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ayant pour objet : " APPAREIL ET PROCEDE POUR LE PLACEMENT D'ANSES
SUR DES POTS A OREILLES ".- "
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La présente invention est relative à dea perfectionne- mente à un appareil et à un procédé visant à placer dea ances sur des récipients et, plus spécifiquement, dea anaea en fil sur dea pots à oreilles.
Au début, on faisait des ansea d'une matière incommode et inefficace consistant à plier les extrémités d'une anse coupée et formée au préalable, de marière à permettre l'assemblage manuel.
Comme l'utilisation de pots à oreilles s'est accrue, de même @ l'importance de fournir une anse fabriquée et introduite de façon économique, a augmentée. Un appareillage a été réalisé qui permet la production très rapide d'anses destinées à être introduites à la main dans les oreilles d'un récipient mais ces anses requièrent, non seulement un travail manuel avec un appa- reil de fixation, mais aussi une anse relativement facile à délo- ger ou dégager du pot.
En considérant ce qui précède, et en ayant dans 1* esprit d'autres considérations encore, la présente invention a pour objet un choix et une orientation efficaces et efficiente des pots à oreilles, la formation automatique d'une anse et l'introduction efficace et efficiente des extrémités de l'anse dans les oreilles de ce genre de pots.
Conformément à différents aspects de la présente inven- tion, on a prévu un appareil agencé de manière à recevoir des pots provenant d'une source de distribution et des moyens placés en un poste d'amenée ou d'alimentation pour espacer ces pots sur un dispositif transporteur, des moyens propres à régler la circula- tion desdits pots d'une manière constante et égale, et à les orien#
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ter d'une manière telle que les pota dont les deux oreilles sont convenablement placées, sont détectés en vue de l'introduction des anses dans les oreilles, les pots auxquels il manque des oreilles étant rejetés et déplacés à travers l'appareil sans actionner le mécanisme de fabrication des anses ;
on a également prévu un appareil propre à transporter et à contrôler le pot aana en toucher les côtés sur lesquels une étiquette neuve pourrait avoir été placée ; ona, en outre, prévu un appareil qui reçoit un signal et, conformément à ce signal amène, l'appareil à fer- mer une anse et/ou à introduire les extrémités de l'anse dans les oreilles d'un pot ; on a encore prévu un appareil qui prend les (fils à partir d'une source d'emmagasinage,!entraîne le fil et le coupe, si nécessaire, suivant une longueur déterminée d'avance, donne au fil une forme et le fixe en forme d'une anse aux oreilles du pot d'une manière simple et efficace.
@ Dans certains de aspects, la présente invention a pour objet un système transporteur de dérivation destiné à faire passer des pots plus petits à travers l'appareil sans actionner le mécanisme de fabrication des anses.
Dans certains autres aspects, la présente invention a pour objet un dispositif simple et efficace en vue de munir des pota d'anses, lequel dispositif peut s'adapter au fonctionnement soit manuel, soit automatique.
Dans ses divers aspects, la présente invention a comme avantage important qu'elle permet la fixation des anses à des pots, d'une manière telle qu'il est virtuellement impossible d'en- lever ou de déloger accidentellement l'anse du pot.
Pour qu'elle puisse être comprise clairement et réali- sée facilement, la présente invention sera décrite à titre d'exem- ple en référence aux dessina ci-annexés dans lesquels : - la figure 1 est une vue isométrique générale et simpli- fiée de la machine ;
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- la figure 2 est une vue en plan fragmentaire quelque peu schématique, montrant l'arrangement des éléments principaux des moyens de transport et d'orientation ; - la figure 3 est une vue latérale fragmentaire quelque peu schématique, montrant certains éléments des moyens de trans- port et d'orientation ; - la figure 4 est une vue fragmentaire de haut du transporteur principal, montrant le mécanisme de réglage de l'alimentation ; - la figure 5 est une vue en coupe fragmentaire suivant la ligne 5-5 de la figure 4 ;
- la figure 6 est une coupe transversale fragmentaire du transporteur suivant la ligne 6-6 de la figure 4 ; - la figure 7 est une vue fragmentaire de haut? des moyens de transport et d'orientation, illustrant l'orientation des pots ; - La figure 8 est une vue fragmentaire de haut prise plus loin le long du transporteur et montrant le poste ou la station de détection ; - la figure 9 est une vue latérale fragmentaire des éléments représentés à la figure 8 ; - la figure 10 est une vue frontale des éléments de la station de fabrication et d'introduction des anses ; - la figure 10A est une vue en coupe fragmentaire suivant la ligne 10A-10A de la figure 10 ; - la figure 11 est, à plus grande échelle, une vue frontale des éléments du mécanisme d'amenée du fil ;
- la figure 12 est une vue latérale, partiellement en coupe, des éléments du mécanisme d'alimentation du fil représenté à la figure 11 ; - la figure 13 est, à plus grande échelle, une vue frontale, sans les moyens d'arrêt des pots, montrant le mécanisme
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de coupe et de transfert du fil ; - la figure 14 est une vue en coupe fragmentaire suivant la ligne 14-14 de la figure 13, montrant le mécanisme de coupe ; la figure 15 est une vue en coupe du doigt retrace - tile actionné par un ressert, la coupe étant suivant la ligne
15-15 de la figure 13 ; - la figure 15A est une vue frontale fragmentaire . d'une autre forme de réalisation impliquant l'utilisation d'un élément supplémentaire de coupe du fil ;
- la figure 16 est, à plus grande échelle, une vue laté- rale partiellement en coupe, montrant le bras de transfert en détail ; - la figure 17 est une vue latérale, à plus grande échelle, partiellement en coupe, montrant un détail du couteau coupeur ; - la figure 18 est, à plus grande échelle, une vue frontale d'un détail du bloc de serrage du fil et des éléments associés ; - la figure 19 est une vue en coupe suivant la ligne
19-19 de la figure 18 ; - la figure 20 est, à plus grande échelle, une vue frontale du bloc de serrage du fil, le sabot inférieur ou étampe, rencontrant le fil ; - la figure 21 est une vue en coupe suivant la ligne 21-21 de la figure 20 ; - la figure 22 est une vue frontale fragmentaire, montrant le fil au moment du transfert ;
- la figure 23 est une vue frontale fragmentaire, mon- trant le fil au moment où il prend la forme d'un U ; la figure 24 est une vue frontale fragmentaire, mon- trant la position relative dee sabots supérieurs et inférieurs
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appelés respectivement la matrice et l'étampe, après que le U a été formé ; - la figure 25 est une coupe transversale des blocs de contact, suivant la ligne 25-25 de la figure 22 ; - la figure 26 est une coupe transversale de la matriee et de l'étampe suivant la ligne 26-26 de la figure 22 ; - la figure 27 est une vue frontale partielle d'une matrice de pliage ; - la figure 28 est une coupe transversale de la matrice suivant la ligne 28-28 de la figure 27 ; - la figure 29 est une coupe transversale de la matrice suivant la ligne 29-29 de la figure 27;
- la figure 30 est une coupe transversale de la Matrice suivant la ligne 30-30 de la figure 27 ; - la figâre 31 est une vue frontale partielle d'une autre configuration de la rainure d'une matrice de pliage ; -la figure 32 est une coupe transversale de la matrice suivant la ligne 32-32 de la figure 31 ; - la figure 33 est une coupe transversale de la matrice suivant la ligne 3J-33 de la figure 31 ; - la figure 34 est une coupe transversale de la matrice suivant la ligne 34-34 de la figure 31 - la figure 35 est une vue partielle, montrant, à plus grande échelle, la section formant boucle de la rainure ; - la figure 36 est une vue d'une matrice pivotante en position ouverte à proximité d'une oreille d'un pot ; - la figure 37 est une vue d'une matrice pivotante fermée contre l'oreille d'un pot, la boucle étant formée et in- troduite ;
- la figure 38 est une wue d'une matrice pivotante dans la position fermée près de l'oreille d'une pot, la boucle étant fermée et introduite.
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- la figure 39 est une vue frontale fragmentaire , montrant l'anse au moment où elle entre dans la matrice de pliage; - la figure 39 A est une coupe suivant la ligne 39A-39A de la figure 39 ; - la figure 40 est une vue frontale fragmentaire, mon- trant la boucle formée et introduite ; - la figure 41 est une vue frontale, montrant le méca- nisme du bras d'arrSt de recouvrement ; - la figure 42 est une vue frontale partielle, montrant les éléments de came utilisés dans le mécanisme de bras d'arrêt de recouvrement ; - la figure 43 est une vue latérale des figures 41 et 42 ; - la figure 44 est une vue de haut suivant la ligne 44-44 de la figure 41 ; - la figure 45 est une vue frontale du mécanisme d'embrayage et de débrayage ;
- la figure 46 est une vue latérale du mécanisme d'embrayage et de débrayage ; - la figure 46A est une vue fragmentaire de haut du mécanisme représenté sur la figure 46, dans une position légère- ment plus avancée ; - la figure 47 est une vue en coupe suivant la ligne 47-47 de la figure 45 ; .-la figure 48 est une vue en coupe suivant la ligne 48-48 de la figure 46A ; - la figure 49 est une vue postérieure de l'assemblage de la plaque principale ; - la figure 50 est une vue de haut du transporteur avec des chaînes intermédiaires ; - la figure 51 est une vue en coupe suivant la ligne 51-51 de la figure 5Q ;
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- la figure 52 est une vue en coupe suivant la ligne 52-52 de la figure 50 ;
- la figure 53 est une vue latérale du mécanisme moteur ou mécanisme d'entraînement ; - la figure 54 est une vue frontale du mécanisme d'en- traînement ; - la figure 55 est une vue en coupe d'un ensemble d'en- traînement à pignon ; - la figure 56 est une vue frontale d'une autre forme de réalisation ; - la figure 57 est une vue latérale de cette forme de réalisation ; - la figure 58 est une vue en coupe suivant la ligne 58-58 de la figure 56 ; et- la figure 59 est un diagramme fonctionnel des cames et du mécanisme d'embrayage.
