FR3083066A1 - Dispositif de verrouillage / deverrouillage d'une cloison ou paroi coulissante mobile en translation et lit muni d'une telle cloison ou paroi - Google Patents

Abstract

Dispositif de verrouillage / déverrouillage d'une cloison ou paroi (5) d'un meuble, et notamment d'un lit, dans lequel ladite cloison ou paroi est mobile en translation, notamment par coulissement par rapport audit meuble, et est munie de moyens de blocage coopérant avec l'un au moins des éléments constitutifs dudit meuble afin de s'opposer à la translation de la cloison ou paroi, dans lequel la cloison ou paroi mobile (5) comporte elle-même un élément (9) mobile en translation, parallèlement à la direction de translation de ladite cloison ou paroi ; • l'une des extrémités de cet élément mobile (9) étant solidaire indirectement des moyens de blocage par l'intermédiaire d'organes de renvoi, lesdits moyens de blocage étant par défaut en position de verrouillage ; • l'autre extrémité dudit élément mobile (9) étant munie d'une poignée (12) pourvue d'organes de déverrouillage de la translation dudit élément mobile par rapport à la paroi ou cloison mobile (5), actionnable par l'utilisateur.

Description

DISPOSITIF DE VERROUILLAGE / DEVERROUILLAGE D’UNE CLOISON OU PAROI COULISSANTE MOBILE EN TRANSLATION ET LIT MUNI D’UNE TELLE CLOISON OU PAROI

DOMAINE DE L’INVENTION

L’invention s’inscrit dans le domaine des meubles pourvus d’une paroi coulissante, notamment entre deux positions, l’une permettant l’accessibilité à l’intérieur du meuble en question, l’autre limitant ledit accès, ou tendant à empêcher toute sortie hors dudit meuble, notamment pour des raisons de sécurité.

Plus particulièrement, l’invention concerne les lits pour enfant en bas âge, pourvus d’une telle paroi coulissante.

ETAT ANTERIEUR DE LA TECHNIQUE

Les meubles pourvus d’une cloison ou paroi mobile en translation, typiquement parallèlement à l’une des dimensions dudit meuble, sont connus. Ceci est notamment vrai dans le domaine des lits pour enfant, pour lesquels, pour des raisons évidentes d’accessibilité et de sécurité, on souhaite baisser l’une des parois le définissant pour coucher, ou au contraire prendre l’enfant qui y est étendu, et corollairement, définir un périmètre de sécurité interdisant la sortie de l’enfant hors du lit, lorsqu’il y est présent.

La même problématique se pose également pour les lits notamment à vocation hospitalière, permettant de porter assistance à l’individu qui y repose.

Dans un cas comme dans l’autre, il est important que le lit question soit pourvu de moyens propres à éviter tout risque de chute de l’enfant ou de la personne sous assistance. Cependant, afin d’accéder à l’enfant, ou de permettre aux malades éventuellement de sortir du lit en question, il est nécessaire que l’une des parois longitudinale puisse être escamotée.

Différentes solutions techniques ont été envisagées pour permettre cette accessibilité. Parmi celles-ci, on a décrit dans le document FR 2 815 528 un lit pourvu notamment d’une barrière longitudinale constituée de deux éléments articulés l’un par rapport à l’autre autour d’un axe perpendiculaire à l’axe longitudinal du lit. Outre le fait que ce dispositif ne permet pas une accessibilité sur l’intégralité du côté longitudinal du lit, son mode de verrouillage nécessite l’usage des deux mains.

On a décrit dans le document US 5,617,593 un lit pour enfant muni d’une paroi latérale amovible comprenant des moyens de verrouillage de ladite paroi, notamment en zone supérieure. Là encore, le déverrouillage de la paroi permettant de l’abaisser et donc d’accéder à l’enfant, nécessite les deux mains de l’utilisateur.

