FR3070339A1 - Amelioration dispositif deblocage rapide aise ceinture securite automobile bloquee dans son systeme verrouillage habituel ou systeme deblocage urgence ceinture securite soit sducsos1-sducsos2-3-4-5-x - Google Patents

Abstract

L'invention est un dispositif qui débloque la ceinture de sécurité en son verrouillage libérant sans effort l'utilisateur. 13 améliorations s'ajoutent, plus la sécurité tête-en-bas. Deux pièces maîtresses similaires (1) et (2), ressemblant au "5" sans barre supérieure, s'emboîtent tête-bêche. Un bouton (6), horizontal, solidaire à une tige verticale (3) soudée au fourreau rigide (4) englobe ces deux pièces. L'utilisateur pressant volontairement (B), produit sur la tige (3) et la gaine (4) qui, de son renflement (5) fixée à la tige (3) entre dans la rainure de la pièce (2), traduit le mouvement perpendiculaire (B') sortant la pièce (2) de la pièce (1), sans gêne du fourreau, descendu selon le mouvement (B''), et libère l'utilisateur. Le système amélioré bloque le dispostif aux véhicules au toit haut, renversés sur le toit. 3 billes (11) s'échappent d'une cartouche, roulent entre la pièce (2) et le fourreau (4). Les améliorations et versions sont liées à sa fiabilité, au poids, coût de production. Dispositif amélioré se destine à éviter toutes agravations.

Description

AMELIORATIONS DU DISPOSITIF DE DEBLOCAGE RAPIDE ET AISE DE LA CEINTURE DE

SECURITE AUTOMOBILE, BLOQUEE DANS SON SYSTEME DE VERROUILLAGE HABITUEL ou SYSTEME DEBLOCANT D’URGENCE LA CEINTURE DE SECURITE qui devient LE SYSTEME DEBLOCANT D’URGENCE LA CEINTURE DE SECURITE AVEC SIGNAL DE DETRESSE SUS POUR LA VERSION D’ORIGINE

1

Les améliorations, sur la base du dispositif des inventions, dont les demandes de brevet d’invention n° FR2945256 et FR2990172, représentent un enrichissement 5 des schémas et, ici, concernent le moyen le plus sûr de permettre à libérer facilement les personnes accidentées lorsqu’elles restent bloquées après un sinistre. Ce dispositif amélioré peut être déclenché avec moins d’effort par les personnes bloquées si leur état le leur permet, ou par toute autre personne, passager, passant ou intervenant officiel ou non. En outre, œ dispositif, conservant toutes les 10 caractéristiques antérieures, comporte désormais une sécurité suplémentaire par une cartouche (10) et de 3 billes (11) en son intérieur, d’un diamètre correspondant à l’espace entre la pièce (2) et le fourreau (4), avec un couvercle en cuir (15) évitant le déclenchement du système pour le cas où le véhicule à plafond haut ou moyennement haut se trouverait stationné sur le toit constituant un attrait. Cet attrait se 15 trouve accompagné d’un autre par la présence d’un étui en cuir (9) épais enveloppant l’ensemble et aux couleurs de l’intérieur du véhicule, répondant ainsi à l’éxigence esthétique, permettant de dissuader n’importe quelle personne à l’actionner sans utilité. Une volonté accrue donc est nécessaire pour aller le chercher et ouvrir l’orifice (14) fermé par un volet de même matière puis d’appuyer sur le bouton rouge (6) 20 situé à l’extrémité supérieure de la tige (3) s’étendant jusqu’à la base de la première pièce maîtresse (1).

Cependant, les améliorations ne s’arrêtent pas là. En voici 13 autres :

- Les renflements (5) solidaires à la tige (3) ne comporte plus qu’un seul renflement (5). C’est la version d’origine sur laquelle les autres versions se basent.

2 - En conséquence de cette simplification, la rainure supérieure (5’) à la pièce (1) statique est contiguë au bouton (6), en se référant au schéma de l’abrégé, permettant le passage du renflement, se trouve avec une rainure au lieu de deux.

