension of one or the other of the springs 216, 218. To thus turn the rod 206, in the cylindrical part 240 is journaled a shaft 254 whose rear end, larger, penetrates into a bore made in the anterior opening of the rod 206, these parts being joined together by a key 256 in order to be able to rotate said rod by the shaft 254, and at the same time allow it to move longitudinally relative to it.
The larger part of the shaft 254 bears from the front against the part 240 to prevent said shaft from advancing. The front of the shaft 254 carries a flywheel 258 which serves to turn it. With this flywheel goes a mechanism (see fig. 9 and 10) which indicates the operator the position in which the reels have been adjusted, and which comprises two pinions, 260 and 262, concentric with the shaft 254 and housed in a recess. flywheel 258, and also a third pinion, 264, housed
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in this same recess and mounted to rotate around a pin 266 located in the flywheel, this pinion being in engagement with the pinions 260 and 262.
The pinion 260 is integral with a sleeve 268 threaded onto the shaft 254 and provided with a pair of fingers 270 penetrating a vertical slot 272 made in a plate 274 which is wedged on the frame of the machine and which encroaches on the front of the part 240 to hold it in place and block the rotation of the pinion 260. As for the pinion 262, it is integral with a sleeve 276 enveloping the sleeve 268 and mounted fixed in an opening formed in a disc 278 interposed between the flywheel 258 and plate 274, disc and pinion rotatable together around sleeve 268.
The pinion 262 carrying one tooth more than the pinion 260, each revolution of the flywheel 258 rotates the pinion 262 and the disc 278 a certain distance from the fixed pinion 260 under the impulse of the pinion 264. The bevelled face of the disc 278 bears a graduation whose numbers are so spaced from each other that, at each revolution of the flywheel 258, one of them will be placed opposite a mark 280 (fig. 4) on the plate 274. The reels will be adjusted in different positions to adapt the machine to best act on the various models of shoes that it is called upon to fit. In order to avoid the danger of moving the rod 206 too far forward, on said rod are screwed, behind the spindle 204, locknuts 282 which remain apart from it normally, but which can be tightened against it to limit its rotating movement. .
The reels are closed laterally over the bottom of the boot by connecting rods 284 (FIG. 4), the front end of each of which carries an articulated head 286. a lug 288 formed on each reel holder 150. The rear end of each connecting rod 284 is slidably mounted in
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/ a sleeve formed in a part 290 articulated with slide 292 movable along the boot and provided with a tongue 294 (FIG. 5) housed in a slide 296 formed in the frame 158 of the reel supports.
Between the parts 290 and the heads 286 of the connecting rods 284 are interposed low caliber springs which can obey the pressure of the boot on the reels during the pushback of the upper in height, as well as the resistance of the shoe. upper to the closing movements of the reels during its pushing back inwards against the lip of the first sole. The connecting rods 284 carry pegs 300 which mesh with slides 302 formed in the parts 290 and limit the compression of the springs 298, which causes the parts 290 to act inelastically on the connecting rods 284 before the end of the folding of the vamp by the touts.
In order to actuate the slide 292 so as to close the reelers, a rod 304 (fig. 5) is provided, the front end of which, less thick, is fixed to said slide and on which is threaded a sleeve 306 provided with a. nuts 308 against which a washer 310 abuts. On this washer bears the front end of two springs, 312 and 314, the spring 314 is more powerful than the other, while their rear ends bear respectively against the rings 316 and 318. In the ring 316 are implanted three dowels 320 (fig. 6) and in the ring 318 three other dowels, 322, all these dowels moving towards the rear to be housed in holes drilled at the rear of the sleeve 306 in a plays 324 coming of cast iron with this sleeve.
The dowels 32o are arranged so as to be located opposite holes 326 drilled in a disc 328 when this disc has been adjusted in a certain position relative to the sleeve 306, the dowels 322 also being arranged so as to be located opposite holes 330 drilled in the same disc when the latter was adjusted
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in another position relative to said sleeve. When the parts occupy a third adjustment position, the dowels are no longer located opposite the holes in the disc. The advancement of the disc 328 will therefore actuate the reel closing slideway by one or the other of the springs 312 and 314, or by these two springs at the same time, depending on the prior adjustment of the parts.
The disc 328 is able to slide over a sleeve 332 threaded over the rear end of the rod 304, and is coupled by pins 334 (fig. 6) to a pair of connecting rods 336 (fig. 4) hinged from the front to the front. 'bifurcated upper end of the rising branch 338 of an angled lever 340 which pivots on lugs 342 descending from the frame 158 of the reel supports. An adjustable connecting rod 346 connects the rear projecting branch 344 of the crank lever to an arm 348 wedged on a mounted shaft 350. rocks in the two cross members 84. On this same shaft is also wedged an arm 352 at the bottom of which is fitted a roller 354 running in a cam track 356 formed in one side of the gear wheel 194.
