FR3048328A1 - Jardinieres surelevees proposant un bac potager a hauteur, pour faciliter le jardinage, notamment pour les personnes atteintes de problemes de dos ou des personnes handicapees en fauteuil roulant - Google Patents

Abstract

L'invention concerne une jardinière surélevée, comportant des piliers (1 ; 101) présentant des rainures longitudinales dans lesquelles sont engagées des extrémités latérales de parois (2 ; 102) délimitant un bac potager (10) de la jardinière destiné à recevoir du substrat pour la culture de végétaux, au moins certaines des parois comportant un retour (13) en partie basse saillant au moins vers l'intérieur du bac potager. La jardinière comporte une cuve (14) en matière étanche ayant des rebords (15) venant s'appuyer sur les retours des parois du bac potager, et un fond (16) formant un faux-plancher du bac potager séparant le substrat d'une réserve d'eau dans la cuve.

Description

L'invention porte sur des jardinières surélevées proposant un bac potager à hauteur, pour faciliter le jardinage, notamment pour les personnes atteintes de problèmes de dos ou des personnes handicapées en fauteuil roulant.

ARRIERE-PLAN TECHNOLOGIQUE DE L'INVENTION

On connaît des jardinières surélevées en bois, qui comportent quatre piliers rainurés pour accueillir les tenons de parois faites chacune de plusieurs planchettes délimitant un bac potager destiné à recevoir du substrat pour la culture de végétaux. Le bac potager comporte un fond en planches de bois qui repose sur des retours vissés à la base des parois latérales. Un géotextile est interposé entre les parois en bois et le substrat. Ces jardinières surélevées ne comportent pas de réserve d'eau susceptible d'alimenter en eau le substrat contenu dans le bac potager. Il est d'ailleurs impossible d'organiser une réserve d'eau au fond d'un bac potager en bois, sauf à 1'étanchéif1er au moyen par exemple d'une membrane étanche.

On connaît par ailleurs des jardinières surélevées en plastique dont le bac potager est une cuve en plastique étanche équipée de pieds pour sa surélévation. Une réserve d'eau est délimitée au fond de la cuve au moyen d'un faux-plancher qui sépare le substrat de l'eau.

OBJET DE L'INVENTION L'invention vise à proposer des jardinières surélevées à piliers rainurés dont le bac potager n'est pas étanche, s'il est par exemple délimité par des parois en planchettes, mais comportant néanmoins une réserve d'eau.

PRESENTATION DE L'INVENTION

En vue de la réalisation de ce but, on propose une jardinière surélevée, comportant des piliers présentant des rainures longitudinales dans lesquelles sont engagées des extrémités latérales de parois délimitant un bac potager destiné à recevoir du substrat pour la culture de végétaux, au moins certaines des parois comportant un retour en partie basse saillant au moins vers l'intérieur du bac potager. Selon l'invention, la jardinière comporte une cuve en matière étanche (plastique, métal, etc.) ayant des rebords venant s'appuyer sur les retours des parois du bac potager, et un fond formant un faux-plancher du bac potager séparant le substrat d'une réserve d'eau dans la cuve

La cuve ainsi placée sert de réserve d'eau, sans qu'il soit besoin d'étanchéifier le bac potager qui peut donc recevoir directement le substrat avec interposition éventuelle d'un géotextile mais sans interposition de membrane étanche. On profite des retours pour y poser les rebords de la cuve, de sorte que celle-ci est naturellement tenue sous le bac potager. Le fond fait alors office de faux-plancher séparant le substrat de l'eau. Il reste alors à organiser la remontée de l'eau de la cuve vers le substrat par tout moyen connu (capillarité, pompe, etc.).

