FR3081490A1 - Bloc-porte de securite - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un bloc-porte de sécurité. Il comprend : une huisserie présentant deux montants parallèles (22, 24) ; un battant (14) présentant au moins un chant (18) et une bordure adjacente (25) audit chant (18) ; un jeu de paumelles (16), chacune desdites paumelles (16) présentant une partie fixe (42) reliée à l'un desdits montants (24) et une partie mobile (44) reliée à ladite bordure adjacente (25), ladite partie mobile (44) étant montée à rotation sur ladite partie fixe autour d'un pivot (58) ; un doigt de sécurité (62) s'étendant en saillie dudit chant (18), pour pouvoir traverser ledit un desdits montants (24) et, augmenter la résistance au dégondage et à l'effraction. Ladite partie mobile (44) desdites paumelles (16) reliée à ladite bordure adjacente (25) se prolonge à travers ledit battant (14) et vient s'étendre en retour en saillie dudit chant (18) pour former ledit doigt de sécurité (62).

Description

Bloc-porte de sécurité

La présente invention se rapporte à un bloc-porte de sécurité adapté à être installé dans l'ouverture pratiquée dans un bâtiment de manière à pouvoir en contrôler l'accès.

Un domaine d'application envisagé est notamment, mais non exclusivement, celui des portes techniques des bâtiments industriels pour lesquels il est nécessaire de pouvoir interdire et autoriser les accès.

Des blocs-portes de sécurité connus comprennent une huisserie présentant deux montants d'huisserie parallèles reliés entre eux par une traverse supérieure pour former une baie et un battant relié à l'un des deux montants d'huisserie par un jeu de paumelles de manière à pouvoir articuler le battant autour dudit montant entre une position ouverte dans laquelle le battant libère la baie et une position de fermeture, dans laquelle le battant obture la baie.

Le battant comporte deux bords opposés présentant deux chants qui viennent respectivement s'étendre en regard dudit un des deux montants et de l'autre montant d'huisserie lorsque le battant revient dans sa position de fermeture. Dans cette dernière position, le battant est verrouillé sur l'autre montant d'huisserie grâce à une serrure installée sur le battant et munie d'un pêne, lequel pêne vient alors en saillie du chant correspondant. L'huisserie du bloc-porte de sécurité est installée à l'intérieur de l'ouverture pratiquée dans le bâtiment et elle est scellée à la maçonnerie.

Pour plus de sécurité, les battants sont réalisés en acier. Ainsi, ils comportent usuellement deux montants tubulaires parallèles maintenus espacés l'un de l'autre d'une distance correspondant à la largeur de la baie précitée, et deux parois métalliques montées en regard l'une de l'autre sur les deux montants parallèles. Entre les deux parois métalliques, on insère des matériaux isolants et ignifuges. Aussi, les deux montants d'huisserie et la traverse supérieure sont formés de profilés métalliques.

Dans le but d'augmenter plus encore la résistance à l'effraction, il est connu d'installer un doigt de sécurité solidaire du battant et qui vient s'étendre en saillie de son chant opposé au chant duquel vient s'étendre le pêne, tandis qu'un orifice est pratiqué dans ledit un desdits montants pour pouvoir recevoir précisément le doigt de sécurité lorsque le battant est dans sa position de fermeture. De la sorte, les deux bords opposés du battant sont en prise à l'intérieur de la baie.

On pourra se référer au document W086/04108, lequel décrit un tel doigt de sécurité. Toutefois, si un tel doigt de sécurité augmente la résistance à l'effraction de l'ouverture, il renchérit sensiblement le coût de réalisation du bloc-porte.

Aussi, un problème qui se pose et que vise à résoudre la présente invention est de fournir un bloc-porte de sécurité qui soit non seulement résistant à l'effraction mais aussi, qui soit plus économique à réaliser.

