FR3092847A1 - Escalier provisoire métallique - Google Patents

Escalier provisoire métallique Download PDF

Info

Publication number
FR3092847A1
FR3092847A1 FR1901542A FR1901542A FR3092847A1 FR 3092847 A1 FR3092847 A1 FR 3092847A1 FR 1901542 A FR1901542 A FR 1901542A FR 1901542 A FR1901542 A FR 1901542A FR 3092847 A1 FR3092847 A1 FR 3092847A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
notch
stringer
lower edge
transverse direction
staircase
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Granted
Application number
FR1901542A
Other languages
English (en)
Other versions
FR3092847B1 (fr
Inventor
Eric Sta
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
Tubesca Comabi SAS
Original Assignee
Tubesca Comabi SAS
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Application filed by Tubesca Comabi SAS filed Critical Tubesca Comabi SAS
Priority to FR1901542A priority Critical patent/FR3092847B1/fr
Publication of FR3092847A1 publication Critical patent/FR3092847A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of FR3092847B1 publication Critical patent/FR3092847B1/fr
Active legal-status Critical Current
Anticipated expiration legal-status Critical

Links

Classifications

    • EFIXED CONSTRUCTIONS
    • E04BUILDING
    • E04GSCAFFOLDING; FORMS; SHUTTERING; BUILDING IMPLEMENTS OR AIDS, OR THEIR USE; HANDLING BUILDING MATERIALS ON THE SITE; REPAIRING, BREAKING-UP OR OTHER WORK ON EXISTING BUILDINGS
    • E04G5/00Component parts or accessories for scaffolds
    • E04G5/10Steps or ladders specially adapted for scaffolds
    • EFIXED CONSTRUCTIONS
    • E04BUILDING
    • E04GSCAFFOLDING; FORMS; SHUTTERING; BUILDING IMPLEMENTS OR AIDS, OR THEIR USE; HANDLING BUILDING MATERIALS ON THE SITE; REPAIRING, BREAKING-UP OR OTHER WORK ON EXISTING BUILDINGS
    • E04G27/00Temporary arrangements for giving access from one level to another for men or vehicles, e.g. steps, ramps

Landscapes

  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Architecture (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • Civil Engineering (AREA)
  • Structural Engineering (AREA)
  • Ladders (AREA)
  • Steps, Ramps, And Handrails (AREA)

Abstract

[Un escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10), comprenant un limon ou deux limons (13) parallèles entre eux, des montants d’échafaudage pour maintenir le(s) limon(s) oblique(s) par rapport au sol, une pluralité d’éléments de marches (15), chaque élément de marche définissant une marche (151) et s’étendant d’une de ses extrémités à l’autre, transversalement depuis au moins un limon, caractérisé en ce que, un jeu d’au moins un ergot (16, 16’) s’étend transversalement depuis un limon, l’extrémité d’un élément de marche définit dans un plan normal à la direction transverse un jeu d’au moins une encoche ouverte (23, 24), chaque encoche étant conformée pour recevoir via l’ouverture de l’encoche un ergot lorsque ladite extrémité de marche est posée sur cet ergot, jusqu’à une mise en butée contre une portion de bord de l’encoche, de sorte que la marche soit retenue par ledit au moins un ergot. Figure pour l’abrégé : Fig.6]