L’objet de l’invention est de faciliter le verrouillage ou le déverrouillage d’une paroi ou cloison mobile en translation d’un meuble, et plus particulièrement d’un lit pour enfant ou un lit hospitalier, notamment à l’aide d’une seule main, sans pour autant affecter la sécurité nécessaire de tels meubles. En effet, s’agissant plus particulièrement des lits pour enfant, il n’est pas rare que l’adulte porte dans ses bras l’enfant, de sorte qu’il ne dispose que d’une seule main pour procéder à cette opération de verrouillage ou de déverrouillage.

EXPOSE DE L’INVENTION

A cet effet, l’invention propose un dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi coulissante mobile en translation d’un meuble, ladite cloison ou paroi étant munie d’un moyen de blocage en coopération avec l’un au moins des éléments constitutifs dudit meuble.

Selon l’invention, la cloison ou paroi mobile comporte elle-même un élément mobile en translation, parallèlement à la direction de translation de ladite cloison ou paroi. L’une des extrémités de cet élément mobile est solidaire indirectement de pions de verrouillage par l’intermédiaire d’organes de renvoi, lesdits pions étant par défaut en position de verrouillage. L’autre extrémité dudit élément mobile est munie d’une poignée pourvue d’organes de déverrouillage de la translation dudit élément mobile, actionnable par l’utilisateur. Cette poignée est elle-même pourvue d’un verrou apte à coopérer avec la cloison ou la paroi comportant l’élément mobile, ledit verrou étant déverrouillable au moyen desdits organes de déverrouillage actionnables par l’utilisateur.

En d’autres termes, l’invention consiste à munir la cloison ou paroi mobile d’un meuble, et plus particulièrement d’un lit, d’un élément lui-même mobile en translation, actionnable par une seule main de l’utilisateur, et susceptible de verrouiller ou déverrouiller ladite cloison mobile par rapport audit meuble, pour ainsi permettre l’accessibilité au meuble en question, et plus particulièrement au lit.

Selon l’invention, le verrou de l’élément mobile en translation au sein de la cloison ou paroi est escamotable à l’intérieur de la poignée par pression d’un bouton-poussoir, intégré dans la poignée.

Selon une autre caractéristique de l’invention, ledit bouton-poussoir est lui-même par défaut verrouillé de telle sorte qu’il est en saillie par rapport à la poignée, le déverrouillage dudit bouton-poussoir résultant de l’actionnement d’une gâchette, ellemême intégrée dans la poignée, et positionnée de manière antagoniste par rapport au bouton-poussoir, afin d’une part, de faciliter le déverrouillage général de la poignée d’une seule main, et d’autre part, de rendre difficile, voire impossible ledit déverrouillage par un enfant situé à l’intérieur du lit muni d’une telle cloison mobile.

Dans le cadre d’une cloison ou paroi mobile en translation munie de barreaux, l’élément mobile en translation constitue lui-même l’un des barreaux ou montants reçu entre une traverse inférieure et une traverse supérieure.

Les pions de verrouillage sont au nombre de deux et sont reçus dans un logement symétrique ménagé aux deux extrémités latérales de la traverse inférieure, et orientés perpendiculairement à la direction de translation de l’élément mobile.

Selon l’invention, ces pions sont chacun soumis à l’action d’un ressort de compression reçu dans des logements correspondants ménagés au sein de ladite traverse inférieure, lesdits pions étant solidarisés à l’extrémité inférieure de l’élément mobile par un câble souple venant s’enrouler sur une poulie de renvoi ou système équivalent faisant fonction de renvoi d’angle.

L’invention concerne plus particulièrement un lit pour enfant, recevant un sommier et délimité par quatre cloisons, respectivement latérales et longitudinales. L’une des cloisons, avantageusement longitudinales, est susceptible de coulisser verticalement entre une position inférieure, libérant l’accès à l’intérieur du lit, et une position supérieure, obturant l’espace défini par le lit. Cette cloison mobile en translation verticale est munie du dispositif de verrouillage / déverrouillage mentionné précédemment, l’élément mobile étant dans le cas d’espèce constitué de l’un des barreaux de ladite cloison mobile, et les moyens de blocage ou pions de verrouillage coopérant avec les montants du lit entre lesquels est susceptible de coulisser ladite cloison mobile.