Dans ce but, la présente invention propose un bloc-porte de sécurité adapté à être installé dans une ouverture pratiquée dans un bâtiment, ledit bloc-porte comprenant : une huisserie présentant deux montants parallèles définissant une baie ; un battant présentant au moins un chant et une bordure adjacente audit chant ; un jeu de paumelles, chacune desdites paumelles présentant une partie fixe reliée à l’un desdits montants et une partie mobile reliée à ladite bordure adjacente, ladite partie mobile étant montée à rotation sur ladite partie fixe autour d’un pivot situé à l’extérieur de ladite baie; et, un doigt de sécurité s’étendant en saillie dudit chant, pour pouvoir traverser ledit un desdits montants lorsque ledit battant est entraîné à pivotement vers l’intérieur de ladite baie. Ladite partie mobile desdites paumelles reliée à ladite bordure adjacente se prolonge à travers ledit battant et vient s’étendre en retour en saillie dudit chant pour former ledit doigt de sécurité.

Ainsi, une caractéristique de l'invention réside dans la mise en œuvre d'une partie mobile qui vient à la fois relier la paumelle au battant et vient s'étendre à travers celui-ci pour venir s'étendre en saillie du chant de manière à pouvoir former le doigt de sécurité et résister au dégondage et à l’effraction. De la sorte, la partie mobile joue deux rôles à la fois et partant, le montage du bloc-porte est simplifié et donc moins coûteux.

Selon un mode de mise en œuvre de l'invention particulièrement avantageux, ladite partie mobile comprend une pièce en U présentant une branche reliée à ladite partie fixe et une branche libre formant ledit doigt de sécurité. Ainsi, à la manière d'un crochet, la partie mobile de la paumelle vient en prise avec le montant d’huisserie lorsque le battant vient obturer la baie, tandis qu'elle s'en échappe lorsque le battant est entraîné à pivotement en dehors de la baie pour la libérer.

Avantageusement, chacune desdites paumelles présente une autre partie mobile reliée à ladite bordure adjacente et se prolongeant parallèlement à ladite une partie mobile à travers ledit battant en s’étendant en retour en saillie dudit chant pour former un autre doigt de sécurité. De la sorte, on accroît plus encore la résistance à l'effraction du battant sans réel coût supplémentaire, si ce n'est le coût de la matière.

Aussi, ladite autre partie mobile comprend une autre pièce en U présentant une autre branche reliée à ladite partie fixe et une autre branche libre formant ledit autre doigt de sécurité. Ladite autre pièce en U présente tous les avantages de ladite une pièce en U précitée.

En outre, ladite partie mobile comprend une douille reliant parallèlement l’une à l’autre, les branches des pièces en U reliées à ladite partie fixe. Ainsi, les pièces en U sont solidaires l'une de l'autre grâce à la douille, et elles s'étendent parallèlement l'une à l'autre depuis la douille jusqu'à une extrémité libre. La douille peut recevoir le pivot comme on l'expliquera ci-après.

De plus, ledit un desdits montants présente un orifice pour recevoir ledit doigt de sécurité. Par exemple, le doigt de sécurité présente une forme méplate, et par conséquent l’orifice est formé d’une fente transversale.

Ledit orifice s'étend ainsi au niveau du doigt de sécurité de manière à pouvoir le recevoir lorsque le battant est dans une position de fermeture. Aussi, on observera que le montant présente deux orifices superposés lorsque la partie mobile comprend deux pièces en U de manière à pouvoir recevoir respectivement et simultanément, les deux branches formant doigt de sécurité.