- Faisant ainsi suite, la pièce (2) statique ne comporte plus qu’une seule encoche (7) au lieu de deux placée au centre de sa largeur. De façon à ce que l’unique renflement (5) puisse pousser sans difficulté.

- Sans conséquence à ces trois points, l’absence de ressort précédemment ne permettait pas un fonctionnement fiable. L’ajout de deux ressorts (12) apportent cette fiabilité à toute épreuve et permet un bon fonctionnement à 100%. Ceux-ci sont montés à l’aide d’une seule vis (13) en la partie inférieure de la pièce (2). L’un d’eux (12) vient en butée sur la base du fourreau (4), tenant l’ensemble fermé et donnant une résistance nécessaire à l’action de manière à ce qu’il ne se déclenche pas à la moindre pression ou secousse mais à la pression prévue. Le second ressort (12) s’appuit sur la pièce (2) et son autre extrémité pousse le bord opposé, interne du fourreau (4). Ce qui maintient l’ensemble stable dans ce fourreau sur les quatre 40 côtés de ces trois pièces, mais évidées en sa partie supérieure et inférieure, lui permettant de descendre (B”) selon la poussée (B) exercée sur le bouton (6) dont l’enflure (5) est d’épaisseur supérieure à la profondeur de la gorge (7).

- Sans conséquences aux points précédents, des dégagements sont aménagés à la pièce (1) dans sa partie coudée sur ses flans. Ce qui permet d’améliorer la stabilité tant en position statique qu’active.

- En se reportant au point précédent, des dégagements sont pratiqués à la pièce (2) dans sa partie supérieure à ses flans. Ces parties en frottement doivent être lubrifiées.

- Conséquamment au deux points précédents, deux plots (16) sont ajoutés à la partie supérieure de la pièce (2) et aux mêmes endroits de la pièce (1) de manière à supprimer tout jeu entre les trois pièces principales (1), (2) et (3).

- Sur l’ensemble des points précédents concernant la stabilité de l’ensemble, un appendice (17) est ajouté et soudé à la partie supérieure du fourreau (4) qui prolonge le dos de celui-ci. De telle manière que la pièce (1) ne vienne pas à se déboîter intempestivement et surtout à permettre à tout bricoleur de réarmer l’ensemble du dispositif.

- Dépendamment aux points précédents, ce dispositif, peut se présenter sous différentes formes avec une épaisseur proportionnellement augmentée que la largeur est diminuée, selon le besoin de l’aménagement, mais aussi, n’est prévu pour fonctionner qu’une seule et unique fois.

- Dépendamment des points précédents, ce système possédant une masse suffisante, lorsqu’il est libéré, peut servir de brise-vitre.

- Dépendamment aux points précédents en ce qui les concerne, de toutes ces modifications, le poids du dispositif s’en trouve allégé.

Les brevetabilités, dont la dernière est reprise ici pour saisir ses améliorations, susmentionnées prouvent qu’à l’heure actuelle, dans le domaine automobile léger ou lourd, il n’existe aucun dispositif de débloquage aisé de la ceinture de sécurité. Ce qui signifie que cette nouvelle amélioration n’existe donc en aucune invention actuellement, même si une similitude peut se rencontrer. La forme, le sens et l’action sont si défférentes en tous points, qu’elle est totalement innovante. Or, comme dit plus haut, la ceinture de sécurité reste un problème. Elle n’épargne pas la vie des personnes accidentées restées bloquées lors d’un sinistre. N’importe qui constate cet absence sur tous les véhicules en construction ou en utilisation ou en stock. Et comme personne n’est à l’abri d’une ceinture de sécurité bloquée, ceci amène à poursuivre l’amélioration du dispositif de verrouillage ou même de son enroulement. Ce dispositif n’est pas à confondre avec les coupe-ceinture du marché.

Il existe bien des études, des brevets, mais en ma connaissance, rien n’a été possible car les coûts de fabrication sont certainement trop élevés ou restent expérimentaux, mais ne cadrent pas le présent dispositif.

