FR3131826A1 - Conteneur pour produit cosmétique pourvu d’un couvercle guidé par une tige intérieure - Google Patents
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Abstract
Le conteneur (1) de produit cosmétique, adapté pour un usage nomade, comporte une base (2) logeant un insert (3) qui délimite un compartiment pour le produit, avec une ouverture entourée par un bord périphérique (32) qui s’étend radialement d’une paroi latérale de l’insert à une paroi périphérique (22) de la base. Le couvercle (5) du conteneur couvre hermétiquement cette ouverture et est maintenu fermé lorsqu’une tige (61) perpendiculaire associée, traversant le bord, est en position d’insertion maximale, donc proximale par rapport à un fond du conteneur. Une poussée sur l’extérieur du couvercle permet de surmonter une contrainte ou verrouillage, en déplaçant le couvercle le long d’une surface supérieure (S32) inclinée du bord (32), compatible avec une remontée de la tige qui guide le déplacement du couvercle, ce déplacement étant ensuite globalement parallèle au plan de l’ouverture. Le conteneur peut faire partie d’un bouchon obturant un ensemble de conditionnement plus volumineux. Figure de l’abrégé : Figure 1B
Description
La présente divulgation relève du domaine des conteneurs de produit cosmétique.
Il est connu du document US10398206 un contenant pour produit et accessoires cosmétiques comprenant un corps destiné à recevoir des accessoires cosmétiques, et un bouchon comprenant plusieurs réservoirs destinés à recevoir des produits cosmétiques. Les compartiments du bouchon sont reliés entre eux par le biais d’une tige, elle-même fixée à un ressort lui imposant un mouvement vertical vers le bas, de manière à créer une tension verticale entre les compartiments leur permettant de rester en place en position ouverte ou fermée. Les compartiments peuvent passer entre la position ouverte et la position fermée par rotation autour de la tige, et le couvercle s’ouvre et se ferme au moyen d’une charnière.
Un des désavantages du bouchon de ce contenant, est que l’encombrement dû au système d’ouverture/fermeture est trop important. Ceci en limite l’intérêt et, de plus, le bouchon est peu adapté pour un usage nomade, par exemple pour être porté dans un sac à main.
Un autre désavantage réside dans le manque d’étanchéité du bouchon.
Il existe donc un besoin pour un conteneur de produit cosmétique étanche, permettant une bonne conservation du produit cosmétique, et d’encombrement minime.
Afin d’améliorer la situation, il est proposé un conteneur de produit cosmétique comprenant :
- une base comprenant une surface inférieure et une paroi périphérique s’étendant depuis la surface inférieure et vers le haut pour délimiter un volume intérieur,
- un insert incluant un espace de réception du produit cosmétique et un bord périphérique, l’insert monté dans le volume intérieur étant creux pour délimiter l’espace de réception qui est accessible par une ouverture supérieure entourée par le bord périphérique,
- un couvercle, mobile par rapport à la base et à l’insert entre une position fermée, dans laquelle le couvercle empêche l’accès au produit cosmétique, et une position ouverte, dans laquelle le produit cosmétique est accessible via l’ouverture supérieure ;
- un système d’étanchéité empêchant la mise en contact du produit cosmétique avec un environnement extérieur lorsque le couvercle est en position fermée ;
- un système d’ouverture/fermeture, apte à faire passer le couvercle entre la position ouverte et la position fermée, comprenant une tige situant un arrière du couvercle et logée dans un trou du bord périphérique de l’insert, la tige coopérant avec le couvercle et s’étendant depuis le couvercle vers la surface inférieure de la base en étant configurée pour se déplacer transversalement par rapport à la surface inférieure de la base pour passer de l’une à l’autre entre une position (position de tige) proximale de la surface inférieure et une position (position de tige) distale de la surface inférieure ;
- un système de contrainte contraignant le couvercle en position fermée, par exemple en sollicitant et/ou en maintenant (retenant) la tige vers sa position proximale, de sorte que le couvercle ne peut pas passer de la position fermée à la position ouverte sans qu’une force ou poussée ne soit exercée sur une partie extérieure du couvercle formant une surface externe du conteneur ;
et dans lequel, pour ladite position de tige proximale, le couvercle repose sur une surface supérieure du bord périphérique de l’insert qui présente une inclinaison (en pente descendante vers une bordure de l’ouverture supérieure).
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- un système de contrainte contraignant le couvercle en position fermée, par exemple en sollicitant et/ou en maintenant (retenant) la tige vers sa position proximale, de sorte que le couvercle ne peut pas passer de la position fermée à la position ouverte sans qu’une force ou poussée ne soit exercée sur une partie extérieure du couvercle formant une surface externe du conteneur ;
et dans lequel, pour ladite position de tige proximale, le couvercle repose sur une surface supérieure du bord périphérique de l’insert qui présente une inclinaison (en pente descendante vers une bordure de l’ouverture supérieure).
Typiquement, le système d’ouverture/fermeture est apte à être actionné sous une poussée du couvercle, de préférence sous une poussée exercée par un doigt sur le couvercle, ce qui peut permettre une ouverture. Une portion d’actionnement du couvercle peut être prévue dans le couvercle sur un côté avant, à l’opposé de la région arrière où la tige se raccorde au couvercle.
Le couvercle est par exemple encastré dans la base dans la position fermée et peut suivre la surface supérieure inclinée en cours de fermeture/encastrement. Le couvercle est apte à glisser suivant l’inclinaison de la surface supérieure pour entraîner un déplacement transversal (abaissement) de la tige depuis et/ou vers sa position proximale.
Le cas échéant, le système d’ouverture/fermeture est dépourvu d’un verrou, le système de contrainte incluant un organe de rappel sollicitant la tige vers sa position proximale (vers le bas/vers le fond de la base) et qui est le seul organe du conteneur à exercer une action de retenue axiale, parallèlement à la tige.
Alternativement, le système d’ouverture/fermeture peut inclure un élément de verrouillage à effet de retenue axiale sur/contre le bord périphérique.
Alternativement, le système d’ouverture/fermeture peut inclure un élément de verrouillage à effet de retenue axiale sur/contre le bord périphérique.
Un élément de verrouillage tel que susmentionné peut être situé par exemple sur l’avant du couvercle (à l’opposé de la jonction tige – partie d’obturation du couvercle). Un tel élément de verrouillage peut éventuellement être caché dans le volume intérieur dans la position de fermeture, et est typiquement actionnable en réponse à une poussée ou action exercée sur le couvercle pour permettre de verrouiller/déverrouiller le couvercle. L’élément de verrouillage peut être élastiquement déformable pour venir s’engager sur un bord ou rebord de prise du bord périphérique, optionnellement mobile en réponse à une poussée axiale ou latérale sur une portion actionnable du couvercle pour se désengager du bord ou rebord de prise.
La surface supérieure du bord périphérique peut s’étendre entièrement au-dessus d’un plan de l’ouverture d’accès au compartiment/espace intérieur (cloisonné ou non) où est logé un ou plusieurs produits.
Dans la position fermée, la tige peut être entièrement cachée, en constituant une tige intérieure. Il est alors permis de cacher le mécanisme de verrouillage de la position fermée, ce qui limite le risque de dégradation externe de ce mécanisme.
Avec cet agencement, il est permis de disposer d’un couvercle ergonomique, réalisant une étanchéité annulaire avec typiquement un verrouillage de la position du couvercle au niveau de la tige qui est typiquement cachée, ce qui permet par exemple d’épurer la géométrie extérieure du conteneur ou tout du moins d’avoir une flexibilité dans l’habillage externe sur la périphérie du conteneur.
Dans des formes de réalisation, en position fermée, une surface interne d’une extrémité périphérique du couvercle, dans la partie de contact, repose sur une surface supérieure du bord périphérique de l’insert, sachant que la surface interne de l’extrémité périphérique du couvercle et la surface supérieure du bord périphérique de l’insert présentent une inclinaison (par exemple suivant un même angle par rapport à un plan d’extension du couvercle), de sorte que la poussée (sur le couvercle) est apte à provoquer une translation du couvercle induite par un glissement entre les inclinaisons respectives de la surface interne de l’extrémité périphériques du couvercle et du bord périphérique de l’insert, entraînant le déplacement transversal de la tige par rapport à la surface inférieure de la base pour faire passer la tige de la position proximale à une position distale de la surface inférieure, et provoquant ainsi le passage du couvercle de la position fermée à la position ouverte.
Le couvercle s’étend perpendiculairement à l’axe central de la paroi latérale de l’insert ou à l’axe de la tige, de préférence suivant un plan, ce plan pouvant être défini par la face externe du couvercle.
Il est prévu un angle d’inclinaison du bord périphérique qui est par exemple inférieur ou égal à 45 ou à 60°, par rapport à un plan du couvercle, de préférence inférieur à 30 ou 40°. Cet angle d’inclinaison peut définir une pente constante dans le bord périphérique et répartie à 360°. En variante, un tel angle d’inclinaison correspond à un maximum de la pente.
Dans des options, par rapport à un plan du dessus de la base, correspondant à une ouverture ou supérieur par lequel est monté l’insert dans la base, il est formé :
- un premier angle, par la surface supérieure du bord périphérique, ce premier angle pouvant être compris entre 5 et 50° ; et
- un deuxième angle, par l’extrémité périphérique du couvercle constituant la partie de contact avec le bord périphérique, ce deuxième angle pouvant être compris entre 5 et 50°.
Optionnellement, ces deux angles sont sensiblement complémentaires. De plus le plan d’extension du couvercle est typiquement parallèle au plan du dessus de la base qui est délimité par le dessus de la paroi périphérique.
- un premier angle, par la surface supérieure du bord périphérique, ce premier angle pouvant être compris entre 5 et 50° ; et
- un deuxième angle, par l’extrémité périphérique du couvercle constituant la partie de contact avec le bord périphérique, ce deuxième angle pouvant être compris entre 5 et 50°.
Optionnellement, ces deux angles sont sensiblement complémentaires. De plus le plan d’extension du couvercle est typiquement parallèle au plan du dessus de la base qui est délimité par le dessus de la paroi périphérique.
L’inclinaison de la surface supérieure du bord périphérique peut présenter une courbure comme vue en profil longitudinal, ce qui créer un profil concave du côté intérieur, délimitant l’accès au compartiment/espace intérieure pour le produit cosmétique. Une courbure similaire est par exemple prévue sur l’intérieur du couvercle, c’est-à-dire du côté de la partie de contact du couvercle.
L’insert présente une paroi latérale annulaire qui s’étend autour d’un axe central. Optionnellement, le couvercle est porté par une tige définissant un axe sensiblement parallèle à l’axe central, qui est par exemple une tige intérieure/non visible (de l’extérieur du conteneur) dans la position fermée. Le trou, formé dans le bord périphérique et traversé par la tige peut être :
- décalé, plus haut ou éventuellement plus bas, par rapport à une zone de contact étanche annulaire (couvercle – bord périphérique) réalisée par le système d’étanchéité ;
- et/ou interposé, radialement, entre une première portion en pente, dans la surface supérieure du bord périphérique, qui est adjacente à une arête annulaire interne de délimitation de l’ouverture supérieure, et une deuxième portion en pente, formée dans la surface supérieure du bord périphérique, s’étendant jusqu’à une extrémité annulaire de la surface supérieure du bord périphérique qui constitue une circonférence extérieure du bord périphérique (et typiquement une circonférence extérieure de l’insert).
- décalé, plus haut ou éventuellement plus bas, par rapport à une zone de contact étanche annulaire (couvercle – bord périphérique) réalisée par le système d’étanchéité ;
- et/ou interposé, radialement, entre une première portion en pente, dans la surface supérieure du bord périphérique, qui est adjacente à une arête annulaire interne de délimitation de l’ouverture supérieure, et une deuxième portion en pente, formée dans la surface supérieure du bord périphérique, s’étendant jusqu’à une extrémité annulaire de la surface supérieure du bord périphérique qui constitue une circonférence extérieure du bord périphérique (et typiquement une circonférence extérieure de l’insert).
Selon une particularité, la tige est configurée pour :
- tirer (traction par le dessous) et ajuster en hauteur une partie d’obturation qui fait partie du couvercle et qui recouvre entièrement l’ouverture supérieure dans la position fermée, la partie d’obturation s’encastrant dans la base en étant logée dans le volume intérieur dans la position proximale de la tige ; et
- faire saillie axialement au-dessus du bord périphérique dans la position distale de la tige, en permettant à l’arrière du couvercle d’être mobile au-dessus de la paroi périphérique.
- tirer (traction par le dessous) et ajuster en hauteur une partie d’obturation qui fait partie du couvercle et qui recouvre entièrement l’ouverture supérieure dans la position fermée, la partie d’obturation s’encastrant dans la base en étant logée dans le volume intérieur dans la position proximale de la tige ; et
- faire saillie axialement au-dessus du bord périphérique dans la position distale de la tige, en permettant à l’arrière du couvercle d’être mobile au-dessus de la paroi périphérique.
Typiquement, la base peut être une enveloppe extérieure d’habillage. Dans des options, seule la base et une partie de dessus du couvercle sont visibles (formant la partie externe d’habillage), dans la position/configuration fermée du conteneur. L’insert peut alors être entièrement caché.
Dans le bord périphérique délimitant l’ouverture supérieure du conteneur, l’inclinaison ou pente de la surface supérieure peut être prévue de part et d’autre d’un plan de symétrie parallèle à la tige est dirigé de l’avant vers l’arrière du couvercle. Une force de rappel permise par le système de contrainte peut s’exercer pour faciliter le retour et/ou le maintien dans la position fermée. Ainsi, un utilisateur qui actionne le couvercle, par exemple suivant une rotation, pour déplacer à droite ou à gauche l’avant du couvercle jusqu’à atteindre ou franchir (axialement) le haut de la paroi périphérique de la base en remontant la pente de la surface supérieure, surmonte une force (typiquement une force de rappel) exercée par le système de contrainte mais bénéficie d’un effet de glissement, grâce à l’inclinaison. Cet actionnement peut en outre être facilité en étant réalisé à l’avant, donc à distance de l’axe de la tige qui situe l’arrière du couvercle.
On comprend que le couvercle qui glisse d’un côté (sur la gauche depuis l’avant par exemple) pour remonter la pente va aussi être soulevé du côté arrière (et vers la gauche) du fait du guidage par la pente. Typiquement si une force de rappel s’exerce au niveau de la tige, l’effet de rappel cesse d’être ressenti/n’est plus maintenu dès lors que le couvercle a franchi un seuil de déplacement correspondant au franchissement d’une pente : la partie d’obturation du couvercle bute en effet axialement sur le dessus de la paroi périphérique. A contrario, l’effet de rappel facilite le positionnement (à la manière d’un réglage fin suivant un premier déplacement angulaire grossier) du couvercle dans sa position finale de fermeture dès que le couvercle s’est rapproché suffisamment de sa position finale (effets combinés du rappel par le système de contrainte et de la pente descendante pour glisser le couvercle vers la position de fermeture hermétique).
Dans certaines options, l’effet de rappel est supprimé et il est prévu un simple verrouillage de la position fermée du couvercle par un effet de retenue axial (bord périphérique – partie d’obturation du couvercle), par exemple obtenu par un organe élastiquement déformable, qui autorise un déverrouillage aisé par poussée sur une partie accessible du couvercle.
Optionnellement, il est prévu une ou plusieurs des dispositions suivantes :
- en position fermée (avec le couvercle au moins partiellement inséré dans le volume intérieur de la base), une surface interne d’une extrémité périphérique du couvercle repose sur la surface supérieure du bord périphérique.
- la surface interne de l’extrémité périphérique du couvercle et la surface supérieure du bord périphérique présentent une inclinaison sensiblement identique.
- le couvercle présente une partie d’obturation configurée pour se déplacer, en réponse à la poussée exercée sur la partie extérieure du couvercle en position fermée, suivant une translation induite par un glissement entre lesdites inclinaisons respectives de la surface interne de l’extrémité périphériques du couvercle et de la surface supérieure du bord périphérique, jusqu’à une position remontée entraînant un déplacement de la tige pour faire passer la tige de la position proximale à la position distale.
