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Diviseur pour machines à meuler les engrenages, pignons, arbres à rainures et autres pièces analogues.
Cette invention concerne les diviseurs utilisés dans les machines à meuler ou rectifier les engrenages, pignons, arbres à rainures et autres pièces analogues, dans lesquels on utilise un plateau diviseur comportant des crans en nombre correspondant à celui des entredents
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ou rainures de la pièce d'ouvrage, puis un doigt index pouvant être engagé dans les crans et dégagé de ceux-ci, ainsi qu'un dispositif d'avancement du plateau diviseur.
L'invention apporte aux diviseurs de ce type des perfectionnements qui permettent d'obtenir une plus grande précision de division, ainsi qu'un réglage simple et sûr à l'angle de division nécessaire dans chaque cas, le travail du diviseur étant, en outre, rendu plus silencieux et étant plus exempt de chocs ou d'à-coups que jusqu'à présent.
L'invention est applicable aux machines à meuler et rectifier de divers types, aussi bien aux machines à meuler servant à l'usinage de pignons, plateaux ou arbres comportant des dents droites de même direction que leurs axes, qu'aux machines servant à meuler ou rectifier des dentures disposées selon des hélices.
La commande du dispositif d'avancement du plateau diviseur est empruntée, dans l'exemple de l'invention appliquée au meulage ou à la rectification de dents droites, au mouvement de va-et-vient qu'exécute le chariot de la contre-poupée maintenant la pièce dans des contrepointes dans la table fixe ou bâti de la machine à meuler, tandis que dans des machines servant au meulage ou à la rectification de dentures hélicoïdales la nouvelle rotation du plateau diviseur chaque fois de la valeur de l'angle de division est imprimée par le mouvement de rotation de la pièce d'ouvrage, qui sert au vissage.
Dans les diviseurs actuellement connus, le plateau diviseur est empêché par un frein agissant constamment
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sur son axe d'exécuter des mouvements de rotation indésirables qui pourraient se produire lorsque le doigt index est dégagé du plateau diviseur. Ce frein agit donc même lorsque le doigt index entre dans le plateau diviseur pour assurer sa fixation définitive.
La friction produite par le frein s'oppose à la fixation ou immobilisation précise du plateau diviseur.
L'objet de l'invention se différencie de ces dispositifs diviseurs connus jusquàà présent par les caractéristiques suivantes qui apportent un progrès important à ces dispositifs:-
Le plateau diviseur n'est immobilisé par un frein à friction pour empêcher sa rotation intempestive que pendant que le doigt index est dégagé du plateau diviseur. L'immobilisation de ce plateau par le doigt index s'effectue lorsque ce plateau possède une complète liberté de rotation, ce qui fait qu'on obtient une plus grande précision de division. Ce résultat est obtenu du fait que le doigt index et le frein alternent leur action sur le plateau diviseur ou sur l'axe de ce plateau. L'actionnement du frein est alors avantageusement une conséquence du mouvement du doigt index.
Dans les machines servant à meuler ou rectifier des dents droites, on peut disposer le doigt index et le frein sur les bras d'un levier à deux côtés, mais, dans ce cas, le support du frein est déparé de celui du doigt index afin de préserver le support sensible du levier d'index des pressions du frein. Pour des machines servant à meuler des dents hélicoïdales, la pièce à coulisse courbe commandant le doigt index peut être
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constituée en même temps sous forme de patins de frein et elle est soumise à l'action du ressort agissant sur le levier index lorsque le doigt index soumis à Inaction de ce ressort est soulevé hors du plateau pendant le mouvement de division jusqu'à ce que ce doigt rentre dans le plateau diviseur.
Dans tous les cas d'application, par l'action alternative mentionnée entre le doigt index et le dispositif de frein, le freinage n'est supprimé que lorsque le doigt index est déjà un peu engagé dans une rainure ou cran du plateau diviseur.
Le doigt index commandé par une pièce de la machine animée d'un mouvement de va-et-vient par l'intermédiaire d'une pièce à coulisse courbe est constamment guidé non seulement pendant son mouvement de dégagement, mais aussi, selon l'invention, pendant son mouvement d'enclanchement, tandis que dans les diviseurs connus de ce type, on constate uh enclanchement rapide, souvent de la nature d'un coup, du doigt index dans le plateau diviseur. On obtient de ce fait un travail tranquille, presque sans usure entre le doigt index et la rainure ou le cran du plateau diviseur, puis les paliers ou supports du levier d'index et de l'arbre diviseur sont préservés des chocs.
