FR3127766A1 - Regard à implanter en terre avec un ancrage de sécurité et ancrage de sécurité pour celui-ci - Google Patents

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Abstract

L’invention décrite porte sur un regard à implanter en terre, destiné par exemple à recevoir une garniture à encastrer conductrice de fluides, comme un compteur d’eau, comportant une paroi de regard englobant l’espace creux de regard, un ancrage de sécurité 10 étant prévu sur la face extérieure de la paroi de regard, en saillie dans le sens radial par rapport à cette dernière, débordant dans au moins une direction sur la surface d’assise du regard 1 et raccordé avec une reprise des forces dans le sens vertical avec la paroi de regard SW afin de s’engager dans la terre entourant le regard 1. L’ancrage de sécurité 10 englobe la paroi de regard SW sur sa circonférence et est réalisé dans le sens circonférentiel de la paroi de regard SW, en plusieurs pièces, notamment en deux pièces, les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité destinés à former l’ancrage de sécurité 10 étant assemblées par serrage l’une avec l’autre et sont conformées en ce qui concerne le contour orienté vers la paroi de regard et leur dimensionnement, de telle sorte qu’elles agissent, lorsqu’elles sont assemblées par serrage l’une avec l’autre, au moins par tronçons, avec une précontrainte contre la face extérieure de la paroi de regard SW. Figure pour l’abrégé : 1

Description

Regard à implanter en terre avec un ancrage de sécurité et ancrage de sécurité pour celui-ci
L’invention concerne un regard à implanter en terre, destiné par exemple à recevoir une garniture à encastrer conductrice de fluides, comme un compteur d’eau, comportant une paroi de regard englobant l’espace creux de regard, un ancrage de sécurité étant prévu sur la face extérieure de la paroi de regard, en saillie dans le sens radial par rapport à cette dernière, débordant dans au moins une direction sur la surface d’assise du regard et raccordé avec une reprise des forces dans le sens vertical avec la paroi de regard afin de s’engager dans la terre entourant le regard.
Il existe différentes applications qui prévoient l’implantation en terre de regards pour des installations, par exemple des installations conductrices de fluides.
De telles garnitures à encastrer conductrices de fluides, sont par exemple des compteurs d’eau. Dans ce cas, un tel regard est appelé regard de compteur d’eau.
Quand les conditions du bâti le permettent, les compteurs d’eau sont disposés à l’intérieur du bâtiment à desservir en eau potable.
Dans de nombreux cas, il est cependant indispensable d’installer un tel compteur d’eau à l’extérieur du bâtiment, notamment quand le bâtiment pour abriter une telle garniture à encastrer n’existe pas, par exemple sur les terrains de sport, dans les jardins ouvriers, les parcs ou les cimetières. Un regard de compteur d’eau est habituellement implanté dans la tranchée dans laquelle passent ou seront posées les conduites d’eau.
Cela signifie que le regard de compteur d’eau sera mis debout avec sa base sur le fond de fouille de la tranchée. Dans les latitudes à climat tempéré, les conduites d’eau sont en règle générale posées à une profondeur de 1 à 1,2 m, étant donné qu’il est admis que cette profondeur est hors gel.
Les regards de compteur d’eau existent en éléments préfabriqués en béton ainsi que sous la forme de regards en matière plastique. Les regards en matière plastique sont, en raison d’un poids de transport moindre, plus faciles à manipuler que les regards de compteur d’eau en béton, ce qui se répercute également sur une réduction des coûts de transport.
Les regards de compteur d’eau en matière plastique peuvent être adaptés à la profondeur de la tranchée. Selon une configuration préalablement connue, il est prévu à cet effet d’assembler un tel regard de compteur d’eau à partir de plusieurs modules de regard montés empilés les uns sur les autres.
La hauteur de ces regards de compteur d’eau assemblés est réglable grâce au nombre de modules utilisés.
Selon une autre configuration, un tel regard de compteur d’eau dispose du côté supérieur d’un tronçon de tuyau cannelé qui peut être ajusté sur site à la hauteur souhaitée, et ce en découpant le tronçon de tuyau cannelé dont on n’a pas besoin.
Des regards de conduite d’eau de ce type sont également implantés en terre, là où il y a du trafic au sol, là où on s’attend au passage de véhicules ou à toute autre mise en charge du regard. Dans un tel cas on coule, en guise de fondation pour un couvercle sur lequel on peut rouler, une collerette en béton autour de la terminaison supérieure du regard de compteur d’eau.
Les couvercles sont conformés pour supporter les charges exercées par le passage d’un véhicule. Les seuils de charge typiques de tels couvercles sont de 1,5 t, 12,5 t ou 25 t.
Des regards de ce type sont également utilisés sans que l’on prévoie d’y intégrer des robinetteries conduisant de l’eau, par exemple en guise de puit d’infiltration vertical.
Ceux-ci se prolongent en général jusqu’au niveau de la nappe phréatique. Dans cette mesure, le terme de « regard » utilisé dans le cadre des présentes réalisations englobe des ouvrages implantés en terre entourés d’une paroi circulaire – la paroi de regard –. Indépendamment de l’usage prévu d’un tel regard ou de son utilisation, ceux-ci sont exposés à des charges identiques ou du moins similaires.
