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" ROUE POUR VOITURES AUTOMOBILES "
Cimme on le sait, on s'efforce à donner un diamètre aussi grand que possible aux bandages; pneumatiques pour les rouss das voitures automobiles, plus spécialement pour celles des ca- mions et lourdas voitures de.charge: cela nécessite, d'une part, une grande largeur et, dtautre part,*'un très petit diamètre de la couronne même de la roue.
Il s'ensuit que le frein ne peut avoir aus,si qu'un petit diamètre et; pour obtenir la grandeur nécessai- re de la surface de freinage, on est obligé de donner au sabot de frein une grande longueur dans le sens de l'axe: de la roue. pour loger ces freins dans la roue, on déporte l'étoile des rayons ou la flasque de la roue à proximité de l'un des borda de la cou- ronne de la roue.
Lorsque les roues sont en aoier coule, ou en fer forgé,
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la partie de la couronna de la roue qui déborde la flasque ou l'étoile de rayons et qui enferme l'espace pour le tambour de frein peut recevoir facilement la solidité nécessaire.
Mais lors- qu'en vue de la diminution du poids, on désire construire les roues en un métal léger, par exemple en électron, simmine, etc.. la partie de la couronne qui déborde ,sans renforcement, la fias*- que ou l'étoile de rayons n'a pas la solidité requise.' pour les roues en métaux légers, on a donc renoncé au support unilatéral de la couronne, en munissant la flasque de dépressions ondulatoi- res vers l'intérieur et vers l'extérieur, dirigées dans le sens radial et s'étendant sur toute la largeur de la couronne,ou bien on a renforcé la partie de la couronne débordant la flasque ou l'étoile de rayons par des nervures qui sont dirigées dans le sens radial vers le moyeu de la roue.
Dans le premier de ces mo- des de construction des roues en métaux légers,11 est absolument impossible de disposer le tambour de frein à l'intérieur de la roue, et ces roues ne peuvent donc être employées que comme roues avant dans les cas très rares où. l'on renonce au frein sur quatre roues. Les nervures de renforcement d'après la seconde forme d'exécution présentent l'inconvénient qu'elles diminuent considérablement l'espace nécessaire pour loger le tambour de frein.
Un point aussi important consiste dans le fait que la cons- truation de ces roues rencontre différentes difficultés qui.coca*' sionnent un pourcentage élevé en corps coulés inutilisables.Dans les corps coulée de tous les métaux légers connus, des accumula- tions de matière. des épaisseurs de paroi inégales et surtout des bavures en forme de nervures ont pour conséquence un refroidisse- ment irrégulier et même des criques très fines qui nuisent oonsi- dérablement à la solidité et occasionnent la rupture de la roue déjà. sous les charges d'essai.
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la présenta invention a pour objet une roue coulée en métaux légers pour voitures automobiles, etc...,qui ne réa- lise pas seulement une plus grande économie de poids que jusqu'à présent, mais qui permet encore d'obtenir le renforcement de la partie de la couronne de la noue qui déborde la flasque ou l'étoi- le de rayons, dans des conditions qui évitent les difficultés de fabrication mentionnées ci-dessus et qui, de plus, rendent dispo- nible,pour la disposition du tambour de frein, tout l'espace en clos par la partie débordante ou saillante de la couronne.
Ces a- vantages sont réalisés conformément à l'invention par le fait que seule la partie de la couronne supportée par la flasque ou létoi- @ le de rayons disposée inulatéralement est de forme cylindrique, tandis que la partie de la couronne qui s'y raccorde et qui dé- borde la flasque ou l'étoile de rayons présente en section norma- lement à l'axe de la roue la forme d'une ligne ondulée close.
Le dessin annexé représente l'invention en un exemple d'exécution,
La fig. 1 représente en vue de côté la nouvelle roue de voiture automobile.
Les fige. 2, 3 et 4 sont respectivement des coupes sui vant les lignes, 1 - I, II- II et III - III de la fig.l.
Ainsi que le montrent les figs. 2 et 3 la couronne de pas la roue n'est/supportée sur toute sa largeur par la flasque, mais seulement sur-un peu moins de la moitié de su largeur, de sorte que la partie tournée vers lemilieu de la voiture fait saillie sur la flasque. La flasque b même est pourvue, de manière connue, de dépressions ondulatoires bl (fig.4) dirigées dans le sens ra- dial.
La partie a1 de la oouronne, à laquelle se raccorde la flas que b qui la renforce solidement, a la forme circulaire ou cylin- drique ordinaire, La partie débordante ou saillante a de la cou-
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ronne, qui a à supporter à la façon d'une poutre en porte-à-faux les charges qui s'exercent sur elle, nest pas de forme circulai** re ou cylindrique, mais présente en section normalement à l'axe de la roue la forme d'une ligne ondulatoire, c'est-à-dire qu'elle est pourvue de dépressions vers l'intérieur et vers l'extérieur, de forme ondulatoire, et dirigées dans le sens axial. L'épaisseur- de paroi de cette partie est aussi égale @@ partout.