Description

Escalier provisoire métallique
La présente invention se rapporte à un escalier provisoire métallique, soutenu par une structure d’échafaudage («scaffold assembly» en anglais), notamment un escalier destiné à un usage public.
Ce type d’escalier comprend un ou deux limons s’étendant obliquement par rapport au sol, parallèles entre eux lorsqu’au nombre de deux et rectilignes, des marches dont les extrémités sont fixées par soudure ou boulonnage au(x) limon(s), et des montants d’échafaudage pour maintenir le(s) limon(s) oblique(s) par rapport au sol.
Il existe un besoin pour un escalier plus rapide à monter.
La société MILLS commercialise ainsi un escalier avec un garde-corps, dit garde-corps limon, dont une lisse fait office de limon, et dont les marches sont simplement posées par leurs extrémités sur les limons et retenues par les montants des garde-corps limons.
Il existe un besoin pour escalier provisoire métallique plus facile à monter.
Il est proposé un escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage, comprenant
- au moins un limon,
- au moins un montant d’échafaudage fixé audit au moins un limon pour maintenir ledit au moins un limon oblique par rapport au sol,
- une pluralité d’éléments de marches, chaque élément de marche définissant une marche et s’étendant transversalement par rapport audit au moins un limon, d’une de ses extrémités à l’autre, suivant une direction dite transverse.
Selon l’invention, pour au moins une extrémité d’au moins un élément de marche :
- l’escalier comprend en outre un jeu d’au moins un élément en saillie solidarisé ou d’une seule pièce avec l’un desdits au moins un limon et formant une saillie s’étendant depuis ce limon suivant une direction ayant une composante suivant la direction transverse,
- cette extrémité de cet élément de marche s’étend, normalement à la direction transverse, entre un bord supérieur correspondant à la marche et un bord inférieur,
- l’un parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur définit dans un plan normal à la direction transverse (ou dans une surface ayant un rayon de courbure suivant la direction transverse), un jeu d’au moins une encoche ouverte,
- chaque encoche dudit jeu étant conformée pour recevoir via l’ouverture de l’encoche au moins une portion de l’autre parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur lorsque ladite extrémité est posée sur cet au moins un élément en saillie, vers une mise en butée contre une portion de bord de l’encoche, et
- le bord inférieur et ledit au moins un élément en saillie étant conformés pour que lorsqu’ainsi en butée l’un contre l’autre, ladite extrémité soit retenue par ledit au moins un élément en saillie.
Ainsi, l’extrémité de l’élément de marche peut rester en-deçà (suivant la direction transverse) du plan vertical du limon (ou tangentiel au limon lorsqu’hélicoïdal) correspondant, de sorte que l’élément de marche peut être plus facile à installer que dans l’art antérieur, notamment si le garde-corps est déjà présent, car on évite les problèmes d’encombrement liés à la dépose sur la surface supérieure du limon de l’élément de marche. Ceci peut être particulièrement intéressant dans le cas d’éléments de marche relativement lourds (par exemple de plus de 10 kg) et délicats à manier.
L’escalier peut être droit, en colimaçon, ou autre.
Dans le cas d’un escalier droit, on peut prévoir deux limons rectilignes et parallèles entre eux par plan d’escalier. Cet escalier peut éventuellement comprendre plusieurs plans d’escalier formant des angles entre eux.
Dans le cas de limons courbes, pour au moins un et de préférence chaque élément de marche, la direction transverse correspondante est transverse par rapport à une tangente locale de la courbe longitudinale du limon, correspondant à l’emplacement de l’élément de marche.
L’escalier peut être conformé pour un accès au public.
L’invention n’est en rien limitée aux escaliers d’accès au public. Il peut par exemple s’agir d’un escalier de chantier, ou autre.
L’escalier provisoire peut par exemple être un escalier destiné à un usage public tel que défini dans la norme NF P 93523, une tour d’accès de chantier tel que définie dans la norme NF P 93521, ou bien encore un escalier de chantier destiné à l’accès et l’évacuation du personnel tel que défini dans la norme NF P 93522, ou autre.
Les montants d’échafaudage peuvent être fixés directement ou indirectement aux limons.
Chaque marche peut avoir une surface (a priori horizontale) normale à la direction longitudinale des montants (a priori verticale).
Avantageusement, on peut prévoir au moins un élément en saillie et au moins une encoche pour chacune des deux extrémités de l’élément de marche.
Alternativement, on peut avoir recours à un autre type de fixation pour l’autre extrémité de l’élément de la marche.
Avantageusement et de façon non limitative, pour chacun des éléments de marche, une ou les deux extrémités de cet élément de marche sont fixées par un système d’élément en saillie(s) et d’encoche(s) tel que décrit ci-dessus.
L’invention n’est pas limitée à une forme particulière de l’élément en saillie. Il peut par exemple s’agir d’une équerre en L fixée par une branche au limon, l’autre branche s’étendant transversalement.
L’élément en saillie peut avantageusement avoir une forme cylindrique, avec une génératrice ayant une composante transverse, et avec une base par exemple rectangulaire, ovale, circulaire, ou autre.
L’élément en saillie peut s’étendre suivant la direction transverse depuis le limon correspondant jusqu’à une extrémité d’élément de saillie en deçà de l’autre limon ou le cas échéant d’une colonne centrale.
Avantageusement, l’élément en saillie peut s’étendre suivant la direction transverse sur moins de 20 centimètres, avantageusement sur moins de 10 centimètres.
Avantageusement, l’élément en saillie peut s’étendre suivant la direction transverse sur au moins deux ou trois millimètres.
