LU81887A1 - Procede de fabrication d'une chaussure et chaussure obtenue par ce procede - Google Patents

Description

( î i| La présente invention se rapporte à la fabrication de chaussures I telles que, par exemple, des bottes, des souliers, des sandales ou des sabots.

3 La présente invention propose un procédé de fabrication d'une 1 chaussure, comprenant une étape de préformage, à partir d'une feuille flexible ,4 " 5 par exemple en cuir, d’un élément constitué par une semelle intérieure, [| destinée à supporter le pied, associée à me première section de tige comprenant 4 " deux flancs latéraux, destinés à s'étendre respectivement le long des côtés I opposés du pied, la semelle intérieure et les flancs latéraux étant formés 4 soit en une seule pièce, soit en pièces séparées reliées entre elles, pour 1 -jQ constituer ledit élément ; une étape d'ajustement dudit élément sur une forme 1 *· à chaussure qui définit la forme interne de l'article fini ; une étape consis- I tant ensuite à enfermer la forme à chaussure revêtue dudit élément dans la I cavité d'un moule,comportant intérieurement des bordures saillantes d'étanchéité

Iqui servent a pincer ladite première section de tige sur la forme a chaussure 15 a proximité des bords de ladite première section de tige, mais à une certaine | distance de ceux-ci et à fermer la cavité du moule, ledit moule recevant une forme telle, qu'en relation avec la forme I chaussure et ledit élément, il I définisse la forme d'un bloc semelle et, en une seule pièce, la forme de la p ou des sections restantes de la tige ; et une étape consistant à injecter, j|[ 20 dans la cavité du moule, une matière plastique sous une forme liquide solidi- I fiable, réalisant ainsi, en une seule opération de moulage, le bloc semelle de la chaussure et la ou les sections restantes de sa tige, la matière plastique recouvrant également les bords de la première section de la tige sur la face extérieure de celle-ci.

Îj 25 .¾ L'invention a également pour objet une chaussure comportant une „ tige dont une première section comprend deux flancs disposés de manière à j| s'étendre respectivement sur les côtés opposes du pied.de l'utilisateur, une | semelle intérieure destinée à supporter le pied, les flancs latéraux étant | préformés avec la semelle intérieure à partir d'une feuille flexible, par | 30 exemple en cuir, on constituant ensemble soit une seule pièce, soit des 4 | pièces séparées réunies pour former un seul élément et un bloc semelle en matière plastique moule intégralement avec la ou les sections restantes de la tige sur ladite première section de celle-ci et la semelle intérieure, la ou'Lesdites sections restantes de la tige recouvrant des portions du bord . 35 des faces extérieures et non intérieures des flancs latéraux, ce qui fait que l ia surface entière de la semelle intérieure et des flancs latéraux fait par- ; tie de la face intérieure de la chaussure.

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I II serait possible, en appliquant un adhésif approprie sur la face m- \ ferIeure de la semelle intérieure et/ou sur les bordures périphériques des flancs é 2 « latéraux, avant d'ajuster ceux-ci sur la forme à chaussure, d'utiliser différents matériaux pour l'élément pré formé et pour la matière plastique. Cependant, des résultats excellents sont obtenus quand la feuille flexible de départ est en cuir et quand la matière plastique est du polyuréthane, étant * 5 donne qu'il a été prouvé que ces deux matériaux forment une excellente liaison adhésive l’un envers l'autre pendant l'étape de moulage, sans qu'il soit nécessaire d’appliquer préalablement un adhésif sur l'élément préformé et de percer des trous dans les bordures du cuir afin de procurer une liaison mécanique avec le polyuréthane.