Selon une caractéristique de mise en œuvre de l'invention particulièrement avantageuse, ledit battant comprend deux panneaux métalliques présentant chacun un rebord, les rebords desdits panneaux métalliques étant montés l’un contre l’autre pour maintenir lesdits panneaux métalliques espacés en regard l’un de l’autre. Ainsi, l'un des rebords de l'un des panneaux vient en appui contre l'intérieur de l'autre panneau, tandis que l'autre rebord de l'autre panneau vient recouvrir ledit un des rebords formant ainsi le chant du battant. Ainsi, la pièce en U traverse non seulement la bordure du battant adjacente au chant, qui présente une seule épaisseur du panneau, mais aussi la double épaisseur des rebords superposés pour venir s'étendre en saillie du chant. La pièce en U est alors soudée à la fois à la bordure, mais aussi au chant.

Préférentiellement, lesdits deux montants parallèles sont des profilés métalliques. De la sorte, on obtient une plus grande rigidité du bloc-porte. De plus, ledit un desdits montants comprend une chape pour recevoir ledit pivot. Avantageusement, le battant est relié au montant par l'intermédiaire de deux paumelles et partant, le montant est équipé de deux chapes recevant chacune un pivot, tandis que le battant est équipé de deux parties mobiles correspondantes.

Aussi, le bloc-porte de sécurité selon l’invention comprend en outre un capot de protection adapté à venir se fixer sur ladite partie mobile. Le capot de protection présente par exemple une partie cylindrique élastiquement déformable venant s’appliquer à force au niveau du pivot et au-dessus de la partie fixe, et une autre partie prolongeant la partie cylindrique venant s’appliquer contre la bordure adjacente au chant. Un tel capot de protection a également pour fonction de venir masquer la liaison entre la partie mobile de la paumelle et le battant comme on l’expliquera plus en détail dans la suite de la description.

D’autres particularités et avantages de l’invention ressortiront à la lecture de la description faite ci-après d’un mode de réalisation particulier de l’invention, donné à titre indicatif mais non limitatif, en référence aux dessins annexés sur lesquels :

- la Figure 1 est une vue schématique de face d’un bloc-porte installé conforme à l’invention et dans une position d’obturation ;

- la Figure 2A est une vue schématique en perspective d’un détail de la Figure 1 ;

- la Figure 2B est une vue schématique en perspective d’un détail de la Figure 2A ;

- la Figure 3 est une vue schématique en perspective en détail de la Figure 2A ;

- la Figure 4 est une vue schématique en coupe droite selon le plan IV-IV représenté sur la Figure 3 ;

- la Figure 5 est une vue schématique en perspective d’un élément représenté sur la Figure 4 ; et,

- La Figure 6 est une vue schématique en coupe droite des éléments représentés sur la Figure 4 dans une position d’ouverture.

La Figure 1 illustre une huisserie 10 installée à travers une ouverture 12. Un battant 14 est relié à l'huisserielO par l'intermédiaire de paumelles 16, au nombre de quatre sur la Figure 1, toutes identiques. Le battant 14 est un battant de sécurité métallique comme on l'expliquera ci-après. Il présente deux chants opposés 18, 20 et également une bordure de liaison 25 opposée à une bordure de préhension 21. La bordure de préhension 21 est équipée d'une béquille 23 destinée à commander une serrure installée dans l’épaisseur du battant 14 et non représentée. L'huisserie 10 présente deux montants opposés, un montant d'accrochage 22 et un montant de liaison 24 reliés ensemble par une traverse 26. Les montants 22, 24 et la traverse 26 définissent ainsi une baie 27. Les paumelles 16 sont alors montées à cheval sur la bordure de liaison 25 du battant 14 et sur l'un des montants 24.

On décrira en détail une paumelle 16 en référence aux Figures 2A à 6 suivantes.

On se référera tout d'abord à la Figure 3 montrant partiellement le battant

14. Il présente une paroi métallique interne 28 maintenue espacée d'une paroi métallique externe 30. La paroi métallique interne 28 présente un rebord 32 plié en retour, tandis que la paroi métallique externe 30 présente un bord en U 34 venant en appui contre le premier rebord 32. Le bord en U 34 présente une aile libre 35 qui vient en appui à l'intérieur de la paroi métallique interne 28.