L’encoche peut être définie dans l’élément en saillie. Par exemple, cette encoche peut présenter une épaisseur, suivant la direction transverse, légèrement supérieure à l’épaisseur d’une flasque d’extrémité d’élément de marche s’étendant dans un plan normal à cette direction transverse (ou courbe, avec un rayon de courbure suivant la direction transverse), de façon à pouvoir recevoir une portion de cette flasque. La flasque joue alors le rôle d’élément mâle.
L’élément en saillie s’étend alors dans un plan normal à la direction transverse, de façon à pouvoir définir l’encoche.
L’encoche peut par exemple être une rainure définie dans l’élément en saillie, et s’ouvrant par exemple vers le haut.
On peut aussi prévoir une encoche définie dans l’élément en saillie et une encoche définie par le bord inférieur de l’extrémité de l’élément de marche. Ces deux encoches peuvent par exemple coopérer directement entre elles, ou non.
Dans un mode de réalisation, le jeu d’au moins une encoche peut être défini par le bord inférieur de l’extrémité de l’élément de marche.
Avantageusement et de façon non limitative, pour au moins une encoche, les bords de cette encoche peuvent être évasés au niveau de l’ouverture, formant ainsi moyen de centrage. Ceci peut permettre de guider l’élément de marche vers une position de mise de butée telle que la portion de l’autre parmi l’élément en saillie et le bord inférieur atteigne une portion de paroi de l’encoche.
Pour empêcher la rotation de la marche, on peut prévoir que l’élément en saillie et le bord inférieur forment une liaison appui-plan.
On peut prévoir une seule encoche par extrémité d’élément de marche, notamment lorsque :
- les bords de cette encoche définissent une forme complémentaire de celle de la portion supérieure d’un profil de l’élément en saillie. Par exemple, une encoche peut avoir un fond de forme rectangulaire dans le cas d’un élément en saillie de profil rectangulaire. Dans le cas d’un élément en saillie de profil non-circulaire, la rotation de l’élément de marche est ainsi empêchée.
- le fond de l’encoche définit deux coins espacés d’une distance légèrement supérieure à celle séparant deux tiges. Ces deux tiges sont alors reçues dans une même encoche.
Alternativement, on peut prévoir plusieurs encoches par extrémité d’élément de marche, par exemple deux encoches. En prévoyant ainsi au moins deux points d’appui, on prévient les rotations autour de l’axe transverse de l’élément de marche, même dans le cas d’éléments en saillie de section circulaire.
Dans un mode de réalisation, au moins un élément en saillie, et de préférence chaque, peut comprendre un ergot, ou une tige cylindrique, avantageusement de section circulaire, avantageusement s’étendant suivant une direction ayant une composante selon la direction transverse.
Cette tige peut être en partie reçue dans un alésage défini dans le limon.
L’élément en saillie est ainsi relativement simple à fabriquer et à installer.
La portion de bord de l’encoche contre laquelle a lieu la mise en butée peut être le fond de l’encoche, son voisinage immédiat, ou non.
Dans un mode de réalisation à deux encoches définies dans l’extrémité de l’élément de marche, on peut prévoir que l’une au moins des encoches soit évasée pour faciliter le positionnement de l’extrémité de l’élément de marche relativement à la tige correspondante, dite première tige. Une fois une position (éventuellement intermédiaire) de mise en butée atteinte pour la première tige, l’élément de marche peut être entraîné en rotation autour de cette tige, jusqu’à ce que la deuxième encoche reçoive à son tour la deuxième tige.
Dans un mode de réalisation à deux encoches définies dans l’extrémité de l’élément de marche, on peut prévoir qu’au niveau de l’une des encoches le bord inférieur ait une orientation différente qu’au niveau de l’autre des encoches, par exemple une orientation davantage parallèle au plan de la marche.
Le bord inférieur peut être conformé de sorte qu’une portion dudit bord inférieur, au niveau de l’ouverture de l’une des encoches, soit orientée plus parallèlement au plan de la marche que les portions dudit bord inférieur au niveau de l’ouverture de l’autre des encoches.
Ainsi, l’élément de marche peut être amené à la verticale ou oblique jusqu’à ce que cette encoche reçoive la tige correspondante, puis une fois la position de mise en butée (éventuellement intermédiaire) atteinte, l’élément de marche peut être entrainé en rotation autour de cette tige, jusqu’à ce que la deuxième encoche reçoive à son tour la deuxième tige.
Avantageusement et de façon non limitative, au moins une encoche, par exemple définie de l’extrémité de l’élément de marche, peut former un coude.
Ainsi, pour retirer l’élément de marche, il est nécessaire de prévoir deux mouvements successifs, suivant les deux directions du coude. On améliore ainsi la stabilité de l’élément de marche, car un mouvement involontaire ne suffira pas pour le désengager.
Ce coude sépare une première partie de l’encoche, correspondant à l’ouverture, et une deuxième partie de l’encoche correspondant au fond.
Avantageusement et de façon non limitative, le bord inférieur peut être conformé de sorte que deux portions dudit bord inférieur, au niveau de la deuxième partie et de part et d’autres du fond, s’étendent suivant une direction ayant une composante normale au plan de marche. Dit autrement, deux parois opposées de la deuxième partie de l’encoche s’étendent suivant une direction ayant une composante normale au plan de marche. Ainsi, une fois le coude atteint, la tige correspondante vient-elle se loger au fond de l’encoche du simple fait de la gravité. La mise en place est donc relativement simple à mener puisqu’il suffit que la tige atteigne le coude : le verrouillage s’effectue grâce à la gravité. En revanche, pour désengager l’élément de marche, il est nécessaire de prévoir un premier mouvement à l’encontre de la gravité, puis un deuxième mouvement.
L’invention n’est pas limitée à un agencement particulier de l’élément de marche, pourvu qu’il définisse une marche et s’étende (au moins à une extrémité) normalement à la direction transverse, entre un bord supérieur correspondant à la marche et un bord inférieur.