Afin de rendre aussi courte que possible la durée pendant laquelle le plateau diviseur n'est empêché que par le frein de maintien d'exécuter un mouvement de rotation intempestif, le doigt index rentre immédiatement après qu'une nouvelle division est parcourue dans le plateau diviseur. Mais la commande du doigt index est empruntée à un mouvement de va-et-vient
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d'une pièce de la machine. C'est pourquoi, selon l'invention, on a prévu pour le doigt index un dispositif de commande qui n'agit que pendant le mouvement d'aller, ou que pendant le mouvement de retour de la pièce en question de la machine.
L'adaptation de l'amplitude d'avancement du plateau diviseur produite par le diviseur à l'angle de division désiré dans chaque cas se fait, selon l'invention, en modifiant seulement une grandeur de réglage. Ceci est possible dans le cas de dents droites en utilisant par exemple un levier imprimant un mouvement par un cliquet à un plateau d'avancement et qui est déplacé à l'aide d'une coulisse courbe. Le réglage de la déviation du levier par rapport à la course de cette coulisse courbe s'effectue du fait qu'une bielle commandant le levier peut être déplacée par sa tête de raccordement dans une fente arquée du levier mentionné. Ce réglage.unique suffit pour faire arriver le doigt index sans plus dans la rainure du plateau diviseur dans toutes les positions angulaires de division.
Dans le cas du meulage ou de la rectification de dents hélicoïdales, l'adaptation à l'angle de division désiré s'effectue en ne faisant varier qu'une seule grandeur de réglage par une commande de mouvement de sens contraire ou de même sens de la coulisse de dégagement et d'enclanchement de ce doigt par rapport au mouvement oscillant du doigt index.
Outre les caractéristiques sus-indiquées, diverses autres particularités de l'invention ressortiront de la description détaillée qui suit.
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Les dessins annexés illustrent des exemples de réalisation de l'objet de l'invention.
Les figuras 1 à 10 incluse illustrent, à titre d'exemple?, des modes de réalisation de diviseurs pour machines servant à meuler ou rectifier des pièces d'ouvrage comportant des dents droites.
L'un de ces modes de réalisation est représenté dans les figures 1 à 3.
La figure 1 est une élévation de face du diviseur.
La figure 2 est une élévation latérale correspondante.
La figure 3 est un plan de ce même diviseur.
Les figures 4 et 5 représentent les diverses positions de travail des organes servant à l'actionnement du levier d'index et du frein.
La figure 6 représente des organes constitués encore d'une autre façon pour l'actionnement du levier d'index.
La figure 7 est une vue de détail tirée de la figure 6.
La figure 8 est une élévation latérale correspondant à la figure 6.
La figure 9 est une élévation de face d'un diviseur comportant un dispositif modifié pour faire avancer le plateau diviseur.
La figure 10 représente en élévation latérale des détails de la figure 9.
Les figures 11 à 14 incluse représentent, à titre d'exemples, des modes de réalisation de diviseurs pour machines servant au meulage de pièces d'ouvrage comportant des dents qui s'étendent en hélice.
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La figure Il est une élévation de face d'un diviseur.
La figure 12 est une élévation latérale correspondante.
La figure 13 est un plan correspondant à la figure 11
La figure 14 est une élévation de face montrant sur un diviseur conforme à l'invention les organes utilisés, à titre d'exemple, pour le réglage de l'angle de division pour l'avancement du plateau diviseur.
Description des figures 1 à 10
Dans la table fixe 1 de la machine à meuler est monté, de la façon habituelle, le chariot 2 recevant la pièce d'ouvrage W entre des pointes de contre-poupée ; l'un des arbres de pointe 3, qui attaque le mandrin porte-pièce D au moyen de l'organe d'entraînement 4, porte le diviseur. Sur l'arbre 3 sont fixés en commun, comme un tout, le plateau-diviseur 6, le plateau d'avancement 7 et le tambour de frein 8. Dans un bras 9 s'élevant du chariot 2 est monté un tourillon 10, sur lequel peuvent pivoter le levier 16 portant le doigt index 15 et le levier de frein constitué par deux bras 17 et 18. Le levier porte-doigt index 16 et l'un des bras 17 du levier de frein sont reliés à leurs extrémités libres par un boulon 19.