Une mousse ignifuge est par exemple injectée entre la paroi métallique interne 28 et la paroi métallique externe 30. Le rebord 32 définit alors vers l'extérieur l'un des chants 18 adjacent à la bordure de liaison 25.

On retrouve également sur cette Figure 3, partiellement, le montant de liaison 24. Il est formé d'un profilé en U présentant une aile de baie 36, un fond 38 et une aile en retour 40. Le montant de liaison 24 est ainsi scellé dans la maçonnerie de l'ouverture 12 représentée sur la Figure 1.

En outre, on retrouve sur la Figure 3 la paumelle 16 qui relie le battant 14 au montant de liaison 24. La paumelle 16 comprend une partie fixe 42 et une partie mobile qu'elle surmonte 44. La partie fixe 42 présente deux organes percés superposés 46, 48 formant une chape solidaire du fond 38 du profilé en U du montant de liaison 24 ; les organes percés superposés 46, 48 sont reliés entre eux par une première douille 50 coaxiale aux deux organes 46, 48. Partant, la première douille 50 prise entre les deux organes percés 46, 48 forme un palier d'axe vertical comme on va l'expliquer ci-après.

Quant à la partie mobile 44, elle comporte deux pièces en U superposées, l'une inférieure 52, l'autre supérieure 54 reliées entre elles par une seconde douille 56 de manière à pouvoir recevoir une tige à tête 58 laquelle se prolonge à l'intérieur de la première douille 50 pour former pivot. La première douille 50 forme alors pallier pour la tige 58.

On se référera à présent à la Figure 4 afin de décrire plus en détail les pièces en U superposées 54, 52. On retrouve ainsi, vu de dessus et en coupe, l'une 54 des deux pièces en U superposé 52, 54. La pièce en U 54 présente une première branche 60 qui s'étend jusqu'à la bordure de liaison 25 puis ensuite un fond 61 qui traverse la bordure de liaison 25 et l'aile libre 35, et une deuxième branche 62 qui traverse le bord en U 34 de la paroi métallique externe 30 et le premier rebord 32 de la paroi métallique interne 28, pour s'étendre en saillie du chant 18 puis à travers l'aile de baie 36 du montant de liaison 24.

Ainsi, la pièce en U 54 est formée d'une seule pièce, et des fentes sont pratiquées d'une part, dans la bordure de liaison 25 appliquée contre l'aile libre 35 puis dans le bord en U 34 et le premier rebord 32 appliqués l’un sur l'autre, et enfin dans l'aile de baie 36. La fente pratiquée dans cette dernière, est relativement large pour recevoir la deuxième branche 62. En revanche, les deux fois deux fentes de la bordure de liaison 25 et de l'aile libre 35 d'une part et du bord en U 34 et du premier rebord 32 d'autre part, sont d'une largeur sensiblement égale à l'épaisseur de la pièce en U 54, de manière à pouvoir y être insérée à force. Ensuite, des soudures d'angle sont pratiquées, d'une part à l'extérieur, entre la première branche 60 et la bordure de liaison 25, et entre la deuxième branche 62 et le chant 18, et d'autre part à l'intérieur, entre l’aile libre 35 et le fond 61 de la pièce en U 54, et entre le fond 61 et le bord en U 34. Bien entendu, la paroi métallique externe 30 et la paroi métallique interne 28 sont soudées ensemble. Partant, la pièce en U 54 est parfaitement solidaire du battant 14. En revanche, la deuxième branche 62 traverses librement l'aile de baie 36 du profilé du montant de liaison 24 comme on va l'expliquer ciaprès. Selon un autre mode de mise en œuvre, les soudures d’angles sont pratiquées à l’intérieur avant d’assembler les parois métalliques externe 30 et interne 28.