10 L'invention va maintenant être décrite plus en détail en référence •aux dessins schématiques annexés, donnes uniquement a titre d'exemple nulle-ment limitatifs et dans lesquels : - la figure 1 représente les composants de la coque constituant l'élément de départ du procédé selon l'invention ; 15 - la figure 2 représente ladite coque une fois assemblée ; - la figure 3 représente ladite coque assemblée fixée sur la forme à chaussure ; - la figure I* montre la forme à chaussure, revêtue de la coque, enfermée dans la cavité d'un moule,; 20 - la figure 5 représente la chaussure finie sortie du moule ; - les figures 6 et T sont des vues en coupe de la chaussure suivant respectivement les lignes 6-6 et J-J de la figure 5 ï - la figure Ja représente une variante d'un détail des figures 6 et 7 ; 25 - la figure 8 est une vue en coupe plane faite au niveau du talon ou de la pointe de la chaussure de la figure 5 ; - les figures 9 et 10 sont respectivement des vues latérales et en perspective d'une coque utilisée dans la mise en oeuvre du procédé décrit en référence aux figures 1 a 8 ; 30 - les figures 11 et 12 sont des vues correspondant respectivement aux figures 9 et 10 et montrant la coque disposée sur la forme a chaussure et, - la figure 13 montre la chaussure finie, obtenue par le procédé décrit en réference aux figures 9 à 12.

En se référant a la figure 1, on voit qu'une semelle intérieure 10 35 et deux flancs latéraux 11 et 12 sont taillés dans du cuir et sont ensuite cousus ensemble pour constituer un élément 13 en forme de coque,comme représenté sur la figure 2. Pour ce faire, les deux bords A des pièces 11, 12 sont cousus ensembles de même que les deux bords B des pièces 10,11 et que les "" deux bords C des pièces 10,12. L'élément en forme de coque 13 est alors ajuste Λ ♦ ί 3 b sur une forme à chaussure 15 comme représenté sur la figure 3* Des ergots j de positionnement 16 peuvent être prévus sur la forme à chaussure pour venir ;J s'engager dans deux-trous percés dans chacun des flancs latéraux en vue de maintenir l'élément en forme de coque fermement en place. Cependant, il a m 5 été montré que si l'élément en forme de coque est parfaitement ajusté sur la forme à chaussure, il restera correctement en'place sans qu'il soit néces- μ saire d’utiliser l'ensemble ergots-trous. Le profil extérieur .de la forme à [ '{ » l| chaussure correspond à la forme interne de la chaussure finie, ILa forme à chaussure, ainsi revêtue de -l'élément en' forme de coque, 10 est alors disposée dans la cavité d'un moule, comme représenté sur la figure U, moule conçu pour mouler, en une seule opération, la partie de la chaussure {y compris le bloc semelle) non constituée par l'élément en forme de coque.

Le moule représente comprend deux moitiés de moule supérieures 18 disposées sur les deux cotés du plan vertical longitudinal médian de la chaussure, une 15 plaque supérieure 19 de fermeture de la cavité et une section inferieure de moule 21 incluant un élément de base 22 qui peut être déplacé verticalement pour donner sa forme au bloc semelle. Aux endroits où les flancs latéraux sont absents, il existe un mince espace entre la forme a chaussure et les n ^ I parois de la partie de la cavité formée par les moitiés de moule 18, de il" 20 sorte que le polyuréthane peut remplir cet espace pour former les sections de $ | la tige non constituées par les flancs latéraux. Des nervures saillantes I d'étanchéité fixées sur les surfaces internes des deux moitiés de moule 18 pincent les flancs latéraux Π, 12 contre la forme a chaussures 15* sur toute 2 la longueur de la périphérie de ceux-ci, mais à une certaine distance de · I - .

I 25 leurs bords, afin de former un joint d*etancheite permettant neanmoins du | ‘ polyuréthane liquide, qui est injecté dans la cavité du moule à travers J l'orifice d’injection 2k, de recouvrir les hodures des faces extérieures ! des flancs de manière à se fixer adhésivement par solidification sur celles- ,4 ! ci. La partie de l'élément en forme de coque correspondant au cou-de-pied ;'î ^ | 30 de la chaussure est, grâce à une forme appropriée des moitiés de moule, couverte de polyuréthane pendant l'opération de moulage, comme cela peut i être vu sur la figure 5 qui représente la chaussure à sa sortie du moule. La ! . partie supérieure 26 de chacun des flancs latéraux, dépasse du bord supérieur I 27 de la chaussure (figures 5 a 7) tel que défini par la couche de polyuréthane I . 35 recouvrant la bordure adjacente du flanc et désignée par la référence 28 et | les deux parties 26 sont ébarbées en même temps que les éventuelles bavures de | polyuréthane. Les parties 26 peuvent néanmoins être conservées, pour des :ï ~ I raisons d'aspect extérieur par exemple, dans les cas où l'élément en forme ce i . . ^ ^ · a — _ _ .

