FR3096997A1 - Panneau préfabriqué autoportant à ossature bois, procédé, extension et construction utilisant ce panneau préfabriqué - Google Patents

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Abstract

[Panneau préfabriqué autoportant à ossature bois, procédé, extension et construction utilisant ce panneau préfabriqué L’invention se rapporte à un panneau préfabriqué autoportant (1) à ossature bois (2). Selon l’invention, l’ossature bois (2) comprend au moins une poutre treillis (20) qui renforce la résistance mécanique du panneau préfabriqué autoportant (1) et lui confèrent des propriétés de reprise de charges lui permettant de franchir le vide. L’invention concerne également une extension (6) à ossature bois équipée d’au moins un panneau préfabriqué autoportant (1) et une construction existante (4) équipée de cette extension (6). Enfin l’invention concerne encore un procédé d’extension et/ou de surélévation d’une construction existante (4). Figure pour l’abrégé Fig. 4]

Description

Panneau préfabriqué autoportant à ossature bois, procédé, extension et construction utilisant ce panneau préfabriqué
La présente invention entre dans le domaine du bâtiment et notamment de la construction à ossature bois. La présente invention se rapporte plus particulièrement à un panneau préfabriqué à ossature bois afin de réaliser l’extension et/ou la surélévation d’une construction existante.
L’extension et/ou la surélévation d’une construction existante consiste à rajouter un étage total ou partiel d’une construction existante.
Dans cette optique, les techniques de construction en ossature bois se sont répandues ces dernières années. En effet, l’utilisation de la construction à ossature bois présente bien des avantages, six à huit fois plus légère que le béton. La construction d’une extension à ossature bois est également rapide à mettre en œuvre, de l’ordre 3 à 4 semaines, par rapport à une extension en dur (brique, parpaing, béton) pour une extension d’étage partiel d’une construction existante.
Cependant, une surélévation partielle implique la création d’un ou plusieurs mur(s) de façade sans avoir d'appui sur toute la longueur de la façade de la construction existante. Afin de pallier ce problème, le constructeur se trouve dans la nécessité de créer des poutres de soutènement qui peuvent être réalisées dans divers matériaux, tels que le bois, le métal ou encore le béton. Ces poutres auront pour fonction de supporter les murs de façade, le plancher et la charpente de l’extension de surélévation.
En pratique, selon le procédé d’extension et/ou de surélévation implique une première étape de retrait de la couverture de la construction existante. Il est à noter que le terme couverture désigne largement tout type de toiture qui équipe une construction existante.
Suite au retrait de la couverture, des poutres sont mise en place afin de supporter le futur mur de façade. Les poutres peuvent être mises en place tant à l’extérieur de la construction existante qu’à l’intérieur de celle-ci pour supporter un mur de façade qui s’étend perpendiculairement à deux murs porteurs de la construction existante. Cette situation est illustrée dans le cadre de l’invention à la figure 8.
Une fois les poutres de soutènement des murs de façade de l’extension installées, le plancher de l’extension et/ou de la surélévation est posé, s’en suit dans l’ordre cité la pose des murs de façade, de la charpente et enfin l’isolation des murs.
Selon ce procédé d’extension et/ou de surélévation classique la partie de la construction qui fait l’objet d’une extension et/ou d’une surélévation se trouve exposée aux intempéries pendant toute la durée des travaux d’extension et/ou de surélévation. Naturellement dans la plupart des cas, les travaux d’extension et/ou de surélévation se déroulent au-dessus d'un habitat occupé avec une couverture partielle qui se trouve par conséquent exposé à des dégradations dues aux intempéries.
De plus, la pose tardive de la charpente de l’extension et/ou de la surélévation expose également cette dernière aux intempéries.
Au regard des problématiques relevées dans l’état de la technique, la demanderesse à développé une solution technique afin de réduire, d’une part, le temps d’installation d’une extension et/ou d’une surélévation à ossature bois d’une construction existante, et d’autre part, le temps d’exposition aux intempéries de la construction existante.
Dans cette optique, un premier aspect de l’invention concerne un panneau préfabriqué autoportant comprenant une ossature bois qui comporte, d’une part, un premier panneau isolant formant la face extérieure du panneau préfabriqué autoportant, et d’autre part, un second panneau formant la face intérieure du panneau préfabriqué autoportant. Le panneau préfabriqué autoportant se caractérise en ce que l’ossature bois comprend au moins une poutre treillis en bois définissant une structure porteuse de reprise de charges d’au moins une partie de la structure d’une extension à ossature bois.