L’élément de marche peut par exemple comprendre une flasque à cette extrémité, le plan de cette flasque étant normal à direction transverse ou définissant un rayon de courbure suivant cette direction transverse. Le bord inférieur de cette flasque peut avoir une forme d’encoche(s) et/ou être en partie reçu dans une ou des encoche(s) de l’élément en saillie.
La flasque peut être plane ou courbe.
Cette flasque peut être d’épaisseur (suivant la direction transverse dans le cas d’une flasque plane) uniforme, chaque encoche définie dans la flasque formant un jour. Chaque encoche est alors délimitée seulement par les deux bords de part et d’autre de son fond.
Dans un autre mode de réalisation, notamment dans le cas d’une extrémité épaisse, au moins une encoche peut être délimitée en outre par une paroi s’étendant dans un plan dont la normale a une composante suivant la direction transverse. Cette encoche reçoit alors une extrémité d’ergot, par exemple une extrémité de tige.
L’élément de marche peut avantageusement (et de façon non limitative) définir une contremarche.
Dans un mode de réalisation, cette contremarche peut définir au moins un orifice (débouchant ou non) formant poignée.
Avantageusement et de façon non limitative, l’élément de marche peut comprendre une tôle pliée définissant à la fois la marche et la contremarche.
Cette tôle peut par exemple être percée au niveau de la contremarche d’au moins un trou oblong destiné à former poignée.
Avantageusement et de façon non limitative, l’élément de marche peut comprendre en outre un bâti avec quatre parois normales au plan de marche formant un rectangle de soutien de la marche. La tôle pliée et/ou la ou les flasques peuvent être fixées à ce bâti, par exemple par vissage.
Dans un mode de réalisation, au moins une paroi du bâti, superposée à une flasque, peut définir par son bord inférieur au moins une encoche.
Il est en outre proposé un procédé de montage d’un escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage, comprenant
- prévoir au moins un limon, avec au moins un jeu d’au moins un élément en saillie solidarisé ou d’une seule pièce avec l’un desdits au moins un limon, au moins un montant d’échafaudage, une pluralité d’éléments de marches, chaque élément de marche définissant une marche,
- fixer ledit au moins un limon audit au moins un montant d’échafaudage pour maintenir ledit au moins un limon obliques par rapport au sol, ledit au moins un limon étant orienté de sorte que ledit au moins un jeu d’au moins un élément en saillie s’étende depuis le limon correspondant suivant une direction ayant une composante transverse vers un autre limon ou vers une colonne centrale le cas échéant,
- orienter au moins un élément de marche transversalement entre les limons, au moins une extrémité de cet élément de marche étant alors à l’aplomb de (ou tout au moins dans un même plan) au moins un élément en saillie, cette extrémité s’étendant alors dans un plan normal à la direction transverse (ou de façon à présenter un rayon de courbure suivant la direction transverse) entre un bord supérieur, du côté de la marche, et un bord inférieur,
- poser le bord inférieur de cet élément de marche sur ce jeu d’au moins un élément en saillie,
dans lequel
- l’un parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur définit dans un plan normal à la direction transverse (ou dans une surface courbe présentant un rayon de courbure suivant la direction transverse) un jeu d’au moins une encoche ouverte, de sorte que chaque encoche dudit jeu reçoive alors via son ouverture au moins une portion de l’autre parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur, vers une mise en butée contre une portion de paroi de l’encoche,
- le bord inférieur et ledit au moins un élément en saillie étant conformés pour que lorsqu’ainsi en butée l’un contre l’autre, ladite extrémité de marche soit retenue par ledit au moins un élément en saillie.
La ou les encoches de ce jeu peuvent avoir des parois par exemple rectilignes depuis l’ouverture de l’encoche jusqu’au fond, par exemple normales ou proches au plan de marche, de sorte que lorsque l’élément de marche est posé, la gravité emmène immédiatement le ou les éléments en saillie jusqu’au(x) fond(s)de la ou des encoche(s).
Les encoches peuvent être évasées pour faciliter le positionnement. On pourra par exemple prévoir des encoches en V.
Dans un mode de réalisation, au moins une encoche peut former un coude, de sorte que pour amener l’élément en saillie correspondant jusqu’au fond de cette encoche (ou tout au moins jusqu’à une position de blocage), on peut prévoir une étape supplémentaire, entrainant par exemple l’élément de marche en mouvement suivant une autre direction.
Au moins un, et par exemple chaque, limon peut être un garde-corps limon.
Alternativement, on peut prévoir un garde-corps séparé, à fixer sur le limon.
D’autres particularités et avantages de l’invention ressortiront à la lecture de la description faite ci-après d’un mode de réalisation particulier de l’invention, donné à titre indicatif mais non limitatif, en référence aux dessins annexés sur lesquels :
est une vue éclatée d’un exemple d’élément de marche pour un escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue de côté illustrant la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue en perspective d’une flasque d’un élément de marche, installé sur un limon d’un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue en perspective d’une portion d’un élément de marche, installé sur un limon d’un exemple d’escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue en perspective d’un exemple de pion pour un escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
est une vue en perspective d’une portion d’un escalier selon un mode de réalisation de l’invention.
illustre la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un autre mode de réalisation de l’invention.
illustre la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un autre mode de réalisation de l’invention.