PRESENTATION DES FIGURES L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui suit d'un mode de réalisation particulier non limitatif de l'invention en référence aux figures des dessins annexés, parmi lesquelles : - La figure 1 est une vue en perspective d'une jardinière surélevée selon l'invention ; - La figure 2 est une vue en perspective éclatée de la jardinière surélevée de la figure 1 ; - La figure 3 est une section de l'un des piliers de la jardinière surélevée de la figure 1 ; - La figure 4 est une vue en perspective d'un fond utilisable dans la jardinière surélevée de la figure 1, illustré ici retourné / - La figure 5 est une vue en coupe selon le plan P de la figure 1 passant par le centre de la jardinière surélevée, et illustrant un trop-plein pouvant équiper la cuve de la jardinière surélevée de la figure 1 ; - La figure 6 est une vue en coupe de deux jardinières surélevées selon l'invention partageant des piliers et une paroi coitimune, et dont les cuves sont reliées hydrauliquement ; - La figure 7 est une section d'un pilier selon une variante de réalisation de l'invention ; - La figure 8 est une autre vue en section du pilier de la figure 7 ; - La figure 9 est une vue en perspective éclatée d'un pilier selon la figure 7 recevant des profilés.

DESCRIPTION D'UN MODE PARTICULIER DE REALISATION DE

L'INVENTION

En référence aux figures 1 à 4, la jardinière surélevée illustrée comporte des piliers 1 en bois de section généralement octogonale, comportant quatre rainures longitudinales 2 opposées deux à deux, ici des rainures en T, descendant pratiquement jusqu'à l'extrémité inférieure des piliers. Chaque pilier 1 est ici équipé d'un pied 3 pour son appui au sol, et d'un chapeau 4 de protection et de finition esthétique.

La jardinière comporte un bac potager 10 à hauteur délimité par des parois 11, ici composées chacune de trois planchettes de bois lia, 11b, 11c, ayant des extrémités latérales tenonnées pour pouvoir pénétrer dans les rainures 2 des piliers 1. Selon un aspect pratique de l'invention, les planchettes sont découpées dans des lames de terrasse ou de parquet, avantageusement déjà rainurées et tenonnées sur leurs longs côtés. 11 est bien entendu possible de faire varier la profondeur du bac potager 10 en utilisant plus ou moins de planchettes pour constituer les parois 11.

Les planchettes lia inférieures sont arrêtées en hauteur dans les rainures 2 au moyen de baguettes 12, de longueur adéquate, insérées au préalable dans les rainures 2 pour servir de butée. Ici, chacune des baguettes 12 a une section courante en T propre à remplir la rainure dans laquelle elle est engagée. Les baguettes 12 pourront être teintées ou colorées pour réaliser un contraste de couleur avec le pilier, ce qui concourt à l'esthétique la jardinière. On peut également utiliser une baguette plus longue pour remplir entièrement une rainure ne recevant pas de parois, dans un but esthétique. On remarquera que le chapeau 4 permet de bloquer les parois 11 dans leurs rainures.

Un retour 13, ici sous la forme d'un tasseau, est vissé au bas de chaque planchette inférieure lia pour saillir ici des deux côtés de la paroi. Tout type de retour pourra bien sûr être utilisé, comme un tasseau ou des taquets vissés sur le côté de la planchette lia, ou encore un redan venu de matière.

Les retours 13 peuvent tout à fait recevoir un fond du bac 10, sous la forme par exemple de planchettes dont les extrémités prennent appui sur les retours, comme dans les jardinières connues.

Cependant, et conformément à l'invention, on rapporte ici sur les retours 13 une cuve en matière étanche, ici une bassine 14 en matière plastique, ayant des rebords 15 qui viennent prendre appui sur les retours 13. Le fait que les piliers 1 soient de section octogonale permet le passage des coins arrondis de la bassine 14 le long des pans chanfreinés obliques des piliers. Il est dès lors possible d'utiliser une bassine du commerce à coins arrondis.

