FR2996516A1 - Chariot pour fixer une selle de velo sur une tige qui est coulissante et blocable dans le tube de selle du cadre d'un velo - Google Patents

Abstract

Chariot pour fixer une selle de vélo sur une tige qui est coulissante et blocable dans le tube de selle du cadre d'un vélo. Le chariot (4) comporte un noyau (8), solidaire de la tige de selle (3), le dit chariot (4) est caractérisé en ce qu'il permet un réglage micrométrique parfaitement contrôlé et précis de l'inclinaison (assiette) de la selle (2), puis un blocage rapide de la selle (2) sur la position désirée, pour cela le chariot (4) dispose : - d'un noyau (8) muni de deux paliers (8c) qui coopèrent avec un axe (5) de basculement, et muni aussi d'une lumière (8a) de mobilité en basculement. - d'un moyen de réglage (7) contrôlé et précis en basculement et qui opère dans la dite lumière (8a). - de supports intérieurs (9) coopérant avec des supports extérieurs (10), pour serrer l'armature (2b) de la selle (2), les dits supports basculent à volonté, car commandés par le moyen de réglage (7). - d'un moyen de blocage (6) sur la position angulaire recherchée, moyen de blocage indépendant ou non du réglage longitudinal de la selle (2). Le chariot de selle selon l'invention est destiné à équiper les cycles.

Description

La présente invention concerne un chariot pour fixer une selle de vélo sur une tige qui est coulissante et blocable dans le tube de selle d'un cadre de vélo. Traditionnellement, les tiges de selle de vélo, possèdent un chariot de selle qui permet en desserrant une seule vis de blocage de régler : - la position longitudinale de l'assise de selle en faisant glisser les tiges parallèles et sensiblement horizontales de l'armature de selle qui sont serrées (par la vis évoquée ci-dessus) entre des supports (intérieurs et extérieurs) verticaux (en tôle emboutie le plus souvent) ou des supports horizontaux (au moins un support inférieur et un support supérieur, en alliage d'aluminium le plus souvent).

Généralement le cycliste doit « tapoter » à l'avant ou à l'arrière de l'assise de selle pour provoquer le déplacement de la dite selle dans la direction souhaitée... - La position angulaire de l'assise de selle en faisant basculer la dite selle sur l'avant ou sur l'arrière, des crans de positionnement incrémentes le basculement... La précision et la patience nécessaires pour bien régler l'assise de la selle, rendent cette opération assez fastidieuse et même rébarbative, surtout quand après resserrage de la vis de blocage, le cycliste s'assoit sur le vélo et constate que le réglage n'est pas satisfaisant car il a été fait de manière approximative et sans moyen de vraiment maîtriser et contrôler l'action réalisée ; le réglage en inclinaison demandant d'être assez fin pour apporter confort et performance au cycliste... Ce phénomène est aggravé quand la vis de serrage est presque verticale et qu'il faut parfois (à cause d'un porte bagage, ou d'un siège enfant...) obligatoirement desserrer le tube de selle pour pouvoir relever la tige de selle et donc la selle, afin de permettre à un outil d'accéder à la tête de vis de blocage.

La réalisation en métal des actuels chariots de selle n'a pas permis (pour un poids et un prix raisonnables) d'intégrer directement l'éclairage arrière (le feu rouge) du vélo... Le chariot de selle de vélo selon l'invention permet de remédier à ces inconvénients.