Ici, les améliorations du dispositif se trouvent toujours aussi simples qu’aux inventions d’origines sus-mentionnées. Elles restent toutefois aisées à mettre en œuvre en ne dérangeant pas plus pour autant l’eshétique de l’habitacle et guère pour leur coûts. Et œ, malgré l’ajout de sécurité et les diverses versions qui se présentent dans cette demande.

Les diverses versions se décrivent en ces cinq points principaux :

- un déclenchement non par renflement (5), mais par rippage au nez de la pièce (2) munie d’une saillie (F) contre laquelle l’index (D) articulé par des axes (C) lubrifiés, munis de butées (E) fixé à la pièce (3) vient se poser contre au repos. Ladite encoche (F) étant repoussée dans le mouvement (B’) pour éjecter la pièce maîtresse (2).

- un déclenchement permettant une éjection par poussée empruntant une lumière (F) pratiquée dans la pièce (1) au niveau du point d’étain du GPS déplacé au nez de la pièce (2), dans laquelle se place l’ergot (E), du ressort (D) fixé à la tige (3) faisant office d’index (D) avec butée à l’équerre, pousse par cette lumière (F) l’ergot (E) aussi long que le nez de la pièce (2) et actionné par le bouton (6).

- une fixation électro-magnétique (D) et (C) entre les pièces (1) et (2) remplaçant du même coup le contact d’étain. L’électro-aimant sans contact, soit par un défaut d’alimentation ou de l'action sur le bouton (6) libère les pièces (1) et (2) repoussées par le mouvement (B’). L’action sur le bouton (6) nécessite la même pression volontaire que les autres versions en coupant le circuit électrique en premier et contrer la résistance des ressorts (12). La présence de ces ressorts évite le déboîtement inopinée des pièces (1 ) et (2).

- L’éjection de la Pièce (1 ) de la pièce (2), ceinture tendue comme aux versions précédentes, peut être assurée également par la rotation d’une came (D), poussant (B) le bras (E) soudé à la tige (3) transmet à l’axe excentré (C) puis à l’axe (C’) un mouvement (B’) au nez de la pièce (2) qui sort du logement d’avec la pièce (1).

Ce dispositif, selon les améliorations des inventions sus-mentionnées, permet de remédier, de façon optimum, au bloquage de la ceinture de sécurité. Ceci en toutes circonstances et particulièrement, j’insiste vu son importance, après un sinistre où le danger d’être emprisonné par sa ceinture de sécurité bloquée reste omniprésent. Danger qui peut se présenter sous différentes formes : par le feu, par la chute, par le sang à la tête ou par les lésions internes en particulièr les côtes, le foie... avec un véhicule qui n’est pas forcément sur ses roues.

Les améliorations des inventions sus-mentionnées de œ dispositif ne peuvent le déclencher seul. Il est impératif que le système de sécurité ajouté soit en position tête en bas. En effet, c’est cette position statique qui lui permet de vider la cartouche (10), muni d’un léger couvercle en cuir fin (15) qui s’ouvre par le poids des 3 billes (11) lubrifiées et viennent bloquer le dispositif en se plaçant dans le fourreau (4) contre la pièce (2). Ce qui n’empêche pas qu’une personne, en l’occurence, celle prise par sa ceinture de sécurité bloquée à actionner le dispositif si le véhicule est stationné sur le côté ou sur ses roues. Même si la ceinture n’est pas bloquée mais verrouillée normalement, toutefois tendue, le réflexe de sauver sa vie peut provoquer le fonctionnement du dispositif. Il fonctionnera sans problème, sauf bien sûr en stationnement sur le toit pour les véhicules moyennement haut et haut.

Le principe du dispositif est simple. Impérativement, la ceinture doit être tendue. La mollesse de celle-ci ne permettra pas le déboîtement des deux pièces maîtresses (1) et (2) qui la composent. Ce qui assure sa statique lors d’un entretien d’habitacle et la continuité ininterrompue de la ceinture de sécurité.

L’installation du procédé ne doit donc pas être rigide avec l’ancrage au châssis du véhicule, mais avec une portion de ceinture de sécurité, pour sa partie inférieure de fixation ou tout autre moyen aussi souple que la ceinture elle-même. Quelqu’elle soit, la fixation du dispositif est libre dans le véhicule, mais doit permettre à celui-ci de ne pas se déclencher en toute circonstance.