- le déplacement de la tige correspond à un déplacement parallèle à la direction générale d’insertion ou d’encastrement du couvercle dans le volume intérieur de la base, et/ou encore à un déplacement transversal par rapport à la surface inférieure de la base, et provoquant ainsi le passage du couvercle entre la position ouverte et la position fermée.
- l’insert présente une paroi latérale pour délimiter l’espace de réception (qui est rendu accessible uniquement lorsque le couvercle quitte sa position fermée).
- la paroi latérale s’étend de façon annulaire autour d’un axe central en joignant le bord périphérique par une extrémité annulaire axiale supérieure qui est opposée à la surface inférieure.
- l’extrémité annulaire axiale supérieure de la paroi latérale (paroi éventuellement cylindrique, optionnellement annulaire et continument arrondie/courbée), délimite l’ouverture supérieure.
- l’ouverture supérieure s’étend entièrement dans le volume intérieur.
- le bord périphérique, annulaire, peut présenter une forme généralement tronconique ou en partie de sphère limitée par deux de ses parallèles, en remontant radialement vers l’extérieur depuis l’extrémité annulaire axiale supérieure, en direction d’un dessus de la paroi périphérique.
- en position fermée (avec le couvercle au moins partiellement inséré dans le volume intérieur de la base), une surface interne d’une extrémité périphérique du couvercle repose sur la surface supérieure du bord périphérique.
- la surface interne de l’extrémité périphérique du couvercle et la surface supérieure du bord périphérique présentent une inclinaison sensiblement identique.
- le couvercle présente une partie d’obturation configurée pour se déplacer, en réponse à la poussée exercée sur la partie extérieure du couvercle en position fermée, suivant une translation induite par un glissement entre lesdites inclinaisons respectives de la surface interne de l’extrémité périphériques du couvercle et de la surface supérieure du bord périphérique, jusqu’à une position remontée entraînant un déplacement de la tige pour faire passer la tige de la position proximale à la position distale.
- le déplacement de la tige correspond à un déplacement parallèle à la direction générale d’insertion ou d’encastrement du couvercle dans le volume intérieur de la base, et/ou encore à un déplacement transversal par rapport à la surface inférieure de la base, et provoquant ainsi le passage du couvercle entre la position ouverte et la position fermée.
- l’insert présente une paroi latérale pour délimiter l’espace de réception (qui est rendu accessible uniquement lorsque le couvercle quitte sa position fermée).
- la paroi latérale s’étend de façon annulaire autour d’un axe central en joignant le bord périphérique par une extrémité annulaire axiale supérieure qui est opposée à la surface inférieure.
- l’extrémité annulaire axiale supérieure de la paroi latérale (paroi éventuellement cylindrique, optionnellement annulaire et continument arrondie/courbée), délimite l’ouverture supérieure.
- l’ouverture supérieure s’étend entièrement dans le volume intérieur.
- le bord périphérique, annulaire, peut présenter une forme généralement tronconique ou en partie de sphère limitée par deux de ses parallèles, en remontant radialement vers l’extérieur depuis l’extrémité annulaire axiale supérieure, en direction d’un dessus de la paroi périphérique.
Selon une particularité, le couvercle inclut la tige qui définit un axe de rotation du couvercle. Pour passer de la position fermée à la position ouverte et inversement, la partie d’obturation du couvercle et la tige (et typiquement la totalité du couvercle) sont en outre aptes à être mis en rotation autour de l’axe de rotation du couvercle par la poussée, exercée au niveau d’un avant du couvercle et selon une direction transversale par rapport à l’axe de rotation et qui est perpendiculaire à une droite (suivant le plan du couvercle) reliant l’arrière du couvercle à l’avant du couvercle. Une telle direction peut être qualifiée de direction généralement tangentielle (non radiale), l’avant du couvercle étant typiquement un point ou une région diamétralement opposée à la tige. Grâce à ce type d’actionnement en rotation, il est créé une rotation qui induit le glissement du couvercle sur la surface supérieure, inclinée, du bord périphérique.
L’inclinaison de la surface supérieure du bord périphérique ne bloque pas cet actionnement et guide plutôt la composante de mouvement selon la direction haut – bas, sachant que la position la plus basse du couvercle correspond à la position de fermeture. Le glissement ascendant sur la surface supérieure peut aussi permettre de surmonter la force de rappel pouvant s’exercer sur la tige (force de rappel pour un effet de retenue dans la position fermée), sans pour autant exercer une traction axiale directement opposée/de sens opposé à la force de rappel.
Selon des formes de réalisation, le système d’ouverture/fermeture comprend en outre une zone de guidage, fixe, formée par un guide (par exemple inclus dans l’insert) à structure sensiblement cylindrique qui entoure la tige, la zone de guidage coopérant avec une partie d’ancrage inclue dans ou rendue solidaire de la tige. Typiquement, la partie d’ancrage est prévue à une extrémité inférieure de la tige. Grâce à ce couplage/guidage, il est permis un déplacement axial contrôlé du couvercle lors de la rotation autour de l’axe de rotation, ce déplacement axial dépendant du déplacement de la partie d’ancrage par rapport à la zone de guidage, de préférence du déplacement d’au moins un ergot (de cette partie d’ancrage ou du guide) dans un rail hélicoïdal ou rainure constituant la partie complémentaire pour l’effet de guidage.
Dans une sous-option, le guidage hélicoïdal est permis en utilisant un ou plusieurs ergots dans une partie d’ancrage, par exemple rendue solidaire de la tige, le rail hélicoïdal qui reçoit ce ou ces ergots constituant la zone de guidage fixe dans le guide. Dans une autre sous-option, c’est la tige qui présente, sur sa face latérale externe, un rail hélicoïdal, en creux ou en relief saillant, pour coopérer avec un relief fixe prévu dans le guide. Dans ce dernier cas, il peut être prévu un ergot, par exemple situé sur la zone de guidage fixe formée par la structure cylindrique (structure qui peut s’étendre sous le bord périphérique et dans le volume intérieur de la base, en entourant la tige). Le rail hélicoïdal est formé le long de la tige et, ici également, la force ou poussée sur le couvercle permet d’entraîner le déplacement relatif du rail hélicoïdal (de la tige) par rapport à l’ergot fixe, entraînant ainsi le passage dudit couvercle entre la position fermée et la position ouverte avec un effet de guidage hélicoïdal.
Le système d’ouverture/fermeture, avec guidage hélicoïdal ou non, peut comprendre en outre un ressort ou autre organe de rappel, monté axialement entre une paroi de fond (formant la surface inférieure) de la base et la tige. La tige peut porter une portion radiale, qui peut être la partie d’ancrage en cas de guidage hélicoïdal, contre laquelle vient s’appuyer une extrémité mobile de l’organe de rappel. L’autre extrémité de l’organe de rappel reste fixe et par exemple directement engagée contre la paroi de fond de la base.
Lorsqu’il est prévu un ressort, celui -ci peut être comprimé en position fermée du couvercle, de sorte que le passage de la position fermée à la position ouverte est apte à entraîner une détente du ressort, provoquant ainsi le passage de la position fermée vers la position ouverte de manière automatique.
Dans une réalisation typique, le système d’ouverture/fermeture comprend en outre une zone de guidage, fixe, formée par un guide à structure sensiblement cylindrique qui entoure la tige. Eventuellement, la zone de guidage coopère avec une partie d’ancrage inclue dans ou rendue solidaire de la tige, à une extrémité inférieure de la tige, ce grâce à quoi un déplacement axial du couvercle lors de la rotation autour de l’axe de rotation dépend du déplacement de la partie d’ancrage par rapport à la zone de guidage fixe, de préférence en utilisant un ergot engagé dans un rail hélicoïdal.
Dans une option, la tige et le couvercle sont reliés par une articulation ou moyen analogue permettant au couvercle 5 d’être penché, typiquement sans modifier la direction générale d’extension de la tige montée au travers du trou du bord périphérique. L’articulation peut être choisie parmi une charnière à goupille ou une liaison rotule.
Additionnellement ou en variante, le système d’ouverture/fermeture peut comprendre en outre un rail appartenant au couvercle et apte à coopérer avec une partie supérieure de la tige. Typiquement, cette partie supérieure et l’extrémité inférieure de la tige sont distribuées (axialement) de part et d’autre du trou du bord périphérique. De préférence, le couvercle est apte à passer entre la position fermée et la position ouverte par la poussée, exercée selon une direction radiale de l’avant du couvercle vers l’arrière du couvercle, provoquant ainsi un déplacement relatif, de préférence rectiligne, du rail porté par le couvercle et de la partie supérieure (qui est montée dans ou sur le rail). Cette partie supérieure, externe, peut être pourvue d’un ergot ou organe mâle rigide prévu pour coulisser dans une rainure du rail.
Dans des options, le système d’ouverture/fermeture comprend un organe de rappel, formé dans/porté par la tige (par exemple à son extrémité basse) ou interposé entre la tige et une paroi de fond (formant ladite surface inférieure) de la base, l’organe de rappel étant configuré pour solliciter le couvercle vers la position ouverte, typiquement en sollicitant l’extrémité haute de la tige dans sa position distale par rapport à la paroi de fond de la base. De préférence, il est outre prévu un dispositif de verrouillage pour verrouiller la position fermée du couvercle, en bloquant axialement ce couvercle (ce qui empêche toute remontée de la tige). Ainsi, l’action ou poussée peut simplement correspondre à un déverrouillage et l’ouverture du couvercle est aussitôt facilité sous l’effet de la force de rappel qui remonte ou déploie la tige (plus haut), par exemple sou l’effet d’une détente d’un ressort. Lors d’un mouvement de rotation exercé par exemple à l’avant du couvercle, la tige n’est plus immobilisée/rétractée par l’action du dispositif de verrouillage, de sorte que l’organe de rappel provoque une remontée du couvercle et ainsi le passage de la position fermée vers la position ouverte de manière automatique.
Dans une réalisation, le dispositif de verrouillage peut inclure :
- un élément de retenue, de préférence sous la forme d’un clip ou patte d’insertion, formé dans le couvercle, dans ou en position adjacente à une partie de contact pour le contact du couvercle contre le bord périphérique ; et
- un élément de fixation complémentaire, de préférence sous la forme d’un bord de prise, sous lequel vient s’engager de façon amovible l’élément de retenue dans la position fermée.
- un élément de retenue, de préférence sous la forme d’un clip ou patte d’insertion, formé dans le couvercle, dans ou en position adjacente à une partie de contact pour le contact du couvercle contre le bord périphérique ; et
- un élément de fixation complémentaire, de préférence sous la forme d’un bord de prise, sous lequel vient s’engager de façon amovible l’élément de retenue dans la position fermée.
Dans des modes de réalisation du conteneur, il est prévu une ou plusieurs des dispositions suivantes :
- le couvercle forme un bouton poussoir solidaire en rotation de la tige, la tige définissant un axe de rotation du couvercle (pour un déplacement du couvercle autour de la tige).
- le système d’ouverture/fermeture comprend un guide, de préférence cylindrique, entourant et guidant la tige, ainsi que deux organes de rappel apte à exercer une poussée axiale de même sens et direction.
- il est prévu un premier organe de rappel monté dans un creux du guide pour solliciter une remontée du couvercle via la tige, et un deuxième organe de rappel monté dans une cavité de la base.
- le deuxième organe de rappel a une configuration contractée (ou plus plate/comprimée) pour autoriser un déplacement axial descendant de l’insert en réponse à une poussée d’enfoncement du couvercle exercée axialement par le dessus sur le couvercle, et une configuration déployée pour remonter l’insert dans une position axiale par défaut lorsque cesse ladite poussée d’enfoncement.
- le couvercle présente une partie de contact annulaire pour le contact du couvercle contre le bord périphérique, une inclinaison étant prévue dans la partie de contact au moins du côté par lequel le couvercle mis en rotation s’écarte de l’ouverture supérieure.
- un glissement de la partie de contact sur la surface supérieure inclinée du bord périphérique peut être est induit sur ledit côté par une rotation du couvercle.
- la trajectoire de la rotation du couvercle dépend d’un guidage sensiblement hélicoïdal de la tige, permis par le couplage de la tige avec le guide.
- la tige présente un rail (par exemple creusé dans l’épaisseur de la tige) qui est formé le long de la tige, de préférence sous la forme d’une rainure qui s’étend entre une extrémité supérieure et une extrémité inférieure (qui débouche éventuellement par le bas de la tige), complétée le cas échant par un logement pour ergot dans une zone adjacente à l’extrémité supérieure.
- le rail est pourvu d’une partie hélicoïdale dans laquelle est engagé un ergot formé dans une face interne généralement cylindrique du guide, lors de la mise en rotation du couvercle.
- le premier organe de rappel et le guide coopèrent avec la tige, lorsque l’ergot est positionné à une extrémité supérieure de la partie hélicoïdale, de sorte que la force exercée par le premier organe de rappel s’exerce au moins, lorsque cesse la force de rappel du deuxième organe de rappel, pour permettre à la tige de tourner (via la guidage hélicoïdal) et remonter le long du guide en faisant ainsi tourner le couvercle.
- le système de contrainte comprend l’ergot appartenant au guide, ainsi qu’un logement prévu dans la continuité de l’extrémité supérieure de la partie hélicoïdale du rail et formant un coude avec ladite extrémité supérieure de la partie hélicoïdale.
- l’ergot est reçu dans le logement en position fermée, sachant que sous l’effet de la poussée comprimant des premier et deuxième ressorts constitutifs des premier et deuxième organes de rappel, l’ergot est apte à être retiré (décalé) du logement et positionné dans la partie hélicoïdale du rail, en particulier dans sa partie supérieure.
- la poussée de la tige contre le ou les ergots peut entraîner une rotation (légère rotation) du guide par rapport à la base et à l’insert.
- le guide s’étend sous le bord périphérique, entre l’insert et la paroi de fond de la base.
- le premier ressort ou organe de rappel est situé entre une extrémité inférieure de la tige et la paroi de fond de la base.
- le deuxième ressort ou organe de rappel est situé axialement entre l’espace de réception du produit cosmétique et la paroi de fond de la base.
- le couvercle peut passer de la position fermée à la position ouverte suite à la poussée (poussée d’enfoncement), exercée vers le bas sur le couvercle puis relâchée, la poussée étant apte à comprimer le premier ressort et le deuxième ressort.
- le couvercle et la tige sont outre aptes à être mis en rotation, automatiquement, par une détente des premier et deuxième ressorts entraînant un déplacement relatif du rail de la tige (en particulier la partie hélicoïdale de ce rail) par rapport à l’ergot reçu dans piste/zone de guidage du rail.
- le couvercle forme un bouton poussoir solidaire en rotation de la tige, la tige définissant un axe de rotation du couvercle (pour un déplacement du couvercle autour de la tige).
- le système d’ouverture/fermeture comprend un guide, de préférence cylindrique, entourant et guidant la tige, ainsi que deux organes de rappel apte à exercer une poussée axiale de même sens et direction.
- il est prévu un premier organe de rappel monté dans un creux du guide pour solliciter une remontée du couvercle via la tige, et un deuxième organe de rappel monté dans une cavité de la base.
- le deuxième organe de rappel a une configuration contractée (ou plus plate/comprimée) pour autoriser un déplacement axial descendant de l’insert en réponse à une poussée d’enfoncement du couvercle exercée axialement par le dessus sur le couvercle, et une configuration déployée pour remonter l’insert dans une position axiale par défaut lorsque cesse ladite poussée d’enfoncement.
- le couvercle présente une partie de contact annulaire pour le contact du couvercle contre le bord périphérique, une inclinaison étant prévue dans la partie de contact au moins du côté par lequel le couvercle mis en rotation s’écarte de l’ouverture supérieure.
- un glissement de la partie de contact sur la surface supérieure inclinée du bord périphérique peut être est induit sur ledit côté par une rotation du couvercle.
- la trajectoire de la rotation du couvercle dépend d’un guidage sensiblement hélicoïdal de la tige, permis par le couplage de la tige avec le guide.
- la tige présente un rail (par exemple creusé dans l’épaisseur de la tige) qui est formé le long de la tige, de préférence sous la forme d’une rainure qui s’étend entre une extrémité supérieure et une extrémité inférieure (qui débouche éventuellement par le bas de la tige), complétée le cas échant par un logement pour ergot dans une zone adjacente à l’extrémité supérieure.
