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La présente invention est relative à des cavaliers pour feuilles de papier ou cartes (ou agrafes pour feuilles de papier) avec branches des deux côtés et languettes d'agrafage supplémentaires, dirigées vers le haut au voi- sinage du bord de la carte.
Les cavaliers avec languettes d'agrafage dirigées vers le haut se distinguent des différentes sortes de cavaliers à plusieurs points de vue. Contrairement à ce qui a lieu avec presque tous les autres, ils peuvent être utilisés aussi bien sur des cartes épaisses que sur des feuilles de papier minces et que sur un certain nombre de celles-ci; au point de vue de leur action de fixation, ils sont essentiellement indépendants en service du relâchement du serrage des branches; enfin, pour l'usage courant, ils permettent de se dispenser d'avoir à perforer des feuilles. Les cavaliers qui ne sont utilisables qu'avec des perforations préalablement faites ne tiennent assez solidement et sûrement sur les feuilles que si la tension
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élastique de leurs branches est très grande.
En ce cas, ils ne peavent être mis en place et retirés qu'en déployant une force appropriée et ils peuvent être empêchés de se relever de leur position de blocage par les feuilles, même dans le cas où cela n'est pas envisagé. Une forme particulière de ce genre de cavalier s'oppose à la manoeuvre facile du fait de la forme sphérique des dispositifs de fixation des branches qui en raison des fentes longues et très étroites latéralement des languettes diminuent l'effet de fixation à un point tel que l'on ne peut plus empêcher un déplacement facile de ces cavaliers vers le côté ou vers le haut.
On connaît déjà des cavaliers qui sont munis de branches de fixation élastiques et d'un agrafage supplémentaire au moyen d'une languette dirigée vers le haut au voisinage du bord de la carte. Quelques-uns des modes de réalisation connus pincent la feuille sensiblement perpendiculairement à son bord supérieur. Ces modes de réalisation présentent entre autre deux inconvénients essentiels. En premier lieu, l'arête oppose une résistance ayant un effet de déchirement à la mise en place du cavalier sur les cartes, feuilles ou analogues, de sorte qu'il peut se produire une détérioration du bord de la carte et de la feuille en particulier lorsque l'opération se répète plusieurs fois. La détérioration peut provoquer une déchirure ou un pliage de la feuille.
L'enlèvement du cavalier présente également des inconvénients par exemple avec les modes de réalisation d'agrafe coupante. En outre, ces cavaliers ne présentent pas la sûreté de fixation nécessaire que l'on doit exiger des dispositifs de cartes récentes soumis à de plus grands efforts, Une action de serrage sim-
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ple et la plupart du temps présentant un effet coupant des bords latéraux rectilignes des languettes et des arêtes inférieures des branches s'oppose seule à l'enlè- vement de ces cavaliers.
Les extrémités supérieures des languettes ne peuvent pas maintenir la feuille et sont la plupart du temps recourbées en s'en écartant;elles se trouvent à une grande distance du bord de l'ouverture des branches en regard ou bien elles s'étendent à peu près verticalement jusqu'au bord de la carte qui est prise dans le cavalier.
La présente invention permet d'éviter les défectuosités que présentent encore actuellement les cavaliers de ce genre, du fait de leur forme et de leur qualité particulières, grâce à ce que une ou plusieurs languettes d'agrafage de l'une des branches dirigées vers le haut, de façon connue en soi, par leurs arêtes supérieures, coins, dents, dentures, creux ou incurvations ou dispositifs analogues, serrent de façon à la bloquer, la feuille, carte ou analogue ou s'encastrent sur elle, ou la perforent ou se verrouillent dans des perforations de la feuille ou carte en dessous de son bord supérieur, contre l'arête de l'ouverture ou du renfoncement de l'autre branche qui y correspond sensiblement, dans une direction qui correspond sensiblement à la direction du bord de la feuille de façon à empêcher le cavalier d'être involontairement retiré.
De cette façon, la languette de serrage peut être faite avec une grande force de tension étant donné qu'elle présente une base large et une longueur relativement courte depuis sa base jusqutau point de serrage. Lorsque cela semble avantageux,on peut la rendre particulièrement flexible au moyen d'une base
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étroite ou affaiblie au moyen d'un évidement. On peut la prolonger vers le haut et la bloquer en la repliant à la main ce qui permet de placer facilement le cavalier sur la feuille ou Objet analogue et de le retirer de celle-ci.
On évite ainsi la détérioration de la feuille, carte ou analogue même lorsque l'on remet en place le cavalier fréquemment. Comme il peut être avantageux que la languette soit prolongée assez loin pour permettre un maniement facile, cette languette peut faire saillie dans le champ des index de classification. En ce cas, elle est faite de préférence de façon à ce qu'elle ne gêne pas l'examen des index. L'extrémité de la languette faisant saillie extérieurement vers le haut peut également être recourbée de façon avantageuse à un point tel qu'elle présente une inclinaison favorable dans le plan visuel.
De même, elle peut être ouverte ou fermée comme une pince en la pressant à la main au moyen d'une pièce rapportée, un index ou objet analogue de la branche du cavalier, situé à côté ou en arrière. Au cas où il est prévu plusieurs languettes, celles-ci peuvent être disposées au choix dans une branche ou dans les deux, alternativement en regard des coins creux ou analogues correspondants.
On obtient conformément à la présente invention un cavalier résistant particulièrement à l'enlèvement, au basculement ou au déplacement latéral et facile à manoeuvrer. Conformément à l'invention également, les cavaliers sont ainsi faits qu'ils peuvent être placés facilement sur la feuille ou en être retirés.
Conformément à l'invention, la languetted'agrafage connue en soi et
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dirigée vers le haut est munie de moyens de fixation dirigés de façon sensiblement (approximativement) correspondante à la direction du bord de la carte ou de la feuille qui est pincée etes évidements de l'autre branche, disposés en regard, constituent une ouverture (une empreinte, un renfoncement ou une dentelure) s'adaptant à ces moyens de fixation et alors la languette par son arête, bord, dent, dentelure ou analogue, pince ou gaufre ou perfore la feuille, la carte ou objet analogue, directement suivant l'arête correspondante de l'ouverture de la branche qui se trouve en regard de façon à empêcher de ce fait par blocage, l'enlèvement ou le déplacement du cavalier de sur la feuille.
On obtient donc ainsi, pour la première fois, la disposition la plus appropriée de moyens tels que branches et languettes avec, entre autres des arêtes d'empreintes disposées à peu près parallèlement au bord de la feuille, et des modes de réalisation jouant le même rôle, ainsi qu'une patte pour enlever par pression les languettes de la feuille ou objet analogue et encore d'autres perfectionnements.
Un mode de réalisation perfectionné prévoit cette disposition dans le cas de cavaliers avec branches recourbées constituées par une feuille élastique dans lesquelles un index peut être obtenu en recourbant l'uns des branches.
La ou les languettes de la ou des branches, avec ou sans partie fixe, du cavalier peuvent être pourvues d'un dispositif de retenue (poussoir, chapeau) qui dans sa position finale provoque et assure l'agrafage, la formation de l'empreinte ou de laperforation ou le verrouilla-
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ge effectif des feuilles au/ moyens de fixation des languet-
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/moyen du tes, tandis que la position d'ouverture du dispositif en ou des question permet d'obtenir facilement et rapidement l'ouverture, qui peut être avantageusement automatique, des languettes qui, en ce cas, sont avantageusement élastiques vers l'extérieur de telle sorte que dans certains cas l'efficacité de l'invention se trouve augmentée et le maniement peut en être accéléré.