II permet de fixer une selle de vélo sur une tige qui est classiquement coulissante et blocable dans le tube de selle du cadre de vélo ; pour cela le dit chariot comporte un noyau central, solidaire monobloc ou rattaché à la dite tige de selle par un moyen de liaison, le tout constituant ce que l'on appelle usuellement une tige de selle. La dite tige de selle permet un réglage longitudinal (en collaboration -2- avec l'armature de la selle), et permet aussi un réglage en basculement de la dite selle de vélo. La première caractéristique de ce chariot est qu'il permet facilement de faire un réglage micrométrique parfaitement contrôlé et précis de l'inclinaison (basculement) de la selle, puis un blocage aisé et rapide de la selle sur la position désirée ; pour cela ce chariot dispose : - d'un noyau muni de deux paliers (en relief ou non) qui coopèrent avec un axe de basculement, et muni aussi d'une lumière de mobilité en basculement. - d'un moyen de réglage qui contrôle précisément le basculement de la 10 selle et qui opère dans la dite lumière de mobilité en basculement. - de supports intérieurs coopérant avec des supports extérieurs, pour serrer les tiges parallèles et sensiblement horizontales de l'armature de la selle, les dits supports basculent à volonté (grâce à des lumières ad hoc) autour des paliers (et donc de l'axe concrétisé par deux vis en opposition ou une vis et un 15 écrou) car commandés par le moyen de réglage. - d'un moyen de blocage sur la position angulaire recherchée, moyen de blocage indépendant ou non du réglage longitudinal de la selle. Selon des modes particuliers de réalisation : - le moyen de réglage peut être une vis située dans le noyau, et qui actionnée par 20 l'utilisateur (avec ou sans l'utilisation d'un outil) pousse (et tire éventuellement pour avoir un effet desmodromique) le moyen de blocage, qui en l'occurrence est une vis (associée à un écrou) qui traverse les suppOrts en agissant sur eux pour provoquer le basculement souhaité de la selle ; pour permettre le mouvement de basculement, la lumière de mobilité en basculement épouse le secteur angulaire 25 généré autour de l'axe par la vis. - le moyen de réglage peut aussi être un axe, qui peut tourner dans la lumière (alésage cylindrique) de mobilité en basculement du noyau, le dit axe est actionné par l'utilisateur (avec ou sans l'utilisation d'un outil) lorsque celui-ci fait tourner le moyen de blocage qui traverse excentré, tout en étant solidaire (une liaison 30 mécanique assurant l'entraînement en rotation) du dit axe ; en l'occurrence le moyen de blocage est une vis (associée à un écrou) qui traverse les supports en agissant sur eux pour provoquer le basculement souhaité de la selle . Pour permettre le mouvement de basculement, la vis peut avoir une tête de vis insérée dans une manette, ou avoir directement une forme ergonomique permettant la 35 préhension pour faciliter le réglage en basculement. -3- - pour des vélos notamment destinés à la location et qui nécessitent des modifications de réglage de selle très fréquents, le moyen de blocage est une vis dont la tête coopère avec un levier à came (similaire au système de serrage rapide des axes de roue de vélo), afin d'avoir un blocage instantané et sans outil des supports et donc de l'armature dans la position angulaire (et éventuellement longitudinale) souhaitée par le cycliste. - la plasturgie peut être tout à fait envisagée pour réaliser de nombreuses pièces du chariot, ce qui ouvre de nouvelles possibilités de design de la tige de selle, et en particulier, le noyau pourrait disposer d'une excroissance permettant la fixation d'un capot de feu rouge, et le logement de piles ou accumulateurs ; la dite excroissance et le capot de feu rouge n'altérant en rien les différents mouvements de réglage de la selle. - le noyau, si comme évoqué ci-dessus, est réalisé en plasturgie, peut avoir sa partie tige de selle monobloc car moulée avec le corps du noyau, suffisamment longue pour pénétrer le tube de selle du cadre de vélo quelque soit le réglage en hauteur de la selle ; éventuellement un manchon de rigidification métallique ou en matière composite, inséré en force, ou surmoulé, peut s'avérer nécessaire sur tout ou partie de la dite tige de selle ; l'avantage d'avoir la tige de selle en matière plastique sur toute sa longueur (ou presque), c'est de permettre un coulissement sans effort et sans risque de grippage de la tige de selle dans le tube de selle du cadre de vélo (tige de selle en alliage d'aluminium, dans un tube de selle en alliage d'aluminium en particulier, sont source de problèmes importants). - le noyau s'il est réalisé en plasturgie, peut avoir sa partie tige de selle monobloc particulièrement courte, et qui pénètre en force (ou moulé) dans une tige de selle proprement dit (métallique ou en matériaux composites) sur une longueur d'environ deux fois le diamètre de l'alésage de la dite tige ; éventuellement un manchon de rigidification métallique ou en matière composite, et qui serait inséré en force, peut s'avérer nécessaire sur tout ou partie de la partie pénétrante du noyau dans la tige de selle. - au moins une vis associée à un écrou, constitue avec le moyen de serrage, un « pont » de serrage autour des tiges horizontales (ou presque) et parallèles de l'armature de selle, renforçant ainsi la liaison et le serrage des supports intérieurs et extérieurs qui sont de part et d'autre du noyau mais aussi des tiges de l'armature de selle, et donc améliore le blocage de cette armature de selle.