- le rail est pourvu d’une partie hélicoïdale dans laquelle est engagé un ergot formé dans une face interne généralement cylindrique du guide, lors de la mise en rotation du couvercle.
- le premier organe de rappel et le guide coopèrent avec la tige, lorsque l’ergot est positionné à une extrémité supérieure de la partie hélicoïdale, de sorte que la force exercée par le premier organe de rappel s’exerce au moins, lorsque cesse la force de rappel du deuxième organe de rappel, pour permettre à la tige de tourner (via la guidage hélicoïdal) et remonter le long du guide en faisant ainsi tourner le couvercle.
- le système de contrainte comprend l’ergot appartenant au guide, ainsi qu’un logement prévu dans la continuité de l’extrémité supérieure de la partie hélicoïdale du rail et formant un coude avec ladite extrémité supérieure de la partie hélicoïdale.
- l’ergot est reçu dans le logement en position fermée, sachant que sous l’effet de la poussée comprimant des premier et deuxième ressorts constitutifs des premier et deuxième organes de rappel, l’ergot est apte à être retiré (décalé) du logement et positionné dans la partie hélicoïdale du rail, en particulier dans sa partie supérieure.
- la poussée de la tige contre le ou les ergots peut entraîner une rotation (légère rotation) du guide par rapport à la base et à l’insert.
- le guide s’étend sous le bord périphérique, entre l’insert et la paroi de fond de la base.
- le premier ressort ou organe de rappel est situé entre une extrémité inférieure de la tige et la paroi de fond de la base.
- le deuxième ressort ou organe de rappel est situé axialement entre l’espace de réception du produit cosmétique et la paroi de fond de la base.
- le couvercle peut passer de la position fermée à la position ouverte suite à la poussée (poussée d’enfoncement), exercée vers le bas sur le couvercle puis relâchée, la poussée étant apte à comprimer le premier ressort et le deuxième ressort.
- le couvercle et la tige sont outre aptes à être mis en rotation, automatiquement, par une détente des premier et deuxième ressorts entraînant un déplacement relatif du rail de la tige (en particulier la partie hélicoïdale de ce rail) par rapport à l’ergot reçu dans piste/zone de guidage du rail.
Optionnellement, le système de contrainte comporte deux organes complémentaires, distribués l’un dans le couvercle et l’autre dans l’insert, les deux organes complémentaires étant configurés dans la position fermée pour se faire face et/ou coopérer mécaniquement, en permettant un verrouillage de la position fermée. Les organes complémentaires sont des organes de fixation mécanique et/ou magnétique. Ces organes complémentaires qui assurent ce verrouillage sont de préférence disposés cachés sous une face externe visible du couvercle.
Eventuellement, les deux organes complémentaires comportent au moins une protubérance formée sur l’extrémité périphérique du couvercle ou sur le bord périphérique de l’insert, optionnellement sur le côté avant, la protubérance s’accouplant respectivement avec une cavité correspondante, éventuellement à complémentarité de forme, sur le bord périphérique ou sur l’extrémité périphérique du couvercle.
Dans une option, le système de contrainte comprend des organes magnétiques avec un effet d’attraction qui maintient le couvercle fermé. Ces organes magnétiques comprennent au moins un aimant et un matériau ferreux complémentaire. Typiquement, le conteneur peut inclure un aimant dans l’extrémité périphérique du couvercle et un autre aimant dans le bord périphérique de l’insert. Les deux aimants peuvent être positionnés de telle sorte que leurs faces magnétiques opposées se font face en position fermée.
Les caractéristiques exposées dans les paragraphes suivants peuvent, optionnellement, être mises en œuvre. Elles peuvent être mises en œuvre indépendamment les unes des autres ou en combinaison les unes avec les autres :
- le système de contrainte inclut un organe de rappel élastique, de préférence sous la forme d’un ressort qui est comprimé dans la position distale de la tige.
- l’organe de rappel élastique présente une première extrémité fixe en butée axiale sous le bord périphérique et une deuxième extrémité mobile solidaire de la tige, éventuellement attachée ou engagée en butée contre un anneau ou partie de retenue annulaire, cette partie annulaire étant fixement attachée à la tige ou inclue dans la tige.
- l’insert est réalisé d’une seule pièce.
- le bord périphérique constitue une collerette de l’insert.
- l’insert est rigidement fixé à la base, de préférence par emboîtement élastique, par exemple en utilisant des pattes de retenue axiale formées en saillie sur lune paroi de fond incluant la surface inférieure de la base.
- la base est réalisée d’une seule pièce.
- le système d’ouverture/fermeture comprend une zone de guidage formée dans un guide, par exemple à structure cylindrique, interposé et/ou s’étendant entre l’insert et la base et entourant la tige,).
- une extrémité inférieure de la tige comprend un anneau plat ou partie de retenue similaire (par exemple anneau de diamètre sensiblement égal à un diamètre interne de la structure cylindrique du guide), de sorte que lors du passage entre la position ouverte et la position fermée, le couvercle est apte à rester sensiblement parallèle à la surface inférieure de la base.
- la structure cylindrique se décompose en deux zone de guidage, une première zone de guidage de structure cylindrique s’étendant (vers le bas) depuis le bord périphérique de l’insert et une deuxième zone de guidage de structure cylindrique s’étendant (vers le haut/en sens opposé) depuis la portion de fond formant la surface inférieure de la base.
- les première et deuxième zone de guidage entourent la tige en emboîtant une zone dans l’autre avec au moins un contact radial entre elles.
- le système de contrainte inclut un organe de rappel élastique, de préférence sous la forme d’un ressort qui est comprimé dans la position distale de la tige.
- l’organe de rappel élastique présente une première extrémité fixe en butée axiale sous le bord périphérique et une deuxième extrémité mobile solidaire de la tige, éventuellement attachée ou engagée en butée contre un anneau ou partie de retenue annulaire, cette partie annulaire étant fixement attachée à la tige ou inclue dans la tige.
- l’insert est réalisé d’une seule pièce.
- le bord périphérique constitue une collerette de l’insert.
- l’insert est rigidement fixé à la base, de préférence par emboîtement élastique, par exemple en utilisant des pattes de retenue axiale formées en saillie sur lune paroi de fond incluant la surface inférieure de la base.
- la base est réalisée d’une seule pièce.
- le système d’ouverture/fermeture comprend une zone de guidage formée dans un guide, par exemple à structure cylindrique, interposé et/ou s’étendant entre l’insert et la base et entourant la tige,).
- une extrémité inférieure de la tige comprend un anneau plat ou partie de retenue similaire (par exemple anneau de diamètre sensiblement égal à un diamètre interne de la structure cylindrique du guide), de sorte que lors du passage entre la position ouverte et la position fermée, le couvercle est apte à rester sensiblement parallèle à la surface inférieure de la base.
- la structure cylindrique se décompose en deux zone de guidage, une première zone de guidage de structure cylindrique s’étendant (vers le bas) depuis le bord périphérique de l’insert et une deuxième zone de guidage de structure cylindrique s’étendant (vers le haut/en sens opposé) depuis la portion de fond formant la surface inférieure de la base.
- les première et deuxième zone de guidage entourent la tige en emboîtant une zone dans l’autre avec au moins un contact radial entre elles.
Dans des formes de réalisation le couvercle peut être hermétiquement fermé par un système d’étanchéité présentant une ou plusieurs de dispositions suivantes :
- en position fermée, le système d’étanchéité est formé par une portée du bord périphérique du couvercle sur un jonc rigide de l’insert, la portée ou force d’appui étant exercée par/depuis le système de contrainte : a/Au niveau de l’extrémité (extrémité basse) près de la base ; b/ Au niveau de l’extrémité (extrémité haute près de l’espace/compartiment pour le produit.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée du bord périphérique du couvercle sur un jonc rigide de l’insert, une force de traction étant par exemple exercée par le système de contrainte au niveau de l’extrémité près de la base, ou alternativement une force de retenue est exercée au niveau de l’extrémité, près de l’espace/compartiment pour le produit.
- le maintien du couvercle dans la position fermée est permis par le système de contrainte.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur le bord périphérique de l’insert,.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un jonc d’un godet comprenant le produit cosmétique et logé dans l’espace de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un jonc en élastomère surmoulé de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un jonc en élastomère rapporté de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un cône (ou tronc de cône) en élastomère formé sur le bord périphérique de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité est formé par une portée du bord périphérique du couvercle sur un jonc rigide de l’insert, la portée ou force d’appui étant exercée par/depuis le système de contrainte : a/Au niveau de l’extrémité (extrémité basse) près de la base ; b/ Au niveau de l’extrémité (extrémité haute près de l’espace/compartiment pour le produit.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée du bord périphérique du couvercle sur un jonc rigide de l’insert, une force de traction étant par exemple exercée par le système de contrainte au niveau de l’extrémité près de la base, ou alternativement une force de retenue est exercée au niveau de l’extrémité, près de l’espace/compartiment pour le produit.
- le maintien du couvercle dans la position fermée est permis par le système de contrainte.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur le bord périphérique de l’insert,.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un jonc d’un godet comprenant le produit cosmétique et logé dans l’espace de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un jonc en élastomère surmoulé de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un jonc en élastomère rapporté de l’insert.
- en position fermée, le système d’étanchéité inclut ou est formé par une portée de l’extrémité périphérique du couvercle sur un cône (ou tronc de cône) en élastomère formé sur le bord périphérique de l’insert.
Selon une particularité, il est prévu un cône ou tronc de cône en élastomère formé sur le bord périphérique de l’insert, par exemple sous la forme d’une pièce rapportée.
Selon un autre aspect, il est proposé une utilisation du conteneur dans un ensemble de conditionnement plus volumineux, le conteneur étant détachable du reste de l’ensemble de conditionnement. Le conteneur peut être ainsi séparée pour un usage nomade, dans la mesure où il prend moins de place (plus facile par exemple à se loger dans un sac à main).
A cet effet, il est proposé d’utiliser le conteneur, qui est de préférence de forme généralement cylindrique et typiquement plus large que haut, comme partie intégrante d’un bouchon obturant une ouverture d’un récipient de produit cosmétique. Le conteneur peut former la totalité du bouchon.
D’autres caractéristiques, détails et avantages apparaîtront à la lecture de la description détaillée ci-après, et à l’analyse des dessins annexés, sur lesquels :
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un premier mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre le conteneur de produit cosmétique des figures 1A et 1B en coupe éclatée et transversale de l’avant à l’arrière du conteneur.
montre avec une coupe une région de montage de la tige du couvercle, pour le conteneur des figures 1A à 1C lorsque le couvercle est décalé par rapport à l’ouverture d’accès à l’espace intérieur.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un deuxième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un troisième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre le conteneur de produit cosmétique des figures 3A et 3B en coupe éclatée et transversale de l’avant à l’arrière du conteneur.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un quatrième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre le conteneur de produit cosmétique des figures 4A et 4B en coupe éclatée et transversale de l’avant à l’arrière du conteneur.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un cinquième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre une autre variante de réalisation du conteneur de produit cosmétique des figures 5A et 5B en position fermée.
montre le conteneur de la en position ouverte.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un sixième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre le conteneur de produit cosmétique des figures 6A et 6B en coupe éclatée et transversale de l’avant à l’arrière du conteneur.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un septième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre une autre variante de réalisation du conteneur de produit cosmétique des figures 7A et 7B en position fermée.
montre le conteneur de la en position ouverte.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un huitième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position ouverte.
montre un conteneur de produit cosmétique en position fermée selon un neuvième mode de réalisation.
montre le conteneur de produit cosmétique de la en position intermédiaire, dans laquelle l’utilisateur exerce une poussée sur le couvercle du produit cosmétique.
montre le conteneur de produit cosmétique des figures 9A et 9B en position ouverte.
est une vue agrandie de la tige et du système de contrainte du conteneur de produit cosmétique en position fermée selon la .
est une vue agrandie de la tige et du système de contrainte du conteneur de produit cosmétique en position intermédiaire selon la .
est une vue agrandie de la tige et du système de contrainte du conteneur de produit cosmétique en position ouverte selon la .
illustre un exemple d’un système de contrainte d’un conteneur de produit cosmétique selon un mode de réalisation.
illustre un autre exemple d’un système de contrainte d’un conteneur de produit cosmétique selon un mode de réalisation.
illustre un autre exemple d’un système de contrainte d’un conteneur de produit cosmétique selon un mode de réalisation.
illustre un autre exemple d’un système de contrainte d’un conteneur de produit cosmétique selon un mode de réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
illustre un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
est une vue agrandie d’une partie du conteneur de produit cosmétique illustrant un système d’étanchéité selon une autre réalisation.
est une vue d’en haut du conteneur de produit cosmétique illustrant un système de préhension du godet selon une option de réalisation.
est une vue en perspective éclatée d’un récipient, ici du type à goulot, pouvant inclure un conteneur du type susmentionné dans un organe de fermeture ayant un encombrement très réduit par rapport à la capacité du corps du récipient.
Il est exposé ci-après, de façon détaillée, plusieurs exemples de modes de réalisation non limitatifs. Sur les différentes figures, des références identiques indiquent des éléments identiques ou similaires. Certaines références montrées dans les figures 1A à 1D ont été omises dans les figures suivantes pour alléger l’illustration.
Comme illustré sur les figures 1A à 9F, le conteneur 1 de produit cosmétique 41 comprend une base 2 pourvue d’une surface inférieure 21, par exemple réalisée dans une paroi de fond P2, et une paroi périphérique 22 s’étendant vers le haut depuis la surface inférieure 21 ou tout du moins depuis la paroi de fond. La base 2 délimite ainsi un volume intérieur V et peut correspondre à une pièce d’habillage, ici une seule pièce.
Le conteneur 1 comprend en outre un insert 3, monté dans la paroi périphérique 22 de la base 2, c’est-à-dire en étant typiquement entouré par cette paroi périphérique 22.
En référence aux figures 1A et 1B, L’insert 3 peut présenter une paroi latérale 3a pour délimiter un espace de réception 31. La paroi latérale 3a s’étend ici de façon annulaire autour d’un axe central Z1, typiquement en joignant un bord périphérique 32 de l’insert 3. La paroi latérale 3a peut être tubulaire en présentant une extrémité annulaire axiale supérieure 3b qui forme une jonction avec le bord périphérique 32 (jonction coudée comme vue en profil/dans une vue quelconque en coupe axiale parallèle à l’axe central Z1). Ce type d’agencement de l’insert 3 peut être adopté indépendamment du mode de montage ou de déplacement du couvercle 5 qui sera décrit plus loin.
L’extrémité annulaire axiale supérieure 3b, formée à l’opposé de la surface inférieure 21 délimite l’ouverture supérieure O, de préférence de façon que l’ouverture supérieure O s’étende entièrement dans le volume intérieur V (sous le niveau du dessus de la paroi périphérique 22). Comme il sera décrit en liaison avec divers modes de réalisation du conteneur 1, une inclinaison peut être prévue dans une surface supérieure S32 du bord périphérique 32, ce qui contribue à permettre un encastrement (complet ou partiel) d’un couvercle 5 couplé/associé à l’insert 3, de préférence de manière indémontable ou tout du moins sans possibilité de perdre le couvercle 5.
Ici, comme visible par exemple sur les figures 1A à 1D et également dans la plupart des autres figures montrant l’insert 3, le bord périphérique 32, annulaire, a une forme généralement tronconique ou en partie de sphère limitée par deux de ses parallèles, en remontant radialement vers l’extérieur. Dans des options, c’est seulement le dessus de ce bord périphérique 32, à savoir la portion formant la surface supérieur S32, qui présente ce type de géométrie.
Avec cette disposition du dessus du bord périphérique 32, la surface supérieure 32 remonte radialement vers l’extérieur, depuis l’extrémité annulaire axiale supérieure 3b, en direction d’un dessus de la paroi périphérique 22. Il est prévu, dans l’insert 3, un espace de réception 31 ou au moins un compartiment, dans lequel du produit cosmétique 41 peut être placé. L’insert 3 est ainsi typiquement creux pour délimiter l’espace de réception 31, accessible par une ouverture supérieure O. Dans cet exemple non limitatif, l’insert 3 comprend une ou plusieurs pièces distinctes de la base 2 et s’étend intérieurement dans le volume intérieur V : il ne fait pas partie de l’habillage (habillage externe) du conteneur 1.