Ces deux leviers forment donc un ensemble commun et seuls leurs moyeux restent séparés l'un de l'autre sur le tourillon 10, de sorte que le levier porte-doigt index 16 n'est pas affecté par les pressions de freinage qui se produisent. La plaque de frein 20 avec son tenon 21 est introduite dans le bras
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18 du levier de frein et est par exemple limitée par une rondelle 22 vissée sur elle, de façon que, dans la position de repos du levier de frein et en fait pendant l'enclanchement du doigt index 15 avec le plateau diviseur 6, la plaque de frein 20 ne puisse pas s'appliquer sur le tambour de frein 8. Un ressort 23 maintient la plaque de frein 20 dans la position mentionnée.
L'axe ou boulon 19 est attaqué par une bielle 25, qui est articulée à son autre extrémité à une tige 26 guidée dans un appendice 27 de la table 2. Un ressort de compression 28, qui prend appui sur la partie fixe 27 et qui agit par son autre extrémité contre une rondelle fixée 29, maintient le doigt index 15 en prise avec le plateau diviseur 6.
A son extrémité inférieure, la tige 26 porte une tête 30, qui présente deux surfaces directrices superposées parallèles 31,32 et qui est biseautée dans le même sens sur ses deux surfaces de bout 33, 34. A l'aide de cette tête de constitution particulière 30, la commande du levier 16 et du levier 17, 18 est assurée de telle manière qu'on obtient dans l'un des sens du mouvement du chariot un mouvement constant de montée et de descente de la tige 25, tandis que, dans l'autre sens de mouvement du chariot, il ne se produit pas de commande de la tige 25. Ce résultat est obtenu grâce à la coopération de la tête 30 avec une pièce de guidage 35 prévue dans la portée de cette tête sur le montant fixe 1 de la machine à meuler.
Cette pièce de guidage 35 constitue l'extrémité d'un bras de support 36, qui peut pivoter autour de l'axe fixe 37, mais qui est maintenu par un
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rassort 38 en position de repos déterminée. Le mouvement du-bras de support 36 est limité vers le bas par une butée 39. La pièce de guidage 35 comporte, l'une audessus de l'autre, deux surfaces directrices 40 et 41, qui sont parallèles aux surfaces directrices 31 et 32 de la tête 30 de la tige 26. La pièce de guidage 35 comporte, en outre, les surfaces de bout 43 et 44 biseautées en sens contraire l'une à l'autre.
Pour assurer l'avancement du plateau diviseur 6 et de la pièce d'ouvrage W reliée à ce plateau, on se sert d'un dispositif d'avancement qui agit sur le plateau d'avancement 7 divisé de façon correspondant au plateau diviseur 6. Dans ce plateau d'avancement 7 engrène le cliquet d'avancement 47, qui peut pivoter autour d'un axe 48 monté sur le levier 49. Ce levier est monté à rotation sur un axe 50 co-axial à l'arbre 3 de la pointe, et il comporte une fente ou glissière arquée 51. Une bielle 52 peut être fixée dans cette fente par son extrémité sur le le-fier 49, tandis que l'autre extrémité de la bielle 52 est raccordée à une tige 53, qui est guidée dans un bras de support 54 fixe sur le chariot ou table mobile 2. La longueur de la bielle 52 correspond à la grandeur du rayon de la fente arquée et la position de l'axe d'articulation 53' au centre de l'arc.
Un ressort de compression 55, qui s'appuie sur le bras de support 54 et qui agit contre une rondelle ou un collet 56 fixé sur la tige 53, tend à pousser la tige 53 par le galet 57 qu'elle porte à son extrémité inférieure contre une surface courbe directrice 58 fixée au bâti de la machine.
Cette disposition de la bielle 52 par rapport à la fente
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arquée 51 rend le réglage possible aux divers angles de division, mais la position extrême du cliquet d'avancement 47 reste la même dans tous les réglages d'angle de division.
