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.. 9erteationnenents aux machines à t'aire les boulons ".
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La présenta invention se rapporte à une ma- chine destinée à former, d'une façon continue, des é-
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bauches de boulins par une série d* opérations succes- sives de façonnage, le but principal de l'invention étant de constituer une machine efficace de ce type, susceptible de travailler à grande vitesse:
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Gonfonnément à l'invention, la machine compori te des matrices et des outils coopérant avec les matrices
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les outils et les matrices étant susceptibles de rece- voir successivement des ébauches de boulons amenées à ladite machine par un mécanisme de transport et d'agir sur lesdites ébauches pour soumettre à l'extrusion la partie principale de chaque ébauche de façon à for- mer, avec des diamètres différents, le corps et la partie: destinée à recevoir le filet du boulon et enfin à déformer et à façonner la partie de l'ébauche qui n'a pas été soumise à l'extrusion pour en former une tête de boulon.
D'une faÇon plus spéciale la machine objet de l'invention permet de découper des ébauches à partir d'un fil ou d'une barre continus d'un diamètre plus grand que le diamètre extérieur des filets à forcer et de transporter lesdites ébauches, d'abord à une matrice agissant par extrusion et dans laquelle chacune des ébauches est enfoncée par un outil ou poinçon à mouxe- ments alternatifs de manière à donner par extrusion à la partie principale de l'ébauche le diamètre extérieur des filets, :
pais à une deuxième matrice qui présente un étranglement destiné à agir par extrusion sur une par- tie de la longueur de la barre ou du fil traités au cours de la. première opération et qui présente en outre un avidement dans lequel la partie du fil ou de la barre originelle non soumise à l'extrusion est déformée de manière à foncer une tête et enfin à une troisième matrice dans laquelle on agit sur l'ébauche au moyen d'un poinçon creux de finissage à mouvements alternatifs destiné à façonner la tête formée ainsi qu'il vient d'être dit et à lui donner une forme polygonale.
les outils ou poinçons qui coopérant avec les matrices sont portés par un ooulisseau à mouxements
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7sont alternatifs et servant à enfoncer simultanément les ébauches dans les matrices correspondantes. la machine objet de l'invention est destinée à façonner des ébauches de boulons à partir de tron- çons d'une matière dont le diamètre est plus grand que le diamètre extérieur des filets à former, ébauches qui sont fondes par extrusion de la partie constituant le corps du boulon et par déformation du reste de l'é- bauche par un seul coup de façon à former la tête, une partie du corps formé en premier lieu étant réduite par extrusion au diamètre extérieur des filets grâce à quoi on produit une ébauche exacte,
prête à recevoir les filets et la tête étant formée avec ses dimensions normales par déformation au moyen d'un seul coup pour éviter les plis et les plans de clivage dans la struc- ture métallique de la tête.
L'efficacité et la vitesse de fonctionne- mentdes machines combinées pour l'exécution successive de plusieurs opérations sur une ébauche dans différentes matrices ouà différents postes de la machine e@@ or- dinairement limitées par la vitesse et Inefficacité du mécanisme servant à transporter les ébauches d'un poste de travail à un autre. Dans ce mécanisme de transport, il est nécessaire de mettre en position et de libérer l'ébauche xx devant un poste au devant une motrice au moment voulu du cycle de :fonctionnement de la machine de façon que l'ébauche soit maintenue dans lamatrice ou dans d'autres organes de maintien et que celle-ci soit saisie de nouveau après l'achèvement de l'opération et transportée au poste suivant.
Les libérations et les préhensions répétées de l'ébauche introduit dans ces opérations le risque de faire tomber l'ébauche cu de la prézenter dans un mauvais alignement et parfois aussi
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celui du coincement de la machine* Ceci est parties lièrement vrai lorsque l'une des opérations est impar- faite. ou si l'ébauche doit être cintrée ou doit rece- voir une forma irrégulière quelconque.
On a propose dans des machines comportant plusieurs postes de travail, d'utiliser un° mécanisée de transport comportant des doigts à ressort qui se posent brusquemart sur l'ébauche pour la saisir et qui s'en éloignent brusquement pour libérer ladite ébauche au poste de travail qui lui correspond. Cette appli- cation 'brusque et cette libération brusque de 1*ébauche a une tendance à présenter l'ébauche dans un aligne- ment défectueux ou d'accentuer un alignement défec- tueux déjà existant.
Il est aussi nécessaire, dans cartains de ces types de machines de déplaoer les sup- ports de ces doigts dans doux lent, l'un pour réaliser l'application brusque des doigts sur les ébauches et la libération brusque desdites ébauches et l'autre pour transporter les ébauches d'un poste au suivant, Dans d'autres;
types de mécanismes de transport par doigts à ressort, dans lesquels les supports desdits doigts sont animés d'un mouvement alternatif rectili- gne, il se présente des complications mécaniques in- désirables par suite de la nécessité de faire chevau. cher sur les matrices le chariot de transport, ce qui non seulement rend plus chère l'installation, mais gène en outre sérieusement l'accès auxdites matrices et aux autres parties actives du mécanisme lorsqu'on veut les réparer on les régler.
