OA21001A - Médicament à base de plantes naturelles pour le traitement de la métastase et son procédé de préparation - Google Patents

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L’invention concerne un médicament à base de plantes naturelles permettant de traiter les métastases et son procédé de préparation. Il s’agit d’une combinaison de cinq produits naturels: feuilles de papayer (carica papaya), chèvre feuille (lonicera periclymenum), ail (alium sativum), vin blanc (raphia), aubergine local (solanum torvum). Ce médicament se présente sous la forme liquide et a une durée de conservation de trois (3) ans à l’air libre à une température de 25 °C.

Description

Médicament à base de plantes naturelles pour le traitement de la métastase et son procédé de préparation.
Cette invention concerne un médicament fait à base de plantes naturelles pour le traitement de la métastase et son procédé de préparation. Il s’agit de : Feuilles de papayer ou (carica papaya), chèvre feuille ou (lonicera periclymenum), ail ou (alium sativum), vin blanc de raphia et aubergine local ou (solanum torvuni). Le cancer métastatique est un cancer qui s’est propagé de l’endroit où il est apparu à une autre partie du corps.
Le cancer d’origine est appelé tumeur primitive. Le cancer qui se développe dans une autre partie du corps est appelé cancer métastatique. Pour reconnaître les symptômes de la métastase, il est important de savoir qu’il existe plusieurs sortes de métastases notamment : Métastases tumorales (cerveau) nausées, vomissements, vertiges, troubles de la concentration ; Métastases pulmonaires (aux poumons) : toux persistante, essoufflement, gêne respiratoire ;
Métastases osseuses : douleurs. Ces signes n’expliquent pas suffisamment qu’un cancer se métastase encore faut-il savoir comment celui-ci se métastase : lorsqu’un cancer évolue, les cellules cancéreuses peuvent se détacher de la première tumeur (cancer primitif, migrer et s’installer dans un ou plusieurs autres organes. Le plus souvent, les métastases se développent dans les poumons, le cerveau, les os ou le foie.
Les métastases peuvent être déjà détectables lors du diagnostic initial ou se développer après que la tumeur primaire ait été traitée, le plus souvent dans les 5 ans. Le cancer peut se propager n’importe où dans le corps. Les examens radiologiques sont variés : échographie, radio, scanner, TPE Scan, scintigraphie osseuse... Cela peut être également des bilans biologiques, des marqueurs sanguins, et pour certains cancers, des marqueurs sanguins sont extrêmement efficaces pour nous dire si oui ou non il y a une rechute.
Malgré l’efficacité des traitements du cancer, des cellules cancéreuses se développent parfois dans d’autres organes. Lorsqu’une nouvelle tumeur s’est formée à distance du cancer d’origine, on parle de cancer au stade métastatique. Si les métastases représentent un adversaire de taille dans la lutte contre le cancer, les chercheurs comprennent mieux leur mode de prolifération.
Lorsque les cellules cancéreuses se multiplient dans un organe, elles forment une tumeur qui va grossir au fil du temps. Dans certains cas, des cellules malades vont s’en détacher et réussir à se faufiler dans l’organisme, en passant par la circulation sanguine. En l’occurrence, elles empruntent le réseau des nouveaux vaisseaux (néo-angiogènèse) que la tumeur a tissé autour d’elle pour se nourrir. Par cette voie, les cellules vont alors s’accrocher à un autre organe et y former une nouvelle tumeur dite secondaire.
Le plus souvent, ce sont les poumons, le foie ou les os qui sont fréquemment touchés. « Certains tissus cibles offrent un environnement favorable, avec des facteurs de croissance et des chimiokines qui attirent les cellules cancéreuses et favorisent leur multiplication », explique le pr Fabrice André. Oncologue à l’institut Gustave Roussy (Villejuif) et chercheur à l’Inserm. Les métastases peuvent être présentes dès la découverte du premier cancer ou se développer quelques années plus tard.
Il est difficile, en l’état actuel des connaissances, de prédire le risque. « Si on analysait la moelle osseuse de patientes traités pour un cancer du sein localisé (non métastasé), on trouverait des micro-métastases chez 30% d’entre elles», observe le Pr André. Certaines de ces cellules cancéreuses vont rester « dormantes » dans une sorte de niche, alors que d’autres vont proliférer et former une nouvelle tumeur.