Sur le dessin annexé, les figures 1 à 64 représentent différente exemples de réalisation de l'invention.
Sur la fig. 1, on voit le cavalier vu de face avec branches de serrage 1 et 2 recourbées et élastiques des deux côtés et avec une languette partant de la branche 1 commençant à la base de la découpure 3 découpée vers le haut et pénétrant dans l'ouverture de la branche 2, languette dont les arêtes obliques recourbées en leur milieu vers l'arrière et qui ne sont que faiblement inclinées par rapport aux bords de la carte viennent directement en prise sur les arêtes inclinées µ de la branche 2. Il n'est pas absolument nécessaire que la languette soit incurvée vers le haut.
La fig. 2 représente le même cavalier, vu de côté.
La fige 3 représente vu de face un cavalier analogue à celui que l'on vient de décrire dans lequel la languette découpée dans la branche arrière 6 et dirigée vers le haut à partir de la base 1 vient en prise directement au moyen de ses arêtes ,$ dirigées un peu obliquement, avec les arêtes 10 disposées de façon correspondante, de l'ouverture (évidement) de la branche 1 dans laquelle a été découpée une saillie 11 servant à porter une marque et recourbée vers le haut, qui au lieu d'avoir la forme demicirculaire représentée peut avoir n'importe quelle forme
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utile prolongeant la branche 6.
La fig. 4 représente ce cavalier vu. de côté avec une carte 138 introduite dans ce cavalier et bloquée dans celui-ci par les arêtes 9 de la languette et les arêtes 10 de la branche qui se trouve en regard.
La fig. 5 représente, vu)de face, un cavalier ana- logue au précédent. De la branche 12, de celui-ci se détache vers le haut en partant de la base étroite 14 une languette allant en s'élargissant avec arrondi 15 (coins arrondis latéralement) et qui vient directement étroitement en prise avec les arêtes 16 du creux de l'évidement arrondi de la branche 13. Cette dernière branche comporte une sail- lie 17 arrondie et verticale qui peut présenter également une autre forme utile (pointée, droite, encochée, en forme de croissant ou de demi-lune).
La fig. 6 représente vu de faee un cavalier analo- gue avec aile 18 d'où se détache une languette dirigée vers le haut en partant d'une base étroite 20, languette avec arrondi 21 et dont la partie supérieure plus étroite vient directement en prise étroite avec les arêtes 22 du creux de la branche 19 qui se trouve en regard. Le cavalier fait une saillie verticale 23 qui peut avoir une forme ar- rondie ou une autre forme quelconque utile.
La fig. ? représente ce cavalier vu de côté.
La :tige 8 représente, vu de face, un cavalier avec une languette dirigée vers le haut s'écartant de la branche 24 à partir de la base 26 et qui pénètre par les dents 37, qu'elle présente à la partie supérieure en s'in- clinant dans les arêtes de l'évidement 28 de la branche 25 qui se trouve en regard.
La fig. 9 représente le même cavalier vu de côté.
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La fig. 10 représente, vu de face, un cavalier découpé dans une tôle avec branche 29 qui présente une saillie 33 pointue ou d'une autre forme dirigée vers le haut. Dans la tôle on a découpé la branche 30 qui a été recourbée et pourvue d'une arête d'ouverture 31 qui entoure étroitement la partie 32 servant à la fixation qui a été étirée (en lui donnant la forme pointue ou rainurée).
La fig. 11 représente le même cavalier vu de côté.
La fig. 12 représente,vu de face, un cavalier présentant une branche 35 de laquelleontété repousséeslaté- ralement des parties 36 servant à la. fixation et une branche 34 découpée dans la même tôle et repliée, qui est de préférence plus étroite et plus longue dans le bas que la première et dont les arêtes 37 sont arrondies en faisant sail- lie latéralement au voisinage du bord de la carte et s'adapte étroitement sur les parties 36.
La fig. 13 représehte le même cavalier vu de côté avec feuilles (ou carte) 81 prises dans celui-ci.
La fig. 14 représente, vue de face, une pince formant cavalier du même genre avec languettes découpées dans la branche 39 et s'en allant obliquement de côté à partir de la base 40 et arrondies vers le haut se terminant en pointe et pénétrant obliquement dans les ouvertures latérales 42 de la branche 38 recourbée et disposée en regard, languettes qui peuvent maintenir en les perforant les feuilles intercalées.
La fig. 15 représente le même cavalier vu de côtê.
La fig. 16 représente, vde face, un cavalier de la branche 43 duquel se détache latéralement en partant de la base 45 une languette 46 découpée obliquement et recourbée par rapport à l'arête oblique 47 de la branche qui
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se trouve en regard. La branche 44 qui se trouve en regard (de préférence prise dans la même pièce et recourbée) présente de l'autre côté une languette analogue 49 découpée à partir de la base 48 et inclinée, pour assurer le blocage, contre l'arête 50 de la branche qui se trouve en regard, et est repliée. Les deux languettes permettent par coopération avec les arêtes qui se trouvent en regard de main- tenir des deux côtés, de façon non amovible, les feuilles qui ont été poussées entre elles.
La fige 17 représente le même cavalier va de côté.
La fige 18 représente, vu de face, un cavalier du même genre dont la branche 51 présente une languette avec arête 58 destinée à former des empreintes, partant de la base 59 inclinée à plat latéralement ou découpée en présentant des échancrures. La languette arrive obliquement sur l'arête découpée 57 de la branche 52 qui se trouve en regard, celle-ci présente de l'autre côté une languette opposée partant de la base 53 avec arête 54 formant des empreintes venant contre l'arête 55 de la branche 51. Les languettes agissant latéralement des deux côtés forment des empreintes dans les feuilles ou cartes contre les arêtes des ouvertures correspondantes des branches. Les deux branches 51, 52 peuvent être prises dans deux tôles avec une saillie sur le bord des tôles. Elles sont réunies l'une à l'autre (par soudure ou rivetage)..
La branche 51 peut être prise avec la branche 52 dans une seule pièce et la saillie 56 de la branche 5l dépasser le bord de la carte de façon à être utilisable comme index (ou comme moyen de repérage).
La fige 19 représente le même cavalier vu de côté.
La fig. 20 représente, vu de face, un cavalier
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dont la branche 60 est limitée latéralement par une arête 64 dirigée obliquement vers le bas. La partie inférieure 61 de la branche 60 est recourbée en pointe vers le haut et est amenée en position voulue pour faire prise avec l' arête extérieure 62 oblique latéralement et dirigée vers le bas parallèlement à l'arête 64, cette arête 62 étant celle de la branche 63 qui de préférence est faite en une seule pièce avec la branche 60 et qui est recourbée par rapport à celle-ci. De même l'extrémité pointue 65 de la branche 63 qui se trouve en regard est recourbée vers l'in- térieur et vient en prise sur l'arête oblique 64 de la branche qui se trouve en regard.
Les exemples d'utilisation des figs. 3,7 et 10 -22 peuvent, au cas où cela serait jugé utile et préférable, au lieu d'être faits en une seule pièce, l'être en deux qui sont réunies l'une à l'autre fortement par rivetage, soudure ou autrement le long de leurs saillies qui débordent faiblement ou de la hauteur habituelle sur le bord de la carte.
La fig. 21 représente le même cavalier vu de côté.