Pour éviter la tendance indésirable des doigts de transport à ressort à produire un alignement défectueux, ce qui limite la vitesse et Inefficacité
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des machines de ce type, on a proposé d'ouvrir posi- tivement les doigts de transport à ressort du type qui chevauche les matrices en utilisant des butoirs ou d'autres organes analogues que porte le coulis- seau à mouvements alternatifs.
Toutefois on a consta- té que ces dispositifs sont très désavantageux parce qu'ils limitent la vitesse du fonctionnement et qu'ils provoquent une usure excessive:,
Dams la machine objet de l'invention, le transport des ébauches d'une matrice ou d'un :pesta à un autre est effectué à la vitesse et avec 1*et- fiaaaité maximum et les ébauches sont saisies à l'un des postes et libérées au poste suivant sans qu'il s'exerce sur les ébauches des forces qui tendent à les présenter dans un alignement défectueux. Ceci est réalisé grâce au fait qu'on pourvoit un mécanisme de transport d'un chariot à mouvements alternatifs qur lequel sont montées une paire ou plusieurs paires de doigts de transport, les doigts d'une paire ou les doigts des paires étant susceptibles d'osciller simultanément dans des sens opposés.
D'une façon plus particulière le mécanisme comprend : un chariot transporteur monté de l'un des cotés de la ligne des matrices ou des postes de tra- vail de façon qu'il puisse se déplacer d'un mouvement de va-et-vient rectiligne, les doigts transporteurs s'étendant à partir du chariot En. question et étant disposés de façon à dégager les ébauches et les ou- fils pendant le mouvement de retour par suite de l'ouverture desdits doigts;
des moyens destinés à ac- coupler ensemble une paire de doigts de transport de façon qu'ils puissent osciller simultanément sur le
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chariot tout en permettant un léger mouvement relatif des doigts dans la position de fermeture pour s'adapter à des irrégularités ou à un défaut d'alignement d'une ébauche particulière; des moyens pour accoupler ensemble plusieurs jeux de doigts de transport de façon qu'ils agissant simultanément tout en permettant un jeu rela- tif de chacune des séries de doigts par rapport aux au- tres séries lorsque les doigts se trouvent dans la po- sition de fermeture;
le montage du mécanisme de trans- porta de façon qu'il puisse être libéré et qu'on puisse le faire,osciller vers l'un des côtés pour permettre l'accès aux matrices et aux outils sans déranger le ré- glage du mécanisme dans le temps par rapport aux autres organes de la machiner des moyens permettant un autre mouvement latéral des doigts de transport proprement dits par rapport aux matrices et aux postes de travail dans le cas où lesdits doigts rencontrent une résistance occasionnée par une ébauche trop courte ou présentant une autre imperfection, mouvement qui force les doigts à s'ouvrir légèrement au-delà de leur position normale au point où l'obstacle est rencontré.
dommande de le mécanisme de/la machine comporte également de nouvelles caractéristiques et notamment une manivelle reliée au chariot transporteur par une bielle destinée à imprimer au chariot un mouvement de va-et-Tient et organisée de façon qu'elle oscille de 180 environ afin que le chariot subisse une accélération et un ra- lentissement lent aux deux extrémités opposées de son déplacement et enfin que le réglage de la position du chariot à l'une des extrémités de son déplacement règle convenablement et d'une manière automatique, le chariot,, à l'autre extrémité de son déplacement,
une autre ca-
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ractéristique de l'invention réside dans le fait que le mécanisme à mouvements alternatifs pour le chariot est réglé de façon qu'il commence son mouvement de retour après due le coulisseau portant les outils destinés à agir sur les ébauches aux différents postes de travail a commence à reculer de manière que les doigts xéxio@@ Pas besoin de pas pesoin de dégager les outils et les porte-outils 1=que ceux-ci se trouvent dans leur position antérieure ex- trame ce qui permet d'utiliser des porte-outils plus larges et plus rigides.