Tous les cancers n’évoluent pas de la même manière. Sans que l’on sache pourquoi, les cancers du testicule métastasent beaucoup, mais ils se traitent aussi très bien, car ils sont fortement sensibles à la chimiothérapie. La situation est plus compliquée pour d’autres types de cancer. Des tests se développent, actuellement, pour essayer de les classer en fonction du niveau de risque.
Le PR. André en donne un exemple : « Dans le cancer du sein, il existe des tests moléculaires qui permettent de prédire la capacité de certaines formes de cancer à métastaser. Cette information nous permet d’ajuster ensuite le traitement. Certaines patientes peuvent ainsi éviter la chimiothérapie. Ces tests sont pratiques dans 60% des cancers du sein aux Etats-Unis, ils ne sont pas remboursés en France.
Et l’oncologue d’ajouter : « Des études sont en cours pour rechercher des traces de métastase dans le sang. A partir de là nous allons pouvoir comparer l’intérêt d’une intervention précoce et d’une simple surveillance », explique le pr André. Les résultats sont attendus dans trois ans environ. Les symptômes sont liés à l’organe qui a été colonisé. Il peut s’agir de douleurs dans les os ou d’essoufflement si le poumon est atteint.
Il serait intéressant de répondre aux questions suivantes : Quel cancer se métastase plus facilement ? Comment savoir si on a un cancer généralisé ? Comment savoir s’il y a des métastases ? Comment apparaissent les métastases ? La réponse à ces questions se trouve dans l’énumération suivante : Le cancer peut se propager n’importe où dans le corps. La plupart des cancers ont tendance à se propager plus souvent à un emplacement plutôt qu’à d’autres.
Par exemple, le cancer du sein et le cancer de la prostate se propagent le plus souvent aux os. Un cancer est généralisé quand, depuis la tumeur initiale, il s’est propagé dans d’autres parties du corps, pour créer de nouvelles tumeurs appelées métastases. Il y a des symptômes communs au cancer généralisé ; fatigue, pertes de poids, manque d’appétit. Les examens d’imagerie qui dépendent de l’organe atteint. En général, pour une maladie métastatique, on utilise en permanence l’un ou plusieurs des examens suivants ; le scanner, l’IRM et le PET-SCAN ». Lorsque les cellules cancéreuses se multiplient dans un organe, elles forment une tumeur qui va grossir au fil du temps. Dans certains cas, des cellules malades vont s’en détacher et réussir à se faufiler dans l’organisme, en passant par la circulation sanguine.
D’une manière générale, les cancers métastatiques sont difficiles à traiter car ils, sont très complexes et ils évoluent plus rapidement que la maladie initiale. « En comparant le génome de métastases au génome du cancer primitif, on se rend compte que le nombre de mutations des cellules cancéreuses a augmenté, de même que leur capacité à créer des mutations. Ces processus sont très actifs et créent des résistances aux traitements » constate le Pr. André.
Le patient peut, néanmoins, vivre de nombreuses années avec un cancer au stade métastatique. « Grâce aux nouvelles modalités thérapeutiques apparues ces dernières années. Il y a eu une amélioration de la durée de vie des patients dans certains types de cancer (cancer du poumon, mélanome, cancer du sein HER2...) cela reste néanmoins, une maladie mortelle à moyen terme pour la plupart des patients » souligne le Pr. André.
La recherche se concentre actuellement sur la détection précoce des métastases pour ensuite, choisir la stratégie la plus efficace : surveiller leur évolution ou les traiter avant l’apparition des symptômes. Plusieurs examens sont utilisés. - L’étude des ganglions sentinelles : elle est réalisée au moment de la chirurgie visant à retirer la tumeur primaire. - Les examens d’imagerie (échographie, scanner, radiographie, scintigraphie, TEP scan) : ils permettent de détecter des métastases qui font plus de quelques millimètres.
Malgré l’efficacité des traitements du cancer, des cellules cancéreuses se développent parfois dans d’autres organes. Peut-on prévenir cette propagation ? Comment traiter les métastases ? Lorsqu’une nouvelle tumeur s’est formée à distance du cancer d’origine, on parle de cancer métastatique. Les métastases correspondent a des cellules cancéreuses qui se trouvent en dehors de leur organe d’origine” (cf. Dr. Paul Cottu, médecin oncologue à l’institut Curie).
