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" Perfectionnements apportés aux dispositifs pour coupler deux pièces par liaison automatique, notamment aux atta- che-capots, serrures,, etc.n.
La présente invention est relative aux disposi- tifs pour coupler deux pièces par liaison automatique et elle concerne plus spécialement (parce que c'est dans leur cas que son application paraît devoir offrir le plus d'in- térêt, mais non exclusivement, parmi ces dispositifs, les attache-capots, serrures, etc..
Elle a pour but, surtout, de rendre tels, les dispositifs du genre en question, que tout en étant plus pratiques que jusqu'ici, ils soient d'utilisation plus é- tendue et d'un effet plus efficace.
Elle consiste, principalement, à faire comporter à l'une des pièces à coupler une partie mâle, propre à ê- tre engagée dans un logement, ménagé dans l'autre plesdites pièces et constitué de manière telle, que lors du coupla- ge, une de ses parois soit appliquée sur une des faces la-
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térales de la partie mâle, par un élément de poussée-/ par exemple un galet ou analogue engagé entre la face latéra- le opposée de la partie mâle et la paroi voisine du loge- ment susdit, cette paroi présentant à cet effet une incli- naison appropriée, l'immobilité des deux pièces à coupler étant obtenue, d'une part, par l'application de deux sur- faces l'une contre l'autre, et, d'autre part,
par le coin- cement de l'élément interposé et cela avec une pression d'autant plus grande que l'effort qui tend à écarter les deux pièces est plus grand, la séparation desdites pièces ayant lieu par le déplacement de-l'élément de poussée sous la commande d'un organe manoeuvrable de l'extérieur.
Elle consiste, mise à part cette disposition principale, en certaines autres dispositions, qui s'utili- sent de préférence en même temps et dont il sera plus ex- plicitement parlé ci-après.
Elle vise plus particulièrement certains modes d'application, ainsi que certains modes de réalisation desdites dispositions ; elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les dispositifs du genre en question, comportant applica- tion de ces mêmes dispositions, les éléments spéciaux pro- pres à leur établissement, ainsi que les appareils et ins- tallations comportant de semblables dispositifs.
Et elle pourra, de toute façon, être bien com- prise à l'aide du complément de description qui suit, ain- si que des dessins ci-annexés, lesquels complément et des- sins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indica- tion.
Les fig. 1 à 2 de ces dessins montrent respecti-
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vem t-14é dispositifs établis conformément va l'invention.
Les fig. 3 et 4 montrent respectivement en coupe transversale suivant 3-3 fige 4 et en vue de dessus, cer- taines parties coupées, un élément attache-capot établit[ conformément à l'invention.
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Les fig. 5 et 6 montrent respectivement en cou- pe transversale suivant 5-5 fig. 6 et en élévation une serrure dans laquelle est appliqué, un dispositif établi conformément à une troisième forme de réalisation de l'in- vention.
Selon l'invention, et plus particulièrement se- lon celui de,ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se pro- posant d'établir un dispositif pour coupler deux pièces par liaison automatique, on s'y prend comme suit, ou de façon analogue.
On fait comprondre au dispositif à établir : une pièce a portant une saillie a1 de section transversale rectangulaire, sur la plus grande partie
2 3 de sa longueur, de façon que ses faces latérales a. et a soient parallèles; une pièce b, dans laquelle est ménagé un logement b1 propre à recevoir la saillie al susdite, la paroi b dudit logement venant, dans ce cas, en contact avec la pa-
2 roi latérale a de ladite saillie alors que la paroi op-
3 posée b.. est inclinée par rapport à l'axe dudit logement, comme indiqué clairement sur les différentes figures ;
une pièce de poussée propre à venir n'engager en-
3 3 tre la face a de la saillie a et là paroi inclinée b du logeement b, ladite pièce pouvant être constituée soit par un ou plusieurs galets ou rouleaux ci ou bien par une ou plusieurs billes ± 2 montés sur un support approprié., un ressort e, de tension réglable, prenant appui, d'une part, sur la pièce de poussée, et, d'autre part, sur une pièce f, par exemple un écrou, vissé dans le logement b, de façon à maintenir la pièce c en contact avec les fa- 3 3 ces a et b quand les pièces a et b sont engagées l'une @
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dans l'autre, ce qui a pour effet d'appliquer les parois
2 2 a- et b- fortement l'une sur l'autre et d'empêcher ainsi le dégagement de la pièce a, d'une part, par l'effet de coincement de la pièce c et, d'autre part,
par le frotte- ment existant entre lesdites parois, la pression augmentant d'autant plus que l'effort, qui tend à séparer lesdites pièces, augmente ; un organe de manoeuvre, par exemple une tige i-, établie de manière à pouvoir annuler l'effet de coince- ment, en aginaut: soit, comme montré sur les fig. 1 à 4, sur la piè- ce de coincement elle-même qui est alors déplacée par translation à l'encontre de la poussée du ressort, soit, comme montré sur les fig. B et 6, sur l'élé-
3 ment 1 qui constitue la paroi b du logement b, et qui peut être déplacée relativement à pièce b, par exemple en pivo- tant autour d'un axe 11 monté sur ladite pièce.
En suite de quoi, on obtient un tout, dont le fonctionnement est le suivant.
Le dispositif tel que montré sur les figures 1 et 2 permet de coupler automatiquement deux pièces a et b l'u- ne à l'autre, alors que le découplage est obtenu en agis- sant par traction sur la tige i, la disposition pouvant être au@@@@uée, avec avantage aux dispositifs de liaison ou de bloquage automatiques tels qùe attache-capot, appa- reils de fermeture à fin de course des rideaux métalli- ques, serrures, attelages, appareils d'accouplement de vé- hicules de chemins de fer, etc..
Les fig. 3 et 4 montrent une application de l'invention à un dispositif attache-capot, la pièce a é- tant montée? par exemple sur le châssis d'un véhicule, a- lors que la pièce b est solidaire dû capotm, un anneau n permet de dégager la pièce de poussée ± pour libérer le capot.
Les fig. 5 et 6 montrent une application de l'in- ou
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vention à une serrure, par exemple pour portière ae veni- aule, dans laquelle la saillie al de la pièce a,, portée . par exemple par le montant de la portière /par l'intermé- diaire d'un support approprié s, fait office de pène, a- lors que la pièce b, est portée par la portière q, le ser- rage ayant lieu quand les différents éléments occupent la position montrée sur la fig.
6,¯alors que le desserrage a lieu, par exemple, par l'intermédiaire d'une came exoen- trée o ou analogue, montée sur l'axe rotatif p commandé par la poignée, pour libérer l'élément 11 qui pivote alors automatiquement autour de l'axe 1 1, ce qui annule la pres- sion transmise par les billes c1 sur les pièces adjacentes
2 ' 2 a et b en contact suivant les faces a, et b et permet l'ouverture de la portière. Un verrou permet de caler la came dans la position correspondant à la fermeture.
Comme il va de soi, et comme il ressort d'ail- leurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties, ayant plus spécialement été indiqués; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes, notamment: celle où l'on aurait. recours, non plus à un galet unique, mais bien à plusieurs galets disposés soit sur un même axe, soit sur deux ou plusieurs axes parallèles, ces galets pouvant alors avoir des diamètres différents entre eux ; celles où les surfaces de contact des pièces à re- lier entre elles seraient, non pas des plans, mais bien des surfaces cylindriques ou autres.
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RE S U 11: È.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.