Pour de tels regards, typiquement fabriqués en matière plastique et fermés par un couvercle, il s’avère qu’ils s’enfoncent quelque peu dans le sens vertical quand ils sont soumis à des charges s’exerçant sur le couvercle, par exemple dans le cadre du passage d’un véhicule. Lorsque le niveau de la nappe phréatique monte, de tels regards ont également tendance à se soulever sous l’effet de la poussée d’Archimède.
Le risque d’un enfoncement d’un tel regard existe même en l’absence de mise en charge notable par le haut, par exemple après un épisode de montée significative de la nappe phréatique, avec des ravinements en tout ou partie à la base du regard de compteur d’eau. De tels phénomènes se présentent également, lorsque les matériaux entourant le regard, lesquels ont typiquement été compactés lors de son implantation, sont soumis à des influences variables, sont emportés par l’eau ou se déplacent d’une autre manière au fil du temps. Ces deux phénomènes ne sont pas souhaitables et doivent être évités dans la mesure du possible.
Un déplacement ou décalage du regard dans le sens vertical doit aussi être évité afin de n’exercer aucune force de cisaillement sur les conduites qui s’engagent dans un tel regard, s’il est par exemple conformé en regard de compteur d’eau, dans le but d’éviter des charges de ce type au niveau des sections de couplage.
On connaît de l’état de la technique de tels regards, fabriqués dans un matériau plastique, qui présentent une ou plusieurs brides annulaires moulées sur celui-ci, en saillie vers l’extérieur dans le sens radial.
On connaît un tel regard conformé en regard de visite de DE 16 09 143 A.
Les brides annulaires ont pour but d’agir contre la pression d’Archimède qui s’exerce sur le regard de visite.
La proportion du porte-à-faux de ces brides annulaires est faible. Pour cette raison, ce regard de visite dispose de plusieurs brides annulaires disposées à distance l’une de l’autre dans le sens vertical.
Il en va de même pour un regard équipé de robinets, tel que décrit dans WO 97/04203 A1.
Ce regard est destiné à y loger un compteur d’eau. Contrairement à l’état de la technique énoncé précédemment, la paroi de regard ne comporte, en saillie vers l’extérieur, qu’une seule bride annulaire.
Le problème du soulèvement sous l’effet de la poussée d’Archimède de regards implantés en terre n’existe pas seulement pour les regards en matière plastique, mais aussi pour les regards en béton, comme ils sont par exemple utilisés en guise d’ouverture d’accès aux canaux d’assainissement.
Un tel regard est connu de JP 2010-24751 A. Ce regard en béton est implanté dans une route. Deux pièces d’ancrage de sécurité sont raccordées à l’aide d’équerres sur la face extérieure de la paroi de regard.
Les pièces d’ancrage de sécurité dépassent du regard, en saillie perpendiculairement par rapport à son axe vertical. Cet ancrage de sécurité composé à partir de deux pièces d’ancrage de sécurité sert à stabiliser la position du regard en cas de liquéfaction de la terre entourant le regard, par exemple à la suite d’un tremblement de terre.
Le regard révélé par ce document présente une surface de section qui se rétrécit vers le trou d’accès.
Les pièces d’ancrage de sécurité sont disposées dans la zone du début du rétrécissement vers le trou d’accès. Ce regard avec son ancrage de sécurité est implanté dans une route de telle sorte que la face supérieure de l’ancrage de sécurité forme simultanément la couche de fondation de la chaussée.
On considère que le montage très fastidieux des pièces d’ancrage de sécurité est un inconvénient.
Par conséquent, pour ce regard connu de JP 2010-24751 A, tout comme pour les deux autres regards en matière plastique cités préalablement selon l’état de la technique, l’implantation dans la structure géologique de la terre environnante s’impose, car dans le cas des regards en matière plastique, cette dernière s’adapte à la forme de la paroi de regard.
Dans le contexte discuté, l’invention a donc pour objet de proposer un regard à implanter en terre, prévu par exemple en tant que regard de compteur d’eau, pour lequel l’ancrage de sécurité peut être non seulement monté avec peu de moyens, mais aussi dont la position en hauteur par rapport à l’étendue verticale du regard peut être réglée pour s’adapter à la structure de la terre environnante.
Cette tâche est résolue selon l’invention grâce à un regard du genre de celui cité en introduction, conformé pour être implanté en terre.
Ce regard, conformé par exemple en tant que regard de compteur d’eau, dispose d’un ancrage de sécurité qui dépasse en saillie dans le sens radial de la paroi de regard et qui chevauche nettement la surface d’assise du regard dans au moins une direction, cependant de préférence dans au moins deux directions, lesquelles sont diamétralement opposées l’une à l’autre par rapport à l’espace creux du regard.
L’ancrage de sécurité ou ses pièces d’ancrage de sécurité s’engagent, après implantation du regard en terre, dans la terre entourant le regard et sont par conséquent ancrés en terre en toute sécurité, surtout par rapport aux mouvements verticaux.
L’ancrage de sécurité est raccordé au regard par un serrage avec reprise des forces agissant dans le sens vertical.