On pose ensuite par-dessus la bassine 14 un fond 16, ici en matière plastique. Ici, les rebords 15 de la bassine 14 sont pris en sandwich entre les retours 13 et le fond 16. La bassine 14 sert de réserve d'eau pour la jardinière, tandis que le substrat s'étend par-dessus le fond 16 faisant office de faux-plancher qui sépare le substrat de l'eau. On remarquera que la bassine 14 ne porte que le poids de l'eau, le poids du substrat étant transféré par le fond 16 aux retours 13 sans peser sur la paroi de fond de la bassine 14.

Ici, le fond 16 comporte quatre ouvertures débouchant dans des bols 17 à paroi perforée qui saillent vers la réserve d'eau et qui sont destinés à recevoir un peu de substrat qui baigne en permanence dans l'eau de la réserve pour permettre le remontée de l'eau de la réserve par capillarité vers le substrat remplissant le bac potager 10. Ici, les bols 17 viennent en appui contre le fond de la bassine 14. Le fond 16 comporte en outre des obstacles 19 qui viennent en appui contre les parois latérales de la bassine 14 pour empêcher celles-ci de fléchir sous le poids de l'eau. On remarquera que les coins du fond 16 sont ici coupés pour pouvoir glisser le long des piliers octogonaux. Bien que cela ne soit pas représenté pour plus de clarté, on prévoira avantageusement un conduit de remplissage de la réserve d'eau qui s'étend par exemple le long d'un des piliers 1 dans le bac potager 10 pour déboucher dans la bassine 14 en traversant le fond 16.

Il convient d'éviter que la bassine 14 ne se remplisse à ras-bord (par exemple en cas de pluie, ou de remplissage mal maîtrisé) et que l'eau ne vienne baigner le fond du bac potager 10 en empêchant la constitution d'une lame d'air isolante 18 entre le substrat et l'eau. A cet effet, et comme cela est illustré à la figure 5, un trop-plein 20 est disposé au centre de la bassine 14 sous la forme ici d'un passe-coque ayant une base 21 et un corps creux 22 fileté qui est enfilé dans un orifice de la paroi de fond de la bassine 14. Un écrou 23 vissé sur le corps creux 22 et venant pincer la paroi de fond de la bassine 14 permet d'assurer l'étanchéité du fond de la bassine (avec interposition éventuelle de joints plats). Le corps creux 22 comporte un orifice 24 à une hauteur H inférieure à la hauteur de la bassine 14, permettant le déversement de l'eau surabondante par le corps creux et et la limitation de la hauteur d'eau dans la bassine à la hauteur de l'orifice 24, préservant ainsi la lame d'air 18 entre le substrat et l'eau.

Ici, le corps creux 22 est suffisamment haut pour passer par un perçage 25 du fond 16 et saillir par-dessus celui-ci pour recevoir un bouchon vissé 26 qui vient en appui contre la face supérieure du fond 16 (au prix éventuellement d'une légère déformation de la paroi de fond de la bassine 14) . Cette disposition permet de solidariser la paroi de fond de la bassine 14 au fond 16 et soutenir ladite paroi de fond pour éviter qu'elle ne fléchisse trop sous le poids de l'eau.

Comme illustré à la figure 6, l'utilisation de piliers à quatre rainures permet d'assembler plusieurs jardinières solidarisées entre elles par l'utilisation de piliers communs. Les bassines se glissent alors le long des parois obliques des piliers communs de part et d'autres de ceux-ci. Entre deux jardinières adjacentes, il est possible de relier les bassines 14 entre elles par un tuyau 30 pour assurer une continuité hydraulique entre les bassines et égaliser le niveau d'eau dans celles-ci.

On remarquera que les rainures 2 des piliers 1 ne sont pas débouchantes dans la partie inférieure des piliers et présentent donc une extrémité qui sert de butée aux baguettes et parois insérées dans les rainures. On pourra faire des rainures plus courtes, de longueur strictement limitée à la hauteur des parois du bac potager. Cependant, il est tout à fait possible d'usiner les rainures de sorte à ce qu'elles soient débouchantes aux deux extrémités du pilier, ce qui simplifie l'usinage des piliers. L'arrêt en hauteur des baguettes et des parois pourra alors être réalisé soit par fixation d'un taquet d'arrêt dans la rainure, ou encore par le pied rapporté sous le pilier. En outre, toute forme de rainure pourra être utilisée, en particulier toute forme permettant une liaison autobloquante propre à empêcher les tenons de sortir de la rainure dans laquelle ils sont engagés, par exemple en T comme illustré ici ou en queue d'aronde.