Avantageusement, l’utilisation d’au moins une poutre treillis pour constituer l’ossature bois du panneau préfabriqué autoportant contribue à augmenter la portance du panneau préfabriqué.
Selon une première caractéristique du premier aspect de l’invention, la poutre treillis comprend un cadre possédant une membrure haute et une membrure basse parallèles l’une à l’autre qui définissent respectivement le champ supérieur et le champ inférieur du panneau préfabriqué autoportant, et d’autre part, deux montants latéraux qui sont perpendiculaires de chaque membrure et définissent les côtés du cadre et les champs latéraux du panneau préfabriqué autoportant.
Selon une deuxième caractéristique du premier aspect de l’invention, la poutre treillis comprend un cadre dans lequel s’étendent des contrevents qui sont disposés à intervalle régulier entre deux côtés du cadre, les contrevents sont liaisonnés, intercalés et/ou croisés avec des montants transversaux du cadre.
La disposition des contrevents et des montants transversaux participe à renforcer la structure mécanique de la poutre treillis et par conséquent du panneau préfabriqué autoportant.
Toujours dans cette optique de renforcement de la structure de la poutre treillis, les contrevents sont disposés de manière symétrique par rapport à un axe médian transversal du cadre. Ainsi, lorsqu’une contrainte s’applique en un point de la structure de la poutre treillis, cette configuration des contrevents favorise un transfert de la contrainte sur l’ensemble de la structure de la poutre treillis. Par voie de fait, la portance de la poutre treillis se voit améliorée.
A ces fins, le cadre comporte également des entretoises disposées selon un axe parallèle aux deux membrures, les entretoises s’étendent longitudinalement entre un contrevent et un montant transversal et/ou entre deux montants transversaux.
Selon une troisième caractéristique du premier aspect de l’invention l’ossature bois comprend au moins deux poutres treillis solidaires l’une de l’autre. En particulier, les deux poutres treillis sont solidarisées de manière superposée par des connecteurs mécaniques. Cette caractéristique contribue également à renforcer la portance du panneau à ossature bois au travers du « système Eiffel » utilisé dans le domaine des ponts et du marais chaussé.
Un deuxième aspect de l’invention concerne une extension autoportante polygonale à ossature bois comprenant au moins un mur de reprise de charges qui est solidarisé latéralement à au moins un mur de façade, chaque mur étant solidaire dans sa partie basse d’un plancher et dans sa partie haute d’une charpente, caractérisé en ce que, chaque mur de reprise de charges est formé par un panneau préfabriqué à ossature bois comprenant au moins une poutre treillis définissant une structure porteuse de reprise de charges du plancher, d’au moins un mur de façade et de la charpente.
Avantageusement, l’intégration à une extension à ossature bois, d’au moins un panneau préfabriqué autoportant défini selon le premier aspect l’invention, permet de conférer à l’extension à ossature bois son caractère autoportant.
Un troisième aspect de l’invention concerne une construction équipée d’une extension autoportante à ossature bois définie selon le deuxième aspect de l’invention. Selon l’invention, au moins un mur de reprise de charges s’étendant selon un axe de soutènement défini par deux points d’appui disposés respectivement sur deux structures porteuses opposées de la construction existante, chaque mur de reprise de charges, d’une part, repose sur deux points d’appui, et d’autre part, est solidarisé à la construction existante au niveau de chaque point d’appui. Le caractère autoportant de l’extension permet d’éviter d’installer des poutres de soutènement pour supporter l’extension à ossature bois.
Un quatrième aspect de l’invention se rapporte à un procédé d’extension et/ou de surélévation d’une construction existante caractérisé en ce qu’il comprend :
  • une étape de détermination d’au moins un axe de soutènement disposé entre au moins deux structures porteuses de la construction existante, les structures porteuses étant et/ou parallèles l’une de l’autre ;
  • une étape de positionnement selon un axe de soutènement d’au moins un panneau préfabriqué autoportant comprenant au moins une poutre treillis, un panneau préfabriqué autoportant définissant un mur de reprise de charges ;
  • une étape de solidarisation du panneau préfabriqué autoportant à la construction existante en deux points de jonction disposés respectivement sur au moins deux structures porteuses distinctes de la construction existante ;
  • une étape de jonction d’au moins un mur de façade au mur de reprise de charges ;
  • une étape de pose de la charpente qui est liaisonnée avec chaque mur ; et
  • une étape de pose du plancher qui est liaisonné à chaque mur.