Plus précisément, une cellule cancéreuse peut grandir, se diviser et se répandre dans le tissu ou les structures qui l’entourent mais aussi se propager à une autre partie du corps en circulant dans le système lymphatique circulation sanguine. Une tumeur qui s’est propagée à une autre partie du corps (poumon, foie, cerveau, os par exemple) est appelée une métastase. On peut également parler d’un cancer métastasique, d’une maladie métastasique ou encore d’une tumeur métastatique.
Toutefois, peu importe où il est situé, le cancer est toujours défini par son tissu d’origine, autrement dit, son point de départ. Ainsi, un cancer du sein qui a envoyé des métastases au cerveau ne sera pas un cancer du cerveau, mais un cancer de sein métastatique. Le risque qu’un cancer évolue en cancer métastatique dépend de plusieurs éléments, notamment : - le type de cancer - la taille et l’emplacement du cancer primitif - la rapidité avec laquelle le cancer primitif se développe - la probabilité qu’il se propage - depuis combien de temps la tumeur primitive est dans le corps.
Les métastases peuvent se développer très rapidement. Ou plusieurs années après le diagnostic initial, tandis que certains cancers ne métastaseront jamais. L’éradication de cette maladie n’est pas l’exclusivité de la médecine conventionnelle. En jetant un regard sur la médecine traditionnelle, on se rend vite compte de l’efficacité de celle-ci dans l’éradication des tumeurs et de ses métastases.
En médecine traditionnelle africaine cette pathologie est éradiquée avec un médicament fait à base de plante, de vin de raphia et de fruits. Ainsi sa composition est faite de : Feuilles de papayer ou (carica papaya), chèvre feuille ou (lonicera periclymenum), ail ou (alium sativum), vin blanc de raphia et aubergine local ou (solanum torvum). Ainsi, pour obtenir 7 litres de médicament il faut respecter le dosage suivant: feuille de papayer ou (carica papaya)·. 100 grammes: chèvre feuille ou (lonicera) : 35 grammes ; ail ou (alium sativum) : 35 grammes, vin blanc de raphia ; 2 litres ; aubergine locale ou (solanum torvum) : 500 grammes. Ecraser et ajouter 5 litres d’eau avant la macération.
Feuilles de papayer ou (carica papaya) : il facilite la digestion, calme l’inflammation, protège l’appareil digestif et traite l’insuffisance gastrique et duodénale. En infusion, les feuilles soulagent les ballonnements et sont légèrement laxatives. Les graines aident également à rééquilibrer la flore intestinale et luttent contre les parasites digestifs, Elles aident à combattre les champignons, vers (ascaris, oxyure) et bactérie (staphylocoques, salmonelles) ; - antiinflammatoire, analgésique : les graines de papaye aident à calmer l’inflammation, notamment grâce à leurs richesses en acides gras essentiels. Elles soulagent les douleurs articulaires, l’arthrose. Leurs vertus analgésiantes peuvent aider à soulager la névralgie sciatique : - dépuratif et protecteur hépatique : la graine de papaye aide à dépurer le foie de ses toxines, prévient et aide à guérir les troubles hépatiques (cirrhose) ;
Antioxydant : la richesse en antioxydant de la feuille lui confère un rôle protecteur contre le stress oxydait et les radicaux libres, responsables du vieillissement cellulaire prématuré. Elle est aussi un anticancer. - antiviral : la graine de papaye aide à combattre certaines infections virales. Dans certains pays tropicaux, elle est utilisée pour soigner la fièvre typhoïde et la dingue. Protecteur rénal : la graine de papaye protège les reins et prévient l’insuffisance.
La graine de papaye peut limiter l’absorption des lipides et glucides, donc être un allié pour la perte de poids ; - contraceptif naturel : les graines de papaye en cure peuvent aider à réduire la production de spermatozoïdes ; cette technique ancestrale est utilisée dans de nombreux pays asiatiques. En usage externe, cette plante est : - cicatrisante, réparatrice, anti-inflammatoire, analgésique.