Pour l'actionnement du diviseur représenté dans les figures 1 à 3 à l'aide de la surface courbe 58, on utilise le déplacement longitudinal du chariot-table 2.
Lorsque les diverses pièces prennent la position représentée dans la figure 2, le doigt index 15 est en prise avec le plateau diviseur 6 et la plaque de frein 20 est écartée du tambour de frein 8.
Si le chariot 2 est ramené dans le sens indiqué par la flèche I dans la figure 2, la tige 53 commence tout d'abord à glisser par son galet 57 du point supérieur de la courbe directrice 58, de sorte que le cliquet d'avancement 47 sort de sa position extrême contre le plateau d'avancement 7. En même temps s'effectue le mouvement (illustré dans la figure 4) de la tête 30 montée sur la tige 26. La surface oblique 33 de cette tête rencontre la pièce de guidage 35, la soulève malgré l'action du ressort 38 (comme indiqué en pointillé) et glisse par sa surface 31 le long du dessous de la pièce de guidage 35. Dès que la tête 30 quitte la pièce de guidage 35, cette dernière redescend. La position basse de la tête 30 est indiquée en traits pleins dans la figure 4 et une position intermédiaire est indiquée en traits pointillés.
Le mouvement s'effectuant en sens contraire de la tête 30 est illustré dans la figure 5. C'est le mouvement pendant lequel le doigt index 15 doit sortir du
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plateau diviseur 6, l'avancement du plateau diviseur et de la pièce d'ouvrage W doit se produire et le freinage du plateau diviseur et de la pièce d'ouvrage pour empêcher leur rotation intempestive s'effectue à partir du moment de la sortie du doigt index de la rainure ou cran du plateau diviseur jusqu'à la rentrée de ce doigt dans un autre cran.
La tête 30 de la tige @ 26 se déplace à partir de la position indiquée en traits pleins dans la figure 4 avec sa surface oblique 34 sur la surface oblique 43 de la pièce de guidage 35, pousse le bras de support 36 vers le bas dans sa position limitée par la butée 39 et glisse, en surmontant la force du ressort 28, sur le dessus 40 de la pièce de guidage 35. La, tête 30 est représentée dans cette position en traits pleins dans la figure 5. Tant que la tête 30 glisse sur la surface 40, le doigt index 15 est sorti du plateau diviseur 6 et, par le glissement progressif de la tête 30 sur la surface oblique 44 de la pièce de guidage 35, le doigt index 15 revient dans le plateau diviseur 6 c'est-à-dire en fait dans la rainure ou cran qui se présente à lui après le mouvement d'avancement produit par le cliquet 47.
Dès que la tête 30 est arrivée dans la position inférieure extrême indiquée en pointillé dans la figure 5 (que montre aussi la figure 2) le bras de support 36 a atteint avec la pièce de guidage 35 la position de repos neutre.
Aussitôt que le doigt index 15 est introduit dans le cran ou rainure du plateau diviseur, la plaque de frein 20 se soulève du tambour de frein 8, de sorte que le réglage final du plateau diviseur 6 se fait par le
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doigt index 15 alors que'le plateau diviseur a une complète liberté de rotation. Par suite, le doigt index n'a aucune friction à surmonter pour effectuer le réglage précis du plateau diviseur et il peut par conséquent entrer lentement, avec un guidage précis de son mouvement, dans le plateau diviseur. E fonctionnement constant, on assure ainsi un travail tranquille et sans usure du doigt index. En outre, le plateau diviseur et le palier portant le doigt index, ainsi que le palier de l'arbre du plateau diviseur restent préservés de tous chocs et leur précision est conservée.
Selon l'invention, les diverses pièces sont calculées les unes par rapport aux autres de façon que la durée pendant laquelle le plateau diviseur est empêché par le dispositif de freinage seulement d'effectuer une rotation intempestive soit aussi courte que possible. A cette fin, le doigt index rentre immédiatement après qu'un nouvel avancement de division est effectué dans le plateau diviseur.
Il est également avantageux que, selon l'invention, la course de la glissière courbe de commande ou élément analogue soit adaptable ou réglable par un seul réglage de la grandeur de l'angle de division et, en fait, à l'aide du levier 49 déjà mentionné qui comporte la partie à fente arquée 51.