La fig. 22 représente le même cavalier vu de côté avec pénétration dans les feuilles 81.
Les cavaliers des figs. 12 à 22 conviennent de préférence pour fixer de façon non amovible un nombre quelconque de feuilles de papier sur lesquelles ils sont enfilés simplement à la façon d'un cavalier et, en consé- quence, ils conviennent pour remplacer avantageusement les attaches connues et assurent un maniement plus rapide et plus commode et une fixation plus sûre.
On peut détacher et enlever de façon sensiblement plus facile les cavaliers des figs. 12 à 22 des feuilles ou cartes en faisant tourner à la main latéralement les
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extrémités 38-39 ou 44-49 etc.. des branches qui, de façon appropriée, débordent l'une sur l'autre.
La fig. 23 représente, vu de face, un cavalier de la branche 66 duquel se détache la languette 69 vers le haut, en partant de la base 68. La languette est munie d'arêtes de fixation 70 faisant saillie latéralement et obliques, qui arrivent en divergeant sur les arêtes concor- dantes 71 de l'ouverture ou évidement de la branche 72 qui se trouve en regard. Le prolongement court 67 de la lan- guette 69 poussé à la main contre le bord supérieur de la branche 66 permet d'introduire et de retirer facilement, rapidement et sans résistance les cartes et les feuilles qui sont maintenues pincées entre les pièces de fixation 70-71 de la façon indiquée dans les modes de réalisation précédente.
La fig. 24 montre ce même cavalier vu de côté, le prolongement 67 de la languette étant, de préférence re- courbé. Les cavaliers des fig . 23, 24 présentent dans une des branches au milieu, et dans la branche opposée, des deux côtés, des extrémités inférieures se terminant en pointe qui permettent l'introduction commode des feuilles.
Ces extrémités dans la position d'introduction sont peu éloignées l'une de l'autre et ne font que peu saillie.
Naturellement, au lieu d'être faites de cette façon, les extrémités des branches peuvent être faites de façon corres- pondante à l'un des genres de cavaliers déjà représentés ou connus au lieu de l'être selon les formes de réalisation décrite dans ce qui précède ou dans ce qui suit, au choix.
La fig. 25 montre de face un cavalier avec branche @ 73 de laquelle se détache à partir de la base 80 une lan- guette repliée vers le haut, en direction de la branche op-
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posée avec extrémité 78 dépassant un peu le bord du cavalier et avec (par exemple) deux pointes 79 incurvées vers l'in- térieur au voisinage immédiat (ou la recouvrant partiellement) d'une languette 77 prolongée un peu vers le haut avec pointe 76 (ou plusieurs) dirigée vers l'intérieur, partant de la base 75 qui se trouve sur la branche opposée 74.
La fig. 26 représente ces cavaliers vu de côté avec feuille 81 prise dans celui-ci. Les deux extrémités 77-78 des languettes peuvent être ineur serrées à la main à la façon d'une pince et libérer ainsi les feuilles prises entre elles. Pour l'introduction d'un paquet de feuilles plus épais elles peuvent être bandées suffisamment pour que leurs dents sortent complètement de l'espace médian.
Le cavalier peut être fait de façon différente; au lieu d'être fait en une seule pièce recourbée, il peut être en deux pièces et être pourvu d'une saillie fixe formant index.
La fig. 27 représente, vu de face, un cavalier dont la branche 82 à partir de la base 84 va élastiquement vers le haut en passant dans la branche opposée 83 munie d'arêtes de fixation dentées 85 et serrant efficacement les feuilles en faisant des empreintes à l'aide de ses propres dents latérales 86. La saillie en forme de languette 87 allongée en direction de la branche 82 permet de desserrer et d'enlever la languette de sur les feuilles qui sont intercalées et de l'ouverture de la branche qui se trouve en regard. Le prolongement de la languette peut être élargi de façon appropriée et avoir en même temps une forme telle qu'il constitue un index, et qu'il soit incliné de façon favorable dans le plan visuel.
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La fig. 28 montre ce cavalier vu de côté. Les dents latérales de la languette et les évidements dentés corres- pondants de la branche qui se trouve en regard peuvent être utilisés dans tous les cavaliers représentés au lieu des formes des organes de retenue décrites.
La fig. 29 représente une autre forme de réalisation du cavalier décrit ci-dessus, vu de face. En ce cas, dans la branche 90 est disposée la languette qui part de la base 89 et qui monte inclinée par rapport à la branche opposée. La languette est munie d'arêtes 91 obliques par rapport au bord de la carte et faisant saillie latéralement qui viennent en regard des arêtes d'ouverture correspondante
92 de la branche 88 qui se trouve en regard et qui a été recourbée sur la première, en formant ressort, de façon à pincer les feuilles ou cartes intercalées. La languette prolongée vers le haut peut présenter n'importe quelle forme habituelle d'index et être inclinée de façon favo- rable dans le plan visuel.
La fig. 30 représente ce cavalier vu de côté.
La fig. 31 représente, vu de face, uh cavalier avec languette 95 montant à partir de la base 94 et recourbé vers l'intérieur par rapport à la branche 93 avec arptes
96 inclinées vers l'intérieur qui viennent coopérer avec les arêtes 97 (coins) de l'ouverture de la branche 98 qui se trouve en regard. La languette peut dans ce cas être ramenée en arrière à la main par son bord supérieur dans la direction de la branche, de façon à introduire et re- tirer facilement la carte.
La fig. 32 représente ce cavalier vu de côté.
La fig: 33 représente, vu de face, un cavalier dont la branche 99 présente vers le haut une languette lo3
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poussée contre la branche 104 qui se trouve en regard et qui comporte des pointes 101 dirigées vers l'intérieur, pénétrant dans des trous 102 (évidements, coins creux) de la branche 104 et qui peuvent perforer les cartes qui se trouvent entre elles de façon à les maintenir solidement. Les cartes peuvent, en conséquence, être mises en place et retirées rapidement et facilement et sans avoir à craindre de les détériorer car on peut pousser les languettes à la main, assez loin, pour que les dents ne touchent plus les cartes.
La fig. 34 représente ce cavalier vu de dos dans une forme de réalisation obtenue en partant d'une feuille découpée et recourbée.
La fig. 35 représente ce cavalier vu de côté. La position de la languette et la pénétration des pointes dans les ouvertures de la branche qui se trouve en regard sont ici particulièrement visibles.
La fig. 36 représente vu de face un cavalier avec branche 104 et languette 107 quittant cette branche à partir de la base 106 et dirigée vers le haut, languette qui est prolongée un peu au delà du bord de la carte et qui est pourvue de pointes (coins) 108. dirigées latéralement et légèrement inclinées vers l'avant, qui serre la carte, en la perforant, contre les arêtes (ou coins) 109 de la branche 105.
La fig. 37 représente ce cavalier vu de côté.
La fig. 38 représente, vude face, un cavalier dont la branche 110 porte une languette 114 prolongée un peu au delà du bord de la carte et qui monte à partir
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de la base 111, et dont les dents inclinées 112 pénètrent élastiquement dans l'ouverture (coins creux) 113 de la branche 116 qui se trouve en regard. La saillie fixe 115, qui a la forme voulue pour servir d'index, peut être serrée contre le prolongement court 114 de la languette à la façon d'une pince, de façon à écarter les dispositifs de fixation (dents) de la carte (feuille), en vue de permettre l'introduction et l'enlèvement faciles et sans détérioration.