Un autre avantage est réa- lisé en disposant le quadrant compactant le mouvement le plus rapide de la manivelle oscillante (qui déplace le chariot d'un mouvement alternatif) à la fin du mou- vement de retour afin que le chariot se déplace d'une façon relativement plus lente lorsque le coulisseau a commencé à reculer et puis: plus rapidement vers la fin de sa course pour saisir les ébauches après que ledit coulisseau a reculé d'une distance suffisante pour per- mettre aux doigts de dégager les porte-outils,
Afin de mieux faire comprendre l'invention et de permettre plus facilement sa mise en oeuvre, on la décrira dans ce qui suit d'une façon plus complète en se reportant au dessin annexé sur lequel,, la. figura 1 est un plan d'un coulisseau. de machine à faire les boulons conforme à la présente invention;
la figure 2 montre en plan l'extrémité antérieure d'une machina à faire les boulons: pourvue du mécanisme perfectionné pour le transport des ébauches de boulons; la. figure 3 est une coupe prise sensiblement suivant 3-3 de la figure 2;
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la figure 4 montra à plus grande échelle les par- ties du mécanisme de transport qui se trouvent sensible- ment au milieu de la figure 2; la figure 5 estune vue à plus grande échelle des doigts de transport et des pièces voisines qui. leur sont associées; la figure 6 est une coupe avec élévation latérale, sensiblement suivant 6-6 de la figura 4;
la figura 7 enfin est une élévation des doigts analogue à la figure 5, les doigts étant toutefois repré- sentes ougerâs.
Si l'on se reporte aux détails du dessin, on voit qu'on a désigné par 1 un béti d'une construction appro- priée quelconque Un arbre vilebrequin principal 2 tourbe dans les cotés opposés du bâti; il est pourvu d'une mani- velle 3 sur laquelle tourne une bielle 4. Un arbre de transmission 5 est relié à 1*arbre vilebrequin 2 de ma- nière à tourner à la même vitesse que lui. Le 'bâti est pourvu, à son extrémité antérieure, d'un support de matrices 6 et, à l'intérieur d'une coulisse formée dans le 'bâti est monté un coulisseau 7 de façon qu'il puisse, d'un mouvement alternatif, se rapprocher et s'éloigner audit support 6.
De préférence, le coulisseau embrasse l'arbre vilebrequin comme le montre la figure 1 et repose sur des guides appropriés du 'bâti, des deux cotés de l'ar- bre,, de manière à réaliser à la fois Inexactitude la plus grande de l'alignement et le maximum de rigidité. Dans ce mode de construction la bielle 4 est reliée à pivotement au coulisseau 7 entre les deux extrémités de celui-ci, octane le montre la. figure 1.
Pour réaliser le mode préféré de fabrication des boulons, on a pourvu le coulisseau 7 de plusieurs ou- fils 8, 9 et 10 montés dans des plaques ou porte-outils
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108, 109 et 110 respectivement, lesdits outils étant susceptibles de coopérer avec des matrices 11, 12 et
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on y introduit par pression l'ébauche de boulon au moyen de l'outil 8 afin de réduire le: diamètre de la partie principale de l'ébauche. la ma- trioe 12 travaille également par extrusion et sert à produire la partie du corps de boulon destinée à re- cevoir le filet, l'outil 9 qui coopère avec ladite ma- trice pressant l'ébauche dans la matrice et déformant aussi la partie qui n'a pas encore été soumise à l'ex- trusion afin de former une tête, tandis que la matrice 13 est une matrice de maintien qui coopère avec l'ou- til de façonnage creux ou poinçon 10, lequel donne aux têtes des ébauches formées ainsi qu'il a. été dit plus haut, la forme polygonale désirée.
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Des tiges d'léjection appropriées 111, 112 et 113 ont été prévues pour éjecter les ébauches de chacune des matrices 11, 12 et 15. les tiges 111 et 112 qui correspondent aux matrices 11 et 12 sont dis- posées de façon à commencer leur action d'éjection des ébauches à partir desdites matrices après que le coulis seau 7 s'est écarté du support de matrice et que les doigts de transport, décrits ci-après, se sont mis en place devant les matrices et se déplacent vers la position de fermeture, grâce à quoi les ébauches sont projetées directement dans les doigts de transport.
La tige d'éjection 113 correspondant à la matrice 13 est, d'autre part, réglée dans le tanps de façon à éjecter l'ébauche de cette matrice' immédiatement après que le coulisseau 7 a atteint son point mort antérieur et avant qu'il ait reculé d'une distance appréciable de
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façon à achever le façonnage de la tête de l'ébauche en poassant celle-ci à travers le poinçon de façonnage 10 et en poussant ladite ébauche complètement à travers un passage que comporte le coulisseau 7 et qui communique avec le poinçon la.
Il est bien entendu que toute combinaison voulue et types d'outils et de matrices, peuvent étre utilisés, le mécanisme de transport perfectionné objet de l'invention notant pas limité à la forme d'exécution représentée.
On amène un fil ou une barre à travers le 'bâti 1 par un rouleau alimenteur ordinaire quelconque ou par un dispositif équivalent; ledit fil ou ladite 'barre sont découpés en tronçons pour former les ébauches et lesdits tronçons sont amenés et transportés à la première matrice. Dans le mode d'exécution représenté, le fil ou la barre vient en prise avec un bras de dé- coupage 16 qui découpe les ébauches et les amène à l'alignement de la matrice 11.