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ί « f j \ 1; 16 ne sont pas utilisés/

Tout renfort au talon devant être incorporé dans le "bloc serielle est placé dans le moule avant l’injection de polyuréthane.

Sur la figure 5, les zones de polyuréthane dans la chaussure finie * 5 sont représentées non hachurées tandis que les sections de cuir sont hachurées.

On remarquera ainsi que les rebords recouvrant le cou-de-pied, une partie de la pointe de la chaussure, la zone du talon et la bordure constituant le haut de tige sont recouverts extérieurement de polyuréthane et la figure 8 montre comment le polyuréthane recouvre et 'forme un lien adhésif avec les 10 bordures périphériques·des quartiers de cuir, sur les faces extérieures de »ceux-ci. Le lien adhésif ainsi formé est très résistant et ne nécessite pas * l’adjonction d’un joint mécanique tel que celui qui pourrait être obtenu par perçage de trous le long des bordures périphériques des quartiers. La matière plastique ne s’étend pas sur les faces intérieures des quentiers de cuir, 15 mais forme avec celles-ci une surface lisse continue.

Dans un variante de réalisation, les nervures d’étanchéité, qui définissent la position du haut de tige, sont situées â une certaine distance au-dessus du bord supérieur des flancs latéraux 37 et portent sur la forme à chaussure, de sorte que, dans la chaussure finie, le polyuréthane s’étend au-20 dessus des bords supérieurs des flancs latéraux 37 comme représenté sur la figure 7a· Dans ce cas egalement, le polyuréthane ne recouvre pas les faces intérieures des flancs.

Dans le cas de l’application de l’invention a la fabrication d’un sabot c’est-à-dire d’une chaussure ayant une semelle relativement rigide, qui '25 * reçoit une forme lui permettant de balancer, lorsque 1 ’utilisateur la porte . et une tige qui s’étend sur le cou-de-pied ou la partie frontale du pied, et ne comportant pas de talon, le bloc semelle est moulé à partir de polyuréthane et la tige est constituée par un morceau d’unefeuille de matériau, de préférence du cuir, s'étendant sur le cou-de-pied, les bordures périphériques 30 inférieures de la tige étant moulées dans le bloc semelle ou dans un rebord vertical de ce dernier et la bordure périphérique arrière de la face extérieure de la tige étant recouverte d’une bande de polyuréthane moulée sur la tige en même temps que le bloc semelle.

Sur les figures 9 à 13 est représenté un autre mode d'exécution du 35 procédé, grâce auquel une chaussure de Derby peut être obtenue (voir figure 13), a laquelle chaussure comporte une empeigne 35, comprenant une languette 36 et deux quartiers 37» l’ensemble étant en cuir et le reste de la chaussure y compris le bloc semelle 38 étant obtenusen une seule opération de moulage et en une seule pièce, a partir de polvurethane. Dans certains cas. il peut être 5 J jj « nécessaire d'incorporer une plaque de renfort dans le "bloc semelle auquel cas, cette plaque de renfort sera montée dans la cavité du moule avant l'étape de , moulage et ce, d'une manière connue ën soi.

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Les figures 9 et 10 montrent la coque initiale 3^ faite de morceaux i > h * 5 de cuir cousus ensemble et constituée par les'.deux quartiers 3T et l'empeigne I ^ ' 35, ayant leurs bords inferieurs pliés vers l'extérieur et cousus sur un fond 38. Les coutures 35& relient les parties inférieures de l'empeigne aux quartiers, i mais s'interrompent tout près de la languette 36* L’empeigne s'interrompt à \ proximité de la partie recouvrant les orteils comme représenté.

