BE1029193B1 - Dispositif destine a eviter ou a limiter les consequences des carambolages sur routes et autoroutes - Google Patents

Abstract

Un système automatisé venant compléter les feux rouges "stop" des véhicules liés a l'utilisation de la pédale des freins, permettant aux automobilistes et autres usagers de la route d'être prévenus de manière à la fois beaucoup plus rapide et plus précise de l'intensité de freinage auquel est soumis un véhicule situé en amont, mais pas seulement, cette information pouvant également se révéler être d'une grande utilité dans certaines circonstances bien spécifiques même quand un véhicule est suivi par un autre. Egalement, une manière beaucoup plus rapide de signaler aux autres utilisateurs une situation dangereuse ou une avarie apparue brusquement à un véhicule, par une action qui peut être immédiate, contrairement à ce qui est nécessaire comme temps lorsque le temps de réaction est capital et que le conducteur doit retrouver l'interrupteur " AD HOC" des feux de détresse, parfois dans l'obscurité, ce gain de temps indéniable pouvant faire la différence entre un accident grave ou mineur, ou même pas d'accident du tout.

Description

3. Août 2021 16:06 Libr. FORT-JACO 02 3744954 N° 4794 P.L 8 BE2021/0051 1

DISPOSITIF DESTINE A EVITER OU A LIMITER LES CONSEQUENCES DES CARAMBOLAGES SUR ROUTES ET AUTOROUTES.

DESCRIPTION Tout véhicule, même les plus anciens, sont équipés de ce qu'il est convenu d'appeler "bouton interrupteur des feux de détresse ", qui entraîne l'allumage simultané et au même rythme que les indicateurs de direction des 2 blocs optiques d'indication de direction, gauche et droite, tant à l'avant qu'à l'arrière. 5Ce dispositif est à utiliser chaque fois que quelque chose d'anormal se passe, soit au véhicule lui- même en cas d'avarie quelconque pour avertir les autres usagers de la route que le véhicule est en difficulté, soit lorsque le conducteur est témoin de ce qu'un accident vient d'avoir lieu en amont, et qu'il convient évidemment de prévenir ceux qui le suivent qui ne l'on probablement pas encore remarqué, le premier véhicule se trouvant être dans leur champ de vision. 10Ce dispositif, très utile, souffre néanmoins d'un grave défaut qui pourrait être sérieusement amélioré et valorisé, et ceci de deux manières différentes. C'est le but du présent brevet d'invention. 1)- PREMIER POINT DE CETTE DEMANDE DE BREVET D'INVENTION, L'interrupteur se trouve être tout naturellement sur le tableau de bord, parmi toute une série d'autres, et si d'aventure un conducteur est brusquement et soudainement confronté à un camion 4 5semi-remorque qui se couche sur la route après un coup de volant un peu trop appuyé et ce par temps de pluie, obstruant les deux voies de l'autoroute comme cela arrive souvent, le stress et l'état de surprise et de tension extrême qu'une telle situation engendre pour un conducteur qui suivait directement ce véhicule va être très défavorable à des réactions rapides, notamment et principalement à mettre ses feux de détresse au plus vite. 20Cect, entre autre, pour la raison qu'il faut pouvoir IMMEDIATEMENT localiser le bon interrupteur parmi tous les autres, même si il y pense tout de suite, ce qui ne se fera pas sans perdre plusieurs précieuses secondes, et si cela se passe de nuit, le délai sera encore plus important à beaucoup plus important. Ceci, même dans le cas où ce conducteur se trouve être à une distance suffisante et à même de pouvoir s'arrêter à bonne distance du véhicule accidenté qui lui barre la 2 stoute, | Or, dans tout ce qui peut améliorer la prise de conscience des autres utilisateurs de la route de ce qu'il convient de redoubler de prudence, puisqu'un problème est signalé par un usager, la rapidité de réaction des uns et des autres est FONDAMENTALE ET PRIMORDIALE en termes d'efficacité. Il ne faut pas perdre de vue que, à 120 KM/h, chaque seconde de perdue avant de JOprévenir effectivement les autres usagers de la route se traduit par une "perte" de plus de 33 mètres, l'effet de surprise passé, quatre secondes pour localiser et activer cet interrupteur plus les minimum

0.8 seconde dans le meilleur des cas pour lever le pied de l'accélérateur et commencer à freiner effectivement par le conducteur qui suit, et on arrive à 160 mètres de perdu que pour éviter un carambolage si souvent meurtrier. Ceci, sans compter les dégâts matériels au coût parfois zxorbitant pour la société.