Le bras 16 (voir figure
3) est fixé de façon à pouvoir pivotersur la 'bâti 1 à l'endroit désigné par 17; il est mis en oscillation par une came 18 qui vient en contact avec un galet 19 monté de façon à pouvoir tourner sur l'une des extrémités dudit bras. la came 18 est fixée sur un arbre à came 20 qui est relié par un engrenage à l'arbre de transmission 5. Le bras 16 présente à. son extrémité une partie bi- seautée 16a qui se déplace dans un guide 16b au moyen duquel le brias est tendu plus stable et est soutenu pendant l'oscillation.
Pendant chaque cycle de la machine, le bras 16 est déplacé par la came 18 de façon qu'il découpe une ébauche et qu'il amène celle-ci à l'alignement de la ma- trice 11 pendant que le coulisseau ? opère son mouvement de retrait et ledit bras 16 revient ensuite à sa position
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initiale pour recevoir une autre ébauche pendant que le- dit coulisseau se déplace vers l'avant pour venir en con- tact avec celle-ci,
Un arbre 114 (voir figure 1) peut être relié à l'arbre 20 par des pignons coniques et peut être pourvu de cames 115 qui appuient sur des bras à galet, 116 des- tinés à mettre en action les barres 111, 112 et ILS pré- citées.
L'arbre 20 étant relié à l'arbre de transmission 5 commando par l'arbre vilebrequin 2, il est clair qu'il suffit de donner un contour et une position convenables aux cames 115 pour obtenir un réglage voulu dans le temps des tiges 111, 112 et 113 par rapport au déplacement du ooulisseau 7.
Le mécanisme de transport est organisé de fa- çon qu'il transporte simultanément des ébauches de la ma- trice 11 à la matrice 12 et de la matrice 12 à la matrice 13. On voit sur la :figure 2 qu'un support 21 est fixé au moyen de boulons sur la partie supérieure du bâti, der- rière le support de matrice et qu'il présente des saillies 22 dans lesquelles tourne un arbre 23 disposé parallèle- ment à la ligne des matrices 11, 12 et 13. Un châssis 24 présentant une paire de pattes 25 situées à une certaine distance l'une de l'autre et s'adaptant entre les saillies 22, tourne sur l'arbre 23.
Ie châssis 24 présente deux bossages destinés à recevoir des boulons à ailettes 26 ou d'autres disposi- tifs analogues au moyen desquels le châssis peut être fixé d'une manière amovible sur le bâti ou sur des butées ré- glables disposées au-dessous des bossages.
Lorsque ces boulons sont enlevés, le châssis 24 peut être rabattuvers le haut et vers l'arrière autour de l'arbre 23 en entraî- nant avec lui tout la mécanisme de transport,
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Deux arbres -verticaux parallèles 27 et 28 dis- posés à une certaine distance l'un de l'autre (-voir fi- gure 6) sont supportes par le châssis 24 dans le voisi- nage de son extrémité antérieure et un deuxième châssis 29 tourne sur l'arbre supérieur 27, ce deuxième châssis étant disposé devant le châssis 24.
Les côtés latéraux du châssis 29 viennent en contact avec les bords anté- rieurs des parois latérales du châssis 24, comme on le voit en 30 sur la figure 4, de manière que le châssis 29 soit normalement suspendu dans la position représen- tée sur la figure 6 mais qu'il puisse être rabattu vers le haut autour de son pivot sur l'arbre 27
La face antérieure du châssis 29 porte une glissière horizontale 31 dans laquelle peut monter,, de a manière @@se déplacer d'un mouvement alternatif, un chariot 32 qui déplace et support les doigts de trans- port. le chariot 32 reçoit la forme d'une enveloppe fermée par devant par un couvercle 33.
Dans le mode d* exécution représenté, deux pai- res de doigts de transport 34-35 et 36-37 sont montées sur le chariot 32 et sont disposées de manière qu'elles s'étendent au-dessus de la face antérieure du support de matrice 6 à l'alignement des matrices 11, 12 et 13.
Les doigts 34, 35,36 et 37 sont fixés sur des chevilles 38, 39, 40 et 41 respectivement, chacune desdites che- villes tournant dans la paroi postérieure du chariot 32 et dans la plaque antérieure ou couvercle 33. Tour per- mettre un alignement précis- des doigts, on les a fixés d'une manière réglable sur leur cheville de pivotement et, sur la figure 5, on a représenté un mode de liaison Préféré entre le doigt 37 et sa cheville 41 ; il est bien entendu que la même disposition ou tout autre type de liaison réglable est utilisée pour chacun des doigts.
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Comme on le voit sur la figure 5, la cheville 41 pré- @@lat oui vient en urise avec une clavette serte un méplat qui vient en prise avec une ciavette clavette Les extrémités opposées de la @ sont pressées par des vis de pression 43 vissées à travers un bossage 44 qui fait corps avec le doigt 37. Il estclair qu'un réglage de l'angle du doigt par rapport à sa chevilla peut être effectué par retrait d'une des vis de serrage 43 et par l'avancement de l'autre.