It can therefore be seen that the bringing into play of the angled lever 340 drives the disc 328 forward and prints to the slide 292, through one or the other of the springs 312 and 314, or both, a movement which makes it close the reels, said spring or springs being able to obey during the last phase of the folding work after the springs 298 have ceased to compress. The connecting rod 346 is formed of two short rods joined together by a turnstile 358 which can be used to bring the reels closer or apart more or less from one another by oscillating the supports 150 of the reels.
To help support the slide rail 304 control rod and the parts mounted on this rod, the pins 334 connecting the connecting rods 336 to the disc 328 carry rollers 360 movable in slides 362 (fig. 4) formed in the mount 158 of the reel holders. Disk 328 cannot
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therefore point to turn, and the adjustment to be carried out, to make the spring 312 or 314, or both, act during the closing of the reels, consists in turning the sleeve 306, and the parts mounted on it, so as to change the position of the pins 320 and 322 with respect to the holes in the disc. For this purpose, the rear end of the sleeve 306 carries two ears 364 (FIG. 5) which penetrate into the recesses of the sleeve 332 to engage these two sleeves with one another.
In addition, with the sleeve 332 forms a single toothed sector 366 which is engaged with a rack 368 (FIG. 6) wedged on a rod 370 slidably mounted in the frame 158 of the reel holders. The sleeve 332 is retained on the rod 304 by a screw 372 and by a washer 374. To actuate the rod 370, in bearings formed in the front and rear parts of the frame is tiltably mounted a shaft 376 provided, at the front, with a 'a crank 378 (fig. 1, 2) and, near its posterior end, a pendant arm 380 (fig. 4, 6) wedged on it, this arm carrying a pin 382 which engages in a slide 384 formed in a arm 386 on one end of the rod 370. Another pin, 388, implanted in the hub of the arm 386, can slide into a hole drilled in the mount 158 of the reel holder to block the rotation of the rod 370.
It can therefore be seen that the adjustment of the sleeve 306 for the abovementioned purpose is carried out by means of the crank 378 at the front of the machine. This crank carries a spring pin 390 (fig. 1) provided with an operating handle 392 and made to enter any one of three holes 394 drilled in the frame.
To exert a traction on the end of the tip of the vamp which will help to stretch it over the body of the lump and over the sole sole, the machine has a clamp 396 (fig. 16) made to bite the lump. marginal portion of the upper at the end of the toe, as well as two darts 398
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made to bite off opposite sides of the upper at points near the corners of the toe.
Each side clamp (fig. 17) comprises a box 400 supported in the manner explained below and divided into two at the bottom in order to be able to mount in the gap a jaw 402 integral with the boot and a jaw 404 articulated therein 406, an arm 408 rising from the latter jaw being connected by a connecting rod 410 to one end of a lever 412 of approximately semi-circular shape, which pivots at its mid-length on a pin 414 implanted in the box. The other end of the lever 412 is in turn connected by a connecting rod 216 to a closing rod on the top of which a piston 420 is slidably mounted. This piston carries a pin 422 which engages with slides 424 formed therein. rod 418, on each side of a perforation 426 in the center of said rod.
Pin 422 is removably held in place by a click 428 which is slidably mounted in perforation 426 and carries a rounded head housed in an annular groove (not shown) of the pin. Below the click is also mounted in the perforation 426 a comparatively light spring 430 which tends to push the click up. In the box 400 is mounted, against the bottom of the piston 420, a higher caliber spring 432, this spring oscillating the jaw 404, when it can, to bring it to tighten the vamp against the jaw 402 by printing the piston 420 and the rod 418 an upward movement in the box 400, the pin 422 engaging on the rod 418 at the top of the slides 424.
During this operation, the pinching of the upper is intensified by the action of the parts connecting the rod 418 to the jaw 404, an arm of the lever 412 and the connecting rod 410 in fact acting here as the branches of a folding elbow.
The jaws are provided with teeth to prevent the upper from sliding between them, and they are reopened with pressure
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of the pin 422 and the spring 430 on the upper end of the piston 420, the spring 430 being able to obey to let the piston descend relative to the rod 418 when the jaws have finished opening.
The clamp acting on the end of the tip is constructed much like each of the side clamps, except that its jaws 434 and 436 (fig. 18) are formed and arranged so that the gap left between them by their opening is virtually horizontal so that the marginal part of the upper can be easily inserted therein, while the opening of the jaws of the side clamps leaves a virtually vertical gap between them. The jaw 434 is fixedly mounted on a box 438 which the jaw 436 is articulated, the latter being provided with an arm 440 disposed angularly with respect to its clamp-vamp part and connected by a connecting rod 442 to a lever 444 which pivots on the box and corresponds to lever 412 of each side clamp.