Les dessins annexes illustrent l'invention : -4- La figure 1 représente vue de coté, une tige de selle (dans sa configuration réglage de l'inclinaison par vis) selon l'invention équipée d'une selle de vélo. La figure 2 représente une vue arrière, de la figure 1. La figure 3 représente une vue de dessus, de la figure 1.

La figure 4 représente une vue en coupe, de la figure 1. La figure 5 représente une vue de détail agrandi, de la figure 4. La figure 6 représente une vue de % avant, une tige de selle (dans sa configuration réglage de l'inclinaison par excentrique, avec blocage rapide) selon l'invention équipée d'une selle de vélo.

La figure 7 représente une vue en coupe, de la figure 6. La figure 8 représente vue de 1/4 arrière, une tige de selle (dans sa configuration réglage de l'inclinaison par excentrique, avec feu rouge intégré) selon l'invention équipée d'une selle de vélo. La figure 9 représente une vue en coupe, de la figure 8.

La figure 10 représente une vue éclatée, de la figure 8. En référence à ces dessins, la tige de selle (1) est l'appellation générique de l'ensemble chariot (4) et tige (3), la dite tige de selle (1) est équipée d'une selle (2), constituée, d'une assise (2a), d'une armature en fil d'acier (2b) et le plus souvent d'amortisseurs en élastomère (2c).

Selon l'invention, au centre du chariot (4), un noyau (8) est solidaire de façon monobloc ou rapportée de la tige (3). Un axe (5) constitué d'une vis (5) et d'un écrou (5a), traverse le dit noyau (8), de préférence dans sa partie avant. Cet axe (5) associé à d'éventuelles excroissances (8c) du noyau (8) constituent des paliers qui permettent aux supports intérieurs (9) et au supports extérieurs (10) (qui pincent l'armature (2b)) de pouvoir basculer (pivoter) autour du dit axe (5). Selon un mode particulier de réalisation, tel que présenté sur les figures 1 à 5, le moyen de réglage précis et contrôlé est réalisé par une vis (7), qui se visse ou se dévisse à volonté (par l'utilisateur) dans le noyau (8), l'extrémité de cette vis 30 (7) appuie sur la vis de blocage (6). Cette vis (6) traverse le noyau (8) grâce à une lumière (8a) qui défini la zone de réglage possible (< >). Dans son mouvement en arc de cercle commandé par la vis (7), la vis (6) entraîne les supports (9) et (10) qu'elle traverse, et donc modifie l'inclinaison de la selle (son assiette) au gré de l'utilisateur. Une fois le réglage souhaité obtenu par son action -5- sur la vis (7), le cycliste n'a plus qu'a serrer la vis (6) (ou l'écrou qui lui est associé) pour bloquer le chariot (4). Dans cette configuration les supports (9) et (10) qui enserrent l'armature (2b) de la selle (2) sont reliés entre eux principalement par la vis (5) et son écrou (5a) et par le boulon (6) qui sont situés en dessous de l'armature (2b) ; au dessus de l'armature (2b), au moins un pion (clipsable ou non) solidarise les supports (9) entre eux, et éventuellement les supports (10). Selon l'invention, la vis de réglage (7) peut être actionnée par un outil et/ou directement manuellement.

Toujours selon l'invention, le noyau (8) a sa partie tige (3) de selle qui est suffisamment longue pour permettre le réglage vertical de la selle dans le tube de selle du cadre de vélo. Pour améliorer la rigidité de la tige (3), un manchon (11) métallique ou en matériaux composite (fibre de carbone par exemple) peut être inséré (en force ou par surmoulage...) dans la dite tige (3) de selle.

