FR3038962A1 - Systeme support modulaire comportant des treteaux et des moyens de liaison des treteaux entre eux - Google Patents

Abstract

L'invention concerne un système support (1) comportant au moins deux tréteaux (2), les tréteaux comprenant : - deux piètements (20) constitués chacun d'une base (201) et d'un montant (202) ; - une barre supérieure (21) reliant les montants et destinée à fournir un support ; - une barre intermédiaire (22) entre les piètements et la barre supérieure, et s'entendant entre les montants ; caractérisé en ce qu'il comporte au moins une pièce de liaison (3) solidaire d'un des tréteaux, destinée à établir une liaison mécanique entre un premier tréteau, dit tréteau porté, et un deuxième tréteau, dit tréteau portant, pour que le tréteau porté puisse être couplé dans une position tête-bêche par rapport au tréteau portant.

Description

Système support modulaire comportant des tréteaux et des moyens de liaison des tréteaux entre eux.

Le domaine de l’invention est celui de la conception et de la fabrication de mobiliers d’appoints. Plus précisément, l’invention concerne la conception d’un système support d’appoint mettant en oeuvre des tréteaux.

Dans le domaine des mobiliers d’appoint, on connaît les systèmes mettant en oeuvre des tréteaux.

Classiquement, un tréteau est constitué d’une barre horizontale supportée par des pieds. Les barres horizontales de deux tréteaux peuvent alors servir de support pour, par exemple, poser un plateau qui servira de table ou d’établi. Les tréteaux les plus simples sont réalisés en bois et forment une pièce unique.

Ce type de tréteau, généralement robuste, est simple et économique à concevoir et à fabriquer. Cependant, ces tréteaux ne permettent de pas de pouvoir changer la hauteur à laquelle se situe la barre horizontal et fournit par conséquent un support d’une hauteur figée.

Un problème réside ainsi dans le manque de modularité qu’offrent des systèmes support utilisant des tréteaux simples.

En réponse, l’art antérieur propose des systèmes support comprenant des tréteaux pourvus d’une barre dont la hauteur est réglable.

Par exemple, de tels tréteaux comportent un mécanisme à crémaillère reliant la barre horizontale aux pieds du tréteau. Grâce à ce mécanisme, l’utilisateur peut ainsi régler la hauteur atteinte par son système support.

Ces systèmes font ainsi preuve d’une modularité avantageuse. Cependant, cette modularité est possible au détriment des avantages qui pouvaient caractériser un tréteau simple.

En effet, un système support utilisant de tels tréteaux a pour inconvénients de présenter une conception et une fabrication plus complexe et plus coûteuse.

De plus, un tel système peut posséder une robustesse plus faible que celle présentée par les systèmes support utilisant des tréteaux simples.

Enfin, la modularité permise par ces tréteaux peut parfois être difficile à mettre en oeuvre. L’invention a notamment pour objectif de pallier ces inconvénients de l’art antérieur.

Plus précisément, l’invention a pour objectif de fournir un système support modulable et robuste. L’invention a également pour objectif de fournir un tel système support dont le changement de configuration est simple et aisé. L’invention a encore pour objectif de fournir un tel système dont les coûts de conception et de fabrication sont modérés.

Ces objectifs, ainsi que d’autres qui apparaîtront par la suite, sont atteints grâce à l’invention qui a pour objet un système support comportant au moins deux tréteaux, les tréteaux comprenant : - deux piètements constitués chacun d’une base et d’un montant ; - une barre supérieure reliant les montants et destinée à fournir un support ; - une barre intermédiaire entre les piètements et la barre supérieure, et s’entendant entre les montants ; caractérisé en ce qu’il comporte au moins une pièce de liaison solidaire d’un des tréteaux, destinée à établir une liaison mécanique entre : - la barre supérieure d’un premier tréteau, dit tréteau porté, et la barre intermédiaire d’un deuxième tréteau, dit tréteau portant ; - la barre intermédiaire du tréteau porté et la barre supérieure du tréteau portant ; pour que le tréteau porté puisse être couplé dans une position tête-bêche par rapport au tréteau portant.

En premier lieu, on note que l’invention comporte des éléments économiques, simples à concevoir et à fabriquer.