Ces dépres- sions a de la ligne ondulatoire formée par la partie a de la cou- ronne de la roue sont très plates ,comme le montre la fig.1, et leur profondeur t (figs. 2 et 3) est approximativement égale à l'épaisseur de la couronne ou n'est pas sensiblement plus grande.
A l'endroit du raccordement entre les parties a et a1 de la cou- ronne, les extrémités des dépressions ondulatoires o sont reliées entre elles ¯par la partie de paroi oblique d, et, de même, les extrémités extérieures des dépressions a sont reliées entre elles par la bride f sur laquelle s'appuie la jante auxiliaire amovi- ble g,
En raison de la conformation de la partie a de la couronne débordant la flasque b ou l'étoile de rayons, toutes ao- aumulations de matière, nervures et arêtes pouvant avoir pour con- séquence des ratés de coulée sint évitées. Les dépressions ondula- toires a renforcent la partie a de la couronne à un degré tel que la solidité de la roue se trouve augmentée d'un multi- ple.
Le pouvoir de flexion augmente avec le carré de la hauteur d'une poutre et cette hauteur qui, dans les couronnes de roues ordinairement circulaires, est égale à leur épaisseur, est aug- mentée de la profondeur t des dépressions ondulatoires a, 'En ou- tre, les dépressions o transmettent à la façon de voûtes partiel- les le poids de la voiture ainsi que les chargea en marche qui s'exercent sur elles à toute la couronne de la roue et aux par-
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ties d et ! en forme de brides de la couronne. Pour la disposa tion du tambour de frein, la moitié au moins de la largeur de la roue est disponible, et, d'autre part, le poids total de la roue est considérablement inférieur à celui des roues d'automobiles
Gommes coulées en métaux légers.
L'invention prooure un avantage spécial pour les roues d'automobiles comportant sur la couronne une jante auxiliaire amo- vible g h divisée normalement à l'axe de la roue, ainsi que le montrent les fige. 2 et 3. les parties g h de ces jantes auxiliai- res doivent être munies sur leur cote Intérieur de parties en for- me de bridas (fig.2 et 3) à l'aide desquelles eles sont assem- blées et un espace annulaire doit être réservé extérieurement à la couronne pour ces organes. d'assemblage.
Conformément à l'invention, ainsi que le montrent, les figs. a et 3, les parties. de la ligne ondulatoire de la partie a de la couronne qui s'infléchissent vers le milieu de; la roue sont à la même distance du milieu de la roue que la partie cylindrique a1 de la couronne (fig.3) tandis que les parties de la ligne ondu- latoire qui s'infléchissent vers l'extérieur se trouvent à une dis- tanoe du milieu, de la roue qui est plus grande dans une mesure éga- le à la profondeur t des ondulations (fig.2).iol reste donc sur la @ face extérieure de la partie a1 de la couronne, qui est supportée par la flasque de la roue,'on espace libre pour les parties d'as- semblage des moitiés g,
h de la jante, tandis qu'à l'intérieur de la partie a en dporte-à-faux de la couronne, il est réservé pour la disposition du tambour de frein un espace dont le diamètre est égal au diamètre intérieur complet de- la partie cylindrique a1 de la couronne,
Dans 11 exemple d'exécution représenté au dessin, la partie h de la jante est divisée radialement de sorte que son dia-
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mètre peut être augmente ou diminué. par la diminution du diamètre de la partie h de la jante, cette partie peut être dégagée de la partie g.La partie h sappuie sur une bague i qui est maintenue dans sa/postion par une bague de serrage j,.
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"WHEEL FOR MOTOR VEHICLES"
As we know, efforts are made to give the bandages as large a diameter as possible; tires for motor cars, more especially for trucks and heavy load cars: this requires, on the one hand, a great width and, on the other hand, a very small diameter of the crown itself. wheel.
It follows that the brake can only have aus, if only a small diameter and; to obtain the required size of the braking surface, it is necessary to give the brake shoe a great length in the direction of the axis: of the wheel. to accommodate these brakes in the wheel, the star of the spokes or the flange of the wheel is moved close to one of the edges of the crown of the wheel.
When the wheels are cast iron, or wrought iron,
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the part of the crown of the wheel which goes beyond the flange or the spoke star and which encloses the space for the brake drum can easily receive the necessary strength.
But when, with a view to reducing the weight, it is desired to construct the wheels in a light metal, for example in electron, simmine, etc. .. the part of the crown which protrudes, without reinforcement, the fias * - that or the ray star does not have the required strength. ' for wheels made of light metals, the unilateral support of the crown has therefore been dispensed with, by providing the flange with undulating depressions inward and outward, directed in the radial direction and extending over the entire width of the crown, or the part of the crown projecting beyond the flange or the spoke star has been reinforced by ribs which are directed in the radial direction towards the hub of the wheel.