Ce procédé d’extension et/ou de surélévation permet de réduire la durée des travaux en limitant les interventions de renforcement de la construction existante en vue de supporter l’extension à ossature bois.
D’autres particularités et avantages apparaitront dans la description détaillée qui suit d’un exemple de réalisation, non limitatif, de l’invention qui est illustré par les figures 1 à 8 placées en annexe et dans lesquelles :
la figure 1 est une représentation de la structure interne d’un panneau préfabriqué à ossature bois conforme à un exemple de réalisation de l’invention ;
la figure 2 est une vue éclatée du panneau préfabriqué de la figure 1 ;
la figure 3 est une représentation d’une extension et/ou d’une surélévation d’une construction existante conforme à un aspect de l’invention ;
la figure 4 est une représentation partielle d’une extension et/ou d’une surélévation d’une construction, le plancher, un mur de façade de reprise de charges et une partie de la
la figure 5 est une autre représentation partielle d’une extension et/ou d’une surélévation d’une construction, le plancher, un mur de façade de reprise de charges, deux murs de façade et une partie de la charpente étant illustrés ;
la figure 6 correspond à un zoom d’une partie de la figure 5 et représente une liaison entre le plancher et un mur de façade de reprise de charges ;
la figure 7 est une vue sur plan d’une construction existante pour laquelle une extension et/ou la surélévation selon l’invention doit être installée ; et
le figure 8 est une représentation de vue de plan de la construction existante de la figure 7 pour laquelle l’extension et/ou la surélévation a été représentée de manière superposée.
Comme illustré aux figures 1 à 6, l’invention a trait à un panneau préfabriqué autoportant 1 comprenant une ossature bois 2. Le panneau préfabriqué autoportant 1 est configuré pour supporter une extension 3 d’une construction existante 4. En particulier, le panneau préfabriqué autoportant 1 constitue à la fois un mur de façade, un mur de reprise de charges 30 et un élément de jonction avec la construction existante 4.
A ces fins, l’ossature bois 2 comprend au moins une poutre treillis 20 en bois. La poutre treillis 20 définit une structure porteuse de reprise de charges d’au moins une partie de la structure d’une extension 3 à ossature bois. De préférence, l’ossature bois 2 comprend au moins deux poutres treillis 20 solidaires l’une de l’autre. Toutefois, selon les contraintes de l’extension 3 par rapport à la construction existante 4, il est possible de solidariser entre deux et cinq poutres treillis 20 les unes avec les autres.
Dans l’exemple illustré aux figures 1 à 8, les dimensions de l’ossature bois 2 sont définies par les dimensions des poutres treillis 20 qui sont associées entre elles.
L’association de plusieurs poutres treillis 20 pour former une ossature bois 2 contribue à augmenter la résistance mécanique de l’ossature bois 2 en déformation et en particulier en torsion et en flexion. Cette association de plusieurs poutres treillis 20 permet de définir un panneau préfabriqué autoportant 1 à résistance et à portée variables selon la longueur des poutres treillis 20. Dans cet exemple, de par sa structure renforcée, le panneau préfabriqué autoportant 1 peut être placé en porte à faux sur 15% à 40 % de sa longueur.
Dans tous les cas, deux poutres treillis 20 sont solidarisées entre elles de manière superposée par des connecteurs mécaniques. Bien entendu les connecteurs mécaniques sont répartis sur l’ossature bois afin de conférer une solidarisation optimale de deux poutres treillis 20. A titre indicatif, les connecteurs mécaniques peuvent être constitués par des clous, des plaques métalliques à griffes etc.
Comme illustré à la figure 1, la poutre treillis 20 comprend un cadre 22 possédant une membrure haute 23 et une membrure basse 24. Les deux membrures 23, 24 s’étendent longitudinalement respectivement selon deux axes parallèles entre eux. La membrure haute 23 et la membrure basse 24 définissent respectivement le champ supérieur et le champ inférieur du panneau préfabriqué autoportant 1. Le cadre 22 comporte également deux montants latéraux 25 qui sont perpendiculaires de chaque membrure 23, 24. Les deux montant latéraux 25 définissent les côtés du cadre 22 et les deux champs latéraux du panneau préfabriqué autoportant 1.