Ce cavalier permet un maniement toujours uniforme et un remplacement aussi fréquent qu'on le veut même de feuilles minces et on obtient dans ce cas, un très bon effet de fixation.
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La fig. 39 représente ce cavalier vu de côté.
La fig. 40 représente, vu de face, un cavalier dont la branche 117 porte une languette 121 montant à partir de la base 118. La languette présente des dents incurvées du haut vers l'intérieur, qui pénètrent dans des coins creux 120 de la branche 123 située en regard. Le prolongement court 121 de la languette peut être serré à la façon d'une pince contre le prolongement 122, fixe, ayant la forme voulue pour servir d'index, et incliné de façon convenable dans le plan visuel (ou droit), de sorte que les dents effectuant la perforation de la carte peuvent être écartées pour permettre sans empêchement l'introduction ou l'enlèvement de la carte.
La fig. 41 représente ce cavalier vu de côté.
La fig. 42 représente, vu de face, un cavalier, de la branche 124 duquel monte, à partir de la base 126, des languettes 130 un peu allongées au delà du bord de la carte, élastiques et pourvues de dents 127, incurvées en venant du haut vers l'intérieur et qui pénètrent dans les coins creux 128 de la branche 125 qui se trouve en regard.
En serrant le prolongement 130 des languettes à la main contre le petit prolongement fixe 129 de la branche 124, on libère les feuilles prises dans la pince.
La fig. 43 représente ce cavalier vu de côté.
La fig. 44 représente, vu de face, un cavalier dont la branche 131 porte une languette 136 montant à partir de la base 133 et prolongé un peu au delà du bord de la carte. Les dents 134 de la languette, recourbées vers l'intérieur, perforent la carte introduite en regard de l'ouverture 135 de la branche opposée 132 ou pénètrent
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dans des ouvertures de la carte.
La fig. 45 représente ce cavalier vu de côté.
Le cavalier est ici représenté comme constitué de deux parties formant les branches qui sont réunies solidement l'une à l'autre par soudure (rivetage) le long de leur saillie supérieure qui peut servir d'index, et ces deux branches permettent, en serrant l'un contre l'autre le prolongement 136 de la languette et la saillie servant d'index, d'écarter de la carte les parties de la languette servant à la fixation (dents) de façon à permettre d'introduire ou de retirer facilement cette carte. Le cavalier peut avoir toute largeur voulue suivant celle qui est nécessaire pour la saillie. Les dents peuvent, comme cela est représenté, être pointues de façon à maintenir, en la perforant, la carte 138. Elles peuvent également être arrondies au cas où elles doivent pénétrer dans des trous existant dans les cartes.
Les deux branches peuvent aussi être en une seule pièce qui a été recourbée.
La fig. 46 représente un cavalier avec branche 139, avec une (ou plusieurs) languettes 144 partant de la base 141, dirigée vers le haut, pourvue de moyens de fixation 142 qui peuvent pénétrer dans la carte, et prolongée un peu au delà du bord de la carte, languette qui peut pénétrer dans une ouverture correspondante (ou des ouvertures) 143, de la branche opposée 140. En serrant le prolongement 144 de la languette contre la saillie-index 145, inclinée (ou droite), on libère la carte 138. On peut ainsi retirer le cavalier de sur la carte, le changer et le mettre en n'importe quel autre endroit. La saillie formant index peut avoir la forme d'un cadre à fenêtre pour permettre d'intro-
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duire des bandes portant des inscriptions (ou bien elle peut être pleine et recevoir elle-même des inscriptions).
La forme de réalisation représentée est obtenue en recourbant un morceau de tôle et en le rivant au-dessus du bord de la carte. Le cavalier peut aussi bien être en deux parties réunies l'une à l'autre par rivetage ou soudure.
La fig. 47 représente ce cavalier vu de côté placé sur la carte 138.
La f ig. 48 représente, vu de face, un cavalier avec branche 146 d'où s'écarte latéralement, en partant de la base 148, une languette 150 découpée et dirigée vers le haut, avec dents 149 incurvées vers l'intérieur, cette languette 150 comportant un petit prolongement qui fait un peu saillie au-dessus du bord de la carte. Dans la branche opposée 147 se trouve, de préférence à gauche, une ouverture 152 disposée en regard des dents 149 et, de 1-'autre côté, partant de la base 148, une languette 150 avec dents 149 incurvées vers l'intérieur se prolongeant au delà du bord de la carte, languette recourbée intérieurement en direction opposée, qui perfore la carte, en regard de l'ouverture 152 de la branche 146 (ou qui se fixe dans une ouverture de la carte).
En serrant à la main, les prolongements des languettes 150 contre la saillie-index, on permet et on facilite l'introduction et l'enlèvement de la carte qui peut être maintenue de façon sûre par des dents.
La fig. 49 représente ce cavalier vu de côté.
La fig. 50 représente un cavalier vu de face, avec cadre formant fenêtre, découpé dans un morceau de tôle élastique recourbé.
La fig. 51 représente ce cavalier vu de côté,placé
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sur la carte 138.
La fig. 52 représente ce même cavalier, vu par l'arrière. De la branche avant 154, à partir de la base 160, se détache vers le haut une (ou plusieurs) languette munie comme moyens de fixation, de dents 153 inclinées (ou recourbées) latéralement avec une saillie 157 se prolongeant au delà du bord de la carte ; branche 154 porte, à sa partie supérieure, un cadre fenêtre 158, qui peut être pourvu sur son arête supérieure, d'une partie recourbée 159.
On peut y placer des feuilles à la main et y introduire une bande coulissante portant des inscriptions 161 dont la position est limitée par le dispositif. La branche opposée est constituée par la partie du cadre 153 qui a été découpée et repliée et dont les coins creux 156 constituent un arc-boutant avantageux pour les dents perforantes 155. La saillie verticale de la languette 157 limite, avec le cadre 158, et en coopérant avec le bord recourbé 159 de celuici, la bande visible 161 qui a été introduite. En outre, on peut le pousser à la main contre le cadre 158 ce qui permet de dégager et de libérer la carte 138.
La f ig. 53 représente un cavalier vu de face,
La fig. 54 le représente vu de côté en position ouverte, et
La fig. 55 en position fermée. Les languettes qui commencent à la base 165 sur la branche 163 et qui sont inclinées élastiquement vers le haut et vers l'extérieur, présentent des pointes recourbées 166 qui serrent la carte contre la branche opposée et peuvent pénétrer dans des ouvertures 167 de cette branche. Le prolongement 169 de la languette peut être serré à la main contre le cadre faisant saillie
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170 et être maintenu par le coulisseau 162se déplaçant latéralement dans le cadre.
En poussant cette pièce 162 on peut libérer la languette, elle s'écarte sous l'action de son élasticité de la carte (fig. 54), de sorte que dans l'espace compris entre les deux branches dans cette position, les pointes ne pénètrent plus et la carte 138 peut être introduite ou retirée sans empêchement. Le cavalier peut être fait en une seule pièce, qui a été recourbée, comme dans les figures, et les deux branches peuvent être solidement fixées l'une à l'autre au moyen de rivets 168 (ou par soudure). De même, le cavalier peut être en une ou plusieurs pièces, solidement fixées les unes aux autres.
Ce cavalier ne peut pas se desserrer à l'usage, il s'ouvre cependant facilement et se remet facilement en place sur la carte.
La fig. 56 représente un cavalier vu de face.