10 La coque est alors montée sur une forme à chaussure 1*0 qui définit ,'la forme interne de la chaussure finie. La forme à chaussure 1+0 comporte, sur ' sa face frontale, une fente 1+1 destinée & recevoir la languette 36 comme cela peut se voir sur les figure 11 et 12. La forme à chaussure 1*0 peut, en variante, être pourvue d'un renfoncement peu profond sur sa face frontale pour recevoir 15 la languette. La forme à chaussure 1+0 revêtue.de la coque 3I* est alors placée 1 dans la cavité d’un moule (non représenté) qui a une forme telle qu’il ménage ; j un évidement autour de la forme a chaussure èt de la coquç, cet évidement dé- , limitant la forme du bloc semelle et étant fermé aux endroits où il entoure ifj la tige, par des nervures d'étanchéité intégrées dans le moule- Les nervures 20 d'étanchéité sont disposées de manière a venir en contact hermétique avec la j face extérieure de la coque en des endroits situés à distance des bordspéri- f; pheriques de la coque le long de la partie frontale 1+2 de l'empeigne, des bords inférieurs de l'empeigne au-dessus de la ligne de couture 1+3, verticale-

Inent en avant des points 35&* de là à proximité des bords frontaux 1*1+ des deux 25* rebords et le long de toute la longueur du haut de tige de la chaussure. Une - nervure d'étanchéité s'étend aussi, de chaque.côté du moule, selon une ligne • *! '! fermée, désignée par la référence 1+5 sur la figure 13, qui s'étend le long de

Ila bordure inférieure du quartier, à une certaine distance au-dessus de la ligne de couture le reliant à la semelle intérieure, le long d'une ligne sur 30 le quartier, espacée de la première nervure d'étanchéité, le long d’une ligne g située en dessus de la première nervure d'étanchéité à l'endroit où cette ^ dernière s'étend le long du haut de tige 1+7 et, de là, vers le bas en direc- 1 tion des parties inférieures du quartier. De cette façon, quand le polyuréthane i rf est injecté dans la cavité du moule et en état de se solidifier, une pièce Û 135 de renfort 50 bout les orteils, une bande uériohérique 51 sur les parties 8 * .

frontale et supérieure de chaque quartier de cuir, un contrefort 52 recouvrant la partie arrière de la coque de cuir et une bande périphérique recouvrant toute la longueur de la ligne de couture reliant l'empeigne et les quartiers ïj ' _ _ * r» #·> * *·« »-» 1—rv ! 1 Λ *τ. ·5 Λ» T**»^*v n ftWT Μ «η η «·-. ·— .. ^ JL- —. . - μ ϊ λ. S η λ μ η«·· αΊ ί ί * > i : 6

La partie inférieure de la tige, à l'endroit où elle est cousue à la semelle intérieure, fait saillie dans l’évidement prévu pour le "bloc semelle, mais aucun moyen d'écartement n'est utilise pour espacer le matériau de la paroi 1i de la cavité ; en general, la quantité de matériau s'étendant au-delà de la * 5 couture est rendue suffisamment peu importante pour atteindre la paroi de la cavité. De même que dans la construction représentée sur les figures 5 à J, une étroite "bande de cuir peut aussi être éharbêe au-dessus du haut de tige kj de la chaussure, mais il est préférable de conserver cette étroite "bande pour former le haut de tige. Une étroite bande de cuir est egalement ibarbée 10 le long des bords frontaux des revers. Au besoin, le polyuréthane peut s'étendre au-dessus des quartiers latéraux, de manière à former une zone de haut de r tige comme celle représentée sur la figure par un positionnement approprié des nervures d'étanchéité.

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Claims (4)

