OA17527A - Agglomérés à joints internes pour construction et leur procédé de frabrication. - Google Patents

Agglomérés à joints internes pour construction et leur procédé de frabrication. Download PDF

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OA17527A
OA17527A OA1201500285 OA17527A OA 17527 A OA17527 A OA 17527A OA 1201500285 OA1201500285 OA 1201500285 OA 17527 A OA17527 A OA 17527A
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Marcel ONGOLO MBOUNI Guy
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Marcel ONGOLO MBOUNI Guy
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L'invention concerne un procédé pour fabriquer des agglomérés de ciment à joints internes façonnés dans un moule ainsi que leurs exploitations. Procédé selon lequel un bloc de construction creux à trous prolongés avec base amovible (5) ou support de mortier, de forme générale parallélépipédique est façonné dans un moule, puis retiré du moule en un bloc. Les blocs peuvent être constitués par des bordures pour chaînage a joints internes pour former des coffres de moulage des linteaux et des chaînages. L'état amovible du support de mortier (5) facilite la pose des conduits électriques (14) ou de tout autre conduit dans des réservations internes au mur sans avoir à créer des saignées et permet aussi de poser le mortier à l'intérieur des parpaings, excluant ainsi le crépissage. Les parpaings peuvent être peints avant leur mise en oeuvre. Ces agglomérés à joints internes permettent d'offrir un logement décent et peu coûteux avec un temps de mise en oeuvre assez court. Par la réduction des coffrages en bois, il participe à la protection de l'environnement.