Le papayer aide à cicatriser les plaies, l’acné, les piqûres d’insectes et les irritations ainsi que les verrues, furoncles et les phénomènes inflammatoires comme les œdèmes en application locale. En usage interne, il se prend comme une tisane : une cuillère à café de feuille de papayer dans une tasse d’eau chaude, laisser infuser une dizaine de minutes, boire trois fois par jour ; en décoction.
Faire bouillir quatre cuillères à café de feuilles par litre d’eau quelques minutes, puis laisser infuser hors du feu une dizaines de minutes, filtre et boire deux à trois tasses par jour après les repas. Une décoction peut aussi être effectuée avec les graines préalablement moulues ; graines moulues : moudre cinq à six graines deux fois par jour et ajouter à une cuillère de miel ou saupoudrer sur un plat pendant un mois.
Le papayer est composé de plusieurs substances actives dont les principales sont : - acides gras essentiels ; enzymes (du latex) papaïne, chymopapaïne - flavonoïdes, caroténoïdes (lycopène, Lutéine, bêta-carotène) alcaloïde (carpaïne) - glucosinolates (glucatropéoline) - pectine vitamine (C, A) - minéraux (potassium, calcium) - acides animés.
- Chèvre feuille ou (lonicera periclymenum) : Le chèvrefeuille, arbuste grimpant très parfumé, émet un parfum agréable lorsqu’il fleuri. Il pousse à l’état sauvage dans presque toute l’Europe et est très répandu en France. Il dispose notamment de propriétés diurétiques. L’espèce voisine du chèvrefeuille sauvage peut se cultiver dans les jardins. A son nom latin lonicera periclymenum s’oppose ses noms populaires : Saute-buisson, herbe de chèvre, herbe de la pentecôte, ou encore fleur du miel. De la famille des caprifoliacées, elle a les propriétés thérapeutiques suivantes. - Reins : calculs, cystite, diurétique. - Poumon : bronches, toux, catarrhes, asthme. - Substances antibiotiques actives : sur le colibacille et le staphylocoque. Audelà de ces propriétés thérapeutiques, il sert aussi pour des usages populaires ;
- Anti-catarrhale : action expectorante, - Nettoie la peau, les reins : diurétique, goutte, hydropisie, gravelle, foie : jaunisse, engorgements, rate. Voici quelques façons d’utiliser cette plante et le dosage correspondant. — Infusion-fleurs : 4 à 8 gr par litre d’eau, prendre 2 à 3 tasses par jour. Contre la toux, le rhume, les catairhes pulmonaires, l’asthme neveux, le hoquet, les convulsions, les migraines.
Sirop : s’obtient en faisant réduire à feu doux une décoction concentrée de fleurs avec un poids égal de sucre. Infusion des feuilles en cas de calculs rénaux : 1 litre par jour. Laisser infuser 10 minutes, boire en plusieurs fois dans la journée. - dans tous les autres cas, une cuillerée à soupe de feuilles pour un quart de litre d’eau bouillante. Laisser infuser 10 minutes. Boire trois tasses par jour entre les repas.
Bronches-tisane : 1 cuillerée à café de la plante (écorce et/ou feuilles pour un quart de litre d’eau bouillante. Laisser infuser 10 minutes. Sucrer au miel : 2 à 3 par jour entre les repas. - Décoction d’écorce - diurétique : 6 à 8 grammes par litre. Prendre 4 tasses par jour. - Macération : Laisser macérer 150 grammes d’écorce dans 1 litre vin blanc. Prendre 3 verres par jour. Les fruits du chèvrefeuille sont toxiques.
A propos de principes chimiques actifs, les fleurs du chèvrefeuille contiennent de l’acide salycilique, une essence, du saccharose, de rinvertine et également un glucoside. Utilisé depuis des millénaires pour lutter contre des maladies infectieuses, il est également riche en acides hydrox cinnamiques, flavonoïdes, tanins et saponines tris terpéniques. Ainsi, le chèvrefeuille est plébiscité en cosmétique pour ses propriétés apaisantes, adoucissantes et régénérantes.