The lever 444 is in turn connected by a connecting rod 446 to a jaw-closing rod 448 on the upper end of which there is a piston 450 (Fig. 16), similar to the piston 420 of each of the side clamps. It is understood that the end clamp also contains a jaw-closing spring similar to the spring 432 of each side clamp, and a small gauge spring corresponding to the spring 430, as well as parts similar to parts 422 and 428 of the side clamps.
The opening of the three clamps is effected by means of a plate 452 pressing on the top of the pistons 420 and 450. In this plate are implanted two pins 454 (fig. 14, 15) which articulate it to arms 456 integral with a bar 458 pivoting on ears 460 formed on a plate 462 secured to the frame 24. The plate 452 is held constantly. in an almost horizontal position by a pendant arm 464 forming a body with one of the pins 454, and by a connecting rod 466 articulated at the bottom of this arm
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and made to rotate around a pin 468 (Fig. 15) implanted in an ear 470 on the plate 462, the connecting rod 466 being parallel to the plate arm 456 above it.
On the other hand, with the bar 458, forms an arm 472 which a connecting rod 474 (fig. 3, 14) couples to an arm of a lever 476 movable around the shaft 350 and carrying a roller 480 (fig. 26) on which engages a peripheral cam 482 formed on a disc 484 wedged on the cam-holder shaft 92. It is understood that this cam acts so as to lower the plate 452 to open the jaws of the various clamps and that , when it allows the plate to rise, the jaws are closed by the springs housed in the boxes of the clamps.
A spring 485 (fig. 3), attached to lever 476, holds roller 480 constantly against cam 482 and serves to lift plate 452 when cam allows it to do so, with plate raised high enough to stay clear of the pistons 420 and 450, even when the grippers have reached the limit of their stretching movements.
The box 438 of the end clamp is mounted in a split flange 486 (fig. 14,15) which is clamped around said box by means of a screw 488 and which pivots on the anterior bifurcated end of a lever arm 490 forming a body with a horizontal bar 492. One end of the bar 492 is wedged on the aforementioned pin 468 which is mounted loose in the ear 470 of the plate 462, while the other end of said bar is wedged on a pin 494 mounted loose in an ear 496 also formed on the plate 462. with the bar 492 forming an arm 498 which encroaches from the front on the rear arm of a lever 500 (fig. 15,16) articulated at a point of its length on a pin 02 located in the cast iron part 24.
A connecting rod 504 connects the front of the lever 500 to a lever arm 506 (FIG. 2) wedged on a shaft 508 mounted to rock in the cross members 84. In addition, on this same shaft is wedged an arm 510.
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(fig. 3) that a connecting rod 512 connects. an arm 514 which is an integral part of the cam lever 186 serving to impart a stretching movement in height to the reels. This movement is imparted to the reels by the oscillation of the lever 186 in the direction of clockwise (fig. 3), and it will be seen that this movement lowers the connecting rod 504 to make the lever 500 oscillate (fig. 3). 16) counterclockwise and thereby lift arm 498 to cause end clamp 396 to stretch the vamp up to the top of the form as it is pushed back up by the reelers.
To the brassupport 490 of the end clamp is articulated a connecting rod 516 (Fig. 15, 16) which is articulated from above at the lower end of a rod 518 with vertical movement. On this rod can turn a sleeve 520 whose threaded exterior threads into the part 24 and which carries a knurled head 522 serving to turn it, this head supporting the rod 518 and the vamp by engaging a nut 523 at the top of the stem. It can therefore be seen that, by turning the sleeve 520, the rod 518 and the connecting rod 516 can be raised or lowered to adjust the end clamp as required in terms of the height of the form, since this adjustment brings the arm 498 closer to or away from the lower end of the lever 500 controlling said arm.
Each of the boxes of the lateral clamps 400 is firmly fixed in a bracket 524 (fig. 14,15), the upper and lower branches of which are provided with openings where the box is housed and between which is mounted a sleeve 526 enveloping the box, a tail 528 coming from cast iron with this sleeve threading into an opening of the caliper 524 and into a sleeve 530 mounted in a bearing 532. On the end of the tail 528 is screwed a nut 534 which tightens the sleeve 530 against the caliper 524 and which, through the shank 528 and the sleeve 526, at the same time clamps the collet box 400 firmly against the
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branches of the stirrup. The caliper 524 and the sleeve 526 therefore act here as a support for the clamp, this support resting on the part 532.
In an almost cylindrical part of this part is fixed, by means of a pin 536 (fig. 15), a rod 538, the upper and lower ends of which slide respectively in ears 540 and 542 (fig. 14,15) formed on a console 544 mounted, as explained below, on the cast iron part 24. The lower end of the rod 538 rests on an arm of a lever 546 which is wedged on a short shaft 548 mounted to rock in the part 24. In a lug 550 of this lever is threaded the top of a screw 552 which is threaded into the part 24 and which carries a knurled head 554 to turn it.