La branche 171 et la branche opposée 172 portent, partant de la base 173, deux languettes décalées latéralement, et pourvues de dents 174, ces languettes étant dirigées élastiquement vers l'extérieur et pouvant être maintenues serrées l'une contre l'autre par leurs prolongements 175 au moyen d'un chapeau 176.
La fig. 57 représente ce cavalier en position serrée comme dans la fig. 56.
La fig. 58 représente la douille ou chapeau, vue de face et vue par-dessus.
La fig. 59 représente ce cavalier vu de côté avec le chapeau enlevé.
La fig. 60 représente un cavalier vu de face.
La fig. 61 représente ce même cavalier vu de côté.
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La branche 178 de ce cavalier porte une languette 183 par- tant de la base 180, en montant, pénétrant dans l'ouverture (coins creux) de la branche 179, et munie latéralement de pointes 181, un peu inclinées par rapport à la carte et faisant saillie au-dessus du bord de la carte. Cette lan- guette, en position desserrée, s'écarte de la branche vers l'extérieur, et elle peut être verrouillée élastiquement en position de blocage au moyen d'un coulisseau 184 se dé- plaçant vers le haut sur la saillie 185.
La fig. 62 représente un cavalier vu de face.
La fig, 63 représente ce même cavalier, vu de côté, en position ouverte, et
La fig. 64 en position de fermeture. La branche avant 186 porte la languette qui monte à partir de la base /qui est munie de dents 189 recourbées vers l'intérieur, en des points en saillie latéralement (et/ou médians) et cette languette se termine par un prolongement 191 assez long, et disposé au-dessus du bord de la carte. En posi- tion détendue, la languette tend à s'écarter vers l'exté- rieur (fig. 63). La saillie fixe 192 de la branche opposée
187 porte une pièce coulissante mobile 193 qui descend et pousse en forme de coin le prolongement 191 de la languette qui est incliné par rapport à la saillie fixe 192.
Les moyens de fixation de la languette pénètrent en ce cas à l'intérieur du cavalier et verrouillent une carte 138 pour- vue d'ouvertures (fig. 64) contre laquelle sont poussées les ouvertures de l'autre branche. Si le cavalier est pré- vu pour des cartes perforées, les pointes 189 peuvent être arrondies. Si, par contre, elles doivent elles-mêmes péné- trer dans la carte pour la perforer, il faut prévoir des
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pointes vives.
Dans les formes de réalisation décrites, on peut naturellement, conformément à l'invention, échanger les pièces de façon à satisfaire aux différents besoins. De même, au lieu des languettes individuelles représentées, on peut en prévoir plusieurs avec une même forme de réalisation ou inversement, et l'on peut utiliser les dispositifs de fixation sur les languettes et sur les branches en un nombre quelconque.
Les formes de réalisation représentées peuvent être munies de languettes élastiques ou être faites tout entières en une matière élastique. En ce cas, le serrage peut se faire avec ou sans dispositif de blocage en utilisant la force élastique seule ou en y aidant à la main.
La matière dont est fait le cavalier peut aussi être choisie de telle sorte que le serrage de la languette contre la feuille ou matière analogue s'effectue à la main de fa- çon que la languette reste rigidement dans cette position.
Le mode de réalisation du cavalier peut s'écarter de ce qui est indiqué dans les exemples ci-dessus lorsque cela semble préférable ou équivalent, ou peut présenter une réalisation s'écartant des détails représentés sur les figures.
La.ou les languettes élastiques peuvent être recourbées élastiquement vers l'extérieur dans les cas où il est prévu un dispositif de fermeture additionnel pour le blocage des languettes.
Les variantes indiquées en plusieurs endroits dans la description peuvent être utilisées conformément à l'invention à la place des pièces qui ont été mentionnées de préférence. Les cavaliers selon l'invention peuvent être
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utilisés comme index pour déterminer les qualités, dates, etc... différentes de cartes ou de feuilles de répertoire.
En ce cas, ils peuvent présenter des saillies de signalisation. Ils peuvent, en combinaison avec des cartes résistantes, constituer des cartes directrices pour diviser des répertoires. En ce cas, ils peuvent comporter des saillies de largeurs différentes, susceptibles de recevoir des inscriptions. Ils peuvent aussi être faits de façon à recevoir des étiquettes, recevant les inscriptions et interchangeables.
Les cavaliers peuvent cependant être utilisés tout aussi avantageusement comme pinces pour pincer des lettres, pinces de fixation ou analogues.
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The present invention relates to jumpers for sheets of paper or cards (or staples for sheets of paper) with branches on both sides and additional stapling tabs, directed upwardly near the edge of the card.
Jumpers with upward facing tabs differ from different types of jumpers in several ways. Unlike with almost all the others, they can be used on thick cards as well as thin sheets of paper and a number of them; from the point of view of their fixing action, they are essentially independent in service of the release of the clamping of the branches; finally, for current use, they make it possible to dispense with having to perforate sheets. The jumpers which can only be used with perforations made beforehand will only hold fairly firmly and securely on the sheets if the tension
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elastic of their branches is very large.
In this case, they can only be put on and taken out by applying an appropriate force and they can be prevented from rising from their blocked position by the sheets, even in the case where this is not envisaged. A particular shape of this kind of rider opposes the easy maneuvering due to the spherical shape of the fixing devices of the branches which, due to the long and very narrow slots laterally of the tabs, reduce the fixing effect to such an extent that one can no longer prevent an easy movement of these riders to the side or upwards.
Riders are already known which are provided with elastic fixing branches and with an additional stapling by means of a tongue directed upwards in the vicinity of the edge of the card. Some of the known embodiments pinch the sheet substantially perpendicular to its top edge. These embodiments have, among other things, two essential drawbacks. In the first place, the edge opposes a resistance having a tearing effect to the placement of the jumper on the cards, sheets or the like, so that damage to the edge of the card and of the sheet can occur. especially when the operation is repeated several times. The deterioration can cause tearing or folding of the sheet.
The removal of the jumper also has drawbacks, for example with the cutting staple embodiments. In addition, these jumpers do not have the necessary fixing security that must be required of recent card devices subjected to greater forces, A simple tightening action
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ple and most of the time having a cutting effect of the rectilinear side edges of the tongues and of the lower edges of the branches alone opposes the removal of these jumpers.
The upper ends of the tabs cannot hold the leaf and are mostly curved when moving away from it; they lie a great distance from the edge of the opening of the facing branches or they extend roughly vertically to the edge of the card that is caught in the jumper.
The present invention makes it possible to avoid the defects which jumpers of this type still present today, due to their particular shape and quality, thanks to the fact that one or more stapling tabs of one of the branches directed towards the high, in a manner known per se, by their upper edges, corners, teeth, teeth, hollows or curvatures or similar devices, clamp so as to block it, the sheet, card or the like or fit on it, or perforate it or lock in perforations of the sheet or card below its upper edge, against the edge of the opening or recess of the other branch which corresponds substantially thereto, in a direction which substantially corresponds to the direction of the edge of the foil so as to prevent the jumper from being unintentionally removed.
In this way, the clamping tongue can be made with great tensile force since it has a wide base and a relatively short length from its base to the clamping point. When it seems advantageous, it can be made particularly flexible by means of a base
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narrow or weakened by means of a recess. It can be extended upwards and blocked by folding it by hand, which makes it possible to easily place the jumper on the sheet or similar object and to remove it therefrom.