Grâce aux pièces d’ancrage de sécurité de son ancrage de sécurité s’engageant dans la terre environnante, le regard est fixé dans le sens vertical.
Les tronçons de l’ancrage de sécurité s’engageant dans la terre sont typiquement intégrés aux matériaux compactés entourant le regard.
Le regard est ainsi sécurisé par l’ancrage de sécurité contre les mouvements verticaux se produisant dans la terre entourant le regard.
On agit ainsi contre les mouvements du regard dans le sens vertical. Les pièces d’ancrage de sécurité en saillie dans le sens radial de la paroi de regard vont suffisamment au-delà de la surface d’assise du regard pour assurer l’ancrage souhaité.
Cela permet donc aussi une configuration dans laquelle le regard est exécuté de manière cylindrique dans l’ensemble ou du moins habituellement de manière largement cylindrique.
On utilise quelquefois des regards de compteur d’eau traditionnels, dont le tronçon inférieur, dans lequel sont introduites les conduites de fluides, se rétrécit coniquement vers le haut, afin d’éviter un soulèvement sous l’effet de la poussée d’Archimède grâce à la surface de calage conique produite de cette manière dans ce tronçon du regard.
Néanmoins, l’espace creux d’installation supplémentaire ainsi mis à disposition n’a aucune utilité, au contraire il favorise un soulèvement sous l’effet de la poussée d’Archimède en raison de l’espace creux plus grand. Toutefois, il n’évite pas pour autant un enfoncement.
Une telle configuration du tronçon d’extrémité du regard, du côté du fond de fouille, est possible, mais n’est pas nécessaire dès lors qu’un ancrage de sécurité est prévu.
Le porte-à-faux de l’ancrage de sécurité ou de ses pièces d’ancrage de sécurité s’engageant dans la terre peut par exemple correspondre à la moitié ou même plus du diamètre intérieur, dans le sens du porte-à-faux.
La longueur du porte-à-faux des pièces d’ancrage de sécurité dépend également de leur configuration, et notamment de leur étendue radiale ainsi que de la surface de contre-butée agissant dans le sens vertical et mis à disposition par ces dernières.
Si l’on utilise par exemple une collerette en guise d’ancrage de sécurité, celle-ci dispose d’une plaque de collerette et par conséquent d’une plaque d’ancrage fermée ou du moins sensiblement fermée.
Dans une telle configuration, celles-ci peuvent, pour empêcher un enfoncement et/ou un soulèvement du regard sous l’effet de la poussée d’Archimède, être dimensionnées nettement plus courtes que des pièces d’ancrage de sécurité prévues sous forme de tiges ou de profilés en saillie dans le sens radial du regard. En ce sens, il existe différentes possibilités pour conformer un tel ancrage de sécurité dans le but d’ancrer le regard en terre dans le sens vertical.
L’ancrage de sécurité d’un tel regard à implanter en terre peut être raccordé à sa paroi de regard en restant relativement proche de la surface.
Celui-ci peut alors diffuser dans la terre les charges de circulation, sans que de telles charges soient dirigées sur de grandes hauteurs de regard jusqu’à sa base.
Lors d’une telle configuration de l’ancrage de sécurité, une couronne, située à l’extérieur par rapport à l’ouverture du regard, laquelle maintient le couvercle, typiquement en béton, peut être dimensionnée de manière nettement plus petite, afin d’absorber les charges de trafic efficacement et sans endommager le regard ou son implantation en terre.
Il peut également être prévu de positionner l’ancrage de sécurité sous la hauteur totale du regard.
L’ancrage de sécurité est conformé de manière à entourer la paroi de regard sur toute sa circonférence.
Un ancrage de regard constitué par exemple de deux pièces d’ancrage de regard peut alors être raccordé sans problème au regard par serrage des deux pièces d’ancrage de sécurité.
Dans une telle configuration, il est avantageux de pouvoir monter un tel ancrage de sécurité ultérieurement même sur des regards déjà implantés en terre.
À cet effet, il suffit de dégager le regard jusqu’à la profondeur à laquelle l’ancrage de sécurité doit être monté, par exemple 30 à 40 cm sous la surface du terrain.
Le raccordement avec reprise des forces de l’ancrage de sécurité au regard est réalisé par le fait qu’un ancrage de sécurité est composé de plusieurs pièces qui sont assemblées par serrage l’une avec l’autre et qu’en raison du serrage, celles-ci agissent simultanément avec précontrainte contre la face extérieure de la paroi de regard.
Une telle fixation avec reprise des forces peut de surcroît être améliorée par une fixation par complémentarité de forme, lorsque le regard présente, en saillie par rapport à sa paroi de regard, une butée vers l’extérieur qui agit dans le sens vertical, conformée par exemple à la manière d’une bride. Afin d’absorber les forces s’exerçant dans le sens vertical, en direction de la base du regard, l’ancrage de sécurité se trouve, dans une telle configuration, sous une telle butée et par conséquent à son contact, en appui sur celle-ci par sa face supérieure.
Dans cette configuration, le tronçon supérieur du regard est alors en appui sur l’ancrage de sécurité. Une telle butée peut par exemple être mis à disposition par la solidarisation des structures d’assemblage de deux modules de regard qui composent le regard.