Description

L’invention concerne le domaine des éléments de construction en forme de blocs, notamment des agglomérés de ciment ou parpaings destinés à la construction des murs en bâtiment, et elle se rapporte plus particulièrement à la structure physique et à la technique de mise en œuvre des agglomérés à jointoiement interne, ainsi que les éléments amovibles qui y sont liés.
La fabrication des agglomérés de ciment reprend dans son principe le très ancien système des moulages artisanaux de terres argileuses destinés à obtenir un matériau de construction régulier. Pour le bloc béton encore appelé parpaing, on utilise un béton moulé pour obtenir différents modèles, de formes et de dimensions répondant à des utilisations ciblées.
En effet, les parpaings classiques utilisés pour la réalisation des murs ont une structure creuse ou pleine constitués de deux bouts, de deux faces et d’une base et présentent globalement une forme parallélépipédique. Ils sont en général composés de granulats (pierres, graviers, sable) issus de carrières locales, de ciment (calcaire et argile) et d'eau. Leurs dimensions sont généralement de 20 cm de hauteur, 40 cm de longueur, leur épaisseur totale est variable. Les épaisseurs les plus courantes sont 10 cm, 15 cm (refend), ou 20 cm (190 mm) (porteur extérieur), plus rarement 5 cm (planelle), ce qui reste limité dans la construction.
II est connu actuellement d’utiliser, pour élever les murs d’une maison une méthode qui consiste à superposer simultanément des parpaings verticalement rangés et horizontalement alignés par assise liés les uns aux autres par des joints extérieurs.
C’est sur la base du parpaing qu’est posé le mortier servant à la liaison des parpaings les uns sur les autres. Les blocs sont jointés entre eux grâce à une fine épaisseur de mortier en général de 1 cm à 1,5 cm. Ce mortier encore appelé joint est externe, c'est-à-dire visible sur chaque parement du mur et lui donne un aspect irrégulier et non-conforme par rapport à celui des parpaings.
Cette irrégularité et non-conformité d’aspect de parpaings par rapport au mortier de pose s’expliquent par :
une granulométrie différente issue de la différence de sable employé dans la fabrication des parpaings d’une part et la confection du mortier de pose d’autre part ;
- une épaisseur irrégulière du mortier de pose sur chaque parpaing ;
- une horizontalité approximative du mortier de pose qui s’affaisse sous l’effet du poids des parpaings.
Toutes ces réalisations de parpaings et méthodes de construction connus nécessitent obligatoirement le crépissage pour harmoniser les parements des murs avant l’application des
peintures augmentant in facto les coûts en main d’œuvre et en matériaux qu’on aurait pu éviter.
Par ailleurs la présence d’une base sur le parpaing mais inamovible servant de réceptacle de mortier de pose bloque tout passage de canalisations électriques, téléphoniques, d’air, de froid et climatisation etc. L’intérieur des murs obligent à faire des saignées après la montée des murs. Ces saignés qui sont généralement faites à l’aide d’un poinçon et d’un marteau font vibrer les murs et les fissures qui y naissent les fragilisent. Par conséquent, ils perdent leurs propriétés mécaniques (stabilité, résistance...).
Toutefois la pose du mortier sur la base du parpaing nécessitent pour la montée d’un mur un peu plus d’énergie et donc plus de main d’œuvre. Il faut au moins deux personnes pour le faire, un maçon et un manœuvre. On note aussi une perte de mortier tombé au sol de l’ordre de cinq à dix pour cent en fonction de la compétence du maçon.
Un autre problème posé dans l’art est qu’il est impossible de passer de la maçonnerie sèche à la maçonnerie de consolidation par jointoiement pendant la montée des murs. Fait souvent observé dans nos collèges lors des enseignements d’initiation de nos jeunes élèves à la maçonnerie. On se voit toujours obligé de défaire les murs pour les joindre par un mortier de pose afin de les consolider.
Enfin, la structure du parpaing actuel à savoir, creuse avec une base de rétention du béton de bourrage permet d’obtenir seulement des murs poids dans les travaux de fondation avec une bonne stabilité au renversement face à la poussée des terres mais, une résistance interne faible du au jointoiement au mortier. Il serait plus rigide si le béton de bourrage servait en même temps de joint.
La présente invention a pour objet de régler les insuffisances précités par un apport des solutions concrètes, tout en présentant préférentiellement des performances au moins équivalentes au niveau du produit final. Elle a pour but le procédé de fabrication et d’exploitation des agglomérés de ciments dont la structure a été modifiée pour recevoir non plus un jointoiement externe mais plutôt interne.
De ce fait, ils sont préfabriqués et finis c'est-à-dire déjà peint et ne nécessitant aucune autre finition (crépissage) après la pose, ce qui suppose une élévation des murs avec tout le dispositif de canalisation électrique, de froid et climatisation, de menuiserie en terme d’ouverture etc.
L’invention est une technologie, avec un effet direct sur les effectifs intervenant dans la construction, effectifs souvent pléthoriques, responsable de l’alourdissement des coûts. Elle est économique et vise à alléger les coûts de la main d’œuvre, à réduire les quantités de matériaux et le temps de travail dans les chantiers.
Elle est écologique puisque réduisant de manière considérable l’utilisation du bois comme coffrage par l’utilisation des bordures comme coffrage de divers chaînages.
L’invention sera décrite de façon plus détaillée dans la suite à propos des exemples de réalisation donnée à titre non limitatifs et représentée sur des dessins annexés.
La figure 1 représente schématiquement une vue en perspective de la première composante du parpaing 15x20x20 Cm selon un mode de réalisation de l’invention ;
La figure 2 représente schématiquement une vue en perspective de la première composante du parpaing 15x20x40 Cm3 selon un mode de réalisation de l’invention ;
La figure 3 représente schématiquement une vue en perspective de la première composante du parpaing 15x20x60 Cm3 selon un mode de réalisation de l’invention ;
La figure 4 est une vue en perspective du parpaing de la figure 1, séparé de son élément amovible ;
La figure 5 est une vue en perspective de la mise en œuvre du parpaing de la figure 2 ;
La figure 6 représente schématiquement les agglomérés pour les angles de murs nécessitant un chaînage vertical ;
La figure Ί représente schématiquement les agglomérés (bordures) pour chaînage horizontal ;
La figure 8 est une vue de dessus d’une partie de mur réalisée par juxtaposition des blocs courants et des bordures de coffrage selon les figures 2 et 7 ;
La figure 9 est une vue de dessus d’une partie de mur réalisée avec les éléments de canalisation d’électricité.
En référence à ces dessins, l’invention est un aggloméré à joints internes de forme générale parallélépipédique dont le dosage en matériaux, à savoir : ciment, granulats et eau ne change pas comme dans les autres cas et de dimensions variables conçu fini, c'est-à-dire déjà crépi et peint, comprenant une première composante (figures 1, 2, 3) constituée d’un ou de plusieurs parties creuses (1) ouverts à la base avec des feuillures internes (2) sur les bouts et sur la séparante du milieu (4), et des feuillures externes (3) sur les quatre côtés de chaque face latérale (6,7). Sur les feuillures internes (2) de la première composante peut se loger une seconde composante qui est en effet constituée des plaques amovibles (5) rectangulaire ou carré d’épaisseur variables appelées support de mortier destinées à recevoir le mortier de pose pour joint. Les deux composantes forment ainsi un bloc de construction unique.