Les chevilles de pivotement 38 et 39 d'une des paires de doigts et de même les chevilles de pivo- tement 40 et 41 de l'autre paire de doigts sont reliées ensemble par engrenages de manière que le déplacement d'un des doigts d'une paire dans un sens provoque un déplacement correspondant de l'autre doigt de ladite paire dans le sens opposé/. De même les deux chevilles par engrenages 39 et 40 sont reliées ensemble/pour provoquer l'action simultanée des deux paires de doigts correspondantes.
Des secteurs de roues dentées 45 et 46 engrenant l'un avec l'autre sont fixés sur les chevilles 38 et 39 res- pectivement; des secteurs correspondants 47 et 48 en- grenant l'un avec l'autre sont fixés sur les chevilles 40 et 41 respectivement et d'autres secteurs dentés 49 et 50 engrenant l'un avec l'autre sont fixés sur les chevilles 39 et 40 respectivement: pour relier les deux paires de doigts. Tout ces secteurs dentés sont de pré- férence enfermés à l'intérieur de l'enveloppe constituée par le chariot 32 et le couvercle 33.
Les deux doigts de transport de chacune des paires s'étendent vers le bas à partir de leur cheville; ils se croisent et ils sont pourvus d'extrémités 51 présentant un creux. Dans leur position de fermeture les doigts de transport sont disposés comme on l'a représenté sur les figures 3 et 5 avec leurs extrémités
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51 en place pour saisir une ébauche de boulon à partir des cotés opposés. Lorsque les doigts sont ouverts, la liaison par engrenages entre lés deux doigts de chaque paire force lesdits doigts à se déplacer comme des ci- seaux, leurs chevilles de pivotement tournant dans des sens opposas de manière à écarter directement les extré- mités des deux doigts l'une de l'autre et à les dépla- cer vers le: haut comme on le montre sur la figure 7.
Les dents des secteurs dentés 45 et 46 qui engrènent lorsque les doigts se trouvent dans leur posi- tion de fermeture: représentée sur la figure 5, sont le'*- gèrement plus étroits ou plus minces que les espaces compris entre les dents ce qui permet un mouvement relatif ou jeu des doigts 34 et 35 l'un par rapport à l'autre dans la position de fermeture. Les dents de ces secteurs qui sont en prise lorsque les doigts sont com- plètement ouverts ou en d'autres termes les dents qui se prouvent au fond des secteurs 45 et 46 sur la figure 5 sont formées de la façon normale de manière que chaque dent s'adapte exactement dans l'espace compris entre deux dents de l'autre secteur ce qui supprime le jeu entre les doigts lorsque ceux-ci sont ouverts.
Les sec- teurs dentés 47 et 48 sont formés d'une façon absolument identique et les secteurs dentés 49 et 50 sont formés à leur partie inférieure avec des dents minces et à leur partie supérieure avec des dents normales de manière à permettre un mouvement relatif ou un certain jeu d'une paire de doigts par rapport aux autres lorsque les deux paires se trouvent dans leur position de fermeture et de manière à éliminer le jeu lorsque les deux jeux de doigts sont ouverts.
On peut utiliser toute autre dispo- sition convenable telle que des dents d'engrenages dif- férentes ou des dents d'écartement différent pour obtenir
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un léger jeu entre les doigts de chaque paire dans la position de fermeture afin de compenser les irré-
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guioa4a de tora. ou de Domition oc dt l -t1auobt & saisir par la paire de doigts en question et de même de permettra un Jeu relatif entre les deux paires de doigts de manière à compenser toute irrégularité dans la Position relative des deux ébauches qui doivent être saisies par les deux paires de doigts.
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Ies doigts 54p 35 36 et 3T (voir figuoe 5) présentent des saillies dirigées vers le haut et se terminant par des boutons 52, 53, 54 et 55 respecti- veinent, Un ressort 4 56 est accroché sur les boutons 52 et 55 pour attirer les doigts 34 et 35 normalement vers leur position de fermeture et un ressort 57 est relié d'une façon analogue aux boutons 54 et 55 pour tirer les doigts 36 et 37 vers leur position de fermeture. les doigts sont ouve-rts par une came 58 (voir figure 3),calée sur Marbre à came 20 qui agit contre la tension antagoniste des ressorts 56 et 57 et ces doigts sont fermés par lesdits ressorts,, la fermeture étant réglée dans le temps et contrôlée également par la forme de la came.
