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Appareil régulateur de la
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-¯.¯----------"------------------------------ tension des mèches en r e n v i -
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..¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯ d a g e a u x b a n c s - à - b r o c h e s.
La présente invention a pour objet un appareil régu- lateur de la tension des mèches en renvidage aux bancs-à-bro- ohes qui a pour but d'éviter la formation de coupures dans la mèche dues à un excès de tirage. Pour empêcher la forma- tion de ces coupures, il se produit suivant la nouvelle in-
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vention, lorsque la tension de mèche vient de dépasser la limite permise, il se produit automatiquement une diminu- ;ion du tirage (c - à - d du renvidage) ce qui relâche la mèche et la ramène à sa tension normale.
La diminution de la tension de la mèche peut être obtenue soit directement par la mèche elle-mme en employant un tâteur, soit indirectement en faisant varier la vitesse des ailettes ou des bobines dont la valeur est une fonction déterminée de la tension des mèches en renvidage. Sur ces deux possibilités de réglage peuvent se baser plusieurs dispositifs dont quelques-uns sont, à titre d'exemples, dé- crits par la suite.
Le dessin annexé représente 6 formes d'exécution en 9 figares, dont Fig. 1 et 2 montrent un appareil régulateur muni d'un tâ- teur dans lequel, en cas d'une tension de mèche exagérée, la courroie de transmission est déplacé sur la poulie conique d'entraînement, Fig. 3 fait voir un dispositif de règlage pour tâteur. dans lequel le mouvement du tâteur est transmis aux cylindres d'étirage, Fig. 4 représente une variante du dispositif de trans- mission du mpuvement du tâteur, Fig. 5 et 6 montrent un dispositif utilisant pour le régla- ge de la tension, la dépendance de la tension des mèches en renvidage par rapport à la force d'en- traînement des ailettes ou des bobines, Fig. 7 et 8 représentent une variante de la forme d'exécu- tion suivant les Fig. 5 et 6, Fig.
9 fait voir un dispositif de réglage agissant aussi
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bien en cas de surtension des mèches qu'en cas de tension insuffisante de celles-ci.
Dans les Fig. 1 et 2, 1 représente la mèche et 2 un tâteur pouvant tourner autour d'un axe fixe 3 lequel tâ- teur repose soit constamment, soit périodiquement sur la .mèche, en produisant le fléchissement de celle-ci, suivant la ligne pointillée pour une tension normale.
Lorsque la tension de la mèche varie, le tâteur monte ou descend. Le doigt 4 pivotant sur Taxe 5 est comman- dé par le levier oscillant 6 qui, depuis le cylindre d'étira- ge 7 est mis en mouvement au moyen d'une transmission à ma- nivelle 8 ; un ressort maintient le doigt 4 appuyé contre la vis de réglage 6' du levier 6. Pour une tension normale de la mèche, le tâteur 2 occupe une certaine position basse, dans laquelle le nez 2'du tateur vient se loger dans l'en- ooohe 9, de façon que le mouvement ultérieur du doigt 4 soit empêché. Lorsque la tension de la mèche est exagérée le tâteur 8 s'élève et déclenche le doigt 4 qui, pouvant alors osciller en pleine amplitude, met en action un dispo- sitif produisant la décharge de la mèche tendue.
La forme d'exécution représentée ici à titre d'exemple se compose d'un cliquet 10, articulé au doigt 4, actionnant le roohet 11 portant le barillet 12 relié par une chaînette ou un cable 13 à la poulie à barillet 14. La rotation de la poulie 14 est par exemple obtenue par la transmission de mouvement de la roue.15 et la crémaillère 16 au guide de courroie 17, de sorte que la courroie 18 est déplacée sur les poulies coniques 19 et partant la diminution de la vitesse des bobi- nes et l'abaissement de la tension des mèches est obtenu.
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Au lieu du dispositif d'abaissement de la tension des mèches décrit ci-dessus, on peut aussi adapté à la commande des cylindres étireurs un. appareil produisant temporairement une variation de la vitesse de ces organes, tel qu'une trans- mission par différentiels ou un embrayage à changements de vitesse. La Fig. 3 en représente une forme d'exécution. Iui le rochet 5 de la Fig. 2 agit sur le cylindre étireur 7 par l'intermédiaire d'un train d'engrenages différentiels en com- mandant d'une part le rochet 20 tournant fou sur l'axe 7 et d'autre part la roue 21 par l'intermédiaire du pignon 22 oalée sur l'arbre 7 et transmettant aux cylindres étireurs le mouvement uniforme principal.