Selon une variante illustrée aux figures 7 et 8, le pilier 101 illustré comporte maintenant des rainures 102 à flancs parallèles avec deux gorges latérales 103 débouchant sur lesdits flancs. L'autoblocage est réalisé au moyen de profilés intermédiaires 40, par exemple en aluminium, enfilés dans les rainures 102, et dont la section a la forme générale d'un U à branches parallèles reliées par un fond, avec deux retours 41 aux extrémités des branches du U et deux ailes 42 saillant des branches du U vers l'extérieur. Les parois 111 comportent des extrémités latérales formant des tenons simplement délimités par deux gorges (par exemple de simples traits de scie) dans lesquelles s'engagent les retours 41. Ainsi, le profilé est bloqué par ses ailes 42 engagées dans les gorges 103 des rainures 102 du pilier, et la paroi est bloquée par les retours 41 du profilé engagés dans les gorges de la paroi. Comme illustré à la figure 8, les profilés 40 sont enfilés avec leurs fonds tournés vers l'intérieur du pilier dans les rainures 102 destinées à recevoir une paroi. Par contre, dans les rainures qui ne reçoivent pas de parois, les profilés sont retournés de sorte que leurs fonds soient tournés vers l'extérieur du pilier, bouchant ainsi visuellement la rainure pour améliorer l'esthétique du pilier.

Pour arrêter en hauteur une paroi, on peut utiliser une baguette que l'on enfile dans le profilé 40 avant la paroi et qui vient par exemple buter sur le pied.

Comme illustré à la figure 9, on peut également enfiler dans la rainure 102 concernée une première portion 40a de profilé avec le fond tourné vers l'extérieur qui vient buter sur le fond de la rainure, le pied du pilier ou encore un taquet dans la rainure. Le cas échéant, un patin 43 est posé sur l'extrémité supérieure de la première portion 40a qui servira d'arrêt en hauteur. Puis on enfile une deuxième portion 40b complémentaire de profilé avec le fond tourné vers l'intérieur, qui recevra la paroi . L'invention n'est pas limitée à ce qui vient d'être décrit, mais englobe au contraire toute variante entrant dans le cadre défini par les revendications. En particulier : - les parois sont ici composées de trois planchettes. On pourra utiliser plus ou moins de planchettes, ou prévoir une paroi en une seule planche de hauteur adéquate. On pourra également utiliser d'autres matériaux que le bois, par exemple des parois en tôle pliée, en matière plastique, etc. - les parois ont toutes une même longueur de sorte que la jardinière illustrée est carrée. On pourra bien entendu prévoir des jardinières rectangulaires ; - si l'une ou plusieurs des parois n'est utilisée que pour délimiter un seul bac potager, les retours associés pourront ne saillir que du côté de cette cuve, et pas de l'autre côté de la paroi comme illustré ici ; - pour un même bac potager, il est possible de ne prévoir de retours que sur deux parois en vis-à-vis, si la cuve est assez rigide pour tenir sur ces deux seuls retours ; - le fond pourra être intégré à la cuve, par exemple par collage, vissage ou soudure, l'ensemble étant alors rapporté en bloc sur les retours des parois ; - le fond pourra être réalisé en toute autre matière, par exemple en bois, sous la forme d'une série de planches prenant appui sur les rebords de la cuve / la remontée de l'eau peut être organisée par un autre moyen que les bols à paroi perforée illustrés ici. On pourra par exemple utiliser des mèches, ou encore un tapis d'absorption posé sur le fond dont les extrémités baignent dans l'eau de la réserve. On pourra également utiliser une pompe, par exemple alimentée par un petit panneau solaire / - on pourra exploiter l'espace sous la cuve, par exemple en y plaçant un réservoir recueillant l'eau surabondante se déversant par le trop-plein de la cuve, ou encore en disposant, entre les piliers, des parois sous les parois du bac potager de la jardinière pour délimiter un espace de rangement.

