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perfectionnements aux mécanismes déclenchés par des pièces de monnaie.
Cette invention a pour objet des perfectionnements ayant trait aux dispositifs servant à contrôler le paiement, par des pièces de monnaie, de courses, voyages, prix d'entrée, taxes, eto., du genre dans lequel le dispositif est agencé pour indiquer la réception de la somme versée pour une course dans une voiture, un siège dans une salle de spectacle, l'occupation d'une cabine ou tout autre service pour lequel une somme d'argent doit être versée, que ce soit pour une certaine durée de service ou pour une certaine distance prédéterminée.
Cette invention a pour objet un mécanisme à pièces de monnaie agencé pour indiquer, lorsqu'on insère dans l'appareil une ou plusieurs pièces faisant partie d'une série de pièces de différentes valeurs ou dénominations, les servioes qui doivent être rendus en échange de la somme versée, ce mécanisme comprenant un dispositif qui
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fonctionne automatiquement lors de l'insertion d'une pièce de monnaie de façon à communiquer à un indicateur un mouvement dont l'amplitude est proportionnée à, la valeur de la pièce introduite, et non nécessairement à. ses dimensions, et un dispositif de commande agencé pour ramener l'indicateur à l'indication zéro soit lorsque le service est en train d'être rendu, soit lorsqu'il. été rendu.
Pour mieux faire comprendre l'invention, on la décrira ci-après en se référant aux dessins annexés dans lesquels:
La fig.l est une vue de face avec coupe verticale partielle d'un mécanisme établi suivant l'invention.
La fig.2 est une vue d'arrière d'une partie du mécanisme de la fig.l.
La fig.3 est une coupe horizontale suivant 3-3(fig.1).
La fig.4 est une vue d'une partie du mécanisme de la fig.l, mais représente les pièces dans une position différente.
La fig. 5 est une vue analogue à la fig.2, mais dans laquelle les pièces du mécanisme sont représentées dans une position correspondant à celle de la fig. 4.
La fig.6 est une coupe d'un détail suivant 6-6(fig.2).
La fig.7 est une vue de face avec coupe verticale partielle d'un autre mode de réalisation du mécanisme représenté dans les fig.l à 6.
La fig. 8 est une coupe suivant 8-8 (fig.7).
La fig.9 est une vue de face avec coupe verticale partielle d'un troisième mode de réalisation.
La fig.10 est une vue d'arrière avec coupe verticale du mécanisme de la fig.9.
La fig.ll est une ooupe suivant 11-11 (fig.10).
Les fig.1 à 5 représentent une construction de
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mécanisme oomprenant une enveloppe dont on n'a représenté que le panneau supérieur 1 et qui présente trois fentes à pièces de monnaie 2.3 et 4 agencées respectivement pour recevoir des pièces de 10 centimes, 50 centimes et 1 franc, les fentes étant alignées longitudinalement.
Au-dessous de ces trois fentes sont disposés des coulis- seaux 5,6 et 7, respectivement, agencés pour coulisser verticalement dans des guides 8 de telle sorte que lorsqu'on enfonoe une pièce de monnaie dans la fente correspondante, cette pièce fait descendre le coulisseau en surmontant l'action d'un ressort tel que 9 (fig.l).
A l'extrémité inférieure de chaque coulisseau se trouve une dent 10 qui, lorsque le coulisseau a été amené à sa position complètement abaissée, entre en prise avec un cliquet à ressort 11 qui maintient le ooulisseau dans sa position abaissée jusqu'au moment où il le libère de la manière qu'on verra plus loin. Une patte ou saillie 12 (fig.l et 2) est constituée sur chaque coulisseau et agencée pour coopérer, pendant son abaissement, avec deux plaques coulissantes 15 soumises à l'action d'un ressort et constituant un obturateur. Les éléments de cet obturateur ne possèdent qu'un mouvement libre juste suffisant pour permettre à l'un des coulisseaux d'être abaissé, ce qui assure que, lorsque l'un desdits coulis- seaux 5,6 et 7 a été abaissé, aucun des autres ne peut être abaissé.
Une butée 14 (fig.2 et 6),soumise à l'action d'un ressort, est agencée pour s'étendre en travers de chacune des fentes à pièce de monnaie lorsque le coulis- seau correspondant 5,6 ou 7 occupe sa position abaissée, de façon à empêcher l'introduction d'une nouvelle pièce de monnaie tant que le coulisseau en question n'a pas été ramené à sa position normale, ce mouvement de retour ayant pour effet de dégager ladite butée de la fente par
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son action sur le bord inférieur incliné de cette butée.