Ce qui permet pour déclencher son fonctionnement, à l’utilisateur de pousser le bouton (6) en déplaçant par poussée le volet (14) de l’étui en cuir (9). De pousser ensuite vers l’extérieur l’anneau de la goupille. Ce qui est jusqu’ici la même utilisation pour toutes les versions et servant de base. Puis, ce bouton (6) permet d’abaisser (B) une tige verticale (3). Cette tige est solidaire au renflement (5) situé en deux endroits de part et d’autre de l’axe de l’ensemble en vue de face (Planche 2/15). Ce renflement (5) s’abaissant en même temps que le levier (3) et le bouton (6), vient s’appuyer dans l’encoche (7) pratiquée au nez de la partie supérieure de la pièce maîtresse inférieure (2). Cette encoche (7) formée de manière à épouser la forme du renflement (5), accepte sa venue et lui laisse alors le passage. Laissant ce passage, la pièce (2) vient donc reculer et sortir de son enclavement avec la pièce (1). Or, le fourreau (4) solidaire à la tige (3) qui maintient solidement le tout au repos, vient à descendre dans le même temps. Sa dimension calculée au plus juste permet le dégagement de la pièce (2) de la pièce (1). C’est ce déboîtement qui libère la ceinture de sécurité. Ceci lors d’un stationnement sur les roues ou sur le côté ainsi que sur le toit pour les toits bas, comme les versions sports. Pour les versions sports, la cartouche (10) de sécurité n’est pas installée dans le dispositif, quelque soit la version du dispositif. Pour les autres véhicules stationnés sur le toit, la cartouche (10) soudée et inclinée sur la pièce (2) emplie de 3 billes (11 ), de même matière que le dispositif, huilées et fermée d’un couvercle en air fin (15), sortent de leur propre poids, poussant le couvercle (15) de la cartouche (10) et se positionnent entre la pièce (2) 5 et le fourreau (4), bloquant ainsi la pièce (2) avec la pièce (1). Un jeu peut subsister mais ne permet pas le déboîtement.

Par précaution, dès que le dispositif est utilisé une fois Q ne pourra plus l’être une seconde fois. Comme c’est le cas généralement pour une ceinture de sécurité après 10 un sinistre. Ce dispositif utilisé, donc déboîté, devra être impérativement jeté et remplacé.

Afin que ce dispositif ne s’enclenche pas intempestivement, malgré tout, lors de l’entretien de l’habitacle du véhicule par exemple, le fourreau (4) en plus de son utilité 15 ci-dessus indiquée, pemet la solidarité de l’ensemble. Ce fourreau (4) remplace le cache de l’invention d’origine. Il laisse passer la ceinture de sécurité par les orifices (8). Ce fourreau (4) enveloppe tout le dispositif à sa juste mesure laissant passer toutefois la tige (3), le bouton (6) et environ la moitié du renflement (5). Il n’y a donc pas de fond ni de plafond. C’est un tube plat. Il laisse le passage des pièces (1) et 20 (2). Il a une incidence primordiale à l’efficacité de cette amélioration. En effet, contrairement à l’original, la solidité requise pour assurer l’homogénéité relatée précédemment n’empêche nullement l’ensemble de fonctionner correctement, lors d’une impulsion qui ne peut être que la volonté de se sortir d’affaire, cette volonté, cet instinct de survie. Parmi toutes les améliorations, une autre amélioration y est 25 apportée afin de s’assurer de manière optimum le non déclenchement du dispositif en lui ajoutant une gaine de protection en cuir épais (9) muni d’un volet d’accès (14) de même matière disposé de deux manières différentes possibles selon les quelconques schémas. Ce air s’adaptant à l’environnement intérieur du véhicule, se voit doté d’un volet (14) souple laissant entre-voir le bouton (6) de par sa couleur 30 rouge vif. Visible, mais inaccessible sans volonté à l’utiliser, cette gaine de cuir (9) ne se déplace pas de son emplacement. Elle est statique, fixée au fourreau du dispositif. Elle n’a pas de fond, mais des bretelles entourent la partie supérieure du dispositif. La fenêtre d’accès se situe juste au-dessus du bouton rouge (6).