3. Août 2021 16:07 Libr. FORT-JACO 02 3744954 N 4794 Pp. 7 | BE2021/0051 2 D'où l'idée de modifier les dispositions suggérées dans des brevets d'invention précédents, où, pour rappel, était suggéré d'avoir deux niveaux en profondeur pour les indicateurs de direction, l'un, simplement en abaissant ou en levant la manette des indicateurs de direction ou clignoteurs aux fins de signaler que le véhicule à l'intention de se DEPORTER vers la gauche ou verts la droite, ou, après avoir préalablement tiré la manette des indicateurs de direction VERS SOI, avant de l'abaisser ou au contraire, de la relever, pour indiquer que le véhicule va effectivement s'engager dans la prochaine rue, avenue ou chaussée située sur sa gauche ou sur sa droité respectivement.

Il est donc suggéré, qu'en lieu et place d'avoir deux niveaux sur la manette des indicateurs de 1 (direction comme rappelé ci dessus, on en rajouterait en fait un troisième, qui se matérialisera par le fait de pousser cette manette fermement vers le bas aux fins d'enclencher les dits "feux de détresse "; en fait, on délocaliserait simplement l'interrupteur des feux de détresse qui ne se trouverait plus sur le tableau de bord, mais bien incorporé dans la manette des indicateurs de direction.

1 5Tout le monde sait où se trouve cette manette d'indication de direction, même dans l'obscurité et sans devoir y réfléchir, pour l'utiliser de manière machinale et automatique et à tout bout de champ, chaque fois que l'on désire se déporter ou s'engager dans une voie à sa gauche ou sa droite ; le fait de savoir qu'en la poussant vers le bas on enclenche immédiatement les feux de détresse permettra de gagner des secondes et des secondes pour la plupart des conducteurs, et des secondes, 2 0les secondes et des secondes pour certains autres.

Dans le but d'éviter d'enclencher cette position de la manette par inadvertance, il y aura une encoche dans l'axe longitudinal pourvu d'un ressort suffisamment puissant et d'une bille que pour éviter tout enclenchement involontaire ; cette position une fois enclenchée interdisant bien évidemment d'abaisser ou de relever la manette des indicateurs de direction ; du reste, comme c'est 2 fléjà le cas actuellement, un rappel bien visible sur le tableau de bord avertira de ce que ces feux de détresse sont activés, complétés le cas échéant par un signal sonore.

En résumé, les conducteurs, de manière générale étant prévenus beaucoup plus rapidement, la conséquence MATHEMATIQUE de cette disposition nouvelle se traduira par une diminution #tlrastique des dégâts tant matériels que corporels. Ceci d'autant plus, que cette manipulation simple 3 (pe répercutant chaque fois de véhicule précédent à véhicule suivant, le gain de temps et donc de réaction sera cumulatif, se matérialisant finalement par un gain cumulatif inappréciable.

Ceci constituait le premier point. Cette dernière remarque est du reste d'un impact positif encore plus marqué en ce qui concerne le second point de cette demande de brevet d'invention. 2)- DEUXIEME POINT DE CETTE DEMANDE DE BREVET D'INVENTION.

3 STout conducteur est conscient du fait que les feux rouges liés aux freins indiquent que le conducteur d'un véhicule qui précède a au moins le pied sur la pédale des freins ; s'il se trouve être encore assez éloigné, cette information visuelle ne donne qu'une idée très imprécise de l'intensité du ralentissement auquel ce véhicule est soumis, surtout par temps de forte pluie, avec la circonstance que les essuie-glaces ne clarifient réellement la Vue que par intermittence seulement,

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FORT-JACO 02 3744954 N° 4794 P. 8 BE2021/0051 3 Dans ces circonstances donc, mauvaise ou en tout cas insuffisante appréciation de la vitesse à laquelle l'on se rapproche de ce véhicule se trouvant en amont, et qui au minimum, ralentit.

Le résultat, régulièrement des accidents parfois graves où des véhicules dont le conducteur a été surpris et qui se tamponnent à des vitesses souvent très importantes, car réalisant trop tard que ce véhicule ralentissait de façon très importante.

En effet, les feux rouges qui s'allument dans les circonstances précitées, excepté s'il se trouve à une distance proche ou très proche, ne donnent, comme dit, que très peu d'information à celui qui le suit ; ce véhicule pourrait légèrement ralentir avec l'intention de pouvoir lire une plaque indiquant la prochaine sortie par exemple, ou au contraire, freiner au maximum de ses possibilités à la vue 10d'un autre véhicule en travers de la route qui sort brusquement de l'ombre sans aucun feux.