L'extrémité inférieure du coulisseau 5 est disposée de telle sorte que, lorsqu'on abaisse le ooulisseau, ladite extrémité entre en prise avec une goupille 15 portée par une des extrémités d'un bras 16 pivotant en 17 et fait mouvoir cette goupille de façon à abaisser le bras 16 pour le faire entrer en prise avec une butée 18 portée par un des bras 19 d'un levier coudé 19-21 pivotant aussi en 17. Le bras 19 est muni d'une goupille 20 avec laquelle le coulisseau 6 est agencé pour entrer en prise de façon à faire mouvoir le levier coudé lorsque ce coulisseau s'abaisse. L'autre bras 21 du levier coudé est relié par une biellette 22 à un levier de commande 25 monté fou sur un arbre 24 supporté par un palier 25 (fig.S) du bâti de l'appareil.
Le bras 16 est maintenu dans une position normale (fig. 2) par un ressort 26 fixé au levier 23 et ayant pour effet de pousser la. goupille 15 contre le bord supérieur d'une ouverture 27 ménagée dans une plaque 28 faisant partie du bâti de l'appareil. Lorsque les bras 16 et 19 reçoivent un mouvement d'abaissement des coulisseaux 5 et 6, le levier de commande 23 tourne dans le sens de la flèche de la fig.2, en surmontant l'action du ressort 26, d'un angle déterminé par 12 valeur de la place de monnaie introduite, tandis que le levier de commande 25 est muni d'un prolongement 29 qui porte une goupille 30 agencée pour être actionnée par le ooulisseau 7, lorsque ce coulisseau est abaissé, de façon à faire tourner le levier 23 d'un angle déterminé par la valeur de la pièce introduite dans la fente 4.
Pour permettre d'effectuer les mouvements proportionnés du levier de commande 23, la longueur des bras 16 et 19 et les liaisons de ces bras avec le levier 23 sont pro- portionnées, conjointement aveo l'amplitude du mouvement
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communiqué aux coulisseaux 5 et 6 par les pièces de monnaie (savoir par des pièces de 10 oentimes et 50 cen- times,respeotivement), de façon à faire tourner le levier 23 de l'angle requis autour de l'arbre 24. L'insertion d'une pièce d'un franc dans la fente 4 est agencée pour abaisser le coulisseau 7 de la distance nécessaire pour effectuer la rotation directe du levier 23 de l'angle désiré.
Le levier de commande 25 est muni d'un oliquet à ressort 23a monté pour coulisser radialement sur ce levier et comportant un prolongement auquel est fixée une goupille 23b qui est normalement disposée au contact d'une came fixe 31 dont le r8le est de maintenir le cliquet 23a dé- gage-de la denture d'un rooet 32 oalé sur l'arbre 24.
Un disque 33 est monté pour pivoter librement sur l'arbre 24 et est agencé pour coopérer avec la goupille 30 du cliquet d'une manière que l'on va décrire. Cette came est munie d'une dent 34 qui est normalement en prise avec un cliquet à ressort 35, ce qui maintient le disque dans une position normale autour de l'arbre 24 malgré l'action d'un ressort 36 tendant à le faire osciller. Un cliquet à ressort 37 est engagé dans la denture du rochetpour empêcher celui-ci de tourner en sens inverse de son sens de rotation normal.
Un dash-pot 38 est relié mécaniquement au levier de commande 23 et règle la vitesse du mouvement de cet organe.
Une roue de rappel ou de remise à zéro 39, comportant le même nombre de dents que le rochet, est montée folle sur une des extrémité de l'arbre 24 et est munie d'un oliquet à ressort 40 engagé dans la denture d'une roue de retenue 41 oalée sur le même arbre, la disposition étant telle que le cliquet à ressort 40 assure normalement la rotation de la roue de rappel avec la roue de retenue et
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l'arbre 24 mais que, dans les circonstances qui seront décrites ci-après, cette roue peut âtre déplacée pax rapport à l'arbre en raison de l'action élastique du cliquet à ressort 40 par rapport à la roue de retenue.
Un index 42, fixé au moyeu de la roue de rappel 39, est agencé pour se mouvoir en regard d'une échelle (non re- présentée) de façon à fournir une indication. Un cliquet de rappel 45 est monté près de la roue de rappel 59 sur une barre coulissante 44 qui est soumise à l'action d'un ressort et agencée pour être manoeuvrée par une personne autorisée dans le but de ramener l'index à zéro. En un point 45 de la roue de rappel, une des dents de cette roue est supprimée de telle sorte que, lorsque le point 45 est placé près du cliquet de rappel, ce cliquet est incapable d'effectuer la rotation de la roue de rappel.
