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EMI1.1
Pécan.me sélecteur de mon11aie pour appareil à paiement préalable.
Les appareils à paiement préalable ayant une seule tente d'insertion pour l'introduction de pièces de monnaie de dimensions et de valeur monétaire diverses sont
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généralement pourvus de mécanismes sélecteurs de monnaie contrôlant uniquement le diamètre des pièces introduites et permettant à l'usager soit de prendre des objets (dis- tributeurs automatiques), soit de consommer une quantité de fluide (compteurs à prépaiement pour gaz ou électricité), soit d'obtenir une communication téléphonique (téléphone à prépaiement) dont le coût corresponde à la valeur moné- taire de la pièce de monnaie légale du diamètre de la piè- ce introduite.
Les appareils à paiement préalable à une seule fente d'insertion pour l'introduction de plusieurs pièces de valeur difrérente munis de tels sélecteurs de monnaie contrôlant uniquement le diamètre des pièces introduites ne peuvent être utilisés que dans certains cas particuliers restreints, comme par exemple dans le cas des compteurs d'électricité à prépaiement installés chez les abonnés, mais ne peuvent être utilisés à :La distribution sur la voie pudique en raison du risque de fraude auquel ils donnent lieu.
Pour éviter le risque de fraude, on aménage généralement dans un appareil à paiement préalable une fente d'insertion et un mécanisme sélecteur distincts pour chaque type de pièce de monnaie que l'appareil doit pou- voir accepter et chaque sélecteur peut alors être prévu pour effectuer le contrôle des pièces de monnaie qui lui parviennent par la fente correspondant, non seulement sous le rapport du diamètre, mais encore de l'épaisseur, du poids et des propriétés magnétiques. Cette solution con- duit d'une part à un encombrement eT, à un prix élevés de l'appareil à paiement préalable et d'autre part à un emploi
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peu pratique pour l'usager qui doit chaque fois chercher à quelle fente d'insertion correspond le pièce de monnaie qu'il se dispose à introduire.
La présente invention a pour but d'éviter ces inconvénients par la réunion dans un même appareil de moyens destinés à obturer complètement la lente d'inser- tion pendant toute la durée aes opérations de contrôle de la pièce de monnaie, de moyens destinés à contrôler le diamètre de la pièce, de moyens destinés à contrôler l'é- paisseur de la pièce, de moyens destinés à contrôler le poids de la pièce, de moyens destinés à contrôler les propriétés magnétiques de la pièce, de moyens destinés à diriger la pièce de monnaie vers le réservoir d'encaisse- ment si celle-ci est conforme aux normes prescrites et vers un orilice de restitution si elle ne l'est pas,
de moyens destinés à entraîner en rotation un arbre de comman- de d'un angle proportionnel à la valeur monétaire de la pièce introduite si elle est conforme aux normes prescri- tes, de moyens destinés à régler la succession chronologi- que des opérations de contrôle et d'avancement de la pièce selon un ordre déterminé d'avance et de moyens destinés à emmagasiner et à rournir au fur et à mesure des besoins l'énergie nécessaire à l'accomplissement de toutes les opérations de contrôle.
On comprendra mieux en quoi consiste l'invention en se reportant à la description qui va suivre, donnée à titre d'exemple, et au dessin ci-annexé, dans lequel :
La fig.l est une vue schématique en perspective d'un exemple d'exécution d'un mécanisme conforme à l'in- vention,
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la fige 2 est une vue partielle en coupe du mécanisme représenté en fig. 1,
Les iig. 3 à 9 sont des vues de détails d'une partie du mécanisme représenté en fig. 1.
Dans la i'ig. 1, la paroi extérieure de l'ap- pareil n'a été que partiellement représentée en 1, et seu- lement dans la région comportant la rente d'insertion 2 destinée à l'introduction des pièces de monnaie. Cette paroi a été représentée dans un plan incliné par rapport au plan vertical, pour la commodité du dessin, mais il va sans dire qu'elle pourrait parfaitement être dans un plan vertical ou sensiblement vertical, auquel cas toute la par- tie du mécanisme située immédiatement derrière la l'ente d'insertion serait pencnée de façon que les divers organes conservent approximativement la même inclinaison générale par rapport:
au plan de la paroi, à l'exception touterois de la balance dont il sera parlé plus loin, dont le fléau doit être maintenu dans un plan horizontal.
Derrière la fente d'insertion 2, se trouve un sas à monnaie constitué par deux parois sensiblement verti- cales 3 et 4, visibles sur la fig. 2 mais supprimées sur la fig.l par raison de clarté. Dans la position d'attente de l'appareil, le sas à monnaie est séparé de l'extérieur de l'appareil par un coulisseau obturateur b, motile entre les deux parois 3 et 4, guidé dors son mouvement par deux goupilles 6 et 7 qui s'engagent dans une rainure de la plaque 4, rainure colique par rapport au plan de la paroi 1. Dans la dite ,position d'attente de l'appareil, le cou- lisseau o repose sur une roulette 8 et sa tranche 9 obture complètement la lente d'insertion 2.