En effet, les tréteaux selon l’invention sont, pris isolément, des pièces uniques qui, comme le sont celles de l’art antérieur, sont robustes et économiques à produire.

De plus, la pièce de liaison est elle aussi, en elle-même, économique et simple à produire.

On comprend que pour chaque système de tréteaux, les hauteurs support accessibles sont : - celle s’étendant de la base à la barre supérieure d’un tréteau portant, ou - celle s’étendant de la base d’un tréteau portant à la base d’un tréteau porté, la position en hauteur du tréteau porté par rapport au tréteau portant étant ainsi dépendante de la ou les pièces de liaison.

Un utilisateur du système, s’il souhaite monter la hauteur support, doit donc coupler un tréteau sur un tréteau portant par l’intermédiaire d’au moins une pièce liaison, qui sera ainsi le tréteau porté, dans une position tête-bêche par rapport au tréteau portant, au moyen de la pièce de liaison. Ce système est ainsi aisé et simple à utiliser.

Selon une caractéristique avantageuse, la barre intermédiaire des tréteaux s’étend entre les montants selon une longueur Ll et en ce qu’une pièce de liaison possède une longueur LP avec Ll égal à LP.

La pièce de liaison ainsi conçue a pour avantage de limiter la capacité des tréteaux à glisser l’un par rapport à l’autre. En effet, la pièce de liaison solidaire des barres intermédiaires ou des barres supérieures des tréteaux portant et porté permet de caller les montants des piétements, ces derniers ne pouvant réaliser de translation le long de ces barres.

Selon un mode de réalisation particulier, le système support comprend au moins une pièce de liaison solidaire sur chaque tréteau : - au moins une première pièce de liaison étant destinée à établir une liaison mécanique entre la barre supérieure du tréteau porté et la barre intermédiaire du tréteau portant ; - au moins une seconde pièce de liaison étant destinée à établir une liaison mécanique entre la barre intermédiaire du tréteau porté et la barre supérieure du tréteau portant.

Ces pièces de liaison peuvent notamment être identiques. Ce type de pièces de liaison présente ainsi des avantages évidents tant au niveau du coût de la fabrication, qui peut être réalisée en série, qu’au niveau de leur utilisation.

Selon un mode de réalisation préférentiel, le système comprend deux pièces de liaison pour chaque tréteau, les pièces de liaison étant chacune située au voisinage d’une extrémité de la barre supérieure ou de la barre intermédiaire en contact avec un montant.

Les pièces de liaison ainsi conçues permettent de réaliser le couplage tête-bêche tout en limitant la capacité des tréteaux à glisser l’un par rapport à l’autre le long des barres supérieures et intermédiaires et en limitant les coûts de production. En effet, de telles pièces de liaison callent les montants et peuvent être réalisées de manière à limiter la quantité de matière utilisée pour les réaliser.

Avantageusement, les tréteaux sont constitués d’un châssis tubulaire carré.

Les tréteaux ainsi conçus sont particulièrement économiques à produire notamment par l’usage d’une technique de soudage. Cette caractéristique améliore aussi la liaison mécanique qu’une pièce de liaison peut avoir sur le tréteau.

Selon une caractéristique préférentielle, le châssis tubulaire carré a une section de dimensions identiques entre la barre supérieure et la barre intermédiaire. L’invention ainsi réalisée permet de diminuer encore les coûts de fabrication en limitant le nombre de pièces différentes. En effet, les barres supérieure et inférieure peuvent ainsi être réalisées à partir de la même barre d’origine en découpant des sections de longueurs différentes.

Selon un mode de réalisation préférentiel, la pièce de liaison présente un profil comprenant un plan médian, le plan médian comportant sur une extrémité un premier crochet orienté d’un côté du plan médian et sur l’autre extrémité un deuxième crochet orienté de l’autre côté du plan médian, le premier crochet et le deuxième crochet étant inversés en direction l’un par rapport à l’autre.

Une telle pièce de liaison constitue un moyen simple et économique de réalisation d’une liaison mécanique entre les barres de deux tréteaux. De plus, l’assemblage du système support s’en trouve particulièrement aisé à réaliser.

De manière complémentaire, en ayant des barres inférieures et supérieures présentant une section identique, les pièces de liaison solidarisées sur une des barres de manière réversibles. En effet, les crochets peuvent alors réaliser une liaison mécanique convenable avec l’une ou l’autre des barres.