Un conduit à pièces de monnaie 46 est agencé pour recevoir les pièces introduites dans le mécanisme, et l'une des extrémités d'un levier 47 est agencée pour pénétrer dans ce conduit de façon qu'elle soit située sur le chemin des pièces de monnaie tombant dans ledit conduit, ce levier étant muni d'un prolongement 48 placé au-dessus du cliquet 55, de sorte que la chute d'une pièce de monnaie dans le conduit 46 a pour effet de dégager ce cliquet de la dent 34 du disque 33. Un organe pivotant 49 est disposé dans un prolongement inférieur 50 du conduit 46 de façon à être déplacé par la chute d'une pièce dans ce prolongement du conduit, la disposition étant telle que, lorsque ledit organe est ainsi déplacé, il fait mouvoir une barre 51 reliée mécaniquement aux cliqueta 11.
De cette façon, on est sûr que lorsque l'organe 49 est déplacé par une pièce de monnaie, les cliqueta sont eux-mêmes déplacés et permettent à l'un quelconque des coulisseaux 5, 6 et 7 susceptible devoir
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été abaissé et retenu par l'un des cliquets dans sa position abaissée d'être ramené à sa position normale.
Le fonctionnement du mécanisme est le suivant:
On enfonce une pièce de la valeur désirée dans la fente 3 comme représenté dans la fig.4, de façon à faire descendre le coulisseau mobile verticalement b jusqu'au moment où le cliquet à ressort 11 entre en prise avec la dent 10 dudit coulisseau et maintient celui-ci dans la position abaissée. Pendant l'abaissement du coulisseau 6, ce coulisseau entre en contact avec la goupille 20 et fait mouvoir le bras 19 autour du pivot 17, ce qui a pour effet de faire pivoter le levier de commande 23 autour de l'arbre 24 d'un angle correspondant à cinq dents du rochet 52.
Pendant ce mouvement, le cliquet 23a, porté par ce levier, est maintenu dégagé du rochet 32 par le bord du disque 35.
Lorsque la pièce a été complètement enfoncée à l'intérieur de la fente, elle tombe dans le conduit 46 et vient heurter l'extrémité du levier 47, ce qui abaisse ce levier dont le prolongement 48 dégage le cliquet 35 de la dent 34 du disque 33. Ce disque reçoit alors du ressort 36 un mouve- ment oscillant autour de son axe jusqu'au moment où un épaulement 33a de ce disque rencontre la goupille 25b du cliquet 23a et permet à cette goupille d'être déplacée radialement vers l'intérieur du levier 23 par le ressort dudit cliquet et de pénétrer dans une creusure 52 du disque 33, de sorte que ladite goupille entre en prise aveo la dent adjacents du rochet 52.
La pièce,descendant ensuite dans le prolongement 50 du conduit, vient heurter l'organe pivotant 49 et provoque le mouvement des oliquets 11 et, par suite, le déverrouillage du ooulisseau abaissé 6.
Le levier de commande 23 reçoit alors du ressort 26 un mouvement de pivotement en sens inverse des aiguillas d'une
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montre (fig.2) et entraîne dans son mouvement le rochet 32 d'un angle correspondant à cinq dents de ce rochet jusqu'au moment où le levier 23 atteint sa position normale. Ce mouvement du rochet 32 a pour effet de faire mouvoir l'aiguille 42 de l'indicateur en regard d'un nombre de divisions déterminé par la valeur de la pièce introduite, par exemple de cinq divisions. A la fin du mouvement de retour du levier 25, le cliquet 23a est repoussé hors du rochet par l'action de la came fixe 31 sur la goupille 23b dudit cliquet.
La pièce passe du prolongement 50 du conduit dans un autre conduit 53, d'où elle tombe dans une caisse ou récipient collecteur..
Lorsque l'invention est appliquée à des véhicules, le conducteur actionne périodiquement le cliquet de rappel 43, par exemple à la fin de chaque section de parcours, chaque manoeuvre étant agencée pour ramener en arrière l'index 42 de l'indicateur d'une unité ou division.
Ainsi, lorsque le parcours pour lequel le paiement a été effectué aura été terminé, l'index se trouvera de nouveau dans la position normale ou zéro et indiquers au conducteur que le voyageur a terminé le parcours pour lequel la somme a été initialement versée.
Il est bien entendu que le cliquet de rappel sus- mentionné peut être actionné par un mécanisme à câble Bowden ou un mécanisme à commande électromagnétique ou par tout mécanisme générateur d'impulsions approprié.
On remarquera que l'introduction d'une ou plusieurs pièces de monnaie de la valeur correcte dans l'une quel- conque ou chacune des fentes 2, 5, 4 a pour effet d'amener l'index 42 en regard du nombre correspondant de l'échelle de l'indicateur, la position finale de l'index indiquant la valeur totale de la somme payée pour la course ou distance à parcourir ou pour tout autre service à rendre,
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l'index étant alors ramené en arrière par échelons uni- taires par une personne autorisée jusqu'au moment où cet index est revenu à la position zéro.
