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:" Machine combinée pour le travail complet de la paille de lin sur le terrains "
Le lin, une fois fauohé ou arraché, doit subir un car** tain nombre de traitements spéciaux,, avant qu'on puisse ti- rer un parti textile de ses fibres,,
Il doit, en effet, être mis à rouir, pour détruire la matière gommeuse,, ensuite être teillé, pour séparer les fragments ligneux des fibres, et transformer celles-ci en fi- lasse, opération qui comprend deux phases distinctes: le broyage, et le teillage proprement dit. De plus, si l'on 'entend utiliser le grain, il y a lieu de prévoir l'égrenage.
Dans les exploitations de petite ou moyenne importance, la récolte est mise à rouir dans certaines conditions, gé- néralem'ent à proximité du terrain,. Puis l'égrenage et le teillage s'effectuent au siège de 1'exploitation.
Pour les très grands espaces cultivée en lin, il est in- téressant de réduire les manutentions au minimum, et de fai-' re le plus possible d'opérations sur place,
La présente invention a donc pour objet une machine oom- binée, mue par traction animale ou mécanique quelconque,qui permet de faire la majeure partie des opérations sur le terrain, Elle peut, en effeti a) soit relever le lin étendu à terre en ligne, l'égre.. ner, et ensuite ou le laisser retomber à terre ou le-,mettre en bottes, b) soit relever le linégrené, le passer à travers un
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broyeur, et le mettre en bottes. c) soit, dans le cas le plus complet, relever, µgrener, broyer et mettre en botter le lin,
A ceteffet, la machine objetde l'invention estcarac- térisée par la combinaison, sur un bâti unique ou sur plu- sieurs bâtie juxtaposés, d'un système releveur de tout type connu mais, de préférence adapté spécialement au lin, d'un système d'égrenage de tout type connu ( à rouleaux, à mar- teaux, ou à peignes), d'ur système de broyage du lin ( par cylindres cannelés et d'Un système lieur également de tout type connu, mais adapté au lin)
Le relevage s'opère demanière telle que les tiges demeu- rent le plus parallèles pc3sible, sans être emmêlées, etque les capsules de graines se trouvent du même côté.
En 'orin- cipe, on utilise deux roulcaux parallèles tournant en sens inverse : le premier porte les doigts métalliques fixes, et le second des doigts métalliques souples, avec tappel élas- tique à la base; ces derniers doigts étant plus longs que ceux du premier rouleau .
Un levier règle l'ensemble des deux rouleaux et leur po- sition au-dessus du sol, @fin que les doigts du deuxième rouleau grattent la terre et y saisissent le lin,qu'un ta- blier sans fin élève à la par tie supérieure de la machine.
Sur le deuxième cylindre, les racloirs métalliques flexibles évitent qu'il ne s'enroule,
Relevé ensuite par le tablier, le lin est serré entre deux xxxxx courroies qui l'entrainent vers un égreneur et,le tenant par les pieds des tiges, présentent au mécanisme d'é- crasement les ttes portant les capsules, Les graines tom- bent dans un récipient ad @oc.
Les tigon do lin égre@ées pouvant alors ôtre répandues sur le sol à fin de rouissage; ou bien se rendre directement à une botteleuse..lieuse d'un type connu, ou bien encore pas- ser, après l'égreneuse, dans des broyeurs constitués d'une série de paires de rouleaux, entre lesquels le lin est égale- ment entraîné par un jeu de courroies.
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Ces opérations impliquent évidemment le rouissage sur le terrain même, ce qui se pratique dans les grandes exploita- tions pour lesquelles la machine a été conçue.
A titre d'exemple, les dessins annexés représentent schématiquement un mode de réalisation de la machine objet de l'invention, sans représenter :le mode de traction qui est/différent.
La fig.l- est une vue schématique d'ensemble.
La fig.2-est un détail en plan, et la fig.3 un détail,en profil, de l'égreneuse montée sur la machine/.
Comme on le voit, fig.1, le bâti 1, monté sur l'essieu 2, se prolonge à l'avant par une pièce 3 formant balancier articulé et susceptible, au moyen d'un levier 4 et d',une commande 5, d'être plus ou moins relevée par rapport au sol.
La pièce 3 porte deux tambours à dents 6 et 7 tournant respectivement dans le sens des flèches 8 et 9, , sous l'impulsion d'une commande non figurée.
Des éléments souples formant peigne 10 viennent s'appli quer sur le tambour 7. De la sorte, le lin représenté en 11, et ramassé par les dents du tambour 6, pour remonter par le jeu des deux tambours, passe sur les organes du peigne 10 a- vant d'arriver sur le tapis sans fin élévateur 13.Celui-ci comporte des picots ou dents convenablement placés, 13,pour amener le lin selon la floche 14. a
La mise en action de tous les organes est assurée partir de l'essieu 2, par des chaînes telles que: 15,16,17, 18.
La machine représentée, bien entendu uniquement toujours à titre d'exemple, en 19, est une égreneuse d'un modèle cou- rant, à cylindres. Son détail de fonctionnement est indiqué sur les figures 2 et 3.Les courroies 20 et 20' emmènent le lin et font passer les têtes sur les cylindres 21 et 22 lé- gèrement coniques et avec assemblage élastique sur un cotée
L'éventuel dispositif broyeur n'est pas figuré: il pourrait:
soit remplacer le dispositif égrenour,soit venir à sa suite.La partie arrière 23 comporte un dispositif noueur, avec commande par arbre 24, à partir de l'équipage conique 25, Ce dispositif noueur peut être facilement démonté'du bâ ti, en 26 et 27, pour laisser la place à une tôle, dessinée
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en traits mixte en 27, qui répand le lin à. terre sans le bot- teler, dans la direction de la flèche 28.