La came 58 vient en contact avec un galet 59 tournant sur l'extrémité d'une tige (ou poussoir) 60 guidée à travers une ou- verture verticale pratiquée dans la bâti et reliée à pivotement par son extrémité supérieure à un bras de
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levier 61 lequel est fixé sur l*extrémité de liarbre 23 de manière Que le soulèvement de la came fasse osciller l'arbre 23 vers la gauche si l'on considère la figure 6. Un collier 62 est fixé sur l'arbre 23 entre les pattes 25 du Châssis 24 et il présente un
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doigt 53 en saillie. En manchon 64 tourne sur l'arbre 28 que porte le châssis 24, ledit manchon étant pour- vu d'un levier 64' en saillie disposé au-dessus de l'extrémité du doigt 63 avec laquelle il vient en con- tact.
A l'extrémité opposée du manchon 64 se trouve une barre 65 qui s'étend sensiblement le long de l'in- térieur de l'enveloppe 29. Une manivelle 66 est fixée à l'extrémité interne de la cheville 39 du doigt de transport 35 ; à l'extrémité de cette manivelle tourne un galet 67 qui vient en contact avec l'extrémité in- férieure de la barre 65. La. surface de contact de la barre 65 a une longueur suffisante pour rester en contact avec le galet 67 pendant toute la durée du mouvement de va-stvient du chariot. On remarquera que le soulèvement de la came 58 fait osciller l'arbre 23 de manière que le doigt 63 que porte celui-ci sou- lève le levier 64', fasse osciller le manchon 64 et abaisse la barre 65.
Quelle que soit la position du chariot 32, l'abaissement de la barre 65 agit sur la manivelle 66 par l'intermédiaire du galet 67 et provo- que la rotation de la cheville 39 vers la droite si l'on se reporte aux figures 3 et 5. Les chevilles 38, 40 et 41 étant reliées par engrenages à la cheville 39, la rotation de cette dernière force les deux paires de doigts à s'ouvrir de la façon qui a été décrite plus haut afin de les amener dans la position représentée sur la figure 7.
Le mouvement de va-et-vient du chariot 32 dans le chemin de guidage 31 est effectué par une came 68 fixée également sur l'arbre à cames 20. Comme on le voit sur la figure 3, la came 68 vient en contact avec un galet monté sur le levier 69 lequel pivote sur le bâti 70 et à son extrémité opposée articulée à une bielle 71. Celle-ci s'étend à travers la machine au- dessous du support 6 et pivote sur une crémaillère 52 à mouvements alternatifs, crémaillère guidée dans le
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bâti et engrenant avec un/ pignon cylindrique 73.
Ce dernier est fixé sur un arbre 74 qui tourne dans un carter 75 que porte le bâti de la machine , L'arbre 74 est accouplé au moyen d'un dispositif d'accou- plement libérable de sûreté à un arbre vertical 76 qui monte à travers le bâti et se termine par un . manivelle 77. Une bielle réglable 78 pivote sur la manivelle 77 et est reliée par un joint à une rotule amovible 79 à un prolongement 80 (voir figure 2) qui fait corps avec le chariot 32 à mouvementsalternatifs.
Un dispositif de retour à ressort d'une construction appropriée quelconque tel que la bielle 81 portant un ressort 82 travaillant à la compression est organisé de manière qu'il maintienne le galet du levier 69 en contact avec la.came 68. Cette dernière est établie de telle façon et le pignon 73 est de dimensions telles qu'ils fassent tourner l'arbre 76 d'un angle de 180 pendant le soulèvement de la came et pendant le retour correspondant. La marivelle 77 est organisée de façon qu'elle fasse un demi-tour entre les deux positions extrêmes représentées sur la figure 2, ladite manivelle étant parallèle à la direction du mouvement du chariot 32 dans chacune de ses positions extrêmes.
La longueur initiale de la manivelle 77 a été choisie de façon à imprimer au chariot 32 une course égale exactement à la distance comprise entre 11 et 12 et entre les matrices les matrices et 13. De cette manière la longueur de la bielle 78 peut être réglée à l'une des extré- mités de la course du chariot 32 de manière que les doigts soient à l'alignement de deux des postes de matrices et que les doigts soient automatiquement à l'alignement desdits postes de matrices à l'autre ex- trémité du déplacement.
En outre, le déplace- ment de la manivelle 77 d'un angle de 180 permet
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à la manivelle de faire partir le chariot d'une de ses positions d'arrêt et d'accélérer ou de ralentir doucement la marche du chariot sur toute sa course et ledit mouvement permet d'obtenir un mouvement alter- natif rapide et doux du chariot 32 sans chocs qui pourraient tendre à écarter de leur position les ébauches due portent les doigts.
Ainsi qu'on l'a représenté, la manivelle 77 est disposée sur un des côtés de la machine vers lequel les ébauches sont transportées lorsqu'elles se déplacent de la matrice 11 à la matrice 12 et de la matrice 12 à la matrice 13. 11 en résulte que le quadrant parcouru à grande vitesse par la manivelle se présente au commencement du mouvement de transport et à la fin du mouvement de retour, tandis que le quadrant parcouru par la manivelle à faible vitesse se présente au commencement du trajet de retour et à la fin du trajet de transport.