Le pignon 22 reçoit ainsi la somme des rotations de la roue 21 et du rochet 20 et tour- nera plus vite lorsque le rochet 20 sera en mouvement qu'au repos de celui-ci.
L'arrangement du tâteur peut aussi être utilisé dans le but d'influer sur la vitesse des ailettes ou des bobines et par exemple dans le cas d'une tension de mèche exagérée, ser- vir à augmenter légèrement cette vitesse. Il suffira d'action. ner avec le oliquet un mouvement différentiel pouvant être intercalé, soit dans la commande des ailettes ou dans celle des bobines.
La fig. 4 fait voir un dispositif de transmission du mouvement du tâteur essentiellement différent de celui repré- senté aux Fig. 1 et 2. Le tâteur 23 tâte également d'une ma- nière constante ou en des intervalles de temps depuis la tension de la mèche 1. A l'état de repos il s'appuie sur le support 24. S'il doit fonctionner, l'appui 24 s'abaisse lé- gèrement et, suivant que la tension de la mèche est normale
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ou trop élever, le tâteur 23 suivra le mouvement de l'appui
24 ou non.
Dans le dernier cas, c - à - d en admettant une tension exagérée de la mèche il se produit entre le tâteur
23 et l'appui'24 un jeu permettant à une languette oscillante
25, reposant aussi sur l'appui 24, de passer entre le tâteur et son appui, tandis qu'en cas de mèche lâche,la languette
25 sera empêchée par la présence du tâteur 23 d'accomplir son amplitude. Cette amplitude de l'oscillation de la lan- guette 25 est utilisée à produire l'action d'enclanchement du mécanisme variant la vitesse de l'organe dont dépend la tirage, o'est - à - dire la tension de la mèche.
Les dispositifs sus-décrits d'enclanchement pour- raient être remplacés par un moyen électrique (Electro-aimant) dans lequel le tâteur se bornerait à établir le contact.
Dans les dispositifs de réglage au moyen de tâteur, la tension de la mèche est directement contrôlée et le mou- vement de l'organe-contrôleur est transmis au dispositif produisant la variation de cette tension. De la relation liant, la tension des mèches en renvidage à la force motrice absorbée par la commande soit des ailettes, soit des bobines, il peut être déduit une méthode directe de réglage de la ten- sion des mèches.En effet le brin de mèche tendu 26 (Fig.
1) reliant le doigt compresseur 27 de l'ailette à la bobine constitue une force entraînante agissant sur l'ailette et fournit par la bobine, celle-ci tournant plus vite que l'ai- lette et tendant à l'entraîner à sa suite, La tension des mèches a donc pour effet de diminuer la force absorbée pour la commande des ailettes et d'augmenter d'autant celle ab- serhée pour les bobines. En interoalant par exemple dans la
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commande des Ailettes, ou des bobines, un organe intermédiai- re sensible aux variations de la force transmise, cet organe pourra servir soit à déclancher le mécanisme produisant la diminution du tirage, soit encore à produire lui-même la diminution du tirage.
Un dispositif fonctionnant suivant le principe énon- oé est représenté aux Fig. 5 et 6. Ici est utilisé un mouve- ment différentiel 29, 30, 31, 32 intercalé sur l'arbre 28.
L'effort transmis par ces roues se traduit par une force tendant à entraîner la roue 31 portant les planètes, de sorte que le oliquet 33 s'opposant à l'entraînement de la roue 31, supporte une force plus ou moins grande, proportionnelle à l'effort transmis et peut par suite servir d'indicateur ou de déolanoheur lorsque le tourillon 34 portant le cliquet 33 est maintenu en sa position par un ressort 35. Suivant que l'effort sera grand ou petit, le cliquet 33 et son levier 36 le portant occuperont deux positions différentes, comprimant plus mu moins le ressort antagoniste 35.
Le déclanchement du mécanisme variateur de la vitesse des ailettes par le levier 36 a lieu de la manière suivante : Sur l'arbre 37 est disposé un levier 38 oscillant continuel- lement et portant un cliquet 39 en prise aveo le roohet 39; une tringle 40 relie le cliquet 39 au levier 36. Suivant que le levier 36 occupe l'une ou l'autre des positions extrêmes, le cliquet 39 imposera au rochet 31 une rotation ou'non et . produira ainsi dans le premier cas le rallentissement de la vitesse des ailettes.
