FR3013396A1 - Lanceur de demarreur de moteur thermique a couronne dentee de demarrage et demarreur comportant un tel lanceur - Google Patents

Abstract

Le lanceur (1) de démarreur (4) de moteur thermique à couronne de démarrage, du type comportant un pignon (11) destiné à engrener avec la couronne de démarrage (C), un entraîneur (118) destiné à être déplacé par un levier de commande(20) appartenant au démarreur (4), un boîtier (112, 113, 230) solidaire en rotation du pignon (11) et servant de logement à au moins un élément de friction (301), tel qu'un disque de friction, apte à être serré axialement entre un plateau de réaction (112) appartenant au boîtier (112, 113, 230) et un plateau de pression (120) appartenant à l'entraîneur (118), caractérisé en ce qu'il comporte une butée (350, 350A)) solidaire du plateau de réaction pour limiter les déplacement de l'entraîneur et en ce que des moyens élastiques (340) à action axiale et à courbe caractéristique linéaire interviennent entre les plateaux de pression et de réaction pour serre l'élément de friction. Le démarreur de moteur thermique est caractérisé en ce qu'il comporte un tel contacteur.

Description

« Lanceur de démarreur de moteur thermique à couronne dentée de démarrage et démarreur comportant un tel lanceur» Domaine de l'invention La présente invention concerne un lanceur de démarreur de moteur thermique à couronne dentée de démarrage. La présente invention concerne également un démarreur de moteur thermique, notamment de 10 véhicule automobile, comportant un tel lanceur. Etat de la technique Tel que décrit par exemple dans les documents FR 2 820 170, FR 2 787 833 et WO 15 2013/014385, un démarreur conventionnel de moteur thermique à couronne de démarrage, notamment pour un véhicule automobile, comporte un carter, qui porte, un contacteur électromagnétique comprenant un noyau mobile, un noyau fixe, un équipage mobile, une cuve servant de logement à au moins une bobine d'appel supportée par un bobineau, un capot solidaire de la cuve, par exemple par sertissage, et des bornes électriques de contact. 20 Le carter comporte un nez, une culasse de support du moteur électrique et un palier arrière. de fermeture de la culasse. La cuve, le capot, le noyau mobile, le noyau fixe, le bobineau sont de forme creuse. 25 Ce démarreur comporte, comme visible dans les figures 1 des documents FR 2 820 170 et WO 2013/014385, à l'arrière un moteur électrique et à l'avant un arbre de sortie sur le tronçon avant duquel est monté à coulissement un lanceur configuré pour engrener avec la couronne du moteur thermique à démarrer. Cette couronne est dentée. 30 Le lanceur comporte à l'avant un pignon à dentures, par exemple droites, pour engrener avec la couronne dentée de démarrage complémentaire, qui pourra être liée en rotation de manière rigide ou élastique au vilebrequin du moteur thermique à démarrer. Le lanceur comporte à l'arrière un entraineur comprenant, comme visible dans les figures 2 des documents FR 2 820 170 et WO 2013/014385, une douille présentant à sa périphérie interne des cannelures hélicoïdales pour venir en prise avec des cannelures complémentaires, que présente l'arbre de sortie localement à sa périphérie externe. Du fait de la présence des cannelures complémentaires le lanceur peut se déplacer axialement, sous l'action d'au moins un levier d'actionnement, le long de l'arbre de sortie en étant animé d'un mouvement de translation et de rotation. Il est mobile entre une position reculée de repos et une position avancée de travail dans laquelle il engrène avec la couronne dentée de démarrage. Le déplacement du lanceur est limité par une butée, que présente le tronçon avant de l'arbre de sortie du démarreur.

Une roue libre est intercalée entre l'entraîneur et le pignon. Cette roue libre est débrayable et fonctionne comme une roue libre de vélo. Dans les documents FR 2 820 170 et FR 2 787 833 la roue libre est une roue libre à galets. Dans le document WO 2013/014385 la roue libre comporte un embrayage à friction. Ainsi lorsque l'arbre de sortie du démarreur tourne plus vite que la couronne dentée de démarrage, la roue libre est bloquée. Par contre lorsque cette couronne dentée tourne plus vite que l'arbre de sortie la roue libre se débloque au-delà d'un nombre de tours par minute pour protéger les constituants du démarreur, notamment le moteur électrique de celui-ci. Le moteur électrique est logé dans la culasse du carter et présente au moins deux balais 20 portés par une porte balais et admis chacun à frotter, sous l'action d'un ressort, sur un collecteur visible par exemple à la figure 1 du document WO 2013/014385. Dans la figure 1 de ce document WO 2013/014385 on voit que le moteur électrique comporte un arbre de sortie portant un rotor induit bobiné solidaire du collecteur et entouré 25 par un stator inducteur. Le stator pourra comporter une pluralité d'aimants permanents portés par la périphérie interne de la culasse du moteur électrique. En variante le stator est bobiné. Cette culasse est électriquement conductrice. Il en est de même du nez et du palier arrière. Le nez est par exemple une pièce moulée à base d'aluminium et est destiné à être fixé par des vis sur le bloc moteur du véhicule automobile. Le carter en trois parties est ainsi 30 électriquement lié à la masse du véhicule. Le nez sert de logement au lanceur et au levier d'actionnement du lanceur, par exemple en matière plastique pour réduire les bruits. Ce nez est entaillé pour la pénétration de la couronne dentée de démarrage à l'intérieur du nez. La culasse est une partie intermédiaire intercalée entre le nez et le palier arrière configurés chacun pour porter un palier de montage à rotation respectivement de l'arbre de sortie du démarreur et de l'extrémité arrière de l'arbre de sortie du moteur électrique. A titre d'exemple on voit que dans les documents précités le nez ou palier ou palier avant du carter porte un roulement à aiguille pour montage à rotation du tronçon avant de l'arbre de sortie du démarreur. Le palier de montage à rotation de l'extrémité arrière de l'arbre de du moteur électrique consiste par exemple en un coussinet. Le collecteur présente un corps en matière électriquement isolante solidaire de l'arbre de sortie du moteur électrique, qui est localement moleté pour son emmanchement à force dans un paquet de tôles que présente le corps du rotor. De manière connue ce corps présente à sa périphérie externe des encoches pour le montage par exemple de segments conducteurs sous la forme d'épingles en cuivre globalement en forme de U et recouvertes d'une couche d'émail électriquement isolante. Les extrémités libres des épingles sont reliées électriquement au collecteur présentant des lamelles électriquement conductrices pour le frottement des balais. Les arbres de sortie du démarreur et du moteur électrique sont alignés axialement, les balais sont d'orientation axiale et le collecteur d'orientation transversale par rapport à l'axe de symétrie des arbres de sortie De manière connue, en variante les balais sont d'orientation radiale et le collecteur d'orientation axiale par rapport à l'axe de symétrie des arbres de sortie. Le nombre de balais pourra être de manière connue supérieur à 2 pour réduction des usures. Par exemple quatre balais pourront être prévus. En variante, dans des conditions sévères d'utilisation on peut renforcer le démarreur et prévoir six ou huit balais notamment lorsque le démarreur doit effectuer lors de sa durée de vie un grand nombre d'arrêts et de démarrage, en particulier lorsque l'on arrête le moteur thermique au feu rouge ou dans les embouteillages pour le redémarrer ensuite afin d'économiser du carburant, cette fonction marche-arrêt étant appelée Stop-Start en Anglais.