Dans une forme de réalisation donnée à titre d'exemple, l'arrangement général des éléments principaux est montré à la Fig. 1. L'extrémité antérieure de la machine contient l'appareil de formation et d'introduction des anses et fonctionne également comme support du système transporteur. Deux châssis latéraux 71 reposent sur une base 70. Une plaque principale 72 joint les châssis latéraux 71. Des rails latéraux de transport 75 sont soutenus à l'avant par la plaque principale 72 et à l'arrière par un châssis de support 76. Sur les rails latéraux 75 se trou- vent des rails de guidage 77 qui restreignent le mouvement latéral d'un pot 80 de 3,78 litres.
Comme représenté sur les figures 2 et 3, les rails latéraux 7, supportent un arbre d'actionnement antérieur- 81 et un arbre postérieur 82. Entre les arbres 81 et 82 il y a une
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chaîne de transport 83 à grande vitesse actionnée par l'arbre 81 par un mécanisme qui doit être décrit plus loin, et une chaîne de transport 84 à faible vitesse actionnée directement par l'arbre
81. La chaîne 83 peut, par exemple, se déplacer à une vitesse de 30,4 m par minuteuet la chaîne 84 a une vitesse de 15,2 m par minute. Un système d'alimentation d'entrée 86 et un système de transport de sortie 87 sont esquissés en traits interrompus /sur la Fige 3.
Le système d'alimentation d'entrée/peut faire partie d'un ensemble à fonctionnement continu dans lequel des postes de transfert et des transporteurs amènent les pots 80 pour leur faire subir diverses opérations telles que remplissage, fermeture, étiquetage, et toutes autres opérations qui doivent être achevées avant de placer l'anse sur le pot. Le système transporteur de sortie 87 peut transporter le pot 80 muni d'une anse pour lui faire subir toutes les autres opérations subséquen- tes telles que emballage et envoi. On peut évidemment faire varier la longueur, l'arrangement et les vitesses opératoires des systèmes 86 et 87 d'après les exigences et conditions indivi- duelles.
80,
Pour que la circulation des pots/ tels qu'ils sont reçus en provenance du système d'alimentation d'entrée 86, soit espacée convenablement sur le dispositif transporteur formé par les chaînes 83 et 84, on a prévu un mécanisme de réglage de l'ali- mentation afin de régler la libération des pots 80 sur ce système ou dispositif transporteur. Ce mécanisme de réglage de l'alimentation fonctionne en relation coordonnée et directe avec le trans- porteur de façon telle qu'on fait passer lentement une quantité égale et constante de pots 80 pendant que la machine fonctionne.
Comme représenté sur les figures 4 et 5, le mécanisme de réglage d'alimentation donné en exemple, utilise l'arbre postérieur 82 sur lequel est monté une came 89. Un suiveur de came rotatif 90
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est actionné par cette came 89, le suiveur 90 étant porté par un bras ou levier coudé d'actionnement 91 qui pivote sur une tige 92 montée sur les rails latéraux 75 du transporteur. Le bras 91 est relié par une bielle 93 à un bras d'arrêt antérieur 94 faisant partie d'une paire de bras 94 reliée entre eux, qui sont montés en pouvant pivoter sur un arbre 95 fixé aux rails latéraux 75 du transporteur.
Pour empêcher que le pot 80 ne soit endom- magé par le mécanisme de réglage de l'alimentation, on a trouvé préférable de prévoir des bras d'arrêt postérieurs 96 également montés en pouvant pivoter sur l'arbre 95, lesdit bras étant normalement retenus contre l'extrémité d'une fente 96a dans une plaque 96b par un ressort tendeur 97, pouvant se déplacer dans un sens senestrorsum (Fig. 5) pour éviter le pinçage produit par un pot mal formé ou mal placé. Une tige 97a relie entre-eux les bras d'arrêt antérieurs, tige sur laquelle sont montés la plaque 96b et le ressort ??.D'une manière semblable, les bras d'arrêt postérieurs 96 sont reliés entre-eux par une tige 98a qui coopère avec la fente 96a de la plaque 96b, le ressort 97 étant également fixé à la tige 98a.
Les bras d'arrêt antérieure 94 portent des doigts ou ergots 98 solidaires, redressés et ser- vant d'arrêt. De même, les bras d'arrêt postérieurs 96 portent des doigts solidaires , redressés 99.
En cours d'utilisation, le mécanisme de réglage de l'ali- mentation règle le passage des pots 80 de la façon suivante. La came 89, quand elle se trouve dans la position représentée sur la Fig. 5, le suiveur de came 90 se trouvant sur la partie inférieure 100 de la came 89, amène les bras antérieurs d'arrêt 94 à être dans la position supérieure. Dans cette position, les doigts 98 rencontrent le rebord inférieur d'un pot 80a, empêchant ainsi le passage de ce pot et de tous les pots qui le suivent sur le trans- porteur. Les chaînes transporteuses 83 et 84 continuent de se déplacer et glissent sous le pot 8ua jusqu'au moment où le bossage
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de la came 89 vient en contact avec le suiveur de came 90. Quand cela se produit, les bras d'arrêt antérieurs 94 s'abaissent et les doigts 98 se dégagent du bord du pot 80a.
Pendant ce temps, le bras d'arrêt postérieur 96 s'élève et les doigts 99 empêchent l'avancement d'un pot suivant 80b par le fait que les doigts 99 viennent en contact avec le rebord de ce pot. Quand la rotation de la came 89 ramène la partie inférieure 100 en regard du sui- veur de came 90, le bras d'arrêt postérieur 96 s'abaisse en sorte que les doigts 99 dégagent le rebord du pot 80b permettant 4 ce pot d'avancer sur les chaînes transporteuses 83 et 84 et de ren- contrer ensuite les doigts 98 des bras d'arrêt antérieurs 94 qui sont maintenant élevés.
Après qu'un pot a été libéré des doigts 98, les chaînes transporteuses 83 et 84 font avancer le pot. Le moyen servant à crienter un pot 80 et à l'empêcher de s'incliner ou de basculer, est représenté sur la figure 6 dans laquelle un guide latéral supérieur 101 est monté de manière à toucher justement le rebord supérieur d'un pot 80. Le guide latéral supérieur 101 est mon- té sur des supports 102 fixés au rail latéral 75. Une barre 103 de guidage des oreilles est placée sur le coté opposé du transpor- teur et est montée de manière réglable sur les supports 104 d guide des oreilles, lesquels supports sont fixés au rail latéral 75.
La figure 7 montre l'action du pot 80 quand il avance sur le dispositif transporteur en vue d'être orienté. Un pot 80 à deux oreilles 106 et 107 peut, quand il est libéré par les doigts 98, présenter les oreilles dans n'importe quelle position par rapport à la barre 103. La désignation des oreilles par deux notations de référence différentes sert uniquement à rendre la description claire car les deux oreilles, telles qu'elles sont construites, sont destinées à être identiques et à se trouver sur des côtés diamétralement opposés.
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Quand il est libéré, un pot 80 se trouvant dans la position A peut présenter ses oreilles 106 et 107 dans une pesi- tion écartée de la barre 103. En cours de fonctionnement, la chaîne transporteuse 83 se déplace à plus grande vitesse que la chaîne transporteuse 84. Cependant, les deux chaînes transpor- teuses 83 et 84 se déplacent dans la même direction, comme indiqué par les flèches. Le pot 80 est retenu dans la position voulue par les rails de guidage 77 (voir Fige 6). La différence de vitesse des chatnes transporteuses 83 et 84 imprime un mouvement de rotation au pot 80. Cette rotation est illustrée par la différence de position des oreilles 106 et 107 quand le pot 80 se déplace de la position A à la position B.
Comme le pot s'avan- ce en aval du transporteur, la rotation continue jusqu'au moment où une oreille telle que celle désignée par la notation de réfé- rence 107, rencontre la barre 103 dans la position C. Quand l'oreille 107 vient en contact avec la barre 103, la rotation du pot 80 cesse et le pot, maintenant orienté, se déplace en aval du transporteur à une vitesse qui est, en substance, celle de la chaîne transporteuse la plus lente 84. Les positions C et D sont celles d'un pot 80 quand l'orientation est achevée. On peut remarquer que des pots 80 auxquels il manque une ou deux oreilles sont quelquefois amenés à partir du système d'alimentation d'entrée 86 à travers le mécanisme de réglage d'alimentation et le système ou dispositif transporteur.