L’ouverture supérieure O est entourée et ici délimitée par le bord périphérique 32. Le produit cosmétique 41 peut être compris dans un godet 4, reçu dans l’espace de réception 31, éventuellement en étant fixé/monté de façon amovible, de façon à pouvoir ressortir de l’espace de réception 31 via l’ouverture supérieure O.
Les parties 3a et 32, jointives au niveau de l’extrémité 3b formant ici une jonction annulaire, peuvent appartenir à une même pièce ou former une paroi périphérique qui entoure l’espace de réception 31 et qui vient en contact avec la paroi périphérique 22 de la base. Ici le bord périphérique 32 est engagé radialement, par une surface latérale externe, contre la face interne de la paroi périphérique 22. Le bord périphérique 32 peut boucher l’espacement/accès annulaire par le dessus entre l’extrémité annulaire 3b et le dessus de la paroi périphérique 22.
Le conteneur 1 comprend également le couvercle 5, mobile par rapport à la base 2 et à l’insert 3, entre une position fermée, dans laquelle le couvercle 5 empêche l’accès au produit cosmétique 41, et une position ouverte, dans laquelle le produit cosmétique 41 est accessible.
Dans les modes de réalisation non limitatifs illustrés sur les figures, le conteneur 1 est, en position fermée, de forme générale tubulaire, par exemple cylindrique. Eventuellement, la surface inférieure 21 de la base 2 ainsi que le couvercle 5 peuvent être de forme circulaire.
Les figures sont purement illustratives et d’autres formes peuvent être prévues. Notamment, la surface inférieure 21 de la base 2 ainsi que le couvercle 5 pourraient être de forme carrée, de sorte que le conteneur 1 en position fermée aurait la forme générale d’un cube. Dans une autre réalisation, la surface inférieure 21 de la base 2 ainsi que le couvercle 5 pourraient être de forme triangulaire, de sorte que le conteneur 1 en position fermée aurait la forme générale d’un prisme triangulaire. Des arrondis et/ou des allongement (section oblongue, elliptique) peuvent être aussi prévus.
Lorsque le conteneur 1 est en position fermée comme dans le cas de la , 2A, 3A, 4A, 5A, 5C, 6A, 7A, 7C, 8A, 9A, 10 à 13 et 19, l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 repose sur la surface supérieure S32 du bord périphérique 32 de l’insert 3. Ici, une surface interne (non visible dans la position fermée du couvercle 5) de l’extrémité périphérique 51 peut s’engager contre l’insert 3, par exemple en formant un contact axial annulaire contre la surface supérieur S32 Dans cette configuration, le couvercle 5 peut être sensiblement affleurant au bord périphérique 32 de la base 2.
Le couvercle 5 du conteneur 1 couvre, ici hermétiquement, l’ouverture O et est maintenu fermé lorsqu’une tige 61 perpendiculaire associée, traversant (axialement) le bord périphérique 32, est en position d’insertion maximale, donc proximale par rapport à la paroi de fond P2 du conteneur. Comme il va être décrit plus loin, une poussée sur l’extérieur du couvercle 5 permet de surmonter une contrainte ou verrouillage, en déplaçant le couvercle 5 typiquement le long/en appui de la surface supérieure S32 inclinée du bord, l’inclinaison de cette surface S32 étant compatible avec/favorisant une remontée de la tige qui guide le déplacement du couvercle, ce déplacement pouvant ensuite être globalement parallèle au plan de l’ouverture O.
La partie de contact PC du couvercle 5 pour le contact contre la surface S32 peut présenter une forme générale de projection annulaire, en saillie par rapport à une région plus centrale du couvercle 5 traversée par l’axe central Z1 dans la position fermée. Le couvercle 5 peut éventuellement présenter un maximum d’épaisseur, mesurée parallèlement à l’axe central Z1 dans la position fermée, au niveau d’une telle projection, le reste du couvercle 5 étant comparativement plus mince. Cette projection de la partie de contact PC peut entourer une dépression intérieure du couvercle 5.
Comme visible notamment sur les figures 1A à 9F, le bord périphérique 32 de l’insert 3 et l’extrémité périphérique 51 du couvercle présentent une inclinaison sur les surfaces en vis-à-vis, qui peuvent être chacune de forme annulaire.
Dans les exemples illustrés, l’inclinaison est plane/régulière. Toutefois, dans d’autres options, l’inclinaison peut être courbée.
Selon une réalisation, la surface supérieure S32 du bord périphérique 32 de l’insert 3 et la contre-surface correspondante (surface interne) de l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 sont inclinés par rapport à la paroi périphérique 22 de la base 2, de préférence selon un angle aigu.
En référence aux figures 1A et 1B par exemple, on peut voir que la base 2 présente une paroi de fond P2 horizontale, perpendiculaire à l’axe central Z1, tandis que la surface S32 du bord 32 remonte vers l’extérieur avec une pente correspondant à un angle θ (thêta) pouvant être inférieur à 60°, par exemple compris entre 4 ou 5° et 50°, plus préférentiellement entre 9 ou 10° et environ 45°. Ici, cet angle θ est mesuré par rapport au plan de l’ouverture supérieure O, qui peut être un plan typiquement horizontal lorsque le conteneur 1 repose sur sa base 2 de façon stable.
Eventuellement, le couvercle 5 peut s’étendre de façon générale de façon parallèle à un plan, et peut en outre s’amincir au fur et à mesure qu’on s’approche de son bord externe circonférentielle ou périphérie latérale extérieure similaire, en formant ainsi un angle dans la surface interne du couvercle 5. Cet angle peut être le même que l’angle θ définissant la pente de la surface supérieure S32. Il en résulte ainsi une complémentarité compatible avec un encastrement de la partie de contact PC du couvercle 5, dans le volume intérieur V et facilitant l’obtention d’un contact étanche annulaire axial entre le couvercle 5 et la surface supérieure S32.
Selon une réalisation, en position fermée, l’inclinaison de la surface supérieure S32 du bord périphérique 32 et celle de la surface interne de l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 sont prévues de telle sorte que l’angle de pente est sensiblement le même.
Selon un exemple, l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 est de section plus large que la section de l’ouverture supérieure O délimitée par l’extrémité supérieure 3b. Cette section plus large permet à l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 de venir en contact (annulaire) contre la surface supérieure S32 (à inclinaison montante) du bord périphérique 32, en position fermée du couvercle 5. A contrario, la partie PC du couvercle 5 qui présente l’inclinaison descendante peut être dimensionnée de façon à présenter une section extérieure qui ne déborde pas radialement au-delà du dessus de la paroi périphérique 22.
Eventuellement, le couvercle 5 peut être épaissi à sa périphérie, optionnellement uniquement à sa périphérie pour former la projection constituant la partie de contact PC. Cet exemple n’est pas limitatif et d’autres configurations sont possibles. Par exemple, la section du couvercle 5 en son extrémité périphérique 51 pourrait être plus fine/mince que le reste du couvercle 5, ce qui présente un avantage en économie de matière.
De même, l’angle θ pour l’inclinaison de la surface supérieure S32 et/ou l’angle à la jonction du bord périphérique 32 avec le dessus de la paroi périphérique 22, tels que visibles sur les figures, sont illustratifs et des adaptations dans l’angle ou dans la façon d’ajuster le couvercle 5 sur la surface supérieure S32 sont permises sans modifier fondamentalement la façon d’obtenir la fermeture et l’ouverture.
Le conteneur 1 peut comprendre également un système d’étanchéité empêchant la mise en contact du produit cosmétique 41 avec un environnement extérieur lorsque le couvercle 5 est en position fermée. Le conteneur 1 inclut, dans les modes de réalisation illustrés, un système d’ouverture/fermeture du couvercle 5, ainsi qu’un système de contrainte contraignant le couvercle 5 en position fermée. Ici, un système de préhension du godet 4 ? permettant de retirer le godet 4 de l’insert 3 afin de permettre la recharge du conteneur 1 en produit cosmétique 41, est aussi prévu.
De manière générale, le système d’ouverture/fermeture est apte à faire passer le couvercle 5 entre la position ouverte et la position fermée. Cette expression se comprend comme le passage du couvercle 5 de la position fermée à la position ouverte et/ou le passage du couvercle 5 de la position ouverte à la position fermée. L’expression « entre la position fermée et la position ouverte » peut également être utilisée avec la même signification.
Le système d’ouverture/fermeture comprend une tige 61, situant un arrière du couvercle 5 et s’étendant typiquement de façon parallèle à l’axe central Z1. Sur les différentes figures, l’axe central Z1 est un axe vertical correspondant à une direction d’extension longitudinale (Z) en hauteur. La coupe des figures 1A et 1B par exemple est réalisée suivant le plan principal ou médian (XZ) passant par la tige 61. Dans cas non limitatif, la position de la tige permet de définir deux moitiés, éventuellement identiques, réparties de part et d’autre du plan principal (XZ).
Le couvercle 5 peut être plat, en s’étendant parallèlement au plan (XY) comme visible notamment sur la . La tige 61, raccordée au couvercle 5, peut être allongée suivant l’axe Z1, parallèlement à la direction (Z), donc perpendiculairement au plan (XY). Par ailleurs, l’angle θ susmentionné peut être mesuré au niveau du dessus de la paroi périphérique 22, ici par référence à la direction X1 (suivant la direction d’extension radiale (X)) qui est une direction du plan (XZ) au niveau de laquelle le dessus ou face externe du couvercle 5 affleure typiquement avec le dessus de la paroi périphérique 22. La partie externe PE du couvercle 5 peut être sensiblement plane ou parallèle à cette direction X1 et perpendiculaire à la direction d’extension ou axe Z2 de la tige 61.
Dans certaines options, l’inclinaison dans la surface S32 du bord périphérique 32 est répartie dans deux secteurs angulaires opposés qui sont traversés par l’axe de direction X1. Les autres parties complémentaires de la surface supérieure S32 peuvent ne pas être inclinées dans certaines options.
En référence à la ou 3B notamment, la tige 61 est montée sur l’insert 3 en traversant le bord périphérique 32 via un trou 69. La tige 61 peut ainsi être logée et disposée dans un espacement radial entre la paroi périphérique 22 de la base 2 et la paroi latérale 3a de l’insert 3. Ainsi, elle n’interfère pas avec l’espace intérieur 31 et peut être complètement cachée au moins dans la position fermée du couvercle 5. La tige 61 ainsi montée dans le trou 69 du bord périphérique 32 présente une partie haute ou tête de tige qui dépasse axialement du bord périphérique pour permettre la liaison tige – couvercle. La liaison peut être fixe/rigide. Plus généralement, la tige 61 est apte à coopérer avec le couvercle 5 et guider le déplacement de ce dernier lors de son ouverture et lors de sa fermeture. Avantageusement, la tige 61 s’étend depuis le couvercle 5, ici la partie de contact PC, en traversant le bord périphérique 32. La tige 61 occupe le trou 69 de l’insert 3 et s’étend vers la surface inférieure 21 de la base 2. Dans une configuration, la tige 61 peut s’étendre du couvercle 5 jusqu’à ou en position adjacente à la surface inférieure 21 de la base 2, lorsque le conteneur 1 est en position fermée.
Le système d’ouverture/fermeture est apte à être actionné sous une poussée du couvercle 5. De manière avantageuse, la poussée est exercée par un doigt sur le couvercle 5. Dans une configuration, la poussée du doigt est exercée au niveau d’un avant du couvercle, c’est-à-dire à l’opposé de la tige 61 dont le raccordement au couvercle 5 situe un arrière de ce dernier.
De manière avantageuse, le couvercle 5 peut présenter un profil légèrement bombé, présenter une dépression (ou une géométrie à relief(s), avec au moins un rebord de prise), permettant au doigt d’avoir une prise pour exercer la poussée sur le couvercle 5.
Lorsque la poussée est exercée sur le couvercle 5, le couvercle 5 opère un mouvement de translation induit par le glissement de l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 sur la surface supérieure S32 du bord périphérique 32, du fait de l’angle d’inclinaison de la surface supérieure S32 et de l’inclinaison similaire ou identique de la surface interne (contre-surface) à l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 constituant la partie de contact PC. Ce mouvement de translation entraîne en outre un déplacement transversal de la tige 61 par rapport à la surface inférieure 21 de la base 2, et éventuellement de l’insert 3, ce qui provoque le passage du couvercle 5 entre la position ouverte et la position fermée.
La poussée surmonte le système de contrainte, ce qui peut faciliter alors le déplacement de la tige 61 qui va typiquement remonter le couvercle 5 éventuellement avec l’aide d’un organe de rappel et/ou avec un simple guide couplé à la tige, dans des formes de réalisation préférées.
Différentes réalisations de conteneur 1 sont plus particulièrement décrites ci-après. Les mêmes signes de référence sont utilisés pour désigner des éléments identiques. Les éléments identiques ne sont pas décrits à nouveau.
Il est maintenant fait plus particulièrement référence aux figures 1A à 1D, illustrant un conteneur 1 de produit cosmétique 41 selon un premier exemple.
Dans cette réalisation, le couvercle 5 comprend la tige 61 comme axe de rotation, laquelle tige 61 s’étend linéairement suivant l’axe Z2 parallèle à l’axe central Z1. Ainsi, lorsque la poussée est exercée, le couvercle 5, outre le mouvement de translation, effectue un mouvement de rotation autour de la tige 61. De préférence, la poussée est à exercer au niveau d’un avant du couvercle 5 et selon une direction perpendiculaire à la droite (X1) reliant l’avant à l’arrière du couvercle 5.
Le glissement de l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 sur la surface supérieure S32 du bord périphérique 32, du fait de l’angle θ (thêta) ou inclinaison commune entre l’insert 3 et le couvercle 5 dans cette zone d’interface, peut être induit par la rotation du couvercle 5 autour de la tige 61. L’utilisateur peut avoir un mouvement naturel de rotation pour accompagner le couvercle 5 dans sa remontée de la pente constituée par la surface supérieure S32.
En référence aux figures 1A à 6C, dans ce type de configuration, la tige 61 et le couvercle 5 sont/appartiennent à une seule et même pièce, de sorte que lors du passage entre la position fermée et la position ouverte, la tige 61 entre également en rotation autour de son axe (Z2), en plus de son déplacement transversal de remontée.
Par ailleurs, les moyens d’ouverture/fermeture peuvent comprendre en outre une zone de guidage, plus visible sur la . La zone de guidage est de préférence de structure généralement cylindrique ou tubulaire et permet de délimiter tout ou partie d’un logement pour la tige 61 et pour un organe de rappel tel qu’un ressort 71.
Dans une configuration, la zone de guidage peut être obtenue en utilisant une structure cylindrique 62, tubulaire ou une structure semi-cylindrique / semi-tubulaire telle que comprenant deux parois arquées se faisant face et dessinant les contours d’un cylindre. L’insert 3 et la base 2 peuvent être connectés avec un effet anti-rotation par un raccord à effet de guidage, sans rotation permise autour de l’axe Z1 entre ces deux composants 2, 3, grâce à un emboîtement réalisé de façon décentrée.
La structure cylindrique 62 formant une partie du raccord est par exemple située entre l’insert 3 et la paroi périphérique 22 de la base 2 et entoure la tige 61. Une partie 63 de l’insert 3 peut s’engager dans la structure 62, qui permet une indexation en rotation. Ceci peut en outre permettre de s’assurer d’un montage correct de l’insert, sans décalage angulaire indésirable.
Dans l’exemple illustré, et comme visible sur les figures 1C et 1D, un tel raccord est distribué dans deux zones, en comprenant une première zone de guidage sous la forme de la structure cylindrique 62, qui est ici fixe et solidaire de la base 22, et une deuxième zone de guidage sous la forme d’une partie 63 longeant la première zone de guidage . La première zone de guidage forme une partie femelle pour recevoir par emboîtement ou insertion similaire la partie 63 formée comme des pattes ou comme une projection d’ancrage, intégralement formées avec le bord périphérique 32 de l’insert 3 (du côté opposé à la surface supérieur S32).