Dans cet exemple, chaque poutre treillis 20 s’étend longitudinalement entre les deux côtés du cadre 22 selon une première distance définissant la longueur d’une poutre treillis 20. Dans cet exemple, la longueur de la poutre treillis 20 peut être comprise entre 3 mètres et 15 mètres. En parallèle, la poutre treillis 20 s’étend transversalement entre chaque membrure 23, 24 selon une seconde distance définissant la hauteur d’une poutre treillis 20. Ici, la hauteur de la poutre treillis 20 peut être comprise entre 2,5 m et 4,5 m.
Avantageusement, le cadre 22 possède une structure de renforcement. En particulier, le cadre 22 comprend des contrevents 26 qui sont disposés à intervalle régulier entre les deux côtés du cadre 22. De plus, le cadre 22 comporte des montants transversaux 27 qui s’étendent entre chaque membrure 23, 24. Les montants transversaux 27 sont perpendiculaires à chaque membrure 23, 24.
Comme cela est notamment illustré à la figure 1, chaque contrevent 26 est liaisonné, intercalé et/ou croisé avec un montant transversal 27 du cadre 22. Cette configuration contribue à répartir les charges qui s’appliquent en un point du cadre 22 sur l’ensemble de la structure du cadre 22 de la poutre treillis 20.
Plus précisément, chaque contrevent 26 est joint mécaniquement à son extrémité supérieure à une liaison 28 entre la membrure haute 23 et un montant transversal 27. Dans le cas particulier des deux contrevents extrémaux 260 du cadre 22, l’extrémité supérieure est jointe mécaniquement à une liaison 28 entre la membrure haute 23 et un montant latéral 25. De plus, l’extrémité inférieure de chaque contrevent 26 est joint mécaniquement à une liaison entre la membrure basse 24 et un montant transversal 27.
De préférence, le croisement entre un montant transversal 27 et un contrevent 26 s’effectue en leur barycentre respectif. Ce croisement est préférentiellement assorti d’une liaison mécanique afin de rigidifier la structure du cadre 22. Par ailleurs, les contrevents 25 sont disposés de manière symétrique par rapport à un axe médian transversal A-A du cadre 22. Dans cet exemple, l’axe médian transversal A-A passe par un montant transversal 27 disposé au centre du cadre 22. En ce sens, le cadre 22 présente plus particulièrement deux contrevents centraux 261 qui sont à leur extrémité basse avec le montant transversal 27 situé sur l’axe A-A. Les contrevents centraux 261 forment ainsi un V. Par ailleurs, chaque contrevent 26 est parallèle au contrevent central 261 qui se trouve du même côté de l’axe A-A.
Chaque contrevent 26 présente une oblicité depuis la membrure basse 24 vers la membrure haute 23 en direction du montant latéral 25 qui se trouve du même côté que ledit contrevent 26. Cette configuration contribue à répartir les charges qui s’appliquent en un point du cadre 22 sur l’ensemble de la structure du cadre 22.
Le cadre 22 comporte également des entretoise 29 disposés selon un axe B-B parallèle aux deux membrures 23, 24. Les entretoises 29 s’étendent longitudinalement entre une liaison 28 et un montant transversal 27 et/ou entre deux montants transversaux 27. Les entretoises 29 participent ainsi au maintien de l’entraxe entre les montants transversaux 27, mais aussi entre les contrevents 26, et enfin entre les contrevents 26 et les montants transversaux 27.
Dans cet exemple, les membrures 23, 24, les montants 25, 27, les entretoise 29 et les contrevents 26 sont liaisonnés les uns aux autres par des éléments mécaniques tels que des plaques métalliques à griffes positionnées de part et d’autre de leur plus faible dimension. Ces plaques métalliques contribuent également la rigidité globale de la poutre treillis 20
Les contrevents 25, les montants transversaux 26 et les montants longitudinaux 29 définissent la structure de renforcement du cadre 22. De manière générale, la configuration de la structure de renforcement du cadre 22 contribue à répartir les charges qui s’appliquent en point de la poutre treillis 20 sur l’ensemble de la structure de son cadre 22. Par voie de faits, la portance de la poutre treillis 20 est optimisée par la répartition des charges.