Les arbres de sortie du démarreur et du moteur électrique pourront être confondus. Dans les figures 1 des documents précités un réducteur de vitesse, sous la forme d'un train épicycloïdal, est intercalé entre l'extrémité avant de l'arbre du moteur électrique et l'extrémité arrière de l'arbre de sortie du démarreur. Comme décrit dans le document FR 2 725 758 l'extrémité avant de l'arbre de sortie du moteur électrique présente un pignon solaire qui engrène avec des satellites portés par un porte-satellites solidaire de l'extrémité arrière de l'arbre de sortie du démarreur. Ces satellites engrènent avec une denture interne portée par une couronne fixe, par exemple en matière plastique, solidaire par surmoulage d'une plaque de base métallique intercalée entre le nez du carter et une collerette constituant l'extrémité avant de la deuxième partie du démarreur. Des vis servent à l'assemblage du nez avec la plaque de base et une collerette de la culasse du carter. Le contacteur électromagnétique des documents précités s'étend parallèlement au- dessus du moteur électrique. La plaque de base est intercalée entre l'extrémité avant de la cuve du contacteur et l'extrémité arrière du nez. Des vis servent à l'assemblage du nez avec la plaque de base et la cuve. La cuve et la plaque de base pourront être électriquement conductrices. Le contacteur présente un axe de symétrie axial qui s'étend parallèlement à l'axe de symétrie axial des arbres de sortie du démarreur et du moteur électrique.

La plaque de base porte une saillie d'articulation pour la rotation de la partie intermédiaire d'au moins un levier d'actionnement du lanceur. Pour ce faire la saillie présente un trou oblong (non référencé) pour le passage d'un pivot d'articulation solidaire du levier avantageusement en matière plastique pour réduire les bruits. La saillie est solidaire par surmoulage de la plaque de base comme décrit dans le document FR 2 725 758 précité.

La cuve constitue un boîtier dont le fond avant présente une ouverture centrale de guidage du noyau mobile pénétrant dans la cuve fermée à l'arrière par le capot présentant à l'arrière un fond portant les bornes d'alimentation du moteur électrique. L'une des bornes est destinée à être reliée électriquement à la borne positive de la batterie du véhicule automobile via un interrupteur de contact actionnable par exemple par la clé de contact, tandis que l'autre borne est destinée à être reliée électriquement par un câble au moteur électrique. L'équipage mobile comporte une tige de commande épaulée, par exemple en matière électriquement isolante telle que de la matière plastique, et un contact mobile électriquement conducteur, qui consiste ici en une plaque en cuivre de section globalement rectangulaire à ouverture centrale de passage de la tige pour son montage à coulissement sur celle-ci. En variante la tige est métallique et un manchon électriquement isolant est intercalé radialement entre l'ouverture centrale du contact mobile et la périphérie externe de la tige 83.

Le contact mobile est mobile entre une position avancée de repos, dans laquelle il est en appui contre le noyau fixe, et une position reculée de travail dans laquelle il est en contact avec les bornes pour alimentation électrique du moteur électrique.

Le noyau mobile sert de logement à un ressort et à l'extrémité arrière d'une tige. Ce noyau présente à l'avant un fond troué centralement pour le passage de la tige, dont l'extrémité arrière présente un épaulement pour l'extrémité arrière du ressort, appelé ressort dent contre dent, monté autour de la tige. Ce ressort est en appui par son extrémité avant sur le fond du noyau fermé à l'arrière par une rondelle constituant un épaulement pour l'extrémité arrière de la tige. Ce ressort dent contre dent autorise un mouvement du noyau mobile lorsque le pignon vient en butée contre la couronne dentée de démarrage avant de pénétrer dans celle-ci. Un ressort de rappel est intercalé axialement entre le fond de la cuve et une collerette solidaire de l'extrémité avant du noyau mobile.

Le noyau fixe est monté à l'intérieur de la cuve. Il présente centralement un moyeu et à sa périphérie externe un anneau transversal immobilisé axialement entre un épaulement de l'extrémité arrière de la cuve et l'extrémité avant du capot présentant deux doigts pénétrant chacun dans une ouverture associée de l'anneau du contact fixe pour blocage en rotation du contact fixe . Ce contact fixe est configuré pour porter, par l'intermédiaire de son moyeu, une extrémité du bobineau emmanché à l'arrière sur une portée d'orientation axiale du noyau fixe. La cuve est d'épaisseur réduite à son extrémité arrière libre pour rabattement de matière au niveau d'une protubérance annulaire de l'extrémité avant du capot et blocage axial du capot et du noyau fixe, dont l'extrémité arrière est décalée vers l'avant par rapport à son anneau du noyau pour formation d'un cavité de logement d'un épaulement appartenant à la tige traversant par son extrémité avant le moyeu servant de guidage à cette tige. Un ressort appelé ressort de pression de contact, est monté sur la tige en étant intercalé axialement entre l'épaulement de la tige et le contact mobile. Ce contact mobile est lui-même intercalé axialement entre le ressort de pression de contact et une butée solidaire de l'extrémité arrière de la tige. Cette butée sert également d'appui à l'extrémité avant d'un ressort de rappel enfilé sur l'extrémité arrière de la tige. Ce ressort de rappel, appelé également ressort de coupure, prend appui sur le fond du capot présentant pour ce faire une creusure de logement de l'extrémité arrière du ressort de rappel, de plus faible raideur que le ressort de pression de contact. Ainsi le contact mobile est monté avec possibilité de coulissement sur l'extrémité arrière de la tige et pénètre dans une chambre réalisée dans le capot. Cette chambre pourra présenter une section globalement rectangulaire pour coopération de formes avec le contact mobile et blocage en rotation de celui-ci. L'extrémité avant de la tige est destinée à coopérer avec le noyau mobile après rattrapage d'un jeu. Ce noyau mobile pénètre dans la cuve et dans le bobineau présentant pour ce faire un alésage central. Les noyaux et la cuve sont en matière ferromagnétique, tandis que le bobineau et le capot sont en matière électriquement isolante, telle que de la matière plastique. 10 Les ressorts précités pourront être des ressorts hélicoïdaux. Le noyau mobile est configuré pour constituer un actionneur pour le lanceur et la tige de commande. Ainsi le noyau mobile est relié au lanceur par des moyens mécaniques comprenant au moins le levier d'actionnement du lanceur attelé à son extrémité supérieure à 15 la tige de commande dont l'extrémité avant porte une goupille transversale, qui est reçue dans une rainure formée à l'extrémité supérieure de ce levier. Cette tige pénètre dans le noyau mobile avec intervention du ressort dent contre dent entre la tige et ce noyau. L'extrémité inférieure du levier est en forme de fourche enjambant l'entraîneur du lanceur. Cette fourche est profilée pour coopérer avec une portée transversale de commande de 20 l'entraîneur. La fourche est retenue à l'arrière par une rondelle non référencée et est profilée pour coopérer avec la portée. Le levier présente un point d'articulation intermédiaire formé à la faveur de la saillie d'articulation de la plaque de base. Le bobinage d'appel, configuré pour former un solénoïde, génère suite par exemple un 25 actionnement de la clé de contact, un champ magnétique lorsqu'il est parcouru par un courant électrique afin de déplacer le noyau mobile en direction du noyau fixe Le déplacement de ce noyau mobile entraîne un pivotement du levier et donc un actionnement du lanceur qui se déplace donc de sa position reculée de repos vers sa position avancée de travail dans laquelle il engrène avec la couronne dentée de démarrage. Le déplacement est 30 limité par la butée portée par l'arbre de sortie du démarreur. Dans le cas où le pignon ne pénètre pas dans la couronne de démarrage, le noyau mobile poursuit son mouvement avec compression du ressort dent contre dent. Après rattrapage d'un jeu le noyau mobile vient en contact avec l'extrémité avant de la tige pour actionner et déplacer le contact mobile en direction des bornes d'alimentation électrique en comprimant le ressort de coupure, sachant que le ressort de pression de contact est plus raide que ce ressort de coupure. Dès que le contact mobile vient en appui sur les bornes de contact électriques, le moteur électrique est alimenté électriquement et fait tourner l'arbre de sortie du démarreur avec dans tous les cas pénétration du pignon dans la couronne dentée de démarrage. Le mouvement du noyau mobile se poursuit avec compression du ressort de pression de contact et déplacement de la tige par rapport au contact mobile, jusqu'à ce que l'extrémité arrière du noyau mobile vienne en contact avec l'extrémité avant, également chanfreinée, du moyeu du noyau fixe.

