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Appareil ?,l1,,erté par du courant alternatif et destine a.
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fournir des tensions de grille négatives.
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Pour l'a'11r1ificaticn d'oscillations électriques à l'aide de tubes dits uthprmoron1ques il Il est en général avanta-geux de maintenir les grilles de co-qiniende de ces tubes â un potentiel floyen tel que, lors du fonctiopeille!1t du tube,
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il ne se produise pas de courants de grille, A cet effet, on
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applique Rabituellament è, ces grilles une tension continue négative ocnstente et dans ce but on emploie le plus souvent un ou plusieurs éléments galir-,,niques,, 1
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Pour obtenir les tensions préalables voulues, on a
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déjà prcpcsé d'utiliser un pctanticmètre par lequel passe ur ecurant alternatif redressé et égalisé qui peut, ê-.: :'E' dériva, éventuellement à travers un trasfca:2ur2 du rLeacz d éc.ï2ra.be.
Il semblerait alors logique d'employer à cet effet les cernes redresseur et égaliseur qui servent dëja. à. fournir le courant anodique aux divers tubes du poste, ce courant anodique pouvant alorb été conduit, par exe.Zle,; a, travers le potentiomètre. Cependant, ceci présente deux dit'f icult és.
Preièreentl le G+ré d'égalisation juste suffisant peur le a.-.irert ancdique, ext presque certainement insuffisant pour les tensions préalables qu'on désire appliquer aux grilles de aemr;asàP> ce dE'bré suffisant dlvuziat moins que 1?. facteurs d'amplification des tubes sont plus grands.
En second lieu, comme il s'agit de tension préalables négatives, l'appareil de tension anodique doit fournir une tension de courant continu égale à la somme des valeurs ab- solues de la tension anodique la plus élevée et de la plus grande tension préalable qu'on désire appliquer. Or, cette-
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dernière tension peut wa monter à 25µ et plus de la tension anodique, de sorte que l'effet utile du dispositif diminue
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du ruêille pourcentage élevé.
Conformément à l'invention, on peut obvier à ces deux difficultés à la fois, en alimentant le potentiomètre duquel. les tensions préalables peuvent être dérivées, à l'aide d'un redresseur spécial et d'un égaliseur correspondant.
Puisqu'on ne permet à aucun courant de passer dans les circuits de grille, le ccurant passant par le potentiomètre peut être extrêmement faible de sorte que:
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1,- un petit redresseur suffit,, 2,- ure égalisation parfaite n'est pas difficile à obtenir)et 3.- la perte d'énergie est insignifiante.
Au sujet de l'avantage mentionné en 2, il faut remarquer qu'avec le dispositif suivait l'invention il est nonseulement possible, mais même désirable- d'employer pour l'égalisation des résistances omique au lieu de bobines de réactance, ce qui rend l'appareil à la fois moins coûteux et 'beaucoup, plus léger.
L'invention va être décrite en détail avec référence au dessin annexé représentant, à titre d'exemple, deux formes d'exécution d'un dispositif suivant l'invention, en combinaison avec un appareil normal connu de tension anodique.
Sur le dessin: La figure 1 représente un couplage comportant deux redresseurs séparés et. deux égaliseurs correspondants et @ La fig.2 représente un couplage utilisant un enroulement secondaire commun d'un transformateur.
La, figure 1 sera décrite d'abord.
Le primaire 1 d'un transformateur peut être relié à !,ci, canelisation d'éclairage à courant alternatif. Ce transformateur comprend quatre enroulements secondaires 2,3 )4,et 5.
L'enroulement 2 sert à -fournir la tension anodique voulue qui peut être dérivée entre les bornes + V ou # D et la borne A. L'enroulement 3 sert à alimenter le filament 7 d'un tube redresseur 8, une résistance variable 6 étant prévue pour le réglage du courant. L'ancde 9 du redresseur 8 est relié à l'une des armatures d'un condensateur 10 et aussi à l'une @
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des extrémités de l'enroulement 12 d'une bobine de réactance dont l'autre enroulement n'est relié à l'extrémité de drcite de 1''enroulement 2 du tranformateur et à l'autre armature du condensateur 10.