De plus, cette configuration de la structure de renforcement du cadre 22 d’une poutre treillis 20 coopère avec l’association de plusieurs poutres treillis 20 afin d’améliorer la résistance mécanique de l’ossature bois 2 du panneau préfabriqué autoportant 1.
Chaque élément de la structure de renforcement du cadre 22 présente une section transversale rectangulaire dont une première dimension est fixe et une seconde dimension est variable. La première dimension correspond à l’épaisseur et est comprise entre 30 mm et 50 mm. La seconde dimension qui est variable correspond à largeur de la section peut être comprise entre 75 mm et 300 mm.
Comme illustré aux figures 1 à 5, le cadre 22 de la poutre treillis 20 peut comporter une ou plusieurs huisserie(s) 220 afin de ménager des ouvertures telles que des fenêtres dans le panneau préfabriqué autoportant 1.
Dans cet exemple, le panneau préfabriqué autoportant comprend un matériau isolant disposé dans sa structure interne. En particulier, le matériau isolant est disposé dans les espaces disponibles entre les différents éléments de la structure de renforcement du cadre 22.
En outre, comme illustré aux figures 1 et 2, le panneau préfabriqué autoportant 1 comprend deux panneaux 11, 12 disposés de part et d’autre de l’ossature bois 2. Le premier panneau 11 correspond à un panneau isolant qui forme la face extérieure du panneau préfabriqué autoporteur 1. Le premier panneau 11 peut être recouvert par un revêtement extérieur 13. Le revêtement extérieur peut être de plusieurs natures telles que du bardage bois ou métal, de l’enduit etc.
Le second panneau 12 forme la face intérieure du panneau préfabriqué autoportant 1. En règle générale, le second panneau 12 peut être formé par un panneau préfabriqué de cloisonnement.
Comme illustré aux figures 3 à 8, l’invention se rapporte également à une extension 3 autoportante à ossature bois. Selon l’invention l’extension 3 autoportante peut être une extension et/ou surélévation d’une construction existante 4. Dans le présent cas, l’extension 3 est également une surélévation de la construction existante 4.
Dans cet exemple, l’extension 3 autoportante comprend une section transversale polygonale. Classiquement l’extension 3 autoportante est de forme rectangulaire, toutefois il est tout à fait possible de réaliser des formes plus complexes et/ou plus esthétiques qui peuvent être par exemple triangulaire, pentagonale etc. La forme de l’extension 3 autoportante est réalisée en fonction de la structure de construction existante 4.
Dans cet exemple, l’extension autoportante 3 comprend quatre murs de façade 31, un plancher 32 et une charpente 33. Chaque mur de façade 31 est solidaire dans sa partie basse du plancher 32 et dans sa partie haute d’une charpente 33. L’ensemble de la structure incluant les murs de façade 31, le plancher 32 et la charpente 33, forme une extension 3 autoportante.
En particulier, parmi les murs de façade 31, l’extension 3 autoportante comprend au moins un mur de reprise de charges 30. Le choix du nombre de mur de reprise de charges 30 dépend des configurations de l’extension 3 autoportante et de la construction existante 4. Dans l’exemple des figures 3 à 8, l’extension 3 autoportante est rectangulaire et comporte deux murs de reprise de charges 30. Selon l’invention, chaque mur de reprise de charges 30 est formé par un panneau préfabriqué autoportant 1 comprenant au moins une poutre treillis 20. De préférence, le panneau préfabriqué autoportant 1 comprend une association de deux à cinq poutres treillis 20 superposées et solidarisées mécaniquement entre elles.
Dans ce contexte, le mur de reprise de charge 30 définit une structure porteuse configurée pour reprendre les charges du plancher 32, d’au moins un mur de façade 31 et de la charpente 33.
Selon l’invention, chaque mur de reprise de charge 30 est solidarisé latéralement à au moins un mur de façade 31 constitué d’un panneau préfabriqué classique 34 à ossature bois (illustré aux figures 6 et 8). Le panneau préfabriqué classique 34 comprend une membrure haute 340 et une membrure basse 341 parallèles l’une à l’autre et relié par des poteaux 342 perpendiculaires à ces membrures 340, 341. Les poteaux 342 extrémaux définissant avec les membrures 340, 341 le cadre de l’ossature bois.