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Lors de l'insertion d'une pièce de monnaie, la pièce de monnaie pousse premièrement contre le flanc 9 du coulisseau obturateur qui se relève en une translation pa- rallèle de direction colique par rapport au plan 1 et par rapport à la direction de déplacement de la pièce de mon- naie. Après que le coulisseau obturateur ait atteint son point le plus haut, la pièce de monnaie étant engagée de plus de le moitié, il retombe en la chassant vers l'inté- rieur du ses à monnaie.
Derrière le coulisseau obturateur 5, guidé d'une lagon analogue et mobile dans la même direction que lui entre les deux parois 3 et 4, se trouve le coulisseau calibreur 10. En position d'attente de l'appareil, le coulisseau calibreur 10 repose par son doigt 11 sur la tranche supérieure du coulisseau obturateur b.
Le sas à monnaie est fermé vers le bas par un fond 12 mobile autour de l'axe 13. Ce Iond moelle est sollicité par un ressort 14 qui prend appui sur un point fixe 15 et qui tend à laire pivoter le fond mobile autour de son axe 13 et à ouvrir vers le bas le sas à monnaie.
Un levier 16 reposant sur une came 17 fixée sur un arbre à cames 18 s'oppose, en position d'attente de l'appareil, au pivotement du fond mobile, en sorte que le sas à monnaie est dans cette position, fermé vers le bas.
Un levier de verrouillage 19, mobile autour de l'axe 20 et sollicité par un ressort de rappel 21, s'appuie latéralement en position d'attente contre le doigt 11 du coulisseau calibreur 10, Pendant l'introduction d'une pièce de monnaie, le levier de verrouillage 19 ne s'oppose pas au mouvement ascendant des coulisseaux b et 10. Mais
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lorsque le coulisseau obturateur 5 retombe, chassant vers l'intérieur du sas à monnaie la pièce, celle-ci continue sa course jusqu'au point le plus bas du fond en V du sas à monnaie, et le coulisseau calibreur 10, reposant sur la pièce, reste en position relevée Iigurée en traits mixtes en 22 sur la fig.1.
Le doigt 11 du coulisseau calibreur n'est plus alors devant le bec du levier de verrouillage 19 qui, obéissant à son ressort 21, s'engage sur la tranche supérieure du coulisseau oburateur 5, verrouillant celui- cidans la position d'obturation et l'empêchant de remonter, aussi longtemps que le coulisseau calibreur 10 n'est pas retombé à sa position de départ.
Un fort ressort spiral contenu dans le barillet 23 transmet son couple moteur d'une part à l'arbre à cames 18, d'autre part à l'arbre d'entraînement 24 par l'inter- médiaire d'un train diriérentiel 2b et de divers engrenages.
En position d'attente de l'appareil, l'arpre d'entraîne - ment 24 est retenu contre l'effet du couple moteur par un encliquetage 26 ; l'arbre à cames 18 est également main- tenu immobile par l'encliquetage 27 qui retient une gou- pille 28 fixée sur la roue 29, entraînée par l'arbre à ca- mes 18. Lors de l'insertion d'une pièce de monnaie, le mouvement du levier de verrouillage 19 dans le sens ae la flèche dégage l'encliquetage 27 de la goupille 28. L'arbre à cames 18 se met alors à tourner dans le sens de la flèche 30, sous l'effet du couple moteur transmis par le barillet 23, à une vitesse maintenue sensiblement constante par le frein à ailettes 31.
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Pendant la rotation de l'arbre à cames 18, la came 17 laisse échapper le levier 16 ce qui permet au fond mobile 12 de pivoter sous l'effet de son ressort 14 et de laisser tomber la pièce de monnaie dans le récepta- cle à monnaie 32 d'une balance 33, située au-dessous du sas à monnaie. Lorsque, à la suite d'opérations décri- tes plus loin, le coulisseau calibreur 10 est à son tour libéré, il retombe dans la position rigurée au dessin et ce raisant, le doigt 11 glisse su.r la rampe oblique du levier de verrouillage 19 et repcusse celui-ci contre l'eilet du ressort 21.
Le levier d'encliquetage 27 ne repose plus sur le levier de verrouillage 19 mais il est empêché de retomber en posi-cion d'arrêtage de la goupille 28 par la came 118 aussi longtemps que cette dernière, ainsi que l'arore à cames principal 18, n'a pas fait un tour complet. Après un tour complet de l'arbre à cames 18 l'épaulement 119 du levier 27 tombe dans l'encoche de la came 118 et la goupille 28 de la roue 29 se trouve à nouveau arrêtée.
