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" Perfectionnements aux dispositifs de remontage des mon- tres, horloges et autres appareils à mouvement d'horlo- garie ".
L'invention se rapporte à des dispositifs de remonta- ge des ressorts utilisés dans les mécanismes à mouvement d'horlogerie soumis à des vibrations, ce qui est le cas, par exemple, des montres montées sur les tabliers ou sur toute autre partie des voitures automobiles ou des montres personnelles telles que les montres-brauelets.
La présente invention a pour objet un mécanisme sim- ple, et sûr au moyen duquel de telles montres peuvent être remontées automatiquement et rester romontées.
Conformément à la présente invention, le mécanisme automatique de remontag- comporte an poids monté de façon à pouvoir osciller sous les effets des vibrations auxquel- les la montre est soumise, par l'intermédiaire d'an dispo- sitif n'agissant que dans un seul sens, le dit poids étant
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relié à l'arbre de ramontage du ressort ou à une antre pièce aa moyen de laquelle le ress ort paut être enroulé;
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le dispositif en question comporte une ou plus5surs eov- des ( ou fils) passant sur une poulie et maintenues ter-duos par an ressort.
De préférence, on peat utiliser un méca- nisme tel que celui qai est décrit dans le brevet britan- nique n 193.997 du 8 décembre 1921 et on peut l'appli- quer convenablement au type de mécanisme d'horlogerie
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qu i est remont é au moyen àtan barillet et dans leque 1, par conséquent, l'axe de remontage ne peut tourner que dans an sent sens, pendant le remontage, et ne peut pas tourner aux autres moments.
Le poids oscillant est, de préférence, monté de fa- çon à osciller sous l'action d'en ou de plusieurs res- sorts, de telle manière que, soit le poids 'tout entier,
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soit au moins an point quelconque de oelai-l.:i, se dépla- ce sensiblement perpendiculairal..ent G, l'axe de l'arbre portant la poulie entrainêe d'abord par la on les cor-
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des fixées au poids.
Une extrémité de 10 corde, dct fil ou de tout autre organe flexible peu.! être reliée au point précité du poids et peut passer autour (le la pou- lie, l'antre extrémité du dit organe étant reliée à, un
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ressort qui peut otra attaché à an point fixe du 'b01".:;ior ou du support de la montre oa qui peut- être, en fait, fixé à une awtre partie du poids auss longtemps que le dit ressort est bandé, lorsque le poids se déplace dans un sens. Le but de ce ressort es'ud'appliquer une tension une extrémité de la corde oa du fil, lorsqu.6 le poids se déplace dans an sens donné.
Une seconde corde (ou fil) passant sur une seconde poulie, ou sar une autre partie
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de la même poulie, dans le même sens clac la prem:èrc cor- de, pourrait être utilisée, fine extrémité de cette secon- de corde étant attachée au poids aa voisinage du point
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auquel le ressort précité est fixé et l'autro extrémité ce
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cette seconde corde étant reliée à an ressort fixé éga- lement au poids; dans ce cas, la disposition de ces or- ganes est telle qu'une des cordes serve à transmettre les impulsions motrices 'lorsqae le poids se déplace dans an sens et que l'antre corde serve à transmettre ces im- pulsions lorsque le poids se déplace dans le sens oppo- sé.
La ou les poulies et l'arbre sar lequel elles sont montées sont alors reliées, par l'intermédiaire d'un en-
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grenage rédacte ar , à l'arbre de remontage da ressort on à une autre pièce dont la rotation provoque l'enroo.- lement da. r9ssortfa mécanisme d'horlogerie.
Il est bon d'utiliser des moyens poar éviter le remontage excessif de la montre; conformément à une ca- ractéristique de l'invention, on utilise an mécanisme de libération qui peat entrer en action lorsque le res- sort du mécanisme d'horlogerie est complètement bandé,
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poar e1G'ùher, soit l'oscillation da poids, soit la transmission de ces mouvements d'oscillation aa mécanis-
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me de remontage. Ce résultat peut être obtena aa moyen d'an engrenage è'piùyclo'1dal disposé de telle sorte que lorsque le ressort da mécanisme d'horlogerie ne peut plas être bandé davantage , une des rouesde l'engrena-
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ge rédnétrnr soit entra inée légèrenent comme une roue -planétaire oa jaà:aB.y épicyùl01dle; ainsi une action de freinage ou do blocage se trouve al)pli ÇLaée au poids.
Le résultat I)Cai; ^tre égalcupnt obteno. par libératioxi dIane corde (ou fil) ou des deux cordes (ou fils), de sorte
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que. los oscillations da poid3 ne sont plus transmises aa mécanisme de remontage.