Cet exemple est non limitatif et les deux zones de guidage 62, 63 peuvent être réalisées différemment. Tout moyen de positionnement comparable à la partie 63 à effet anti-rotation pour l’insert et apte à entourer la tige 61 pour un guidage de celle-ci, de préférence prévu dans l’insert 3, peut être utilisé. Dans des variantes, l’engagement anti-rotation de l’insert 3 peut être réalisé ailleurs pour le montage fixe dans le volume intérieure V de la base 2.
Ici, on a montré une structure ou première zone de guidage 62 qui appartient à l’insert 3 et est formée par une structure à section sensiblement circulaire ou a tronçons circulaires, s’étendant depuis le bord périphérique 32 de l’insert 3 vers le bas. La deuxième zone de guidage est réalisée dans la partie 63 qui se projette en saillie vers le haut depuis le niveau de la paroi de fond de la base 2 (et qui peut être formée par une structure sensiblement circulaire). Dans une configuration, au moins un contact ce centrage est obtenu au niveau par exemple de l’extrémité inférieure de la partie 63. Avantageusement, les zones de guidage 62, 63 entourent la tige 61 en laissant un espace pour un organe de rappel (ici un ressort 71) qui se place entre l’une des parties 62, 63 et la tige 61.
Les zones de guidage 62, 63 peuvent être des pièces rapportées et fixées respectivement à l’insert 3 et à la base 2 par tout moyen adéquat. En variante, on obtient des zones de guidage 62, 63 peuvent être intégrales respectivement avec l’insert 3 et la base 2.
En outre, les zones de guidage 62, 63 peuvent coopérer avec une pièce 64 de type anneau plat ou pièce analogue rapportée/rendue solidaire de la tige 61 à son extrémité basse.
L’anneau plat 64, un épaulement externe ou autre changement de section avec élargissement analogue peut être disposé à une extrémité inférieure de la tige 61. Ici, l’anneau plat 64 présente une circonférence externe avec sensiblement le même diamètre que les diamètres intérieurs des zones de guidage 62, 63, de sorte que, lorsque le couvercle 5 opère un passage entre la position ouverte et la position fermée, l’anneau plat 64 guide la tige 61 dans ses mouvements de déplacement transversal et de rotation. Ce guidage restreint par exemple tout possibilité d’inclinaison de la tige 61, ce qui implique que l’axe Z2 reste sensiblement parallèle à l’axe central Z1. Il en résulte ici que, dans la position ouverte, le couvercle 5 peut rester sensiblement parallèle à la surface inférieure 21 de la base 2 ou tout du moins conserver son orientation générale parallèle au plan (XY).
Le terme anneau plat 64 est utilisé pour désigner cette pièce, bien que toute autre pièce permettant de réaliser les fonctions décrites ci-dessous puisse être utilisée à la place d’un anneau plat. De même, la tige 61 et l’anneau plat 64 peuvent former une seule et même pièce.
Comme visible sur les figures 1A et 1B, le système d’ouverture/fermeture permet d’obtenir un encombrement minime du conteneur 1 : les éléments permettant le passage entre la position ouverte et fermée sont reçus entre la base 2 et l’insert 3 et sont donc invisibles depuis l’extérieur du conteneur 1. Cela ajoute également une dimension esthétique à l’ensemble. De plus, le système d’ouverture/fermeture permet le passage entre la position ouverte et fermée d’une seule poussée exercée, de préférence par un doigt, ce qui rend l’utilisation du conteneur très agréable et intuitive par un utilisateur.
Afin de ne pas permettre l’ouverture intempestive du conteneur 1, un système de contrainte est également prévu. Ce système de contrainte peut comporter un ressort 71 positionné autour de la tige 61 entre l’insert 3 et l’anneau plat 64. En position fermée, le ressort 61 est ici en position de détente, de sorte qu’il exerce une pression sur l’anneau plat 64, ce qui empêche la tige 61 de se déplacer transversalement par rapport à la surface inférieure 21 de la base 2 sans qu’une poussée ne soit exercée.
Plus généralement, le conteneur 1 peut intégrer un système de contrainte, agencé de façon interne dans le conteneur 1, et permettant de solliciter/contraindre le couvercle 5 vers la position fermée en retenant la tige 61 dans une position dite proximale par rapport à la paroi de fond P2 (incluant la surface inférieure 21) de la base 2 qui est une paroi axialement opposée à l’ouverture ou accès similaire(s) obturé(s) par le couvercle 5. Un organe de rappel, que ce soit sous la forme d’un ressort 71 ou autre mécanisme de rappel, peut aider à revenir vers la position fermée dans des options.
Dans la plupart des figures, un organe de rappel élastique tel qu’un ressort 71, par exemple un ressort hélicoïdal, est inclus dans le système de contrainte. Bien entendu, tout autre organe de rappel couplé à la tige 61 peut convenir pour permettre de pousser ou solliciter la tige 61 vers la position proximale.
Comme visible notamment sur la , le couvercle 5 comprend une partie de contact PC s’appuyant sur une surface supérieure S32 du bord périphérique 32. La partie de contact PC peut présenter, à l’arrière du couvercle 5, une sous-partie inclinée qui est décalée radialement vers l’intérieur par rapport à la tige 61, (c’est-à-dire située plus proche de l’axe central Z1). Une telle sous-partie peut glisser dans une région annulaire de la surface supérieure S32 entourant la tige 61 et/ou permettre de contribuer à la réalisation d’une étanchéité annulaire autour de l’ouverture supérieure O.
En référence à la , on a illustré une position ouverte du couvercle 5 avec une partie d’obturation 50 décalée en arrière de l’ouverture supérieure O, par exemple suite à une poussée exercée sur le couvercle 5 pour réaliser une rotation supérieure ou égale à 100° et typiquement proche de 180° comme dans la . Cette poussée a permis d’accumuler de l’énergie dans l’organe de rappel ; cette énergie pourra être au moins en partie restituée lors de la fermeture du couvercle 5.
Il est ici illustré la position d’ouverture du couvercle 5 avec une ouverture supérieure O complétement accessible (décalage à 100% du couvercle 5). Plus généralement, le couvercle 5 peut occuper toute position d’ouverture suffisante pour permettre un accès à l’espace de réception 31. Comme dans d’autres options décrites plus loin, la tige 61 peut faire saillie d’une distance axiale H, mesurée parallèlement à l’axe Z2 de la tige 61, qui dépasse par exemple 2 ou 3 millimètres, lorsque le couvercle 5 est amené dans une position d’ouverture. La tige 61 s’étend ainsi avec un espacement axial au-dessus du bord périphérique 32, jusqu’à la jonction avec la partie d’obturation 50. La distance axiale H peut être supérieure ou égale à la hauteur de la surface extérieure S32 du bord périphérique 32.
Un autre mode de réalisation d’un conteneur 1 est à présent décrit, en référence aux figures 2A et 2B.
La seule différence entre le premier mode de réalisation illustré par les figures 1A à 1D et ce deuxième mode de réalisation est que le système d’ouverture/fermeture ne comprend pas de guide, c’est-à-dire rien d’équivalent aux deux zones de guidage 62, 63.
Ainsi, lorsque le conteneur 1 passe de la position fermée à la position ouverte, la tige 61 n’est pas guidée dans son déplacement transversal par rapport à la surface inférieure 21 de la base 2. Il en résulte qu’en position ouverte, le couvercle 5 peut être incliné par rapport à la surface inférieure 21 de la base 2.
Un avantage de cette réalisation est que le nombre de pièces est réduit si les zones de guidage 62, 63 sont des pièces rapportées ou que la fabrication de la base 2 et de l’insert 3 est facilitée puisque ne nécessitant pas de réaliser ces zones de guidage 62, 63. De plus, l’inclinaison du couvercle 5 en position ouverte apporte un rendu esthétique et original pour l’utilisateur du conteneur 1.
Dans des options, un effet anti-rotation entre l’insert 3 et la base 2 est obtenu par des reliefs situés dans des régions de fixations (en bas et/ou en haut) base – insert.
Les figures 3A à 3C illustrent un conteneur 1 selon un troisième mode de réalisation.
Dans ce mode de réalisation, le système d’ouverture/fermeture comprend :
- une partie guidée 65 et permettant un ancrage de la tige 61 ; et
- une zone de guidage ou guide 66, qui prédéfinit la trajectoire de la partie 65 lors du déplacement du couvercle 5 avec sa tige 61.
- une partie guidée 65 et permettant un ancrage de la tige 61 ; et
- une zone de guidage ou guide 66, qui prédéfinit la trajectoire de la partie 65 lors du déplacement du couvercle 5 avec sa tige 61.
Plus généralement, la tige 61, qui est solidaire en rotation du reste du couvercle 5, peut supporter une partie d’ancrage 65 qui est guidée axialement et aussi en rotation par un guide 66. Le guide 66 peut être réalisé sous la forme d’un relief hélicoïdal, par exemple une rainure ou une nervure, formé dans une partie fixe de la base 2 et/ou de l’insert 3.
Le guide 66 définit une zone de guidage, en étant ici formé par une structure tubulaire - typiquement de section sensiblement circulaire, s’étendant depuis le bord périphérique 32 de l’insert 3 vers la surface inférieure 21 de la base 2. Avantageusement, le relief correspondant à la zone de guidage entoure la tige 61. La zone de guidage présente par exemple au moins un rail ou rainure hélicoïdale prévue sur la surface interne du guide 66 qui est ici de structure cylindrique et disposé sous la région du bord 32 qui inclut le trou 69, comme visible par exemple sur la .
Le guide 66 peut être une pièce rapportée et fixée à l’insert 3 par tout moyen adéquat. En variante, le guide 66 formant la zone de guidage peut être intégralement formé avec l’insert 3, en une seule pièce par exemple.
La partie d’ancrage 65 présente également une forme généralement cylindrique, avec un diamètre externe sensiblement égal au diamètre interne du guide 66 . En référence à la , il est prévu une paroi de base dans la partie d’ancrage 65 cylindrique ou une portion analogue à restriction de section permettant de former un épaulement intérieur ou bord de prise interne similaire. La partie d’ancrage peut s’étendre parallèlement à l’axe central Z1 en s’étendant autour de l’axe Z2 , depuis la paroi de base jusqu’à une extrémité haute/distale de la paroi de fond de la base 2.
Ici, on prévoit par exemple une paroi de base qui est pleine et percée d’un trou, de sorte à être traversée via ce trou par une extrémité basse de la tige 61 (extrémité de tige prévue à l’opposé de la jonction tige 61 - partie d’obturation 50). Cette paroi de base fait face à la paroi de fond P2 (formant la surface inférieure 21) de la base 2, tandis que l’extrémité haute de la partie d’ancrage 65 fait face axialement à un dessous du bord périphérique 32 de l’insert 3.
La partie d’ancrage 65 est montée dans le guide 66 et est mobile en fonction de la zone de guidage associée. Le guidage est par exemple permis par la présence d’un ou plusieurs ergot(s) 67 coopérant avec le rail ou rainure hélicoïdale (ou le long d’une nervure hélicoïdale). L’ergot est en saillie radialement vers l’extérieur par rapport au reste de la paroi de tube constituant la partie d’ancrage 65. Sur les figures 3A et 3B, on voit que la partie d’ancrage 65 se situe au niveau d’une extrémité basse de la tige 61 en étant axialement solidaire de cette extrémité basse. La partie d’ancrage peut être une pièce intermédiaire qui permet un ancrage de la tige 61, ici dans l’insert 3. Dans des variantes, la partie d’ancrage 65 peut être inclue dans la pièce constituant la tige 61 et assure un ancrage direct dans l’insert 3.
Compte tenu de cet ancrage de la tige 61, lorsque la poussée est exercée sur une partie externe/accessible du couvercle 5 pour quitter la position fermée ou inversement pour retourner à la position fermée, la rotation et le déplacement transversal de la tige 61 entraînent le mouvement du ou des ergot(s) 67 dans le rail hélicoïdal. Ceci permet d’empêcher une remontée trop rapide pouvant altérer le bon fonctionnement du mécanisme d’ouverture/fermeture apprès des utilisations répétées ou une remontée insuffisante du couvercle 5, avec la possibilité de limiter des frottements indésirables de la partie de contact PC contre la surface supérieure S32 du bord périphérique 32 pendant la rotation du couvercle 5.
Dans cette réalisation, l’extrémité basse de la tige 61 est maintenue dans la partie d’ancrage 65. Comme cela est visible sur les figures 3A à 3C, la partie d’ancrage 65 présente un trou dans lequel est insérée l’extrémité (basse) de la tige 61. Optionnellement, l’extrémité basse de la tige 61 présente un diamètre plus grand que le trou, de sorte que la tige 61 ne peut pas être retirée de la pièce ou partie d’ancrage 65. La tige 61 peut également présenter deux protubérances s’engageant dans des espaces ou encoches, typiquement de formes complémentaires, de la partie 65 qui empêchent la rotation de la tige 61 seule (effet anti-rotation). Ainsi, par exemple, les protubérances de la tige 61, formées comme des projections radiales externes coïncidant avec le niveau de la paroi de base de la partie 65, sont en prise dans les espaces de la partie 65, avec éventuellement une forme/section généralement carrée de ces protubérances (section prise dans un plan parallèle au plan de référence (XY)).
Lorsque le conteneur 1 passe entre la position fermée et la position ouverte, la tige 61 effectue les mouvements de translation et de déplacement transversal décrits plus hauts. L’engagement de la partie 65 par les protubérances ou reliefs analogues de la tige 61 entraîne alors le déplacement de la partie d’ancrage 65, et plus particulièrement des ergots 67 de cette partie 65 dans le rail hélicoïdal.
Concernant le ressort 71 ou organe de rappel équivalent du système de contrainte, il peut être interposé axialement entre l’insert 3 et la partie d’ancrage 65, par exemple en s’appuyant axialement par le dessus sur la paroi de base de la partie d’ancrage 65. On comprend que le ressort 71 peut être placé entre la région du bord 32 délimitant le trou 69 et la paroi de base délimitant le trou de la partie d’ancrage 65 (ce dernier trou étant situé ici à l’aplomb du trou 69, ces deux trous pouvant être traversés par l’axe Z2). Lorsque le conteneur 1 est dans la position fermée avec le système de contrainte qui sollicite l’extrémité basse de la tige 61 en position proximale du fond de la base 2 (ici avec le ressort 71 dans sa position de détente, en repoussant la partie d’ancrage 65 vers le bas), cela empêche tout mouvement de la tige 61 et donc le passage de la position fermée à la position ouverte sans qu’une poussée ne soit exercée (pas d’ouverture accidentelle, même en cas d’à coup lors d’un transport par exemple).
La configuration de ce troisième mode de réalisation, indépendamment de la conception précisément choisie pour le système de contrainte, renforce le guidage de la tige 61 lors du passage entre la position ouverte et la position fermée.
Dans ce mode de réalisation, en position ouverte, le couvercle 5 peut être maintenu parallèle à la surface inférieure 21 ou paroi de fond P2 de la base 2. De façon plus générale, un guidage hélicoïdal réalisé au niveau d’une partie de tige insérée sous le bord 32 peut accompagner le mouvement souhaité pour le couvercle 5, qui est typiquement un mouvement qui reste sensiblement parallèle au plan (XY), c’est-à-dire transversal par rapport à l’axe central Z2 qui traverse l’ouverture supérieure O.
Les figures 4A à 4C illustrent un quatrième mode de réalisation.
Dans ce mode de réalisation, la zone de guidage du système d’ouverture ne comprend pas de rail hélicoïdal mais au moins un ergot 67 est prévu dans le guide 66 qui peut être conçu comme une sous-partie de l’insert 3, dans une même pièce par exemple. Dans ce mode de réalisation, le guide 66 est également de structure cylindrique et empêche la tige 61 de pencher/changer de direction par rapport à l’axe Z2 autour duquel le couvercle 5 peut tourner. Bien que la zone de guidage soit ici réalisée intégralement avec l’insert 3, une conception par assemblage de différentes pièces peut aussi convenir.