Le panneau préfabriqué classique 34 comporte des huisseries 343 afin de ménager des ouvertures telles que des fenêtres, portes fenêtres etc. Du fait que le panneau préfabriqué classique 34 ne comporte pas de structure de renforcement spécifique, les huisseries 343 sont de plus grandes dimensions que les huisseries 220 du mur de reprise de charge 30.
Dans l’exemple illustré aux figures 4 à 6, le plancher 32 est réalisé au travers d’un système de solives ajourées 34. Par ailleurs, le plancher 32 est solidarisé à chaque mur de façade 31 via des connecteurs mécaniques. Lorsque le mur de façade 31 est perpendiculaire aux solives ajourées 320, un sabot 321 est utilisé comme connecteur mécanique. Le sabot 321 est une pièce métallique en forme de U qui joint mécaniquement l’extrémité de chaque solive ajourée 320 en partie basse du mur de façade 31.
De manière générale, chaque solive du plancher 32 est solidarisée en partie basse de chaque mur de façade 30, 31 au niveau de leur membrure basse 24, 341.
Lorsqu’une solive ajourée 320 est parallèle à un mur de façade 30, 31, cette solive ajourée 320 est positionnée contre le mur de façade 30, 31 et solidarisée à sa membrure basse 24, 241 au travers de connecteurs mécaniques. Dans ce cas, les connecteurs mécaniques peuvent être formés par des clous, des vis perforantes ou non etc.
Bien entendu, une fois achevé, le plancher 32 est recouvert par un revêtement tel qu’un panneau d’aggloméré et/ou des lattes de bois. Le plancher 32 contribue à rigidifier la structure de l’extension 3.
Il est à noter que dans l’exemple des figures 4 et 5, le plancher 32 est équipé d’un chevêtre d’escalier 35. Ceci dans l’objectif de renforcer le plancher 32 en vue de ménager un accès à l’extension 3. Ici, le chevêtre d’escalier 35 comprend notamment une solive en bois massif 350 qui s’étend parallèlement aux solives ajourées 320.
Dans l’exemple illustré aux figures 3 à 5, la charpente 32 est montée en vaisseau, c’est-à-dire qu’elle repose sur le champ supérieur de chaque mur de façade 30, 31. Bien entendu, la charpente 32 peut être de plusieurs types tels qu’une charpente à fermettes industrielles qui est illustrée aux figures 3 à 5, une charpente traditionnelle qui sera préférée pour les grands volumes, ou encore une charpente toit terrasse qui est réalisée avec des solives ajourées.
Dans l’exemple illustré aux figures 5, 6 et 8, la construction existante 4 est équipée d’une extension 3 autoportante à ossature bois, et au moins mur de reprise de charges 30 prend appui sur deux structures porteuses opposées de la construction existante 4. En l’occurrence, ici, les deux structures porteuses de la construction existante 4 correspondent à deux murs porteurs 40 opposés et parallèles l’un à l’autre. Le mur de reprise de charges 30 est solidarisé à la construction existante 4 au niveau d’un point d’appui 41 disposé sur le champ de chaque mur porteur 40 sur lequel repose le mur de reprise de charges 30. A cet effet, l’extension 3 comporte au moins un connecteur mécanique qui solidarise la partie basse du mur de reprise de charges 30 avec le mur porteur 40 de la construction existante 4. Ainsi, chaque point d’appui 41 constitue également un point de jonction avec la construction existante 4.
Dans cet exemple, le connecteur mécanique peut être formé par une équerre qui sera de préférence doublée pour assurer une bonne solidarisation du mur de reprise de charges 30 aux murs porteurs 40 la construction existante 4.
Les points d’appui 41 disposés sur chaque mur porteur 40 de la construction existante définissent un axe de soutènement C-C du mur de reprise de charge 30. L’axe de soutènement C-C définit indirectement un axe de soutènement de l’extension 3. Cet axe de soutènement C-C est déterminé en amont de l’installation de l’extension 3 en fonction des contraintes de la construction existante 4 mais aussi des dimensions et de la forme que l’on souhaite donner à l’extension 3.
Comme particulièrement illustré à la figure 8, le panneau préfabriqué autoportant 1 permet de franchir un vide situé entre deux points de jonction de deux structures porteuses de la construction existante 4. De surcroît, le panneau préfabriqué autoportant 1 permet également de placer une partie de sa structure en déport par rapport à un point de jonction.