Cet étuis peut être fixé au fauteuil par couture, scratch ou tout autre moyen.

Les dessins annexés illustrent l’invention et que les améliorations enrichissent selon les différentes versions représentées sur les planches :

- La figure 1 représente le modèle de bas à billes.

- La figure 2 représente la vue de côté dans la protection en cuir.

- Les figures 3a, 3b, 3c, 9a, 9b, 9c, 15a, 15b, 15c, 21a, 21b, 21c, 27a, 27b, 27c représentent les différentes formes possibles vues de dessus.

- La figure 4 représente la vue de face.

- La figure 5 représente la vue en coupe AA.

- La figure 6 représente la vue de dessus.

- La figure 7 représente le modèle de base à billes par rippage

- La figure 8 représente la vue de côté dans la protection en cuir.

- La figure 10 représente la vue de face.

- La figure 11 représente la vue en coupe AA .

- La figure 12 représente la vue de dessus.

- La figure 13 représente le modèle de base à billes par poussée

- La figure 14 représente la vue de côté dans la protection en cuir.

- La figure 16 représente la vue de face.

- La figure 17 représente la vue en coupe AA.

- La figure 18 représente la vue de dessus.

- La figure 19 représente le modèle de base à billes par aimants

- La figure 20 représente la vue de côté dans la protection en cuir.

- La figure 22 représente la vue de face.

- La figure 23 représente la vue en coupe AA.

- La figure 24 représente la vue de dessus.

- La figure 25 représente le modèle de base à billes par aimants

- La figure 26 représente la vue de côté dans la protection en cuir.

- La figure 28 représente la vue de face.

- La figure 29 représente la vue en coupe AA.

- La figure 30 représente la vue de dessus.

En référence à ces dessins, le dispositif comporte trois pièces maîtresses dont deux (1 ) et (2) ont une forme de profil similaire à un “5” démuni de sa barre supérieure. Elles sont disposées tête-bêche de façon à ce que la boucle du “5” s’emboîte l’une dans l’autre. Elles restent solidaires et figées par la présence du levier (3) dont l’axe descend tout leur long et se termine à la base du fourreau (4). Ce fourreau (4) est donc soudé à la pièce (3) sur toute la longueur permettant de couvrir entièrement la forme des pièces (1) et (2). Sur le fourreau, à l’opposé du bouton (6) est soudé un appendice (17). Sur la pièce (3) y est soudée également, le renflement (5) sur sa partie supérieure. Et au-dessus de ce renflement (5), le bouton (6) sur lequel l’utilisateur exercera une pression pour se libérer. La longueur de ce bouton (6) sera telle qu’elle ne gênera en rien sa descente avec la partie supérieure de la pièce (1 ). Le renflement (5) en demi-cercle de profil et plat de face, se constitue d’une pièce et dans l’axe de l’ensemble en vue de face (Planche 2/15). Les largeurs entre les pièces et les pièces elles-même peuvent varier mais sont identiques pour le renflement (5). Il vient, dans sa descente se loger dans l’unique rainure (7) située au nez de la barre horizontale supérieure de la pièce (2). Lorsque le bouton (6) est actionné, la tige (3) descend (B) le renflement (5) et le foureau (4). Ce renflement (5) vient se loger dans l’encoche (7). Celle-ci recevant, dans un bain de graisse pour faciliter le frottement sans riper et évitant l’enrayement du système, le renflement (5) en même temps que le fourreau descend (B”), produit un mouvement de poussée perpendiculaire (B’) qui sort ce nez supérieur de la pièce (2) du nez inférieur de la pièce (1). Ce qui libère l’utilisateur de l’entrave de sa ceinture.

Le levier (3) comme l'indique la figure à toutes les Planches, n’est fixé à aucune des 2 pièces (1 ) et (2) contrairement à l’original.