In the first of these methods of constructing light metal wheels, it is absolutely impossible to arrange the brake drum inside the wheel, and these wheels can therefore only be used as front wheels in very severe cases. rare where. we give up the brake on four wheels. The reinforcing ribs according to the second embodiment have the drawback that they considerably reduce the space required to house the brake drum.
Also important is the fact that the construction of these wheels encounters various difficulties which cause a high percentage of unusable cast bodies. In cast bodies of all known light metals, accumulations of material . uneven wall thicknesses and above all ribbed burrs result in uneven cooling and even very fine cracks which seriously impair the strength and cause the wheel to break. under test loads.
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the present invention relates to a wheel cast in light metals for motor cars, etc., which not only achieves a greater saving in weight than hitherto, but which also makes it possible to obtain the reinforcement of the part of the crown of the valley which overflows the flange or the spoke star, under conditions which avoid the manufacturing difficulties mentioned above and which, moreover, make available for the arrangement of the drum brake, the entire space enclosed by the projecting or projecting part of the crown.
These advantages are achieved in accordance with the invention by the fact that only the part of the crown supported by the flange or the spokes arranged inularly is of cylindrical shape, while the part of the crown which is therein. connects and protrudes the flange or the spoke star in section normally to the axis of the wheel in the form of a closed wavy line.
The appended drawing represents the invention in an exemplary embodiment,
Fig. 1 shows a side view of the new motor car wheel.
Freezes them. 2, 3 and 4 are respectively cross sections following the lines, 1 - I, II- II and III - III of fig.l.
As shown in Figs. 2 and 3 the crown of the wheel is not / supported over its entire width by the flange, but only over a little less than half of its width, so that the part facing the middle of the car protrudes over the flask. The flange b itself is provided, in a known manner, with undulatory depressions b1 (fig. 4) directed in the radial direction.
The part a1 of the crown, to which is connected the flange b which reinforces it solidly, has the ordinary circular or cylindrical shape, The projecting or protruding part has the neck.
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ron, which has to withstand the loads exerted on it like a cantilever beam, is not circular or cylindrical in shape, but present in section normally at the axis of the wheel the shape of a wavy line, that is to say that it is provided with depressions inward and outward, of undulating shape, and directed in the axial direction. The wall thickness of this part is also equal everywhere.
These depressions a of the wavy line formed by the part a of the crown of the wheel are very flat, as shown in fig. 1, and their depth t (figs. 2 and 3) is approximately equal to l thickness of the crown or is not significantly greater.
At the point of connection between the parts a and a1 of the crown, the ends of the undulating depressions o are connected to each other ¯ by the oblique wall part d, and, likewise, the outer ends of the depressions a are connected. between them by the flange f on which the removable auxiliary rim g rests,
Due to the conformation of the part a of the crown protruding from the flange b or the star of rays, all aumulations of material, ribs and ridges which may result in casting misfires are avoided. The undulating depressions a strengthen the part a of the ring gear to such an extent that the strength of the wheel is increased by a multiple.
The bending power increases with the square of the height of a beam, and this height, which in the crowns of ordinarily circular wheels is equal to their thickness, is increased by the depth t of the undulating depressions a, 'En or - tre, the depressions o transmit the weight of the car in the manner of partial arches as well as the loads in motion which are exerted on them to the whole crown of the wheel and to the par-
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ties d and! in the form of crown flanges. For the arrangement of the brake drum, at least half of the width of the wheel is available, and, on the other hand, the total weight of the wheel is considerably less than that of automobile wheels.
Gums cast in light metals.
The invention has a special advantage for automobile wheels comprising on the crown a removable auxiliary rim g h divided normally at the axis of the wheel, as shown in the figs. 2 and 3. the gh parts of these auxiliary rims must be provided on their inner side with parts in the form of bridles (fig. 2 and 3) with the help of which they are assembled and an annular space must be reserved externally to the crown for these organs. assembly.
According to the invention, as shown, FIGS. a and 3, the parts. from the wavy line of the part a of the crown which bend towards the middle of; the wheel are at the same distance from the middle of the wheel as the cylindrical part a1 of the crown (fig. 3) while the parts of the wavy line which bend outwards are at a dis- tanoe of the middle, of the wheel which is larger in a measure equal to the depth t of the corrugations (fig. 2) .iol therefore remains on the outer face of the part a1 of the ring gear, which is supported by the flange of the wheel, there is free space for the assembly parts of the halves g,
h of the rim, while inside the cantilevered part a of the crown, a space is reserved for the arrangement of the brake drum, the diameter of which is equal to the complete internal diameter of the cylindrical part a1 of the crown,
In the exemplary embodiment shown in the drawing, part h of the rim is divided radially so that its diameter
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meter can be increased or decreased. by reducing the diameter of part h of the rim, this part can be released from part g. Part h rests on a ring i which is held in its / position by a clamping ring j ,.