The rotation of this screw therefore makes it possible to first adjust the lateral clamp in height of the shoe, the rod 538 sliding from bottom to top or from top to bottom in the ears 540 and 542.
To stretch the upper height by the right side clamp, the lever 546 going with this clamp is brought into play by a collar 556 wedged on the control rod 504 of the end clamp, the collar can be adjusted so determining the moment when it will engage on the lever 546 to put it into play during the descent of the connecting rod. The lever going with the left side clamp is operated in the same way by a collar 558 fixed in an adjustable position on the top of a connecting rod 560 which descends through an opening of the lever and which is coupled from below (fig. 3). to an arm 562 wedged on the rocking shaft 508 carrying the control arm 506 (fig. 2) of the connecting rod 504.
It is understood that, during the adjustment of one or the other of the lateral clamps in height of the form, using the screw 552, the lever 546 approaches or moves away from its control collar 556 or 558. A screw 564 secures on the front of each shaft 8. tilts 548 a needle 556 which moves on a graduation 568 (fig. 1) of the part 24
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to indicate to the operator the amount of stretching motion printed on each side clamp. This needle is easy to adjust with respect to the graduation after placing the clamp at the desired height using screw 552, screw 564 then being tightened to secure the needle in the position given to it.
Each side clamp 398 can move in one direction or the other along the shoe by oscillating with the caliper 524 around the axis of the tail 528, the sleeve 530 rotating with the latter in the part 532. A piston spring 570 (fig. 15) housed in the caliper 524 and pressing against this part of the part 532 which surrounds the rod 538, tends to make the clamp oscillate so as to cause its jaws to the rear of the shoe .
To determine the initial position of the clamp, with this piston cooperates a rod 572 (fig. 16,20) which is screwed into an arm 574 integral with the part 532 and carrying a spring pin, 576, the top of which engages on an arm 578 (fig. 15) integral with the bracket 524. The spindle 576, slidably mounted in the rod 572 (fig. 20), presses against a transverse spindle 580 passing through slides formed in the rod and resting on a washer 582 Between this washer and a nut 584, screwed on the rod, is interposed a spring 586 which is more powerful than the control spring of the piston 570. The rod 572 carries a knurled head 588 which allows it to be turned and it is obvious that this rotation of the rod will place the side clamp in the desired position along the shoe.
In addition, pin 576 and spring 586 allow the side clamp to swing back elastically under the tensile force ... exerted on it by the upper when it is folded inward over the first sole by the reelers, the overhanging of the upper being able to more easily take the position determined by the reelers without piping
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too much between the side clamp and the end clamp.
With each bracket 544, relative to which the corresponding lateral clamp can move in height of the form as explained above, forms a rod 590 (fig.
15) capable of rotating in the cast iron part 24 and held in place by a washer 592 and by a screw 594 threaded in said rod. By rocking the console around the axis of the upper in question, the side clamp can be adjusted across the shoe, with the two rods extending along the length of the shoe, and tilting relative to each other. so as to describe an angle corresponding virtually to that made between them the opposite faces of the end of the end of the form.
To carry out the adjustment, each console 544 is provided with an arm 596 that a connecting rod 598 connects to the bottom of a rod 600 (fig. 14) on which is mounted a sleeve 602 screwed into the cast iron part 24, this sleeve carrying a knurled head 604 which allows it to be turned to place the clamp more or less inside or more or less outside to adapt it to the particular size of the shoe in use. On the top of each rod 600 is mounted a nut 605 which engages the head 604 to support the rod.
In addition to the above movements, the toe clamp 396 is capable of rocking the shoe lengthwise about a horizontal axis located at the articulation points of the strap 486 and the seat arm 490, and the side clamps 398 are capable of also to tilt around vertical axes coinciding with the axes of the rods 538, the latter rotating in the ears 540 and 542. As shown in FIG. 18, a connecting rod 606 couples the box 438 of the end clamp to the bottom of a lever 608 which is mounted at a point along its length on a rocking shaft 610 journalled in the cast iron part 24.
Lever 608 is not integral with the shaft, but it is there
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connected by a friction device which allows it to rotate at certain times relative to the lever. This friction device comprises on the one hand a ring 612 fixed to the shaft by a pin 614 in order to be able to rotate with it and, on the other hand, a flange whose upper and lower halves, 616 and 618, embrace the ring. 612 are connected together, on one side of the shaft, by a connecting rod 620. On the other side of the shaft, a lever 622 pivots on the upper half 616 of the flange and a connecting rod 624 couples its middle part to the lower half 618 of the flange.