Ceci facilite le ré- glage du dispositif dans le temps, particulièrement dans le cas d'ébauches courtes parce que le mouvement de retour du transport est relativement lent au commen- cement pendant que le coulisseau 7 s'écarte des ma- trices et jusqu'à ce que les outils et les :porte-ou- tils se soient écartés d'une façon suffisante pour- éviter de gêner les doigts; le mouvement de retour s'achève alors plus rapidement de manière que, après ci* le trajet est devenu libre, les doigts puissent rapi- dément atteindre la position où ils se trouvent à longuement des matrices 11 et 12 pour saisir les étauches éjectées.
Le dispositif est monté sur la machine de la façon indiquée sur la figure 1 avec le support 21 fixé au moyen de boulons sur la partie supérieure du
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châssis, derrière le suEpdrtmRtrices. il est clair que lorsqu'on dégage le joint à rotule 79 de la bielle et qu'on desserre les boulons 26, tout l'en semble peut être rabattu vers le haut et vers l'arrière autour de l'arbre 23, le bras 64 étant simplement sou- levé et écarté du doigt en saillie 63 sans que cela affecte d'une façon quelconque le réglage du mécanisme dans le temps.
Dans la position de travail, le disposi- tif est maintenu dans la position convenable par rap- port aux matrices par les boulons 26 qui fixent le châssis 24 dans sa position inférieure sur le bâti ou sur des butées réglables si on le désire, Il est clair qu'on peut rabattre le châssis antérieur 29 vers le haut, par rapport au châssis 24, en le faisant pivoter autour de l'arbre 27. A ce momvement s'oppose élastique- ment un ressort 83 logé dans un bossage 84 qui fait corps avec le bâti 24 et qui presse élastiquement vers l'extérieur un coulisseau 85 qui vient en contact avec un bras de levier 86 faisant corps avec le châssis 29 et s'étendant vers carrière à partir der celui-ci.
A ce mouvement de rabattement s'oppose également- le fait que la barre 65 est portée par l'arbre 28 dans le bâti 24 d'où il résulte qu'un mouvement oscillant du châssis 29 exerce en réalité une pression vers le bas sur le galet 67 et tend à ouvrir les doigts à partir de la position qu'ils occupent en tout point particulier du cy- cle de fonctionnement de la machine.
L'organisation mo- bile du châssis 29 permet aux doigts 34, 35, 36 et 37 de se déplacer vers l'extérieur en s'écartant des ma- trices dans le cas où ils se fermeraient avant que les ébauches soient éjectées de manière que les ébauches viennent en contact avec les doigts et les poussent vers
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l'extérieurCe mouvement des doigts vers l'extérieur qui s'effectue comme il. -vient d'être dit provoque l'ouverture des doigts de manière que l'ébauche portée par 1*autre paire de doigts tómbe et que l'obstruction soit supprimée.
Si on le désire, on peut disposer un interrupteur que fait fonctionner le mouvement relatif du châssis 29 sur le châssis 24 de manière que si les doigts n'étaient pas repoussés vers l'extérieur, la. machine s'arrêterait.
L'accouplement amovible de sécurité entre les arbres 74 et 76 qui agit dans le cas où le mouve- ment alternatif du chariot 32 rencontrerait une résis- tance de la part d'une ébauche déformée, d'une tige d'éjection/brisée ou pour un autre motif analogue est constitué par un manchon 87 relié par rainure et cla- vette à l'arbre 76 et pressé vers le bas par un ressort 88. L'extrémité inférieure du manchon 87 forme une butée présentant une encoche transversale qui vient en contact avec une butée correspondante que orte lextrémité supérieure de l'arbre 74 et qui s'emboîte dans l'encoche. La résistance auxmouvements alternatifs du chariot 32 a simplement pour résultat de faire glis- ser le manchon vers le haut malgré la tension du res- sort 88 pour libérer la butée de ladite encoche.
Lorsque la machine fonctionne, on fait avan- cer du fil (ou une barre) dans une position où il peut être coupé par le bras de découpage 16 . Pendant que le coulisseau 7 avance avec les outils 8, 9 et 10 qu'il porte vers les matrices 11, 12 et 13, la came 18 fait osciller le bras de découpage 16 vers la droite, si l'on considère la figure 3 et découpe une certaine longueur de fil ou de barre suffisante pour former une ébauche de la grandeur voulue, ladite ébauche étant mise
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à l'alignepent de la matrice 11.
A peu près au même mo- ment où le bras de découpage 16 commence son déplacement, la came 68 -vient en contact avec le galet que porte le levier 69 et imprime au chariot 32 un mouvement vers la droite de manière que les doigts de transport se trouvent à l'alignement des matrices 12 et 13.