La tige 61 présente un rail hélicoïdal coopérant avec l’ergot 67 du guide 66. Le rail peut correspondre à une rainure qui s’étend au moins à 180° autour de l’axe Z2. La rotation du couvercle 5 à 180° est bien visible sur la , avec la partie de contact PC entièrement remontée au-dessus de la paroi périphérique 22.
Ainsi, lorsque la poussée est exercée et que le conteneur 1 passe entre la position ouverte et la position fermée, la rotation et le déplacement transversal de la tige 61 suivent la forme du rail hélicoïdal, du fait de l’ergot 67 du guide 66 qui coopère avec le rail hélicoïdal (ici en s’insérant dans la rainure). La rainure montrée sur la peut déboucher axialement par le bas, pour permettre le montage avec insertion de l’ergot 67, lorsque la tige 61 du couvercle 5 est emboîtée dans le guide 66 en traversant le trou 69.
Dans ce mode de réalisation, le système de contrainte comprend l’ergot 67 du guide 66 ainsi que la tige 61. Plus particulièrement, la contrainte est obtenue par le serrage de la tige 61 et de l’ergot 67. De plus, un indexage de la position fermée, de préférence avec un effet de verrouillage, peut être permis en disposant d’une cavité ou d’un relief à bord de prise 39 sur le bord périphérique 32, ici sur sa surface supérieure S32. La partie de contact PC du couvercle 5 peut présenter une projection ou un relief complémentaire qui s’engage, par exemple de façon élastiquement déformable, dans/contre le relief 39.
Ce mode de réalisation présente l’avantage d’un nombre réduit d’éléments formant les système d’ouverture/fermeture et de contrainte. Cela facilite donc la fabrication du conteneur 1, tout en présentant un encombrement minime.
Les figures 5A à 5D illustrent des exemples conformes à un cinquième mode de réalisation d’un conteneur 1 selon l’invention.
Le cinquième mode de réalisation diffère du premier mode de réalisation en ce qu’un matériau de la tige 61 est souple. La tige 61 peut par exemple être déformée et/ou être pourvue d’une charnière. Ainsi en référence aux figures 5A et 5B, lors du passage du conteneur 1 entre la position ouverte et la position fermée, la tige 61 se plie du fait de l’angle formé entre le plan du couvercle 5 (ce dernier étant soulevé en biais le long de la surface supérieure S32 du bord périphérique 32) et le bord périphérique 32. La pente ou inclinaison prévue à l’arrière de la partie de contact PC, une fois tournée – par exemple à 180° comme dans la , n’a plus une correspondance avec l’inclinaison de la surface supérieure S32 permettant au couvercle 5 de rester perpendiculaire aux axes Z1 et Z2. C’est pourquoi, le couvercle 5 a tendance à monter de façon oblique du côté arrière par rapport à l’insert 3.
Une variante de ce mode de réalisation est illustrée sur les figures 5C et 5D. Ici, la section de la tige 61 au niveau de son point de jonction avec le couvercle 3 est amincie/plus fine que le reste de la tige 61. Une partie de la tige 61, éventuellement avec une partie rigide ou anneau 64 rapporté, reste ici guidée axialement, de sorte que la tige 61 reste alignée par rapport au trou 69, comme dans le cas des figures 5A et 5B.
Avantageusement, le haut de la tige 61 avec un amincissement permet une plus grande souplesse de la tige 61 pour obtenir un effet charnière. Ainsi, on évite l’apparition d’un stress potentiellement appliqué sur le point de jonction entre la tige 61 et la partie d’obturation 50 du couvercle 5 lors du passage du conteneur 1 entre la position ouverte et la position fermée. Au lieu de cela, la partie d’obturation 50 remonte au fur et à mesure du glissement avec remontée du couvercle 5 et de la tige 61, en surmontant la sollicitation exercée par l’organe de rappel, ici sous la forme du ressort 71.
Dans d’autres variantes, cette disposition flexible du haut de la tige 61 peut être adoptée avec d’autres structures de guidage, le cas échéant avec un rail hélicoïdal. Le cas échéant la surface supérieure S32 ou le dessus de la paroi 22 peut présenter une projection ou une géométrie spécifique à l’arrière du conteneur 1, permettant l’effet de remontée de la partie d’obturation 50 uniquement en cas de chevauchement entre le couvercle 5 et l’arrière du reste du conteneur 1
Le sixième mode de réalisation du conteneur 1 est illustré sur les figures 6A à 6C.
Dans ce mode de réalisation, le système d’ouverture/fermeture comprend la partie d’ancrage 65 et le guide 66 qui forme une zone de guidage, ici hélicoïdale.
Comme dans le troisième mode de réalisation, la zone de guidage est formée par un guide rigide (ou fixe par rapport à l’insert 3) à structure sensiblement circulaire, s’étendant depuis le bord périphérique 32 de l’insert 3 vers la surface inférieure 21 de la base 2. Avantageusement, la zone de guidage réalisée par le guide 66 entoure la tige 61. Le guide 66 présente au moins un rail hélicoïdal, ici une rainure, sur sa surface interne.
Le guide 66 peut être une ou peut inclure une pièce rapportée et fixée à l’insert 3 par tout moyen adéquat. En variante, le guide 66 peut être entièrement inclus dans une pièce constitutive de l’insert 3, sans assemblage de différentes pièces.
La partie d’ancrage 65 peut présenter également une forme généralement cylindrique ou adaptée pour conserver une orientation axiale de la tige 61, parallèle à l’axe Z2. Ici, la partie 65 a un diamètre extérieur sensiblement égal au diamètre interne du guide 66. Une paroi radiale de la partie 65 est prévue avec un trou axial à l’aplomb du trou 69, ici sur le haut de la partie d’ancrage 65. La partie d’ancrage 65 est creuse pour permettre de loger tout ou partie d’un organe de rappel tel qu’un ressort 68.
Contrairement au mode de réalisation des figures 3A à 3C, la cavité du guide 65 débouche par le bas, avec une ouverture axiale qui fait face à la paroi de fond P2 de la base 2, tandis que la portion radiale pleine de la partie d’ancrage peut faire face au bord périphérique 32 de l’insert 3. On peut noter que la partie d’ancrage 65 peut être de conception analogue ou identique à celle montrée dans le troisième mode de réalisation mais disposé à l’envers suivant une autre direction de l’axe Z2.
La partie d’ancrage 65 est montée dans la zone de guidage du guide 66 et peut comporter un ergot 67 radialement saillant vers l’extérieur coopérant avec le rail hélicoïdal (typiquement monté via un débouché axial inférieur d’une rainure hélicoïdale constituant ce rail). Ainsi, lorsque la poussée est exercée et que le conteneur 1 passe entre la position ouverte et la position fermée, la rotation et le déplacement transversal de la tige 61 entraînent le mouvement de l’ergot 67 dans le rail hélicoïdal.
Dans cette réalisation, l’extrémité basse de la tige 61 porte la partie d’ancrage et, une fois la partie d’ancrage 65 montée dans le guide 66. L’assemblage peut varier. La fixation au niveau du trou de la partie de guidage 65 peut être prévue comme dans le cas décrit pour le troisième mode de réalisation.
Comme cela est visible sur les figures 6A à 6C, le tronçon de la tige 61 formé depuis la partie d’obturation 50 peut être plus court que dans le troisième mode de réalisation. En effet, la partie d’ancrage 65 peut ici prolonger axialement (vers le bas) la tige 61.
Cela permet d’avoir de l’espace dans le cylindre ou guide 66 afin d’y placer un ressort 68 ou autre organe de rappel, éventuellement du type magnétique. Plus précisément ici, un ressort 68, par exemple hélicoïdal, est reçu dans le guide en étant logé (au moins en partie) dans une section tubulaire/cylindrique de la partie d’ancrage 65. Le ressort 68 s’étend de la paroi de fond de la base 2 jusqu’à l’extrémité inférieure de la tige 61, reçue dans le trou du guide 65, le ressort ayant une extrémité mobile en appui sur la portion radiale de la partie d’ancrage 65.
En position fermée et comme visible sur la , le ressort 68 est dans un état de compression, de sorte qu’il sollicite la tige 61 et le guide 65 vers le haut. Cette sollicitation ne peut s’exercer dans la position fermée en raison de la présence d’un dispositif de verrouillage qui fait partie du système de contrainte.
Le système de contrainte comprend ici des moyens d’emboîtage ou verrouillage (76, 77) placés par exemple à l’avant dans ce cas non limitatif. De tels moyens seront davantage décrits en référence à la . Ces moyens d’emboîtage permettent de verrouiller le couvercle 5 par rapport à l’insert 3, pour conserver la position fermée malgré l’effet de rappel qui tend à ce que le couvercle 5 remonte. Ces moyens d’emboîtage peuvent être débloqués par la poussée exercée sur le couvercle 5.
Lorsque les moyens d’emboîtage sont débloqués par la poussée exercée sur le couvercle 5, le ressort 68 passe dans sa position de repos ce qui entraîne l’ouverture automatique du couvercle. Lors du passage de la position fermée à la position ouverte, la tige 61 effectue les mouvements de translation et de déplacement transversal décrits plus hauts. Les protubérances de la tige 61 entraînent alors le déplacement du guide 65, et plus particulièrement des ergots 67 dans le rail hélicoïdal. Plus généralement, la tige 61 avec sa partie d’ancrage 65 forme un ensemble coulisseau qui est par défaut en position haute dans le guide 66, en l’absence d’action de maintien/verrouillage de la position fermée.
Un septième mode de réalisation est à présent décrit en référence aux figures 7A à 7D.
La différence entre ce septième mode de réalisation et le premier mode de réalisation est que la tige 61 et la partie d’obturation 50 du couvercle 5 ne sont pas intégraux. Autrement dit, la tige 61 peut être réalisée sous la forme d’une pièce distincte avant un assemblage. Ici l’assemblage permet à la partie d’obturation 50 d’être rendue solidaire de la tige 61, en particulier au moins solidaire en translation axiale suivant l’axe Z2 de sorte qu’une remontée de la tige 61 permet une remontée du couvercle 5 dans son ensemble.
Dans l’option illustrée sur les figures 7A et 7B, la tige 61 et le couvercle 5 sont fixés l’un à l’autre par une liaison charnière 52, par exemple une charnière à goupille.
Dans la variante illustrée sur les figures 7C et 7D, la tige 61 et le couvercle 5 sont fixés l’un à l’autre par une liaison rotule 53. Ces liaisons 52, 53 permettent au couvercle 5 de se déplacer d’avant en arrière (la tige 61 situant l’arrière) par la rotation de la tige 61 qui est typiquement guidée dans son logement. Ces liaisons 52, 53 sont compatibles avec une trajectoire de déplacement du couvercle 5 qui est maintenue transversale par rapport à l’axe Z2, mais en permettant un débattement dès que le couvercle 5 se situe à l’arrière du conteneur 1.
Ainsi, lors du passage du conteneur 1 entre la position fermée à la position ouverte, la charnière 52, 53 permet en outre un débattement par pivotement du couvercle 5 par rapport à la tige 61. Typiquement, comme visible sur la , lorsque le conteneur 1 est en position ouverte, le couvercle 5 peut être incliné par rapport à la surface inférieure 21 de la base 2, donc quitter un agencement perpendiculaire aux axes Z1 et Z2.
Ces options permettent notamment de réduire le stress potentiellement appliqué sur la région de jonction entre la tige 61 et le couvercle 5 lors du passage du conteneur 1 entre la position ouverte et la position fermée.
On a illustré ici un effet de rappel qui sollicite la tige 61 vers sa position basse/proximale de la paroi de fond P2, pour faciliter l’obtention de la position fermée. Bien entendu, on peut aussi prévoir un rappel par défaut vers la position ouverte et, dans ce cas, un verrouillage axial de la position fermée/abaissée du couvercle 5 peut être éventuellement réalisé par un dispositif de verrouillage adéquat.
Un huitième mode de réalisation est illustré sur les figures 8A et 8B.
Dans ce mode de réalisation, le système d’ouverture/fermeture comprend également un couvercle 5 supporté par une tige 61, mais avec en outre un rail 109, prévu sur la face (interne) du couvercle 5 faisant face à l’insert 3. Avantageusement, le rail 109 peut être sensiblement rectiligne, en pouvant courir entre deux extrémités diamétralement opposées. Par exemple, le rail 109 peut s’étendre de l’avant à l’arrière du couvercle 5. Il peut typiquement faire partie intégrante de la pièce constituant le couvercle 5.
La tige 61 et le couvercle 5 sont deux éléments séparés dans ce mode de réalisation. Une partie de la tige 61 est reçue dans l’insert 3, axialement au travers du trou 69. La tige 61 s’étend vers et par exemple jusqu’à (en position fermée) la paroi de fond formant la surface inférieure 21 de la base 2. La tige 61 comprend une partie 61A s’étendant au-delà du trou 69 de l’insert, dite partie externe. La partie 61A de la tige 61, ici sous forme de partie externe coudée comme visible sur la , inclut un organe mâle engagé dans une cavité allongée, d’avant en arrière, délimitée entre deux flancs parallèles du rail 109. Cet organe mâle de la partie 61A est monté coulissant dans la cavité allongée, parallèlement à la partie d’obturation 50 du couvercle 5 et peut former avantageusement un angle droit avec le reste de la tige 61 qui s’étend suivant la direction de l’axe Z2.
L’extrémité de la partie 61A de la tige 61 peut former un ergot ou organe mâle comparable engagé dans le rail 109, le rail 109 étant ici agencé sous forme d’un profilé ou d’une fourrure qui délimite une rainure rectiligne. Dans des variantes, le rail est formé dans l’épaisseur du couvercle 5 sans former de relief intérieur. Des ailes 109’ de retour du rail 109 sont optionnellement prévues pour une retenue axiale de l’ergot ou organe mâle, de sorte que ce dernier peut coopérer dans/glisser dans le rail 109 pour le passage entre la position fermée et la position ouverte.
Selon ce mode de réalisation, pour faire passer le conteneur 1 de la position fermée à la position ouverte, la poussée est à exercer au niveau de l’avant du couvercle 5, mais dans une direction radiale (dirigée vers l’arrière), comme illustré par exemple par la flèche F8 sur la . Notamment, la poussée est à exercer typiquement depuis l’avant du couvercle 5 vers le centre du couvercle 5.
La poussée entraîne le déplacement du couvercle 5 par rapport à la tige 61, du fait du déplacement du rail 109 guidé par l’ergot ou organe mâle comparable dans la partite 61A. Ce mouvement induit également le déplacement transversal de la tige 61 par rapport à la surface inférieure 21 de la base 2, en raison du glissement (avec effet de remontée) d’une partie de l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 sur le bord périphérique 32 de l’insert 3, de façon analogue à ce qui a été décrit ci-avant.
Par ailleurs, afin d’éviter le passage intempestif de la position ouverte à la position fermée, un effet de verrouillage peut être obtenu par un moyen de serrage et/ou retenue 109a associé au rail 109. Par exemple, le rail 109 présente une réduction de section/largeur, donc un passage pour l’ergot localement plus petit et légèrement inférieur à la largeur de l’ergot 110 en son extrémité en contact avec l’ergot 110 en position ouverte (comme visible sur la par exemple), ce qui permet d’obtenir un serrage de fin de course. Le couvercle 5 peut être incliné significativement, en suivant l’inclinaison de la surface supérieure S32 dans la région adjacente au trou 69. Dans cette option, la tige peut être rigide 61, sans zone pliée/fléchie. Un effet anti-rotation de la tige 61 peut être prévu, ou tout du moins la rotation de la tige peut être limitée à un faible angle, par exemple inférieur à 5 ou 10°. Le bas de la tige 61 (dans la tige ou dans une partie rapportée) peut le cas échéant présenter un méplat ou un relief à effet anti-rotation.
Eventuellement, l’espace intérieur 31 délimité par l’insert 3 peut être décentré par rapport à la paroi 22, par exemple afin que l’extrémité avant du couvercle 5 en position ouverte et verrouillée n’interfère pas avec l’accès au produit 41 via l’ouverture supérieure O. Dans ce cas, on a illustré une surface supérieure 32 qui ne borde qu’une partie de l’ouverture supérieure O ou peut présenter un écartement variable par rapport à cette ouverture supérieure O. Une telle option est applicable dans la plupart des autres options illustrées par ailleurs.
