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APPAREIL DESTINE A AUGMENTER LE RENDEMENT DES RECHAUDS DIVERS
ET NOTAMMENT A GAZ.
L'invention ci-dessous décrite concerne les appareils de chauffage destinés généralement à faire la cuisine, dénommés sous le nom général de réchauds et utilisant un combustible liquide ou gazeux, et principalement le gaz de ville. Elle s'étend également aux réchauds électriques.
Dans tous les modèles connus, il se produit par la par- tie inférieure une perte de calories du fait que le foyer n' est pas clos,
En effet, 1 ) les déplacements d'air dans le voisinage entrainent de la chaleur et, 2 ) le rayonnement comme la ré- flexion dûs à l'ustensile à chauffer et au brûleur dispersent encore une partie de la chaleur disponible.
Le but de l'appareil présenté est de remédier, en partie tout au moins, à ces inconvénients, en fermant la partie in- férieure des réchauds, jusqu'ici objet de nul souci, à l'aide d'une sorte de carter, amovible ou non, de forme appropriée, assurant une combustion rationnelle et s'opposant dans une large méeure aux déperditions de chaleur par la partie infé- rieure des réchauds. Ce carter pourra être en métal, en pro- .duits céramiques, ou en tout autre matière. Il pourra être
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ou non brillant intérieurement, calorifugé ou non extérieu- rement. Le choix de ces qualités, celui de la nature et de la forme de l'appareil étant déterminé dans chaque cas par- ticulier.
L'invention pourra être aisément comprise à l'aide de la description qui suit, ainsi que des dessins annexés, lesquels description et dessins sont donnés, bien entendu, surtout dans le but de préciser les principes mis en jeu.
Liste des dessins : les dessins sont réunis sur une seule feuille; ils comprennent cinq figures :
Fig. I- Schéma de l'appareil et de son utilisation.
Fi g. 2 -
Fig. 3 - Différents aspects possibles de l'appareil.
Fi g. 4 - ,
Fig. 5 - Coupe montrant un réchaud ordinaire à gaz perfec- tionné à l'aide de l'appareil inventé.
L'invention réside dans la pièce A. représentée Fig. 1 et disposée par rapport à l'ustensile à chauffer U et à la flam- me F. comme l'indique cette figure. C'est une pièce creuse, en forme de bol, munie d'un ajutage ou buse d'air b, débou- chant au voisinage de la flamme, placée ici, au fond de la pièce. L'admission de l'air pourrait aussi se faire sur la périphérie de la pièce A.
Le bord supérieur de la pièce A. ne vient pas en contact avec le fond de l'ustensile U. Il laisse un intervalle i . de quelques millimètres.
Ainsi donc l'avantage du perfectionnement apparait immédia- tement : l'air servant à la combustion entre par la buse b. selon la flèche fI et vient alimenter le brûleur donnant la flamme F., qui n'appellera que la quantité d'air qui lui est strictement nécessaire. Les gaz chauds, produits de la combus- tion, s'échappent selon les flèches f2, après avoir été plus ou moins brassés à l'intérieur de la pièce A., et ils s'échap- pent le long de l'ustensile U., contribuant ainsi à le chauf- fer. Une combustion rationnelle est de cette façon organisée.
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D'autre part, par sa nature (produit céramique ou réfrac- taire) ou par sa surface intérieure brillante (métal) ou en- core par ces deux qualités réunies (métal calorifugé extérieu- rement, produit céramique verni intérieurement, ou combinaison analogue) la pièce A. limite le rayonnement et la réflexion calorique et par suite provoque une augmentation de tempéra- ture sous l'ustensile U.
Enfin en raison de sa position par rapport à la flamme, la pièce A. s'oppose en partie à l'entrainement de la chaleur par les déplacements d'air se faisant dans le voisinage du réchaud.
Il est bien entendu que la surface de la pièce A. sera adap- tée au modèle de réchaud à perfectionner, dans sa forme et dans ses proportions, et qu'elle pourra par exemple, avoir les formes représentées Fig. 2 et fig. 3, ces représentations n' étant nullement limitatives; que de plus ces surfaces pourront être engendrées par des arcs de parabole, de cercle, de sinu- soide ou de tout autre courbe tournant autour de leur axe leur donnant une forme analogue à celle qu'indique la figure 2; ou âtre réalisées par des portions de cylindres à directrices quelconques, se recoupant, comme l'indique la figure 3; sans que ces indications aient un caractère limitatif.
La figure 4. donne encore une autre forme de la plèce A.
Il est bien entendu encore, que la buse d'air b. pourra va- rier dans sa forme, ses proportions et sa position en vue de son adaptation la plus parfaite à un modèle déterminé de ré- chaud; et enfin que l'intervalle i. est également à fixer pour chaque type de réchaud.