Selon une solution préférentielle, le premier crochet et/ou le deuxième crochet prennent la forme d’un rail le long de la pièce de liaison.

Les pièces de liaison peuvent alors être réalisées à partir d’une découpe en série de tronçons d’une longueur prédéterminée d’une pièce présentant le profil désiré.

Préférentiellement, un des crochets a une forme complémentaire de la barre supérieure des tréteaux, l’autre crochet ayant une forme complémentaire de la barre intermédiaire des tréteaux.

Les crochets possèdent ainsi une forme leur permettant d’être emboîtés et solidarisés sur les barres des tréteaux et de réaliser des liaisons mécaniques limitant les degrés de liberté de la pièce de liaison par rapport à la ou les barres sur lesquelles la pièce de liaison est emboîtée et solidarisée. Une telle pièce de liaison offre aussi une solution sûre de liaison mécanique, une pièce de liaison étant alors solidarisée sur un tréteau (par exemple en étant soudée dessus) et emboîtée dessus.

Selon une autre solution préférentielle, la pièce de liaison prend la forme d’une équerre solidaire d’une première face basse de la barre supérieure ou d’une deuxième face basse de la barre intermédiaire, la pièce de liaison présentant un profil comprenant un pan de solidarisation, le plan de solidarisation comportant sur une extrémité un repli orienté d’un côté du plan de solidarisation et sur l’autre extrémité des moyens de solidarisation de la pièce de liaison sur le tréteau de manière à ce que le côté du plan de solidarisation comportant le repli soit en contact avec la face basse.

La pièce de liaison forme ainsi un crochet dans laquelle la barre intermédiaire ou la barre supérieure d’un tréteau positionné tête-bêche vient s’emboîter. D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront plus clairement à la lecture de la description suivante de modes de réalisation préférentiels de l’invention, donnés à titre d’exemples illustratifs et non limitatifs, et des dessins annexés parmi lesquels : - la figure 1 est une représentation schématique d’un premier mode de réalisation d’un système support selon l’invention ; - la figure 2 est une représentation schématique du profil d’une pièce de liaison selon l’invention ; - la figure 3 est une représentation schématique d’une pièce de liaison selon l’invention vue en perspective ; - la figure 4 est une représentation schématique d’un deuxième mode de réalisation d’un système support selon l’invention. - la figure 5 est une représentation schématique d’un tréteau selon un troisième mode de réalisation d’un système support selon l’invention.

Tel qu’illustré par la figure 1, un système support 1 selon l’invention comporte au moins deux tréteaux 2 et au moins une pièce de liaison 3 solidaire d’un des tréteaux.

Selon des solutions envisageables, la pièce de liaison peut être solidarisée par l’intermédiaire de soudures, de boulons ou encore de rivets

Les tréteaux comprennent : - deux piètements 20 constitués chacun d’une base 201 et d’un montant 202 ; - une barre supérieure 21 reliant les montants ; - une barre intermédiaire 22 entre les piètements et la barre supérieure, et s’étendant entre les montants.

Dans une position classique d’utilisation, la barre supérieure d’un tréteau est destinée à constituer un support.

La pièce de liaison 3 est destinée à établir une liaison mécanique entre les tréteaux pour qu’un premier tréteau, dit tréteau porté, soit couplé dans une position tête-bêche par rapport à un deuxième tréteau, dit tréteau portant.

La liaison mécanique est établie entre : - la barre supérieure du tréteau porté et la barre intermédiaire du tréteau portant ; - la barre intermédiaire du tréteau porté et la barre supérieure du tréteau portant.

Selon un mode de réalisation particulier, la barre intermédiaire des tréteaux s’étend entre les montants selon une longueur Ll et une pièce de liaison possède une longueur LP avec Ll égal à LP.

Cette pièce de liaison reliant les barres supérieures et inférieures des tréteaux permet d’éviter toute translation latérale des tréteaux entre eux. En effet, la pièce de liaison s’étendant entre les montants des piètements selon Ll égal à LP permet d’exercer des retenues allant à l’encontre d’une translation de type latéral (translations selon l’axe longitudinal de la pièce de liaison).