Afin qae l'invention paisse être clairement com- prise et appliquée, on a représenté sar le dessin annexé,
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s, titre d'exemple, quelques modes de réalisation du. mê- can sme de remontage établis conformément à l'invention.
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La figure 1 est aile vue en élévation d'un mode de réalisation du mécanisme de remontage qui fait l'objet de l'invention, cette vue ayant été établie en regardant le dit mécanisme suivant l'axe de l'arbre de remontage de
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la montre ; Vue 6'1L-, La figure 2 est üna ëlévatioü faite perpendioulai- rement à la figure précédente;
La figure 3 est une vue de détail montrant an dis-
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positif qui 6h,pg-che le remontage excessif de la montre, ce dispositif étant applicable au mécanisme représenté sur les figures 1 et 2;
Les figures 4 et 5 sont des vues, correspondant aux figures 1 et 2, d'une variante du mécanisme de remontage,
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variante dans laquelle l'engrenage rédacteur est consti-- tué par une vis sans fin et une roua hélicoïdale.
Si l'on se réfère d'abord aux fil,-aras 1 à 3, on
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remarquera baron a représenté une montre complète a po- vant marcher huit jours; cette montre est montée dans un bottier u, elle comporte an arbre b de remontage du. res- sort principal traversant la plaque arrière. Bien qae ce- la n'ait pas été représenté, cette montre est du type à barillet, de sorte que l'arbre b ne petit tourner que drns un seul sens pour bander le ressort principal et qu'il reste immobile lorsque la montre marche.
L'arbre b est relié à an arbre intermédiaire 0 par l'intermédiaire d'un engrenage à roues d dont le rapport est de hait à un; en
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outre, l'arbre c est relié , l'arbre rnateür e par an au- tre engrenage à. 1'ones f dont le rapport est également de huit à an. Il en résalte que le rapport de vitesse de l'arbre moteur e et de l'arbre de remontage b est de soixante quatre à un.
Le poids oscillant est constitué par un poids g maintenu entre deux plaques latérales h entre lesquelles
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est monté gt également un support j portant an pivot k CI f8'J on....,"\1.
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qui pont oscillot-dans une console 1 portée par le bci- tier. Le poids g est en outre suspendu à deux ressorts
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b, boudin m travai.llant p. la traction et supportés à leurs extrémités suhériaures par la boîtier fixe, les dits ressorts étant fixés, à leurs extrémités inférieures, à des ergots m1 s'étendant à partir des plaques latérales h du poids g.
Si une telle montre est montée, par exem-
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ple , sur la planche de bord d'une voiture automobile, los inégalités de la surface de la route prodairont des vibrations qai, transmises au poids obligeront celui-ci . tourner dans un plan vertical autour du pivot k , ce qui a pour effet de tendre les ressorts m.
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De petites tiges nl, n2, n' et !};.4 s'étendent, en travers de l'espace formé entre les plaques h, sciasible- ment an-dessus et au-dessous d'une paire de poulies ol et os montées sur l'arbre e. Sur la poulie ol passe une corde (on an fil) ,Il et sur la poulie o2 passe une corde (ou an fil) J2..2. L'extrémité :inférisl1re de la corde Il est attachée directement à la tige n3 et cette corde fait un tour complet sar la poulie c1 dans le sens des
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aiguilles)dlune montre, comme on le voit sur la figure 1; la dite corde est fixée à l'extrémité inférieure d'un ressort g1 travaillant à, la traction; l'extrémité sa- périeare de ce ressort est fixée à la tige n1.
En outre, la cor de (ou. fil) p2 est fixée, par son extrémité sapé-
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rieurs , à. la tige n2 et fait an tour complet sur la poulie 0 2 dans le sens des aigailles d'une montre, comme
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on le voit sur la figure 1; la dite corde S est de plus, fixée à, l'extrémité supérieure d'an ressort à boudin q2 travaillant à la traction , l'extrémité inférieure de ce ressort étant attachée à la tige n4.
Le dispositif décrit fonctionne de la manière sui-
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vante: lorsque le poids oscille, on supposera qa.il se déplace d'abord vers 1'' bas et qu1 ta. i2.s les res-
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sorts @ Une traction tend alors à se produire sur les
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extrémités inférieures des cordes pl et p s et ait rel- chement tend à se produire aux extrémités supérieures de ces cordes. En conséquence, la corde p1 donne une im-
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pulsion motrice à la poulie ±.1 ee qui tend à faire tour- ner l'arbre e dans le sens contraire des aiguilles d'une
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montre, comme on lia indique par une flèche sur la figea- re 1.