At the rear end of lever 622 is attached a spring 626, the upper end of which (fig. 14, 15) is in turn attached to a chin 628 implanted in the almost horizontal branch of an elbow lever 630 articulated to a pin. 632 on the aforementioned plate 462. With the upper half 616 of the flange of the friction device forms an arm 634 connected to the upper end of the lever 608 by a rod 636 which is mounted loose in a block 638 articulated on the lever 608 and which is screwed into a block 640 pivoting on the arm 634. Said rod carries a handwheel 642 which allows it to be turned to swing the lever 608 around the shaft 610 relative to the arm 634 of the flange of the friction device in order to adjust the end clamp in one direction and the other along the shoe.
It goes without saying that the spring 626 tends to tighten the flange 616-618 around the ring 612, as well as to turn said flange anticlockwise (fig. 18) to tilt the clamp. from end to rear to the length of the shoe. The pin 614 engages in a slide 644 formed in the lower half 618 of the clamp and, when the parts assume the positions illustrated in FIG. 18, it prevents the clamp from rotating under the action of the spring 626 and consequently determines the initial position of the
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clip from end to end of the shoe.
It will be seen later that, at a certain period of the operating cycle of the machine, the shaft 610 rotates counterclockwise, which not only allows the spring to impart movement to the end clamp. stretches the vamp along the shoe by turning .¯turn the strap of the device! friction, but makes this stretching more forceful due to the friction of the ring 612 on the flange as the shaft rotates therewith. We will also see that,! a later period of the operating cycle, the shaft 610 rotates clockwise and the action of the ring 612 on the flange then removes part of the spring 626 from its power, so that the clamp does not pull on the upper as hard as it would under the action of said spring.
In order to swing the side grippers around the axes of the rods 538 and to adjust these rocking movements, mechanisms are provided virtually similar to those used here to actuate and adjust the movements of the end gripper. From part 532 going with each side clamp projects laterally an arm 646 (fig. 15) assembled by a ball joint 648 to a connecting rod 650 than a joint! ball joint 652 assembled from behind (see fig. 19) to an arm 654 forming a body with the upper half 656 of a split flange whose lower half 658 is coupled! the upper half by a connecting rod 660. This flange embraces a friction ring 662 retained on the shaft 610 by a pin 664 which meshes with a slide 666 formed in the lower half of the flange.
The two halves of it are joined together by a lever 668 and a connecting rod 670, while the rear end of said lever is attached a spring 672 whose top (fig. 14,15) is attached! his turn! a pin 674 secured to the almost horizontal branch of an elbow lever 676
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pivoting on a pin 677 on the plate 462. It can therefore be seen that when the shaft 610 rotates counterclockwise as aforesaid, this allows the two side clamps to move away from each other by oscillating outwardly around the axes of the rods 538 under the action of the springs 672, the friction also intensifying the action of these springs on the clamps. On the other hand, when the shaft later turns in the opposite direction, the friction decreases and the springs do not push the clamps out so forcefully.
It is clear from fig. 15 that, by oscillating outwards, each side clamp moves both along and across the shoe.
Elbow levers 630 and 676 descend from the arms which are all hinged to a cross member 678, and one of the levers 676 carries an arm 680 which allows the three elbow levers to be moved at a time to increase or decrease the compression of the springs 626 and 672 in order to make them act more or less vigorously on the various clamps during the stretching of the upper towards the outside. In the arm 680 is mounted a spring pin 682 (fig. 14,16) which is provided with an operating knob 684 (fig. 15) on its outer end and which is made to fit into any one of the arms. several holes 686, drilled in the plate 462, to hold said arm in the position where it is adjusted.
To turn the shaft 610, there is provided an arm 688 (fig. 16) secured to said shaft and coupled by a connecting rod 690 to a branch of an elbow lever 692 (fig. 2) which pivots on the shaft 350, l Another branch of this bent lever carrying a roller 694 on which the periphery of a cam 696 wedged on the shaft 92 rests. The roller is constantly kept in contact with the cam by a spring 698 attached to the bent lever. It is understood that the cam rotates the shaft 610
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clockwise (fig. 16), and that the spring turns it counterclockwise when the cam allows it to do so. It is therefore the cam 696 which gives the grippers their separation movements.
It has been said that the tie-back strip 114 rests on rods 128 movable in the frame and joined together by the stirrup 146 (Fig. 21). However, the rods 128 are moved backwards, to tighten said band against the shoe, by a spring mechanism, which is controlled by the connecting rod 474 (FIG. 3) forming part of the mechanism used to open the jaws of the clamps and to cause them to close. Referring to fig. 2 and 21, it will be seen that a connecting rod 700 couples one of the rods 128 to a lever arm 702 carried by a shaft 704 mounted to rock in lugs 706 of the frame.