Quand un pot 80 auquel il manque une oreille se déplace en aval du transporteur, le pot 80 tourne jusqu'au moment où son oreille restante rencontre la barre 103. Un pot 80 sans oreille continue de tourner jusqu'au moment où il a passé à travers le système de transport de sortie 87.
Dans le cas présent, l'importance de la barre 103 et de sa relation avec l'oreille de contact 107 est démontrée à la figure 8. Dans la position E sur le transporteur, l'oreille 107 se trouve en contact avec la barre 103 tandis que l'oreille
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106, diamétralement opposée, se trouve en position à un poste de détection pour activer les autres opérations.
Dans l'appareil donné en exemple, une barra de déclen- chement 110 est montée en pouvant pivoter sur un support 111 à l'aide d'un pivot 112. La barre de déclenchement 110 est agencée de manière à s'avancer ou à s'écarter d'un pot 80 dans le plan de l'oreille 106 sous l'effet ou à l'encontre de la pression du plongeur 113 à mouvement limité et actionné par un ressort d'une valve 114 montée sur le support 111. Comme le pot 80 avance sur le transporteur de la position D à la position E, l'oreille 106 en avançant amène la barre de déclenchement 110 à se déplacer vers l'extérieur, de la position de repos esquissée en traits interrompus à la position d'activation ou d'actionnement telle que représentée.
Le mouvement de la barre 110 vert l'extérieur amène également le plongeur 113 à se déplacer dans la valve 114 de manière à ouvrir la valve pour des opérations postérieures qui doivent être décrites plus loin.
L'arrangement représenté dans le cas présent, permet la détection de pots à deux oreilles convenablement placées, contrai- rement aux pots qui n'ont qu'une oreille ou qui n'en ont pas du tout. Alors qu'un pot à deux oreilles convenablement placées amène la barre de déclenchement 110 à se déplacer vers l'extéri- eur, un pot à une oreille seulement tourne jusqu'au moment où cette oreille rencontre la barre 103 d'où elle s'avance le long du transporteur et au moment où le pot passe le long de la barre de déclenchement 110 dans la position E, il n'y a plus d'oreille pour toucher la barre de déclenchement 110. Dès lors, la valve 114 n'est pas actionnée.
Semblablement, si un pot n'a pas d'oreil- les, il se déplace et tourne sur le transporteur mais quand il passe par le poste de détection, aucune oreille n'est en position pour rencontrer la barre de déclenchement 110,
La barre de guidage 103 et le guide latéral supérieur 101 se terminent juste en avant du poste ou station de détection
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à l'endroit qui correspond à la position E (Fig. 8). Le pot 80 pendant qu'il voyage encore sur les chaînes 83 et 84.et tandis qu'il cesse de subir l'influence limitative de la barre 103, recommence à tourner.
En choisissant convenablement la distance de la position E à la position F, la distance étant calculée à partir de la vitesse du transporteur et de la différence de la vitesse des chaînes 83 et 84, le pot 80 ebt amené à tourner de façon telle que les oreilles, dans la position F, sont en général à angle droit par rapport au transporteur, la position F étant le point où l'introduction de l'anse a lieu.
Dans le présent cas, les éléments transporteurs sont construits et agencés de manière à éliminer le contact avec les cotés du pot 80. Le mécanisme de réglage de l'alimentation à l'aide des doigts 98 et 99 ainsi que des rails de guidage 77. ne vient en contact qu'avec le rebord du fond du pot 80. Le guide latéral supérieur 101 ne touche que le rebord supérieur du pot 80 tandis que la barre 103 est disposée de manière à ne toucher que l'oreille 107 et la barre de déclenchement 110 est également disposée de manière à ne toucher que l'oreille 106.
Il n'est donc pas vraisemblable qu'un pot quelconque sur le coté duquel une étiquette est normalement appliquée ait son étiquette touchée par un quelconque des éléments mentionnés plus haut.
Le poste de fabrication et d'introduction de l'anse comprend plusieurs éléments et mouvements. Plusieurs de ces mou- vements se font en série. Pour mieux illustrer et décrire les nombreux éléments et mouvements interdépendants, on utilise à la fois des vues générales et des vues à plus grande échelle en rapport avec la partie de la description qui suit et concerne ce poste ; pour autant que ce soit pratique, on illustre et on décrit chaque mouvement séparé et chaque action séparée.
A ce poste représenté à la figure 10, le mécanisme assure les fonctions suivantes ;
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A- Il est actionné en réponse au fonctionnement de la valve 114 représentée aux figures 8 et 9, par des moyens qui comprennent un mécanisme d'embrayage lequel coopère avec un arbre-vilbrequin ou arbre à manivelle 116 et le fait tourner.
B- Un appareil d'alimentation ou d'amenée du fil, actionné à partir ou à l'aide de l'arbre à-manivelle 116, tire le fil 117 provenant d'une bobine dérouleuse (non représentée) en le faisant passer à travers un redresseur de fil ordinaire 118 pour l'amener dans la position représentée sur la figure 10,
C-En un point de rotation déterminé d'avance de l'arbre à manivelle 116, le fil 117 est coupé pour fournir un fil court 119 lequel est transporté aux outils de cintrage, plié d'une manière générale en forme de U, devenant ensuite un fil 121 en forme d'anse, et déplacé vers un point auquel les extrémités ' fil 121 peuvent être travaillées pour former des boucles.
D- Tandis que le fil 121 est formé en une anse, le pot 80 muni d'oreilles 106 et 107, se déplace vers la position dési- gnée par la notation de référence F, à la Fig- 8, pour se mettre sous l'appareil de formation des anses; à ce moment, les extrémité' du fil 121 sont formées en boucles et les boucles, dès qu'elles sont formées, pénètrent dans les oreilles 106 et 107 du pot 80.
E- Le pot 80 auquel l'anse est maintenant fixée, est libéré de ce poste et s'avance vers une disposition sur le sys- tème de transport de sortie 87.
EMI15.1
Un mécanisme préfet d'entraînement ou d'amenée et de coupe du fil est illustré aux figures 10, 11 et 12. Après avoir passé à travers le redresseur de fil 118, le fil 117 pénètre entre une paire de rouleaux entraîneurs 123 et 124. Le rouleau entraîneur 123 qui est actionné reçoit sa puissance de l'arbre à manivelle 116 par l'intermédiaire d'un engrenage à biseau 125 lequel transmet son mouvement à un pignon 126. Les rouleaux entraîneurs 123 et 124 présentent des parties dentées 126a et 126b,
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nt respectivement, qui s'emboîte ou s'engrènent les unes dane les autres en sorte que le rouleau entraîneur 123 entraîne le rouleau postérieur 124.
Etant en-grenés, les rouleaux 123 et 124 tournent l'un vers l'autre et sont espacés de façon telle que le fil 117 est engagé à friction dans une paire de rainures 126c et 126d formées dans les rouleaux entraîneurs respectifs 123 et 124.
Le rouleau postérieur 124 est dirigé vers le rouleau antérieur
123 par un ressort 128 qui rappelle un support 129 de rouleau entraîneur lequel support est fixé en pouvant pivoter en 129a sur la plaque principale 72. La tension voulue de rappel du ressort est assurée en ajustant un écrou 130.
La coupe du fil se fait à l'aide d'un appareil qui com- prend un élément 131 muni d'un bord tranchant 131a et monté sur un levier ou bras coupeur 132 lequel pivote en 132a et dont une extrémité se termine par un suiveur de came 133 actionné par un bossage 13a(Fig. 14) d'une came 134 fixée à l'arbre -manivelle
116. Le fil 117 est amené à travers une buselure 134a dans un bloc 135 recevant le fil destiné à être coupé et le bord tranchant
131a est adapté de manière à couper le fil 117 à l'endroit où il quitte la buselure 134a. Comme le fil 117 aurait toujours tendance à s'avancer s'il était actionné par les routeaux 123 et 124, il est avantageux pour le fil 117 et les rouleaux 123 et 124 de relâcher la tension de ressort sur le rouleau postérieur 124 au moment de la coupe.
Dès lors, le bossage 133a de la came 134 amène la partie supérieure du bras 132 à ae déplacer vers l'arriérer un galet ou rouleau 136 sur le bras 132 rencontre un bloc de contact 137 fixé au support 129 de rouleaux entraîneurs. Comme le support 129 est déplacé vers l'arrière contre le ressort 128, le rouleau entraîneur postérieur 124 s'écarte du fil 117 relâchant la force d'entraînement à friction qui s'exerce sur le fil 117.
Avant d'être coupé, le fil 117 s'est déplacé dans une position de mesure, de coupe et de transfert. Dans ce but, comme on le montre en exemple aux figures 13 et 14, on a prévu une rainure 138 dans la plaque principale 72, la rainure 138 se
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terminant par un bloc d'arrêt 140. Après avoir avancé à Divers le bloc 135, le fil 117 s'avance dans la rainure 138 vers le bloc d'arrêt 140 et il est empêché d'avancer plus loin. Le rouleau entraîneur 124 actionné par un ressort, de la façon ex- pliquée plus haut, est alors actionné de manière à permettre aux rouleaux de glisser sur le fil 117, arrêté à ce moment, jusqu'au moment où le fil est coupé par le bras coupeur ou bras de coupe 132, de la faron expliquée plus haut.