Une autre forme d'exécution du dispositif réglant la tension des mèches suivant le même principe est représen-
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tée aux Fig. 7 et 8. La commande des ailettes est aidée par un dispositif spéoial 41,56 (Fig. 8) tendant à faire tour- ner les ailettes plus rapidement qu'à leur vitesse normale habituelle. Vu que, comme il a été expliqué plus haut, la tension des mèches constitue une force entrainante sur les ailettes, il arrive nécessairement que lorsque la tension des mèches atteint une valeur trop grande, elle pourra suf- fire, avec l'aide du dispositif 41, 56 à produire l'entrai- nement des ailettes, sans l'aide du cliquet 42.
Ce dernier n'a pour but que d'assurer, en cas de tension de mèche nor- male, aux ailettes la vitesse qu'elles doivent alors reoe- voir par l'arbre poteur 43 par l'intermédiaire des roues
44, 45 et 46. Donc, lorsque par suite de surtension des mè- ches, la force absorbée par les ailettes aura baissé, le dis- positif 41 emportera à lui seul la commande des ailettes lesquelles alors prendront une vitesse supérieure à leur vitesse normale et réalisera ainsi le réglage de la tension des mèches. La manière dont agit le dispositif 41, 56 sur la roue 47 par l'intermédiaire du mouvement planétaire
48. 49, 50 est la suivante :
La roue 50, portant les deux planètes 48 et 49, re- çoit de l'arbre moteur 43 par l'intermédiaire des roues 44,
45 et 51 une rotation un peu plus rapide que la moitié de celle de la roue 46, portant le cliquet 42.
De ces deux vi- tesses oomposantes de ce mouvement différentiel la roue 52 prendra la vitesse résultante différentielle qui est une vi= tesse lente.. dirigée dans le même sens que celle des roues 47 et 50. Le brin 54 de la courroie 53 sera alors tendu tan- "-dis que le brin 55 sera lâche. Cette tension du brin tendu
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54 sera alors celle du ressort 56 auquel il est attaché, le ressort 56 lui-même est relié par son autre extrémité au bras de levier 57.
Cette tension constituera une force entraînante qui, par l'intermédiaire des planètes dentées 48, 49, est transmise à la roue 47, et, par suite, aux ai- lettes tendant à les accélérer jusqu'à atteindre une vi- tesse supérieure d'environ 10 à 15% de leur vitesse normale, laquelle leur est assurée par le cliquet 42.
Pendant le grossissement des bobines le ressort 56 devra se tendre de moins en moins, ce qui s'obtient en faisant pivoter très lentement le levier 57.
Au tambour 41 de la forme d'exécution suivant les Fig. 7 et 8 autour duquel est enroulé un ruban 53 peut être substitué un embrayage à friction de même effet, soit par exemple une roue portant un cône de friction, lequel cône est monté fou sur l'arbre entraîneur des ailettes et agis- sant sur un contre-cône du même arbre.
Dans tous les dispositifs décrits précédemment il s'agissait de l'entrée en action d'unoméoanisme produi- sant une diminution du tirage en cas de tention de mèche trop grande.
Le dispositif représenté à la Fig. 9 permet d'aug- menter et de diminuer le tirage selon les besoins c - à - d de rétablir la bonne tension aussi bien, lorsque celle-ci est trop faible que dans le cas où elle est trop forte.
Le mécanisme régulateur est supposé agissant par déplacement de la courroie 18 sur les poulies coniques 19 (Fig. 2), donc le déplacement devra pouvoir se faire tantôt dans un sens, tantôt dans l'autre. L'indicateur de tension
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de la mèche est le tâteur 58 qui s'appuie sur la mèche 1 de façon que son extrémité libre occupe, suivant le degré de tension de la mèche, une position plus ou moins haute ou basse.
Le tâteur 58 collabore avec les organes 59 et 60 montés sur l'axe 61 qui est relié à l'arbre 63 par le bras 62, de façon que l'ensemble est animé d'un mouvement oscillatoire autour de l'arbre 63 par le bras d'excentrique 64a A chaque rotation de l'excentrique 65 les deux nez tâteurs 59 et 60 s'avancent vers le tâteur 58, ce dernier occupant la position 58 lorsque la mèche est trop tendue, la position 58' pour une mèche trop lâche, et une position intermédiaire en vas d'une tension nor- male. Suivant que le tâteur 58 occupera l'une ou l'autre des positions, ce sera le nez tâteur 59 ou l'autre 60 ou aucun des deux qui viendra heurter le tâteur et qui sera par suite empêché de faire sa course entière vers la gauche.