Au-dessus du sas à monnaie, mobile autour de l'axe 20 et sollicités par des ressorts 34, se Trouvent des leviers calibreurs 35, 36, en nombre égal au nombre des ty- pes de pièces de monnaie différents que le sélecteur doit pouvoir contrôler et accepter (4 dans l'exemple représenté), cnacun d'eux correspondant à une pièce de monnaie de dimen- sions et de valeur déterminées. Dans la suite, on ne dé- crira, le plupart du temps, que les accessoires relatifs à un seul levier calibreur 3o mais 11 est bien entendu que tous sont équipés de iaçon tout à fait analogue.
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La partie inférieure du levier celibreur 35 comporte un doigt de calibrage 37 formé en arc de cercle concentrique à l'axe 20 et qui pénètre dans un trou 38 pré- vu dans la paroi latérale 4 du sas à monnaie. Le ressort 34 tend à appliquer le doigt de calibrage 37 contre la. sur- face latérale du coulisseau de calibrage 10; mais,en posi- tion d'attente, le levier de calibrage est empêcné de pivo- ier autour de son axe 20 par une came 39, iixée sur l'arbre à cames 18, sur laquelle appuie la goupille 40 du bras 41, solidaire du levier de calibrage.
Tendant la rotation de l'arbre à cames 18, tous les leviers calibreurs 35, 36, sont simultanément libérés, pivotant sous l'ettet de leurs ressorts 34 et les doigts de calibrage 37 viennent s'appliquer sur la suriace latérale du coulisseau de caliorage 10. Ce dernier comporte une sé- rie de trous 42,43, échelonnés en hauteur en l'onction des diamètres aes diverses pièces de monnaie, chacun d'eux é- tart disposés dans le plan vertical d'un levier de caliora- ge.
La position en hauteur des trous 42, 43 est déterminée de façon que dans les diverses positions relevées 22 que prend le coulisseau calioreur 10 en reposant sur les di- verses pièces de monnaie conformes aux normes prescrites et ligurées en 44 dans le sas à monnaie, pour chaque dia- mètre normal de pièce, l'un des trous 42, 43, se présente exactement en regard de l'extrémité du doigt de calibrage 37 correspondant. En supposant que la pièce de monnaie de plus grand diamètre se trouve en 44 dans le sas à monnaie, c'est le trou le plus bas, 42, qui se présente en regard du doigt de caibrage 37. Le levier de calibrage 35 peut
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. alors pivoter à fond de course jusqu'à ce que le doigt de calibrage 37 vienne buter contre la butée fixe 45 (posi- tion représentée en traits mixtes dans le fig.2).
S'il ne se trouve dans le sas à monnaie aucune pièce de diamè- tre conforme aux normes prescrites, aucun des trous 42,43, ne se présentera devant un doigt de calibrage 37, tous les leviers de calibrage seront retenus contre la suriace latérale du coulisseau de calibrage 10 et aucun d'eux ne pourra pivoter à fond de course jusqu'à la butée 45. A la fin de la rotation de l'arbre à canes 18, les cames 39 relèvent tous les leviers de calibrage 3b, 36, en position d'attente; celui de ces leviers, dont le doigt de cali - brage 37 était engagé dans un des trous 42, se dégage, ce qui libère le coulisseau de calibrage Qui peut alors re- tomber en position n'attente, cornue décrit précédemment.
Un étrier 46, pivotant sur l'axe 47 est pourvu en regard de chacune des têtes 48 des leviers de calibrage
35, 36, d'une butée réglable 49. Cet étrier est solidaire d'un levier 50 soumis à l'action d'un ressort 51 et portant par l'intermédiaire d'une lame flexible b2 un taquet 53, muni d'un doigt 54. Lors du pivotement de l'un des leviers calibreurs 36, 36, la tête 48 correspondante s'appuie sur l'une des putes 49 et pousse l'étrier 46 qui pivote contre l'effet au ressort 61. un deuxième etrier oo, pivotant sur l'axe 56 et comportant autant de butées réglables 57 que le premier étrier, est entraîné, d'une façon analogue lors du pivotement d'un des leviers calinreurs.
Les butées 49 et
57 sont, aans l'exemple représenté, constituées par des vis micrométriques qui sont-plus ou moins vissées dans les
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étriers'de Iaçon que chaque levier calibreur, en pivotant à lond de course, entraîne dans son mouvement les étriers 46 et 55 d'angles qui soient fonction des dimensions de la pièce de monnaie correspondante. Le premier étrier, 46, coopère par le doigt 54 du taquet 53 avec l'extrémité d'un levier tâteur 58 qui a pour fonction de contrôler 1.'épais- seur de la pièce de monnaie introduite et le second étrier, 55, sert de point d'appui à un ressort 59 d'équilibrage de la balance 33, laquelle a pour fonction de contrôler le poids et les propriétés magnétiques de la pièce.