La corde p2, pendant ce mouvement, restera passi- ve. pendant le mouvement de retour du poids E vers le haut, la corde 1l entre en a::tion et fait 6,,, 1, iiierit tour
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ner l'arbre e dans le sens de la flécha cl<3/1a figure 1, la corde p1 devenant, 8 son tour, passive.
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Ainsi, en définitive, ces I:lOUVLIL1821tS ont pour résul- tat de communiquer r â l'arbre e une impulsion motrice dans le sens contraire des aiguilles d'Lin-- montra, (lue le poids g monte ou descende. L'ar;>re e tourie donc.; grnèLa.l- lement dans le sens des aiguilles diane montre, comme on l'a montré par une flèche sur.la figure 1, et l'srbre b du ressort de remontage tourne dans le sens Gontrair'6 des aiguilles d'une montre ce qui e pour effe t de bander le ressort.
Si l'on utilise un poids donné et l'engrena-
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ge représenté sur le dessin et dont le rapport est cloimé, il est possible de remonter la montre placée sur une voiture automobile en an petit nombre de kilomètres, de
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sorte que, même si la vojtarc reste arrêtée, la montre continue de fonctionner.
On n'a encore décrit aucun mécanisme permettant d'ar
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ri3ter le remontage lorsque le ressort est complètement bandé. Cependant un tel mécanisme a été représenté en détaîl stzr la figate sur laçaelle on \ détail sur la figure 3 sur laquelle on remarquera 1'ar- bre b de remontage, l'arbre interrnédisir6 e et l'arbre moteur e.
Les arbres c ei; e peuvent tourner dans deux plaques r; ils sont disposés de telle manière que, s'ils ne sent pas retenus , ils puissent tourner autour de l'ar
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bre b; en fait, ils impulsions motrices cor;JI11a.nÍqaées à l'arbre c obligeront, sinon l'organisation serait autre, le pe'tit pignon d à toarner dans le sens des aiguilles d'une montre, comme en le voit sur la figaro 3 (autour de
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la roue d'ci-igrena-0 d avec laquelle elle est en prise) suivant on mouvement ëpicy(.101da1. rendant le fonctionne- ment normal du dispositii cependant, ce mouvement est em- pêche grâce à un ressort! travaillant à la tract ion et fixe entre la queue de la plaqua r et le boîtier g;
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ressort s est su:5sannnent fort pour éviter le mouvement précité du pignon d et pour que ce motlvemunt soit rempla- cé par la rotation de l'arbre b sous l'action d'entraîne- ment de l'arbre e de façon à remonter la montre.
Lorsque, cependant, le ressort de la montre est com- plètement bandê, sa résistance à une rotation pugmente
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par ccaséanent énormément; il en résulte que l'effort d'ontr:lnement de l'arbre e ne suffit plus â provoquer la rotation de l'arbre b; cet effort, aa lieu de provo-
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qaer cette rotation, tend, d'une façon appréciable, le ressort s ce qui permet t a u pignon d de tot1rner d'une petite quantité autour de la roue d'engrenage d. Afin
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d'augmenter d'une façon <appréciable la traction qu'il est nécessaire d'exercer sur le ressort s avant que la plaque r puisse se déplacer, cette dernière est normale- ment bloquée par une bille r1 portée par le boîtier u de la montre.
Il en résulte que, lorsque la plaque r se déplace, elle vient buter contre la tête d'une petite tige t susceptible de coulisser, suivant son axe, de sor- te que cette dernière vient s'engager dans une alvéole t1 pratiquée dans le sapport 1. portant le pivot k et faisant partie du poids g. L'engagement de la tige t
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dans l'alvéole t1 a pour résultat ëvidejimient de bloquer le poids et de l'empêcher d'osciller lorsque la montre
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est complètement remontée. Les différentes pièces sont représentées sur la figure 3 dans la position normale qu'elles occupent poar permettre au ressort de la montre d'être bandé..
Lorsque ce ressort est complècoment bandé et que la tige t est venue' se placer dans l'alvzcls t1, afin d'éviter l'oscillation du poids g, le ressort commen cera à se débander légèrement et il en résultera que le ressort s pourra se contracter de façon à. tirer la plaque r vers l'arrière pour l'amener dans la position repré- sentée sur la figare 3. La tige 1 est alors retirée de l'alvéole tl par le ressort u1 qui entoaro la tige! qui est placée entre la tête de cette tige et la console fixa..!.2. Il en résalte que la poids g est de nouveau li- bre et que tout le mécanisme automatique de remontage est de nouveau mis en action.
