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INSTRUMENT POUR TRACER DES HACHURES EQUIDISTANTES.
La présente invention a pour objet un instrument de des- sin au moyen duquel,(avec le concours d'une règle plate et d'une équerre ordinaires) il est possible de hachurer une figure de façon rapide et exacte.
Cette invention est représentée à titre d'exemple par les dessins ci-annexés, dans lesquelsg
Fig.1 montre la projection, sur un plan horizontal,d'une main (gauche) tenant une règle plate et une équerre ( ou tenant deux équerres) auxquelles sont fixées respectivement les deux parties dont se compose l'instrument, l'autre main (non repré- sentée) étant censée tenir le tire ligne etc. servant à tracer les hachures.
Fig. 2 est une coupe verticale de la partie de l'instru- ment qui est fixée à l'équerre de droite, c'est à dire à l'équer-
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re dont un des côtés sert de règle à déplacements parallèles de va- leurs égales entre elles et égales à l'écartement voulu pour les hachures.
Figure 3 et Figure 4 donnent deux vues analogues, respective- ment en projection sur un plan horizontal et en coupe verticale, mais se rapportant à une a.utre modalité d'exécution du dit instru- ment.
Etant donnée une surface à recouvrir par des hachures h il suffirait évidemment, pour un dessinateur se contentant de hachures plus ou moins parallèles, de faire descendre une équerre E le long d'une règle plate R ou bien le long d'une autre équerre en l'arrê- tant chaque fois pour tracer une ligne de hachure à peu près pa- rallèle à la précédente. Or, cette méthode, outre qu'elle ne réali- se pas un parallèlisme rigoureux pour les hachures, exige un certain laps de temps du dessinateur qui au jugé doit chercher à descendre toujours son équerre d'une même quantité.
Par contre, en recourant à l'instrument ici décrit et présenté, le dessinateur n'aura plus ce temps d'hésitation et, bien que manoeuvrant avec rapidité il obtiendra le parallélisme des hachures qui est nécessaire pour ne point gâter l'aspect de son dessin,
La partie de l'instrument qui se fixe à la règle R affecte la forme d'un triangle isocèle T ou plutôt d'une des pointes qu'une équerre non massive et dont les angles aigus valent respective- ment 30 et 60 degrés, présente à celui de ses deux angles aigus qui a 60 degrés d'amplitude; les deux petites branches b et b' de cette pointe d'équerre qui est préférablement métallique,, portent, à leur face supérieure, chacune une graduation;
l'on peut avoir, par exemple, d'un côté une graduation en millimètres, de l'autre, en mesures anglaises(pouceset fractions de pouces) les degrès de la branche b étant d'écartement différent de ceux de la branche b' afin qu'il soit possible au dessinateur de tracer des hachures à l'écartement de son choix. A leur face inférieure, ces branches sont hérissées de pointes (également métalliques de préférence) par les- quelles on les plante dans la règle R pour y fixer cette partie @
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de l'instrument.
L'autre partie de l'instrument désignée par F et fixable à l'équerre E grâce aux pointes dont sa face inférieure est égale- mènt hérissée, est une plaquette ( préférablement métallique) ter- minée par une pointe p); les côtés de l'angle formé par cette poin- te p étant parallèles aux côtés des branches de la partie T de l'instrument, en sorte qu'il est bien facile, pour le dessinateur, d'avoir toujours entre les deux parties de l'instrument un inter- valle i à côtés parallèles. C'est la largeur de cet intervalle 1 qui détermine@@ l'écartement constant des hachures.
Et le tracé de celles-ci, opéré, par exemple, au moyen d'un rire=lignes le long de l'arête de l'équerre, se fera une ligne après l'autre mais sans hésitation aucune; car, tenant par une partie de sa main gauche la règle R, par les autres doigts de cette main l'équerre E, il n'au- ra descendre cette équerre et cette règle plte ou bien l'autre équerre d'une quantité qui, indépendamment de son attention, sera toujours égale à 1'intervalle ± Il va sans dire que l'opérateur peut choisir, comme valeur de ce derniers soit une, deux ou plusieurs des divisions de la branche b, soit une, deux ou plusieurs des di- visions de la branche b'.