Dans le cas d'une surtension de la mèche l'organe
59 produira, par l'intermédiaire de l'appui 66, l'engrènement du oliquet 67 avec le rochet 68, état que cherche à maintenir un ressort non représenté au dessin. L'appui 69 du cliquet 67 quitte alors l'organe 59 et le cliquet 67vient reposer sur les dents du rochet 68 en sursautant sur celui-ci sans en pro- duire l'entraînement.Ensuite, lors du retour de l'organe 59, le cliquet 67 obligera le rochet 68 à maroher avec lui, ce qui produira une certaine rotation du barillet 70 solidaire du rochet 68 et produira un déplacement de la courroie 1 des cpnes
19 (Fig. 2) par l'intermédiaire de la crémaillère 16.
Dans le cas d'une tension de mèche trop faible, ce sera l'organe 60 qui viendra buter contre le tâteur occupant dans ce cas la position 58' et sera empêché de continuer sa
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course vers la gauche, ce qui déterminera, par l'intermédiai- re du doigt presseur 71 agissant sur le cliquet 72 l'engrè- nement de celui-ci aveo le rochet 70. La rotation du roohet 68 de sens contraire à celle pour le cas des mèches surten- dues, ainsi produite et partant celle du barillet 70 est transmise à la crémaillère 16 qui produit le déplacement des courroies sur les pouliés coniques dans le sens contraire que précédemment.
Dans le cas de mèches à tension normale, le tâteur 58 est dans une position intermédiaire à celles représentées à la Fig. 9, de façon que les organes 59 et 60 puissent effec- tuer librement leur mouvement vers la gauche sans provoquer ni dans l'un, ni dans l'autre sens la rotation du barillet 70.
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Regulator of the
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-¯.¯ ---------- "------------------------------ tension of the wicks in return -
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The object of the present invention is an apparatus for regulating the tension of the strands when winding them up to the brooches, the object of which is to prevent the formation of cuts in the strand due to excess pulling. To prevent the formation of these cuts, it occurs according to the new in-
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However, when the wick tension has just exceeded the allowable limit, there will automatically be a decrease in draft (ie rewinding) which releases the wick and returns it to its normal tension.
The reduction in the tension of the wick can be obtained either directly by the wick itself by using a feeler, or indirectly by varying the speed of the fins or of the coils, the value of which is a determined function of the tension of the wicks in winding. . Several devices can be based on these two adjustment possibilities, some of which are, by way of example, described below.
The accompanying drawing shows 6 embodiments in 9 figars, of which FIG. 1 and 2 show a regulating apparatus fitted with a feeler in which, in the event of excessive wick tension, the transmission belt is moved on the conical drive pulley, Fig. 3 shows an adjustment device for a feeler. in which the movement of the feeler is transmitted to the drawing rolls, Fig. 4 represents a variant of the device for transmitting the movement of the feeler, FIG. 5 and 6 show a device using, for the adjustment of the tension, the dependence of the tension of the winding wicks on the driving force of the fins or of the coils, FIG. 7 and 8 show a variant of the embodiment according to FIGS. 5 and 6, Fig.
9 shows an adjusting device also acting
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well in the event of overvoltage of the wicks than in the event of insufficient tension of these.
In Figs. 1 and 2, 1 represents the bit and 2 a feeler capable of rotating around a fixed axis 3 which the feeler rests either constantly or periodically on the bit, producing the deflection of the latter, following the dotted line for normal tension.
When the tension of the bit varies, the feeler goes up or down. The finger 4 pivoting on the lever 5 is controlled by the oscillating lever 6 which, from the stretching cylinder 7 is set in motion by means of a gear transmission 8; a spring keeps the finger 4 pressed against the adjusting screw 6 'of the lever 6. For a normal tension of the drill bit, the feeler 2 occupies a certain low position, in which the nose 2' of the feeder is housed in the - Ooohe 9, so that the subsequent movement of the finger 4 is prevented. When the tension of the wick is exaggerated, the feeler 8 rises and triggers the finger 4 which, then being able to oscillate in full amplitude, activates a device producing the discharge of the stretched wick.