Selon une variante mentionnée dans les dessins, à toutes les Planches de 1/15 à 15/15, par “GPS”, il est tout à fait possible d’inclure un contact électrique entre les deux pièces (1) et (2) permettant le déclenchement d’un dispositif GPS. Le contact étant rompu lors de la désolidarisation de ces deux pièces, l’alarme GPS se déclencherait et alerterait les secours. L’emplacement “GPS” du contact serait situé entre les deux pièces maîtresses (1 ) et (2) par un point de soudure tendre à l’étain ou autre moyen efficace.

Toutes les pièces doivent être d’une matière aussi solide que la gâche de la ceinture de sécurité que l’on introduit dans son verrouillage habituel, de préférence en acier inoxidable ou d’une matière aux caractéristiques similaires, quelque soit sa fabrication : moulage, usinage ou les deux. Le fourreau (4) serait de même matière également.

Bien que non indiqué sur les figures, l’ancrage supérieur et inférieur sur les pièces (1) et (2) s’effectue par une ou plusieurs lumières aux dimensions, formes et emplacements d’après les modèles de véhicules à équiper ou par soudure aux autres formes de jonction de la ceinture. L’emplacement du dispositif dans le véhicule reste à ma discrétion.

Les dimensions hors-tout en millimètres, bien supérieures à celles aux inventions précédentes sus-mentionnées, et d’un poids de 700 grammes, sont :

- 50 de large

-125 de haut

- 30 d’épaisseur

Le dispositif, ainsi amélioré par rapport aux inventions précédentes sus-mentionnées est particulièrement destiné à libérer le passager emprisonné par sa ceinture de sécurité bloquée en son verrouillage habituel suite à un dysfoctionnement après ou non à un quelconque sinistre.

Claims (9)

1) Dispositif pour libérer un passager d’un véhicule terrestre à moteur muni d’une ceinture de sécurité par passager autorisé, caratérisé en ce qu’il comporte un ensemble avec : une première pièce maîtresse (1) et une deuxième pièce maîtresse (2), lesdites première et deuxième pièces maîtresses (1,2) étant de même forme, et une troisième pièce maîtresse (5), lesdites première et deuxième pièces maîtresses étant emboîtées l’une dans l’autre tête-bêche et étant statiques en position de repos mais pouvant être déplacées l’une par rapport à l’autre par ladite troisième pièce maîtresse (5), ladite troisième pièce maîtresse (5) étant fixée sur une tige (3), un bouton (6) étant situé à l’extrémité supérieure de la tige (3), la tige (3) s’étendant jusqu’à la base de la première pièce maîtresse (1) et étant fixé à un fourreau (4) qui englobe l’ensemble, une pression sur le bouton dégageant la deuxième pièce maîtresse (2) de la première pièce maîtresse (1) et libérant alors le passager lorsque celui-ci exerce une poussée volontaire (B) sur ledit bouton (6) qui est le principe de base.

2) Le dispositif selon la revendication 1 caratérisé en ce que la pièce supérieure (1 ) de forme profilée du chiffre “5”, sans sa barre supérieure horizontale, statique est contigüe au bouton (6) sur lequel on imprime une poussée (B), respectant l’état d’esprit de panique qui consiste à pousser plutôt qu’à tirer.

3) Le dispositif selon la revendication 1 ou la revendication 2 caratérisé en ce que la pièce inférieure (2) de forme profilée du chiffre “5”, sans sa barre supérieure horizontale, statique, comporte une encoche placée au centre de sa largeur pouvant recevoir la pièce (5) soudée à la tige (3) reliée solidairement par soudures à un fourreau (4) métallique, comme le reste de toutes les pièces de cette invention, et englobe entièrement dans son périmètre horizontal les deux pièces têtes-bêche (1 ) et (2), mais évidées en sa partie supérieure et inférieure, lui permettant de descendre (B”) selon la poussée (B) exercée sur le bouton (6).

4) Le dispositif selon l’une des quelconques revendications précédentes caratérisé en ce que le fourreau comporte en sa partie supérieure et postérieure une tige (3) de même longueur que sa course, munie d’une enflure (5) d’épaisseur supérieure à la profondeur de la gorge (7), de manière à pousser celle-ci vers l’extérieur (Bj lorsqu’elle s’abaisse (B) avec le foureau (4) dans le même mouvement (B”) et même temps, séparant l’une de l’autre les deux pièces (1) et (2).