Le levier tâteur 58,mobile autour d'un pivot 60, est constitué de deux bras de longueurstrès inégales, le plus court, 61, terminé par une pointe de touche 62 située en regard d'un trou'63 aménagé dans la paroi 3 au bas du sas à monnaie, le plus long, 64, terminé par une rampe 65 qui coopère avec le doigt 54 du taquet 53. Un ressort 66 tend à faire pivoter le levier tâteur 58 et à faire péné- trer la pointe de touche 62 à l'intérieur du sas à monnaie en face d'une contre-pointe fixe 67, mais en position d'at- tente de l'appareil, le pivotement du levier têteur est empêché par une came 68 sur laquelle appuie la goupille 69 montée sur le bras 64.
Lorsqu'une pièce de monnaie 8 été introduite, la came 68, fixée sur un arbre à came 70 relié par engrenages à l'arbre à cames principal 18, efiectue en même temps que ce dernier un tour complet. Au moment où l'encoche 71 se présente devant le aoigt 69, le levier teneur 58 peut pivoter sous l'efret de son ressort 66 et la pointe de touche 62 vient appuyer dontre le flanc de la pièce de monnaie 44, dans la région comprise entre le bour-
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relet périphérique et le relief de la pièce de monnaie et celle-ci se trouve pincée entre la pointe 62 et la con- tre-pointe fixe 67.
Le levier tâteur prend alors pendant un instant une position déterminée par l'épaisseur de la pièce de monnaie, puis la goupille 69 est repoussée par la came 68 qui continue sa rotation et le levier tâteur revient en position d'attente, dégageant aussitôt la piè- ce de monnaie..
La coopération entre le levier tâteur 58 et le premier étrier 46 sera décrite en se reportant aux figu- res 3a à 9a qui représentent en plan différentes positions successives de la rampe 6b montée en bout de bras 64 et du doigt 54. La fig.3a représente la position relative de la rampe et du doigt en position d'attente de l'appareil.
Lorsqu'une pièce de monnaie conforme aux normes prescrites a été introduite dans le sas à monnaie et se trouve en 44, le levier calibreur correspondant peut pivoter à fond de course et entraine dans son mouvement le premier étrier 46; le doigt 54, longeant la rampe 65, est repoussé vers la droite et vient occuper le position représentée à la fig.
4a. Lorsque, un instant plus tard, le levier tâteur est lioéré à son tour par la came 68, il pivote et le bras 64 se déplace en sens inverse du levier 50. Le doigt 54 n'est plus alors retenu par la rampe 65 et, sous l'efiet de l'é- lasticité de la lame flexible b2, il revient vers la gauche dans la position représentée à le fig. 5a. Puis le levier tâteur revient en position d'attente, sans agir sur le doigt b4, comme indiqué à la iig.6a. Ehfin, le premier étrier revient à son tour en position d'attente et le doigt
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54 longe l'autre face de la rampe cornée indicué à la fige 7a, est repoussé vers la gauche puis échappe et revient dans la position de la fig. 3a.
Pour chaque type de pièce de monnaie conforme aux nomes prescrites, à un diamètre déterminé correspond une épaisseur déterminée. On se rend facilement compte que pour avoir un contrôle efficace de l'épaisseur des pièces, à chaque type de pièce doit correspondre un dépla- cement du premier étrier 46 tel que le doigt 54 puisse, si la pièce a des dimensions conformes aux normes prescrites, passer juste devant la rampe 65, pendant le contrôle,comme représenté à la fig.5a.
Autrement dit, le diamètre de la pièce introduite contrôlé par le coulisseau calibreur 10 détermine par l'intermédiaire de celui des leviers cali - breurs 3b, 36 qui peut pénétrer dans l'un des trous 42 ou 43, de l'étrier 46, du levier bO et du doigt 54 quelle doit être l'épaisseur maximum de .la pièce, contrôlée à son -tour par le levier tâteur 58 pour'que la pièce soit acceptée, c'est-à-dire pour que le doigt 54 puisse passer devant la rampe 65.
Si la pièce introduite a, une épaisseur qui dé- passe la maximum toléré pour le type de pièce en cause, le lev.ier tâteur pivote d'un angle moindre que l'angle pres- crit, le bras 64 ne prend pas la position représentée à la fig. 5a, mais reste aans une position intermédiaire telle que représentée à le fig. 8a, le doigt 54 est retenu par la rampe 65 et ne peut passer à gauche de la rampe; le retour en position a'attente s'effectue suivant la lige 9a.