Said lever arm is not integral with the shaft 704, but the latter still causes it to oscillate in the direction necessary to impart a retrograde movement to the rods 128 because a pin 708, implanted in said shaft , is housed in a slot 710 made in the hub of the arm. The shaft 704 tilts, to make the arm 702 oscillate, under the impulse of a spring 712 (fig. 3) attached at one end to a chin implanted in one of the braces 84 and, by the other end, to a arm 714 on the shaft. In order to be able to replace the tie-back strip in the inactive position, the arm 714 is connected by a connecting rod 716 to one branch of an angled lever 718 pivoting on the frame, the other branch of this angled lever carrying a roller 720 on which can engage an ear 722 of the connecting rod 474.
It is understood that this connecting rod is raised to operate the closing of the jaws of the clamps. @ the ear 722 then moving away from the roller 720 in order to allow the spring 712 to tighten the band 114 against the shoe. When the connecting rod goes down towards the end of the cycle
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operations, the action of the ear 722 on the roller 720 places said strip in the inactive position. To avoid injuring the operator in the event that he stands too close to the machine during the retraction of the belt, on the rocking shaft 704 is wound a torsion spring 724 (fig. 21) which is attached by a end to a collar 726 wedged on said shaft and, by the other end, to the hub of the arm 702, this spring providing an elastic connection against the shaft and the arm.
To hold the tie-back strap firmly tightened against the shoe during assembly, a pawl 728 (fig. 3) is provided, made to engage with a ratchet plate 730 wedged on the caliper 146. The pawl is articulated in a bifurcation of a support 732 which is part of a sleeve 734 (Fig. 21) mounted loose on a rod 736 implanted in the frame.
A spring 738 is mounted on the pawl holder which tends to lower the pawl relative to its support to bring it closer to the ratchet teeth, such movement of the pawl being limited at the start by its meeting with a portion of the pawl holder (see fig. 3). . The ratchet is brought into engagement with the ratchet teeth by turning the ratchet holder, which is done by a spring 740 which is held compressed between an arm 742 (on one of the braces 84) and nuts 744 which are screwed on a threaded rod 746 in said spring and connected from above to an arm 748 forming a body with the sleeve 734.
To release the pawl from the ratchet teeth towards the end of the operating cycle, the ratchet holder 732 is coupled by a connecting rod 750 (fig. 3, 5) to an arm 752 integral with the cam lever 186 serving to impress the reelers with the movement which makes them push back the tip of the vamp in height of the form. In order to allow the spring 740 to bring the pawl into engagement with the ratchet teeth, the connecting rod 750 is provided with a slide 754 in which a pin 756 implanted in the arm 752 is engaged.
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that, during the rise of the reels, this spindle moves to the right (fig. 5) to abandon the ratchet holder 732 to the action of the spring 740.
The wire used to hold the tip of the vamp in the position where it is stretched & point on the form is wound on a reel 758 (fig. 1) which is mounted on a bracket 760 attached to the underside of a small table 762 secured to the right of the machine frame. As explained further below, when the time has come to thread the toe, the operator begins by tying the end of the thread to a seed implanted on the left in the underside of the shoe; then, after passing the thread around said end, he wraps it around a seed on the opposite side and cuts it flush with this seed.
In order to facilitate the hooking of the thread to the seed on the left, the machine is fitted with the automatic device illustrated in fig. 24 and 27, which is designed to form a loop in the end of the thread that the operator threads onto said seed. . This device comprises a pin 764 going up from a block 766 mounted fixedly on the top of an arm 768 tilting from bottom to top and provided with a hub 770 movable around the support rod 38 of the end support 36. A horseshoe-shaped piece 772, secured to the top of the frame, has a flange which penetrates a groove 774 of the hub 770 to prevent the arm 768 from rising, while allowing it to oscillate around the rod 38.
An ankle 776, crimped in the hub 770 and housed in a helical slide-778 formed in the support rod 38, gives the arm 768 a movement which causes it to describe an arc of about 180 from a point located to the right of said rod. as far as the point to the left of it when it is lifted to tighten the end rest against the shoe. Before starting the machine, the operator leans the wire against the rear face of spindle 764, then introduces it
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the end in an anterior protruding slide 780 formed in block 766 near said pin, the end of the wire being retained in this slide by a ridge 782 of the block.
It follows from this arrangement that the subsequent oscillation of the arm 768 causes the block 766 to move from one side of the rod to the other - / 'to support the support 38 by making it / an arc, which has the effect of bending the end of the wire around the pin 764 to form a loop therein, the portion of the wire coming from the reel extending across that accommodated in the slide 780 (see fig. 27).
When the operator is ready to hook the thread to the seed implanted in the left side of the shoe, he slides the end of the thread from the bottom to the top of the slide 780 to remove it, then he folds the portion of thread above it from below and, finally, it unhooks the loop formed there from the pin 764 and threads it over the seed driven into the shoe. This eliminates the need for the operator to wrap the end of the wire around this seed.