BREVE DESCRIPTION DES FIGURES

La manière dont l’invention peut être réalisée, et les avantages qui en découlent, ressortiront mieux de l’exemple de réalisation qui suit, donné à titre indicatif et non limitatif à l’appui des figures annexées.

Les figures 1 et 2 sont des représentations schématiques en perspective d’un lit pour enfant, illustrant respectivement le lit en position opérationnelle, c’est-à-dire en mode fermé avec une cloison latérale en position haute, et le lit en position d’accessibilité, dont ladite cloison latérale est en position basse.

La figure 3 est une représentation schématique plus en détail du dispositif de verrouillage / déverrouillage monté sur l’un des barreaux de la cloison mobile du lit.

La figure 4 est une vue en éclaté de la poignée constitutive de ce dispositif.

La figure 5 est une vue en section sagittale de la poignée montée sur le barreau de la cloison mobile en position déverrouillée.

La figure 6 est une vue schématique de face de la cloison mobile.

La figure 7 est une vue de détail de l’extrémité inférieure du montant sur lequel est montée la poignée.

La figure 8 illustre schématiquement l’un des pions de verrouillage de ladite cloison mobile positionné à l’une des extrémités latérales de la traverse inférieure de ladite cloison mobile.

DESCRIPTION DETAILLEE DE L’INVENTION

La description qui suit concerne plus particulièrement un lit pour enfant. Il est cependant bien entendu que l’invention ne saurait se limiter à cette seule application, et que tout meuble muni d’une cloison mobile, notamment par coulissement dans les montants du meuble est couvert par la présente invention.

Le lit représenté en figures 1 et 2 est un lit pour enfant (1) de facture traditionnelle, en l’espèce monté sur roulettes, et comprenant quatre cloisons obturant l’espace interne, respectivement deux cloisons latérales (2) et (3) et deux cloisons longitudinales (4) et (5).

En l’espèce, la cloison longitudinale (5) est susceptible de coulisser dans des glissières (non représentées) ménagées dans les montants verticaux (6) et (7) du lit. Cet aspect du lit ne fait pas partie de l’invention, le principe du coulissement d’une cloison d’un lit pour enfant étant connu. Ce lit comporte des moyens de réception d’un sommier (8), reçu sur des moyens prévus dans lesdits montants.

Selon une caractéristique essentielle de l’invention, l’un des barreaux (9) de ladite cloison mobile (5) est susceptible de faire l’objet d’une translation parallèlement à la direction de translation de ladite cloison mobile, et en l’espèce donc verticalement. Cette translation du barreau (9) intervient entre les deux traverses, respectivement inférieure (10) et supérieure (11) de ladite cloison mobile (5), lesdites traverses s’étendant perpendiculairement à la direction des différents barreaux et notamment du barreau (9) et donc en l’espèce horizontalement. L’élément mobile (9) est donc susceptible de coulisser au sein des traverses inférieure (10) et supérieure (11).

Le déplacement de ce barreau (9) par rapport aux traverses (10) et (11) engendre la traction de câbles souples (13), mieux représentés sur la figure 7, lesdits câble souples étant renvoyés par des poulies de renvoi (15) intégrées dans le corps de la traverse inférieure (10), de telle sorte à servir de renvoi d’angle : en d’autres termes, la traction ascendante selon la direction verticale du barreau (9) engendre une action horizontale desdits câbles, l’autre extrémité libre desdits câbles étant solidarisée à des pions de verrouillage (14), mieux représentés sur les figures 7 et 8. Ces pions de verrouillage sont destinés à coopérer avec des orifices (non représentés) ménagés à cet effet à une hauteur déterminée des montants verticaux (6) et (7) du lit (1), correspondant à la position haute de la cloison mobile (5). En l’absence de contraintes, c’est-à-dire en l’absence de traction sur le barreau (9) en direction du haut, les pions de verrouillage (14) sont soumis à un ressort de compression (16), mieux représentés sur la figure 8, logés dans un évidement (17) défini au voisinage des deux extrémités de la traverse inférieure (10), lesdits ressorts ayant naturellement tendance à pousser les pions de verrouillage en direction des orifices correspondants desdits montants (6) et (7) du lit.