Lorsqu'on fait usage d'une série de mécanismes tels que ceux précédemment décrits, par exemple en combinaison avec les sièges d'un véhicule de transport en commun,tous les cliqueta de rappel sont de préférence agencés pour Être actionnés ensemble par un seul dispositif de commande, ce dispositif pouvant consister en des transmissions à câble Bowden ou en un appareil électromagnétique comprenant pour chacun des mécanismes, un électro-aimant ou solénoide qui( lorsqu'il est excité, est agencé pour faire mouvoir une armature reliée mécaniquement au cliquet de rappel 43 du mécanisme.
Tous les électro-aimants ou solénoides sont connectés en parallèle ou en série avec un interrupteur principal placé sous la commande d'une personne autorisée , telle que le conducteur du véhicule, de sorte que chaque fermeture de l'interrupteur ramène d'une unité toutes les roues de rappel des divers mécanismes vers la position zéro.
L'entaille 45 de chaque roue de rappel est agencée pour être amenée en regard du cliquet de rappel lorsque l'index de l'indicateur atteint la position zéro, comme indiqué dans la fig.l, de sorte que les manoeuvres sub- séquentes du cliquet de rappel n'ont plus pour effet de faire tourner la roue de rappel et l'index tant qu'une nouvelle pièce n'a pas été introduite dans le mécanisme et que l'index n'a pas été amené à une position propre à indiquer le paiement effectué.
Les fig. 7 et 8,représentent une autre construction de mécanisme comprenant une enveloppe dont on n'a repré- senté que le panneau supérieur 1 et qui présente trois fentes à pièces de monnaie 2, 3 et 4 agencées respective- ment pour recevoir des pièces de 10 centimes. 50 centimes
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et 1 franc. Chaque fente possède une longueur telle qu'on ne puisse pas y insérer de pièces dont le diamètre est plus grand que celui de la pièce requise , et les diverses fentes sont juxtaposées et alignées transversalement à l'une de leurs extrémités, comme représenté dans la fig8.
Au-dessous de chacune des fentes 2, 5 et 4 se trouve un conduit tel que 54 ( fig.7) agencé pour recevoir la pièce de monnaie introduite et allant en s'inclinant vers l'arrière et vers le bas à partir d'un point adjacent à la fente. Dans la paroi arrière de chaque conduit 54 est pratiquée une ouverture 54a à travers laquelle une pièce dont le diamètre est plus petit que celui prédéterminé est agencée pour tomber et être conduite à l'extérieur du mécanisme. Chaque conduit 54 communique à son extré- mité inférieure avec un conduit vertical correspondant 55, 56, 57. Au-dessous des extrémités alignées des fentes 2, 5 et 4 est disposé le prolongement horizontal 58 d'un levier vertical du premier genre 59 pivotant en 60 et maintenu normalement par un ressort 62 contre une butée fixe 61, cette position étant indiquée par des traits mixtes dans la fig.7.
Un levier de mise en position du premier genre o3 pivote en 64 sur le bâti du mécanisme et est soumis à l'action d'un ressort qui le maintient normalement incliné vers le haut par rapport au levier 59 mais avec son extrémité inférieure butant contre l'extré- mité inférieure dudit levier 59, comme indiqué par les lignes en traits mixtes de la fig.7. Dans sa position normale, le levier de mise en position 63 est agencé pour reposer contre une butée fixe 65.
Un segment denté b6 est monté pour pivoter en 67 sur l'extrémité supérieure du levier de mise en position 63 et est muni d'un pro- longement 68 qui est sollicité par un ressert 69 dont le rôle est de faire engrener normalement le'segment denté
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avec la denture d'un rochet 70 tournant autour d'un arbre 71 supporté par le bâti du mécanisme.
Les dents du segment et du rochet ont un profil en dents de soie et sont agencées pour permettre aux dents du segment de glisser librement en regard des dents du rochet lorsque le levier de mise en position et le segment reçoivent un mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant la fig.7, tout en assurant une liaison motrice par l'engrènement des deux dentures lorsque le levier de mise en position et le segment denté reçoivent un mouve- ment dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Un cliquet d'échappement 72 commandé par la pesanteur est agence pour coopérer avec la denture du rochet de façon à régler la vitesse de rotation de ce rochet dans le sens des aiguilles d'unemontre et empêcher la rotation dudit rochet dans le sens opposé,
Un cliquet de retenue constitué par un levier coudé pivotant 73, 74 est soumis à l'influence d'un ressort 75a de façon qu'une goupille 76 prévue à l'une de ses extré- mités soit normalement maintenue en contaot avec le bord interne du segment 66 et coopère avec une série d'en- taillée ou épaulements 77,78, 79 et 80 comme il sera décrit plus loin. Le levier coude 73, 74 est muni de deux bras supplémentaires 74a et 74b qui sont alignée avec le bras 74.