La balance "3 comporte un iléau pivotant autour de l'axe 72, un réceptacle à monnaie 32 disposé .au-dessous du sas à monnaie, un contrepoids 73, un ressort d'équili-
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brage b9 et un disque tendu 74 solidaire du fléau. En position d'attente de l'appareil, le ressort d'équili- brage 59 tend à relever la balance, mais le iléau est empêché de pivoter et est retenu en position sensiblement horizontale par une goupille 75, solidaire du disque 74, qui s'engage dans une gorge circulaire 76 pratiquée dans une came 77.
Cette dernière est en une seule pièce, les deux parties, extérieure et intérieure ayant été repré- sentées, à la iig. 1 comme séparées par la gorge 76, simplement pour la commodité du dessin. Elle est solidai- re de l'arbre à came 114, lui-même relié par engrenages à 1'arbre à came 70 et à l'arbre à cernes principal 18, et effectue un tour complet en même temps qu'eux. Le disque 74 comporte une lente sensiblement radiale 78 au-dessus de laquelle se présente une goupille 79 fixée à l'extrémité d'un levier contrôleur de poids 80, mobile sur un axe 81 et sollicité par un ressort 82, qui retient le levier con- , trôleur de poids 80 écarté du disque fendu 74.
Après les opérations de contrôle du diamètre et de l'épaisseur, la pièce de monnaie introduite tombe, comme déjà mentionné, du sas à monnaie dans le réceptacle 32. A ce moment, la came 77 ayant tourné dans le sens de la flè- che de l'angle compris entre les rayons 83 et 84, la gou- pille 75 se trouve dans la partie élargie de la gorge 76, et elle y reste pendant tout le temps qui s'écoule entre le passage du rayon 84 et celui du rayon 85 à le hauteur de la goupille. Pendant ce tenps, le balance est libre de pren- are la position d'équilibre déterminée par le poids du fléau, celui du contrepoids 73, celui de la pièce de mon-
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naie 120 et la iorce du ressort d'équilibrage 59.
Pour une pièce conforme aux normes prescrites, le second étrier 55, poussé par la tête 48 du levier 3b, 36, correspondant à cette pièce de monnaie, subit un déplacement angulaire tel que le ressort d'équilibrage 59 soit armé de la quantité nécessaire pour que, lorsque le pièce est en 120 et que-la balance est libérée, le fléau garde en position d'équili- bre le position qu'il avait avant sa libération.
Si tel est le cas, c'est-à-dire si le fléau ne subit aucun dépla- cement au moment où le rayon 64 de la came 77 franchit la goupille 75, la goupille 79 du levier contrôleur de poids bO peut momentanément s'engager dans la fente 78 du disque fendu 74. Si au contraire la pièce de monnaie introduite a un poids inférieur ou supérieur au poids qu'elle devrait avoir en raison de son diamètre et du poids spécifique de sa matière d'après les normes prescrites, le rléau, au mo- ment du passage de la goupille 75 dans la partie élargie de la gorge 76, n'est pas équilibré et subit l'effet d'une résultante des iorces en jeu, qui peut être descendante ou ascendante et qui provoque un déplacement au fléau dans un sens ou dans l'autre.
Dans ce ces la lente 78 n'est plus en regard de la goupille 79 et celle-ci ne pouvant s'engager dans la lente, butera contre la périphérie de la came.
Lorsqu'une pièce de monnaie se trouve en 120 dans le réceptacle à monnaie 32 de la balance, elle est en outre dans le champ magnétique d'un aiment permanent lixe 87 dont les pôles sont situés au-dessous et de part et d'autre du réceptacle 32. Si la pièce 120 est en une matière non magnétique, le champ de l'aimantest sans eiiet sur elle et seul son poids intervient pour déterminer la position
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d'équilibre du fléau de le balance.
Si par contre elle est en matière ferro-magnétique (fer, nickel, etc.) ou contient un élément ferro-magnétique, elle subit de la part de l'aimant une attraction et la balance est soumise, en plus du poids de la pièce à une force descendante dont la grardeur dépend des dimensions et de la constitution de la pièce.
Pour chacune des pièces types dont la constitution comprend d'après les normes prescrites une certaine quanti- té de métal ferro-magnétique, la butée réglable 57 du le- vier de caliprage correspondent doit donc être réglée de laçon que le ressort d'équilibrage 59 soit armé lors du déplacement de l'étrier 55 sous l'effet de ce levier de ca- librage à le iorme nécessaire pour maintenir la balance en équilibre, compte tenu du poids de cette pièce et de l'at- traction de l'aimant 87 sur elle.
il est clair Que, inver- sément, si l'on introduit dans le sas à monnaie une pièce dont les dimensions correspondent aux normes prescrites, mais consitutée en fer au lieu d'être en matière non magné- tique, l'aimant exerce sur elle, lorsqu'elle est en 120, une attraction qui détruit l'équilibre qu'aurait eu la balance si la pièce avait été en métal non magnétique d'un poids égal.