This prevents damage to the sheet, card or the like even when the jumper is replaced frequently. Since it may be advantageous if the tab is extended far enough to allow easy handling, this tab may protrude into the field of the classification indexes. In this case, it is preferably made so that it does not interfere with the examination of the indexes. The end of the tongue projecting outwardly upwards may also be advantageously bent to such a point that it has a favorable inclination in the visual plane.
Likewise, it can be opened or closed like a pliers by pressing it by hand by means of an attached piece, an index or similar object of the branch of the rider, located at the side or behind. In the event that several tabs are provided, these can be arranged as desired in one branch or in both, alternately facing the corresponding hollow corners or the like.
In accordance with the present invention, a rider which is particularly resistant to removal, tilting or lateral displacement and easy to maneuver is obtained. Also according to the invention, the jumpers are made so that they can be easily placed on or removed from the sheet.
According to the invention, the stapling tongue known per se and
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directed upwards is provided with fixing means directed in a manner substantially (approximately) corresponding to the direction of the edge of the card or of the sheet which is pinched and the recesses of the other branch, arranged opposite, constitute an opening (a indentation, a recess or an indentation) adapting to these fixing means and then the tongue by its edge, edge, tooth, indentation or the like, clamp or emboss or perforates the sheet, card or similar object, directly following the corresponding edge of the opening of the branch which is opposite so as to prevent thereby by blocking, the removal or the displacement of the jumper from on the sheet.
We thus obtain, for the first time, the most suitable arrangement of means such as branches and tongues with, among others, imprint edges arranged approximately parallel to the edge of the sheet, and embodiments playing the same role, as well as a tab for removing by pressure the tabs of the sheet or similar object and still other improvements.
An improved embodiment provides for this arrangement in the case of riders with curved branches formed by an elastic sheet in which an index can be obtained by curving one of the branches.
The tab (s) of the branch (s), with or without a fixed part, of the rider may be provided with a retaining device (pusher, cap) which in its final position causes and ensures the stapling, the formation of the imprint. perforation or locked
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effective age of the sheets to / means of attachment of the tabs
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/ means of the tes, while the opening position of the device or questions makes it possible to easily and quickly obtain the opening, which can advantageously be automatic, of the tabs which, in this case, are advantageously elastic towards the outside so that in certain cases the effectiveness of the invention is increased and the handling can be accelerated.
In the accompanying drawing, FIGS. 1 to 64 represent different examples of embodiment of the invention.
In fig. 1, we see the jumper seen from the front with clamping branches 1 and 2 curved and elastic on both sides and with a tongue starting from branch 1 starting at the base of the cutout 3 cut upwards and entering the opening of branch 2, a tongue whose oblique edges curved in their middle towards the rear and which are only slightly inclined with respect to the edges of the card come directly into engagement with the inclined edges µ of the branch 2. It is not absolutely necessary that the tongue is curved upwards.
Fig. 2 represents the same rider, seen from the side.
The pin 3 shows, seen from the front, a jumper similar to the one just described in which the tongue cut out in the rear branch 6 and directed upwards from the base 1 engages directly by means of its edges, $ directed a little obliquely, with the ridges 10 arranged correspondingly, of the opening (recess) of the branch 1 in which has been cut a projection 11 serving to bear a mark and curved upwards, which instead of have the semi-circular shape shown can have any shape
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useful extending branch 6.
Fig. 4 represents this rider seen. sideways with a card 138 introduced into this jumper and blocked in it by the edges 9 of the tongue and the edges 10 of the branch which is opposite.
Fig. 5 shows, seen from the front, a jumper similar to the previous one. From the branch 12, therefrom is detached upwards starting from the narrow base 14 a tongue which widens with rounded 15 (laterally rounded corners) and which directly engages closely with the ridges 16 of the hollow of the rounded recess of the branch 13. The latter branch comprises a rounded vertical projection 17 which can also have another useful shape (pointed, straight, notched, in the shape of a crescent or a half-moon).
Fig. 6 shows, seen from the front, an analogous rider with wing 18 from which a tongue directed upwards starting from a narrow base 20, tongue with rounding 21 and whose narrower upper part comes directly into close engagement with the ridges 22 of the hollow of the branch 19 which is located opposite. The jumper protrudes vertically 23 which may have a rounded shape or any other useful shape.
Fig. ? represents this rider seen from the side.
The: rod 8 represents, seen from the front, a jumper with an upwardly directed tongue moving away from the branch 24 from the base 26 and which penetrates through the teeth 37, which it presents at the upper part in s 'inclining in the ridges of the recess 28 of the branch 25 which is located opposite.
Fig. 9 represents the same rider seen from the side.
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Fig. 10 shows, seen from the front, a jumper cut from a sheet with branch 29 which has a pointed projection 33 or of another shape directed upwards. The branch 30 has been cut from the sheet, which has been bent and provided with an opening ridge 31 which closely surrounds the part 32 serving for the fixing which has been stretched (giving it the pointed or grooved shape).
Fig. 11 represents the same rider seen from the side.
Fig. 12 shows, seen from the front, a jumper having a branch 35 from which the parts 36 serving for the. fixing and a branch 34 cut from the same sheet and folded back, which is preferably narrower and longer at the bottom than the first and whose ridges 37 are rounded projecting laterally in the vicinity of the edge of the card and s 'fits tightly on 36 parts.
Fig. 13 represents the same jumper seen from the side with sheets (or card) 81 taken in it.
Fig. 14 shows, front view, a clip forming a jumper of the same kind with tabs cut out in the branch 39 and going obliquely to the side from the base 40 and rounded upwards ending in a point and penetrating obliquely into the openings side 42 of the branch 38 bent and disposed opposite, tabs which can hold the intercalated sheets by perforating them.
Fig. 15 represents the same rider seen from the side.
Fig. 16 shows, vde face, a rider of the branch 43 from which is detached laterally starting from the base 45 a tongue 46 cut obliquely and curved with respect to the oblique edge 47 of the branch which
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is opposite. The branch 44 which is opposite (preferably taken in the same part and curved) has on the other side a similar tongue 49 cut from the base 48 and inclined, to ensure locking, against the edge 50 of the branch which is opposite, and is folded back. The two tongues make it possible, by cooperation with the ridges which are located opposite, to retain on both sides, in a non-removable manner, the sheets which have been pushed together.
Fig 17 shows the same rider going sideways.
The rod 18 represents, seen from the front, a jumper of the same type, the branch 51 of which has a tongue with a ridge 58 intended to form indentations, starting from the base 59 inclined flat laterally or cut with notches. The tongue arrives obliquely on the cut edge 57 of the branch 52 which is located opposite, the latter has on the other side an opposite tongue starting from the base 53 with ridge 54 forming indentations coming against the edge 55 of branch 51. The tongues acting laterally on both sides form imprints in the sheets or cards against the edges of the corresponding openings of the branches. The two branches 51, 52 can be taken from two sheets with a projection on the edge of the sheets. They are joined together (by welding or riveting).
The branch 51 can be taken with the branch 52 in one piece and the projection 56 of the branch 51 protruding from the edge of the card so as to be usable as an index (or as a locating means).
Fig. 19 represents the same rider seen from the side.
Fig. 20 represents, seen from the front, a horseman
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the branch 60 of which is laterally limited by an edge 64 directed obliquely downwards. The lower part 61 of the branch 60 is curved in a point upwards and is brought into the desired position to engage with the outer ridge 62 oblique laterally and directed downwards parallel to the ridge 64, this ridge 62 being that of the branch 63 which is preferably made in one piece with the branch 60 and which is curved with respect to the latter. Likewise, the pointed end 65 of branch 63 which is opposite is curved inwardly and engages with the oblique edge 64 of the branch which is opposite.