Dans un mode de réalisation le bobinage d'appel est, de manière connue, associé à un bobinage de maintien implanté parallèlement au bobinage d'appel et au-dessus de celui-ci. Ce bobinage de maintien génère un champ magnétique plus faible que le bobinage d'appel Au début du mouvement du noyau mobile les deux bobinages sont alimentée électriquement, le bobinage d'appel étant mis en court-circuit dès que le contact mobile vient, en contact avec les bornes pour réduire le courant électrique fournie par la batterie. En variante le bobinage d'appel réalise les deux fonctions d'appel et de maintien comme décrit dans le document FR 2 795 884. Dès que la clé de contact est relâchée, les bobinages ne sont plus alimentés et les différents 20 ressorts se détendent, ainsi qu'éventuellement le ressort dent contre dent, pour ramener le noyau mobile, l'équipage mobile et le lanceur vers leur position de repos. L'arrête du moteur thermique n'est pas instantané comme visible à la courbe de la figure 1 avec en ordonnée le nombre de tours par minute(t//mn) du moteur thermique et en abscisse 25 le temps. Les valeurs représentées en ordonnée sont données à titre non limitatif et dépendent des applications, 800 t/mn étant la valeur du moteur thermique au régime de ralenti pour une application. Les phénomènes sont très rapides, les temps étant globalement de l'ordre de 1 seconde. Plus précisément en se reportant à la figure 2, identique à la figure 1, on voit qu'il y a deux 30 fenêtres W1 et W2. Dans la fenêtre W1 le nombre de tours par minute du moteur thermique est positif, tandis qu'il est positif et négatif dans la fenêtre W2, le moteur thermique, de manière connue et décrit par exemple dans le document FR 2 631 094 auquel on se reportera, pouvant tourner en sens inverse avec des phénomènes de balancement inconfortables.

En pratique il faut attendre l'arrêt complet du moteur thermique pour redémarrer celui-ci. Cela est pénalisant notamment lorsque le véhicule automobile est doté d'une fonction marche-arrêt précitée pour économiser le carburant. Pour pallier cet inconvénient on a proposé dans le document WO 2013/014385 précitée de doter la roue libre d'un embrayage à friction comme visible dans la figure 3, qui est une vue en coupe du lanceur identique à la figure 4 du document WO 2013/014385. Dans cette figure 3, ainsi que dans la suite de la description, les orientations axiale, radiale et transversale seront faite en référence à l'axe de symétrie axial que présente l'arbre de sortie 24 du démarreur sachant que cet arbre traverse le lanceur 1. Ce lanceur 1 comporte à l'avant un pignon 11 et à l'arrière un entraîneur 118 comprenant à l'arrière une douille 119 d'orientation axiale dotée intérieurement de cannelures hélicoïdales 29 configurées pour venir en prise avec des rainures hélicoïdales 28 que comporte l'arbre 24 de sortie du démarreur à sa périphérie externe. La douille 119 d'entraînement est prolongée par un plateau 120 d'orientation transversale. Ce plateau 120 constitue le plateau de l'embrayage à friction 300 comportant au moins un élément de friction 301, tel qu'un disque de friction. Le plateau 120 est prolongé à l'avant par un tronçon 121 d'orientation axiale constituant l'extrémité avant de l'entraîneur 118. Ce tronçon 121 est doté de rainures 122. Le disque de friction 301 présente à sa périphérie interne des pattes pénétrant de manière complémentaire dans les rainures 122 pour liaison par coopération de formes de sorte que le disque de friction 301 est lié en rotation avec l'entraîneur et peut se déplacer axialement par rapport à l'entraîneur 118. Le plateau de pression est de forme annulaire. L'embrayage 300 comporte un plateau de réaction 112 de forme annulaire solidaire en rotation du pignon 11 porté par un manchon 111 traversé par l'arbre 24 avec intervention d'un coussinet 124 entre la périphérie externe de l'arbre 24 et la périphérie interne du manchon 11 d'orientation axiale. L'extrémité arrière du manchon 111 est solidaire du plateau de réaction 112 d'orientation transversale. Ce plateau de réaction 112 appartient à un boîtier 112, 113, 114 de forme annulaire comprenant une jupe 113 d'orientation axiale dirigée vers le plateau de pression 120 et reliée à la périphérie externe du plateau de réaction 112. Cette jupe présente à sa périphérie interne des rainures 322. Le boîtier emporte également un anneau 114 d'orientation transversale dirigé vers l'intérieur et en contact avec la face arrière de la jupe 113. Un capot 230 assemble l'anneau à la jupe 113. Le tronçon 121 et le plateau de réaction 120 pénètrent dans la cavité délimitée par le boîtier 112, 113, 114. Un ressort de rappel 400 agit entre la face arrière du plateau de réaction 112 et la face avant du tronçon avant de l'entraîneur 118. Une pièce 123 en forme de U est montée sur la douille 119 de l'entraîneur. 118. Cette pièce est dédiée à la réception d'une pièce de fermeture de l'embrayage 300. Cette pièce est visible par exemple dans les figures 7 et 16 du document WO 2013/014385 auquel on se reportera. Cette pièce est associée au levier d'actionnement du lanceur. Dont le mouvement est commandé par le noyau mobile du contacteur. Dans la position reculée de repos du lanceur un jeu J est présent dans l'embrayage à friction. Le levier d'actionnement, appelé également levier de commande, est configuré pour permettre dans un premier temps de déplacer axialement le boîtier 112, 113, 114 le long de l'axe X vers la position d'engrènement du pignon avec la couronne de démarrage du moteur thermique. La pièce de fermeture de l'embrayage est configurée pour déplacer axialement dans un deuxième temps l'entraîneur 118 en direction du plateau de réaction 112 afin de serrer l'élément de friction 301 entre les plateaux 112 et 120. Le ressort 400 rappel l'entraîneur 118 vers sa position de rappel pour autoriser un dévissage rapide de celui-ci.