Lorsque, après l'opération de contrôle du poids et dès propriétés magnétiques de le pièce de monnaie, la came 77 a tourné d'un angle tel que le rayon 85 vienne en regard de la goupille 7b, celle-ci se trouve poussée vers la droite par la rampe inclinée de la gorge 76, ce qui provoque le pivotement iorcé de la balance 33 sur son axe 72, et l'amène dans la position 88 représentée en traits
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mixtes. La pièce de monnaie écnsppe alors du réceptacle 32 et tombe dans le canal à monnaie 89.
Peu au-dessous de la balance 33 le canal à monnaie 89 est partagé en deux canaux dont le premier, 90, conduit à un réservoir d'en- caisseent ron représenté au dessin et le second, 91, con- duit à un oriifce de restitution aménagé dans la paroi ex- téri.eure de l'appareil, pas représenté non plus.
A la bifurcation du canal 89, en deux canaux 90, 91, se Trouve un clapet 92, dont l'axe de pivotage 93 est solidaire d'un levier 94 soumis à l'action'd'un ressort 9b. Ce clapet peut occuper deux positions'extrêmes, soit lr position repré- sentée au dessin en traits plein:;, et dans laquelle il ob- ture le canal d'encaissement 90 et laisse ouvert le canal de restitution 91, soit la position opposée, représentée en traits pointillés en 97 au dessin.
Une came 98, fixée sur l'arbre à cames principal 18, agit par l'intermédiaire au levier de renvoi 99 sur la goupille 100 du levier 94 et à la lin de -La rotation de l'arbre à cames 18 ramène le clapet dans la position figu- rée en 92, en sorte qu'en position d'attente de l'appareil et pendant toutes les opérations de contrôle il occupe toujours cette position.
'un levier de lipération 101, pivotent autour de son axe 102 est sollicité par un ressort 103 qui tend à ap- pliquer constamment la goupilla 104 contre une came 105 solidaire de l'arbre à cames 18. Dans la position d'atten- te de l'appareil, la goupille 104 repose sur la périphérie circulaire de la came 105, mais à le lin des opérations de contrôle, peu après qu'est libéré le iléau de la balance 33,
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l'encoche de la came 105 se présente devant la goupille 104. A ce moment, le ressort 103 tend à raire pivoter le levier de libération 101.
Ce dernier est constitué en forme d'un T renversé et comporte, au bout de l'une des branches du '1 une goupille 106 qui coopère avec le -caquet 53 et au bout de l'autre Dranche une pointe 107 qui coo- père avec le levier contrôleur de poids 80.
Pour que le levier de libération 101 puisse pivoter à fond de course sous l'effet du'ressort 103 et la goupille 104 s'engager jusqu'au fond de l'encoche de la came 105, il faut que sciant simultanément remplies les deux conditions suivantes: 1) que le doigt 54 se trouve à gauche de la rampe 65 du le- vier tâteur 58 comme représenté en plan à le iig.6a; 2) que le levier contrôleur de poids 80 puisse lui-même pi- voter à lond de course c'est-à-dire que la goupille 79 puisse s'engager ctans la fente 78 du disque 74. Si la première condition est remplie, c'est-à-dire si la pièce de monnaie introduite a simultanément un diamètre et une épaisseur conformes aux normes prescrites, le goupille 106 peut s'abaisser sans être gênée par le taquet 53, comme re- présenté en élévation à lE lig. 6b.
Si, au contraire, la première condition n'est pas remplie, la position relative de la rampe et du doigt correspond à celle de la lige 8a et, comme indiqué en fig.8b, le taquet 53 se trouve sous la gou- pille 106 et empêche le levier de libération 101 de pivoter à Iond de course. Pour que la deuxième condition.. soit remplie, il faut que, pendant la libération de le balance 33, le iléau reste en psoition horizontale, sens monter ni descendre, il faut donc que la pièce soit coniorme aux normes
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prescrites sous le rapport du po:-ds et des propriétés magnétiques.
En définitive, le levier de libération 101 ne peut pivoter à fond de course que si la pièce de mon- naie introduite possède l'épaisseur, le poids et les pro- priétés magnétiques qui, d'après les normes prescrites, correspondent à son diamètre.