Selon une variante (figure 6 et 7) particulièrement intéressante, notamment pour les vélos mis en location, la tige de selle (1), selon l'invention, permet tous les réglages de la selle (longueur et assiette) sans aucun outil, pour cela, la vis (6) est pourvue à sa tête d'un levier (7a) à came (similaire au système de démontage rapide des roues de vélo) qui : - dans un premier temps, quand il est débloqué par sa mise en position sensiblement horizontale, libère le serrage de la vis (6), ce qui permet de donner un peu de jeu latéral dans les supports (9) et (10) et donc de pouvoir si besoin, faire coulisser l'armature (2b) de la selle (2) selon la position recherchée, et donc de déplacer longitudinalement la selle (2). - dans un deuxième temps, si besoin, de faire tourner dans un sens ou dans l'autre, le levier (7a) en le maintenant horizontal (débloqué), ce qui permet à la vis (6) qui tourne donc sur son axe, d'entraîner aussi en rotation (par une goupille (14) qui se loge dans une lumière (14a) réalisée dans l'excentrique (7) par exemple, ou par un profil conjugué de la vis (6) et de l'excentrique (7)...) le moyen de réglage (7) qui donc en l'occurrence est un excentrique, dont le cylindre extérieur tourne concentrique de l'alésage (8a) du noyau (8). La rotation excentrée de la vis (6) en regard de l'alésage (8a) du noyau (8), provoque suivant le sens de rotation du levier (7a), une montée ou une descente relative de la vis (6) par rapport à l'axe (5). Cette montée ou cette descente micrométrique et contrôlée, incline plus ou moins la selle (2) autour d'une position horizontale. -6- Quand la position de l'assiette de la selle (2) est jugée satisfaisante, l'utilisateur n'a plus qu'a rabattre le levier (7a) pour écraser tous les jeux, et ainsi bloquer la selle (2) sur la position désirée. L'écrou (6a) qui coopère avec la vis (6) permet de contrôler la force de serrage du levier (7a). Le dit écrou (6a) pourra avoir une forme ergonomique pour une bonne préhension; il pourrait avoir aussi une rondelle d'appui (15). Sur les figures 8, 9 et 10, on peut voir que le remplacement du levier (7a) décrit ci- dessus, par une manette (7a), n'est qu'une version simplifiée de la précédente variante. L'écrou (6a) devant dans ce cas être serré préférentiellement grâce à un outil. Toujours sur les figures 8, 9 et 10, selon un mode de réalisation préférentiel, on peut voir que le noyau (8) possède une excroissance (8b) qui permet d'intégrer un éclairage arrière (feu rouge) dont le capot (13) est retirable facilement pour avoir accès au piles (ou batterie) logées dans l'emplacement (13a).

L'intégration du feu rouge dans le noyau (8) permet à la selle (2) d'occuper toutes les positions de réglage possible sans être gênée. Selon un mode de réalisation industrielle très intéressant, de nombreuses pièces de l'invention sont réalisables en plasturgie, et notamment : le noyau (8), les supports (9) et (10), l'excentrique (7).

Préférentiellement au cas ou le noyau (8) est en matière plastique, avec la partie du noyau qui pénètre la tige (3), il est possible d'insérer un manchon (11) dans le dit noyau (8) ; noyau (8) qui en plus pourrait avoir des nervures (8d) pour améliorer sa rigidité. Dans le cas particulier des vélos fait sur mesure, le chariot (4) et en particulier son noyau (8) pourrait être directement solidaire (collé par exemple) du tube de selle du cadre de vélo, se dispensant ainsi de la tige (3). Le chariot de selle selon l'invention est particulièrement destiné à équiper tous les cycles qui nécessitent une selle de vélo à armature en fil métallique (acier, titane...)

Claims (8)