Autre propriété du chèvrefeuille, il est apprécié pour son action diurétique. Il améliore l’évacuation des urines et le fonctionnement de l’appareil urinaire. Pour cette raison il est utilisé dans la prise en charge des oliguries (diminution du volume des urines). Cette plante contient de l’acide salicylique, une substance qui a une propriété antiseptique (désinfectante). Elle permet de lutter contre certaines infections d’origine bactérienne.
Elle est particulièrement efficace contre les colibacilles (bactéries responsables de gastro-entérites et d’infections urinaires) et les staphylocoques (bactéries très répandues qui peuvent entraîner de nombreuses infections). Le chèvrefeuille est souvent conseillé pour traiter les angines.
- Ail ou (alium sativum) : Il est réputé pour ses propriétés bactéricides et antifongiques.
C’est une plante très largement employée en phytothérapie comme remèdes traditionnel et populaire. Pendant la première Guerre Mondiale, on se servait de l’ail (Allium Sativum) pour soigner les infections. Les propriétés bactéricides et antifongiques de cette plante sont d’une grande importance pour la santé humaine. Des scientifiques américains ont analysé le lien entre la consommation d’ail et d’oignon dans une sauce portoricaine appelée sofrito et les risques de cancer du sein.
D’après leurs résultats, manger de l’ail et de l’oignon chaque jour réduirait de 67% le risque de développer ce type de cancer. L’on se poserait bien la question de savoir si l’ail est toxique ? Il est généralement conseillé de le retirer lorsque vous utilisez de l’ail en cuisine. Si vous le manger ne vous en fait pas. Contrairement à beaucoup d’idées reçues, il n’est pas toxique. De nombreuses études récentes ont confirmés les effets bénéfiques de l’ail contre le cholestérol, l’hypertension et les thromboses.
Selon d’autres recherches, l’ail, au même titre que l’oignon, préviendrait certains cancers et renforcerait les défenses naturelles de l’organisme. Parlons de son effet anticancéreux, l’ail, comme tous les alliacées, aurait un potentiel protecteur contre divers cancers de l’estomac et colorectaux (côlon,prostate, ovaires...).
Les études effectuées autour de ce sujet préconisent une consommation régulière de l’ail frais. L’ail cru apporte en moyenne 11 IKca pour 100 g soit 470 kj. L’ail a été particulièrement étudié pour ses propriétés bénéfiques pour la santé : réduction du risque de maladie cardiovasculaires, effets anti-tumeur et antimicrobien, réduction de la pression sanguine et régulation de la glycémie (Ried, 2008 ; Bayan, 2014 ; Nicastro, 2015 ; A1CR/WCRF,2O18). Ces propriétés pourraient être expliquées par la présence de composés tels que la quercétine, l’allixine, aibsi que de nombreux composés organosulfurés (allicine, alliine et sulfures d’allyle).
- Vin blanc de raphia : Le vin de raphia, tout comme celui de palme, est une boisson naturelle, alcoolisée.
Respectivement, ils sont tirés du raphia et du palmier à huile. Selon les consommateurs invétérés des deux breuvages, le vin de palme est plus capiteux, c'est-à-dire plus ‘’fort” que celui du raphia à cause de sa forte teneur en alcool. Pour ce qui est du raphia, le vin extrait des raphias n’est autre chose que la serve de celui-ci. La cueillette se fait deux fois par jour (tôt le matin et au coucher du soleil) les champs de raphia se trouvent un peu éloignés des habitations, dans les marécages. Comme tout corps périssable, le raphia après un cycle de production qui peut durer cinq tours d’extractions s’affaiblit et meurt ; à ce moment il est bon pour le feu.
- Aubergine locale ou (solanum torvum) : Très peu calorique, elle est gorgée de saponine connue pour absorber les graisses et combattre la cellulite. Il s’agit de l’aubergine sauvage ou locale, la plante à mille vertus reconnues pour vaincre tous types de tumeurs.
Considérée comme un trésor de guérison contre les cancers de sein. Peu calorique, riche en fibres, riche en antioxydants ; stimulant du transit intestinal, et participant à la prévention de certaines pathologies. Parlons des valeurs nutritionnelles et caloriques de l’aubergine.