Selon l’invention « placer en déport » signifie qu’une extrémité du panneau préfabriqué autoportant 1 s’étend au-dessus du vide. Cette situation est illustrée aux figures 4 et 8 par la référence X.
Selon l’invention, la demanderesse estime que 10% à 30% de la longueur d’un panneau préfabriqué autoportant 1 peut être mis en déport par rapport à un point de jonction.
Dans ce contexte, l’invention porte également sur un procédé d’extension et/ou de surélévation d’une construction existante 4.
Ce procédé d’extension et/ou de surélévation comprend une étape de détermination d’au moins un axe de soutènement C-C. Cette étape est de préférence déterminée par une personne habilitée telle qu’un architecte, un maçon, etc.
Le procédé d’extension et/ou surélévation comprend ensuite une étape de retrait de la couverture de la construction existante 4. Bien entendu, le retrait de la couverture est partiel et concerne uniquement la partie de la toiture de la construction existante 4 qui est amenée à être remplacée par l’extension 3 à ossature bois.
Le procédé d’extension et/ou de surélévation comprend une étape de positionnement d’un panneau préfabriqué autoportant 1 selon un axe de soutènement C-C. Comme évoqué précédemment le panneau préfabriqué autoportant 1 comprenant au moins une poutre treillis 20. Selon l’invention, le panneau préfabriqué autoportant 1 définit un mur de reprise de charges 30 qui constitue un mur de façade 31 de l’extension 3 à ossature bois. Lors de l’étape de positionnement, le panneau préfabriqué autoportant 1 est posé en appui sur deux points d’appui 41 qui sont situés au croisement de l’axe de soutènement C-C et d’un mur porteur 40 de la construction existante 4.
Le procédé d’extension et/ou de surélévation comprend une étape de solidarisation du panneau préfabriqué autoportant 1 à la construction existante 4. La solidarisation du panneau préfabriqué autoportant 1 est effectué en deux points de jonction qui correspondent aux points d’appui 41 sur lesquels le panneau préfabriqué autoportant 1 a été positionné. Comme nous l’avons évoqué précédemment, cette étape est effectuée à l’aide d’un ou de plusieurs connecteur(s) mécanique(s).
Le procédé d’extension et/ou de surélévation comprend une étape de jonction d’au moins un panneau préfabriqué classique 34 au panneau préfabriqué autoportant 1 qui est solidaire de la construction existante 4. En pratique, cette étape de jonction consiste à solidariser un ou plusieurs mur(s) de façade 31 au panneau préfabriqué autoportant 1 qui constitue un mur de reprise de charges 30.
Le procédé d’extension et/ou de surélévation comprend une étape de pose de la charpente 33 qui est liaisonnée à chaque mur de façade 30 et à chaque mur de reprise de charges 31. En particulier, la charpente 33 est posée sur le champ supérieur de chaque mur 30, 31. La charpente 33 est bien entendu liaisonnée à chaque mur 30, 31 au travers de connecteurs mécaniques.
Le procédé d’extension et/ou de surélévation comprend une étape de pose du plancher 32 qui est liaisonné à chaque mur 30, 31 de l’extension 3.
Les étapes de jonction, de pose de la charpente 33 et de pose du plancher 32 se succèdent de préférence dans leur ordre d’énumération. Cet ordre de succession permet de couvrir rapidement l’extension 3 et la partie de la construction existante 4 qui bénéficie de l’extension et/ou de la surélévation.
Ce procédé d’extension et/ou de surélévation présente l’avantage de réduire le coût de la main d’œuvre en assurant la fixation d’un mur de reprise de charges 30 au travers de deux structures porteuses de la construction existante 4. Ce mode de jonction entre l’extension 3 à ossature bois et la construction existante 4 est rendue possible par l’utilisation d’un panneau préfabriqué autoportant 1 qui est capable par sa structure renforcée de faire office de mur de reprise de charges 30.
De plus, l’utilisation de panneau préfabriqué 1, 34 à ossature bois contribue à diminuer la durée des travaux d’extension de 3 à 4 semaines pour un procédé d’extension à ossature bois classique à 3 à 4 jours pour un procédé d’extension et/ou de surélévation selon l’invention.