The examples of use of figs. 3,7 and 10 -22 can, in case this would be considered useful and preferable, instead of being made in one piece, be made in two which are joined together strongly by riveting, welding or otherwise along their protrusions which project slightly or the usual height on the edge of the card.
Fig. 21 shows the same rider seen from the side.
Fig. 22 represents the same rider seen from the side with penetration into the leaves 81.
The riders in figs. 12 to 22 are preferably suitable for releasably securing any number of sheets of paper on which they are threaded simply in a jumper fashion and, therefore, they are suitable for advantageously replacing known fasteners and providing a faster and more convenient handling and more secure attachment.
The jumpers of figs can be detached and removed in a noticeably easier way. 12 to 22 sheets or cards by turning the sides by hand sideways
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ends 38-39 or 44-49 etc ... of the branches which suitably project over each other.
Fig. 23 shows, seen from the front, a jumper of the branch 66 from which the tongue 69 detaches upwards, starting from the base 68. The tongue is provided with fixing ridges 70 projecting laterally and oblique, which arrive by diverging on the corresponding edges 71 of the opening or recess of the branch 72 which is located opposite. The short extension 67 of the tongue 69 pushed by hand against the upper edge of the branch 66 makes it possible to insert and remove easily, quickly and without resistance the cards and the sheets which are kept clamped between the fasteners 70 -71 as indicated in the previous embodiments.
Fig. 24 shows this same jumper seen from the side, the extension 67 of the tongue being, preferably curved. The jumpers in fig. 23, 24 have in one of the branches in the middle, and in the opposite branch, on both sides, lower ends ending in a point which allow the convenient introduction of the leaves.
These ends in the insertion position are not very far from each other and only protrude slightly.
Naturally, instead of being made in this way, the ends of the branches can be made corresponding to one of the kinds of jumpers already shown or known instead of being made according to the embodiments described in this article. above or in what follows, as desired.
Fig. 25 shows a front view of a jumper with branch @ 73 from which a tongue bent upwards, in the direction of the opposite branch, is detached from the base 80.
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fitted with end 78 protruding a little from the edge of the rider and with (for example) two points 79 curved inwardly in the immediate vicinity (or partially covering it) with a tongue 77 extended a little upwards with point 76 (or more) directed inward, starting from the base 75 which is on the opposite branch 74.
Fig. 26 represents these jumpers seen from the side with sheet 81 taken in it. The two ends 77-78 of the tabs can be ineur tightened by hand in the manner of pliers and thus release the sheets caught between them. For the introduction of a thicker leaf bundle they can be bandaged enough so that their teeth come out completely from the middle space.
The rider can be done in a different way; instead of being made in one curved piece, it can be in two pieces and be provided with a fixed projection forming an index.
Fig. 27 shows, seen from the front, a rider whose branch 82 from the base 84 goes elastically upwards passing through the opposite branch 83 provided with toothed fixing ridges 85 and effectively gripping the sheets by making imprints at the top. 'using its own side teeth 86. The elongated tongue-shaped protrusion 87 towards the branch 82 allows the tongue to be loosened and removed from the leaves which are interspersed and from the opening of the branch which is located. opposite. The extension of the tongue can be suitably widened and at the same time have a shape such that it constitutes an index, and that it is inclined favorably in the visual plane.
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Fig. 28 shows this rider seen from the side. The lateral teeth of the tongue and the corresponding toothed recesses of the branch which is opposite can be used in all the jumpers shown instead of the shapes of the retainers described.
Fig. 29 shows another embodiment of the jumper described above, seen from the front. In this case, in the branch 90 is disposed the tongue which starts from the base 89 and which rises inclined relative to the opposite branch. The tongue is provided with ridges 91 oblique with respect to the edge of the card and projecting laterally which come opposite the ridges of the corresponding opening.
92 of the branch 88 which is located opposite and which has been bent over the first, forming a spring, so as to pinch the inserted sheets or cards. The upwardly extended tongue may have any customary index shape and be visually inclined favorably.
Fig. 30 shows this rider seen from the side.
Fig. 31 represents, seen from the front, a rider with tongue 95 rising from the base 94 and curved inwards with respect to the branch 93 with arptes
96 inclined inwards which cooperate with the ridges 97 (corners) of the opening of the branch 98 which is opposite. The tongue can in this case be brought back by hand by its upper edge in the direction of the branch, so as to easily insert and remove the card.
Fig. 32 represents this rider seen from the side.
Fig: 33 represents, seen from the front, a jumper whose branch 99 presents upwards a tongue lo3
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thrust against the branch 104 which is opposite and which comprises spikes 101 directed inwards, penetrating into holes 102 (recesses, hollow corners) of the branch 104 and which can perforate the cards which are between them so to hold them securely. The cards can, therefore, be inserted and removed quickly and easily and without having to worry about damaging them because the tabs can be pushed by hand, far enough, so that the teeth no longer touch the cards.
Fig. 34 shows this jumper seen from behind in an embodiment obtained starting from a cut and curved sheet.
Fig. 35 shows this rider seen from the side. The position of the tongue and the penetration of the points into the openings of the branch which is opposite are particularly visible here.
Fig. 36 shows a front view of a jumper with branch 104 and tongue 107 leaving this branch from the base 106 and directed upwards, tongue which is extended a little beyond the edge of the card and which is provided with spikes (corners) 108. directed laterally and slightly inclined forwards, which clamps the card, by perforating it, against the ridges (or corners) 109 of the branch 105.
Fig. 37 represents this rider seen from the side.
Fig. 38 represents, seen face, a rider whose branch 110 carries a tab 114 extended a little beyond the edge of the card and which rises from
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of the base 111, and the inclined teeth 112 of which elastically enter the opening (hollow corners) 113 of the branch 116 which is located opposite. The fixed projection 115, which has the desired shape to serve as an index, can be clamped against the short extension 114 of the tongue in the manner of pliers, so as to separate the fasteners (teeth) from the card ( sheet), in order to allow easy introduction and removal without damage.
This jumper allows a always uniform handling and a replacement as often as desired even of thin sheets and one obtains in this case, a very good effect of fixing.
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Fig. 39 represents this rider seen from the side.
Fig. 40 shows, seen from the front, a rider whose branch 117 carries a tongue 121 rising from the base 118. The tongue has teeth curved from the top inwards, which penetrate into hollow corners 120 of the branch 123 located opposite. The short extension 121 of the tongue can be clamped like a pliers against the extension 122, fixed, having the desired shape to serve as an index, and tilted suitably in the visual (or straight) plane, so that the teeth making the perforation of the card can be moved apart to allow the card to be inserted or removed without hindrance.
Fig. 41 represents this rider seen from the side.
Fig. 42 shows, seen from the front, a rider, the branch 124 of which rises, from the base 126, tongues 130 slightly elongated beyond the edge of the card, elastic and provided with teeth 127, curved from the top inwardly and which penetrate into the hollow corners 128 of the branch 125 which is located opposite.
By tightening the extension 130 of the tabs by hand against the small fixed extension 129 of the branch 124, the leaves taken in the clamp are released.
Fig. 43 represents this rider seen from the side.
Fig. 44 shows, seen from the front, a jumper whose branch 131 carries a tongue 136 rising from the base 133 and extended a little beyond the edge of the card. The teeth 134 of the tongue, curved inward, perforate the card inserted opposite the opening 135 of the opposite branch 132 or penetrate
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in card openings.