Si les pièces d’ancrage de sécurité sont conformées à la manière de plaques, comme cela est par exemple le cas avec une collerette, celles-ci peuvent être renforcées contre les contraintes de flexion par des ailettes en saillie dans le sens vertical.
Ces ailettes peuvent être moulées d’un seul côté ou de deux côtés sur une telle plaque.
Dans une configuration privilégiée, où l’ancrage de sécurité est réalisé en deux parties, ses pièces d’ancrage de sécurité, donc par exemple ses pièces de collerette, sont en saillie par rapport à la paroi de regard, dans une direction diamétralement opposée par rapport à l’espace creux du regard.
Le sens du porte-à-faux de ces pièces d’ancrage de sécurité s’étend de préférence perpendiculairement à l’étendue longitudinale de la tranchée.
Typiquement, les pièces d’ancrage de sécurité d’un regard conformé en regard de compteur d’eau, ont une portée supérieure à la largeur d’une tranchée, laquelle sera alors réalisée avec une largeur plus importante uniquement à proximité de la surface, là où un tel regard doit être utilisé.
Il est alors avantageux que la terre se trouvant sous ces pièces d’ancrage de sécurité n’ait, du moins par endroits, pas été ameublie et qu’elle possède donc sa stabilité initiale.
Le serrage peut porter sur des pièces d’ancrage de sécurité isolées afin d’obtenir le serrage avec reprise des forces souhaité avec le regard, à l’aide de moyens de serrage connus, comme ceux utilisés pour des montages d’envergure, par exemple sur des tonneaux pour une fermeture avec un couvercle.
Le montage à l’aide de boulons de serrage est également possible. Ces derniers permettent d’exercer des forces de serrage plus élevées.
Dans ce cas, les pièces d’ancrage de sécurité à solidariser supportent chacune, conformément à un exemple de réalisation, sur leurs faces orientées l’une vers l’autre, une patte de contrebutée, traversée par un ou plusieurs boulons de serrage. Si l’on envisage un serrage sans outil, un système de serrage composé d’une bande que l’on tend à l’aide d’un levier peut être prévu.
Les différentes pièces d’ancrage de sécurité peuvent être serrées par un anneau de serrage équipée de tels moyens de serrage.
Un regard ainsi conformé permet de monter entre elles, au cours d’une première étape, les pièces d’ancrage de sécurité enserrant la paroi de regard et, au cours d’une seconde étape, d’ajuster en hauteur l’ancrage de sécurité sur le regard avant de réaliser le serrage définitif sur la paroi de regard.
Dans une conception privilégiée d’un tel regard, la ou les pièces d’ancrage de sécurité agissent contre la surface d’enveloppe de la paroi de regard, du moins par endroits, grâce à un contact à points multiples lequel agit dans le sens du serrage.
Le sens de serrage dans une telle conception est celui dans lequel les pièces d’ancrage de sécurité sont assemblées par serrage l’une avec l’autre.
Il est alors suffisant d’orienter les composants d’une telle pièce d’ancrage de sécurité, lesquels produisent le contact à points multiples, selon une proportion vectorielle dans le sens du serrage.
On obtient ainsi une concentration des forces sur les composants d’un tel ancrage de sécurité, par lesquels le contact à points multiples. Il peut par exemple s’agir de saillies d’une telle pièce d’ancrage de sécurité, sur le côté orienté vers la paroi de regard.
Un tel contact à points multiples peut se faire à l’aide de pièces supplémentaires montées sur une pièce d’ancrage de sécurité, par exemple par des boulons en porte-à-faux sur la surface frontale de la pièce d’ancrage de sécurité, orientée vers la paroi de regard. Lors de l’utilisation de boulons, il est prévu dans un développement, que ceux-ci soient ajustables dans la longueur de leur tige en porte-à-faux par rapport à la surface frontale de la pièce d’ancrage de sécurité.
Il s’entend que le terme de « contact à points multiples » utilisé dans le cadre de ces réalisations ne désigne pas dans un sens strict un contact ou un appui ponctuel sur la paroi de regard. Ce terme englobe les structures et/ou pièces, par lesquelles la surface de contact d’une telle pièce d’ancrage de sécurité dont la face frontale est orientée vers la paroi de regard, est réduite au niveau de son évidement de paroi de regard typiquement présent, par rapport à sa surface de contact, par conséquent un tel contact par points désigne par sa nature un appui surfacique.
Les pièces d’ancrage de sécurité dotées d’un tel contact à points multiples présentent non seulement l’avantage de concentrer de cette manière une concentration de la force de serrage adjacente sur les composants de la pièce d’ancrage de sécurité responsables du contact à points multiples, ce qui se répercute positivement sur le serrage avec reprise des forces souhaité dans le sens vertical du regard, entre la pièce d’ancrage de sécurité et le regard.
Mais encore, une telle pièce d’ancrage de sécurité, c’est-à-dire l’ancrage de sécurité assemblé à partir de plusieurs pièces de ce type peut également être monté conformément à sa destination, lorsque la surface d’enveloppe du regard présente des irrégularités géométriques, surtout dans le sens périphérique.