L’actionnement du barreau spécifique (9) de la cloison mobile (5) est rendu possible à l’aide d’une poignée (12), fixée notamment par vissage sur ledit barreau (9) au voisinage de son extrémité supérieure, c’est-à-dire au voisinage de la traverse supérieure (11). Cette poignée (12) est décrite plus en détail en relation avec les figures au niveau des figures 3, 4 et 5.

Cette poignée comporte un bouton-poussoir (18) solidaire d’un verrou (19). Ledit bouton-poussoir (18) est, en l’absence de contraintes, émergeant par rapport à la poignée. H ne peut être libéré, c’est-à-dire qu’il ne peut être enfoncé que par actionnement d’une gâchette (20), située sur la face opposée de ladite poignée, ainsi qu’on peut le voir sur les figures 3 et 5. Cette gâchette (20) est munie d’une lame ressort (21), prenant appui dans la poignée, induisant le blocage du bouton-poussoir (18) en position émergeante (comme illustré sur la figure 3). L’actionnement de la gâchette (20) induit son basculement, et corollairement, la libération du boutonpoussoir (18). Lorsque ce dernier est enfoncé, et donc après activation de la gâchette, le verrou (19) qui lui est solidaire est lui-même déplacé en direction de l’intérieur de la poignée, l’escamotage dudit verrou permettant de supprimer l’obstacle qu’il constituait en appui contre la zone inférieure de la traverse supérieure (11), et de faire remonter le barreau (9) au sein de ladite traverse supérieure (11) sur une course limitée, typiquement de 1 à 3 centimètres, et avantageusement voisine de 1,5 centimètre, et corollairement, d’engendrer la traction des câbles souples (13) précités et, en conséquence, la libération des pions de verrouillage (14) hors des orifices des montants (6, 7) du lit, et ainsi, autoriser le coulissement de la cloison mobile (5) en direction du bas, pour permettre un accès facilité à l’intérieur du lit.

On conçoit qu’en raison même du mécanisme de la poignée, et notamment de la position antagoniste de la gâchette (20) et du bouton-poussoir (18), celle-ci peut être actionnée par une seule main de l’utilisateur pour permettre ainsi le déverrouillage de la cloison mobile. En raison en outre de l’agencement particulier du bouton-poussoir et de la gâchette, l’enfant à l’intérieur du lit ne peut accéder facilement à la poignée, et surtout ne peut libérer par lui-même ce mécanisme, conférant ainsi la sécurité nécessaire au lit dans lequel il est amené à se trouver.

On conçoit alors tout l’intérêt du dispositif de verrouillage de l’invention, qui permet de manière aisée d’accéder facilement à l’intérieur d’un meuble et en l’espèce d’un lit pour enfant, avec une seule main.

