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Dans l'emploi des soies à métaux du genre usuel, avec denture épaisse, on éprouve de grandes difficultés à 1'atta que, car il arrive faoilement à la soie de glisser sur la sur- face traitée, A vrai dire, cette attaque est plus facile quand les dents sont plus fines, mais celles-ci n'enlèvent que peu'de ro gnures, et cest pourquoi on emploie de préférence des scies à grosse dentur
Or, cet inconvénient est éliminé par l'emploi de la soie qui constitue l'objet de la présente invention, et se distingue en ce que'la surface de coupe de sa lame comporte plusieurs enfilades de dents à subdivisions différentes;
d'une façon adé quate les différents groupes de dents successifs ont une den- ture de plas en plus grosse dans la direction du sciage
Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, l'objet de cette invention, notamment : Fig.l est une vue latérale d'une lame de soie avec une den- ture graduée d'un seul coté.
Fig.2 est une vue analogue, mais aveo dentures en gradation sur les deux cotés de la lame, @
Dans la lame de soie selon la Fig.1 la tranchant est', armé de trois-dentures de force différente : 2,3 dong les
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dents augmentent de dimensions graduellement dans le sens du sciage, d'où il résulte que, à chaque passe de la scie, on augmente graduellement la largeur du trait de sciage. En l'oc- currence, les dents peuvent être'affûtées ou bien on peut adop- ter platoôn une surface de coupe ondulée.
Dans le mode d'exécution selon la fig.2, les deux champs de soiage de la lame sont armés de dentures, à savoir : cinq groupes 5,6,7,8.9 différents, dont la grosseur de dents aug- mente graduellement. Comme on le voit d'après la figure, ce n'est que peu à peu que l'on passe de la fine denture du pre- mier groupe 5 à la grosse denture du dernier groupe 9, sans cela, les dents de groupes à dentru plus forte étant devant d'autres à denture, moins forte, subiraient un effort trop violent.
En outre, le fait de donner à la lame de soie une denture aux deux cotés, garantit une plus longue période de service avant qu'un aiguisage devienne nécessaire.
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In the use of metal bristles of the usual kind, with thick toothing, one experiences great difficulties in the attack, because it happens easily for the silk to slip on the treated surface, in fact, this attack is easier when the teeth are finer, but these remove only a few grooves, and this is why one preferably uses saws with coarse teeth.
However, this drawback is eliminated by the use of silk which constitutes the object of the present invention, and is distinguished in that the cutting surface of its blade has several rows of teeth with different subdivisions;
suitably the different successive tooth groups have a larger flattening in the direction of sawing
The accompanying drawing shows, by way of example, the object of this invention, in particular: Fig. 1 is a side view of a silk blade with graduated toothing on one side.
Fig. 2 is a similar view, but with teeth in gradation on both sides of the blade, @
In the silk blade according to Fig. 1 the cutting edge is', armed with three teeth of different strength: 2.3 dong les
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The teeth increase in size gradually in the direction of sawing, from which it follows that, with each pass of the saw, the width of the kerf is gradually increased. In this case, the teeth can be sharpened or a corrugated cutting surface can be adopted.
In the embodiment according to fig. 2, the two bristle fields of the blade are reinforced with teeth, namely: five different groups 5,6,7,8.9, the size of which gradually increases. As can be seen from the figure, it is only little by little that one passes from the fine teeth of the first group 5 to the coarse teeth of the last group 9, otherwise the teeth of groups to the stronger being in front of others with less strong teeth, would undergo too violent an effort.
In addition, the fact that the tang blade is toothed on both sides ensures a longer service life before sharpening becomes necessary.