Les composants servant au contact à points multiples d’une telle pièce d’ancrage de sécurité agissent de manière appropriée sur les tronçons de la paroi de regard qui sont conformés particulièrement avec une stabilité de forme par rapport à de telles charges.
Pour un regard avec une surface d’enveloppe de forme circulaire, celui-ci présente, si on considère sa périphérie, une stabilité identique en tout endroit. Dans de nombreux cas, de tels regards ne présentent cependant pas de section de forme circulaire, mais ont une forme à peu près rectangulaire avec des coins arrondis.
Dans une telle configuration, les coins arrondis sont les endroits présentant la stabilité de forme la plus grande par rapport aux forces radiales s’exerçant de l’extérieur. En conformant le regard ainsi manière, on prévoira de manière privilégiée les composants d’une telle pièce d’ancrage de sécurité, lesquels mettent à disposition le contact par points, pour qu’ils agissent sur ces coins arrondis.
Les pièces d’ancrage de sécurité d’un tel ancrage de sécurité seront conformées de manière privilégiée de telle sorte que les surfaces frontales orientées l’une vers l’autre sont, même quand elles sont raccordées à la paroi de regard, séparées l’une de l’autre par une fente.
De cette manière, les tolérances de fabrication au niveau du diamètre d’un tel regard peuvent être rattrapées facilement sans pertes de la force de serrage applicable.
L’invention est décrite ci-après à l’aide d’exemples de réalisation en se référant aux figures ci-jointes qui montrent:
en vue latérale, un regard selon l’invention à implanter en terre,
une vue du dessus du regard de la , utilisé en tant que regard de compteur d’eau, avec une arrivée de conduite,
en coupe verticale, le regard de compteur d’eau de la , implanté en terre, le long de la ligne de coupe A - B de la ,
un autre regard selon l’invention selon une autre configuration et
une coupe à travers le regard de la , avec une vue orientée vers le bas.
Le regard 1 présenté dans la est conformé en regard de compteur d’eau. Le regard 1 de l’exemple de réalisation présenté est constitué de plusieurs modules 2, 3, 4, 5 de regard.
Les modules 2, 3, 4, 5 de regard sont disposés les uns sur les autres et reliés les uns aux autres par des structures de liaison qui s’engagent les unes dans les autres.
Le module 2 de regard tout en bas dispose d’une base 6.
Les parois périphériques des modules 2 à 5 de regard forment la paroi de forme annulaire de la paroi de regard du regard 1 à implanter en terre.
Le module 5 de regard supérieur présente sur le haut une ouverture pour l’accès dans l’espace creux du regard et est fermé par un couvercle 7. À l’intérieur du regard 1, l’exemple de réalisation représenté comporte une garniture de compteur d’eau faisant office de garniture à encastrer conductrice de fluides.
Le compteur d’eau lui-même se trouve sous le couvercle 7 et peut être facilement lu dès lors que le couvercle 7 est ouvert.
L’implantation du regard 1 se fait dans une tranchée 8 creusée dans la terre, qui, dans cette figure est uniquement suggérée à l’aide de lignes en traits et points. Le regard 7 est en appui par sa base 6 sur le fond de fouille 9 de la tranchée 8.
Les modules 2 à 5 de regard sont fabriqués dans une matière plastique appropriée à ces usages, par exemple du polypropylène.
Afin d’ancrer le regard 1 dans le sens vertical, un ancrage de sécurité 10 est raccordé à ce dernier.
Dans l’exemple de réalisation représenté, l’ancrage de sécurité 10 est composé à partir de deux pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité réalisées chacune à la manière d’une pièce de collerette.
Les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité sont en saillie dans le sens radial en partant de la face extérieure de la paroi de regard SW.
Dans l’exemple de réalisation représenté, l’ancrage de sécurité 10 est raccordé au module 3 de regard.
L’étendue radiale des pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité est, dans l’exemple de réalisation représenté, perpendiculaire à l’axe longitudinal de la tranchée 8.
Par conséquent, les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité s’engagent également dans la terre plus éloignée du regard 1, lorsque le regard 1 est implanté en terre.
Les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité constituant l’ancrage de sécurité 10 sont des pièces en matière plastique résistante aux chocs et en principe rigide, tout en permettant cependant une faible déformation élastique afin qu’elles ne s’effritent pas.
La pièce 11 d’ancrage de sécurité est constituée d’une plaque d’ancrage 13, laquelle est renforcée sur sa face supérieure par des ailettes 14, s’étendant également dans le sens radial. La configuration de la pièce 11 d’ancrage de sécurité avec sa plaque d’ancrage 13 et la disposition de ses ailettes 14 de renfort est visible sur la vue du dessus sur le regard 1 représenté en .
La pièce 11 d’ancrage de sécurité dispose, sur son côté orienté vers la paroi de regard, d’un évidement 15 de paroi de regard, lequel est ajusté au contour du regard 1.
La géométrie en coupe transversale des modules 2 à 5 de regard est de forme sensiblement rectangulaire avec des surfaces latérales bombées et des coins arrondis. Le côté de la pièce 11 d’ancrage de sécurité orienté vers le regard 1 présente un contour correspondant.