Dans le cas présent, il faut environ 35,5 cm de fil pour faire une anse, le fil coupé désiggé étant/ par la notation de référence 119.
Il est souvent souhaitable de faire du fil coupé 119 d'une manière même plus précise pour lui donner une longueur exacte. A la figure 15A dans laquelle le bloc d'arrêt 140 est enlevé, on a représenté un autre moyen et une autre méthode pour découper le fil 119. Un bras de coupe supplémentaire 140a, sem- blable au bras de coupe 132 et actionné de manière semblable, est prévu à l'extrémité éloignée du fil en même temps qu'un bloc 141 de maintien du fil qui doit être coupé, ledit bloc étant fixé à la plaque principale 72. En plaçant de manière précise les deux blocs 135 et 141 et en coupant simultanément le fil 119 aux deux extrémités, il est possible de maintenir la longueur du fil dans des limites très précises.
Pour déplacer le fil coupé 119 des rainures 138 pour lui faire subir une autre opération, il est prévu un système ou dispositif de transfert constitué par une barre de connexion 142 fixée au bras de coupe 132, la barre de connexion 142 étant, en outre, fixée aux bras de transfert 143 dont chacun est monté en pouvant pivoter en 143a à proximité de son extrémité supérieure, à la plaque 72, de manière à se déplacer dans les fentes ou encoches 143b prévues dans la plaque principale 72, tandis que le bras 132 est également muni d'une face de transfert 143c.
Comme la barre de connexion 142 s'avance avec le bras de coupe 132, les extrémités inférieures des bras de transfert 143
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s'avancent à l'unisson. Ce mouvement déplace le fil 119 de la rainure 138 vers un point qui se trouve juste en avant de la plaque principale 72. Cela est le mieux illustré aux figurée 16 et 17. Le transfert ou transport ou déplacement du fil est illustré dans la série des figures 18, 19 et 20, dans lesquelles le fil coupé 119 se trouve d'abord dans la rainure 138 formée dans la plaque antérieure 72 et est ensuite enlevé de la rainure 138 vers la limite imposée par un bloc 144 de serrage du fil, olacé au centre, fixé à la face antérieure de la plaque princi- pale 72.
Pour aider à la limitation du mouvementude déplacement du fil 119, on utilise des doigts 145 rétractils, rappelés par un ressort. (voir Figs. 13 à 15). Après que le fil s'est déplacé vers le bloc de serrage du fil 144, un sabot inférieur ou étampe 147 monté à coulissement,de la façon décrite plus loin, et dont une surface supérieure 147a a la forme d'un U inversé, se déplace vers le haut et saisit le fil 119 entre le bloc de serrage du fil 144 et l'étampe 147.
Le fil est saisi dans une position fixée par le fait qu'il est maintenu d'un coté par les trois bras de transfert 143 et la face 143c du bras de coupe 132 et maintenu de l'autre coté par le bloc de serrage du fil 144 et les deux doigts rétractils 145, Un ressort de compression 148 produit un rappel vers le bas sur chaque doigt rétractil 145 et l'extrémité d'une fente 148a limite le mouvement vers le bas d'un ergot 149 formé sur le doigt 145. Dans une opération pos- térieure, le doigt 145 est déplacé vers le haut pour libérer le fil après qu'il a été formé en une anse 121, (voir Fig. 36).
L'étampe 147 est fixée à une plaque d'appui 149a laquelle peut est glisser verticalement et normalement poussée vers le haut par le ressort 149b, son mouvement ascendant étant contrôlé et limité par une came 149c et un suiveur de came 149d, d'une manière qui doit être décrite plus loin.
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Aussitôt après son transfert, le fil 119 mesuré et coupé est plié en forme de U, les parties droites de l'U étant tournées vers le bas, et cette opération est réellement une continuation facile des mêmes mouvements. Les Figs. 22, 23 et
24 montrent la transition du fil coupé 119 de la forme droite à la forme de U 121 ou il est plié.
Le fil droit 119 sur la Fig. 22 est maintenu de la façon décrite plus haut. A cet endroit, l'étampe 147 s'est approchée du bloc 144 de serrage du fil placé au centre et ce faisant, a saisi le fil 119 en son milieu. La manivelle 149e de l'arbre- manivelle 116 porte un sabot supérieur ou matrice
150 dont la surface inférieure 150a a la forme d'un U inversé.
Comme la surface 150a s'approche du fil 119, les blocs de contact
151 fixés à la matrice 150 sont pratiquement en contact avec le fil 119. La série d'opérations qui suit un peu plus tard est représentée sur la Fig. 23. L'étampe 147 est toujours dans la position représentée sur la figure 22. Cependant, la matrice 150 se déplaçant dans des guides 150b s'est maintenant déplacée vers le bas, d'une façon telle que les blocs de contact 151 ont rencontré le fil coupé 119 et commencent à plier le fil pour en faire une anse 121,1e pliage se faisant vers l'étampe 147.
Sur cette vue , on a également représenté un fragment d'un élément d'une paire de matrices de pliage 152, cet élément étant dans sa position relative. Dans la série d'opérations suivante.$, représentéessur la figure 24, l'étampe 147 est toujours dans la même position. Cependant, la matrice 150 s'est maintenant dépla- cée vers le bas, de façon telle que le fil 121 est pleinement formé pour ce qui concerne la forme de U. Chaque extrémité du fil 121 est dans une position juste au-dessus d'une des matrices de pliage 152. La matrice 150 est munie d'une rainure 152a destinée à recevoir l'élément 144 quand la matrice descend.
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Dans le cas présent, les blocs de contact 151 sont constitués de carbure ou d'acier durci en vue d'une résistance maximale à l'usure (voir Fig. 25). Les blocs de contact 151 ne sont rendus suffisamment épais que pour agir sur le fil quand il se trouve dans un seul plan contre la plaque principale 72.
La matrice 150 maintient le fil dans un seul plan à l'aide d'une rainure de formation ou de maintien sous forme, 152, formée dans sa surface 150a adjacente à la plaque principale 72. Quand le fil subit son opération finale de formation en U, les blocs de contact 151 agissent comme les formes ou matrices extérieures pour amener une partie du fil à être plié droit vers le bas. l'arrangement des blocs de contact 151 et de la rainure de forma- tion 153 est montré de la meilleure façon aux figures 25 et 26.
Le formage final du fil 121 en forme de U se fait au moyen des matrices de pliage 152. Uutre la forme de réalisation préférée, on peut apporter de nombreuses modifications dans la réalisation et la formation ides rainures ou dans leur dispo- sition. La matrice de pliage 152 (Fig. 27) présente une rainure formée sur sa face. Cette rainure forme un canal que les extré- mités du fil 121 doivent suivre pour donner au fil la forme d'une anse. Pour que l'anse se dégage aisément de la rainuré après qu'elle est pleinement formée et en place, il est nécessaire que la rainure soit faite avec des cotés dégagés. La rainure représentée à la Fig. 28 présente une paroi inclinée intérieure 155, une paroi inclinée extérieure 156 et une paroi de fond 157.
Les cotés de la rainure sont inclinés et espacés de façon telle que le fil 121 touche chaque côté à une profondeur telle que le bord extérieur du fil 121 est en ligne avec la face antérieure de la matrice de pliage 152. En pratique, on a trouvé que la pente des cotés est très efficace si l'angte compris'est approxi- mativement de 35 .
Ceci est basé sur l'utilisation d'un fil galvanisé d'acier doux N 12 présentant une résistance à la
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traction de 5250 à 6350 kg/cm2. Pour garantir que lee varia- tions de dimensions du fil n'amène pas le fil 121 à s'enfoncer trop profondément dans la rainure, la plaque de fond 157 est située.. de façon telle,que le fil a théoriquement un contact en trois pointe avec les parois 155, 156 et 157 de même qu'un contact avec le bras d'arrêt de recouvrement qui doit être décrit plus loin.
Dans chaque matrice 152, la rainure a une partie supérieure ou entrée 158 qui est virtuellement droite et s'étend verticalement. A une courte distance du bord supérieur de cette matrice, la rainure se courbe en 158a en direction de l'extérieur, et, pour faciliter la fabrication, s'étend droit diagonalement vers l'extérieur en 158b. La rainure se courbe ensuite vers l'intérieur en 158c pour former la section de formation de boucle , la courbe se terminant dans une partie 159 courbée vers le haut.
En vue de la formation effective des boucles terminales voulues du fil 121, la forme de réalisation préférée de la rai- nure se présente sous forme d'une spirale légèrement serrée telle que représentée sur la figure 35. La partie 158c est d'abord courbée suivant un rayon 160 de 0,482 cm dont le centre se trou- ve à une certaine distance à l'intérieur à partir du bord de sortie 161 de la matrice 152. En un point plus bas et plus pro- che 161 se trouve une partie 162 courbée syivant un rayon de 0,432 cm vers le bord 161 de la matrice. Il est également pos- sible de former des boucles en ayant une courbe d'un seul rayon, le centre étant situé environ à mi-chemin dei deux centres repré- sentée sur la Fig. 35.
La matrice 163 à rayon unique est repré- sentée sur les Figs. 36, 37, 38 dans lesquelles le rayon 164 de la rainure 163a mesure 0,457 cm, comme représenté sur la Fig. 36.