1,- Procédé de fabrication d'une chaussure, caractérisé en ce qu'il comprend les étapes : j; ^ -de prëformage, à partir d'un matériau sous forme de feuille flexible, [1 5 d'un élément constitué par une semelle intérieure destinée à supporter le pied !| ? associée à une première section de tige comprenant deux flancs latéraux (destinés à s'étendre respectivement le long des côtés opposés du pied, la semelle intérieure et les flancs latéraux étant formés soit en une seule pièce, soit en pièces séparées reliées entre elles, pour constituer ledit J 10,.-élément ; .1 , . d'ajustement dudit élément sur une forme à chaussure qui définit i '1 la forme interne de l'article fini ; •f . de positionnement de la forme à chaussure revêtue dudit élément I dans la cavité d'un moule comportant intérieurement des bordures saillantes il 15 d'étanchéité qui servent à pincer ladite première section de tige sur la forme 1 ... ... à chaussure a proximité des bords de ladite première section de tige, mais à || une certaine distance de ceux-ci et à fermer la cavité du moule, ladite cavité Il du moule recevant une forme telle, qu'en relation avec la forme ä chaussure Il et ledit élément, elle définisse, la forme d'un bloc-semelle et en une seule !rt . il 20 pièce la forme de la ou des sections restantes de la tige et, i' · » m · d'injection, dans la cavité du moule, d'une matière plastique :i| sous une forme liquide solidifiable, ce qui fait que sont obtenus ainsi, j| en une seule opération de moulage, le bloc-semelle de la chaussure et la ou I 'Ά les sections restantes de la tige, la matière plastique recouvrant également i ? | j a -25 les bords de ladite première section de tige, sur la face extérieure de celle-ci,

2.- Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que, dans la zone correspondant au haut de tige de la chaussure, une première nervure | saillante pince chaque flanc latéral sur la forme à chaussure â des endroits sj situés en-dessous des bords supérieurs des flancs et avec un certain espace- Ï5 * 30 ment par rapport à ceux-ci et en ce qu'une second nervure saillante forme un joint avec la forme à chaussure, au-dessus desdits bords supérieurs des ' flancs, la disposition de ces nervures étant telle que le haut de tige de la J ’ chaussure est formé par la matière plastique injectée. ï. - 3.- Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que chaque flanc fîi y J 35 latéral est pincé sur la forme a chaussure par deux nervures saillantes situées fi ] en-dessous et avec un certain espacement par rapport au bord supérieur de i* I chaque flanc, de façon à former une bande de matière plastique s'étendant le k i; , long de chacun des flancs latéraux, à proximité du bord supérieur de ceux-ci, f * * i 8 ! i ladite bande est ébarbée.

4.- Chaussure, caractérisée en ce qu'elle comprend une tige dont une première section comporte· deux flancs disposés de manière à s'étendre respectivement sur les côtés opposés du pied de l'utilisateur, une semelle intérieure j ί 5 destinée à supporter le pied, les flancs latéraux étant préformés avec la t j _ semelle intérieure, à partir d'un matériau sous forme de feuille flexible, soit * en une seule pièce, soit en pièces séparées qui sont reliées entre elles pour constituer un élément unique, et un bloc-semelle en matière plastique, moulé en un seul ensemble avec la ou les sections restantes de la tige sur ladite 10 première section de tige et ladite semelle intérieure, la ou lesdites sections vrestantes de tige recouvrant les bordures périphériques des faces extérieures » ’ et non intérieures des flancs latéraux, ce qui fait que la surface entière de | la semelle intérieure et des flancs latéraux occupe la face intérieure de la chaussure. 15 5.- Chaussure selon la revendication 4, caractérisée en ce que les deux ' flancs latéraux sont interconnectés par une partie de ladite première section de tige, ladite partie s'étendant sur la zone du cou-de-pied de la chaussure, ce qui fait que ladite première section de tige et la semelle intérieure ! encerclent ensemble le pied, au moins dans la zone du cou-de-pied. 20 6,“ Chaussure selon la revendication 5, caractérisée en ce que la face externe de cette partie s'étendant sur la zone du cou-de-pied est recouverte par ladite matière plastique.

7.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 4 à 6, caractérisée en ce que ladite première section de tige s'étend autour de la partie 25 d’extrémité de la chaussure située au-dessus du talon. jm a f 8.- Chaussure selon la revendication 7, caractérisée en ce que la face externe de la feuille de matériau, entourant ladite partie d'extrémité de la chaussure située au-dessus du talon, est recouverte par ladite matière plastique. 30 9.- Chaussure selon l'une quelconque des revendications 4 à 8, caracté risée en ce que, le long du haut de tige de la chaussure,la matière plastique dépasse vers le haut, au-delà du bord supérieur desdits flancs latéraux de telle sorte à constituer elle-même le haut de tige. * » c ·. \ \ ; ? · .