Un second condensateur 13 est monté en- tre les deux autres extrémités des enroulements 11 et 12 de la bobine de réactance, l'enroulement 12 étant aussi relié au point A qui peut être mis à la terre, tandis que l'enrou- lement 11 est relie au point + V. Entre les points+V et + D se trouve une résistance chraique élevée 14, un condensateur
15 étant monte entre les points A et + D. Le dispositif qui vient d'être décrit est connu en soi-même et, comme tel, il ne fait pas partie de l'invention.
L'enroulement 4 du transformateur sert à fournir du courant à un potentiomètre 24, Préalablement, ce courant est redressé à l'aide d'un redresseur 18 et le courant redressé est égalisé à l'aide des condensateurs 20 et 23 et des deux résistances 21 et 22.
Le redresseur l8 comporte une anode 19 et une cathode 17 qui est alimentée, à travers une résistance de réglage 16, par l'enroulement 5 du transformateur. Enfin, le potentiomètre 24 est muni d'un certain nombre de contacts à curseur ou de points de dérivation (sur la figure il y en a.
deux désignes par -R et -R ), auxquels peuvent être reliés
1 2 les tubes à décharge du poste de T.S.F. Si l'ondulation du courant redressé ne se trcuvait pas encore suffisamment éga- lisée, la connexion des grilles peut se faire comme le dessin le montre, à travers les résistances 25 et 27 dont les extré- mités sent reliées au point A, respectivement à travers des condensateurs 26 et 28. La connexion des grilles se fait dans ce cas aux bornes 29 et 30, les filaments des tubes de @
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l'appareil récepteur étant reliés à la borne 31.
Du fait que les circuits de grille de ces tubes à décharge ne peuvent être traversés par aucun courant,tout au moins quand ces tubes servent d'amplificateurs, il s'ensuit qu'on peut maintenur le courant qui alimente le poteri- tiomètre 24 aussi faible qu'on le désire. Grâce à ceci, un petit redresseur 18 peut suffire et, de plus, l'emploi de résistances élevées 31 est a. préférer à l'emploi de bobines de rûctance, parce que ces dernières sont lourdes et coûteuses. Dans ce cas, la perte de tension dans les résistances ohmiques élevées n'est pas désavantageuse, parce que l'énergie ainsi perdue resteinsignifiante à cause de la valeur extrêmement faible du courant.
La figure 2 représenteun couplage comportant un enroulement secondaire 32 dont l'extrémité de dreite est reliée à l'anode 39 du redresseur 38 et aussi à la cathode 47 du redresseur 48. La cathode 47 est alimentée par l'enroulement 35, la. cathode 37 étant alimentée par l'enroulement 33 qui doit être isolé des deux autres enroulements secondaires. La diode 38 fournit le courant anodique et la diode 48 fournit le courant (le potentiomètre pour les tensionsde grille né- gatives, L'un des dispositifs égaliseurs se compose d'une bobine de réactance 41 comportant un seul enroulement, et de deux condensateurs 40 et 43 reliés aux deux extrémités de cet enroulement. L'autre dispositif égaliseur se compose d'une seule résistance ohmique 51 et de deux condensateurs 50 et 53.
Les deux circuits dans lesquels circulent les courantsredressés ont en commun le conducteur continu 34 qui
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conduit à l'extrémité de gauche de l'enroulement 32. Les bornes +V, +D,A, -R et-R sont semblables à celles de la
1 2 figure 1.
Il n'est pas indispensable de combiner le dispositif destiné à fournir les tensions de grille avec un dispositif destiné à fournir le courant anodique redressé et égalisé comme c'est décrit ci-dessus; il peut aussi être employé sé- parément, en combinaison ou non avec des batteries à courant continu destinées à fournir les courants de plaque et de chauffage et, en général, il peut être employé partout où l'on désire obtenir des tensions continues constantes à l'aide d'un réseau à courant alternatif et où les courants continus qu'on désire dériver des points à tension constante, sont nuls ou à peu près nuls.