La rainure 163a présente une partie d'entrée 163b évasée. Il faut noter en particulier l'importance et la signification de la continuation de la courbe au delà de la ligne centrale du rayon, de façon telle que la partie finale de la rainure s'incline vers le pot en 159 contrecarrant ainsi le rappel naturel du fil 121
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au moment de sa formation, cette disposition servant également à garantir que l'extrémité du fil,au ornent où il entre dans l'oreille 107, soit dirigée ou orientée vers le haut.
En plaçant la rainure dans la matrice de pliage 152, on a trouvé important que la rainure soit formée de façon telle, que la ligne centrale de la spirale ou de l'autre courbe, se trouve à une petite dis- tance vers l'intérieur à partir du bord de sortie 161, Comme représenté, un tel modèle de rainure permet la formation des extrémités du fil 121 en une boucle serrée sans déformation indue ni involontaire de la section transversale du fil.
Dans certains cas, on peut faire varier la section transversale de la rainure par rapport à celle représentée sur la figure 29 et décrite plus haut. Une rainure 166 à fond arrondi est représentée sur la figure 23, rainure dans laquelle une paroi intérieure inclinée 167 s'enfonce dans une paroi courbe postérieure 168 qui rejoint une paroi inclinée extérieure 169.
Cette configuration de la rainure produit plus d'une résistance sur le fil et est donc moins souhaitable dans la plupart des applications. Une forme de rainure encore différente est repré- sentée sur la Fig. 30 et désignée par la notation de référence 170. Cette conformation présente à la fois une paroi inclinée
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-atteindre . intérieure 171 et une paroi inclinée extérieure 172 pour environ l'angle minimal permettant un dégagement du fil 121. Cet angle est d'habitude d'environ 14 à 16 inclus. Une paroi de fond droite 173 de la rainure empêche le fil 121 d'entrer trop profon- dément dans la rainure. La dureté ou la molesse du fil 121 détermine l'angle minimal qui peut être formé dans la rainure avant que le fil ne tende à se coincer dans celle-ci.
La rainure
170 offre à peu près les mêmes avantages opératoires que la rainu- re 158 mais l'angle plus aigu diminue la variation admissible du diamètre du fil 121.
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Une autre forme de réalisation d'une configuration d'une rainure est représentée dans la matrice 174 aur la figure
31. La rainure 174a a son étendue initiale verticale 174b formée comme représenté sur la Fig. 32 dans laquelle une paroi inclinée intérieure 175 s'enfonce dans une paroi de fond courbée
176 et de là aboutit en une paroi inclinée extérieure 177.
Comme la rainure se courbe vers l'extérieur versvet dans l'étendue diagonale droite suivante 177a, la rainure présente une étendue telle que celle représentée sur la Fig. 33,dans laquelle une paroi perpendiculaire 178 est maintenant la paroi intérieure.
Une paroi de fond 179 parallèle à la face de la matrice 174 rencontre une paroi inclinée extérieure 180. Comme le fil 121 s'avance le long de la rainure à l'endroit courbe, la force déve- loppée en tournant le fil de l'étendue verticale 174b à l'étendue diagohale 177a, s'exerce contre le coté perpendiculaire 178.
En un point qui n'est pas postérieur au point auquel la rainure se courbe vers l'intérieur, la rainure est, une fois de plus, modifiée de façon telle que le fil 121 exerce de nouveau sa pression contre une paroi droite. La partie 177b de configuration spiralée de la rainure (et, dans le cas présent, de la partie postérieure de l'étendue 177a) représentée sur la Fige 34 dans laquelle une paroi perpendiculaire 181 est la paroi extérieure et dons laquelle la paroi de fond plane 179 rencontre une paroi intérieure 182 inclinée vers l'extérieur. La rainure telle qu'elle est formée dans cette matrice 174 est aussi réduite que possible étant donné que la pression de pliage du fil 121 s'exerce toujours en premier lieu contre une surface perpendiculaire maie à un endroit où il y a toujours une surface inclinée pour réduire le pliage.
Pour compenser les variations expérimentées dans la fabrication et dans la manipulation des pots et des oreilles qui y sont fixées, il est préférable que la matrice 132(et les autres i matrices décrites plus haut) pivotent de manière à a'ajuster au @
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pot à oreilles. Dès lors, comme montré en relation avec la matrice 163 sur les Fig. 36, 38, la matrice pivote en un point proche de l'extrémité d'entrée de la rainure, sur un pivot 183 inséré dans la plaque principale 172. La matrice est normalement maintenue dans une position retirée à l'aide d'un dispositif à ressort léger (non représenté). Comme le fil 121 entre dans la matrice 163, il amène la matrice à se déplacer vers l'intérieur jusqu'au moment où le bord 161 rencontre une oreille 107 (Fig. 37).
La matrice reste dans cette position pendant que le restant de la boucle est formé et se déplace pour entrer dans l'oreille 107 de la façon représentée sur la figure 38.
L'achèvement de la formation de l'anse par rapport au mouvement des sabote supérieur et inférieur formant,respectivement, matrice et étampe, est le mieux représenté sur les Fige. 39 et 40. Sur la figure 39, la matrice 150 et l'étampe 147 ont saisi le fil 121 entre4ellea, la matrice 150 a.déplacé l'étampe vers le bas avant elle et lès extrémités du fils sont entrées dans les matrices de pliage 152. Le pot 80 est dans la position où il reçoit une anse, position dans laquelle les sorties des rainures des matrices 152 sont adjacentes aux trous formés dans les oreille du pot. Dans cette phase de l'opération, le doigt 145 rétractile et rappelé par un ressort est toujours dans la position inférieure.
La formation finale des extrémités de l'anse 121 est montrée sur la Fig* 40 dans laquelle la matrice 150 s'est déplacée vers le bas, et a porté l'étampe 147 avant elle, la quantité étant neces- saire pour pousser les extrémités du fil 121 à travers les matrices de pliage 152 et dans les oreilles du pot. A ce moment, les doigta 145 rétractile et rappelés par un ressort ont rencontré les doigts 152 et se sont déplacés vers le haut de façon à libérer l'anse 121 de l'engagement avec les doigts 145.
Concurremment au pliage ou cintrage du fil 121, comme décrit plus haut, d'autres opérations se déroulent visant à pla- cer convenablement le pot 80 et les oreilles 106 et 107 par
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rapport aux matrices de pliage 152. Comme décrit précédemment, le pot 60 produit une activation ou un actionnement du poste de détection à l'aide d'une oreille 107 d'un pot orienté.
Le pot continue son trajet sur le transporteur de la sposition E à la position F (Fig. 8) auquel point, le pot 80 est empêché d'avancer ! plus loin par des moyens de retenue qui maintiennent les oreilles 106 et 107 dans la position voulue, tandis que les extrémités du fil 121 sont pliées et introduites dans les ouvertures 189 qui reçoivent les extrémités du fil (Fig. 38) lesditos ouvertures étant prévues dans les oreilles 106 et 107. Pour réaliser cette retenue d'un pot, on utilise un mécanisme de contrôle de l'amenée des pots.
La forme de réalisation préférée est montrée sur les Figs. 41, 42, 43 et 44 dans lesquelles une paire de bras 190 d'arrêt de recouvrement, présentent des faces postérieures planes qui rencontrent les surfaces antérieures des matrices 152, les bras 190 présentant également des surfaces 191 qui se touchent, propres à venir en contact avec les bords antérieurs des oreilles 106 et 107. Chaque surface 191 est contruite de manière telle qu'elle forme le coté inférieur d'une poche 192 dans le bras 190. La profondeur de la poche 192 est déterminée par la distance de l'extérieur d'une oreille au bord proche de l'ouverture 189 formée dans ladite oreille. A l'usage, il s'est révélé/de que des pote 3,78 litres ont couramment des oreilles d'environ 0,20 cm de largeur.
Les bras 190 sont agencés de manière à glisser sur les faces antérieures des matrices de pliage 152. Quand les bras 190 sont dans la position orientée vers l'intérieur telle que repré- senté sur les Figs. 41 et 44, non seulement les surfaces 191 sont en position pour toucher les oreilles 106 et 107 mais les bras 190 recouvrent également les rainures formées dans les matrices 152 formant ainsi la face antérieure pour les rainures de forma- tion du fil dans les matrices de pliage 152.
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Les moyens préférés pour actionner les bras 190 sont également représentés sur les Figs. 41, 42 et 43. Chaque bras 190 est monté sur un pivot 195 qui s'étend à travers la plaque principale 72, (esquissée en traita interrompus sur la Fig. 43).
Un bras articulé postérieur 196 est monté sur chaque pivot 195 et est, dans le cas présent, à peu près perpendiculaire au bras 190.
Un mouvement est imprimé à chaque bras articulé posté- rieur 196 à l'aide d'une tige 197 qui est attachée en pouvant pivoter, au bras articulé postérieur 196. L'extrémité supérieure de la tige 197 est attachée en pouvant pivoter à un bras 198 muni d'un suiveur de came, monté en pouvant pivoter sur un support 199. Un suiveur de came 201 en forme de galet est monté sur le bras 196 et rencontre ou coopère avec une came 202 fixée à l'arbre manivelle 116. Le bossage 202a de la came 202 produit par sa rota tion un mouvement vers l'extérieur du suiveur de came 201 qui à son tour imprime un mouvement à la tige 196 et au bras 190 de la position indiquée en traits pleins à la position esquissée en traits interrompus sur la Fig. 41.