Dans cette réalisation, le système de contrainte comprend également un organe de rappel, par exemple avec le ressort 71 et un moyen de retenue (ici l’anneau plat 64) de l’extrémité mobile de l’organe de rappel, tel que décrit ci-avant en référence aux autres modes de réalisation.
Les figures 9A à 9C illustrent un neuvième mode de réalisation d’un conteneur 1 selon l’invention.
Dans ce mode de réalisation, le système d’ouverture/fermeture comprend la tige 61 et le couvercle 5. Il comprend en outre une zone de guidage, ici dans un guide 66 rigide, qui est distinct de l’insert 3 et par exemple adjacent à ce dernier. Optionnellement, ce guide 66 a une forme cylindrique entourant la tige 61. Dans un exemple de réalisation, le diamètre interne du guide 66 formant la zone de guidage est sensiblement égal au diamètre externe de la tige 61.
Le guide 66 peut présenter au moins un ergot 67, coopérant avec un rail 111 prévu sur la tige 61, comme visible sur les figures 9D à 9F. Deux ergots 77 diamétralement opposés peuvent être prévus. Le guide 66 est bloqué axialement entre la base 2 (par le dessous) et une portion de bord ou relief de l’insert 3, par exemple directement par le bord périphérique 32 de l’insert 3 dans une portion adjacente au trou 69 et typiquement décalée radialement vers l’intérieur par rapport au trou 69.
Typiquement, une dépression dans le bord périphérique 32, formant un creux débouchant vers le bas, reçoit le haut du guide 66 en :
- formant une zone d’arrêt axial par le dessus en coopérant avec une portion de bord 66b du guide 66, cette portion de bord 66B s’étendant éventuellement du côté intérieur par rapport à la tige 61 (radialement entre l’axe Z1 et l’axe Z2) et qui présente deux bords extrêmes délimitant une entaille supérieure 66e du guide 66 ; et
- bloquant la rotation du guide 66 au-delà d’un certain seuil, par exemple pour limiter la rotation à environ 20° ou un peu moins, en formant des butées contre lesquelles s’appuient les bords extrêmes.
L’espacement axial E peut être alors être obtenu uniquement au niveau de l’entaille 66e, plus en arrière que la tige 61.
- formant une zone d’arrêt axial par le dessus en coopérant avec une portion de bord 66b du guide 66, cette portion de bord 66B s’étendant éventuellement du côté intérieur par rapport à la tige 61 (radialement entre l’axe Z1 et l’axe Z2) et qui présente deux bords extrêmes délimitant une entaille supérieure 66e du guide 66 ; et
- bloquant la rotation du guide 66 au-delà d’un certain seuil, par exemple pour limiter la rotation à environ 20° ou un peu moins, en formant des butées contre lesquelles s’appuient les bords extrêmes.
L’espacement axial E peut être alors être obtenu uniquement au niveau de l’entaille 66e, plus en arrière que la tige 61.
Alternativement ou en complément, la base 2 s’oppose à une remontée axiale du guide 66, en venant par exemple en prise contre un relief complémentaire situé à distance du haut du guide 66. Comme décrit plus loin, il est prévu dans la position fermée (visible sur la ) un espacement axial E entre le bord périphérique 32 et le haut du guide 66 pour permettre un enfoncement combiné du couvercle 5 et de l’insert 3 en direction de la paroi de fond P2 de la base 2.
Le système d’ouverture/fermeture peut comporter ici un premier organe de rappel, par exemple un premier ressort 112, situé entre l’extrémité inférieure de la tige 61 et la surface inférieure 21 de la base 2. D’autres agencements d’un tel organe de rappel sont permis pour solliciter la tige vers une configuration d’extension dans laquelle la tige est distale de la paroi de fond P2 de la base 2. Par exemple, la tige peut intégrer un aimant de répulsion et/ou un organe compressible dans son extrémité inférieure. Le système d’ouverture/fermeture comporte aussi un deuxième organe de rappel, par exemple un deuxième ressort 113 situé entre la surface inférieure 21 de la base 2 et l’insert 3, sous l’espace 31 de réception du produit cosmétique 41. Dans ce mode de réalisation, l’insert 3 est ainsi mobile par rapport à la base 2.
En position fermée, le premier ressort 112 est dans un état de compression, de sorte qu’il exerce une pression vers le haut sur la tige 61. Le deuxième ressort 113 est dans un état de détente. La retenue axiale de la tige 61 peut être réalisée sous le bord périphérique 32, par exemple par un élément de butée prévu dans le guide 66
Pour faire passer le conteneur 1 de la position fermée à la position ouverte, la poussée est à exercer (par l’utilisateur) sur la face externe du couvercle 5 et vers le bas ( , voir la flèche F9 reflétant la direction de la poussée). La poussée force alors le premier ressort 112 dans un état plus compressé encore et comprime également le deuxième ressort 113. La poussée permet également de déverrouiller le système de contrainte, décrit plus en détail ci-après, qui ne contraint alors plus le conteneur 1 dans la position fermée.
Puis, comme visible sur la , l’ouverture avec accès au produit 41 est provoquée automatiquement par le premier ressort 112 qui passe dans son état de détente, entraînant la tige 61 dans le mouvement transversal par rapport à la surface inférieure 21 de la base. L’ergot 67 du guide 66 est engagé dans une partie hélicoïdale 61h du rail 111 (ici une rainure) de la tige 61, guidant la tige dans un mouvement de rotation qui entraîne également le couvercle 5 en rotation autour de son axe de rotation (donc autour de l’axe Z2 qui est aussi un axe central pour le guide 66). En position ouverte, le deuxième ressort 113 reprend sa position de détente. Le deuxième ressort 113 permet donc le déplacement et la remise en place automatique de l’insert 3 par rapport à la base 2.
Par ailleurs, des taquets ou des reliefs de butée axiale R2, R3 peuvent être prévus sur la base 2 et/ou l’insert 3. Par exemple, la base 2 présente au moins un relief fixe R2, éventuellement radialement saillant vers l’intérieur depuis la face interne d’une paroi intérieure délimitant une cavité C2 de réception de l’organe formant le deuxième ressort 113. Ce relief fixe R2 peut former une butée axiale engagée par le dessous par une partie complémentaire ou relief adapté R3 de l’insert 3, prévu dans un fond d’ancrage de l’insert qui pénètre dans la cavité C2. Le relief R3 est ainsi adapté à venir se placer dans une gorge extérieure 115 prévue sur la base 2, sous le relief R2. Plus généralement, on peut prévoir tout couplage adapté pour un coulissement limité de l’insert 3 dans la base 2, avec le couvercle 5 encastré dans le volume intérieur V. Le déplacement de l’insert 3 par rapport à la base 2 est ainsi contrôlé, sans risque de démontage de l’insert 3, de préférence avec un guidage axial de l’insert 3 grâce au bord périphérique 32 qui longe la face interne de la paroi périphérique 22.
Dans ce mode de réalisation, le système de contrainte est distribué dans le guide 66 qui inclut par exemple un ou deux ergots 67 et dans la tige 61, au niveau d’une partie du rail 111. Le système de contrainte est plus particulièrement illustré sur les figures 9D à 9F qui sont des vues agrandies du rail 111 avec sa partie hélicoïdale et de l’ergot 67.
La illustre le système de contrainte lorsque le conteneur 1 est en position fermée. Un logement 111A est prévu dans la continuité d’une extrémité supérieure de la partie hélicoïdale du rail 111 et forme un coude avec cette extrémité supérieure de la zone de guidage en hélice. L’ergot 67 du guide 66 est reçu dans le bas du logement 111A, le haut du logement 11A correspondant à la pointe d’un tronçon de piste en forme de « V » inversé. En occupant ainsi le bas de ce logement 111A (sous la pointe/extrémité supérieure de la zone de guidage), l’ergot 67 n’est pas engagé dans la partie hélicoïdale 61h du rail 111. La forme de V inversé implique qu’en cas de descente de la tige 61, une rotation relative est nécessaire entre la tige 61 et le guide 66, ce dernier étant monté mobile en rotation dans la base 2.
Lors de la poussée par le dessus ( ) qui fait descendre le couvercle 5 avec la tige 61, la structure cylindrique formant le guide 66 est forcée à opérer une rotation, du fait du ou des ergots 67 reçus dans le logement 111A de la tige 61. Cette rotation est avantageusement assez réduite, par exemple la structure cylindrique formant le guide 66 opère une rotation comprise entre 10 et 20°, par exemple supérieure à 12 ou 15°. Cette rotation permet à chaque ergot 67 de se placer au plus haut dans le rail 111 correspondant, face à l’extrémité supérieure de la partie hélicoïdale 61h et ainsi y être engagé.
Puis, lorsque la poussée est relâchée, le ou les ergots 67 n’occupent plus la même branche (courte) du rail 111 correspondant, ce qui autorise l’action du premier organe de rappel, ici le ressort 112. Le conteneur 1 peut passer en position ouverte ( ), du fait des mouvements de rotation et de déplacement transversal de la tige 61, le mouvement de la tige 61 étant guidé par le(s) couplage(s) entre la partie hélicoïdale 61h et l’ergot correspondant 67 engagé dans celle-ci. La partie hélicoïdale 61h peut être configurée pour limiter la rotation à environ 180° autour de l’axe Z2. Le retour à la position fermée peut nécessiter une simple rotation du couvercle 5, ici également avec un effet de guidage hélicoïdal mais en surmontant la force de rappel exercée au bas de la tige 61. La surface supérieure S32 inclinée peut optionnellement favoriser l’engagement de l’ergot 67 dans la branche courte du rail 111 formant le logement 111A, par exemple en participant à la fin du guidage.
Les figures 10 à 13 illustrent des variantes de réalisation de systèmes de contrainte. Ces variantes peuvent être appliquées à tous les modes de réalisation, et peuvent être combinées entre elles. Ces variantes peuvent également être utilisées en combinaison avec les modes de réalisation des systèmes de contrainte décrits ci-avant en référence aux figures 1A à 9F.
Dans les exemples illustrés des figures 10 à 11, le système de contrainte visible est le système comprenant l’anneau plat 64 et le ressort 71. Ceci est non limitatif et représente uniquement un exemple de mise en œuvre.
Sur la , le système de contrainte peut en outre comprendre des moyens de verrouillage du couvercle 5 à l’insert 3. Les moyens de verrouillage comprennent une protubérance 73 sur l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 ou sur le bord périphérique 32 de l’insert 3, s’accouplant respectivement avec une cavité 74 sur le bord périphérique 32 de l’insert 3 ou sur l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5.
Ces moyens de verrouillage permettent, outre le verrouillage du couvercle 5 sur l’insert 3, d’indiquer la fin de course à l’utilisateur.
Sur l’exemple de la , le système de contrainte comprend d’autres moyens de verrouillage du couvercle 5 à l’insert 3 comprenant des aimants , ici une paire d’aimants 75, ou des organes magnétiques complémentaires similaires. Un aimant 75 est prévu dans l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 et l’autre aimant est prévu dans le bord périphérique 32 de l’insert 3, de sorte qu’ils sont invisibles de l’extérieur, au moins dans la position fermée.
Les faces opposées des deux aimants 75 se font face, de manière à être attirés l’un par l’autre en position fermée. L’utilisation d’une paire d’aimants 75 complémentaires permet également, outre le verrouillage du couvercle 5 sur l’insert 3, d’indiquer la fin de course à l’utilisateur.
Sur l’exemple de la , le système de contrainte comprend des moyens de verrouillage ou d’emboîtage du couvercle 5 et de l’insert 3. Plus précisément, les moyens de verrouillage ou d’emboîtage peuvent être prévus au niveau de l’avant du couvercle 5. Ces moyens comprennent par exemple un clip 77 ou autre élément de retenue dans l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5, apte à s‘emboîter dans un élément de fixation complémentaire 76 en position fermée, ici dans un bord de prise (pour clipsage) complémentaire prévu dans le bord périphérique 32 de l’insert 3.
La illustre un même système de contrainte mais dans lequel deux moyens d’emboîtage du couvercle 5 et de l’insert 3 sont utilisés, respectivement un à l’avant du couvercle 5 et un autre à l’arrière du couvercle 5. Une patte radiale du couvercle 5 fait saille radialement vers l’extérieur pour s’emboîter ou s’insérer dans une gorge prévue dans la surface supérieure S32, ici prévue par exemple plus en arrière que la tige 61.
Les figures 14 à 21 illustrent différents modes de réalisation d’un système d’étanchéité du conteneur 1, permettant de définir un contact étanche annulaire dans une zone cachée dans la position fermée. Ces options peuvent être appliquées à tous les modes de réalisation, et peuvent être combinées entre elles. Ces options peuvent également être utilisées en combinaison avec les modes de réalisation des conteneurs et des systèmes de contrainte décrits ci-avant en référence aux figures 1A à 13.
De manière avantageuse, les options/variantes de système d’étanchéité peuvent fonctionner en relation avec un système de contrainte. En effet, les systèmes de contrainte permettent d’exercer une force sur le couvercle 5 en position fermée, cette force étant typiquement dirigée vers le bas et maintenant donc le couvercle 5 appuyé et relativement sous pression sur l’insert 3.
Dans les exemples illustrés des figures 13 à 21, le système de contrainte visible est le système comprenant l’anneau plat 64 et le ressort 71 ou tout organe de rappel analogue agencé pour solliciter la tige dans la position proximale du fond de la base 2. Ceci est non limitatif et représente uniquement un exemple de mise en œuvre.
Selon la réalisation de la , l’étanchéité est réalisée par une portée cône sur jonc rigide. Plus précisément, l’extrémité périphérique du couvercle 5 est assimilée au cône, par exemple en formant une projection tronconique, et le jonc rigide est réalisé par/dans l’angle formé entre la paroi latérale 3a de l’insert délimitant l’espace de réception 31 et le bord périphérique 32. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5. On comprend que l’étanchéité est permise par un contact annulaire qui s’exerce axialement, tout en pouvant aussi inclure une composante radiale grâce à l’appui radial vers l’intérieur du jonc, contre la partie de contact PC qui est ici en pente/inclinée.
Selon la réalisation de la , l’étanchéité est réalisée par une portée cône sur cône. Plus précisément, l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 est assimilée à un premier cône (dans la partie de contact PC aussi montrée sur d’autres dessins comme la par exemple) et un deuxième cône est formé par le bord périphérique 32 de l’insert 3. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5. Dans cet exemple, le système de contrainte comprend en outre les moyens de verrouillage 73, 74.
Selon la réalisation de la , l’étanchéité est réalisée par une portée cône sur jonc. Plus précisément, l’extrémité périphérique 51 du couvercle 5 est assimilée au cône et le jonc est l’extrémité supérieure d’un godet 4 longeant la paroi latérale 3a de l’insert 3. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5.
Selon la réalisation des figures 17 et 18, l’étanchéité est réalisée par une portée cône sur jonc en élastomère surmoulé 81 ou 82, respectivement. Plus précisément, l’extrémité périphérique du couvercle 5 est assimilée au cône et le jonc en élastomère 81 ou 82 est surmoulé sur le bord périphérique 32 de l’insert 3. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5. On comprend qu’une partie de la surface supérieure S32 est ici formée par la portion annulaire rapportée ou surmoulée.
Selon la réalisation de la , l’étanchéité est réalisée par une portée cône sur cône élastomère rapporté 32b. Plus précisément, l’extrémité périphérique du couvercle 5 est assimilée au cône et le cône en élastomère 32b est rapporté sous forme d’une pièce intermédiaire entre l’insert 3 et le couvercle 5. Le cône élastomère 32b est par exemple rapporté sur une partie rigide 32a du bord périphérique 32, ici sur toute une partie annulaire 32a formant une portion de l’insert 3 qui supporte le cône 32b. Les éléments 32a et 32b forment ensemble le bord périphérique 32. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5. Dans cet exemple, la surface supérieure S32 est seulement formée par le matériau de l’élément tronconique dit « cône élastomère » 32b. On comprend, en variante, que juste une partie annulaire de la surface supérieure S32 peut être formée par la portion annulaire rapportée ou surmoulée.