Les extrémités libres des bras 74, 74a, 74b sont munies chacune d'une goupille 74cet agencées pour coopérer respectivement avec trois cames 75, 76a et 7'la montées folles sur un arbre 178 porté par le bâti du mécanisme. Ces trois cames sont agencées pour faire tourner le levier coudé d'angles différents lorsqu'elles reçoivent elles-mêmes un mouvement de rotation de la manière qui sera décrite plus loin, et les entailles 77, 78, 79 et 80 du segment sont disposées de façon qu'elles
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soient situées à des distances radiales différentes du centre théorique du segment denté.
L'entaille 77 est située à la distance radiale la plus grande, tandis que les entailles '18, 79 et 80 se rapprochent progressivement du centre du segment et occupent, le long du segment, des distances correspondant à une, cinq et dix dents dudit segment à partir de l'entaille 77.
La disposition est telle que si, d'une manière qu'on verra plus loin, on fait mouvoir le levier 63 et le segment 66 en sens inverse des aiguilles d'une montre, en regardant la fig. 7, de sorte que l'entaille 77 est en prise avec la goupille 76 du levier coudé comme représenté dans la fig. 7, la commande de ce levier par une des cames 75, 76 ou 77a permet au segment de se mouvoir autour de son axe 64 d'un angle correspondant, respective- ment, à une dent, cinq dents ou dix dents.
Chacune des cames 75, 76a, 77a est munie de quatre saillies sur sa surface de commande et ces trois cames sont fixées fermement à trois roues à quatre doigts 82, 83, 84 agencées pour pénétrer respectivement dans les trois conduits verticaux 55,56, 57, la disposition étant telle que, dans la chute d'une pièce de monnaie dans l'un quelconque de ces trois conduits, cette pièce heurte un des doigts de la roue à doigts correspondante et fait tourner cette roue d'un quart de tour, la came fixée à ladite roue tournant aussi du même angle.
Une butée pivotante 85 (fig.7) est disposée au- dessous de chacun des conduits verticaux 55, 56, 57 et munie d'un prolongement 86 qui s'étend vers le haut et auquel est fixée une goupille de commande 87 agencée pour pénétrer dans le conduit vertical.. correspondant.
La disposition est telle qu'une pièce de monnaie descen- dant dans l'un quelconque des conduits 55, 56 ou 57 heurte
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la goupille de commande correspondante 87 et fait mouvoir la butée 85 reliée à cette goupille à l'écart du conduit, mais que ladite butée est agencée pour revenir à sa po- sition normale sous l'action de la pesanteur ainsi que par le heurt de la pièce de monnaie contre une goupille de rappel 88 prévue sur la pièce 85, de façon que ladite butée intercepte la pièce tombante et la maintienne en position dans une partie inférieure du conduit.
Les parties inférieures des conduits 55,56 et 57 sont disposées de façon qu'elles soient visibles à travers une fenêtre prévue dans l'enveloppe du mécanisme et le mouvement des butées assure qu'une pièce introduite libère une autre pièce maintenue en position dans le conduit correspondant par la butée 85, tout en étant elle-même retenue en position par cettebutée jusqu'au moment où. une troisième pièce descend dans le conduit.
Une roue et un index de rappel ou de remise en position ( non représentés) sont prévus sur l'arbre 71 de la même manière que la roue de rappel 59 et l'index 42 décrits au sujet des fig.1 à 6, et un cliquet de rappel (non représenté) est aussi prévu d'une manière analogue à la construction précédemment décrite.
Le mécanisme fonctionne comme suit:
On insère une pièce de la. valeur désirée dans la fente correspondante, par exemple une pièce de 50 centimes dans la fente 3 comme représenté dans les fig. 7 et 8.
Ceci a pour effet de déplacer le prolongement 58 du levier du premier genre 59 qui pivote ainsi autour de son axe 60 de telle sorte que son extrémité inférieure fait tourner le levier de mise en position b3 autour de son axe 64 dans le sens des aiguilles d'une montre. Le segment denté est entraîné dans ce mouvement en antagonisme à l'action du ressort 69 et se meut librement en regard de la denture
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du rochet 70, de sorte que l'entaille 77 dudit segment entre en prise avec la goupille 76 du levier coudé 73.