Les bras 190 sont maintenue dans une position normalement fermée (telle que représentée en trait plein) à l'aide de ressort 203 qui s'étendent des supporte 204 au bras articulé postérieur 196, le mouvement d'ouverture étant produit par l'action des bossages ou nez <de cames 202 quand ils surmontent la tension dirigée du ressort tendant à garder les bras 190 dans une position fermée. Pour empêcher le mouve- ment vers l'avant d chaque bras 190, un bloc ou pièce de secoure 205 aide le bras 190 à garder sa position relative à la face de la matrice de pliage 152 quand l'extrémité du fil 121 est poussée à travers la matrice en question.
Les mouvements du fil et des divers éléments utilisés lors de la formation et de l'introduction de l'anse dans les oreilles d'un pot, reçoivent leur impulsion de la rotation de
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l'arbre-manivelle 116, La forme de réalisation préférée du mécanisme d'embrayage pour régler et actionner l1 arbre-manivelle
116 est représentée sur lea figures 45, 46, 46A, 47 et 48. Un embrayage ordinaire à simple révolution du type à cliquet tel qu'il est souvent utilisé pur des presses d'estampage et analogues, a été modifié pour incorporer un système d'arrêt ou de retenue en vue de donner à un pot 80 le temps nécessaire pour voyager de la position E dans laquelle un signal est pro- duit par l'oreille 107 à la position F dans laquelle l'anse est introduite.
Une source d'énergie imprime une rotation constante à un pignon 207. Le moyeu 208 du pignon 207 est muni de rainures 208a qui coopèrent et présentent des surfaces 209 qui entrent en contact. Dans le cas présent, des nièces rapportées 210 durcies sont introduites et meulées à ras de la surface 209, les pièces rapportées 210 présentant des surfaces d'usure facilement rempla- cées. Le pignon 207 et son moyen 208 sont montées sur l'arbre 116 pour tourner librement sur celui-ci.
Un cliquet 211 glisse dans une rainure 212 dans l'arbre 116 et dans une rainure 212 formée dans une came de déclen- chement 213. Un ressort 213a (Fig. 46A) rencontre l'arrière du cliquet et est contenu par un collier 214 servant à retenir le ressort, celui-ci poussant le cliquet 211 vers la gauche (Fig.
45) de façon telle que quand le cliquet est libre de se déplacer, il pousse contre la surface droite (Fige 45) du moyen 208 et/ou se déplace dans l'une ou l'autre rainure 208a qui est la première en regard de lui, de manière à connecter à entraînement l'arbre 116 au pignon 207. Le cliquet et les pièces susdites qui l'accom- pagnent sont couranta à la fois quant à leur modèle et à leur uti- lisation.
Un bras 215 de cliquet est monté en pouvant pivoter, entre ses extrémités, sur un boulon 216 attaché à un support 217.
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L'extrémité du bras 215 est biseautée en 217a, de manière à coopérer avec l'extrémité antérieure biseautée 217b d'un ergot 217c formé sur le cliquet 211, cette extrémité servant également à pousser le cliquet vers la droite (Fige 45). L'extrémité in- férieure du bras 215 est reliée en pouvant pivoter à une extré- mité d'une bielle de liaison 218 à l'aide d'un pivot 220. L'autre extrémité de la bielle de liaison 218 est reliée en pouvant pivo- ter à un bras basculeur 221 à l'aide d'un pivot 222.
Pour actionner le bras 215 du cliquet 211, un cylindre à air 224 se détend vers le haut en recevant un approvisionnement d'air dégagé par la valve 114 par suite de l'actionnement pro- duit par le pot 80 quand il passe par'le poste de détection.
A la tige de piston 225 du cylindre à air 224 est montée une biel- le de liaison 226 fixée en pouvant pivoter à l'aide d'un pivot 227. L'autre extrémité de la bielle de liaison 226 est fixée au bras basculeur 221 en pouvant pivoter à l'aide d'un pivot 228.
Le bras basculeur 221 est monté en pouvant pivoter sur un pivot 230 lequel est monté sur un support 231. Un ressort 232 oblige le bras basculeur 221 à garder la position représentée en traite pleins sur la Fige 46, Quand la tige de piston 225 se déplace vers le haut, elle déplace à son tour, 1'extrémitésconnectée de la bielle de liaison 218 vers le haut 'et en direction de la pla- que principale 72. Quand la tige de piston atteint la position supérieure ou position détendue. la bielle 218 et le bras 221 prennent la position représentée en traits interrompus et l'ex- trémité supérieure du bras 215 du cliquet 211 se déplace vers l'extérieur pour atteindre la position représentée en traits interrompus sur la figure 46.
Ce mouvement vers l'extérieur libère le cliquet 211 de façon qu'il rencontre, sous la pression du ressort 213a, l'une ou l'autre des surfaces attenantes 209 qui est la première en regard avec le cliquet pendant la rotation du moyeu 208.
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Etant donné que la valve 214/agit que brièvement, amenant à son tour la tige du cylindre 225 à monter et à retourner dans la position représentée, un mécanisme d'arrêt cet, dans le cas présent, incorporé. Ce mécanisme d'arrêt oblige le cliquet 211 à rester engrené ou en prise pendant une période voulue et comprend un bras de déclenchement 235 qui est monté en pouvant pivoter sur un boulon 216 et comprend un premier élément 235a 'et un second élément 235b qui est éloigné d'un peu plus de 90 du premier élément.
Le second élément est dirigé par un res- sort 236 fixé à un support 231. Un arrêt 237 est formé à l'ex- trémité du second élément. Quand le piston déplace le bras bas- culeur vers le haut, une partie décentrée 237a du bras 221, partie à laquelle est fixée un galet 238, se déplace vers le haut'.et vers l'extérieur. Le galet 238 se déplace dans l'arrêt 237 ame- nant le bras 215 du cliquet à être maintenu dans la. position extérieure ou dégagée par le bras 221.
Pour libérer l'arrêt, le bossage 240 de la came de déclenchement 213 est disposé en rela- tion avec la rotation de l'arbre-manivelle 116, de façon telle qu'à un moment déterminé d'avance, le bossage 240 rencontre et pousse le bras de déclenchement 235 dans un sens senestrorsum ( Fig. 46). Quand le bras de déclenchement 235 est déplacé en ar- rière par le bossage 240, le second élément 235b du bras de dé- clenchement 235 s'élève, amenant l'arrêt 237 à se déplacer vers le haut et à libérer le galet 238.
Celui-ci étant libéré, un ressort 232 agissant avec un ressort de rappel 241 dans le cylin- dre 224, pousse le bras basculeur 221 dans la position inférieure; à ce moment, le bras 215 du cliquet 211 s'avance, tandis que le bout biseauté 217a du bras 215 rencontre l'extrémité 217b du cliquet 211 et déplace le cliquet en arrière, le poussant hors de la rainure 208a pour le dégager ou le désembrayer du moyeu 208.
En cours de fonctionnement, si l'amenée des pots 80 est suffisante, pour utiliser tous les cycles d'opérations de la station d'alimentation, et si tous les pots ont leurs oreilles
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convenablement orientées, les pote 80 actionnent la barre de déclenchement 110 laquelle actionne la valve 114 qui à son tour actionne le cylindre à air 224. En choisissant pour l'arbre- manivelle 116 une vitesse qui est juste légèrement plus grande que celle à laquelle les pots sont présentés au poste d'intre- duction des anses, le bras 215 peut être maintenu dans la posi- tion ouverte pendant une grande partie du temps.
Le cylindre 224 amène le galet 238 à tomber dans l'arrêt 237 juste au moment ou le bossage 240 de la came de déclenchement 213 libère le second élément 235b du bras de déclenchement 235 de façon qu'il retourne dans la position inférieure. Cela permet à l'opération de formation de devenir continue quand les pote 00 sont amen'. d'une manière continue. Dans ces occasions, quand l'amenée des pots est sporadique ou quand l'opération de placement d'une anse ne doit se faire que sur un seul pot, on ne demande au mécanisme den'accomplir qu'une seul révolution de l'arbre- manivelle 116. Il est essentiel que l'appareil soit toujours dans une position donnée,au départ de la formation d'une anse.
C'est pourquoi, l'appareil doit s'arrêter dans une certaine position, Dans le cas présent, la poussée du cliquet 211 hors de la prise avec le moyeu 208 retire la force motrice qui s'exerce sur l'arbre 116 et en raison du frottement créé par le mouvement des différentes pièces, l'arbre-manivelle 116 s'arrête presque immédiatement. Le bout biseauté 217& commence, dans le cas présent, à rencontrer ou à mettre en prise le cliquet 211 sur l'extrémité 217b du cliquet en un point situé à environ 220 au delà du haut de la course et met complètement en prise l'ex- trémité 217b du cliquet 211 à 240* ou environ un tiers de révo- lution,avant que l'arbre-manivelle/ soit de nouveau au haut de la course.