Dans la variante du mécanisme de remontage représen- tée sur les figures 4 et 5 la disposition générale est exactement la même que sur les figares let 2 et chaque fois que cela 6 été possible les mêmes lettres de réfé- rence ont été utilisées. La différence, entra les deux mécanismes porte sur an détail; dans la variante, le double engrenage réducteur d, f est remplacée par an en- grenage à vis sans fin dont le rapport de rédaction évidem ment, peut être le môme qae le rapport de l'engrenage rédacteur des figures 1 et 2. L'arbre b porte une roua hélicoidele v qui engrène avec une vis saes fin w fixée à l'arbre moteur e qui, en ce cas, est perpendiculaire à l'axe de l'arbre b.
En réalité, la vis sans fin;:!. peat être maintenue on prise, d'une façon élastique, avec la roue héliecoidale v grâce ) des ressorts ou à d'satres organes analogues. Las poulies c1 et c2, bien que tour- nant dans un plan perpendiculaire sa plan de rotation de ces mêmes poulies sur les figures 1 et 2, soiit encore en- traînées par le poids de la même manière que dans le
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cas des figures 1 et 2.
Dans beaucoup de cas, il ne sera pas bon de compter seulement sur les vibrations de la montre pour la remon- ter; aussi, le remontoir habituel à main pourra être pré- vu comme dispositif supplémentaire. Afin d'éviter que ce remontoir ne gêne le mécanisme actionné par les vibra- tions, une liaison à, cliquet peut être disposée entre l'engrenage rédacteur et l'arbre b de remontage du res- sort; dans ce cas, le cliquet sautera librement sar sa roue dentée lorsque le ressort de remontage sera bandé à la ma i n.
On comprendra facilement que les exemples partion- liers ci-dessus décrits peuvent rocevoir des modifica- tions qui n'altèrent pas l'économie générale de l'inven- tion. Les ressorts à boudin q1, g2 par exemple peuvent être remplacés par des ressorts à lame ou par tout antre type de ressert. En outre , le poids peut être monté dans un plan parallèle à l'axe des poulies ol, c2 de façon que ce poids considéré dans son ensemble ne puisse pas s'éloigner de l'axe de ces poulies lorsqu'il oscille, mais qu'un point particulier de ce poids puisse se rap- procher ets'éloigner de cet axe.
De plus, aa lieu du double dispositif de commande représenté sur le dessin et décrit, on peut utiliser un dispositif simple comportant une corde de freinage, ce dispositif unique étant plus voisin du dispositif décrit dans le brevet britan.-ique n 193.997 da 8 décembre 1921.
En outre, différentes sortes de mécanismes peuvent être prévues pour éviter le remontage excessif de la mon tre. Par exemple, un poids ou un levier pivotant peut être utilisé, ce levier étant maintenu contre le ressort de la montre par un ressort auxiliaire; lorsque le res- sort de la montre est complètement bandé, ce levier peut
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venir dans une position dans 1''. quelle il provoquera directement ou indirectiment le blocage da poids et l'em- pêchera d'osciller, un(., liaison à cliquet ou tout ouvre tyde de liaison étant disposée entre le poids etl'arbre de remontage qui doit être mis hors d'action..Enfin, on comprendra facilement que l'invention n'est pas limi- tée aux montres montées sur les voitures automobiles ni à aucun.
type particulier de montre, mais qu'elle s'appli- que naturellement aux montres que l'on ports sur soi ; l'ensemble du mécanisme sera tonjours semblable su meca- nisme qui a été décrit ci-dessus mais il sera réalisé à que hasqoup pins patite échelle.
REVENDICATIONS
1. Un dispos it @ automet que de remonage pour méca- nisme d'horlogerie, ce dispositif comportant ua poids monté de façon à pouvoir osciller sous l'effet. des vibra- tions auxquelles le mécanisme d'horlogerie est soumise et dans lequel le dit poids est relié à l'arbre de remon- tage du mécanisme d'horlogerie (ou. à une autre pièce ana logaes de ce mécanisme) par l'intermédiaire d'un dispo- sitif agissant dansan seul sens et comportant une ou plusieurs cordes (ou fils) passant sur une poulie et main tenues normalement tendues par un. ressort;
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Un dispositif tel que celui revendiqué sous 1, et dans lequel an engrenage est disposé entre l'arbre de remontage et la poulie précitée de façon que l'érbre de remontage soit entraîné à une vitesse beaucoup plus fai- ble que ne l'est la poulie;
3. Un dispositif tel que celui revendiqué sous 1, et dens lequel un dispositif, mis en action par le ressort principal du mécanisme d'horlogerie, lorsque ce ressort est complètement tendu,, évite, .soit l'oscillation du. poids soit la transmission de ces oscillations à l'arbre de @
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