The gear wheel 194 is controlled by a worm 784 (fig. 2, 25) wedged on a shaft 786 which is journaled in a bracket 788 mounted on one of the cross members 84, and which presses at the rear on a ball bearing 790 housed in a console 792 integral with the frame. On the shaft 786 is keyed a sleeve 794 carrying a clutch drum 796 that a belt 798 continuously rotates under the impulse of an electric motor 800 installed at the top of the machine.
The drum 796 is provided with a face 802 made to come into contact with a friction ring 804 wedged on a coactive clutch member 806 which can slide along the shaft 786, but which is coupled to the latter, to rotate. with it, by two plugs 808 crimped in the member 806 and capable of sliding into openings made in a part 810 fixed to the shaft by means of a pin 812. A spring 814, housed in an annular groove of the clutch member 806 and pressing against the part 810, tends to bring the member 806
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at a point where it will be driven by the sleeve 796.
The member 806 is controlled by a bracket 816, one branch of which is integral with a short rotating shaft 818 (fig. 2) mounted in one lug of the frame, and the other branch of which is wedged on a shaft 820 (fig. 25). , 26) rotating in another support on the frame.
At the bottom of the branches of the caliper 816 are articulated two brake shoes 822 housed in a groove 824 of the clutch member 806. The shaft 820 carries an arm 826 (fig. 26) provided with a latch 828 under which normally engages a shoulder 830, formed on a block 832, to hold the caliper 816 in a position such that the member 806 remains uncoupled from the clutch drum 796. The block 832 is secured to a lever 834 by means of 'a screw 836 which passes through a slide 838 formed in said lever, said block being able to be adjusted to a height determined by a screw 840 pressing against the underside of the screw 836. The top of the lever 834 pivots on a branch of an angled lever 842 which in turn pivots at 844 on one lug of the frame, the other branch of this angled lever carrying a roller 846 which runs in a track 848 formed in one side of the aforementioned cam 484.
A spring 850 tends to swing the lever 834 rearwardly to hold the shoulder 830 under the latch 828. The bottom of the lever 834 passes through a slide formed in an almost horizontal bar 852 (Fig. 2) and, below it. this bar he wears a chin 854 made to meet a shoulder 856 of that one. The bar 852 is hinged from the front to an upright arm 858 wedged on a rocking shaft 860 mounted in the frame, a spring 862 attached to this arm tending to make it swing backwards to hold the posterior end of the bar 852 against the head of a screw 864 which threads into the frame and which can be adjusted to determine the normal position of the bar.
The posterior end thereof rests on the top of a screw 866, which is mounted in an adjustable position in an ear of the frame, and said end
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is pulled down against this screw by a spring 868.
Finally, on the rocking a.rbre 860 is wedged a pedal 870. It can therefore be seen that the descent of the pedal advances the bar 852 which then acts on the chin 854 so as to turn the lever 834 forward to disengage block 832 from latch 828. This. allows the spring 814 to push the clutch member 806 to the point where it will be driven by the drum 796.
To put the machine at rest after that, the lever 834 is lowered by the action of the cam track 848 on the elbow lever 842 in order to place again the shoulder 830 of the block 832 under the latch 828, after which said lever is lifted to tilt the caliper 816 so as to decouple the clutch members from one another, the operator having let go of the pedal 870. It will be seen that the cam track 848 is thus studied that the machine makes two stops before finally being put to rest after performing its work on each shoe.
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Instructions for use of the machine.- After presenting a shoe to the plate% so as to place the first sole of this shoe in the required position with respect to said plate, the operator introduces into the Open end clamp jaws and side clamps protrude from the vamp to the front end. The shoe is supposed to have already been pulled lengthwise and mounted in the final position on the last at the location of the sidewalls. Before placing such a boot in the aforementioned position in the machine, the operator tears off the stopper seed driven out in the end of the tip of the upper during the preliminary assembly, as well as the two lateral seeds closest to she.
Once the shoe is in the correct position, the operator starts the machine by pressing the pedal 870. Referring to the diagram in fig.33, line D, it will be seen that as soon as the camshaft begins to turn under the impulse of the motor 800, the end rest 36 rises to clamp the boot against the plate 2, and during this ascent the arm 768 swings back and to the left around the support rod 38 of the support @ -bout to form a loop in the end of the wire w, as explained above, and to bring this loop to a point where it can be easily removed from the arm 768 by the operator.