La figure 5. représente l'adaptation de l'invention à un réchaud à gaz ordinaire rond.
On voit en R. le corps du réchaud, en B. son brûleur en forme d'anneau donnant une flamme F., en C. le tube d'arrivée de gaz avec son ouverture en o., en Do les supports rayonnants recevant l'ustensile U. à chauffer, et enfin en A. la pièce décrite ci-dessus, fixée d'une façon amovible ou non au corps du réchaud en XX., en b. sa buse d'air débouchant au voisi-
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nage de la flamme.
Le brûleur B. est fixé en Y. et en z. à la pièce A. laquel- le est percée en Y., le tube C. étant ajusté ou vissé en Y. dans le tube d'alimentation du brûleur.
On voit qu'on se trouve exactement dans les conditions re- présentées schématiquement par la figure I.
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APPLIANCE INTENDED TO INCREASE THE YIELD OF VARIOUS STOVES
AND IN PARTICULAR GAS.
The invention described below relates to heating appliances generally intended for cooking, referred to under the general name of stoves and using a liquid or gaseous fuel, and mainly town gas. It also extends to electric stoves.
In all the known models, there is a loss of calories in the lower part because the hearth is not closed,
In fact, 1) the movements of air in the vicinity cause heat and, 2) the radiation as the reflection due to the utensil to be heated and to the burner still disperse part of the available heat.
The object of the apparatus presented is to remedy, at least in part, these drawbacks by closing the lower part of the stoves, which had hitherto been the object of no concern, using a sort of casing, removable or not, of appropriate shape, ensuring rational combustion and largely preventing heat loss from the lower part of the stoves. This casing can be made of metal, ceramic products, or any other material. It could be
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or not internally shiny, heat-insulated or not externally. The choice of these qualities, that of the nature and the form of the apparatus being determined in each particular case.
The invention can be easily understood with the aid of the following description, as well as of the appended drawings, which description and drawings are given, of course, above all for the purpose of specifying the principles involved.
List of drawings: the drawings are gathered on one sheet; they include five figures:
Fig. I- Diagram of the device and its use.
Fi g. 2 -
Fig. 3 - Different possible aspects of the device.
Fi g. 4 -,
Fig. 5 - Section showing an ordinary gas stove perfected using the invented apparatus.
The invention resides in part A. shown in FIG. 1 and placed relative to the heating utensil U and the flame F. as shown in this figure. It is a hollow part, in the shape of a bowl, provided with a nozzle or air nozzle b, emerging in the vicinity of the flame, placed here, at the back of the part. The air intake could also be on the periphery of room A.
The upper edge of the part A. does not come into contact with the bottom of the utensil U. It leaves an interval i. a few millimeters.
Thus, the advantage of the improvement appears immediately: the air used for combustion enters through the nozzle b. according to the arrow fI and comes to feed the burner giving the flame F., which will call only the quantity of air which is strictly necessary for it. The hot gases, products of combustion, escape according to arrows f2, after having been more or less stirred inside room A., and they escape along the utensil U ., thus contributing to the heating. Rational combustion is in this way organized.
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On the other hand, by its nature (ceramic or refractory product) or by its shiny interior surface (metal) or even by these two qualities combined (externally heat-insulated metal, internally varnished ceramic product, or a similar combination) part A. limits radiation and caloric reflection and therefore causes an increase in temperature under utensil U.
Finally, because of its position relative to the flame, part A. is partially opposed to the entrainment of heat by the air displacements taking place in the vicinity of the stove.
It is understood that the surface of part A. will be adapted to the stove model to be perfected, in its shape and in its proportions, and that it may, for example, have the shapes shown in FIG. 2 and fig. 3, these representations are in no way limiting; that, moreover, these surfaces could be generated by arcs of a parabola, of a circle, of a sinusoid or of any other curve rotating around their axis giving them a shape similar to that shown in FIG. 2; or hearth produced by portions of any guide cylinders, overlapping, as shown in Figure 3; without these indications being of a limiting nature.
Figure 4 gives yet another form of plecia A.
It is also of course understood that the air nozzle b. may vary in its shape, proportions and position with a view to its most perfect adaptation to a determined heating model; and finally that the interval i. is also to be set for each type of stove.
Figure 5 shows the adaptation of the invention to an ordinary round gas stove.
We see in R. the body of the stove, in B. its ring-shaped burner giving a flame F., in C. the gas inlet tube with its opening in o., In C the radiating supports receiving the utensil U. to be heated, and finally in A. the part described above, fixed in a removable manner or not to the body of the stove in XX., in b. its air nozzle leading to the neighbor
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flame swimming.
The burner B. is fixed in Y. and in z. to part A. which is drilled in Y., tube C. being adjusted or screwed in Y. in the burner supply tube.
We see that we are in exactly the conditions shown schematically in Figure I.
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