illustre la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un autre mode de réalisation de l’invention.
illustre la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un autre mode de réalisation de l’invention.
illustre la mise en place d’un élément de marche sur un exemple d’escalier selon un autre mode de réalisation de l’invention.
montre un exemple d’escalier métallique provisoire selon encore un autre mode de réalisation de l’invention.
Dans la présente description, le terme vertical correspond sensiblement à la direction du vecteur gravité et le terme horizontal fait référence aux directions s’étendant dans un plan sensiblement perpendiculaire à la direction verticale.
Par sensiblement horizontal, longitudinal ou vertical, on entend une direction/un plan formant un angle d’au plus ±20°, voire d’au plus 10° ou d’au plus 5° avec une direction/un plan horizontal, longitudinal ou vertical.
Par sensiblement parallèle, perpendiculaire ou à angle droit, on entend une direction/un angle s’écartant d’au plus ±20°, voire d’au plus 10° ou d’au plus 5° d’une direction parallèle, perpendiculaire ou d’un angle droit.
Des références identiques peuvent désigner des éléments identiques ou similaires d’une figure à l’autre.
Les figures 1 à 6 étant relatives à un même mode de réalisation, même s’il y a parfois de légères variantes d’une figure à l’autre, elles seront commentées simultanément.
En référence à la figure 6, un escalier provisoire métallique 10 est soutenu par une structure d’échafaudage, dont une partie 11 seulement est représentée. Cette structure d’échafaudage comprend des montants, du type du montant référencé 12, tubulaires et métalliques, et disposé de façon à maintenir des limons 13 obliques par rapport à un sol horizontal ou sensiblement horizontal.
Par exemple, des montants d’échafaudage non représentés peuvent soutenir un plateau (non représenté) formant un niveau supérieur, le limon 13 étant fixé par son extrémité haute à ce plateau. Les montants d’échafaudage soutiennent ainsi indirectement ce plan d’escalier.
Comme illustré notamment sur les figures 3 et 4 les limons 13 peuvent être creux, de profil rectangulaire, avec une face supérieure 131 sur laquelle sont fixés des montants 141 de garde corps 14, et une face intérieure 132 tournée vers l’autre limon de l’escalier.
Cet escalier 10 est un escalier droit, avec un ou plusieurs plans d’escalier, chaque plan d’escalier permettant de passer d’un niveau à l’autre. Lorsque plusieurs plans d’escalier sont prévus, ils peuvent éventuellement former des angles les uns par rapport aux autres.
Pour chaque plan d’escalier, on prévoit deux limons parallèles entre eux, et disposés de sorte que leurs faces intérieures 132 soit en regard l’une de l’autre.
On prévoit aussi une pluralité d’éléments de marche 15 par plan d’escalier, chaque élément de marche 15 définissant une marche 151 sur laquelle un utilisateur pourra poser le pied.
Les marches 151 s’étendent entre les limons 13 suivant une direction dite transverse.
Dans l’art antérieur, les éléments de marche sont classiquement vissés aux limons.
Dans ce mode de réalisation, des éléments en saillie 16, solidarisés aux limons 13, s’étendent transversalement.
Par exemple on peut prévoir des pions 17 du type illustré sur la figure 5, chaque pion 17 étant d’une seule pièce et comprenant une partie de fixation 171, cylindrique, destinée à être entièrement introduite à l’intérieur d’un alésage correspondant défini dans un limon, et l’élément en saillie 16.
L’élément en saillie 16 est dans cet exemple en forme de tige cylindrique de base circulaire.
Le pion 17 définit en outre un épaulement 172 entre la partie de fixation 171 et l’élément en saillie 16.
Un tel pion peut être relativement facile à mettre sur le limon, car il suffit d’enfoncer la partie de fixation 171 dans l’alésage correspondant jusqu’à ce que l’épaulement 172 vienne en butée contre la surface 132.
Mais avantageusement, on pourra prévoir une soudure entre le pion et le limon pour renforcer la solidarisation.
Comme illustré sur la figure 1, chaque élément de marche 15 comprend un bâti 1, deux flasques 2 aux extrémités de ce bâti 1 pour la mise en position et le verrouillage sur le limon, et deux tôles 3 formant marche 151 et contremarche 152.
Le bâti 1 peut être en aluminium soudé.
La contremarche 152 peut définir des ouvertures oblongues 153 formant poignées.
Le bâti 1 comprend quatre parois 101-104 normales au plan de la marche 151, formant un rectangle, et stabilisées par des entretoises 105.
Les flasques 2 peuvent être en acier.
La tôle de la marche 151 peut être une tôle damier en aluminium qui sert de recouvrement et d’antidérapant.
Les deux flasques 2 sont boulonnés sur le bâti 1.
Les tôles 3 sont assemblées entre elles et l’ensemble est assemblé par des rivets sur le bâti ainsi que sur les flasques.
Les flasques 2 forment les extrémités de l’élément de marche 15. Ces flasques 2 s’étendent dans un plan normal à la direction transverse (parallèle à la droite (D) représentée sur la figure 1 et sur la figure 6) entre un bord supérieur 21 au niveau de la marche et un bord inférieur 22.
Ce bord inférieur 22 est découpé, ici sur toute l’épaisseur de la flasque 2, de façon à former deux encoches 23, 24.
Ces encoches 23, 24 sont ouvertes dans le plan de la flasque 2, normal à la direction transverse.
L’encoche 24 est ainsi ouverte à l’opposé du bord supérieur 21, légèrement oblique par rapport à la normale au plan de la marche 151.
L’encoche 23 s’ouvre presque latéralement, une portion 25 de son bord étant parallèle ou sensiblement parallèle au bord supérieur 21.
Les encoches 23, 24 étant découpées dans toute l’épaisseur de la flasque 2, elles sont aussi ouvertes de part et d’autre de cette flasque, hors du plan de la flasque.
Le fond 26, 27 de chaque encoche 23, 24 est plus près du bord supérieur 21 que les bords inférieurs 22 aux voisinages de ces fonds. Les fonds 26, 27 de ces encoches sont à l’opposé des ouvertures dans le plan de la flasque de ces encoches. Ainsi, lorsque la flasque 2 est posée sur une tige 16, une section de cette tige 16 pénètre dans une encoche via l’ouverture dans le plan de la flasque et vient vers le fond de cette encoche.