In order to facilitate the introduction of the marginal portion of the upper into the jaws of the end clamp, this clamp is first placed a little further behind the plate 2 than it should be when said portion marginale is bitten by said clamp. The latter therefore performs a slight rocking movement forwards or inwards under the action of cam 696 (fig. 2) when the machine starts, as indicated by line F of the diagram, the two side clamps incidentally making a corresponding tilting movement because they are controlled by the
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These movements of the reels i; r fcnt us 1s s n: -. Ttr-3 ru ét5.t to repress the upper in: ¯.:;. T ,:. TI 'piu =, good.' - the cam, 1SO ,,,. , 3), which makes lt¯ ....., 7¯tttl: '¯ jp loss-reel upwards, also serve to exhaus-: -1 ..' :: .. reelers, this -ilouvement has then little or no effect on 1 '.? 1.) :: ..: ..-. (.. ::: because the 1: iiriz: r 560 is space from the arm 498 to the '::' -, -, (vcir rir- 1C) and l ( ;;.:; le: -1 <;:> ;: 5 # 6 spac61 also necklaces r '.
V5 ± (, 'l-J ..:;.' Fi. ';:'. 14). , when the pincss have almost finished tilting outwards, the frame 158 of the reel-holders bacoule so as to force the upper back upwards by the
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reelers and bring these to a point where they can fold the marginal portion of the upper inward over the first sole (see fig. 29), the various clamps being lifted at the same time to make them stretch the sole. vamp in height of the form. During this stretching, the pawl 728 (fig. 3) holds the tie-back strip tight against the shoe.
The beaters are then advanced further, then firm to make them push the upper inwards over the thinned edge of the first sole and up against the lip of the latter whose inside side touches the plate 2 to fight. pressure from beaters. During this action of the rabateu = s, the end clamp and the side clamps are moved in the opposite direction, in other words inwards, by the tensile force exerted on them by the marginal portion of the vamp, this force of traction being however reduced by rotating the shaft 610 and its friction rings 612, 662 in the opposite direction which remove part of their power from the springs of the clamps.
It is now clear that the side clamps thus oscillate inwardly about the axes of the rods 538 in converging directions while moving both along and across the shoe, and that they are made capable of also oscillating towards the rear almost along the boot by the tensile force exerted on it by the marginal portion of the upper, against the springs 586 (fig. 20), so as not to over-pipe or wrinkle said marginal portion , as explained above.
With the reelers having almost finished folding the upper over the sole, the darts, which have continued to hold the marginal portion of the upper without letting it slide into their jaws, open enough to let go, the shaft 610 having then turned as much as necessary so that the pins 614 and 664 prevent the clamps from tilting outwards. Shortly after that, the machine stops, the
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beaters having been previously raised a little to reduce their pressure on the vamp.
The first stop of the machine lasted, the parts then occupying the positions shown in fig. 30, the operator slides the end of the thread to be threaded out of the slot 780 of the block 766 of the looper (fig. 24) which is now to the left of the support rod 38 of the end rest, then he bends said end over the portion of wire above it, after which he removes from pin 764 the loop thus formed and hooks it to a seed that the operator may have implanted on the left in the underside of the shoe, after stopping the machine.
Then pulling on the left-right thread, the operator on step # 5: around the toe and begins to tighten it between the reels and the upper at the end of the underside of the shoe (fig. 30), as far as it allows the loosening of the reels operated before the machine comes to rest. Then, continuing to pull on the wire in this way, the operator restarts the machine. The reels immediately move up a little so that the thread can be pulled firmly inwards against the upturned edge of the vamp, after which said reels are partially retracted and opened.
As the operator continues to pull on the thread, the reelers feel advanced and closed again to clamp the thread firmly against the upturned edge of the vamp, and they have also lowered to increase their pressure on it, then tightened. more by a stronger compression of the spring or springs serving to tighten the support -bout against the shoe. The machine then stops a second time leaving the reels in the positions shown in fig. 31 and 32, and the operator immediately winds the thread around the seed implanted on the right in the underside of the shoe, then he cuts it at this location. He now turns the machine back on
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to bring back the pieces. their starting points.
Before being removed from the boot, the reels are lifted to loosen them from the upper. As shown in fig. 5, the cam tracks 198 and 356 imparting to the reels their forward movements (line A of the diagram) and their closing movements (line B) respectively present in a and b enlargements which then ensure rapid decompression of the or closing springs (fig. 4) of said reels, as well as a rapid decompression of the spring (s) (fig. 8) which compress during the advancement of the reels along the boot, this decompression loosening those of the upturned edge of the vamp during their raising.
Line C of the diagram of fig. 33 shows the movements made by the darts as they stretch the upper in height of the last, as well as those made by the reelers as they push the upper in the same direction over the tip of the upper. form. On the other hand, line E indicates the closing movements of the grippers and line G, the movements of the clutch members. Finally, the two vertical lines of the same diagram indicate the moments. where the machine makes its two stops during assembly.
After removing the shoe from the machine and before presenting it with another shoe, the operator again introduces the free end of the thread to be threaded into the loop-forming device.