Le pivotement à fond de course du levier de li- bération 101 entraîne le pivotement dans le mêr,e sers du cliquet 96 qui lâche le levier 94. Celui-ci, obéissant au ressort 95, pivote à" son tour et lait passer le clapet 92 de la position figurée en traits pleins à la position 97 en pointillé, dans laquelle il, ferme le canal de resti- tution 91 et ouvre le canal d'encaissement 90.
Sur le levier de libération 101 prend appui le levier 26 qui constitue un encliquetage d'arrêt pour l'ar- bre d'entraînement 24. Le pivotement du levier de libéra- tion 101 à fond de course détermine également le pivotement du levier 26 qui libère l'arbre d'entraînement 24. Celui- ci, placé sous l'efiet du couple moteur du ressort de ba- riliet 23 par l'intermédiaire du train difrérentiel 25, se met à tourner dans le sens de la rlèche et effectue un tour complet à une vitesse maintenue sensiblement constante par le frein à ailettes 107. En regard de chacun des bras 41 des leviers de calibrage 35, 36, est fixé sur l'arbre d'en- traînement 24 un pignon menant 108, présentait à sa péri- phérie une partie non dentée et une partie dentée.
Celle- ci comporte un nombre de dets proportionnel à la valeur monétaire de la pièce de monnaie correspondant au levier de calibrage qui est en regard (dans l'exemple présenté', les quatre pignons 108 comportent respectivement 10, 2, 1
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et b dents, et correspondant à des pièces de Fr. 1.-, 20, 10 et bO cts). Sur un arbre de commande 109, paral- -lèle à l'arbre d'ertrainement 24 se trouvent autant de pignons menés 110 qu'il y a de pignons menants 108, dis- posés respectivement dans les mêmes plans qu'eux. Les pignons menés 110 ont une denture régulière sur toute leur périphérie et engrènent en permanence avec des pignons de renvoi 111 pivotés librement à. l'extrémité des bras 41 solidaires des leviers calibreurs 35, 36.
En position d'attente de l'appareil, les pignons de renvoi 111 sont maintenus à une distance aes pignons 108 excluant tout engrènement, et ces derniers présentent leur partie non dentée en regard des pignons de renvoi. Lorsque, après insertion d'une pièce de monnaie dans le sas à monnaie, le levier calibreur correspondant pivote sur son axe et prend la position indiquée en traits mixtes à la fig.2, le pignon de renvoi 111 de ce levier calibreur s'abaisse et vient en prise avec le pignon menant qui lui est essocié;
si, par la suite, la pièce subir avec succès toutes les o- pérations de contrôle, l'arbre d'entrainement 24 effectue un four complet et le pignon de renvoi 111 fait avancer le pignon mené correspondant 110 d'un nombre de dents égal à celui que comporte le pignon menant 108 avec lequel il est en prise. L'arbre de commande 109 tourne d'un angle propor- tionnel à la valeur monétaire de la pièce insérée et comman- de à son 'cour un mécanisme non représenté de l'appareil à paiement' préalable.
L'axe 112 du barillet 23 porte une roue à rochet 113 dans laquelle s'engagent un cliquet de retenue 115 et un cliquet de remontage 116. Ce dernier est monté sur un
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levier de remontage 117 qui est animé d'un mouvement de va et vient à chaque manipulation de l'appareil à paie- ment préalable, ce qui emmagasine dans le ressort de barillet 23 l'énergie nécessaire à l'acoomplissement de 'coûtes les opérations de contrôle.
Les diverses canes fixées sur les arbres à cames 18, 70 et 114 sont disposées de telle façon que la succes- sion chronologique des opérations de contrôle et d'avance- ment de la pièce de monnaie soit la suivante .
1) Après introduction d'une pièce de monnaie dans le sas à monnaie et chute du. coulisseau obturateur 5 dans la position d'obturation, le levier de verrouillage 19 se déplace dans le sens de ia ilèche, verrouille le coulis- seau obturateur 5, et l'encliquetage 27 libère l'axe 18 pour un tour complet, à vitesse sensiblement constante.
2) Les cames 39 libèrent Tous les leviers cali- breurs 35, 36 dont l'un peut pivoter à fond de course si la pièce a un diamètre conforme aux normes prescrites. En pi- votant, la tête 48 du levier calioreur correspondant à la pièce entraîne les deux étriers 46 et bb et leur impose une position correspondant, pour le premier à l'épaisseur que doit avoir la pièce du diamètre calipré, et pour le second au poids qu'elle doit avoir pour être coniorme aux normes prescrites. En même temps, le pignon de renvoi 111 du dit levier calibreur se met en prise avec le pignon menant 108 correspondant.
3) La came 68 libère le levier tâteur 58 qui contrôle l'épaisseur de la pièce et permet la libération du doigt 54 et du taquet 53 dans une position définie par la
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i'ig.5 si la pièce a une épaisseur qui correspond d'après les normes au diamètre précédèrent contrôlé.