Pour garantir que l'arbre-manivelle ne dépasse pas la limite, en raison de l'usure de différentes pièces ou en raison
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d'autres facteurs entraînant un relâchement, un bloc d'arrêt 241 est fixé au bras 215 à une position située juste en arrière du bout biseauté 217a. Si un dépassement est près de se produire, la surface 217b de l'extrémité du cliquet glisse sur le bout biseauté 217a jusqu'au moment où le cliquet 211 rencontre le bloc d'arrêt 241:à ce moment, le dépassement cesse. Quand le bras 215 se déplace vers la position représentée en traits interrompus (Fig. 46) le bloc d'arrêt 241 s'est déplacé pour se mettre dans une position hors du trajet du mouvement de rotation du cliquet 211.
En référence à la figure 10, il faut noter qu'on estime préférable, dans le cas présent, de placer bon nombre d'éléments essentiels derrière la plaque principale 72. Dès lors, les autres éléments essentiels qui se trouvent derrière la plaque principale 72 sont représentés sur la Fig. 49.
La partie manivelle 149e de l'arbre manivelle 116 porte et entraîne la matrice 150 de la façon décrite plus haut, Une tige de liaison 250 sert à ajuster et à bloquer la matrice 150 de manière à régler avec précision son trajet vers le bas.
L'étampe 147 est montée sur une plaque de fond 149a qui peut coulisser vers le haut et vers le bas entre des rails de guidage 252. Le' sabot inférieur ou étampe 147 s'étend à travers une découpe 253 formée dans la plaque principale 72. Comme décrit plus haut, l'étampe 147 est poussée vers le haut par les ressorts 149b qui maintiennent la pression de l'étampe 147 contre le fil 121.
Quand la formation et l'introduction de l'anse 121 dans les oreilles 106 et 107 sont achevées, il est nécessaire de libérer l'anse 121 et le pot 80, de façon que le pot muni de son anse puisse sortir de la machine. Le suiveur de came 149d est porté sur un bras 256 actionné par une came et fixé à à la plaque de fond 149a laquelle l'étampe 147 est fixée. Un bos- sage 257 de la came 149c (Fig. 10A) pousse le braa 256 à une
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faible distance en portant l'étampe plus loin vers le bas, pour la mettre dans la position esquissée en traits interrompus sur la figure 40, et plus loin qu'elle n'est portée par la matrice 150, Entretemps, la matrice 150 a atteint sa position la plus basse et a commencé de se déplacer vers le haut. Cette séparation des pièces de matrice libère l'anse.
En même temps, les bras 190 se déplacent en arrière des oreilles 106 et 107. Le pot 80 muni de son anse est maintenant capable de se déplacer une fois de plus sur les chaînes transporteuses 83 et 84 vers le dispositif de transport de sortie 87.
Dans beaucoup de cas, les appareils d'équipement moderne ne sont que des éléments d'un ensemble de production et si un tel dispositif po3sède cornue moyen de transport un transporteur, le transporteur doit nécessairement être adapté pour déplacer les différents objets traités. Le traitement de pots ou de récipients de 3,78, 7,56 , 11,34 et 18,90 litres (qui ont normalement le même diamètre) ne demande qu'un seul transporteur tel que celui qui est représenté sur les Fige- 2, 4, 5,6 et 7. Pour le traite- ment de pots (normalement dépourvus d'oreilles) de diamètre plus petits tels que des pots de 1,89 , 0,94 et 0,47 litre, on peu pla- cer des chatnes en positions intermédiaires par rapport aux chaînes 83 et 84. Ce système intermédiaire est représenté sur les figures 2,50, 51 et 52.
Dans la figure 51, un récipient 80 de 3,78 litres est représenté transporté sur une chaîne 83 à grande vitesse et sur une chatne 84 à faible vitesse. Entre ces chatnes et légère- ment en dessous de celles-ci, se trouvent des chaînes de transport 260 intermédiaires, arrangées pour porter un récipient 261 de 0,94 litre. Chaque chaîne 260 se déplace à la même vitesse que l'autre chaîne 260 et d'habitude à une vitesse légèrement plus grande que le système 86 d'amenée et d'entrée. Comme représenté sur la figure 52, le contrôle latéral de la dimension plus petite @
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du pot 261 requière des moyens de guidage latéraux autres que les rails de guidage 77.
Ce contrôle latéral est fourni par les chaînes 83 et 84 qui sont disposées légèrement au-dessus des chaînée intermédiaires 260, la hauteur étant juste suffi- sante pour que le bord du fond du petit pot 261 touche les cotes des chaînes 83 et 84. Dans le cas présent, il s'est révélé satisfaisant que les chaînes 83 et 84 soient à peu près 0,63 cm au-dessus des chaînes 260.
Le système d'entraînement préféré dans le cas présenta est représenté sur les figures 53, 54 et 55. Ce système met en oeuvre un réducteur de moteur 265 actionnant un arbre-moteur 266. A partir de Marbre-moteur 266, une chaîne ou courroie d'entraînement 267 transmet de l'énergie au pignon 207. Le trans- porteur est également actionné ou entraîné par l'arbre 266. Un pignon 269 fixé à l'arbre 81 est entraîné par un pignon 268.
Les pignons 269 et 270 de la chaîne 84 à faible vitesse, sont fixés ensemble. D'une manière analogue, un pignon 271 est action- né par l'arbre 266 et entraîne à son tour un pignon 272 qui peut tourner librement sur l'arbre 81 et est fixé à un pignon 273 d'une chaîne 83 à grande vitesse. Dans le cas présent, les pignons 272 et 273 sont fixés en combinaison à un moyeu commun 274 muni d'un coussinet 275 permettant à l'ensemble de tourner à une vitesse indépendante de l'arbre entraîneur 81 .
La relation existant entre le débrayage et l'embrayage à l'aide du cliquet 211 (I), le mécanisme d'arrêt contrôlé à l'aide de la came 213 (II) et les cames 134(111), 149c (IV) et 202 (V) est montrée sur la figure 59 dans laquelle les chiffre en abscisse indiquent les positions des pièces I - V en degrés. Dans ce diagramme tel qu'il est représenté, la position correspondant a,0 est la position supérieure ou haut de course de la manivelle 149a, comme le montre la Fig. 10. Comme on l'a fait remarquer précédemment, le cliquet 211 (I) commence à être embrayé ou engre- né à 220 et est pleinement engrené à 240 .
Le bossage 240 de la
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came de déclenchement 213 (II) rencontre,... le bras de déclenchement 235 à 34 et libère le galet 238 de l'arrêt 237. Le bossage 240 commence à tomber vers le diamètre, de la base à 36 . Dana le présent cas, l'élévation et la chute du bossage 240 sont de 1,905 cm.
La came 134 (III) qui actionne le bras 132 de coupe de fil présente une montée ou levée graduelle de 1,746 cm dans le bossage 133a, en commençant à 345 et en terminant à 5*, en s'arrêtant ensuite de 30 à 35 et en retournant au diamètre de base à 45* . La coupe et le transfert du fil réalisés par l'avancement du bras 132 se font pendant la montée ou levée de 345 à 5* . La came 149c (IV) de contrôle du mouvement de l'étames 147 a,dns la forme de réalisation présente, une levée totale de 5,31 cm.
Pendant que le fil 117 est coupé et transporté, la came 149c (IV) laisse l'étampe 147 poussée par les ressorts 149b s'élever à 10*,position dans laquelle elle sorte le fil coupé 119 (Fig. 20). L'étampe 147 s'arrête de 10 à 110 . C'est pendant cette période que la matrice 150 s'avance vers l'étam- pe 147 pour donner au fil la forme d'un U inversé. La came 149c (IV) n'influence pas l'étampe jusqu'au moment où le bossage 257 rencontre le suiveur 149d en un point qui correspond à 108 . plus Le bossage 257 pousse ensuite l'étampe 147/Loin vers le bas; et a 188 l'ange 121 est libérée.
Le bossage 257 maintient l'étampe 147 dans sa position la plus basse jusqu'à 258 . La came 149c ( IV) permet ensuite à l'étampe 147 de retourner, dans la position représentée sur la Fige 18, à la base à 315 .
A 355 . la came 149c (IV) commence à permettre le mouvement de l'étampe plus loin vers le bas vers la position montrée sur la figure 20, Les bras 190 sont contrôlés par les cames 202 (V) dont les bossagesont chacun une montée de 3,33 cm. A 190 , les bras 190 commencent à se déplacer vers l'extérieur par le com- mencement du mouvement des bossages 202a, la montée totale étant à 210*. Les bossages 202a continuent jusqu'à 260 où ils commencent à descendre ; ce moment, les bras 190 commencent à se déplacer
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vers l'intérieur. A 218 , la came (V) est retournée dans la position de base et les bras 190 sont fermés.
Dans certains cas on désire un appareil alimenté à la main. Cet appareil sert à fournir les bénéfices tels que discu- tés plus haut, dûs au fait que l'anse est formée et introduite par des opérations qui ne font pas partie du système de transport.
Un arrangement est montré sur les figures 56,57 et 58, dans lesquelles une glissière 280 est prévue pour recevoir un seul pot 80. La glissière 280 est montée sur une plaque principale 281. Des bras 283 de localisation des pots, sont également montés en pouvant pivoter sur des pivots 282, lesdits bras 283 fonctionnant de manière semblable aux bras 190. Les pivots 282 sont fixés aux plaques 281.