Les feuillures extérieures (3) servent architecturalement à ressortir de manière prononcée les faces des parpaings (6,7), à les protéger au cours des différents déplacements contre des chocs qui écraseraient ou effriteraient les quatre bords de la feuillure qui forment chaque face latérale du parpaing évitant ainsi un endommagement de la peinture des deux faces libres (7). Ces faces latérales libres (7) sont ensuite peintes aux oxydes de fer ou à la peinture puis vernies le cas échéant pour ressortir l’aspect fini près à l’emploi.
Cette structure de parpaings permet lors de la montée des murs que des éléments de canalisations (14) électrique, téléphonique, à eau, à air ou de climatisation, tels que les gaines (13) et tous les tuyaux soient directement logés à l’intérieur desdits parpaings dans le prolongement vertical de leur creux (1). Ces travaux sont faits simultanément puisqu’aucun mur monté ne sera perforé pour des saignés.
Aussi, rendu au chaînage haut, portes et fenêtres sont positionnées à leur place respective, tous les interrupteurs électriques, tous les scellements disposés.
Selon un premier mode de réalisation, pour constituer le parpaing, le procédé consiste à fournir, d’une part, une première composante (figure 2) , de forme parallélépipédique 15x20x40 cm3 avec des faces supérieure et inférieure et des faces latérales (6,7), délimitant ensemble deux espaces creux (1) ouverts au niveau des faces supérieure et inférieure précitées, et, d’autre part, des plaques minces rectangulaires ou carrés, de 5mm d’épaisseur ou plus et amovibles appelés support de mortier (5) pour venir en application intime contre les deux creux de la face supérieure de la composante creuse, ce par un mouvement dans une direction perpendiculaire aux faces supérieures de la composante creuse, et, ensuite, à assembler les deux composantes précitées pour réaliser un bloc de construction.
Pour mettre en œuvre les parpaings dans la réalisation des fondations, nous partons du fait que les parpaings sont constitués des trous (1) qui se prolongent vers la base et permettent un bourrage aisé. Ils sont classés comme en maçonnerie sèche sur un fond de fouille garni d’un béton de propreté sur lequel reposera un dallage de 10 cm environ. La maçonnerie sèche terminée, les parpaings sont bourrés chaque 20 cm pour ressortir des colonnes de béton verticales qui partent du fond de la fouille vers le haut avec pour particularité que, ce béton de bourrage sert à la fois de joint. Il est à noter que le béton de bourrage ne sera pas coulé à fleur du niveau supérieur de la dernière assise. Ce creux (1) servira de loge pour le mortier qui Assurera la liaison entre le mur de fondation et les bordures de chaînage.
Pour faire la mise en œuvre en « super structure », les techniques de pose pour la construction des murs sont les mêmes pour ce qui est du plombage des parpaings d’extrémité, de l’alignement horizontal et vertical, de la discontinuité verticale des joints. Nous disposons nos parpaings par assise comme en maçonnerie sèche tout en respectant les règles de pose. Ils sont collés bout à bout par des joints verticaux (8). Pour la première assise, un mortier de mince épaisseur est déposé dans chaque trou de parpaing pour le lier horizontalement (9) à la fondation ou au dallage selon le cas. Les supports de mortiers (5) sont alors posés sur les feuillures internes (2) de chaque parpaing en attente de mortier de l’assise suivante. Tout en respectant les règles de pose, la deuxième assise est posée tout le long du mur, puis un mortier de mince épaisseur 1cm environ est versée sur chaque loge. Les autres assises sont posées de la même manière jusqu’au chaînage haut. Une barbotine de bouchardage de trous laissés pendant la pose est confectionnée. Toutes les salissures essuyées.
Une autre application des agglomérés de ciment est le cloisonnement : dans la mise sur pied des cloisons de maison préalablement construites, en un ou deux jours, se sera désormais simple à réaliser avec toutes les couleurs désirées. Une semelle de stabilisation en béton armé est faite sur toute la trajectoire du mur, le mur de dix est monté dessus, portes et fenêtres montées simultanément.
Les parpaings trouvent également leur application dans la réalisation des perrés. Ils peuvent désormais être constitués des murs faits de nos agglomérés coulés et ferraillés le cas échéant comme dans la construction des murs de fondation. La rigidité est assurée par des colonnes de béton de bourrage qui longent le mur pour lutter contre les poussées éventuelles des terres. Ils sont faits d’agglos de 15x20x60 cm3 en bandes de cinq mètres maximum pour éviter les problèmes de dilatation.
Selon une variante de réalisation du bloc de construction, il peut être prévu de fabriquer, les agglomérés pour chaînage (fig 7) qui sont en réalité des bordures appelées à jouer le rôle de coffre de bétonnage, par moulage dans un moule existant. Ils sont constitués d’un pied (10) qui permet à la bordure de s’assoir convenablement sur le mur à chaîner pendant la maçonnerie et d’un parement (11). Il existe un angle formé entre le parement (11) et le pied (10) de la bordure. Inférieur à 90°, il permet une obliquité vers l’intérieur à sa pose, stabilisant ainsi la bordure.
Les agglomérés pour chaînage trouvent leur application dans la réalisation des linteaux et chaînage haut. Les agglomérés pour chaînage encore appelés bordures pour chaînage sont préalablement maçonnés formant ainsi un coffrage en attente (12), ferraillage et béton sont logés dans les creux laissés par ce coffrage en maçonnerie tout comme en fondation.
L’invention n’est pas limitée aux modes de réalisation décrits et représentés aux dessins annexés. Des modifications restent possibles, notamment du point de vue de la constitution des divers éléments ou par substitution d’équivalents techniques, sans sortir pour autant du domaine de protection de l’invention.
ABREGE DESCRIPTF
L'invention concerne un procédé pour fabriquer des agglomérés de ciment à joints internes façonnés dans un moule ainsi que leurs exploitations.
Procédé selon lequel un bloc de construction creux à trous prolongés avec base amovible (5) ou support de mortier, de forme générale parallélépipédique est façonné dans un 5 moule, puis retiré du moule en un bloc.
Les blocs peuvent être constitués par des bordures pour chaînage a joints internes pour former des coffres de moulage des linteaux et des chaînages.
L’état amovible du support de mortier (5) facilite la pose des conduits électriques (14) ou de tout autre conduit dans des réservations internes au mur sans avoir à créer des saignées 10 et permet aussi de poser le mortier à l’intérieur des parpaings, excluant ainsi le crépissage. Les parpaings peuvent être peints avant leur mise en œuvre.
Ces agglomérés à joints internes permettent d’offrir un logement descend et peu coûteux avec un temps de mise en œuvre assez court. Par la réduction des coffrages en bois, il participe à la protection de l’environnement.