Cette position des pièces du mécanisme est représentée clairement dans la fig. 7. La pièce descend ensuite dans le conduit correspondant 54 et, si elle a réussi à franchir l'ouverture 54a. tombe dans l'ouverture verti- cale 55. Dans sa chute dans ce conduit, la. pièce de monnaie fait tourner d'un quart de tour la roue à quatre doigts 84 et la came 77a qui en est solidaire. La rotation de la came fait mouvoir les leviers 74b et 75 de façon à dégager la goupille 76 de l'entaille 77 et à la placer sur le chemin de l'entaille ou épaulement 79.
Le segment denté o6, ainsi libéré, tourne sous l'action du ressort 69 jusqu'au moment où l'épaulement 79 vient buter contre la goupille 77. Ce mouvement fait tourner le rochet ou roue d'échappement 70 d'un angle correspondant à cinq dents, de sorte que l'index porté par l'arbre 71 indique la valeur de la pièce introduite dans la fente du mécanisme.
Un dispositif à dash-pot (non représenté) peut être re- lié mécaniquement au levier 75 de façon que ce levier soit sûrement maintenu dans la position à laquelle il a été amené par les cames 76a, 75 ou 77a et intercepte ainsi l'épaulement correspondant 78, 79 ou 80.
On remarquera que lorsqu'une pièce de monnaie quel- conque insérée dans une des fentes du mécanisme fait mouvoir le levier de mise en position 63 et le segment 66 de façon à établir la susdite liaison motrice entre le segmentet la roue d'échappement 70 et s'échappe aloas, aucune commande de l'indicateur n'est effectuée, étant donné qu'il est nécessaire que la. pièce descende dans le conduit correspondant 55, 56 ou 57 pour que le rochet puisse tourner et que l'aiguille puisse se mouvoir pour fournir une indication.L'index est agancé pour être
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ramené à la position zéro par la commande du cliquet de rappel susmentionné, de la même manière que dans le cas de l'index décrit au sujet des fig.l à 6.
On se référera maintenant au mécanisme des fig. 9, 10 et 11. Le panneau supérieur 1 de oe mécanisme présente trois fentes 2, 3 et 4 dans lesquelles sont destinées à être insérées des pièces de 10 centimes, 50 centimes et un franc,respectivement. Au-dessous de chaque fente se trouvent un conduit à pièce de monnaie 89, représenté par des traits mixtes dans la fig.9, et deux leviers de oommande 90 pivotant en 91 sur une pièce de bâti verticale 92a du mécanisme. Chaque paire de leviers 90 constitue une partie d'un dispositif servant à vérifier le diamètre des pièces introduites.
Chacun de ces dispositifs comprend deux leviers coudés dont les bras sont désignés respective- ment par 92, 93 et qui sont disposés en croix et pivotent chacun,en 94, sur les leviers correspondants 90,chacun d'eux présentant, à l'extrémité supérieure du bras 92, une goupille 95. Le bras 93 est muni d'unarochet 96 normalement placé sur le chemin d'une saillie 97 portée par le levier 90 sur lequel pivote le second levier coudé de la paire. Les paires de leviers 90 sont maintenues dans une position normale, qui est celle représentée dans la fig.9, par des ressorts 98.
La disposition est telle que lorsqu'on introduit une pièce du diamètre prédéterminé dans la. fente convenable 2. 3 ou 4, cette pièce agit sur les deux goupilles correspondantes 95 et fait pivoter les deux leviers coudés correspondants 92,93 autour de leurs axes respectifs de façon à faire mouvoir les crochets 96 à l'écart des saillies 97 avant que la pièce entre en contact avec les extrémités courbes supérieures des deux leviers de commande 90, La pièce est ainsi mise à même de faire mouvoir les deux leviers 90
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à l'écart l'un de l'autre en surmontant l'action du ressort 98.
Si le diamètre de la pièce introduite est inférieur à la valeur prédéterminée, les crochets 96 n'auront pas été amenés à l'écart des saillies 97 lorsque cette pièce entre en contact avec les extrémités supérieures des leviers 90 et toute tentative effeotuée à l'effet d'enfoncer la pièce dans la fente aura uniquement pour effet d'amplifier l'action de verrouillage entre les crocheta 96 et les saillies 97, de sorte qu'il sera impossible d'enfoncer la pièce à travers la fente.
Un obturateur coulissant ou autre organe (non représenté: peut âtre prévu pour empêcher l'insertion de plusieurs pièces de monnaie à la fois dans l'appareil.
Un des éléments de chaque paire de pivots 94 est agencé pour pénétrer dans une fente 99 ménagée dans une barre horizontale 100, de sorte que le mouvement de ce pivot et de son levier 90 provoque le mouvement de la barre 100 dans lesens de la flèche de la fig.9 sans influencer les autres paires de leviers 90.