Sur le côté de la pièce 11 d’ancrage de sécurité orienté vers la pièce 12 d’ancrage de sécurité sont moulées, sur le bord, des prolongements de serrage 16. Grâce à ceux-ci et à l’évidement 15 de la paroi de regard, la pièce 11 d’ancrage de sécurité englobe la paroi de regard sur un peu moins de 180°. À chaque extrémité libre des prolongements de serrage 16 se trouve une contrebutée de serrage 17, laquelle est moulée dans le sens radial, en s’écartant du regard 1, aux prolongements de serrage 16.
Les contrebutées de serrage 17 servent à insérer des boulons de serrage 18, afin de fixer par serrage la pièce 11 d’ancrage de sécurité avec l’autre pièce 12 d’ancrage de sécurité.
La pièce 12 d’ancrage de sécurité est construite exactement comme la pièce 11 d’ancrage de sécurité. De ce fait, les repères des pièces identiques sont les mêmes, et identifiées par le suffixe « .1 ». Les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité sont disposées avec leurs contrebutées de serrage 17, 17.1 orientées les unes vers les autres, à l’extérieur du regard 1 et sont solidarisées avec des boulons de serrage 18.
Dans l’exemple de réalisation représenté, deux boulons de serrage 16 traversent les contrebutées de serrage 17, 17.1 à solidariser l’une avec l’autre. Le serrage des pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité à l’aide des boulons de serrage 18, entraîne une fixation avec reprise des forces entre les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité et la paroi de regard.
Pour cette raison, les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité englobent sur la circonférence, avec leur évidement 15 de paroi de regard et les prolongements de serrage 16, 16.1 qui y sont moulées, la paroi de regard du regard 1, en laissant cependant une fente de serrage entre chaque paire de contrebutées de serrage 17, 17.1.
La fente de serrage est identifiée sur la à l’aide du repère 19. En raison de cette fixation avec reprise des forces, les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité sont fermement solidarisées, tout en agissant dans le sens vertical, avec le module de regard 3 et par conséquent avec l’ensemble du regard 1.
Une telle fente de serrage 19 est présente sur les deux côtés, entre les contrebutées de serrage 17, 17.1 (cf. ). La montre dans une vue du dessus également le couvercle 7.
Cette figure illustre l’effet sur une surface importante des pièces 11, 12 de sécurité avec leurs plaques d’ancrage 13, 13.1 dans leur sens d’action vertical et de ce fait, la fixation sécurisée du regard 1 implanté en terre.
Les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité s’étendent dans le sens radial, comme le montre la , et vont nettement au-delà de la surface d’assise du module 2 de regard inférieur.
La vue du dessus de la montre que les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité ont également une étendue plus grande dans le sens de l’étendue longitudinale de la tranchée 8 que le regard 1 lui-même. La vue du dessus de la représente une conduite 20 d’eau, qui comme on le voit sur la est introduite dans le module 2 de regard inférieur.
La montre le regard 1 implanté en terre dans une coupe longitudinale le long de la ligne de coupe A-B de la .
La tranchée 8 est remplie d’un sol 21 compacté. Les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité, desquelles on ne voit dans cette figure que les contrebutées de serrage 17 de la pièce 11 d’ancrage de sécurité en raison du plan de coupe, sont prises dans le sol 21 compacté. En raison de l’amplitude de serrage des pièces 11, 12, d’ancrage de sécurité visible dans les figures 1 et 2, également prises dans le sol 21 compacté, comme on le reconnaît dans la d’après les contrebutées de serrage 17, on voit nettement que le regard 1 est ancré en sécurité dans le sens vertical dans la terre constituées par le sol 21. Au-dessus de la couche de sol compactée 21 se trouve par exemple une couche de tout-venant 22, sur laquelle sont posées les plaques 23.
Dans l’exemple de réalisation représenté, une couronne en béton 24 est coulée dans la zone de transition entre le module 5 de regard supérieur et le module 4 de regard situé en dessous.
L’étendue radiale de la couronne en béton 24 est, comme on le constate sur la , nettement plus faible que l’amplitude de serrage par laquelle les pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité s’engagent dans le sol 21 compacté.
De plus, l’ancrage de sécurité 10 constitué des pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité se trouve à une profondeur avec suffisamment de sol 21 compacté faisant office de contrebutée sur le haut, ce à quoi s’ajoute la structure du sol qui se trouve au-dessus. Cela met à disposition, grâce aux pièces 11, 12 d’ancrage de sécurité s’enfonçant dans la terre, une contrebutée efficace contre un éventuel soulèvement du regard sous l’effet d’une poussée.
La montre une représentation en perspective d’un autre regard 1.1. Celui-ci est construit sur le principe du regard 1 décrit dans les figures précédentes.
Le regard 1.1 se différencie uniquement du regard 1 par la configuration de ses pièces 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité. Pour le reste, les réalisations précédentes concernant le regard 1 s’appliquent de la même manière pour le regard 1.1.
Les deux pièces 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité sont solidarisées par deux paires de boulons de serrage 25, qui traversent chacun une équerre de serrage 26, 27, 26.1, 27.1 affectée à chaque pièce 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité (cf. également la en haut à droite).