Claims (7)

  1. REVENDICATIONS
    1. Agglomérés a joints internes pour construction, caractérisés en ce que les parpaings sont constitués d’une première composante creuse de forme générale parallélépipédique et une seconde composante amovible (5).
  2. 2. Agglomérés selon la revendication 1, caractérisés en ce que la première composante est constituée d’un ou de plusieurs parties creuses (1) ouverts à la base avec des feuillures internes (2) sur les bouts et sur la séparante du milieu (4), et des feuillures externes (3) sur les quatre côtés de chaque face latérale (6,7).
  3. 3. Agglomérés selon la revendication 1, caractérisés en ce que la seconde composante qui est constituée des plaques minces rectangulaires ou carrés, de 5mm d’épaisseur ou plus et amovibles appelés support de mortier (5) viennent en application intime contre la ou des face(s) supérieures de la composante creuse.
  4. 4. Procédé pour l’exploitation des agglomérés a joints internes selon les revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les bordures pour chaînage a joints internes permettent de former des coffres de moulage des linteaux et des chaînages.
  5. 5. Procédé selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que la technique de construction de mur de fondation permet de passer de la maçonnerie sèche à la maçonnerie de consolidation seulement par bourrage des parpaings cidessus cités au béton, le béton servant à la fois de bourrage et de joint de parpaing.
  6. 6. Procédé selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que la technique de construction de mur de maison avec un mortier de pose non visible, parce que posé à l’intérieur des parpaings sur un support amovible (5), support situé lui-même à l’intérieur du parpaing, permet d’exclure de facto le crépissage d’où la possibilité de peindre les parpaings avant leur mise en œuvre.
  7. 7. Procédé selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que l’état amovible du support de mortier (5) facilite la pose des conduits électriques (14) ou de tout autre conduit dans des réservations internes au mur sans avoir à créer des saignées qui désintègre la structure par vibration.
OA1201500285 2015-07-20 Agglomérés à joints internes pour construction et leur procédé de frabrication. OA17527A (fr)

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Publication Number Publication Date
OA17527A true OA17527A (fr) 2017-02-10

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