Selon le mode de réalisation illustré par la figure 1, le système support 1 comprend deux pièces de liaison 3. La première pièce de liaison est solidaire de la barre supérieure du tréteau porté. Cette première pièce de liaison est destinée à établir une liaison mécanique entre la barre supérieure du tréteau porté et la barre intermédiaire du tréteau portant. Quant à elle, la seconde pièce de liaison est solidaire de la barre supérieure du tréteau portant. Cette seconde pièce de liaison est destinée à établir une liaison mécanique entre la barre intermédiaire du tréteau porté et la barre supérieure du tréteau portant.

Suivant ce mode de réalisation, la première pièce de liaison et la seconde pièce de liaison ont une forme identique.

En référence aux figures 1 et 4, les tréteaux sont constitués d’un châssis tubulaire carré. Ces châssis tubulaires ont une section de dimensions identiques entre la barre supérieure et la barre intermédiaire.

Selon les figures 1 à 4, la pièce de liaison 3 présente un profil comprenant un plan médian 30 qui comporte sur une extrémité un premier crochet 31 orienté d’un côté du plan médian et sur l’autre extrémité un deuxième crochet 32 orienté de l’autre côté du plan médian, le premier crochet et le deuxième crochet étant inversés en direction l’un par rapport à l’autre. En particulier, un des crochets a une forme complémentaire de la barre supérieure des tréteaux et l’autre crochet a une forme complémentaire de la barre intermédiaire des tréteaux.

Les crochets de la pièce de liaison viennent donc se coupler aux barres des tréteaux en chevauchant les barres des tréteaux portant et en recevant et/ou supportant les barres des tréteaux portés. Tel que représenté sur la figure 3, on comprend que la pièce de liaison peut être réversible. Ainsi, une fois une pièce de liaison est positionnée en chevauchement sur une des barres, elle est solidarisée sur cette barre par l’intermédiaire d’une technique de solidarisation (par exemple par soudure) ou par l’intermédiaire de moyens de solidarisation de type boulon/écrou.

Selon le mode de réalisation illustré, le premier crochet et le deuxième crochet prennent respectivement la forme d’un rail 33 le long de la pièce de liaison.

La figure 4 représente un autre mode de réalisation de l’invention. On retrouve un système support 1 comportant deux tréteaux 2 portants, un tréteau 2 porté et trois pièces de liaison 3. Les deux tréteaux portants sont alignés et juxtaposés de manière à ce que leurs barres supérieures 21 ne forment qu’une seule barre. Une première grande pièce de liaison est solidaire de la barre intermédiaire 22 du tréteau porté. Deux petites pièces de liaison sont solidaires des barres intermédiaires 22 des tréteaux portants, respectivement sur l’extrémité de la barre intermédiaire qui est du côté de l’autre tréteau portant. Le tréteau portant est ainsi positionné tête-bêche par rapport aux deux tréteaux portant en venant s’emboîter dans les deux pièces de liaison présentés par les tréteaux portants et sa première grande pièce de liaison venant chevaucher une section des deux barres supérieures des tréteaux portants.

Tel qu’illustré par la figure 5, dans un mode de réalisation préférentiel, la pièce de liaison 3 prend une forme d’équerre. Cette pièce de liaison présente un profil comprenant un plan de solidarisation 33 à partir duquel s’étend un repli 330 permettant de former un crochet.

Plus précisément, le plan de solidarisation comporte sur une extrémité le repli 330 qui est orienté d’un côté du plan de solidarisation 33. Sur ce même côté du plan de solidarisation, à l’autre extrémité, le plan de solidarisation comporte des moyens de solidarisation de la pièce de liaison sur le tréteau pour que ce côté du plan de solidarisation soit en contact avec le tréteau.

Tel qu’on peut l’observer, la barre supérieure 21 présente une face basse 210 et la barre intermédiaire 22 présente une deuxième face. La pièce de liaison vient ainsi se solidariser sur une de ces faces.

En effet, les moyens de solidarisation peuvent prendre la forme de boulons 301 qui traversent des trous 302 présenté par le plan de solidarisation 30 de la pièce de liaison et qui viennent se visser dans des trous complémentaires 300 débouchant sur la face basse 210 et sur la deuxième face basse.