Les équerres de serrage 26, 27, 26.1, 27.1 sont raccordées sur leur pièce 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité respective par des fixations à vis.
Chaque pièce 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité supporte deux supports 28, 28.1, 29, 29.1. de boulon de serrage.
Les supports 28, 28.1, 29, 29.1 de boulon de serrage comportent respectivement une équerre de maintien 30 (représenté uniquement avec le support 29 de boulon de serrage), qui par l’une de ses pattes est raccordée à la pièce d’ancrage de sécurité (ici : la pièce 12.1 d’ancrage de sécurité). Son autre patte dispose d’un perçage fileté femelle, dans lequel filetage femelle est engagée la tige filetée d’un boulon de serrage 31 qui y est inséré. Le pied de chaque boulon de serrage 31 d’un tel support 28, 28.1, 29, 29.1 de boulon de serrage agit avec une précontrainte contre la face extérieure de la paroi de regard SW et est ainsi serré contre celle-ci.
La tige du boulon de serrage 31 est en saillie sur l’évidement 15.1 de la paroi de regard des pièces 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité.
Les boulons de serrage 31 agissent contre les tronçons de la paroi de regard SW qui, considérés dans le sens circonférentiel, présentent le rayon le plus petit.
La géométrie de section du regard 1.1 est de forme sensiblement rectangulaire, avec des coins et des faces arrondies, le rayon de courbure dans les coins étant significativement plus petit que dans les surfaces latérales.
Par conséquent ces zones de la paroi de regard SW conformées avec un rayon plus faible constituent, du point de vue de la forme, les zones les plus stables par rapport aux forces s’exerçant radialement. Dans l’exemple de réalisation représenté, les boulons de serrage 31 agissent avec un angle de 45 degrés par rapport à l’axe longitudinal ou
court de la géométrie de section du regard 1.1, de sorte que les forces exercées sont dirigées de manière homogène vers les surfaces latérales reliant les courbures de coin.
Entraînant de ce fait un appui à points multiples agissant dans le sens du serrage des pièces 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité sur la paroi de regard SW, comme cela ressort essentiellement de la pièce 12.1 d’ancrage de sécurité, vue du dessus, de la représentation en coupe de la .
Les boulons de serrage 31 des supports 28, 28.1 de boulon de serrage affectées à la pièce 11.1 d’ancrage de sécurité agissent de manière similaire contre la paroi de regard SW.
Seule la fente restante entre la paroi de regard et l’évidement 15.1 respectif de la paroi de regard, à l’instar de la face de la pièce 11.1, 11.2 d’ancrage de sécurité respective orientée vers la paroi de regard SW, est dimensionnée plus petite.
Cet agencement d’appui est visible dans la représentation détaillée de la , en haut à droite, à l’aide du support 29.1 de boulon de serrage.
Dans l’exemple de réalisation présenté dans les et , la pièce 11.1 d’ancrage de sécurité est préparée pour être raccordée à la pièce 12.1 d’ancrage de sécurité de telle sorte qu’avec le raccordement des équerres de serrage 27, une baguette 32 maintenue sur la face inférieure de la pièce 11.1 d’ancrage de sécurité est fixée simultanément sur la pièce 11.1 d’ancrage de sécurité.
La baguette 32 est en saillie par rapport à la surface frontale orientée vers la pièce 12.1 d’ancrage de sécurité et forme ainsi, conjointement avec l’équerre 27, un logement 33 de pièce d’ancrage de sécurité, dans lequel la pièce 12.1 d’ancrage de sécurité peut être insérée avec un tronçon de bord.
De la même manière, une telle baguette est affectée à l’équerre 27.1 sur la face inférieure d’une telle pièce 11.1 d’ancrage de sécurité. Cela facilite la solidarisation des deux pièces 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité, étant donné que les deux pièces 11.1, 12.1 d’ancrage de sécurité sont déjà positionnées l’une vers l’autre en hauteur par rapport à l’étendue verticale du regard 1.1, avant qu’elles ne soient solidarisées par serrage sur la paroi de regard SW.
L’invention a été décrite à l’aide d’exemples de réalisation.
Le professionnel reconnaîtra de nombreuses autres possibilités de les mettre en œuvre, sans qu’il soit cependant nécessaire de les décrire plus en détail dans le cadre des présentes explications.