Les encoches 23, 24, sont conformées de sorte que leurs bords 25, 38, 28, 29, au niveau de leurs ouvertures, soient plus évasés qu’au niveau de leur fond 26, 27. Les encoches forment ainsi moyen de centrage permettant de faciliter le positionnement de l’élément de marche sur les tiges.
En outre, les encoches 23, 24 peuvent former des coudes, chaque coude séparant une encoche en une première partie 30, 32, côté ouverture, et une deuxième partie 31, 33, côté fond.
Au niveau de ses deuxièmes parties, les bords 34, 35, 36, 37 s’étendent suivants des directions obliques par rapport au plan de marche.
Les bords 38, 29, 28 s’étendent également suivants des directions obliques par rapport au plan de marche.
En référence à la figure 2A, on amène un élément de marche orienté de sorte que le plan de la marche 151 soit alors vertical ou sensiblement vertical, et positionné de sorte que l’encoche 23 soit grossièrement au-dessus de la tige 16. On descend alors l’élément de marche.
Comme illustré sur la figure 2B, la portion de bord 25 peut servir de moyen de guidage pour amener la tige 16 vers le fond de l’encoche 23.
Lorsque la tige 16 atteint le coude de l’encoche 23, l’opérateur ressent la mise en butée contre le bord du coude, comme illustré sur la figure 2C.
L’opérateur fait alors pivoter l’élément de marche autour de cette tige 16, comme illustré sur la figure 2D.
L’encoche 24 est positionnée de sorte qu’une deuxième tige 16’ s’introduit alors, du fait de ce mouvement relatif, dans cette deuxième encoche 24, comme illustré sur la figure 2E.
Lorsque cette deuxième tige 16’ a elle aussi atteint le coude de l’encoche 24, on entraîne en mouvement l’élément de marche suivant la flèche 40 comme illustré sur la figure 2F. Ce mouvement peut être facilité par la gravité, ou bien encore s’effectuer sans intervention humaine du seul fait de la gravité.
Ce mouvement de verrouillage amène les deux tiges 16, 16’ dans les deuxièmes parties 31, 33, des encoches, comme illustré sur la figure 2G.
Les figures 3 et 4 montrent ainsi les tiges 16, 16’ installées aux fonds des encoches.
On pourra relever que la paroi 101 du bâti 1 peut aussi être découpée, de façon à ne pas obturer l’encoche 23 définie dans la flasque 2.
Ce procédé peut être mis en œuvre facilement même si un garde-corps 14 est déjà installé, car les éléments de marche ont une longueur, suivant la direction transverse, inférieure à l’espace entre les limons 13.
La figure 6 montre un exemple d’escalier droit obtenu par ce procédé.
On pourra relever que ce système de pion-encoche est avantageux en ce sens qu’il n’y a pas de pièces perdables, comme dans l’art antérieur.
On pourra relever que dans le mode de réalisation illustré par les figures 1-6, le bord supérieur 21 est dans le même plan que la marche 151, mais on pourrait prévoir un léger décalage, de par exemple 1 centimètre entre le plan de marche et le bord supérieur.
Dans le mode de réalisation des figures 7A à 7E, seule l’une des deux encoches définit un coude 50.
On descend l’élément de marche orienté oblique, avec son encoche 23 à l’aplomb de la tige 16, jusqu’à ce que cette tige 16 atteigne le coude 50. L’opérateur ressent alors la mise en butée contre les parois du coude, et comme illustré sur la figure 7C, il fait alors pivoter l’élément de marche autour de cette tige 16, c qui amène la deuxième tige 16’ dans la deuxième encoche 24’.
Dans ce mode de réalisation, cette encoche 24’ ne définit pas de coude, mais a une forme en arc de cercle, telle que le déplacement (relatif) de la tige 16’ dans l’encoche 24’ amène la tige 16 au fond de l’encoche 23, comme illustré par les figures 7D et 7E.
On pourra relever que la tige 16’ n’atteint pas le fond 27’ de l’encoche 24’. En revanche, cette tige est en butée contre une portion de paroi 27’’ de cette encoche 24’, ce qui contribue à retenir l’élément de marche.
On pourra en outre relever qu’une seule 23 des encoches 23, 24’ est coudée, et pour cette encoche coudée 23, les portions du bord au niveau de la deuxième partie et de part et d’autres du fond, s’étendent sensiblement parallèlement au plan de marche.
Dans le mode de réalisation de la figure 8, l’escalier métallique provisoire 110 est hélicoïdal.
Cet escalier 110 comprend un limon hélicoïdal 113, soutenu par des montants d’échafaudage 112.
Dans cet exemple, cet escalier hélicoïdal comprend une colonne centrale 120, par exemple du type montant d’échafaudage, mais alternativement, dans un mode de réalisation non représenté, on pourrait remplacer cette colonne par un deuxième limon hélicoïdal.
Sur une surface interne 232 on a fixé des tiges (non visibles sur la figure 8) s’étendant depuis cette face intérieure 232 vers la colonne centrale 120. Ces tiges peuvent mesurer quelques centimètres.
Des éléments de marche 115 sont fixés à la colonne centrale 120 et au limon 113.
La colonne centrale est obtenue en perçant des ouvertures oblongues 220 dans un montant d’échafaudage.
Chaque élément de marche 115 comprend à son extrémité centrale un ergot 221 que l’opérateur introduit dans une ouverture 220 correspondante.
La fixation au limon fait intervenir les tiges fixées ou d’une seule pièce avec le limon, qui s’étendent radialement depuis la surface interne 232.
Chaque élément de marche comporte à son extrémité périphérique une flasque courbe 202, avec un rayon de courbure égal ou proche à celui du limon. Cette flasque est percée de deux encoches 223, 224.
Pour installer une marche, on commence par la faire pivoter de 90° autour de la direction transverse (ici la direction radiale), et par encastrer l’ergot 221 dans l’ouverture correspondante. Puis on la déplace jusqu’à ce que l’encoche 223 reçoive une tige. On fait alors pivoter l’élément de marche autour de la direction radiale, ce qui amène cette tige au fond de l’encoche 223 et l’encoche 224 à proximité d’une autre tige. En poursuivant le mouvement, cette autre tige atteint le fond de l’encoche 224.