Claims (10)

  1. Panneau préfabriqué autoportant (1) comprenant une ossature bois (2) qui comporte, d’une part, un premier panneau isolant (11) formant la face extérieure du panneau préfabriqué autoportant (1), et d’autre part, un second panneau formant la face intérieure du panneau préfabriqué autoportant (1), caractérisé en ce que l’ossature bois (2) comprend au moins une poutre treillis (20) en bois définissant une structure porteuse de reprise de charges d’au moins une partie de la structure d’une extension (3) à ossature bois.
  2. Panneau préfabriqué autoportant (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que la poutre treillis (20) comprend un cadre (22) possédant une membrure haute (23) et une membrure basse (24) parallèles l’une à l’autre qui définissent respectivement le champ supérieur et le champ inférieur du panneau préfabriqué autoportant (1), et d’autre part, deux montants latéraux (25) qui sont perpendiculaires de chaque membrure (23, 24) et définissent les côtés du cadre (22) et les champs latéraux panneau préfabriqué autoportant (1).
  3. Panneau préfabriqué autoportant (1) selon l’une des revendications 1 et 2, caractérisé en ce que la poutre treillis (20) comprend un cadre (22) dans lequel s’étendent des contrevents (26) qui sont disposés à intervalle régulier entre deux côtés du cadre (22), les contrevents (26) sont liaisonnés, intercalés et/ou croisés avec des montants transversaux (27) du cadre (22).
  4. Panneau préfabriqué autoportant (1) selon la revendication 3, caractérisé en ce que les contrevents (26) sont disposés de manière symétrique par rapport à un axe médian transversal (A-A) du cadre (22).
  5. Panneau préfabriqué autoportant (1) selon l’une revendication 2 et 3, caractérisé en ce que le cadre (22) comporte également des entretoises (29) disposées selon un axe (B-B) parallèle aux deux membrures (23, 24), les entretoises (29) s’étendent longitudinalement entre un contrevent (26) et un montant transversal (27) et/ou entre deux montants transversaux (27).
  6. Panneau préfabriqué autoportant (1) selon l’une revendication 1 à 5 caractérisé en ce que l’ossature bois (2) comprend au moins deux poutres treillis (20) solidaires l’une de l’autre.
  7. Panneau préfabriqué autoportant (1) selon la revendication 5, caractérisé en ce que les deux poutres treillis (20) sont solidarisées de manière superposée par des connecteurs mécaniques (21).
  8. Extension (3) autoportante polygonale à ossature bois comprenant au moins un mur de reprise de charges (30) qui est solidarisé latéralement à au moins un mur de façade (31), chaque mur (30, 31) étant solidaire dans sa partie basse d’un plancher (32) et dans sa partie haute d’une charpente (33), caractérisé en ce que, chaque mur de reprise de charges (30) est formé par un panneau préfabriqué autoportant (1) à ossature bois (2) comprenant au moins une poutre treillis (20) définissant une structure porteuse de reprise de charges du plancher (32), d’au moins un mur de façade (31) et de la charpente (33).
  9. Construction existante (4) équipée d’une extension (6) autoportante à ossature bois définie selon la revendication 8, au moins un mur de reprise de charges (30) s’étendant selon un axe de soutènement (C-C) défini par deux points d’appui (41) disposés respectivement sur au moins deux structures porteuses opposées de la construction existante (4), chaque mur de reprise de charges (30), d’une part, repose sur deux point d’appui (41), et d’autre part, est solidarisé à la construction existante (4) au niveau de chaque point d’appui (41).
  10. Procédé d’extension et/ou de surélévation d’une construction existante (4) caractérisé en ce qu’il comprend :
    • une étape de détermination d’au moins un axe de soutènement (C-C) disposé entre au moins deux structures porteuses de la construction existante (4), les structures porteuses étant et/ou parallèles l’une de l’autre ;
    • une étape de positionnement selon un axe de soutènement (C-C) d’au moins un panneau préfabriqué autoportant (1) comprenant au moins une poutre treillis (20), un panneau préfabriqué autoportant (1) définissant un mur de reprise de charges (30) ;
    • une étape de solidarisation du panneau préfabriqué autoportant (1) à la construction existante (4) en deux points de jonction disposés respectivement sur au moins deux structures porteuses distinctes de la construction existante (4) ;
    • une étape de jonction d’au moins un mur de façade (31) au mur de reprise de charges (30) ;
    • une étape de pose de la charpente (33) qui est liaisonnée avec chaque mur (30, 31) ; et
    • une étape de pose du plancher (32) qui est liaisonné à chaque mur (30, 31).
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