La barre 100 est reliée par une goupille 101, traversant une fente de la pièce de bâti 92a, à l'un des bras d'un levier du premier genre 102, 103 pivotant en 104. L'autre bras 105 de ce levier est relié par un assemblage à goujon et fente à l'un des bras 105 d'un levier du premier genre 105, 105a pivotant autour d'un arbre 106 monté dans des paliers de la pièce de bâti 92a, Le bras 105 est muni d'une goupille 107 et la disposition est telle que le mouvement de la barre 100 dans le sens de la flèche de la fig.10, mouvement résultant de l'insertion de la pièce correcte dans l'une quelconque des fentes 2, 3, 4, fait mouvoir le bras 105 et la goupille 107 dans le sens des aiguilles d'une montre, en regardant la fig.10, d'un angle prédétermine.
Sur l'arbre 106 est calé un roohet 108 et sur cet arbre
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sont montés fous trois leviers du premier genre 109, 110, 111. Ces trois leviers sont normalement alignés par une de leurs extrémités et c'est pourquoi l'on ne voit que le bras du levier 111 dans la fig.10. L'autre bras de chacun de ces leviers est muni d'un cliquet à ressort 112 agencé pour s'engager dans la denture du roohet 108.
Les leviers 109, 110 et 111 sont normalement maintenus dans la position marquée en trait plein dans la fig.10 par des loquets pivotants 113, 114 et 115, respectivement, le loquet 115 étant seul visible dans la fig.10. Ces trois loquets sont munis respectivement d'un prolongement 115, 117 et 118 (fig.10) dont l'extrémité libre est reliée par des biellet- tes 119 à des leviers 120, 121 et 122 qui sont soumis à l'action d'un ressort et agencés chacun pour pénétrer par une de leurs extrémités dans un des conduits à pièce de monnaie 89. Une goupille 123 prévue sur chacun des pro- longements 116, 117 et 118 est agencée pour venir se placer sur le chemin d'une roue rotative à quatre doigts 124 dont un des doigts est normalement agencé pour s'engager dans un des conduits à pièce de monnaie dans le but qu'on verra. plus loin.
L'arbre 106 est muni d'une roue de rappel 39 et d'un index de rappel 42 analogues à ceux décrits au sujet des constructions précédentes, et un cliquet de rappel 45 est aussi prévu pour le but précédemment décrit, ce cliquet éta.nt représenté par des traits mixtes dans la fig.9.
Le fonctionnement du mécanisme est le suivant;
L'insertion d'une pièce dans une des Sentes 2, 3 ou 4 fait mouvoir la barre 100 et la goupille 107 de la façon précédemment décrite et, aussitôt que la pièce a pessé entre les extrémités - faisant saillie vers l'intérieur - des leviers 90, ces leviers, la barre 100 et la goupille 107 sont ramenés à leur position normale sous l'influence
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du ressort 98 relié aux leviers 90. En tombant dans le conduit 89, la pièce bute contre le levier 120, 121 ou 122 engagé dans ce conduit et fait mouvoir le cliquet correspondant 115, 114 ou 115 à l'écart du levier 109, 110 ou 111 et l'amené à la position indiquée par des traits mixtes dans la fig. 10. Le levier 109, 110 ou 111 ainsi libéré, tombe, aidé par un ressort, et tourne autour de l'arbre 106.
Ce mouvement de rotation du levier 109 est limité par une butée 126 (fig.l0),ce qui assure que lorsque ce levier est mis en liberté par l'insertion d'une pièce de 10 centimes dans la fente 2, le cliquet 112 monté sur ce levier fait tourner le rochet 108 d'un angle correspondant à une dent. Le levier 110 est disposé simi- lairement pour faire tourner le rochet 108 d'une distance égale à cinq dents lorsqu'on introduit une pièce de 50 centimes dans la fente 5, le mouvement de ce levier étant limité par la rencontre d'un prolongement 110a dudit levier avec une butée 127 prévue sur le bâti du mécanisme. Le levier 111 est limité dans son mouvement, lorsqu'il est libéré par l'insertion d'un franc dans la fente 4, par sa rencontre avec la. goupille 107 et est agencé pour faire tourner le rochet 108 d'un angle correspondant à dix dents.
On voit que l'index 42 reçoit un mouvement de rotation dans le sens des aiguilles d'une montre (fig.9) d'un angle correspondant à la valeur de la pièce introduite dans le mécanisme, d'une manière analogue à celle décrite au sujet des constructions précédentes.
Le mouvement initial qu'effectue la goupille 107 dans le sens des aiguilles d'une montre lorsqu'on introduit une pièce de monnaie dans l'une des fentes 2, 5, 4 amène l'un quelconque des leviers 109, 110, 111 susceptible d'avoir préalablement déclenché à sa position normale dans laquelle il est de nouveau verrouillé parole loquet
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correspondant 113, 114 ou 115. Les bras des leviers 109, 110 et 111 qui coopèrent avec les loquets 113, 114 et 115 sont représentés par des traits mixtes dans les positions déverrouillées dans la fig.10.