1. REVENDICATIONS1. Chariot (4) pour fixer une selle (2) de vélo sur une tige (3) qui est coulissante et blocable dans le tube de selle du cadre de vélo, le dit chariot (4) comporte un noyau central (8), solidaire monobloc ou rattaché à la dite tige de 5 selle (3) par un moyen de liaison, le tout constituant ce que l'on appelle usuellement une tige de selle (1), la dite tige de selle (1) permet un réglage longitudinal, en collaboration avec l'armature (2b) de la selle (2), ce qui permet aussi un réglage en basculement de la dite selle (2) de vélo ; le dit chariot (4) est caractérisé en ce qu'il permet un réglage micrométrique parfaitement contrôlé et 10 précis de l'inclinaison appelé aussi basculement de la selle (2), puis un blocage facile et rapide de la selle (2) sur la position désirée, pour cela le chariot (4) dispose : - d'un noyau (8) muni de deux paliers (8c) qui coopèrent avec un axe (5) de basculement, et muni aussi d'une lumière (8a) de mobilité en basculement. 15 - d'un moyen de réglage (7) contrôlé et précis en basculement et qui opère dans la dite lumière (8a). - de supports intérieurs (9) coopérant avec des supports extérieurs (10), pour serrer l'armature (2b) de la selle (2), les dits supports basculent à volonté, notamment grâce à des lumières ad hoc (9a), autour des paliers (8c) et donc de 20 l'axe (5), concrétisé par deux vis en opposition ou une vis (5) et un écrou (5a), car commandés par le moyen de réglage (7). - d'un moyen de blocage (6) sur la position angulaire recherchée, moyen de blocage indépendant ou non du réglage longitudinal de la selle (2).
2. 2. Chariot (4) selon la revendication 1 caractérisé en ce que le moyen de 25 réglage (7) soit une vis située dans le noyau (8), et qui actionnée par l'utilisateur, avec ou sans l'utilisation d'un outil, pousse, ou tire éventuellement, le moyen de blocage (6), qui en l'occurrence est une vis, associée à un écrou, et qui traverse les supports (9) et (10) en agissant sur eux pour provoquer le basculement souhaité de la selle (2) ; pour permettre le mouvement de basculement, la lumière 30 (8a) épouse le secteur angulaire généré autour de l'axe (5) par la vis (6).
3. 3. Chariot (4) selon la revendication 1 caractérisé en ce que le moyen de réglage (7) soit un axe (7), qui peut tourner dans la lumière ou l'alésage (8a) du noyau (8), et qui est actionné par l'utilisateur, avec ou sans l'utilisation d'un outil, lorsque le dit utilisateur fait tourner le moyen de blocage (6) qui traverse excentré 35 le dit axe (7), tout en lui étant solidaire en rotation notamment grâce à une goupille (14) et un logement (14a) par exemple; en l'occurrence le moyen de blocage (6) est une vis, associée à un écrou(6a), et qui traverse les supports (9) et (10) en agissant sur eux pour provoquer le basculement souhaité de la selle (2) ; pour permettre le mouvement de basculement , la vis (6) peut avoir une tête de vis insérée dans une manette (7a), ou avoir directement une forme ergonomique permettant la préhension pour faciliter le réglage en basculement de la selle (2).
4. 4. Chariot selon la revendication précédente caractérisé en ce que le moyen de blocage (6) soit une vis (6) dont la tête coopère avec un levier à came (7a), pour avoir un blocage instantané et sans outil des supports (9) et (10) et donc de l'armature (2b) dans la position angulaire, et éventuellement longitudinale, souhaitée par le cycliste.
5. 5) Chariot (4) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le noyau (8) dispose d'une excroissance (8b) permettant la fixation d'un capot (13) de feu rouge, et le logement (13a) de piles électriques ; la dite excroissance (8b) et le capot (13) n'altérant en rien les différents mouvements de réglage de la selle (2)
6. 6) Chariot (4) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que le noyau (8) s'il est réalisé en plasturgie, aura sa partie tige de selle (3) monobloc suffisamment longue pour pénétrer le tube de selle du cadre de vélo quelque soit le réglage en hauteur de la selle (2) ; éventuellement un manchon (11) de rigidification métallique ou en matière composite, inséré en force ou surmoulé..., peut s'avérer nécessaire sur tout ou partie de la dite tige de selle (3).
7. 7) Chariot (4) selon l'une quelconque des revendications 1 à 5 caractérisé en ce que en ce que le noyau (8) s'il est réalisé en plasturgie, aura sa partie tige de selle (3) monobloc particulièrement courte, et qui pénètre la tige (3) de selle sur une longueur d'environ deux fois le diamètre de l'alésage de la dite tige (3) ; éventuellement un manchon (11) de rigidification métallique ou en matière composite, inséré en force, peut s'avérer nécessaire sur tout ou partie de la longueur pénétrante du noyau (8) dans la tige de selle (3).
8. 8) Chariot (4) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'au moins une vis (12) associée à un écrou (12a), constitue avec le moyen de serrage (6) un « pont » de serrage autour des tiges qui sont horizontales, ou presque, et parallèles de l'armature (2b), renforçant ainsi la.9- liaison et le serrage des supports (9) et (10) et donc le blocagè de l'armature (2b) de la selle (2). 10 15 20 25 30 35