Ces feux rouges liés à la pédale de freins sont une indication, mais une indication dans bien des cas insuffisante qui peut être améliorée si complétée par le dispositif proposé ci-après.

Il est en effet du plus grand intérêt de fournir au conducteur qui suit un véhicule, de L'INTENSITE du ralentissement auquel un conducteur en amont aura estimé devoir imprimer à son véhicule, ceci 1 tant tout aussi utile même dans le cas où ces deux véhicules sont proches, car le temps de réaction du second en sera fortement réduit par le fait même de cette information IMMEDIATE et supplémentaire dont il ne jouissait pas avant.

Le principe est le suivant :

Trois tubes G, G1, G2 et G3 dans lesquels coulissera une pièce métallique cylindrique maintenue 2(par un ressort soigneusement calibré et qui sera pourvue d'une excroissance plus fine terminée par un petit plateau pour pouvoir entrer en contact avec la roulette du micro-switch concerné, seront disposés dans un boîtier parallèlement au sens de déplacement du véhicule et bien horizontalement également, avec chaque micro-switch qui réagira en fonction de l'importance du ralentissement par le fait d'un poids différent, de plus en plus léger ; donc G1 réagira le premier, entraînant la mise en 2 circuit de l'interrupteur des feux de détresse, puisque connecté en parallèle sur ce dernier.

Bien évidemment, comme c'est déjà le cas à l'heure actuelle, les indicateurs de direction sont purement et simplement temporairement mis hors service tant que cet interrupteur est enclenché, soit manuellement par le conducteur, soit automatiquement par Gl dès que la décélération aura atteint la valeur critique entraînant l'activation du micro-switch de G1. 3gËt ce sera identiquement pareil pour les deux autres G2 et G3, dès que la décélération aura atteint leur valeurs critiques respectives, ceci en fonction de leur poids.

Le matériau des tubes sera choisi de manière à faciliter au maximum la fluidité du poids correspondant respectivement à GI, G2 et G3. Le micro-switch G1 enclenchera donc les feux de détresse à la fréquence normale, au même 34ythme que les indicateurs de direction, rythme que l'on retrouve pratiquement dans l'immense majorité des véhicules, toutes marques confondues.

Lorsque la décélération sera suffisante que pour activer le micro-switch de G2, les feux de détresse seront activés à un rythme de 2 ou 2.5 fois le rythme de base, puisque la valeur globale de CI sera amputée de la valeur de CG2 qui lui est connecté en parallèle. ( Voir le schéma du multivibrateur 4 proposé qui est adjoint à la demande du présent brevet d'invention ). La même chose se produira lorsque la décélération atteindra l'activation de G3, la fréquence de clignotement FG2 étant cette fois également multipliée par 2 ou 2.5, par la valeur du condensateur CG3 dont sera amputé C1. Ces fréquences de clignotement seront définies plus tard avec précision en fonction des essais qui

3, Août 2021 16:08 Libr. FORT-JACO 02 3744954 N° 4794 P.J BE2021/0051 4 seront effectués à l'aide d'un panel de profils de conducteurs que pour déterminer quelles sont Jes fréquences les plus souhaitables de FG2 et FG3 que pour différencier et optimaliser les trois degrés visuels d'importance de décélération. En résumé : Chaque conducteur disposera donc de quatre niveaux d'importance concernant la manière dont ralentit le ou les véhicules qui le précèdent : 1) - Feux rouges uniquement. Ralentissement léger à déjà assez marqué.

2) - Feux rouges plus les feux de détresse, les quatre blocs optiques des indicateurs de direction clignotant au rythme normal. Ralentissement déjà assez marqué à fort.

108) - Feux rouges plus les blocs optiques comme ci dessus, mais à la fréquence FG2. Ralentissement important à très marqué indiquant que le conducteur a quand même été quelque peu surpris.