Dès qu'il aura fait choix de cet écarte- ment voulu pour les hachures, il empêchera les pièces de bouger après mise au point en fixant la partie F de l'instrument préala- blement introduite, tantôt un peu plus, tantôt un peu moins profon- dément dans l'angle formé par les branches b et b'. Cette partie F ou plaquette métallique à pointe épousant les côtés de l'angle pré- cité, a sa face inférieure évidée d'une gorge longitudinale dans laquelle peut voyager un curseur c; ce dernier a sa face inférieu- re hérissée de pointes pour permettre de l'immobiliser, sit3t cet écartement choisis dans la position correspondante sur l'équerre E; c'est au moyen d'une vis de pression v que l'on assure cette fixa- tion grâce à laquelle l'écartement des hachures ne varie pas.
Etant donné que les côtés d'angles de ces deux parties de l'ins trument sont des côtés de triangle isocèle, l'angle de la partie femelle T ( et par conséquent aussi celui de la partie mâle fixée
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à l'équerre F. Il suffit de placer les pointes de ces côtés de la partie T au bord de la règle plate, puis de presser pour enfoncer ces pointes dans cette dernière, ce qui fixera l'angle femelle.
Cela fait, on introduira dans celui-ci l'angle mâle bien à fond, puis, on pressera également pour enfoncer ses pointes dans l'équerre et on fi- xera le support de cet angle mâle dans l'équerre.(donc, dans le pre- mà.er exemple, la plaquette à pointe, et, dans le second exemple, la gâche-support)/ De cette façon,toute simple, on est assuré d'avoir le parallélisme absolu entre les côtés de l'angle femelle et ceux de l'angle mâle, et le déplacement est exactement contrôlable.
La mise au point est aisée et rapide. Supposons qu'il s'agisse d'avoir 3 millimètres d'écartement pour les hachures; il suffira de placer la pointe de l'angle mâle sur la division 3m/m de l'échelle de l'angle femelle, puis d'immobiliser les pièces et l'on pourra direc- tement tracer les hachures. S'il s'agit, par exemple, de tirer des parallèles équidistantes à tout un pouce d'écartement, on placera l pointe à la division un demi-pouce la branche de l'angle n'étant pasassez longue pour tout un pouce) puis d'immobiliser les pièces,et de faire chaque fois deux déplacements de le partie mâle avant de tracer les parallèles.
On saisira immédiatement l'avantage ainsi offert par le nouvel appareil. Suivant un autre mode réalisateur de l'objet de cette in- vention, représenté à titre d'exemple par la fig. 3, bien que le prin- cipe inventif soit resté le même que pour les figures 1 et 2, on s'est dispensé du curseur c du premier mode d'exécution ainsi que des échel- les graduées des branches de la partie T conformée en pointe d'équer- re; ici, c'est la pa rtie mâle, non plus la partie femelle de l'ins- trument qui porte les graduations correspondant aux intervalles en- tre hachures( ou à une fraction de ces intervalles).
Cette partie est exécutée sous forme de couliseau C que l'on peut faire voyager dans une gâche g lui servant de support et de coulisse qui, dès qu'on a a.rrêté l'écartement voulu pour les hachures, est fixée par des pointes p'à l'équerre E dont l'arrête a sert au tracé des hachures; l'im- mobilisation assurant le parallélisme des hachures est comme dans le premier exemple effectuée au moyen d'une vis de pression v dès' qu'on
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INSTRUMENT FOR TRACING EQUIDISTANT HATCHES.
The object of the present invention is a drawing instrument by means of which (with the aid of an ordinary flat ruler and square) it is possible to hatch a figure quickly and accurately.
This invention is shown by way of example by the accompanying drawings, in which
Fig. 1 shows the projection, on a horizontal plane, of a hand (left) holding a flat rule and a square (or holding two squares) to which are respectively fixed the two parts of which the instrument is composed, the other hand (not shown) being supposed to hold the puller etc. used to trace the hatching.
Fig. 2 is a vertical section of the part of the instrument which is fixed to the right-hand square, that is to say to the right-hand square.
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re, one of the sides of which serves as a rule with parallel displacements of equal values between them and equal to the spacing desired for the hatching.
Figure 3 and Figure 4 give two similar views, respectively in projection on a horizontal plane and in vertical section, but relating to another embodiment of the said instrument.
Given a surface to be covered by hatching h it would obviously suffice, for a designer contenting himself with more or less parallel hatching, to lower a square E along a flat rule R or else along another square in stopping it each time to draw a hatch line roughly parallel to the previous one. However, this method, in addition to not achieving a rigorous parallelism for the hatching, requires a certain period of time from the designer who at judgment must always try to lower his square by the same amount.