Lorsqu'une pièce descend dans l'un quelconque des conduits 89, cette piece est normalement retenue dans ce conduit en regard d'une fenêtre (non représentée) ménagée dans l'enveloppe du mécanisme par le doigt de la roue à quatre doigts correspondante 124. Lorsque la goupille 123 est actionnée par le prolongement 116, 117 ou 118 du loquot, cette goupille déverrouille la roue à doigts correspondante 124 et permet à la pièce de tomber dans un récipient col- lecteur après avoir faittourner ladite roue, la nouvelle pièce introduite étant retenue dans le conduit 89 par le doigt suivant de la roue à doigts dont la rotation est empêchée par le retour de la goupille 123 à sa position normale.
ll est bien entendu que des dispositifs à éprouver les pièces de monnaie autres que ceux décrits peuvent être incorporés aux mécanismes si on le désire. Les mécanismes peuvent être groupés, lorsque cela est commode, avec un récipient à pièces de monnaie commun associé aux conduits de tous les mécanismes d'un groupe particulier.
Lorsqu'un mécanisme de l'un quelconque des types précédemment décrits est employé conjointement, par exemple, avec chacun des sièges d'un véhicule de transport en commun, on peut prévoir, à l'usage du conducteur, un tableau indica- teur central sur lequel deux lampes électriques sont dispo- sées pour chaque siège.
Unede ces lampes est commandée par un interrupteur actionné par le siège et, lorsqu'elle est allumée, indique que le siège correspondant est occupé, tandis que l'autre lampe est commandée par un interrupteur comprenant deux lamelles de contact actionnées par une
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came montée sur la roue de remise à zéro du mécanisme à pièces de monnaie associé au siège envisagé, la disposition étant telle que la lampe reste allumée tant que l'index du mécanisme n'a pas été ramené à zéro. De cette façon , le conducteur sait si un siège quelconque est occupé et, s'il est occupé, sait si le paiement a été effectué pour la section suivante du parcours.
Le cliquet de rappel de chaque mécanisme peut être muni d'un organe de commande agencé pour faire saillie à l'extérieur de l'enveloppe et dont la manoeuvre fait fonctionner la roue de rappel indépendamment du dispositif de commande principal (par exemple l'interrupteur principal précédemment décrit). De cette façon, si un conducteur observe par l'examen du tableau indicateur central qu'un siège est vacant mais que la position de l'index indique qu'une somme a été versée dans le mécanisme du siège en question pour une section de parcours qui n'est pas encore expirée, il peut remettre à zéro le mécanisme associé au siège en question à l'aide de l'organe de commande indé- pendant.
Si on le désire, la came montée sur la roue de rappel peut être agencée pour fermer une paire de lamelles de contact, lorsque l'index occupe la position zéro, de façon à établir un circuit électrique agencé pour actionner un signal audible ou un voyant très visible. En outre, le circuit commandant le signal audible peut oomprendre un interrupteur actionné par le siège de façon que le signal ne fonctionne que lorsque le siège est occupé et que l'index occupe la position zéro.
Les constructions de mécanismes précédemment décrites présentent l'avantage qu'elles peuvent être établies pour donner des indications relatives à la valeur des pièces introduites d'une façon entièrement indépendane des dia- @
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mètres relatifs des pièces. Par exemple, quoiqu'une pièce de 10 centimes possède un diamètre beaucoup plus grand qu'une pièee de 50 centimes, il est facile de faire en sorte que la première ne fasse mouvoir l'index de l'indica- teur que d'une unité et que la seconde le fasse mouvoir de cinq ou tout autre nombre d'unités, par exemple sept.
On peut aussi faire en sorte qu'une pièce d'un franc fasse mouvoir l'aiguille de tout nombre d'unités autre que dix, par exemple de quinze unités.
Revendications:
1 - Un méoanisme actionné par ces pièces de monnaie et agencé pour indiquer, après l'insertion d'une ou plusiews pièces faisant partie d'une série de pièces de différentes dénominations, les services qui doivent être rendus en échange de la somme versée, ce mécanisme étant caractérisé par le fait qu'il comprend un dispositif qui fonctionne automatiquement, lors de l'insertion d'une pièce de monnaie, de façon à communiquer un indicateur un mouve- ment dont l'amplitude est proportionnée [, la valeur de la pièce introduite, et non nécessairement à ses dimensions, et un dispositif de commande agencé pour ramener l'indica- teur à l'indication zéro soit lorsque le service est en train d'être rendu, soit lorsqu'il a été rendu.
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