Par l'utilisation de cette fente arquée et en raison du fait que la bielle 52 a la morne grandeur que le rayon de l'arc, on obtient, pour divers réglages de l'angle de division les mêmes positions initiale et extrême du levier 49 travaillant avec un mouvement angulaire différent, puis ces positions initiale et
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extrême concordent avec la position du doigt index 15, c'est-à-dire que la surface de travail du cliquet d'avancement 47 se trouve dans le plan radial de l'axe du plateau diviseur, dans lequel le doigt index 15 est placé. En conséquence, le doigt index atteint toujours, pour tous les réglages de l'angle de division, le cran ou rainure du plateau diviseur et cela sans rectifications effectuées après coup du réglage.
Le dispositif modifié par rapport aux figures 1 à 5 servant à l'actionnement du doigt index selon les figures 6 à 8 est constitué essentiellement par une . pièce profilée 65 prévue sur le bâti 1 de la machine à meuler ou rectifier et qui est montée de façon pivotante sur un axe 67 s'étendant dans le même sens que le chariot 2. Sur cette pièce profilée peut prendre appui la tige verticale 68 qui, à cet effet, peut être munie en bas, par exemple d'un couteau arrondi 69 ou d'un galet. Le levier 66 portant le doigt index 70 s'applique sur l'extrémité supérieure de la tige 68 sous l'action d'un ressort de traction 71. Le levier 66 est articulé sur une console 72 du chariot 2 dans laquelle coulisse la tige verticale 68.
Sur le côté de la pièce profilée 65 est montée une pièce directrice 73, dont les bords longitudinaux supérieur et inférieur '74 et 75 sont parallèles au chariot 2, tandis que les bords antérieur et postérieur 76 et 77 s'étendent obliquement. Sur le côté du chariot 2's'étend un bras 78 qui porte un ergot 79 (ou un rouleau tournant). Cet ergot 79 fait pivoter, lors du mouvement du chariot ou table mobile 2 dans le sens indiqué par la flèche II dans la figure 6, la pièce
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profilée 65 dans la position de travail, pour soulever le doigt index hors du plateau diviseur 6 et l'y rabaisser par l'intermédiaire de la tige 68 et du levier 66.
Un ressort de traction 80 attaque le dessous de la pièce profilée 65 en direction telle que cette pièce est maintenue dans une position médiane (Fig.7). A partir de cette position médiane, la pièce profilée 65 pivote, lors du mouvement du chariot dans un sens, dans la position de travail et, lors du mouvement du chariot dans l'autre sens, hors d'action. De ce fait également, le doigt index est constamment guidé aussi bien dans sa position de soulèvement que dans sa position d'enclanchement.
Lors du retour du chariot 2, l'ergot 79 glisse alors sur la surface oblique 77 de la barre de guidage vers le bas sur le bord inférieur 75 de la barre de guidage 73 et fait pivoter la pièce profilée jusqu'à la position représentée en pointillé dans la figure 8, hors de contact avec la tige verticale 68, si bien que, dans le retour mentionné du doigt index 70, aucune commande n'est effectuée par la pièce profilée 65.
Pour assurer l'avancement du plateau diviseur, on peut utiliser, à titre de variante du dispositif représenté dans la figure 1, le dispositif que montrent les figures9 et 10 .
Il y a dans ce cas une pièce profilée 88 présentant une hauteur de levée variable transversalement à la direction de travail. Cette pièce profilée repose dans des paliers 89 du bâti de la machine à meuler ou rectifier, où elle peut être fixée par des vis 90 et il est
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possible de la faire tourner de façon appropriée pour adapter sa levée à l'angle de division nécessaire dans chaque cas. La tige 92, qui repose dans le palier 93 du chariot ou table mobile 2, se guide, à l'aide d'un galet 91 sur cette pièce prof ilée. Le ressort 94, qui prend appui dans le porte-palier 93, exerce son action contre une rondelle ou bride 95 et pousse la tige 92 avec le galet 91 contre la pièce profilée 88.
La bielle 96 est reliée à l'extrémité supérieure de la tige 92, et est articulée au levier 98 portant le cliquet d'avancément 97.
Cette disposition de la pièce profilée établie en vue d'une hauteur de levée variable permet également le réglage du plateau diviseur de la distance de division désirée par un seul mouvement de réglage, à savoir par rotation de la pièce prof ilée.