Claims (10)

  1. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10 ; 110), comprenant
    • au moins un limon (13 ; 113),
    • au moins un montant d’échafaudage (12 ; 112) fixé audit au moins un limon pour maintenir ledit au moins un limon oblique par rapport au sol,
    • une pluralité d’éléments de marches (15 ; 115), chaque élément de marche définissant une marche (151) et s’étendant transversalement depuis au moins un limon, d’une de ses extrémités à l’autre, suivant une direction dite transverse,
    caractérisé en ce que, pour au moins une extrémité d’au moins un élément de marche :
    • l’escalier comprend en outre un jeu d’au moins un élément en saillie (16, 16’) solidarisé ou d’une seule pièce avec l’un desdits au moins un limon et formant une saillie s’étendant depuis ce limon suivant une direction ayant une composante suivant la direction transverse,
    • cette extrémité de cet élément de marche s’étend, normalement à la direction transverse, entre un bord supérieur (21) correspondant à la marche et un bord inférieur (22),
    • l’un parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur définit, dans un plan normal à la direction transverse ou dans une surface ayant un rayon de courbure suivant la direction transverse, un jeu d’au moins une encoche ouverte (23, 24 ; 24’ ; 223, 224),
    • chaque encoche dudit jeu étant conformée pour recevoir via l’ouverture de l’encoche au moins une portion de l’autre parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur lorsque ladite extrémité est posée sur cet au moins un élément en saillie, vers une mise en butée contre une portion de bord de l’encoche, et
    • le bord inférieur et ledit au moins un élément en saillie étant conformés pour que lorsqu’ainsi en butée l’un contre l’autre, ladite extrémité soit retenue par ledit au moins un élément en saillie.
  2. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10 ; 110) selon la revendication 1, dans lequel, pour au moins une extrémité d’au moins un élément de marche (15 ; 115), le jeu d’au moins une encoche ouverte comprend au moins deux encoches (23, 24 ; 24’ ; 223, 224).
  3. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10 ; 110) selon l’une quelconque des revendications 1 à 2, dans lequel, pour au moins une extrémité d’au moins un élément de marche (15), le jeu d’au moins un élément en saillie comprend au moins une tige cylindrique de base circulaire (16, 16’).
  4. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10 ; 110) selon l’une quelconque des revendications 1 à 3, dans lequel, pour au moins une encoche (23, 24 ; 24’ ; 223, 224), les bords (25, 38, 29, 28) de cette encoche sont évasés au niveau de l’ouverture de ladite encoche, formant ainsi moyen de centrage.
  5. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10 ; 110) selon l’une quelconque des revendications 1 à 4, dans lequel le jeu d’au moins une encoche (23, 24; 24’ ; 223, 224) est défini par le bord inférieur (22) de l’extrémité de l’élément de marche.
  6. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10) selon la revendication 5 lorsqu’elle dépend de la 2, dans lequel le bord inférieur est conformé de sorte qu’une portion (25) dudit bord inférieur, au niveau de l’ouverture de l’une (23) des encoches, est orientée plus parallèlement au plan de la marche (151) que les portions (28, 29) dudit bord inférieur au niveau de l’ouverture de l’autre (24) des encoches.
  7. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10) selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, dans lequel au moins une encoche (23, 24) forme un coude séparant une première partie (30, 32) de ladite encoche, correspondant à l’ouverture, d’une deuxième partie (31, 33), correspondant au fond.
  8. Escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage (10) selon la revendication 7, dans lequel le bord inférieur est conformé de sorte que deux portions (34, 35, 36, 37) dudit bord inférieur, au niveau de la deuxième partie (31, 33) et de part et d’autres du fond (26, 27), s’étendent suivant une direction ayant une composante normale au plan de marche (151).
  9. Escalier droit soutenu par une structure d’échafaudage (10 ; 110) selon l’une quelconque des revendications 1 à 8, dans lequel ledit au moins un élément de marche (15) comprend à ladite au moins une extrémité une flasque (2 ; 202) dont le plan est normal à la direction transverse ou dont un rayon de courbure est suivant la direction transverse.
  10. Procédé de montage d’un escalier provisoire métallique soutenu par une structure d’échafaudage(10), comprenant
    • prévoir au moins un limon (13), avec au moins un jeu d’au moins un élément en saillie (16, 16’) solidarisé ou d’une seule pièce avec l’un au moins desdits au moins un limon, au moins un montant d’échafaudage, une pluralité d’éléments de marche (15), chaque élément de marche définissant une marche (151),
    • fixer ledit au moins un montant d’échafaudage audit au moins un limon pour le maintenir obliques par rapport au sol,
    • orienter au moins un élément de marche transversalement par rapport au limon solidarisé ou d’une seule pièce avec un jeu d’au moins un élément en saillie, au moins une extrémité de cet élément de marche étant alors à l’aplomb ou dans un même plan d’un jeu correspondant d’au moins un élément en saillie, cette extrémité s’étendant alors dans un plan normal à la direction transverse ou de façon à présenter un rayon de courbure suivant la direction transverse, entre un bord supérieur (21), du côté de la marche, et un bord inférieur (22),
    • poser le bord inférieur de cet élément de marche sur ce jeu d’au moins un élément en saillie,
    • dans lequel
      l’un parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur définit dans un plan normal à la direction transverse, ou dans une surface courbe présentant un rayon de courbure suivant la direction transverse, un jeu d’au moins une encoche ouverte (23, 24), de sorte que chaque encoche dudit jeu reçoive alors via son ouverture au moins une portion de l’autre parmi ledit jeu d’au moins un élément en saillie et ledit bord inférieur, vers une mise en butée contre une portion de bord de l’encoche,
      le bord inférieur et ledit au moins un élément en saillie étant conformés pour que lorsqu’ainsi en butée l’un contre l’autre, ladite extrémité de marche soit retenue par ledit au moins un élément en saillie.
FR1901542A 2019-02-15 2019-02-15 Escalier provisoire métallique Active FR3092847B1 (fr)