Selon ce mode de réalisation le système comprend deux pièces de liaison 3 pour chaque tréteau. Les pièces de liaison 3 sont chacune située au voisinage d’une extrémité de la barre supérieure 21 ou de la barre intermédiaire 22 en contact avec un montant 202.

On comprend que les piètements du tréteau porté forment un support sur lequel on peut par exemple positionner un plateau. Plus précisément, le système selon l’invention convertit les bases 201 du tréteau porté en éléments supports.

On comprend aussi qu’un tel système permet avantageusement et par exemple de disposer de plusieurs hauteurs support dont une première égale à la hauteur d’une table à manger et une seconde égale à la hauteur d’une table haute ou d’un bar.

Claims (10)

1. REVENDICATIONS

   1. Système support (1) comportant au moins deux tréteaux (2), les tréteaux comprenant : - deux piètements (20) constitués chacun d’une base (201) et d’un montant (202) ; - une barre supérieure (21) reliant les montants et destinée à fournir un support ; - une barre intermédiaire (22) entre les piètements et la barre supérieure, et s’entendant entre les montants ; caractérisé en ce qu’il comporte au moins une pièce de liaison (3) solidaire d’un des tréteaux, destinée à établir une liaison mécanique entre : - la barre supérieure d’un premier tréteau, dit tréteau porté, et la barre intermédiaire d’un deuxième tréteau, dit tréteau portant ; - la barre intermédiaire du tréteau porté et la barre supérieure du tréteau portant ; pour que le tréteau porté puisse être couplé dans une position tête-bêche par rapport au tréteau portant.
2. 2. Système support selon la revendication 1, caractérisé en ce que la barre intermédiaire (22) des tréteaux (2) s’étend entre les montants selon une longueur Ll et en ce qu’une pièce de liaison (3) possède une longueur LP avec Ll égal à LP.
3. 3. Système support selon la revendication 1, caractérisé en ce qu’il comprend au moins une pièce de liaison (3) solidaire sur chaque tréteau : - au moins une première pièce de liaison étant destinée à établir une liaison mécanique entre la barre supérieure du tréteau porté et la barre intermédiaire du tréteau portant ; - au moins une seconde pièce de liaison étant destinée à établir une liaison mécanique entre la barre intermédiaire du tréteau porté et la barre supérieure du tréteau portant.
4. 4. Système support selon la revendication 3, caractérisé en ce qu’il comprend deux pièces de liaison (3) pour chaque tréteau, les pièces de liaison étant chacune située au voisinage d’une extrémité de la barre supérieure (21) ou de la barre intermédiaire (22) en contact avec un montant (202).
5. 5. Système support selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les tréteaux (2) sont constitués d’un châssis tubulaire carré.
6. 6. Système support selon la revendication 5, caractérisé en ce que le châssis tubulaire carré a une section de dimensions identiques entre la barre supérieure (21) et la barre intermédiaire (22).
7. 7. Système support selon l’une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la pièce de liaison (3) présente un profil comprenant un plan médian (30), le plan médian comportant sur une extrémité un premier crochet (31) orienté d’un côté du plan médian et sur l’autre extrémité un deuxième crochet (32) orienté de l’autre côté du plan médian, le premier crochet et le deuxième crochet étant inversés en direction l’un par rapport à l’autre.
8. 8. Système support selon la revendication 7, caractérisé en ce que le premier crochet (31) et/ou le deuxième crochet (32) prennent la forme d’un rail le long de la pièce de liaison (3).
9. 9. Système support selon l’une quelconque des revendications 7 ou 8, caractérisé en ce qu’un des crochets a une forme complémentaire de la barre supérieure (21) des tréteaux (2), l’autre crochet ayant une forme complémentaire de la barre intermédiaire (22) des tréteaux.
10. 10. Système support selon l’une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que la pièce de liaison (3) prend la forme d’une équerre solidaire d’une première face basse (210) de la barre supérieure (21) ou d’une deuxième face basse de la barre intermédiaire (22), la pièce de liaison présentant un profil comprenant un plan de solidarisation (33), le plan de solidarisation comportant sur une extrémité un repli (330) orienté d’un côté du plan de solidarisation et sur l’autre extrémité des moyens de solidarisation de la pièce de liaison sur le tréteau de manière à ce que le côté du plan de solidarisation comportant le repli soit en contact avec la face basse.