Liste des repères :
1, 1.1 Regard
SW Paroi de regard
2-5 Paroi de regard
6 Base
7 Couvercle
8 Tranchée
9 Fond de fouille
10, 10.1 Ancrage de sécurité
11, 11.1 Pièce d’ancrage de sécurité
12, 12.1 Pièce d’ancrage de sécurité
13, 13.1 Plaque d’ancrage
14 Ailette
15, 15.1 Évidement de paroi de regard
16 Prolongement de serrage
17, 17.1 Contrebutée de serrage
18 Boulon de serrage
19 Fente de serrage
20 Conduite
21 Sol
22 Couche de tout-venant
23 Plaque
24 Couronne en béton
25 Boulon de serrage
26, 26.1 Équerre de serrage
27, 27.1 Équerre de serrage
28, 28.1 Support de boulon de serrage
29, 29.1 Support de boulon de serrage
30 Équerre de serrage
31 Boulon de serrage
32 Baguette
33 Logement de pièce d’ancrage de sécurité

Claims (13)

  1. Regard à implanter en terre, destiné par exemple à recevoir une garniture à encastrer conductrice de fluides, comme un compteur d’eau, comportant une paroi de regard englobant l’espace creux de regard, un ancrage de sécurité (10, 10.1) étant prévu sur la face extérieure de la paroi de regard, en saillie dans le sens radial par rapport à cette dernière, débordant dans au moins une direction sur la surface d’assise du regard (1, 1.1) et raccordé avec une reprise des forces dans le sens vertical avec la paroi de regard (SW) afin de s’engager dans la terre (21) entourant le regard (1, 1.1), caractérisé en ce quel’ancrage de sécurité (10, 10.1) entoure la circonférence de la paroi de regard (SW) et qu’il est réalisé dans le sens circonférentiel de la paroi de regard (SW) en plusieurs pièces, notamment en deux pièces, les pièces (11, 12 ; 11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité étant, afin de réaliser l’ancrage de sécurité (10, 10.1), assemblées par serrage l’une avec l’autre et qu’elles sont conformées par rapport au contour orienté vers la paroi de regard et leur dimensionnement, de telle sorte que, quand elles sont assemblées par serrage l’une avec l’autre, elles agissent du moins par tronçons avec une précontrainte contre la face extérieure de la paroi de regard (SW).
  2. Regard selon la revendication 1,caractérisé en ce quel’ancrage de sécurité (10, 10.1) est réalisé à la manière d’une collerette avec une plaque d’ancrage (13, 13.1) renforcée par des ailettes (14).
  3. Regard selon la revendication 2,caractérisé en ce queles pièces (11, 12 ; 11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité présentent sur leur côté orienté vers le regard un évidement (15) de regard, les évidements (15) de regard des deux pièces (11, 12 ; 11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité étant ajustées au contour du regard (1, 1.1).
  4. Regard selon la revendication 3,caractérisé en ce queles deux pièces (11, 12) d’ancrage de sécurité présentent sur leurs faces orientées l’une vers l’autre, des contrebutées (17, 17.1) pour des moyens de serrage, destinés à solidariser les deux pièces (11, 12) d’ancrage de sécurité l’une avec l’autre.
  5. Regard selon la revendication 4,caractérisé en ce quedes boulons de serrage (18) sont prévus en guise de moyens de serrage.
  6. Regard selon l’une des revendications 1 à 5,caractérisé en ce queles pièces (11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité supportent sur leur face orientée avec la paroi de regard (SW) des éléments saillants selon une proportion vectorielle dans le sens du serrage, de sorte qu’une telle pièce (1.1, 12.1) de sécurité est raccordée à la paroi de regard (SW) avec une reprise des forces dans le sens du serrage par les éléments saillants, à la manière d’un contact à points multiples.
  7. Regard selon la revendication 6,caractérisé en ce queles éléments saillants sont réalisés par des boulons (31) en porte-à-faux sur le contour d’une pièce (11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité, orienté vers la paroi de regard (SW).
  8. Regard selon la revendication 7,caractérisé en ce queles boulons (31) sont ajustables dans la longueur de leur tige en porte-à-faux par rapport à la surface frontale de la pièce (11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité, orienté vers la paroi de regard (SW).
  9. Regard selon l’une des revendications 6 à 8,caractérisé en ce queles éléments saillants de la ou des pièces d’ancrage de sécurité agissent contre un tronçon de paroi de regard, lequel considéré dans le sens circonférentiel, présente le rayon le plus petit.
  10. Regard selon l’une des revendications 6 à 9,caractérisé en ce queles pièces (11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité montées ensemble, lorsqu’elles sont montées ensemble et solidarisées avec une reprise des forces sur la paroi de regard (SW), sont à distance l’une de l’autre au niveau de leurs surfaces frontales orientées l’une vers l’autre.
  11. Regard selon l’une des revendications 1 à 10,caractérisé en ce quele regard présente une butée en saillie à l’extérieur par rapport à la paroi de regard, agissant dans le sens vertical et que l’ancrage de sécurité est raccordé au regard sous la butée, au contact de sa face inférieure.
  12. Regard selon la revendication 11,caractérisé en ce quele regard est constitué de plusieurs modules de regard disposés les uns sur les autres et qu’une telle butée est mise à disposition par au moins une des structures de liaison résultant de l’assemblage de deux modules de regards montés l’un sur l’autre.
  13. Regard selon l’une des revendications 1 à 12,caractérisé en ce quecelui-ci présente une base (6) et une ouverture sur le haut, faisant office d’accès dans l’espace creux de regard, que ce regard (1, 1.1) est prévu pour recevoir une garniture à encastrer conductrice de fluides et en ce que l’ancrage de sécurité (10, 10.1) supporte sur deux faces diamétralement opposées, des pièces (11, 12, 11.1, 12.1) d’ancrage de sécurité en saillie par rapport à la paroi de regard.
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