Lorsque les outils que porte le coulisseau viennent en contact avec les ébauches à chacun des trois postes à matrices et com- mencent à enfoncer par pression les ébauches dans les matrices, la came 18 permet au bras de découpage 16 de se déplacer vers la gauche pour dégager l'outil 8 et, à peu près au môme moment, la came 58 vient en contact avec le galet 59 et provoque l'ouverture des doigts 34, 35, 36 et 37 (position qui est représentée sur la figure
7) de manière que les doigts dégagent les outils 9 et 10 ainsi que les porte-outils correspondants.
A la finde ce mouvement du aoulisseau 7 vers l'avant, lorsque les outils ont exécuté leur travail sur les ébauches dans les trois matrices et lorsque le coùlisseau 7 a commencé à reculer, la came 68 permet au levier 69 de se déplacer vers la gauche sous l'influence du ressort 82, ce qui provoque le mouvement du chariot 32 vers la gauche avec les doigts dans leur position d'ouverture.Lorsque le coulisseau 7 a reculé d'une quantité suffisante pour permettre aux doigts de dégager toutes les parties des outils, les doigts viennent se mettre à 1*'alignement des matrices 11 et 12 et la came 58 permet aux galets 59 de descendre tandis que les doigts se ferment sous l'influ- ence des ressorts 56 et 57.
Les ébauches qui se trouvent dans les matrices 11 et 12 demeurent, pendant ce temps, dans les matrices dans lesquelles elles ont été refoulées par les outils 8 et 9. Avant que les doigts n'atteignent leur position de fermeture, les tiges d'éjection des ma-
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trices 11 et 12 expulsent les ébauches de ces matri- ces pour les amener entre les doigts de transport correspondants lesquels continuent leur mouvement de fermeture pour saisir les corps desdites ébauches derrière les têtes. A ce moment une nouvelle lchgueur de fil ou de barre a été amenée en face du bras de découpage 16 et le cycle se répète.
Ia tige d'éjection correspondant à la matrice de finissage 13 agit avant les tiges d'éjection des matrices 11 et 12, de manière- qu'elle expulse l'ébauche achevée à partir de la matrice 13 dans le poinçon creux de finissage 10. Toutes les tiges d'éjection 111, 112 et 113 se déplacent vers l'avant vers la face des matrices de façon à expulser complètement les ébauches dans les doigts de transport afin que lesdites ébauches soient libres et qu'elles prissent être déplacées latéralement par les doigts..
Il est évident que la vitesse et l'effica- 7sont cité du mécanisme de transport grandement amélio- rées du fait que le chariot de transport 32 est animé d'un mouvement alternatif rectiligne et qu'il ne re- çoit pas un mouvement composé latéral et vertical.
Dautre part le réglage de la machine dans le temps de manière que celle-ci puisse s'adapter facilement à diverses longueurs débauches, même à des ébauches extrêmement courtes, est grandement facilité par le fait que le chariot de transport reste immobile pen- dant que les outils sont en contact avec les ébauches et par le fait que les ébauches sont éjectées des ma- trioes 11 et 12 dans les doigts de transport après que les outils que porte le coulisseau 7 ont reculé et laissé le chemin libre.
Les doigts sont- disposes de manière qu'ils s'ouvrent d'une quantité juste suf- fisante pour dégager les supports de matrices; qui, pour
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ce motif,peuvent être exécutés avec une longueur re- lativement faible et peuvent recevoir une forma coni- que largement évasée comme le montrent les figures 2 et 4, ce qui augmente la résistance des porte-ou- tils et la rigidité dans laquelle les outils sont maintenus par rapport au coulisseau 7.
En raison du fait que les doigts ne s'appli- quent pas brusquement sur les ébauches et ne s'en détachent pas 'brusquement, il est clair qu'il ne s'exerce sur lesdites ébauches aucune force qui tend à les aligner d'une façon défectueuse au moment où les ébauches sont saisies ou à celui où elles sont libé- rées par les doigts de transport. Tout défaut d'ali- gnement d'une ébauche par rapport, à la paire de doigts de transport qui l'a saisie est compensé par le jeu que l'on a laissé exister dans les engrenages entre les deux doigts de chaque paire dans la position de fermeture.
Il en résulte que, même si une ébauche était éjectée d'une matrice avec un léger angle dans un sens quelconque, les doigts se fermeraient sur ladite ébauche sans la serrer et ils redresseraient ladite ébauche pour la mettre dans une position con- venable pour être introduite dans la matrice suivante.
Il est bien entendu que la description qui précède ne doit pas être considérée comme une limita- tion de l'invention et qu'on peut y apporter de nom- breuses modifications de forme sans qu'ons'écarte de l'esprit de ladite invention. Un grand nombre de caractéristiques de la présente invention peuvent être utilisées dans un type quelconque de dispositif de transport et dans différents types de machines