On se reportera à la Figure 5 montrant en détail et en perspective, la pièce en U supérieure 54 et la pièce en U inférieur 52 reliées ensemble par la seconde douille 56. La pièce en U inférieure 52 est totalement identique à la pièce en U supérieure 54. Aussi, ses éléments identiques présentent les mêmes références affectées d'un signe prime : «'». Ainsi, la pièce en U inférieure 52 présente une première branche 60' prolongée par un fond 61' qui lui-même se prolonge par une deuxième branche 62'. On observera que les deux pièces en U 52, 54 sont symétriques l'une de l'autre par rapport à un plan radial médian Prm venant couper la seconde douille 56 à équidistance des deux pièces en U 52, 54. Les deux pièces en U 52, 54 sont respectivement soudées aux deux extrémités de la seconde douille 56 pour en être totalement solidaire. De surcroît, elles présentent chacune un orifice 65, 65' coaxiale à la seconde douille 56 d'axe A, de manière à pouvoir recevoir la tige 58.

Aussi, la pièce en U inférieure 52 s'étend de la même façon à travers des fentes pratiquées d'une part, dans la bordure de liaison 25 appliquée contre l'aile libre 35 puis dans le bord en U 34 et le premier rebord 32 appliqué l'un sur l'autre, et enfin dans l'aile de baie 36.

De la sorte, comme l’illustre la Figure 4, lorsque le battant 14 vient obturer la baie définie par les montants 22, 24, les deux deuxièmes branches 62, 62' formant ainsi des doigts de sécurité, viennent s'engager à travers les deux fentes superposées de l'aile de baie 36 dans le montant de liaison 24. De la sorte, le battant 14 est non seulement solidaire du montant de liaison 24 par l'intermédiaire de la tige 58, mais aussi par l'intermédiaire des deux deuxièmes branches 62, 62' des deux pièces en U 52, 54. On observera que les deux deuxièmes branches 62, 62’ sont inaccessibles contrairement aux tiges 58 et partant, la résistance à l’effraction est renforcée.

Bien entendu, selon le mode de mise en œuvre représenté sur la Figure 1, les quatre paumelles 16 sont identiques à celle décrite ci-dessus, et elles jouent ainsi le même rôle de sécurité vis-à-vis de la résistance à l’effraction.

Aussi, comme l'illustre la Figure 6, où l'on retrouve les éléments représentés sur la Figure 4, dans une position dans laquelle le battant 14 a été entraîné en dehors de la baie 27, les pièces en U 52, 54 ont alors pivoté dans le sens trigonométrique autour de la tige 58 engagée dans la seconde douille 56 et la première douille 50 de la partie fixe 42. Les deux deuxièmes branches 62, 62' formant doigt de sécurité, ont alors libéré l'aile de baie 36 du montant de liaison 24. Il en est bien évidemment de même pour les deux deuxièmes branches des autres paumelles 16.

De la sorte, grâce à la mise en œuvre des pièces en U 52, 54 superposées, formant en une seule pièce à la fois la partie mobile 44 des paumelles 16, mais au surplus des doigts de sécurité, on obtient une meilleure résistance à l'effraction de l'ouverture. De surcroît, on obtient les deux fonctions à un coût plus avantageux comparativement aux dispositifs selon l’art antérieur.

On observera que la partie mobile peut également être mise en œuvre avec une seule pièce en U et non pas deux pièces en U superposées et reliées entre elles par une douille.

On se référera à présent aux Figures 2A et 2B. La Figure 2B représente un capot de protection 70 présentant une partie cylindrique 72 élastiquement déformable prolongée par une partie prismatique 74. Le capot de protection 70 présente une longueur égale à la hauteur de la partie mobile 44 telle 5 qu'illustrée sur la Figure 3, de manière à pouvoir être appliqué sur celle-ci.