Claims (12)

1. REVENDICATIONS

   1. Jardinière surélevée, comportant des piliers (1 ; 101) présentant des rainures longitudinales dans lesquelles sont engagées des extrémités latérales de parois (2 ; 102 ) délimitant un bac potager (10) de la jardinière destiné à recevoir du substrat pour la culture de végétaux, au moins certaines des parois comportant un retour (13) en partie basse saillant au moins vers l'intérieur du bac potager, caractérisé en ce que la jardinière comporte une cuve (14) en matière étanche ayant des rebords (15) venant s'appuyer sur les retours des parois du bac potager, et un fond (16) formant un faux-plancher du bac potager séparant le substrat d'une réserve d'eau dans la cuve.
2. 2. Jardinière selon la revendication 1, dans laquelle le fond (16) vient en appui sur les rebords (15) de la cuve.
3. 3. Jardinière surélevée selon la revendication 1, dans laquelle la cuve est équipée d'un trop-plein permettant le déversement d'eau surabondante et préservant une lame d'air entre le substrat contenu dans le bac potager et l'eau contenue dans la cuve.
4. 4. Jardinière surélevée selon la revendication 3, dans laquelle le trop-plein comporte un corps creux (22) avec un orifice (24) de déversement de l'eau par le corps creux, le corps creux s'étendant pour solidariser une paroi de fond de la cuve au fond du bac potager.
5. 5. Jardinière surélevée selon la revendication 3, dans laquelle le trop-plein est un passe-coque (20) engagé dans un orifice d'une paroi de fond de la cuve, le passe-coque ayant un corps creux dans lequel un orifice (24) de déversement de l'eau par le corps creux a été ménagé .
6. 6. Jardinière surélevée selon la revendication 1, dans laquelle la cuve est équipée d'une liaison hydraulique (30) avec une cuve d'une jardinière adjacente partageant des piliers communs.
7. 7. Jardinière surélevée selon la revendication 1, dans laquelle les piliers (1 ; 101) comportent une paroi oblique au moins dans leur partie tournée vers l'intérieur du bac potager dégageant un passage pour un coin de la cuve.
8. 8. Jardinière surélevée selon la revendication 7, dans laquelle les piliers (1 ; 101) sont de section générale octogonale.
9. 9. Jardinière surélevée selon la revendication 1, dans laquelle les piliers comportent quatre rainures (2 ; 102) opposées deux à deux.
10. 10. Jardinière surélevée selon la revendication 1, dans laquelle les rainures (102) des piliers présentent des flancs parallèles avec deux gorges latérales (103) débouchant sur lesdits flancs, et dans lesquelles sont engagés des profilés (40) ayant une section de forme générale en U à branches parallèles reliées par un fond, avec deux retours (41) aux extrémités des branches du U et deux ailes (42) saillant des branches du ü vers l'extérieur destinées à être engagées dans les gorges latérales des rainures, les parois comportant des extrémités latérales avec des gorges destinées à recevoir les retours (41) des profilés.
11. 11. Jardinière surélevée selon la revendication 10, dans laquelle sont engagées dans une même rainure une première portion (43) de profilé (40) avec le fond tourné vers l'extérieur et une deuxième portion (44) complémentaire de profilé avec le fond tourné vers l'intérieur pour recevoir la paroi, avec ou sans interposition d'un patin posé sur une extrémité supérieure de la première portion.
12. 12. Jardinière surélevée selon la revendication 1, dans laquelle les parois (11) du bac potager sont composées de planchettes découpées dans des lames de terrasse ou de parquet.