5) Le dispositif selon l’une des quelconques revendications précédentes caractérisé en ce que le fourreau (4) enveloppe l’ensemble sur les quatre côtés de ces trois pièces, évidé sur le dessus en laissant passer la tige (3) et le renflement (5) par l’orifice (8), tout en laissant entièrement l’espace libre en-dessous (8), en position de repos de ces trois pièces principales afin que le bouton (6) ne puisse être actionné accidentellement par un utilisateur et qu’une enveloppe en cuir calfeutre.

6) Le dispositif selon l’une des quelconques revendications précédentes caratérisé en ce que l’ancrage sur les pièces (1 ) et (2) est déterminé selon le modèle du véhicule à équiper, ainsi que l’emplacement du dispositif variant selon l’habitacle permettant de l’adapter, comme l’orientation de l’ensemble des pièces et même à sa forme ici présentée rectangulaire mais dont cette forme peut être carrée, ronde ou forme adaptée au dispositif avec une épaisseur proportionnellement augmentée que la largeur est diminuée.

7) Le dispositif selon l’une des quelconques revendications précédentes caractérisé en ce que son ensemble homogène l’adapte à n’importe qu’elle configuration automobile ou de sécurité dans la vie professionnelle, touristique, voire privée, comportant les améliorations primordiales de base :

1 - un système de 3 billes (11) d’acier permettant le blocage du dispositif en situation inversée et stationnaire pour les véhicules de toits hauts et moyennenments hauts.

2 - un étui (9) en cuir épais hamonisé à l’intérieur de l’habitacle faisant office d’esthétique mais aussi de complément de sécurité au dispositif par un volet (14) souple positionné au niveau du bouton (6) augmentant l’impossibilité d’une manipulation intempestive du dispositif.

8) Le dispositif selon l’une des quelconques revendications précédentes caracérisé par la soumission aux diverses versions :

1 - un déclenchement non par renflement (5), mais par rippage au nez de la pièce (2) munie d’une saillie (F) contre laquelle l’index (D) articulé par des axes (C) lubrifiés, munis de butées (E) fixé à la pièce (3) vient se poser contre au repos. Ladite encoche (F) étant repoussée dans le mouvement (B’) pour éjecter la pièce maîtresse (2), lorsque la pression (B) est produite.

2 - un déclenchement permettant une éjection par poussée empruntant une lumière (F) pratiquée dans la pièce (1 ) au niveau du point d’étain du GPS déplacé au nez de la pièce (2), dans laquelle se place l’ergot (E), du ressort (D) fixé à la tige (3) faisant office d’index (D) avec butée à l’équerre, pousse par cette lumière (F) l’ergot (E) aussi long que le nez de la pièce (2) et actionné par le mouvement (B) sur le bouton (6).

3 - une fixation électro-magnétique (D) et (C) entre les pièces (1) et (2) remplaçant du même coup le contact d’étain. L’électro-aimant sans contact, soit par un défaut d’alimentation ou de l’action (B) sur le bouton (6) libère les pièces (1) et (2) repoussées par le mouvement (B’) l’action sur le bouton (6) nécessite la même pression volontaire en coupant le drcuit électrique en premier et contrer la résistance des ressorts (12) la présence de ces ressorts évite le déboîtement inopinée des pièces (1) et (2).

4 - L’éjection de la Pièce (1 ) de la pièce (2), toujours ceinture tendue, peut être assurée également par la rotation d’une came (D), produite par la poussée (B) sur le bras (E) soudé à la tige (3) transmet à l’axe excentré (C) puis à l’axe (C’) un mouvement (B’) au nez de la pièce (2) qui sort du logement d’avec la pièce (1 ).

9) Le dispositif selon l’une des quelconques revendications précédentes caractérisé en ce que son ensemble homogène permet de l’adapter à n’importe quel utilisation dans les transports individuels, en commun, aviation, travaux publics ou de sécurité dans la vie professionnelle, touristique, voire privée.