Claims (9)

1. REVENDICATIONS

   1. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1), ladite cloison ou paroi étant mobile en translation, notamment par coulissement par rapport audit meuble, et étant munie de moyens de blocage (14) coopérant avec l’un au moins des éléments constitutifs dudit meuble afin de s’opposer à la translation de la cloison ou paroi, caractérisé en ce que la cloison ou paroi mobile (5) comporte elle-même un élément (9) mobile en translation, parallèlement à la direction de translation de ladite cloison ou paroi ;

   • l’une des extrémités de cet élément mobile (9) étant solidaire indirectement des moyens de blocage (14) par l’intermédiaire d’organes de renvoi (15), lesdits moyens de blocage (14) étant par défaut en position de verrouillage ;

   • l’autre extrémité dudit élément mobile (9) étant munie d’une poignée (12) pourvue d’organes de déverrouillage (18, 19, 20) de la translation dudit élément mobile par rapport à la paroi ou cloison mobile (5), actionnable par l’utilisateur.
2. 2. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que la poignée (12) est solidaire dudit élément mobile (9), et est pourvue d’un verrou (19) apte à coopérer avec l’un (11) des éléments constitutifs de la cloison ou de la paroi comportant l’élément mobile (9), ledit verrou étant déverrouillable au moyen desdits organes de déverrouillage (18, 20) actionnables par l’utilisateur.
3. 3. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon la revendication 2, caractérisé en ce que le verrou (19) de l’élément mobile en translation (9) au sein de la cloison ou paroi (5) est escamotable à l’intérieur de la poignée (12) par pression d’un bouton-poussoir (18) intégré dans la poignée (12).
4. 4. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon la revendication 3, caractérisé en ce que le bouton-poussoir (18) est lui-même par défaut verrouillé de telle sorte qu’il est en saillie par rapport à la poignée (12), le déverrouillage dudit bouton-poussoir (18) et corollairement du verrou (19) qui lui est solidaire résultant de l’actionnement d’une gâchette (20), elle-même intégrée dans la poignée (12).
5. 5. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon l’une des revendications 1 à 4, caractérisé en ce que la cloison ou paroi (5) mobile en translation est munie de barreaux, et en ce que l’élément mobile en translation (9) constitue lui-même l’un des barreaux de ladite cloison ou paroi, reçu entre une traverse inférieure (10) et une traverse supérieure (11).
6. 6. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon la revendication 5, caractérisé :

   • en ce que l’élément mobile (9) est susceptible de coulisser au sein des traverses inférieure (10) et supérieure (11) ;

   • en ce que l’extrémité inférieure de l’élément mobile (9) est solidarisée aux moyens de blocage (14) par l’intermédiaire de câbles souples (13), lesdits câbles souples et les éléments de renvoi (15) étant intégrés au sein de la traverse inférieure (10) ;

   • et en ce que le verrou (19) coopère avec la zone inférieure de la traverse supérieure (10).
7. 7. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon l’une des revendications 5 et 6, caractérisé en ce que les moyens de blocage (14) sont constitués par des pions de verrouillage, au nombre de deux, reçus dans un logement (17) symétrique ménagé aux deux extrémités latérales de la traverse inférieure (10), et orientés perpendiculairement à la direction de translation de l’élément mobile (9).
8. 8. Dispositif de verrouillage / déverrouillage d’une cloison ou paroi (5) d’un meuble (1) selon la revendication 7, caractérisé en ce que les pions de verrouillage (14) sont chacun soumis à l’action d’un ressort de compression (16) reçu dans les logements correspondants (17) ménagés au sein de ladite traverse inférieure (10).
9. 9. Lit pour enfant, recevant un sommier (8) et délimité par quatre cloisons, respectivement deux cloisons latérales (2, 3) et deux cloisons longitudinales (4, 5), l’une (5) des cloisons longitudinales étant mobile en translation verticale et susceptible de coulisser entre une position inférieure, libérant l’accès à l’intérieur du lit, et une position supérieure, obturant l’espace défini par le lit, caractérisé en ce que ladite cloison longitudinale (5) mobile en translation verticale est munie du dispositif de verrouillage / déverrouillage selon l’une des revendications 1 à 8, l’élément mobile (9) étant constitué par l’un des barreaux de ladite cloison mobile (5), et les moyens de blocage ou pions de verrouillage coopérant avec les montants (6, 7) du lit entre lesquels coulisse ladite cloison mobile (5).