Ainsi, comme l'illustre la Figure 2A, la partie prismatique 74 recouvre ainsi les deux premières branches 60, 60' de la partie mobile 44, lesquelles sont ici masquées par le capot 70, en venant s'appliquer contre la bordure de liaison 25, tandis que la partie cylindrique 72 vient se clipser sur la seconde douille 56 ίο laquelle est également masquée. De la sorte, on vient recouvrir notamment les premières branches 60, 60' lesquelles, comme on l'a expliqué ci-dessus, sont soudées à la paroi métallique interne 28. On vient alors masquer les soudures.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS

   1. Bloc-porte de sécurité adapté à être installé dans une ouverture pratiquée dans un bâtiment, ledit bloc-porte comprenant :

   - une huisserie présentant deux montants parallèles (22, 24) définissant une baie (27) ;

   - un battant (14) présentant au moins un chant (18) et une bordure adjacente (25) audit chant (18) ;

   - un jeu de paumelles (16), chacune desdites paumelles (16) présentant une partie fixe (42) reliée à l’un desdits montants (24) et une partie mobile (44) reliée à ladite bordure adjacente (25), ladite partie mobile (44) étant montée à rotation sur ladite partie fixe autour d’un pivot (58) situé à l’extérieur de ladite baie (27),

   - un doigt de sécurité (62) s’étendant en saillie dudit chant (18), pour pouvoir traverser ledit un desdits montants (24) lorsque ledit battant (14) est entraîné à pivotement vers l’intérieur de ladite baie (27);

   caractérisé en ce que ladite partie mobile (44) desdites paumelles (16) reliée à ladite bordure adjacente (25) se prolonge à travers ledit battant (14) et vient s’étendre en retour en saillie dudit chant (18) pour former ledit doigt de sécurité (62).
2. 2. Bloc-porte de sécurité selon la revendication 1, caractérisé en ce que ladite partie mobile (44) comprend une pièce en U (54) présentant une branche (60) reliée à ladite partie fixe (42) et une branche libre (62) formant ledit doigt de sécurité.
3. 3. Bloc-porte de sécurité selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que chacune desdites paumelles (16) présente une autre partie mobile (52) reliée à ladite bordure adjacente (25) et se prolongeant parallèlement à ladite une partie mobile (54) à travers ledit battant (14) en s’étendant en retour en saillie dudit chant (18) pour former un autre doigt de sécurité.
4. 4. Bloc-porte de sécurité selon la revendication 3, caractérisé en ce que ladite autre partie mobile (52) comprend une autre pièce en U présentant une autre branche (60’) reliée à ladite partie fixe (42) et une autre branche libre (62’) formant ledit autre doigt de sécurité.
5. 5. Bloc-porte de sécurité selon la revendication 4, caractérisé en ce que ladite partie mobile (44) comprend une douille (56) reliant parallèlement l’une à l’autre, les branches (60, 60’) des pièces en U (54, 52) reliées à ladite partie fixe (42).
6. 6. Bloc-porte de sécurité selon l’une quelconque des revendications 1 à 5, caractérisé en ce que ledit un desdits montants (24) présente un orifice pour recevoir ledit doigt de sécurité.
7. 7. Bloc-porte de sécurité selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que ledit battant (14) comprend deux panneaux métalliques (28, 30) présentant chacun un rebord (32, 34), les rebords desdits panneaux métalliques étant montés l’un contre l’autre pour maintenir lesdits panneaux métalliques (28, 30) espacés en regard l’un de l’autre.
8. 8. Bloc-porte de sécurité selon l’une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que lesdits deux montants parallèles (22, 24) sont des profilés métalliques.
9. 9. Bloc-porte de sécurité selon l’une quelconque des revendications 1 à 8, caractérisé en ce que ledit un desdits montants (24) comprend une chape (46, 48) pour recevoir ledit pivot (58).
10. 10. Bloc-porte de sécurité selon l’une quelconque des revendications 1 à 9, caractérisé en ce qu’il comprend en outre un capot (70) de protection adapté à venir se fixer sur ladite partie mobile (44).