On the other hand, by having recourse to the instrument described and presented here, the designer will no longer have this hesitation time and, although maneuvering quickly, he will obtain the parallelism of the hatching which is necessary in order not to spoil the appearance of his sound. drawing,
The part of the instrument which attaches to the rule R takes the form of an isosceles triangle T or rather of one of the points than a non-massive square and whose acute angles are respectively 30 and 60 degrees, present to that of its two acute angles which has 60 degrees of amplitude; the two small branches b and b 'of this square point which is preferably metallic ,, each have a graduation on their upper face;
one can have, for example, on one side a graduation in millimeters, on the other, in English measures (inches and fractions of inches) the degrees of the branch b being of different spacing from those of the branch b ' so that it is possible for the designer to draw hatching at the spacing of his choice. On their underside, these branches are bristling with spikes (preferably also metallic) by which they are planted in the rule R to fix this part @
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of the instrument.
The other part of the instrument designated by F and which can be fixed to the square E thanks to the points whose lower face is also bristling, is a plate (preferably metallic) terminated by a point p); the sides of the angle formed by this point p being parallel to the sides of the branches of part T of the instrument, so that it is very easy for the draftsman to always have between the two parts of the instrument an interval i with parallel sides. It is the width of this gap 1 which determines the constant spacing of the hatches.
And the tracing of these, operated, for example, by means of a laugh = lines along the ridge of the square, will be made one line after another but without any hesitation; for, holding the ruler R by a part of his left hand, and the other fingers of this hand the square E, he will not have to lower this square and this full ruler or the other square by a quantity which , regardless of his attention, will always be equal to the interval ± It goes without saying that the operator can choose, as the value of the latter either one, two or more of the divisions of the branch b, or one, two or more of the divisions of branch b '.
As soon as he has chosen this desired distance for the hatching, he will prevent the parts from moving after focusing by fixing the part F of the instrument previously introduced, sometimes a little more, sometimes a little less. deep in the angle formed by branches b and b '. This part F or metal plate with a point conforming to the sides of the aforementioned angle, has its underside hollowed out by a longitudinal groove in which a cursor c can travel; the latter has its lower face bristling with spikes to enable it to be immobilized, sit3t this spacing chosen in the corresponding position on the bracket E; it is by means of a pressure screw v that this fixing is ensured, thanks to which the spacing of the hatches does not vary.
Since the corner sides of these two parts of the instrument are isosceles triangle sides, the angle of the female part T (and therefore also that of the fixed male part
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to the square F. It suffices to place the points of these sides of the part T at the edge of the flat rule, then to press to insert these points in the latter, which will fix the female angle.
This done, we will introduce the male angle fully into this one, then, we will also press to insert its points in the square and we will fix the support of this male angle in the square. (Therefore, in the first example, the tip plate, and, in the second example, the strike-support) / In this very simple way, we are sure to have absolute parallelism between the sides of the female angle and those of the male angle, and the displacement is exactly controllable.
Focusing is easy and fast. Suppose it is about having 3 millimeters of spacing for the hatches; it will suffice to place the point of the male angle on the 3m / m division of the scale of the female angle, then to immobilize the pieces and we can directly trace the hatching. If, for example, it is a question of drawing equidistant parallels a whole inch apart, we will place the point at the division half an inch, the branch of the angle not being long enough for a whole inch) then to immobilize the parts, and to make two displacements of the male part each time before drawing the parallels.
We will immediately understand the advantage offered by the new device. According to another embodiment of the object of this invention, represented by way of example in FIG. 3, although the inventive principle has remained the same as for FIGS. 1 and 2, the cursor c of the first embodiment has been dispensed with, as well as the graduated scales of the branches of the part T shaped as square point; here, it is the male part, no longer the female part of the instrument which bears the graduations corresponding to the intervals between hatching (or to a fraction of these intervals).
This part is made in the form of a slide C which can be made to travel in a keeper g serving as a support and a slide which, as soon as the desired distance for the hatching has been set, is fixed by spikes p 'at the square E, the edge of which is used for the layout of the hatching; the immobilization ensuring the parallelism of the hatching is as in the first example carried out by means of a pressure screw v as soon as we
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