Priority Applications (1)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1901542A FR3092847B1 (fr) 2019-02-15 2019-02-15 Escalier provisoire métallique

Applications Claiming Priority (2)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1901542 2019-02-15
FR1901542A FR3092847B1 (fr) 2019-02-15 2019-02-15 Escalier provisoire métallique

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR3092847A1 true FR3092847A1 (fr) 2020-08-21
FR3092847B1 FR3092847B1 (fr) 2021-03-05

Family

ID=67262561

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR1901542A Active FR3092847B1 (fr) 2019-02-15 2019-02-15 Escalier provisoire métallique

Country Status (1)

Country Link
FR (1) FR3092847B1 (fr)

Citations (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE1180924B (de) * 1958-03-29 1964-11-05 Baulith Vertriebsgesellschaft Wiederverwendbare Bau- und Behelfstreppe
DE102005028885A1 (de) * 2005-06-22 2007-01-04 Peri Gmbh Treppe
WO2014172754A1 (fr) * 2013-04-26 2014-10-30 Trevor Ross Suggate Escalier amovible et ensemble d'accostage

Patent Citations (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE1180924B (de) * 1958-03-29 1964-11-05 Baulith Vertriebsgesellschaft Wiederverwendbare Bau- und Behelfstreppe
DE102005028885A1 (de) * 2005-06-22 2007-01-04 Peri Gmbh Treppe
WO2014172754A1 (fr) * 2013-04-26 2014-10-30 Trevor Ross Suggate Escalier amovible et ensemble d'accostage

Also Published As

Publication number Publication date
FR3092847B1 (fr) 2021-03-05

Similar Documents

Publication Publication Date Title
FR3058432B1 (fr) Perfectionnement aux tours d'etaiement.
FR2887907A1 (fr) Garde-corps provisoire pour le montage en securite des echafaudages
FR3050749A1 (fr) Module pour realiser un escalier de chantier tournant, ensemble comportant au moins un tel module et escalier de chantier comportant au moins un tel ensemble
FR2934000A1 (fr) Dispositif de protection dite grimpante
FR2914671A1 (fr) Tour d'acces a montage en securite
FR3018536A1 (fr) Plateforme de travail en encorbellement convertible en tour d'etaiement et utilisation
EP3192941A1 (fr) Echafaudage comportant un garde-corps abaissable
FR2887574A1 (fr) Garde-corps d'echafaudage a montage en securite
FR3092847A1 (fr) Escalier provisoire métallique
WO1996002716A1 (fr) Escalier a configuration variable
FR3020080A1 (fr) Garde-corps de securite installe sur un ouvrage en hauteur et a plinthes montees sur des montants du garde-corps
FR2706513A1 (fr) Dispositif de coffrage d'escalier tournant et procédé de montage correspondant.
WO1992000432A2 (fr) Echafaudage reglable destine a prendre appui sur une surface en pente
EP2706166B1 (fr) Tour d'étaiement modulaire pour le génie civil et le bâtiment
FR2919009A1 (fr) Echafaudage avec garde-corps de protection collective.
EP1067253B1 (fr) Cadre pour étages d'échafaudage, échafaudage constitué de tels étages
EP0014694B1 (fr) Escalier métallique extérieur autoportant
FR3021682A1 (fr) Escalier provisoire helicoidal pour structure d'echafaudage
EP3406821B1 (fr) Module d'escalier pour escalier helicoidal de section hexagonale, ensemble avec au moins un tel module et escalier comportant au moins un tel ensemble
FR3032987A1 (fr) Potelet de garde-corps de securite et garde-corps de securite equipe de tels potelets
EP2299027B1 (fr) Structure d'échafaudage, en particulier d'échafaudage de façade
WO2014064341A1 (fr) Garde-corps monobloc pour tour d'étaiement, et tour d'étaiement le comportant
FR2990986A1 (fr) Echelle de toit, notamment pour couvreur
FR2947849A1 (fr) Jambe d'appui ou de stabilisation telescopique et dispositif comprenant une telle jambe
BE1018210A3 (fr) Marche modulaire pour escalier.

Legal Events

Date Code Title Description
PLFP Fee payment

Year of fee payment: 2

PLSC Publication of the preliminary search report

Effective date: 20200821

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 3

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 4

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 5

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 6