Pour plus de précisions on se reportera à ce document WO 2013/014385. Cette disposition donne satisfaction car elle permet un engrènement du pignon 11 avec la couronne de démarrage avant l'arrêt complet du moteur thermique du fait que dans un premier temps le pignon 11 peut tourner librement. Les chocs et les bruits sont réduits lorsque le pignon 11 pénètre dans la couronne de démarrage C pour engrener avec celle-ci. Néanmoins il peut être souhaitable d'améliorer ce lanceur à embrayage à friction car celui-ci est un system auto- adaptatif la charge sur l'élément de friction, serré entre les plateaux de pression et de réaction, croissant avec le couple transmis entre la couronne de démarrage et 25 le lanceur. Objet de l'invention La présente invention a pour objet de répondre à ce souhait de manière simple et 30 économique. Selon l'invention le lanceur de démarreur de moteur thermique à couronne de démarrage, du type comportant un pignon destiné à engrener avec la couronne de démarrage, un entraîneur destiné à être déplacé par un levier de commande appartenant au démarreur, un boîtier solidaire en rotation du pignon et servant de logement à au moins un élément de friction, tel qu'un disque de friction, apte à être serré axialement entre un plateau de réaction appartenant au boîtier et un plateau de pression appartenant à l'entraîneur est caractérisé en ce qu'il comporte une butée solidaire du plateau de réaction pour limiter les déplacement de l'entraîneur et en ce que des moyens élastiques à action axiale interviennent entre les plateaux de pression et de réaction pour serre l'élément de friction.. Selon l'invention le démarreur de moteur thermique du type sus indiqué est équipé d'un tel 10 lanceur. Grâce à cette disposition selon l'invention on peut faire intervenir ce contacteur dans la fenêtre W1 ou W2 pour déplacer le lanceur vers sa position avancée de travail et engrènement du pignon du lanceur avec la couronne dentée du moteur thermique. Cette 15 intervention est réalisée avantageusement pour les vitesses basses de rotation du moteur thermique inférieures au régime de ralenti de ce moteur thermique, par exemple vers 50 tours par minute. Cette vitesse dépend du moteur thermique et est détectée par exemple par l'unité de contrôle du moteur thermique. On appréciera que l'embrayage à friction du lanceur n'est pas modifié de manière profonde 20 de sorte que la solution est simple et économique. En outre on contrôle la charge maximale appliquée à l'élément de friction à l'intérieur de l'embrayage. Cette charge maximale définie le couple maximal de transmission entre la couronne de démarrage et le lanceur et réduit les contraintes appliquées aux autres parties du démarreur. 25 De plus grâce aux moyens élastiques cette charge varie peu en fonction des usures. La solution est plus confortable pour les occupants du véhicule. Selon d'autres caractéristiques prises isolément ou en combinaison : Les moyens élastiques comprennent au moins un élément élastique disposé autour de 30 l'entraîneur entre le plateau de pression et le plateau de réaction et en ce que l'entraîneur et le boîtier solidaire en rotation du pignon sont apte à passer par le biais du levier de commande d'une position non comprimé dans lequel le boîtier peut tourner en rotation par rapport à l'entraîneur sans couple ou un couple minimum et une position de limitation de couple dans lequel l'entraîneur est en butée contre le boîtier par le biais de la butée et en ce que dans la position de limitation de couple, le moyen élastique n'est pas entièrement comprimé et le couple maximum transmis par entre le boîtier et l'entraîneur est supérieur au couple minimum.

Entre la position de limitation de couple et la position de non comprimé, l'entraîneur est dans un état embrayé avec le boîtier et en ce que entre la position de limitation de couple et la position de non comprimé le couple maximum transmissible varie en fonction de la compression des moyens élastique et en ce qu'il est inférieure au couple maximum dans la position de limitation de couple et supérieur à la position de non comprimé.

L'au moins un élément élastique est disposé entre un élément de friction et un élément solidaire en rotation avec l'élément de friction et en ce que l'élément élastique prend appuie par contact avec cet élément de friction et cet élément solidaire en rotation avec l'élément de friction dans l'état embrayé. L'au moins un élément élastique est disposé entre le plateau de pression ou le plateau de réaction et un élément solidaire en rotation avec respectivement le plateau de pression ou le plateau de réaction. L'au moins un élément élastique est disposé entre le plateau de pression et un élément de friction solidaire en rotation avec le plateau de pression et en ce qu'il prend appui par contact avec le plateau de pression dans l'état embrayé.