The embodiment shown here by way of example consists of a pawl 10, articulated to the finger 4, actuating the roohet 11 carrying the barrel 12 connected by a chain or a cable 13 to the barrel pulley 14. The rotation of the pulley 14 is for example obtained by the transmission of movement of the wheel 15 and the rack 16 to the belt guide 17, so that the belt 18 is moved on the conical pulleys 19 and hence the decrease in the speed of the bobi - nes and lowering the tension of the wicks is obtained.
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Instead of the device for lowering the tension of the wicks described above, it is also possible to adapt to the control of the draw rolls one. device which temporarily produces a variation in the speed of these components, such as a transmission by differentials or a speed change clutch. Fig. 3 shows one embodiment. Iui the ratchet 5 of FIG. 2 acts on the stretching cylinder 7 by means of a differential gear train by controlling, on the one hand, the ratchet 20 turning idly on the axis 7 and, on the other hand, the wheel 21 by means of the pinion 22 spread on the shaft 7 and transmitting the main uniform movement to the stretching cylinders.
Pinion 22 thus receives the sum of the rotations of wheel 21 and ratchet 20 and will turn faster when ratchet 20 is in motion than when the latter is at rest.
The feeler arrangement can also be used for the purpose of influencing the speed of the fins or coils and for example in the case of an exaggerated wick tension, serve to increase this speed slightly. Action will suffice. ner with the oliquet a differential movement that can be interposed, either in the control of the fins or in that of the coils.
Fig. 4 shows a device for transmitting the movement of the feeler which is essentially different from that shown in FIGS. 1 and 2. The feeler 23 also feels constantly or at intervals of time from the tension of the wick 1. In the rest state it rests on the support 24. If it is to operate , the support 24 is lowered slightly and, depending on whether the bit tension is normal
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or raise too much, the feeler 23 will follow the movement of the support
24 or not.
In the latter case, i.e. assuming an exaggerated tension of the bit, it occurs between the feeler
23 and the support'24 a game allowing an oscillating tongue
25, also resting on the support 24, to pass between the feeler and its support, while in the event of a loose bit, the tongue
25 will be prevented by the presence of the feeler 23 to achieve its amplitude. This amplitude of the oscillation of the tongue 25 is used to produce the engaging action of the mechanism varying the speed of the member upon which the pulling depends, ie the tension of the wick.
The above-described switching devices could be replaced by an electrical means (electromagnet) in which the feeler would limit himself to establishing contact.
In adjustment devices by means of feeler, the tension of the wick is directly controlled and the movement of the control organ is transmitted to the device producing the variation of this tension. From the binder relation, the tension of the wicks in winding to the driving force absorbed by the control of either the fins or the coils, a direct method of adjusting the tension of the wicks can be deduced. stretched 26 (Fig.
1) connecting the compressor finger 27 of the vane to the coil constitutes a driving force acting on the vane and supplied by the coil, the latter rotating faster than the vane and tending to drive it after it The tension of the wicks therefore has the effect of reducing the force absorbed for controlling the fins and correspondingly increasing that absorbed for the coils. By interoaling for example in the
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control of the fins, or of the coils, an intermediate member sensitive to variations in the force transmitted, this member may be used either to trigger the mechanism producing the reduction in draft, or even to produce the reduction in draft itself.
A device operating according to the principle enunciated is represented in FIGS. 5 and 6. Here is used a differential movement 29, 30, 31, 32 interposed on the shaft 28.
The force transmitted by these wheels results in a force tending to drive the wheel 31 carrying the planets, so that the oliquet 33 opposing the drive of the wheel 31, supports a greater or lesser force, proportional to the force transmitted and can therefore serve as an indicator or deolanoheur when the journal 34 carrying the pawl 33 is held in its position by a spring 35. Depending on whether the force is large or small, the pawl 33 and its lever 36 the carrier will occupy two different positions, compressing more mu less the counter spring 35.
The triggering of the vane speed variator mechanism by the lever 36 takes place as follows: On the shaft 37 is disposed a lever 38 oscillating continuously and carrying a pawl 39 engaged with the roohet 39; a rod 40 connects the pawl 39 to the lever 36. Depending on whether the lever 36 occupies one or the other of the extreme positions, the pawl 39 will impose on the ratchet 31 a rotation or'non and. will thus produce in the first case the slowing down of the speed of the vanes.
Another embodiment of the device adjusting the tension of the wicks according to the same principle is shown.
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ty in Figs. 7 and 8. The control of the vanes is aided by a special device 41,56 (Fig. 8) which tends to turn the vanes faster than their usual normal speed. Considering that, as explained above, the tension of the wicks constitutes a driving force on the fins, it necessarily happens that when the tension of the wicks reaches too great a value, it will be able to suffice, with the help of the device. 41, 56 to produce the drive of the fins, without the aid of the pawl 42.