Un cylindre à air 285 actionne une plaque d'estampage supérieure ou matrice 286 par l'intermédiaire d'un ressort 286 a porté dans une cuvette ou godet 286b fixée à la matrice ou pla- que d'estampage 286. La plaque supérieure est en général sem- blable à la matrice 150 et peut se déplacer dans des guides 287.
Le cylindre à air 285 est actionné à la main à l'aide d'une valve à air (non représentée) et sa tige de piston 288 se déplace vers le bas exerçant une pression vers le bas sur le sommet du ressort 286a poussant ainsi la plaque supérieure ou matrice 286 vers le bas par l'intermédiaire du ressort 286a. La tige 288 porte une pièce transversale 288a s'étendant en dessous du fond du godet 286b quand le ressort 286a est détendu.
Un sabot inférieur ou étampe 290 est semblable quant à la forme et à la fonction au sabot inférieur ou étampe 147. Une fente verticale 291 formant glissière est prévue dans la plaque
281 pour le déplacement vertical de l'ergot 292 à l'intérieur de celle-ci. L'ergot 292 de guidage est fixé à l'étampe 290 et est légèrement plus épais que la plaque 281. Une plaque 293 @ à glissière postérieure est fixée à l'ergot 292 en maintenant j
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l'étampe 290 contée la plaque 281. L'étampe 290 est poussée ou tirée vers le haut par des ressorts non représentés, d'une ma- nière semblable à l'étampe 147.
Quand la matrice 286 atteint la li. nite inférieure voulue, le bord inférieur 294 de son dépla- cement, la plaque 286 rencontre les broches d'arrêt 295 arrêtant la descente de la matrice 286. Le cylindre 285 continue de pousser vers le bas amenant le ressort 286a à être comprimé.
Un doigt 296 est fixé à la tige de piston 288 et quand le ressort 286a est comprimé, le doigt 296 rencontre la plaque postérieure à glissière 293 et pousse l'étampe 290 plus loin vers le bas pour libérer l'anse d'une manière qui doit être décrite ci-après
Sur la face de l'appareil se trouve une forme de réali- sation d'une amenée de fil. Le fil coupé suivant une longueur choisie au préalable, est placé dans une gouttière d'amenée 300.
La gouttière d'amenée 300 a des cotés espacés de façon à retenir le fil dans une seule ligne. Des supports 301 sont fixés à la plaque principale 281 et supportent une barre 302. Des bras 303 sont fixés sur la gouttière d'amenée 300 et supportent une pièce de recouvrement 304 de la gouttière. La gouttière 300 est sus- pendue à articulation à des supports articulés 305 qui permettent à la gouttière 300 de balancer sur la barre 302. Un ressort 306 pousse la pièce de recouvrement 304 au-dessus de la gouttière 300. Quand la matrice ou plaque d'estampage 286 se trouve dans la position représentée, un fil coupé au préalable tombe de la gouttière 300 sur l'étampe 290, l'espace compris entre le bord inférieur de la gouttière 300 et le sommet de l'étampe 290 étant juste suffisant pour recevoir un seul fil.
Comme la matrice 286 descend pour former l'anse, la gouttière 300 se déplace vers l'extérieur par contact du bord inférieur de la plaque ou matrice 286 avec l'extrémité inférieure inclinée de la gouttière, déplaçant celle-ci dans la pièce de recouvrement 304 de la gouttière. Cette pièce de recouvrement 304 possède une plaque de fond 304a qui em- pêche la perte du fil dans la gouttière. Quand l'actionnement
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de la valve à air s'est arrêté, la plaque supérieure ou matrice retourne dans sa position de départ sous l'action d'un ressort (non représenté) contenu dans le cylindre 285, et permet à la gouttière 300 de retourner.dans la position de distribution écartée de la pièce 304 de recouvrement de la gouttière.
Les bras 283 d'arrêt de recouvrement sont déplacés vers l'intérieur par des cylindres à air 307 actionnés par le même système de valve qui actionne le cylindre 285 et qui place le pot pour3 'introduction convenable d'une anse. Il faut égale- ment noter qu<un creux 308 de logement du fil est formé dans la plaque supérieure ou matrice 286 et qu'un creux 309 de logement du fil est également formé dans la partie arquée de la plaque supérieure ou matrice 286. En cours de fonctionnement, un fil est amené dans le creux 308 quand la plaque supérieure 286 se trouve dans la position.supérieure. Quand le cylindre à air 285 pousse la matrice 286 vers le bas, la gouttière 300 est poussée à l'extérieur contre la tension du ressort 306, laissant un fil dans le creux 308.
Des contacteurs 309a dépendant de la matrice 286, rencontrent alors l'extrémité du fil et poussent le fil au-dessus du sabot supérieur ou étampe 290 où le fil est plié en forme de U inversé. Les extrémités du fil entrent alors dans la rainure 158 formée dans les matrices de pliage 152 quand la plaque 286 et le sabot ou étampe 290 se déplacent vers le bas.
Il faut noter que le recouvrement des matrices 152, comme représenté sur la figure 56, se fait au moyen de la plaque supérieure ou matrice 286 plutôt que des bras 283 servant d'arrêt.
Le recouvrement des matrices 152 se fait à l'aide de la surface antérieure 310 du creux 308, représenté sur la figure 57. Quand la matrice 286 atteint sa position la plus basse, esquissée en traits interrompu$, contre les arrêts 295, les matrices 152 sont recouvertes par la surface 310, laissant un passage pour les extrémités du fil qui doivent être formées en boucles. Les bras
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283 servent d'arrêt pour les oreilles du pot 80.
Pour faciliter l'enlèvement du pot muni de son anse de l'appareil, on a prévu des moyens pour libérer l'anse ainsi que d'autres mouvements en rapport avec ces moyens. Un doigt éjecteur 312 se déplace avec le sabot inférieur ou étampe 290, et est monté en pouvant pivoter à l'aide d'un pivot 313 sur l'ergot 292 de guidage et est poussé en avant par un ressort 314. Dans la postion supérieure, le doigt éjecteur 312 se trou-, ve derrière la plaque 281. Comme 1'étampe 290 descend, la par- tie supérieure du doigt 312 pénètre dans une fente 315 de la plaque 201 et, sous le contrôle de la surface inclinée 316, peut s'avancer sous l'influence d'un ressort 314. Une surface de contact 317 du doigt 312 rencontre l'anse et essaye de pousser l'anse vers l'avant.
Cependant, jusqu'au moment où l'anse est libérée, le doigt applique une pression mais est incapable de pousser l'anse vers l'avant. Quand l'étampe 290 atteint le point le plus bas, sous la poussée du doigt 296, le bord supérieur de la plaque de fond 293 se déplace sous un bras de blocage 320 maintenant l'étampe 290 dans la position inférieure. Un support 322 est fixé à la plaque 281 et sunporte le bras de blocage 320 en pouvant pivoter à l'aide d'un pivot 324. Un ressort 326 est monté de manière à rencontrer et à pousser le bras de blocage 320 au-dessus de la plaque de fond 293. Pour libérer l'anse, l'opération manuelle de la valve de contrOle de l'actionnement des cylindres 285 et 307 est achevée, amenant les tiges de pistons à se déplacer dans les cylindres.
La plaque supérieure ou matrice 286 est tirée vers le haut par la traverse 288a portée par la tige 288 et les bras 283 aont tirés vers l'extérieur par le cylindre 307. Un très court mouvement vers l'extérieur des bras 283 libère les oreilles du pot et,quand le bord inférieur 294 de la plaque supérieure 286 atteint les bords supérieurs des matrices 152, l'anse est libérée et le doigt 312 actionné par un
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ressort, s'avance en poussant l'anse en avant. Le pot 80 peut alors quitter l'appareil. Pour libérer le sabot inférieur 290 de manière à retourner dans la position supérieure, le bras de blocage 320 doit être libéré de son engagement ou de sa prise avec la plaque de fond 293. Un bras 328 est fixé au bras de blocage 320. Un étrier 330 est fixé à un bras 328 à l'aide d'un pivot 332.
Un cylindre 334 est monté sur un support 336 et la tige du piston 338 est fixée à l'étrier 330. Le levier de valve 340 (Fig. 56) est monté sur une valve 342 de manière telle qu'un bras 283, quand il est déplacé dans la position ouverte, action- ne le levier de valve 340, ouvrant à son tour la valve 342 dans un tuyau à air 343, amenant le cylindre 334 à se retirer, déplaçant la tige 338 vers le haut et amenant le bras de blocarge 320 à se dégager de la plaque 293. Comme le sabot inférieur ou étampe se déplace vers le haut, le doigt 312 rencontre la surface inclinée 316 et revient dans la position esquissée en traite interrompus ; à ce moment la surface de contact 317 se trouve derrière la face.de la plaque 281.
L'appareil est à ce moment prêt à recevoir un nouveau por en vue de l'opération de placement d'une anse telle que décrite plus haut. Quand les bras 283 se déplacent vers l'intérieur, le levier 340 est libéré, fermant la valve 242, et relâchant la pression vers le haut exercée sur la tige 338 par le cylindre 334, lequel est suffisamment ouvert pour libérer la pression interne quand la valve 242 est fermée.
REVENDICATIONS.
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