Selon la réalisation de la , l’étanchéité est réalisée par une portée cône sur jonc 84 de la surface supérieure S32. Ici, l’extrémité périphérique du couvercle 5 est ainsi assimilée au cône et le jonc 84 peut être formé par un bourrelet prévu sur le bord périphérique 32 de l’insert 3. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5.
Selon l’exemple de la , l’étanchéité est décalée davantage vers l’extérieur, réalisée par une portée cône sur jonc 85. Plus précisément, l’extrémité périphérique du couvercle 5 est assimilée au cône et un surmoulage 85 ou surcouche extérieure analogue de la base 2 peut être prévu. Ainsi, le surmoulage 85 de la base au niveau de l’extrémité supérieure de la paroi périphérique 22 de la base 2 forme le jonc. Le couvercle 5 vient en appui radialement par l’intérieur contre le haut de cette surcouche, de sorte que l’arête la plus externe ne fait pas saillie au-delà du dessus de la base ainsi surmoulée, avec un effet d’affleurement du couvercle 5. La portée est augmentée par la force appliquée par le système de contrainte sur le couvercle 5.
La illustre un exemple de conteneur 1 avec le couvercle 5 ouvert, dans une option avec un système de préhension du godet 4, transposable à divers modes de réalisation dont ceux précédemment décrits.
Il est prévu ici au moins une dépression adjacente à une paroi latérale du godet 4, cette dépression étant formée dans l’insert 3 ou dans le bord périphérique 32. On réalise ainsi une zone de préhension 91 avec accès à la paroi latérale du godet 4. De préférence la zone préhension est distribuée en deux régions permettant l’insertion d’au moins deux doigts pouvant saisir entre eux le godet 4, qui est par exemple du type clipsable/emboîtable dans l’espace 31.
Dans des formes de réalisation, la paroi périphérique 22 peut former la face latérale externe d’un organe de fermeture 8 (bouchon pour flacon/bouteille par exemple ; voir sur la ) ou, alternativement, être embarqué dans une enveloppe externe d’un tel organe de fermeture 8.
Le conteneur 1, de forme extérieure cylindrique ou non, peut constituer tout ou partie d’un bouchon ou organe de fermeture comparable 8 obturant une ouverture 7 d’un récipient 80 de produit cosmétique ou de tout ensemble de conditionnement plus volumineux que le conteneur 1. Le récipient 80 présente un corps 80c dont la paroi latérale s’étend vers le haut depuis un fond 80a, l’ouverture 7 pouvant être formée sur le dessus du récipient 80, par exemple au niveau d’un col ou goulot 80b.
Une région de fixation RF peut être prévue dans le bouchon 8 afin de permettre une fixation de manière amovible sur une face externe latérale du goulot 80b, la fixation étant de préférence actionnée par une rotation autour d’un axe du récipient 80 qui peut être confondu avec l’axe central Z1. Une forme oblongue ou non-circulaire du bouchon 8 peut être adoptée dans certaines formes de réalisation.
Le couvercle 5 peut éventuellement être décalé radialement vers l’intérieur d’une certaine distance, par exemple supérieure à 3 mm, par rapport à une partie latérale préhensible du bouchon, ce qui peut permettre d’éviter une interférence entre la connexion/déconnexion du bouchon 8 sur son récipient et la force ou poussée à exercer sur le couvercle 5 pour obtenir l’ouverture du conteneur 1. Eventuellement, le bouchon 8 présente une portion d’obturation et une portion de préhension qui appartiennent à un sous-ensemble du bouchon 8 qui est séparable du conteneur 1, par exemple en formant un creux ou logement d’insertion L du conteneur 1. Ainsi, le récipient 80 peut rester fermé lorsque le conteneur 1 est extrait pour utilisation, le cas échéant dans un usage nomade.
La présente divulgation ne se limite pas aux modes de réalisation décrits ci-avant, seulement à titre d’exemple, mais elle englobe toutes les variantes que pourra envisager l’homme de l’art dans le cadre de la protection recherchée. Par exemple, il a été décrit une base 2 réalisée en une seule pièce formant un habillage externe du conteneur 1. Dans des variantes, la base 2 peut résulter de l’assemblage de deux coques ou parties complémentaires, éventuellement attachées de façon indémontable.
Claims (16)
- Conteneur (1) de produit cosmétique (41) comprenant :
- une base (2) comprenant une surface inférieure (21) et une paroi périphérique (22) s’étendant depuis la surface inférieure (21) et vers le haut pour délimiter un volume intérieur (V),
- un insert (3) incluant un espace de réception (31) du produit cosmétique (41) et un bord périphérique (32), l’insert (3) monté dans le volume intérieur (V) étant creux pour délimiter l’espace de réception (31) qui est accessible par une ouverture supérieure (O) entourée par le bord périphérique (32),
- un couvercle (5), mobile par rapport à la base (2) et à l’insert (3) entre une position fermée, dans laquelle le couvercle (5) empêche l’accès au produit cosmétique (41), et une position ouverte, dans laquelle le produit cosmétique (41) est accessible via l’ouverture supérieure (O),
- un système d’étanchéité empêchant la mise en contact du produit cosmétique (41) avec un environnement extérieur lorsque le couvercle (5) est en position fermée,
- un système d’ouverture/fermeture, apte à faire passer le couvercle (5) entre la position ouverte et la position fermée, comprenant une tige (61) situant un arrière du couvercle (5) et logée dans un trou (69) du bord périphérique (32) de l’insert (3), la tige (61) coopérant avec le couvercle (5) et s’étendant depuis le couvercle (5) vers la surface inférieure (21) de la base (2), en étant configurée pour se déplacer transversalement par rapport à la surface inférieure (21) de la base (2) pour passer de l’une à l’autre entre une position proximale de la surface inférieure et une position distale de la surface inférieure, le couvercle (5) étant entourée par le bord périphérique (32) dans la position fermée,
- un système de contrainte contraignant le couvercle (5) en position fermée en sollicitant et/ou en maintenant la tige (61) vers sa position proximale, de sorte que le couvercle (5) ne peut pas passer de la position fermée à la position ouverte sans qu’une force ou poussée ne soit exercée sur une partie extérieure du couvercle (5) formant une surface externe du conteneur (1) ;
et dans lequel, pour ladite position proximale, le couvercle (5) repose sur une surface supérieure (S32) du bord périphérique (32) de l’insert (3) qui présente une inclinaison, le couvercle (5) étant apte à glisser sur la surface supérieure (S32) en suivant l’inclinaison de la surface supérieure (S32) pour entraîner un déplacement transversal de la tige (61) depuis et/ou vers sa position proximale. - Conteneur selon la revendication 1, dans lequel la tige (61) est configurée pour :
- tirer et ajuster en hauteur une partie d’obturation (50) qui fait partie du couvercle (5) et qui recouvre entièrement l’ouverture supérieure (O) dans la position fermée, la partie d’obturation (50) s’encastrant dans la base (2) en étant logée dans le volume intérieur (V) dans la position proximale de la tige (61), de préférence avec une surface externe du couvercle affleurante à un dessus de la paroi périphérique (22) de la base (2) ; et
- faire saillie axialement au-dessus du bord périphérique (32) dans la position distale de la tige (61), en permettant à l’arrière du couvercle (5) d’être mobile au-dessus de la paroi périphérique (22). - Conteneur selon la revendication 1 ou 2, dans lequel en position fermée, une surface interne d’une extrémité périphérique (51) du couvercle (5) repose sur la surface supérieure (S32) du bord périphérique (32), sachant que la surface interne de l’extrémité périphérique (51) du couvercle (5) et la surface supérieure du bord périphérique (32) présentent une inclinaison sensiblement identique,
et dans lequel le couvercle (5) présente une partie d’obturation configurée pour se déplacer, en réponse à la force ou poussée exercée sur la partie extérieure du couvercle (5) en position fermée, suivant une translation induite par un glissement entre lesdites inclinaisons respectives de la surface interne de l’extrémité périphérique (51) du couvercle (5) et de la surface supérieure (S32) du bord périphérique (32), jusqu’à une position remontée entraînant un déplacement transversal de la tige (61) par rapport à la surface inférieure (21) de la base (2) pour faire passer la tige de la position proximale à la position distale, et provoquant ainsi le passage du couvercle (5) entre la position ouverte et la position fermée. - Conteneur selon la revendication 1, 2 ou 3, dans lequel l’insert (3) présente une paroi latérale (3a) pour délimiter l’espace de réception (31), la paroi latérale (3a) s’étendant de façon annulaire autour d’un axe central (Z1) en joignant le bord périphérique (32) par une extrémité annulaire axiale supérieure (3b) qui est :
- opposée à la surface inférieure (21) ;
- et délimite l’ouverture supérieure (O), l’ouverture supérieure (O) s’étendant entièrement dans le volume intérieur ;
et dans lequel le bord périphérique (32), annulaire, a une forme généralement tronconique ou en partie de sphère limitée par deux de ses parallèles, en remontant radialement vers l’extérieur depuis l’extrémité annulaire axiale supérieure (3b), en direction d’un dessus de la paroi périphérique (22). - Conteneur selon l’une quelconque des revendications précédentes, dans lequel le couvercle (5) inclut la tige (61) qui définit un axe (Z2) de rotation du couvercle ;
et dans lequel, pour passer entre la position fermée et la position ouverte, le couvercle (5) et la tige (61) sont en outre aptes à être mis en rotation autour de l’axe (Z2) de rotation du couvercle (5) par ladite force ou poussée, exercée au niveau d’un avant du couvercle (5) et selon une direction transversale par rapport à l’axe (Z2) de rotation et qui est perpendiculaire à une droite (X1) reliant l’arrière du couvercle (5) à l’avant du couvercle (5),
ledit glissement du couvercle (35) sur la surface supérieure (S32), inclinée, du bord périphérique (32) étant induit par la rotation. - Conteneur selon la revendication 5, dans lequel le système d’ouverture/fermeture comprend en outre une zone de guidage, fixe, formée par un guide (66) à structure sensiblement cylindrique qui entoure la tige (61), la zone de guidage coopérant avec une partie d’ancrage (65) inclue dans ou rendue solidaire de la tige (61), à une extrémité inférieure de la tige (61), ce grâce à quoi un déplacement axial du couvercle (5) lors de la rotation autour de l’axe (Z2) de rotation dépend du déplacement de la partie d’ancrage (65) par rapport à la zone de guidage fixe, de préférence en utilisant un ergot (67) engagé dans un rail hélicoïdal.
- Conteneur selon l’une des revendications précédentes, dans lequel la tige (61) et le couvercle (5) sont reliés par une articulation choisie parmi une charnière à goupille (52) ou une liaison rotule (53).
- Conteneur selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, dans lequel le système d’ouverture/fermeture comprend en outre un rail (109) appartenant au couvercle (5) et apte à coopérer avec une partie (61A) supérieure de la tige (61), la partie supérieure (61A) et l’extrémité inférieure de la tige (61) étant distribuées axialement de part et d’autre du trou (69) du bord périphérique (62),
et dans lequel le couvercle (5) est apte à passer entre la position fermée et la position ouverte par la poussée, exercée selon une direction radiale de l’avant du couvercle (5) vers l’arrière du couvercle (5), provoquant ainsi un déplacement relatif, de préférence rectiligne, du rail (109) porté par le couvercle et de la partie (61A) supérieure, cette dernière étant de préférence pourvue d’un ergot ou organe mâle rigide prévu pour coulisser dans une rainure du rail (109). - Conteneur selon la revendication 5 ou 6, dans lequel le système d’ouverture/fermeture comprend en outre :
- un organe de rappel (68), porté par ou formé dans la tige (61) ou interposé entre la tige (61) et une paroi de fond (P2), formant ladite surface inférieure (21), de la base (2), l’organe de rappel (68) étant configuré pour solliciter le couvercle (5) vers la position ouverte ; et
- un dispositif de verrouillage pour verrouiller la position fermée du couvercle (5). - Conteneur selon la revendication 9, dans lequel le dispositif de verrouillage inclut :
- un élément de retenue (77), de préférence sous la forme d’un clip ou patte d’insertion, formé dans le couvercle (5), dans ou en position adjacente à une partie de contact (PC) pour le contact du couvercle contre le bord périphérique (32) ; et
- un élément de fixation complémentaire (76), de préférence sous la forme d’un bord de prise, sous lequel vient s’engager de façon amovible l’élément de retenue (77) dans la position fermée. - Conteneur selon la revendication 1, 2, 3 ou 4, dans lequel le couvercle (5) forme un bouton poussoir solidaire en rotation de la tige (61), la tige (61) définissant un axe (Z2) de rotation du couvercle (5), le système d’ouverture/fermeture comprenant en outre :
- un guide (66), de préférence cylindrique, entourant et guidant la tige (61) ;
- un premier organe de rappel (112) monté dans un creux du guide (66) pour solliciter une remontée du couvercle (5) via la tige (61) ;
- un deuxième organe de rappel (113) monté dans une cavité (C2) de la base, le deuxième organe de rappel (113) ayant une configuration contractée pour autoriser un déplacement axial descendant de l’insert (3) en réponse à une poussée d’enfoncement du couvercle (5) exercée axialement par le dessus sur le couvercle (5), et une configuration déployée pour remonter l’insert (3) dans une position axiale par défaut lorsque cesse ladite poussée d’enfoncement. - Conteneur selon la revendication 11, dans lequel le couvercle (5) présente une partie de contact (PC) annulaire pour le contact du couvercle (5) contre le bord périphérique (32), une inclinaison étant prévue dans la partie de contact (PC) au moins du côté par lequel le couvercle mis en rotation s’écarte de l’ouverture supérieure (O),
et dans lequel un glissement de la partie de contact (PC) sur la surface supérieure (S32) inclinée du bord périphérique (32) est induit sur ledit côté par une rotation du couvercle (5) dont la trajectoire dépend d’un guidage sensiblement hélicoïdal de la tige (61), par le guide (66). - Conteneur selon la revendication 11 ou 12, dans lequel la tige (61) présente un rail (111) qui est :
- formé le long de la tige (61), de préférence sous la forme d’une rainure, et
- pourvu d’une partie hélicoïdale (61h) dans laquelle est engagé un ergot (67) formé dans une face interne généralement cylindrique du guide (66), lors de la mise en rotation du couvercle,
et dans lequel le premier organe de rappel (112) et le guide (66) coopèrent avec la tige (61), lorsque l’ergot (67) est positionné à une extrémité supérieure de la partie hélicoïdale (61h), de sorte que la force exercée par le premier organe de rappel (112) s’exerce au moins lorsque cesse la force de rappel du deuxième organe de rappel (113) pour permettre à la tige (61) de tourner et remonter le long du guide (66) en faisant ainsi tourner le couvercle (5). - Conteneur selon la revendication 13, dans lequel le système de contrainte comprend :
- l’ergot (67) appartenant au guide (66),
- un logement (111A) prévu dans la continuité de l’extrémité supérieure de la partie hélicoïdale (61h) du rail (111) et formant un coude avec ladite extrémité supérieure de la partie hélicoïdale (61h),
l’ergot (67) étant reçu dans le logement (111A) en position fermée, sachant que sous l’effet de la poussée comprimant des premier et deuxième ressorts constitutifs des premier et deuxième organes de rappel (112, 113), l’ergot (67) est apte à être retiré du logement (111A) et positionné dans la partie hélicoïdale (61h) du rail (111). - Conteneur selon l’une des revendications 1 à 8, dans lequel le système de contrainte comprend deux organes complémentaires (73, 74 ; 75 ; 76, 77), distribués l’un dans le couvercle (5) et l’autre dans l’insert (3), les deux organes complémentaires étant configurés dans la position fermée pour :
- se faire face et/ou coopérer mécaniquement, en permettant un verrouillage de la position fermée ; et
- être disposés cachés sous une face externe visible du couvercle (5). - Utilisation du conteneur (1) selon l’une des revendications précédentes, caractérisée en ce que le conteneur (1), de préférence de forme cylindrique, constitue tout ou partie d’un bouchon (8) obturant une ouverture (7) d’un récipient (80) de produit cosmétique.
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2023
- 2023-01-18 US US18/156,165 patent/US20230225482A1/en active Pending
Patent Citations (4)
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