L'au moins un élément élastique est disposé entre le plateau de réaction et un des éléments de friction solidaire en rotation avec le plateau de réaction et en ce qu'il prend appuie par contact avec le plateau de réaction dans l'état embrayé. L'élément solidaire en rotation avec l'élément de friction est aussi un élément de friction. Le lanceur comprend en outre un disque de serrage solidaire en rotation de la boîte ou de 25 l'entraîneur et en ce que le moyen élastique prend appuie par contact avec ce disque de serrage. Les moyens élastiques à action axiale comportent deux éléments élastiques. Les deux élément élastiques sont montée en série et prennent contact l'un avec l'autre. 30 Les moyens élastiques sont à action axiale. Les éléments élastiques sont au moins une rondelle Belleville. Les moyens élastiques sont prolongés à leur périphérie interne ou externe par une pluralité de pattes pour formation d'un diaphragme. la butée appartient à une saillie axiale du plateau de réaction dirigée vers l'entraîneur ; la butée est constitué par un épaulement formé sur la saillie axiale du plateau de réaction ; l'épaulement est formé à la faveur d'un changement de diamètre de la saillie ; la butée appartient à l'extrémité libre de la saillie axiale dirigée vers le plateau de réaction ; la butée est destinée à venir en appui sur une contre- butée que présente le tronçon avant de l'entraîneur ; la contre-butée est formée à la faveur d'un épaulement que présente le tronçon avant de l'entraîneur ; la contre butée est formée par une pièce d'appui intercalée entre la butée du plateau de réaction et l'extrémité libre du tronçon avant de l'entraîneur ;la contre-butée sert d'appui au ressort de rappel intercalé entre le plateau de réaction et l'entraîneur ; les moyes élastiques à action axiale comporte au moins une rondelle Belleville ; la rondelle Belleville est prolongée à sa périphérie interne par une pluralité des pattes pour formation d'un diaphragme ; la rondelle Belleville prend appui sur le plateau de réaction ; la rondelle Belleville prend appui sur le plateau de pression ; les moyens élastiques à action axiale comportent deux rondelles Belleville ; les deux rondelles Belleville sont montée en série ; les deux rondelles Belleville sont montées en série entre le plateau de pression et un disque de serrage solidaire en rotation du tronçon avant de l'entraîneur ; l'embrayage à friction comporte au moins deux éléments de friction en forme de disque de friction liés en rotation au tronçon avant de l'entraîneur ; la liaison en rotation est une liaison à coopération de formes avec mouvement axial des disques de friction ; - les disques de friction alternent avec des disques de friction liés en rotation à la jupe du boîtier avec possibilité de mouvement axial ; le boîtier et l'entraîneur sont métalliques ; le démarreur comporte un levier de commande pour agir dans un premier temps sur le boîtier du lanceur ; le levier de commande est monté à articulation à son extrémité supérieur sur une tige associée au noyau mobile d'un contacteur électromagnétique que comporte le démarreur ; le démarreur comporte des moyens de fermetures de l'embrayage associés au levier de commande pour agir en différé sir l'entraîneur ; les moyens de fermeture comportent une pièce de fermeture attelée à articulation sur l'extrémité inférieure en forme de fourche du levier de commande ; les moyens de fermetures comportent une pièce de fermeture qui est attelée à articulation à l'extrémité inférieure d'un levier supplémentaire ; le levier supplémentaire est configuré pour autoriser un montage à articulation du levier de commande entre ses extrémités supérieure et inférieure ; la pièce de fermeture est configurée pour agir en différé sur l'entraîneur ; le démarreur est un démarreur conventionnel ; le démarreur est renforcé ; le démarreur est à pignon sortant ; le démarreur est équipé d'un réducteur de vitesse, le contacteur électromagnétique du démarreur s'étend parallèlement par rapport au moteur électrique du démarreur ; le contacteur électromagnétique s'étend perpendiculairement par rapport à l'axe du moteur électrique. D'autres avantages apparaîtront à la lecture de la description qui va suivre de manière non 25 limitative et ce en regard des dessins annexés Brève description des dessins - la figure 1 est une vue est une courbe d'arrêt du moteur thermique avec en ordon- 30 nées la vitesse de rotation en tours par minute du moteur thermique et en abscisse le temps; - la figure 2 est une courbe identique de la figure 1 pour montrer les deux fenêtres positive et de balancement intervenant lors de l'arrêt du moteur thermique ; - la figure 3 est une vue en coupe axiale d'un lanceur de l'art antérieur avec présence d'un jeu au sein de l'embrayage à friction - la figure 4 est une vue en coupe axiale d'un démarreur de moteur thermique d'un véhicule automobile équipé d'un lanceur selon l'invention en position reculée de re- pos selon pour un premier mode de réalisation; la figure 5 est une vue à plus grande échelle du lanceur de la figure 4 en position reculée de repos; Les figures 6 et 7 sont des vues analogues à celles des figures 4 et 5 pour la position avancée de travail du lanceur ; la figure 7 est une vue analogue à la figure 6 pour un deuxième exemple de réalisa- tion de l'invention. Dans les figures les éléments identiques ou similaires seront affectés des mêmes signes de référence.

Descriptions d'exemples de réalisation de l'invention Par simplicité les mêmes références que celles du document WO 2013/014385 seront reprises, le contenu de ce document étant incorporé dans la présente description.

Ainsi dans la figure 4 on voit en 4 le démarreur de moteur thermique, notamment de véhicule automobile. Ce démarreur 4 comporte un arbre de sortie 24 d'axe de symétrie axiale X, un lanceur 1, un contacteur électromagnétique 2 et un moteur électrique M d'entraînement de l'arbre 24 lorsqu'il est alimenté électriquement via le contacteur 2. Le contacteur 2 est implanté au-dessus du moteur électrique M et parallèlement à celui-ci. Ce moteur M est doté d'un induit 14 comportant un paquet de tôles à encoches pour passage du bobinage du rotor dont les extrémités sont reliées à un collecteur (non référencé) sur lequel frotte au moins deux balais (non référencés). Ce moteur M présente un arbre de sortie 26 d'axe de symétrie axiale confondu avec l'axe de symétrie X de l'arbre de sortie 24 du démarreur avec intervention d'un palier 116, tel qu'un roulement à aiguilles, entre l'extrémité avant de cet arbre 24 et un logement ménagé dans le nez du démarreur appartenant au carter 18 du démarreur. Ce carter comporte également une culasse (non référencée) de logement et de support du moteur électrique M, ainsi qu'un palier arrière (non référencé) de fermeture de l'extrémité arrière de la culasse fermée à l'avant par l'extrémité arrière du nez du démarreur servant de logement au levier de manoeuvre 20 du lanceur 1 muni d'un pignon 11 monté mobile sur l'arbre 24 entre une position reculée de repos (Figures 4 et 5) et une position avancée de travail (figures 6 et 7) pour engrènement de manière décrite ci-après avec la couronne dentée de démarrage C du moteur thermique à démarrer.. Dans cette position de travail le pignon est en appui sur une butée 25 portée par l'extrémité avant de l'arbre 24 pour limiter le mouvement du lanceur 1. Le lanceur 1 est animé d'un mouvement de translation et de rotation entre sa position reculée de repos et sa position avancée de travail. Il présente pour ce faire un entraîneur 118 centralement creux doté à sa périphérie externe de cannelures hélicoïdales 28 (figure 7) pour venir en prise avec des cannelures hélicoïdales complémentaires 29 que présente l'extrémité arrière de l'arbre de sortie 24 du démarreur 4. L'entraîneur 118 peut donc se déplacer en translation et en rotation par rapport à l'arbre 24. Le palier arrière présente un palier, tel qu'un coussinet, pour montage à rotation de l'extrémité arrière de l'arbre de sortie 26 du moteur électrique M. Un réducteur de vitesse 34, ici un réducteur de vitesse à train épicycloïdale, est intercalé de manière précitée entre l'extrémité avant de l'arbre 26 et l'extrémité de l'arbre 24 implanté dans le prolongement de l'arbre 26. Les balais du moteur M sont ici d'orientation transversale et sont destinés à être reliés électriquement via un porte balais (non référencé) aux bornes de contact électriques du contacteur 2.

Le stator 30 du moteur M est ici un stator bobiné en variante un stator à aimants permanents. Le contacteur 2 présente un axe de symétrie axiale (non référencé) parallèle à l'axe de symétrie X. De manière précitée le contacteur 2 comporte une cuve 2d fermé à l'arrière par un capot 2e creux pour logement du contact mobile 3a destiné à venir en contact avec les bornes d'alimentation électriques portée par le fond du capot. Ce contact mobile 3a appartient à un équipage mobile comportant une tige de commande 3 destinée à être déplacée axialement par le noyau mobile 2b constituant également un actionneur pour le levier 20 de commande de l'entraîneur monté à articulation à son extrémité supérieure sur un axe 20a (figure 4), tel qu'une goupille, monté dans l'extrémité arrière d'une tige 5a avec intervention du ressort dent contre dent 5 monté dans le noyau mobile entre l'extrémité arrière de la tige 5a et le fond du contact mobile 2b. L'extrémité inférieure du levier 20 est en forme de fourche montée sur une douille 119, que comporte l'extrémité inférieure de l'entraîneur 118. Le levier 20 présente une portion de liaison (non référencée) entre ses extrémités supérieure et inférieure. Cette portion porte des pivots pour montage à articulation par exemple sur une extension de la couronne du réducteur 34 comme décrit dans le document FR 2 863 018 auquel on se reportera. Un montage à articulation avec une saillie d'une plaque de base pourra être réalisé en variante.