Pour 100g d’aubergine cuite : Energie 32,7 kcal ; Eau 88,6g ; Protéines 1,33g ; Glucide (g/100 g) 4.17g ; Lipides (g/100) 0,28g ; Le cancer est une tumeur maligne. C’est une maladie provoquée par la transformation de cellules qui deviennent anormales et prolifèrent anarchiquement. En effet par un dérèglement les cellules du tissu ou de l’organe concerné se multiplient de façon excessive.
L’aubergine sauvage a également des effets bénéfiques contre la constipation et elle diminuerait le risque de cancer selon une étude récente en 2019.
Pauvre en sodium, riche en potassium (240mg/100g) et en eau (92%), elle purifie l’organisme. On recommande l’aubergine en cas d’inflammation des voies urinaires Elle est aussi laxative.
Sa teneur élevée en fibres (205%) adoucit les maux digestifs, accélère le transit intestinal et lutte contre la constipation. Regardons actuellement les éléments constitutifs de ce fruit/légume. Fibres : essentielles pour maintenir un système digestif sain et aide à se sentir rassasié plus longtemps. Manganèse : très utiles pour soigner les terrains allergiques tout particulièrement l’allergie cutané (eczéma) ou l’allergie respiratoire (asthme) spécialement chez l’enfant.
Il participe à la prévention des dommages causés par les radicaux libres. Potassium : essentiel au bon état des muscles du système nerveux, de la fonction cardiaque et de la pression artérielle. Vitamine B1 et B6 : les vitamines du groupe B interviennent dans toutes les réactions cellulaires du corps. Nécessaire à une bonne qualité de peau, cheveux ; ongles. Vitamine C : anti fatigue ; anti infectieuse, elle booste le système immunitaire et favorise l’absorption du fer.
Antioxydante, elle contribue à la santé des dents, des os, des cartilages. Magnésium : aide à retrouver un sommeil paisible ; à relativiser des réactions comme des crampes spontanées, à réguler des troubles du système cardiaque, des syndromes pré mensuels. Cuivre : nécessaire à la formation du collagène (protéine qui sert à la réparation des tissus) contribue à renforcer les défenses du corps.
Parlant du dosage, voici les quantités correspondantes de chaque élément. Feuilles de papayer ou (carica papaya) ; 100 gr. Chèvre feuille ou (lonicera periclymenum) 35 gr. Ail ou (alium sativum) gr. Vin blanc (raphia) 02 L Aubergine local ou (solanum torvum) 500 gr.Après avoir nettoyé chacun de ces éléments, on les pille ensemble en y ajoutant de l’eau. Une fois le mélange homogène obtenu, l’on procède avec un tamis à la séparation du liquide et des débris.
Le liquide obtenu a une coloration jaune et devrait se prendre trois fois par jour, une cuillère à soupe le matin à jeun, à midi quinze minutes avant le repas et le soir· au couché. Le médicament est conditionné dans des bouteilles en plastiques de 500 ml, sous une température de 25 °C avec une durée de conservation de trois (03) ans.

Claims (3)

1- Médicament à base de plantes naturelles permettant de traiter les métastases caractérisé en ce qu'il est la combinaison de cinq produits naturels : feuilles de papayer (carica papaya), chèvre feuille (Jonicera periclymeminï), ail (alium sativum), vin blanc (raphia), aubergine local (solanum torvum).
2- Procédé de préparation du médicament à base de plantes naturelles permettant de traiter les métastases selon la revendication 1, caractérisé en ce qu’il comprend les étapes suivantes :
- sélectionner et nettoyer des produits naturels : feuilles de papayer (carica papaya) 100 gram, chèvre feuille (lonicera periclymenum) 35 gram, ail (alium sativum) 35 gram, vin blanc (raphia) 2 L, aubergine local (solanum torvum) 500 gram ;
mélanger et piler en y ajoutant de 5 litres d’eau et après avoir macérer et procéder au tamisage pour obtenir sept litres de médicament.
3- Médicament à base de plantes naturelles permettant de traiter les métastases obtenu selon les revendications précédentes, caractérisé en ce qu’il a une durée de conservation de trois (3) ans à l’air libre à une température de 25 °C.
OA1202200249 2022-06-22 Médicament à base de plantes naturelles pour le traitement de la métastase et son procédé de préparation OA21001A (fr)

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