4) La came 68 ramène le levier têteur 58 dans la position d'attente.
5) La came 17 libère le levier 16 du rond mobile 12 qui bascule, ouvre le sas à monnaie vers le bas et lais- se tomber la pièce dans le réceptacle 32 de la balance 33.
Le coulisseau calibreur 10 reste en position relevée 22, retenu par le doigt de calibrage 37 qui est engagé dans l'un des trous 42, 43. Le coulisseau obturateur b reste ver - rouillé par le levier 19 en position d'opturation-
6) La came 77 libère le iléau de la balance b3, qui prend une position d'équilibre dépendant du poids et des propriétés magnétiques de la pièce qui est en 85. Si la pièce est normale, le fléau ne se déplace pas et la len- te 78 reste au-dessous de la goupille 79.
7) La came 105 libère pour un instant le levier de libération 101. Si la pièce est conforme en tous peints eux normes prescrites, le levier de libération peut pivoter à fond de course sous l'effet de son ressort 103. L'encli- quetage 26 libère pour un tour complet l'arbre d'entraîne- ment 24 qui, en tournant, entraîne l'arbre de commande 109 par l'intermédiaire du pignon de renvoi 111 qui est en prise, d'un angle proportionnel à la valeur de la pièce introduite.
En même temps, le cliquet 96 libère le levier 94 qui sous l'effet du ressort 95 fait pivoter le clapet 92 dans la position 97, ouvrant le canal d'encaissement 90.
8) La came 105 ramène le levier de libération 101 dans la position d'attente, et l'encliquetage 26 arrête le mouvement de rotation de l'arbre de commande 24 après un tour. complet.'
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9) La came 77 fait basculer complètement la balance 35 et la pièce 120 s'échappe du réceptacle 32 pour rouler dans le canal à monnaie 89 et ae là dans l'un des canaux .90 ou 91 suivant la position au clapet 92. Si elle a précédemment subi avec succès toutes les opérations de contrôle, le levier de libération 101 a pu pivoter à fond de course et elle est dirigée vers le réservoir d'encais- sement par le canal 90.
10) La came 77 ramène la balance dans la posi- tion d'attente (position horizontale).
Il) La-case 17 repousse le levier 16, ce qui détermine le retour du fond mobile en position d'attente (sas à monnaie fermé vers le bas).
12) Les cases 39 relèvent les bras 41 des le- viers de calibrage 35, 36 qui reviennent en position d'at- tente. Le doigt de calibrage 37 qui avait précédemment pénétré dans l'un des trous 42, 43 du coulisseau calibreur 10 se retire et laisse retomber ce dernier en position d'at tente. En descendant, le doigt 11 du coulisseau calioreur agit sur la rampe inclinée du levier de verrouillage 19 et le repousse en position de non verrouillage du coulisseau obturateur 5. En même temps, le levier de verrouillage 19 ramène l'encliquetage 27 en position d'arrêt de la goupille 28.
Le retour des leviers de calibrage 3b, 36 en position d'attente provoque en outre le dégrènement du pignon de renvoi 111 qui était précédemment en prise evec le pignon menant 108 correspondant, et le retour en position d'atten- te des étriers 46 et ob.
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13) La cane 98 fait pivoter le levier 99, ce qui détermine le retour du clapet 92 dans la position d'obturation du car-81 d'encaissement.
14) Arrêt des arbres à cernes 18, 70 et 114 par l'encliquetage 27.
Si le diamètre de -La pièce introduite ne corres- pond à aucun diamètre normal prévu pour l'appareil, aucun des doigts de calibrage ne peut pénétrer dans les trous 42, 43, du coulisseau calibreur 10, aucun levier calibreur ne peut pivoter, aucun pignon die renvoi 111 n'établit la liaison entre l'arbre d'entraînement 24 et l'arbre de com- mande 109 et ce dernier ne peut tourner-
Si la pièce introduite a un diamètre normal, meis ne correspond pas aux normes prescrites sous le rap- port de l'épaisseur, du poids ou des propriétés magnéti- ques, le levier de libération 101 ne peut pivoter à fond de course, empêché soit par le taquet 53,
soit par le levier contrôleur de poids 80. Le levier de libération
101 ne pivotant pas, l'encliquetage 26 ne libère pas l'arbre d'entraînement 24 qui reste immobile et le cliquet 96 ne libère pas.le levier 94. Le clapet 92 reste dans la position d'obturation du canal d'encaissement 90 et la pièce est dirigée par le canal 91 vers l'orifice de resti- tution. La pièce.de monnaie non conforme eux normes pres- crites est restituée à l'usager sans avoir provoqué l'a- vancement de l'arbre de commande 109.