La référence 2a désigne le bobinage d'appel et de maintien montés via un bobineau (non référencé) sur une portée du noyau fixe 2f traversé par la tige 3. Les ressorts 6a, 6b, 6c sont respectivement le ressort de coupure, le ressort dent contre dent et le ressort de rappel du noyau mobile. Pour le fonctionnement du démarreur et de son contacteur on se reportera à l'introduction 10 ainsi que par exemple au document FR 2 895 143 décrivant un montage du type baïonnette entre le contact mobile 3a et la tige de commande 3. Ce type de montage est applicable au démarreur de la figure 4. Dans les modes de réalisation selon l'invention on ne modifie pas de manière profonde la 15 structure de lanceur 1 de la figure 3 de sorte que la solution est simple et économique. Plus précisément selon l'invention le lanceur 1 de démarreur de moteur thermique à couronne de démarrage C , du type comportant un pignon 11 destiné à engrener avec la couronne de démarrage C, un entraîneur 118 destiné à être déplacé par un levier de 20 commande 20 appartenant au démarreur, un boîtier 112, 113, 230 solidaire en rotation du pignon 11 et servant de logement à au moins un élément de friction 301, tel qu'un disque de friction, apte à être serré axialement entre un plateau de réaction 112 appartenant au boîtier 112, 113, 230 et un plateau de pression 120 appartenant à l'entraîneur est caractérisé en ce qu'il comporte une butée solidaire du plateau de réaction pour limiter les déplacement de 25 l'entraîneur et en ce que des moyens élastiques à action axiale et à courbe caractéristique (force exercée en fonction du déplacement) linéaire 340 interviennent entre les plateaux de pression et de réaction pour serre l'élément de friction. Le nombre d'éléments de friction 301 dépend des applications et du couple transmis entre la 30 couronne C et le lanceur 1. En augmentant le nombre d'éléments de friction on diminue la taille du boîtier. Grâce au moyens élastiques supplémentaire et à la butée on maitrise la valeur du couple transmis. A partir d'un couple déterminé ou prédéterminé l'embrayage 300 patine de sorte que les autres constituants du démarreur 4 sont ménagés Comme mieux visible dans les figures 5 et 7 on conserve la configuration de la figure 3 avec addition de la butée et des moyens élastiques à action axiale à courbe caractéristique (charge exercée en fonction du déplacement) linéaire. Ainsi dans les figures 4 à 8 les éléments communs avec ceux de la figure 3 ne seront pas décrits de nouveau en détails. Dans ces figures : l'embrayage à friction 300 comporte au moins deux éléments de friction 301 en forme de disque de friction liés en rotation au tronçon avant 121 de l'entraîneur ; La liaison en rotation est une liaison à coopération de formes avec mouvement axial des disques de friction 301; les disques de friction 301 alternent avec des disques de friction 302 liés en rotation à la jupe 113 du boîtier 112, 113, 230 avec possibilité de mouvement axial ; le boîtier et l'entraîneur sont métalliques ; le démarreur 4comporte un levier de commande 20 pour agir dans un premier temps sur le boîtier du lanceur 1; le levier de commande 20 est monté à articulation à son extrémité supérieur sur une tige 5a associée au noyau mobile 2b d'un contacteur électromagnétique 2 que comporte le démarreur 4; le démarreur comporte des moyens de fermetures de l'embrayage 300 associés au levier de commande pour agir en différé sir l'entraîneur ; les moyens de fermeture comportent une pièce de fermeture 200 attelée à articulation sur l'extrémité inférieure en forme de fourche du levier de commande ; les moyens de fermetures comportent une pièce de fermeture qui est attelée à articulation à l'extrémité inférieure d'un levier supplémentaire ; le levier supplémentaire est configuré pour autoriser un montage à articulation du levier de commande entre ses extrémités supérieure et inférieure ; la pièce de fermeture est configurée pour agir en différé sur l'entraîneur.

Le nombre d'éléments de friction 301, 302 dépend des applications et du couple transmis entre la couronne C et le lanceur 11. Avantageusement ces éléments 301, 302 comportent une partie métallique revêtue d'au moins une garniture de frottement présentant le coefficient de frottement adéquate.

Pour plus de précisions sur ces différentes caractéristiques on se reportera à ce document WO 2013 /014385. Lors du premier temps, passage de la position reculée de repos à la position avancée de travail, le pignon peut tourner librement et engrener avec la couronne C.

Dans le deuxième temps, intervention des moyens de fermeture de l'embrayage, on déplace l'entraîneur jusqu'à la butée. Ensuite la charge exercée sur les ou les éléments de friction est contrôlée et reste sensiblement constante du fait que les moyens élastiques à action axiale ont une courbe caractéristique linéaire. Cependant, les moyens élastiques à action axiale ont une courbe caractéristique non linéaire.

Ces moyens élastiques 340 comportent au moins une rondelle Belleville. En choisissant une charge voisine du sommet de cette courbe on obtient une charge de serrage exercée qui varie peu en fonction des usures. Cette rondelle Belleville pourra être prolongée à sa périphérie interne par des pattes pour former un diaphragme.

Cette rondelle Belleville, de forme tronconique à l'état libres, est une pièce économique. Dans un mode de réalisation on peut prévoir deux rondelles Belleville montées en parallèle pour augmenter les charges exercées. Néanmoins cette solution conduit à diminuer la course possible par rapport à une unique rondelle Belleville. Il est préférable de monter les deux rondelles Belleville en série comme dans les figures 4 à 7 pour augmenter les déformations possibles. Plus précisément la charge exercée par ces rondelles Belleville, de forme tronconique, est la même que celle d'une rondelle Belleville mais les flèches de ses deux rondelles s'ajoutent. Dans les figures 5 à 7, comme dans les figures 12 et 13 de ce document WO 2013/014385, le pignon 11 est lié en rotation au manchon 111 avec possibilité de mouvement axiale via un montage à cannelures complémentaires 422 d'orientation axiale et un ressort 451sur le pignon 11 et sur le plateau de réaction 112 pour limiter les bruits lorsque le pignon 11 vient en appui sur la couronne dentée sans pénétrer dans celle-ci. Une butée 450 en forme de circlips limite le déplacement vers l'avant du pignon 11. Il est prévu également un ressort de rappel 400 agissant entre le plateau de réaction et le tronçon avant 121 de l'entraîneur 118 pour rappeler rapidement l'entraîneur 118 vers sa position de repos. Le ressort 451 est de forme tronconique et prend appui sur la face avant du plateau de réaction à la faveur d'une creusure ménagée dans cette face.

Le véhicule automobile le véhicule automobile pourra être avantageusement doté de la fonction marche-arrêt de son moteur thermique comprenant le démarreur dès la première mise en circulation du véhicule ou ultérieurement, cette fonction marche arrêt étant appelée Stop-Start en anglais. La fonction marche-arrêt permet d'économiser du carburant en arrêtant le moteur thermique lorsque le véhicule arrive au feu rouge ou lors des embouteillages. Le démarreur pourra être un démarreur renforcé avec par exemple un plus grand nombre de balais ou être un démarreur conventionnel avec par exemple quatre balais notamment lorsque la fonction marche arrêt du véhicule est installée ultérieurement.