Toutes modifications de détail peuvent ertre apportées à la combinaison décrite, la machine restant toujours la mê- me dans ses principes et ses modes d'utilisation.
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a e v e n d 1 o a t 1 o n s
1 -Machine combinée pour-le travail complet de la paille de lin sur le terrain susceptible de: a) soit relever le lin étendu à terre en ligne, l'égre- ner, et ensuite ou le laisser retomber à terre, ou le mettre en bottes; b)soit relever le lin égrené,le passer à travers un broyeur, et le mettre en bottes; c) soit, dans le cas le plus complet: relever,égrener, broyer et mettre en bottes le lin; caractérisée par la combinaison, sur un bâti unique ou sur
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plusieurs bâtis juxtaposés, d'un syxtèmeTeleveur (de tout
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: "Combined machine for the complete working of flax straw in the field"
Flax, once mowed or torn off, has to undergo a number of special treatments, before a textile portion can be extracted from its fibers.
It must, in fact, be put to retting, to destroy the gummy material, then be scotched, to separate the woody fragments from the fibers, and transform them into fiber, an operation which comprises two distinct phases: grinding, and scutching itself. In addition, if it is intended to use the grain, it is necessary to provide for ginning.
On small or medium-sized farms, the harvest is retted under certain conditions, usually close to the ground. The ginning and scutching are then carried out at the head office.
For very large areas cultivated with flax, it is interesting to reduce handling to a minimum, and to carry out as many operations as possible on site,
The present invention therefore relates to a combined machine, driven by animal traction or any type of mechanical device, which makes it possible to carry out the major part of the operations in the field. It can, in fact a) either lift the flax lying on the ground in line. , shatter it, and then either let it fall to the ground or the-, put in bundles, b) either raise the linintegrate, pass it through a
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crusher, and bundle it. c) either, in the most complete case, picking up, grinding, crushing and kicking the flax,
To this end, the machine object of the invention is characterized by the combination, on a single frame or on several juxtaposed frames, of a lifting system of any known type but, preferably specially adapted for flax, of a system. ginning of any known type (with rollers, hammers, or combs), of a flax grinding system (by grooved cylinders and of a binding system also of any known type, but suitable for flax)
The lifting takes place in such a way that the stems remain as parallel as possible, without being tangled, and that the seed capsules are on the same side.
Usually, two parallel rollers rotating in the opposite direction are used: the first carries the fixed metal fingers, and the second flexible metal fingers, with an elastic call at the base; these last fingers being longer than those of the first roll.
A lever adjusts the set of two rollers and their position above the ground, so that the fingers of the second roll scrape the soil and grab the flax there, which an endless table raises at the same time. top of the machine.
On the second cylinder, the flexible metal scrapers prevent it from rolling up,
Then lifted by the apron, the flax is clamped between two xxxxx belts which lead it towards a destemmer and, holding it by the feet of the stems, present to the crushing mechanism the heads carrying the capsules, The seeds fall in an ad @oc container.
The linseed tigon can then be spread on the ground at the end of retting; either go directly to a baler..binding machine of a known type, or even pass, after the gin, through crushers made up of a series of pairs of rollers, between which the flax is also driven by a set of belts.
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These operations obviously involve retting on the ground itself, which is practiced on the large farms for which the machine has been designed.
By way of example, the appended drawings schematically represent an embodiment of the machine which is the subject of the invention, without showing: the traction mode which is / different.
The fig.l- is a schematic overall view.
Fig. 2-is a detail in plan, and Fig. 3 a detail, in profile, of the gin mounted on the machine /.
As can be seen in fig. 1, the frame 1, mounted on the axle 2, is extended at the front by a part 3 forming an articulated balance and capable, by means of a lever 4 and of, a control 5 , to be more or less raised from the ground.
Part 3 carries two toothed drums 6 and 7 rotating respectively in the direction of arrows 8 and 9, under the impulse of a command not shown.
Flexible elements forming a comb 10 come to be applied on the drum 7. In this way, the linen shown at 11, and picked up by the teeth of the drum 6, to go up by the set of the two drums, passes over the organs of the comb 10 before reaching the endless elevator conveyor 13. This has properly placed pins or teeth, 13, to bring the flax according to the flock 14. a
All the components are put into action from axle 2, by chains such as: 15,16,17, 18.
The machine shown, of course still only by way of example, at 19, is a gin of a current model, with cylinders. Its working detail is shown in figures 2 and 3. The belts 20 and 20 'take the flax and pass the heads over the cylinders 21 and 22, slightly conical and with elastic assembly on one side.
The possible shredder device is not shown: it could:
either replace the ginning device, or come after it.The rear part 23 comprises a knotter device, with drive by shaft 24, from the conical assembly 25, This knotter device can be easily removed from the frame, in 26 and 27, to make room for a sheet, drawn
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in dot-and-dash lines at 27, which spreads flax to. earth without bumping it, in the direction of arrow 28.
All modifications of detail can be made to the combination described, the machine always remaining the same in its principles and modes of use.
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a e v e n d 1 o a t 1 o n s
1 -Combined machine for-the complete work of the flax straw on the ground capable of: a) either lifting the flax lying on the ground in line, shelling it, and then either letting it fall to the ground, or putting it in bundles; (b) pick up the shelled flax, pass it through a crusher, and bundle it; (c) or, in the most complete case: picking up, peeling, crushing and bundling the flax; characterized by the combination, on a single frame or on
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several juxtaposed frames, of a televider system (of all