The only purpose of the latter is to ensure, in the event of normal wick tension, for the blades the speed which they must then receive by the potter shaft 43 via the wheels.
44, 45 and 46. Therefore, when, as a result of overvoltage of the bits, the force absorbed by the fins will have dropped, the device 41 will by itself take over the control of the fins which will then take a speed greater than their normal speed. and thus carry out the adjustment of the tension of the wicks. The way in which the device 41, 56 acts on the wheel 47 through the planetary movement
48. 49, 50 is as follows:
The wheel 50, carrying the two planets 48 and 49, receives from the motor shaft 43 via the wheels 44,
45 and 51 a rotation a little faster than half that of the wheel 46, carrying the pawl 42.
From these two component speeds of this differential movement, the wheel 52 will take the resulting differential speed which is a slow speed .. directed in the same direction as that of the wheels 47 and 50. The strand 54 of the belt 53 will then be tense while strand 55 will be loose. This tension of the stretched strand
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54 will then be that of the spring 56 to which it is attached, the spring 56 itself is connected by its other end to the lever arm 57.
This tension will constitute a driving force which, via the toothed planets 48, 49, is transmitted to the wheel 47, and, consequently, to the vanes tending to accelerate them until reaching a higher speed of about 10 to 15% of their normal speed, which is ensured by the pawl 42.
During the enlargement of the coils the spring 56 will have to tighten less and less, which is obtained by rotating the lever 57 very slowly.
To the drum 41 of the embodiment according to FIGS. 7 and 8 around which a tape 53 is wound can be replaced by a friction clutch of the same effect, for example a wheel bearing a friction cone, which cone is mounted idle on the drive shaft of the vanes and acting on a counter-cone of the same shaft.
In all the devices described above, it was a question of the entry into action of an omeoanism producing a reduction in the draft in the event of excessively large lock tension.
The device shown in FIG. 9 makes it possible to increase and decrease the draft as needed, ie to re-establish the correct tension as well, when this is too weak as when it is too strong.
The regulating mechanism is supposed to act by moving the belt 18 on the conical pulleys 19 (FIG. 2), so the movement must be able to be done sometimes in one direction, sometimes in the other. Voltage indicator
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of the wick is the feeler 58 which rests on the wick 1 so that its free end occupies, depending on the degree of tension of the wick, a more or less high or low position.
The feeler 58 collaborates with the members 59 and 60 mounted on the axis 61 which is connected to the shaft 63 by the arm 62, so that the assembly is driven in an oscillatory movement around the shaft 63 by the eccentric arm 64a Each time the eccentric 65 is rotated, the two feeler noses 59 and 60 move towards the feeler 58, the latter occupying position 58 when the bit is too tight, position 58 'for a bit that is too loose , and an intermediate position in front of a normal tension. Depending on whether the feeler 58 occupies one or the other of the positions, it will be the feeler nose 59 or the other 60 or neither of the two which will strike the feeler and which will therefore be prevented from making its entire stroke to the left. .
In the event of an overvoltage of the wick, the organ
59 will produce, through the support 66, the engagement of the oliquet 67 with the ratchet 68, a state which seeks to maintain a spring not shown in the drawing. The support 69 of the pawl 67 then leaves the member 59 and the pawl 67 comes to rest on the teeth of the ratchet 68 by jumping on the latter without producing the drive. Then, when the member 59 returns, the pawl 67 will force the ratchet 68 to walk with it, which will produce a certain rotation of the barrel 70 integral with the ratchet 68 and will produce a displacement of the belt 1 of the cpnes
19 (Fig. 2) via the rack 16.
In the case of a too low wick tension, it will be the member 60 which will abut against the feeler occupying in this case the position 58 'and will be prevented from continuing its
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travel to the left, which will determine, by means of the presser finger 71 acting on the pawl 72, the engagement of the latter with the ratchet 70. The rotation of the roohet 68 in the opposite direction to that for the In the case of over-stretched bits, thus produced and hence that of the barrel 70 is transmitted to the rack 16 which produces the displacement of the belts on the conical pulleys in the opposite direction as previously.
In the case of wicks with normal tension, the feeler 58 is in an intermediate position to those shown in FIG. 9, so that the members 59 and 60 can freely perform their movement to the left without causing either the rotation of the barrel 70 in either direction.
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