Fig. 45 represents this rider seen from the side.
The rider is here represented as consisting of two parts forming the branches which are united firmly to one another by welding (riveting) along their upper projection which can serve as an index, and these two branches allow, by tightening one against the other the extension 136 of the tongue and the projection serving as an index, to move away from the card the parts of the tongue serving for fixing (teeth) so as to allow easy insertion or removal this card. The jumper can have any desired width depending on that which is necessary for the protrusion. The teeth can, as shown, be pointed so as to hold the card 138 by perforating it. They can also be rounded in the event that they have to penetrate into holes existing in the cards.
The two branches can also be in one piece which has been curved.
Fig. 46 represents a jumper with branch 139, with one (or more) tabs 144 starting from the base 141, directed upwards, provided with fixing means 142 which can penetrate into the card, and extended a little beyond the edge of the card, tab which can penetrate into a corresponding opening (or openings) 143, of the opposite branch 140. By tightening the extension 144 of the tab against the inclined (or straight) index projection 145, the card 138 is released. We can thus remove the jumper from the card, change it and put it in any other place. The projection forming an index may be in the form of a window frame to allow the introduction of
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reduce bands bearing inscriptions (or it may be full and itself receive inscriptions).
The embodiment shown is achieved by bending a piece of sheet metal and riveting it over the edge of the card. The jumper can also be in two parts joined together by riveting or welding.
Fig. 47 represents this rider seen from the side placed on card 138.
The f ig. 48 shows, seen from the front, a jumper with branch 146 from which departs laterally, starting from the base 148, a tongue 150 cut out and directed upwards, with teeth 149 curved inward, this tongue 150 comprising a small extension that protrudes a little above the edge of the map. In the opposite branch 147 there is, preferably on the left, an opening 152 disposed opposite the teeth 149 and, on the other side, starting from the base 148, a tongue 150 with teeth 149 curved inwardly extending. beyond the edge of the card, tab curved internally in the opposite direction, which perforates the card, facing the opening 152 of the branch 146 (or which is fixed in an opening of the card).
By hand tightening the extensions of the tabs 150 against the index projection, it is possible and easier to insert and remove the card which can be securely held by teeth.
Fig. 49 represents this rider seen from the side.
Fig. 50 represents a rider seen from the front, with a window frame, cut from a piece of bent elastic sheet metal.
Fig. 51 represents this rider seen from the side, placed
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on map 138.
Fig. 52 represents this same rider, seen from the rear. From the front branch 154, from the base 160, one (or more) tab is detached upwards, provided as fixing means, teeth 153 inclined (or curved) laterally with a projection 157 extending beyond the edge of the map ; branch 154 carries, at its upper part, a window frame 158, which can be provided on its upper edge, with a curved part 159.
Sheets can be placed there by hand and a sliding strip can be inserted therein bearing inscriptions 161, the position of which is limited by the device. The opposite branch is formed by the part of the frame 153 which has been cut out and folded back and whose hollow corners 156 constitute an advantageous buttress for the perforating teeth 155. The vertical projection of the tongue 157 limits, with the frame 158, and cooperating with the curved edge 159 thereof, the visible strip 161 which has been introduced. In addition, it can be pushed by hand against the frame 158 which enables the card 138 to be released and released.
The f ig. 53 represents a rider seen from the front,
Fig. 54 shows it seen from the side in the open position, and
Fig. 55 in closed position. The tabs which begin at base 165 on branch 163 and which are resiliently inclined upward and outward have curved tips 166 which grip the card against the opposing branch and can penetrate openings 167 in that branch. Tongue extension 169 can be hand tight against the protruding frame
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170 and be held by the slider 162 moving laterally in the frame.
By pushing this part 162, the tab can be released; it moves away under the action of its elasticity from the card (fig. 54), so that in the space between the two branches in this position, the points do not penetrate more and the card 138 can be inserted or withdrawn without hindrance. The jumper can be made in one piece, which has been curved, as in the figures, and the two legs can be securely attached to each other by means of rivets 168 (or by welding). Likewise, the jumper can be in one or more pieces, securely attached to each other.
This jumper cannot be loosened with use, however it opens easily and is easily replaced on the card.
Fig. 56 represents a rider seen from the front.
The branch 171 and the opposite branch 172 carry, starting from the base 173, two tongues offset laterally, and provided with teeth 174, these tongues being elastically directed outwards and being able to be held tight against one another by their extensions 175 by means of a cap 176.
Fig. 57 shows this jumper in tight position as in fig. 56.
Fig. 58 represents the socket or cap, seen from the front and seen from above.
Fig. 59 represents this rider seen from the side with the hat removed.
Fig. 60 represents a rider seen from the front.
Fig. 61 represents this same rider seen from the side.
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The branch 178 of this jumper carries a tongue 183 starting from the base 180, going up, penetrating into the opening (hollow corners) of the branch 179, and provided laterally with spikes 181, slightly inclined with respect to the card. and protruding above the edge of the card. This tongue, in the released position, moves away from the branch towards the outside, and it can be elastically locked in the blocking position by means of a slide 184 moving upwards on the projection 185.
Fig. 62 represents a rider seen from the front.
Fig, 63 represents this same jumper, seen from the side, in the open position, and
Fig. 64 in the closed position. The front branch 186 carries the tongue which rises from the base / which is provided with teeth 189 curved inward, at laterally (and / or median) projecting points and this tongue ends in a fairly long extension 191 , and arranged above the edge of the map. In the relaxed position, the tongue tends to move outward (fig. 63). The fixed protrusion 192 of the opposite branch
187 carries a movable sliding part 193 which descends and pushes in a wedge shape the extension 191 of the tongue which is inclined with respect to the fixed projection 192.
The means for fixing the tab in this case penetrate inside the jumper and lock a card 138 provided with openings (FIG. 64) against which the openings of the other branch are pushed. If the jumper is intended for punched cards, the tips 189 may be rounded. If, on the other hand, they themselves have to penetrate the card in order to perforate it,
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sharp points.
In the embodiments described, it is of course possible, in accordance with the invention, to exchange the parts so as to satisfy the various needs. Likewise, instead of the individual tongues shown, several can be provided with the same embodiment or vice versa, and the fixing devices on the tongues and on the branches can be used in any number.
The illustrated embodiments can be provided with elastic tabs or be made entirely of an elastic material. In this case, the tightening can be done with or without a locking device by using the elastic force alone or by helping to do so by hand.
The material of which the jumper is made can also be chosen such that the clamping of the tab against the sheet or the like is carried out by hand so that the tab remains rigidly in this position.
The embodiment of the jumper may deviate from what is indicated in the examples above where it seems preferable or equivalent, or may present an embodiment deviating from the details shown in the figures.
The resilient tab or tabs may be elastically bent outward in cases where an additional closure device is provided for locking the tabs.
The variants indicated in several places in the description can be used in accordance with the invention instead of the parts which have been mentioned preferably. The jumpers according to the invention can be
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used as an index to determine different qualities, dates, etc ... of cards or directory sheets.
In this case, they may have signaling protrusions. They can, in combination with resistant cards, constitute guide cards for dividing directories. In this case, they may include projections of different widths, capable of receiving inscriptions. They can also be made to receive labels, receive inscriptions and interchangeably.
The jumpers can however be used just as advantageously as clamps for gripping letters, fixing clamps or the like.