Cette fonction marche- arrêt pourra, pour arrêter le moteur thermique, faire intervenir la vitesse du véhicule automobile, par exemple lorsque celle-ci descend à 6 kilomètre par heure, et la position de la pédale de frein, notamment lorsque la boîte de vitesse du véhicule automobile est une boîte manuelle.

En variante la fonction marche- arrêt pourra faire intervenir la position du levier de changement de vitesse et la position de la pédale d'embrayage. Dans une autre variante la fonction marche- arrêt pourra faire intervenir la position du levier de vitesse et la position de la pédale d'accélérateur notamment lorsque la boîte de vitesse du véhicule est automatique.

En fonction de ses différentes informations la fonction marche-arrête pourra, de manière connue, être inhibée On peut ainsi engager le pignon dans la couronne C avant l'arrêt complet du moteur thermique et redémarrer plus rapidement. Dans tous les cas la solution selon l'invention est moins bruyante.

Premier mode de réalisation des figures 4 à 7 Dans ce mode de réalisation la butée 350 appartient à une saillie axiale 352 du plateau de réaction dirigée vers l'entraîneur 118. Cette butée 350 s'étend axialement à la périphérie interne du plateau de réaction 112 et ce dans le prolongement du manchon 111 avec intervention de coussinets 124 entre la périphérie externe lisse de la partie avant de l'arbre 24 et la périphérie interne du manchon 111. La butée 350 est constituée par un épaulement formé sur la saillie axiale 352 du plateau de réaction 112.

Le plateau 112, de forme annulaire, est entaillé à sa périphérie interne à l'extérieur de la saillie 352 pour logement du ressort de rappel 400 agissant entre le fond de l'entaille et une rondelle 351 en contact avec l'extrémité libre du tronçon avant 121. L'extrémité libre de la saillie 352 s'étend à l'intérieur du tronçon 121 et pénètre faiblement dans celui-ci pour réduire l'encombrement axial en combinaison avec l'entaille du plateau de réaction. L'épaulement 350 est formé à la faveur d'un changement de diamètre de la saillie 352 de sorte que l'extrémité libre de diamètre réduit de la saillie 352 s'étend à l'intérieur du tronçon 121 et pénètre faiblement dans celui-ci. L'épaulement 350 est en regard de l'extrémité libre du tronçon 121 de forme annulaire.

La butée 350 est destinée à venir en appui sur une contre- butée que présente le tronçon avant de l'entraîneur. La contre butée est formée par une pièce d'appui, ici la rondelle 351, intercalée entre la butée du plateau de réaction et l'extrémité libre du tronçon avant 121 de l'entraîneur 118 la contre-butée sert d'appui au ressort de rappel 400 intercalé entre le plateau de réaction et l'entraîneur. Cette rondelle 351 est montée sur la portion de diamètre réduit de l'extrémité libre de la saillie 352. Elle est centrée par cette portion de diamètre réduit et présente des caractéristiques qui permettent de réduire les usures et les bruits entre le ressort de rappel 400 et l'extrémité libre du tronçon avant 121.

Les moyens élastiques 350 comportent deux rondelles Belleville 343, 344 montées en série. Ces rondelles 343, 344 agissent entre une rondelle épaisse de serrage 345 et la face avant du plateau de pression 120 de forme annulaire et de diamètre externe inférieur à celui du plateau de réaction 112 et globalement égal au diamètre interne de la jupe 113 liée à un capot 230 présentant un retour dirigé radialement vers l'axe X. Ce retour remplace le plateau 114 de la figure 3. Le plateau de pression 120 pénètre ainsi dans le boîtier. 112, 113, 230. La rondelle de serrage 345 est lié en rotations au tronçon avant avec possibilité de mouvement axiale à la faveur des rainures externes (non référencées) que présente le tronçon 121 à sa périphérie externe pour liaison en rotation avec mouvement axial des deux disques de friction 301 qui alternent avec trois disques de friction 302 lié en rotation à la jupe 113 avec possibilité de mouvement axiale à la faveur des rainures internes (non référencées) de la jupe 113. Deux des disques 302 sont en contact respectivement avec la face arrière du plateau de réaction et la face avant de la rondelle de serrage.

Deuxième mode de réalisation de la figure 8 Une seule rondelle Belleville 346 est prévue. Celle-ci agit entre la face arrière du plateau de réaction 112 et la face avant de la rondelle 302 adjacente. La butée 350 A de limitation du mouvement axial de l'entraîneur est constituée par l'extrémité libre arrière de la saillie 352. La contre-butée est formée par un épaulement 350B que présente à sa périphérie interne le tronçon 121 à son extrémité libre. Autres formes de réalisations Le pignon 11 pourra être solidaire en rotation et axialement avec le manchon 111 qui pourra être axialement de longueur réduite. Dans les figures 4 à 7 on peut supprimer la rondelle 351 de sorte que la contre-butée est formée par l'extrémité libre du tronçon avant 121.

On peut inverser le montage des rondelles 354, 344, 343 de es figures 4 à 7, qui pourront prendre appui sur le plateau de réaction 112. Dans ces figures 4 à 7 une seule rondelle Belleville pourra être prévue. Deux rondelles Belleville montée en série pourront être prévues dans la figure 8. Différentes variantes peuvent être prévues pour les disques de friction 301, 302, avantageusement dotés de garnitures de frottement, comme décrit dans cette demande WO 2013/014385. Il en est de même de la constitution du boîtier. Applications H ressort de ce qui précède que le lanceur selon l'invention appartient à un démarreur à moteur électrique et contacteur électromagnétique. Ce lanceur est configuré pour engrener avec une couronne dentée de démarrage du moteur thermique à démarrer, tel que le moteur thermique d'un véhicule automobile. Les autres constituants du démarreur pourront être conservés.

Ce démarreur pourra, de manière précitée, être un démarreur conventionnel ou un démarreur renforcé et faire partie de la fonction marche arrêt du véhicule. Il pourra être renforcé au niveau du l'arbre de sortie et présenter par exemple deux paliers de support de cet arbre. Il pourra comporter au moins 6 balais.