Les figures 11 à 14 donnent un exemple de la constitution d'un diviseur selon l'invention pour machines à meuler des dentures disposées en hélice.
Description des figures 11 à 13
Dans le bâti ou table fixe 1 de la machine à meuler, le chariot ou table mobile 2, qui reçoit la pièce d'ouvrage W1 entre des pointes de poupées, exécute son chariotage. L'arbre de poupée 3, qui attaque au moyen de l'organe d'entraînement 4 le mandrin D porte-pièce, est solidaire du plateau diviseur et du tambour de frein.
-Un carter 103 renferme par exemple l'ensemble du diviseur.
Une console porte-palier 109 supporte l'axe 110 et un levier comportant deux bras 111, 112 est monté sur cet axe. L'arbre 111 porte le sabot de frein 113, puis en
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outre, comme appendice latéral, une pièce profilée 114, présentant des surfaces de dessus et de dessous 116 et 117 parallèles l'une à l'autre, ainsi que des surfaces de bouts 118 et 119 obliques en sens contraire l'une à l'autre. Un ressort de traction 120 agit sur le bras de levier 112, en direction déterminée, de telle manière que le sabot de frein 113 ne vienne ordinairement pas en contact avec le tambour de frein 108, mais en demeure écarté dans une faible mesure, comme le montre la figure 11.
Le bras 129, qui porte à l'aide d'un axe 127 le levier d'index 126, est monté sur un corps coulant 128 tournant librement autour de l'arbre porte-pointe de poupée 3. Lors du mouvement du chariot porte-pièce 2 dans le sens indiqué par la flèche III dans la figure 13, le corps roulant 128 tourne pendant son déplacement axial simultané par suite du mouvement du chariot dans le sens de la flèche IV de la figure 11. Ce mouvement est produit par un coulisseau transversal 133 guidé dans le chariot 102 et à partir duquel des rubans d'acier 130 et 131 enserrent de façon connue le corps roulant 128 puis qui s'engage en même temps par un ergot 134 dans une glissière 135. Cette glissière est réglable, de façon correspondant au pas de vis désiré, en la faisant tourner dans le bras à palier 136 du bâti 1 de la machine à meuler.
Le mouvement de rotation du corps roulant 128 est transmis par le doigt index 115,au plateau diviseur, qui, de son côté, déplace la pièce d'ouvrage. Si le plateau diviseur doit maintenant être avancé de l'angle de division pendant le mouvement de
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commande hélicoïdal, il faut que le doigt index parvienne, pendant ce mouvement, dans la rainure ou cran suivant du plateau diviseur. Ceci est effectué du fait que le levier d'index 126, animé d'un mouvement de vaet-vient avec le plateau diviseur, est sorti de la rainure ou cran du plateau diviseur pendant son mouvement et qu'en même temps le plateau diviseur est freiné pour ne pouvoir tourner jusqu'à ce que le doigt index soit parvenu au-dessus de la rainure ou cran suivant du plateau diviseur.
A cette fin, le doigt index 126 comporte une tête 121, présentant deux surfaces obliques parallèles 123 et 124, qui coopèrent avec les surfaces obliques 118 et 119 du sabot de frein 113 disposé sur le bras 111.
Ainsi qu'on peut le voir par la figure 11, le doigt index est dégagé par sa tête 121 du plateau diviseur et réengagé par sa tête dans ce plateau, lors de la continuation du mouvement dans le sens de la flèche IV, malgré l'action du ressort 125, par le sabot de frein à l'aide des deux surfaces obliques placées des deux côtés.
Du fait que la tête 121 doit glisser sur le sabot de frein 113, ce sabot de frein est pressé par le ressort 125 sur le tambour de frein 108 et empêche alors le plateau diviseur et la pièce d'ouvrage de tourner. Mais,des que le doigt index entre dans la rainure ou cran du plateau diviseur, le sabot de frein 113 est déchargé et le ressort 112 le soulève de nouveau du tambour de frein 108, de sorte que le doigt index peut effectuer la fixation précise du plateau . diviseur, selon l'invention, avec complète liberté de rotation.