4) - Feux rouges plus comme en 3, mais à la fréquence FG3, Freinage d'urgence ou quasi d'urgence se situant probablement à la limite de l'adhérence des pneumatiques sur route humide ou mouillée. REMARQUE : 4 gl est tout À fait utile de laisser les quatre feux, arrière ET AVANTS, car un conducteur qui freine intensément à cause d'un obstacle, ou qui vient de freiner intensément, doit pouvoir se rendre compté, en regardant dans son rétroviseur, de ce qu'un véhicule qui le suivait freine fortement si pas désespérément, et donc s'il en a la possibilité, de laisser le maximum d'espace possible entre lui et ce véhicule, quitte à ré-accélérer quelque peu ou à freiner lui même moins fort, donc de lui laisser un maximum d'espace pour éviter qu'il ne le tamponne par l'arrière, quitte à se rapprocher le plus près possible de l'obstacle qui lui a fait ralentir de manière brutale Ini-même.

Il ne peut être conscient de la situation délicate de celui qui le suivait qu'en ayant aperçu les feux de détresse avant indiquant un freinage à la limite de l'adhérence des pneumatiques ou approchant. Le dispositif repris sur la feuille de dessin, schéma électronique/électrique adjoint à la présente 2 5demande de brevet est d'une grande simplicité, a le mérite d'être donc peu coûteux, en plus d'être même assez facilement adaptable éventuellement à des véhicules plus anciens pour lesquels ce dispositif pourrait être adjoint au prix de transformations relativement minimes et facilement réalisables, mis à part l'interrupteur des feux de détresse délocalisé sur la manette des indicateurs de direction.

7 1 est à noter que dès que le stade Gl de décélération est atteint, que l'interrupteur des feux de détresse soit activé ou pas, cela ne change plus rien puisque le switch de G1 activé ferme le circuit, puisque ce switch est en parallèle sur cet interrupteur des feux de détresse.

Il est à noter que GI ne pourra s'activer qu'à partir d'un ralentissement déjà non négligeable, car bien sûr, comme actuellement, les indicateurs de direction sont évidemment dans un sens, court- cireuités. À moins de dédoubler les circuits d'indicateurs de direction qui alors deviendraient indépendants, ce qui ne semble être ni vraiment utiles ni intéressant du point de vue de la lisibilité pour les autres usagers de la route. De toutes manières, si la manette des indicateurs de direction a été activée au niveau 2, de même que pour les indicateurs de déportation à droite ou à gauche au niveau 1, dès que la décélération retombe en dessous du niveau critique de G1, tant les indicateurs 40 de direction que les autres reprennent leurs fonctions instantanément.

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On remarque sur le schéma que le détecteur de décélération G1 est pourvu d'un switch facultatif, (partie entourée d'un pointillé), permettant d'adjoindre comme dit précédemment un boîtier séparé à des véhicules anciens, qui entraînerait que tous les contacts des clignoteurs seraient tantôt branchés en configuration "connections d'origine" du véhicule, tantôt branchés sur le nouveau 5 boîtier en configuration "mise à niveau" par un inverseur multi-contacts dont la bobine serait activée dès que la décélération est suffisante que pour entraîner l'activation de GI.

Claims (2)

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   REVENDICATIONS 1 ) - Est réputé brevetée la délocalisation de l'interrupteur des feux de détresse, qui se trouvera être commandé par le même levier que celui qui sert à l'indication des indicateurs de direction et des indicateurs de déportation vers la gauche ou vers la droite, par le simple fait de pousser fermement la manette de ces indicateurs de direction ou clignoteurs vers le bas, donc à un troisième niveau, entraînant donc l'allumage des feux de détresse de la façon la plus rapide qui soit. Ce troisième niveau étant sécurisé par un système de ressort et bille et une encoche dans la partie longitudinale du levier de commande des clignoteurs, et également par un rappel lumineux sur le tableau de bord, aux fins d'éviter toute fausse manoeuvre qui serait imtiée par inadvertance, Même si l'on peut nourrir les plus grandes interrogations quant à la brevetabilité de la délocalisation d'un interrupteur, l'on peut.néanmoins défendre le concept nouveau d'une manette des indicateurs de direction à trois niveaux, dont la réelle et incontestable utilité ne fait par ailleurs aucun doute.
2. 2 )- Est réputé breveté, tout système qui utilise un moyen de quantifier un ou plusieurs niveaux de force G de décélération lors de manoeuvres de freinage, aux fins d'informer les autres usagers de la 1 5route de l'importance du ralentissement qu'ils ont décidé d'imprimer au véhicule qu'ils conduisent, ceci pour prévenir ces derniers de manière visuelle par le biais de feux, notamment les blocs optiques dévolus aux indicateurs de direction ou clignoteurs, ou éventuellement des blocs optiques supplémentaires indépendants, ceci en prenant plusieurs aspects codifiés, notamment par modification de leur fréquence de clignotement,