Ce démarreur pourra présenter d'autres formes de réalisations. Ainsi le contacteur pourra en variante être implanté en dessous du démarreur ou être déporté comme décrit en étant implanté à l'arrière du démarreur via un mécanisme de renvoi à tige 5 de renvoi et à levier de renvoi coudé de renvoi comme décrit par exemple dans le document FR 2 843 427 auquel on se reportera. La cuve du contacteur pourra être en plusieurs parties, par exemple en trois parties comme décrit dans le document EP 1 613 858. 10 En variante le bobinage d'appel et de maintien sont confondus et l'on fait varier le rapport cyclique du courant comme décrit dans le document FR 2 795 884 auquel on se reportera. Le pignon pourra être un pignon sortant implanter à l'extérieur du nez comme décrit par exemple dans le document FR 2 745 855. Les dentures du pignon et de la couronne de dé-15 marrage pourront être inclinées comme décrit dans le document FR 2 820 170 précité. En variante la plaque de base est supprimée, le levier 20 et le réducteur de vitesses étant agencés comme décrit dans les documents DE 28 22 165, FR 2 787 833 ou FR 2 863 018 auxquels on se reportera. 20 En variante, à la lumière du document FR 2 787 833, des moyens élastiques à action circon- férentiel, tels que des plots, sont implantés dans la chaîne cinématique allant du pignon 11 à l'arbre 26 du moteur électrique M. L'arbre de sortie 24 pourra être décalé radialement par rapport à l'arbre 26 du moteur élec- trique avec présence d'un train d'engrenages entre l'extrémité arrière de l'arbre de sortie 24 25 et l'extrémité avant de l'arbre 26 du moteur électrique M. En variante l'arbre 24 est confondu avec l'arbre 26 de sorte que le réducteur de vitesse est supprimé. De manière précitée le nombre de balais pourra être au moins égal à 6 ou 8. Par exemple les 30 balais pourront être d'orientation radiale et implantés par paire de part et d'autre d'une plaque porte-balais. Les balais sont en variante d'orientation axiale. Le démarreur, de manière précitée, pourra appartenir à circuit électrique d'un véhicule automobile doté de la fonction marche-arrêt.

Le contacteur électromagnétique 2 de ce démarreur pourra être piloté par un microcontrôleur, tel que celui de l'unité de contrôle moteur que comporte le véhicule automobile. Bien entendu la vitesse de rotation du moteur thermique pourra être prise à l'aide d'au moins un capteur au niveau de la couronne C.5

Claims (20)

1. REVENDICATIONS1. Lanceur (1) de démarreur (4) de moteur thermique à couronne de démarrage ( C), du type comportant un pignon (11) destiné à engrener avec la couronne de démarrage 10 ( C), un entraîneur (118) destiné à être déplacé par un levier de commande( 20) appartenant au démarreur (4), un boîtier ( 112, 113, 230) solidaire en rotation du pignon (11) et servant de logement à au moins un élément de friction (301), tel qu'un disque de friction, apte à être serré axialement entre un plateau de réaction (112) appartenant au boîtier (112, 113, 230) et un plateau de pression (120) appartenant à 15 l'entraîneur (118), caractérisé en ce qu'il comporte une butée (350, 350A)) solidaire du plateau de réaction pour limiter les déplacement de l'entraîneur et en ce que des moyens élastiques (340) à action axiale interviennent entre les plateaux de pression et de réaction pour serrer l'élément de friction.
2. 2. Lanceur (1) selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens élastiques 20 comprennent au moins un élément élastique disposé autour de l'entraîneur entre le plateau de pression et le plateau de réaction et en ce que l'entraîneur et le boîtier ( 112, 113, 230) solidaire en rotation du pignon (11) sont apte à passer par le biais du levier de commande d'une position non comprimé dans lequel le boîtier peut tourner en rotation par rapport à l'entraîneur sans couple ou un couple minimum et une 25 position de limitation de couple dans lequel l'entraîneur est en butée contre le boîtier par le biais de la butée (350, 350A) et en ce que dans la position de limitation de couple, le moyen élastique n'est pas entièrement comprimé et le couple maximum transmis par entre le boîtier et l'entraîneur est supérieur au couple minimum.
3. 3. Lanceur (1) selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce qu'entre la position de 30 limitation de couple et la position de non comprimé, l'entraîneur est dans un état embrayé avec le boîtier et en ce que entre la position de limitation de couple et la position de non comprimé le couple maximum transmissible varie en fonction de la compression des moyens élastique et en ce qu'il est inférieure au couple maximum 245dans la position de limitation de couple et supérieur à la position de non comprimé.
4. 4. Lanceur (1) selon la revendication 2 ou les revendications 2 et 3, caractérisé en ce que l'au moins un élément élastique est disposé entre un élément de friction et un élément solidaire en rotation avec l'élément de friction et en ce que l'élément élastique prend appuie par contact avec cet élément de friction et cet élément solidaire en rotation avec l'élément de friction dans l'état embrayé.
5. 5. Lanceur (1) selon la revendication 2, caractérisé en ce que l'au moins un élément élastique est disposé entre le plateau de pression ou le plateau de réaction et un élément solidaire en rotation avec respectivement le plateau de pression ou le plateau de réaction.
6. 6. Lanceur (1) selon la revendication 5, caractérisé en ce que l'au moins un élément élastique est disposé entre le plateau de pression et un élément de friction solidaire en rotation avec le plateau de pression et en ce qu'il prend appui par contact avec le plateau de pression dans l'état embrayé.
7. 7. Lanceur (1) selon larevendication 5, caractérisé en ce que l'au moins un élément élastique est disposé entre le plateau de réaction et un des éléments de friction solidaire en rotation avec le plateau de réaction et en ce qu'il prend appuie par contact avec le plateau de réaction dans l'état embrayé.
8. 8. Lanceur (1) selon la revendication 4 dans lequel l'élément solidaire en rotation avec l'élément de friction est aussi un élément de friction.
9. 9. Lanceur (1) selon l'une quelconque des revendications 5 à 7 comprenant un disque de serrage (345) solidaire en rotation de la boîte ou de l'entraîneur et en ce que le moyen élastique prend appuie par contact avec ce disque de serrage.
10. 10. Lanceur (1) selon l'une quelconque des revendications 2 à 9, caractérisé en ce que les moyens élastiques à action axiale (340) comportent deux éléments élastiques.
11. 11. Lanceur selon la revendication 10, caractérisé en ce que les deux élément élastiques (343,344) sont montée en série et prennent contact l'un avec l'autre.
12. 12. Lanceur (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que les moyens élastiques à action axiale (340) comportent au moins une rondelle Belleville.
13. 13. Lanceur (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les moyens élastiques sont prolongés à leur périphérie interne ou externe par une pluralité de pattes pour formation d'un diaphragme.
14. 14. Lanceur (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que la butée (350,350A) appartient à une saillie axiale (352) du plateau de réaction (112) dirigée vers l'entraîneur (118).
15. 15. Lanceur (1) selon la revendication 14, caractérisé en ce que la butée (350,350A) est constituée par un épaulement formé sur la saillie axiale (352) du plateau de réaction (112).
16. 16. Lanceur (1) selon la revendication 14, caractérisé en ce que la butée (350A) appartient à l'extrémité libre de la saillie axiale (352). 25
17. 17. Lanceur (1) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que la butée (350, 350A) est destinée à venir en appui sur une contre- butée (351,350B) que présente un tronçon avant (121) que comporte l'entraîneur (118).;
18. 18. Lanceur(1) selon la revendication 17, caractérisé en ce que la contre-butée est formée 30 à la faveur d'un épaulement (350B) que présente le tronçon avant (121) de entraîneur(118).
19. 19. Lanceur (1) selon la revendication 17, caractérisé en ce que la contre-butée est formée par une pièce d'appui (351) intercalée entre la butée (350) du plateau de 20réaction (112) et l'extrémité libre du tronçon avant (121) de l'entraîneur (118).
20. 20. Lanceur (1) selon la revendication 19, caractérisé en ce que la contre-butée (351) sert d'appui à un ressort de rappel (400) intercalé entre le plateau de réaction (112) et le tronçon avant (121) de l'entraîneur (118).