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Le mouvement de recul du levier 126 avec le doigt index 115 placé dans le plateau diviseur se fait dans le sens indiqué par la flèche V dans la figure 11. Au cours de ce mouvement de recul, la tête 121 glisse par sa surface de dessus contre la surface de la pièce de guidage 114. Celle-ci peut s'écarter de façon correspondante vers le haut, de sorte qu'une commande du doigt index par le sabot de frein 113 ne se produit pas.
La figure 14 représente un diviseur applicable à une machine à meuler des dents hélicoïdales, selon un mode de réalisation dans lequel l'adaptation de la grandeur constante d'une pièce courbe de commande à l'angle de division désiré dans chaque cas est obtenue par une variation d'une seule grandeur de réglage et cela grâce à un mouvement de commande de la pièce courbe mentionnée de même sens ou de sens contraire au mouvement oscillant du doigt index. La durée de l'action de commande de la pièce courbe par rapport au plateau diviseur est ainsi prolongée ou raccourcie.
On a prévu ici sur une fu.sée 140, coaxiale à l'arbre 3 porte-poupée, un levier à deux bras 141 monté à pivot, qui reçoit à pivotement sur l'une de ses extrémités, à l'aide d'un axe 142, le levier 146 portant le doigt index 145, tandis qu'une vis 147 est introduite dans l'autre extrémité du levier 141. L'axe 142 est commandé par le bras 129 à partir de la commande à roulement. Le levier 146 est tiré par un ressort 148 sur le plateau diviseur 166. Au-dessus du doigt index 145, le levier 146 porte encore une tête 151 présentant deux surfaces obliques parallèles et qui peut coopérer avec
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une pièce de guidage trapézoïdale 152 Cette dernière est-reliée au levier 155, qui est monté, à l'aide de l'axe 156, de façon à pivoter sur un levier deux bras 158 monté sur la fusée 140.
Un ressort 157 agit sur le levier 155 de façon que la pièce de guidage 152 puisse pivoter par rapport à la tête 151 Le bras descendant du levier 158 présente une fente 160, dans laquelle un doigt 161 peut être réglé et fixé; ce doigt 161 peut glisser dans une glissière pratiquée dans un double levier 163. Ce dernier est maintenu de façon pivotante à l'aide d'un axe 162 sur le chariot formant table mobile porte-pièce. Le bras descendant du levier 163 est tiré par un ressort 164 dans une position de repos déterminée par la butée 165.
Par le heurt de la vis de réglage 147 contre le levier à deux bras 163, le levier 158 reçoit, par l'intermédiaire du doigt 161, un mouvement angulaire qui lu. est imprimé précisément au moment où'la tête 151 du levier 146 portant le doigt index glisse sur lacourbe de commande 152. Dans chaque cas, après que le doigt 161 se trouve dans la position représentée dans la figure 14 par rapport à l'axe 162 ou dans la position opposée par rapport à l'axe 162, la pièce courbe profilée de commande 152 reçoit son mouvement angulaire dans le sens du mouvement du doigt index ou en sens contraire.
Pour assurer le mouvement de la plaque de freinage 169 à partir du plateau diviseur 168 et vers ce plateau, on peut par exemple prévoir un levier articulé 171, qui peut pivoter autour d'un axe 172 monté dans le
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chariot 2 de la contre-poupée et qui présente sur sa partie libre un chemin de roulement arqué 173. La tige 170 portant la plaque de freinage 169, qui est guidée dans un palier particulier 174 du chariot porte-contrepoupée 2, est articulée, à l'aide d'une biellette 175 sur le levier 171. Un ressort 176, qui attaque le levier 171, tend à presser la plaque de freinage 169 contre le tambour de frein 168.
Le levier 171 trouve, pour son mouvement oscillant, une certaine limite déterminée par le levier index 146, qui est prolongé au delà de son axe d'articulation 142 et qui porte un galet 177, contre lequel le levier 171 s'applique par sa surface arquée 173. En donnant une conformation et des dimensions appropriées à la partie prolongée du levier d'index 146, on obtient ce résultat que, quand le doigt index 145 est enfoncé dans le plateau diviseur 166, la plaque de freinage 169 ne touche pas le tambour de frein 168, mais que quand le doigt d'index est sorti du plateau diviseur, l'effet de freinage se produit.
REVENDICATIONS.
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