FR2990833A1 - Dispositif de suspension pour un sommier a raideur reglable - Google Patents

Dispositif de suspension pour un sommier a raideur reglable Download PDF

Info

Publication number
FR2990833A1
FR2990833A1 FR1261372A FR1261372A FR2990833A1 FR 2990833 A1 FR2990833 A1 FR 2990833A1 FR 1261372 A FR1261372 A FR 1261372A FR 1261372 A FR1261372 A FR 1261372A FR 2990833 A1 FR2990833 A1 FR 2990833A1
Authority
FR
France
Prior art keywords
suspension device
movable member
suspension
stiffness
elastic body
Prior art date
Legal status (The legal status is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the status listed.)
Granted
Application number
FR1261372A
Other languages
English (en)
Other versions
FR2990833B1 (fr
Inventor
Jacques Lobry
Pascal Lobry
Geraud Cailley
Current Assignee (The listed assignees may be inaccurate. Google has not performed a legal analysis and makes no representation or warranty as to the accuracy of the list.)
Tournadre Standard Gum SA
Original Assignee
Tournadre Standard Gum SA
Priority date (The priority date is an assumption and is not a legal conclusion. Google has not performed a legal analysis and makes no representation as to the accuracy of the date listed.)
Filing date
Publication date
Priority claimed from EP12169155.4A external-priority patent/EP2526835B1/fr
Application filed by Tournadre Standard Gum SA filed Critical Tournadre Standard Gum SA
Priority to FR1261372A priority Critical patent/FR2990833B1/fr
Priority to US13/899,687 priority patent/US9072387B2/en
Priority to ES13168904.4T priority patent/ES2556052T3/es
Priority to EP13168904.4A priority patent/EP2666389B1/fr
Publication of FR2990833A1 publication Critical patent/FR2990833A1/fr
Application granted granted Critical
Publication of FR2990833B1 publication Critical patent/FR2990833B1/fr
Active legal-status Critical Current
Anticipated expiration legal-status Critical

Links

Classifications

    • AHUMAN NECESSITIES
    • A47FURNITURE; DOMESTIC ARTICLES OR APPLIANCES; COFFEE MILLS; SPICE MILLS; SUCTION CLEANERS IN GENERAL
    • A47CCHAIRS; SOFAS; BEDS
    • A47C17/00Sofas; Couches; Beds
    • A47C17/86Parts or details for beds, sofas or couches only not fully covered in a single one of the sub-groups A47C17/02, A47C17/04, A47C17/38, A47C17/52, A47C17/64, or A47C17/84; Drawers in or under beds
    • AHUMAN NECESSITIES
    • A47FURNITURE; DOMESTIC ARTICLES OR APPLIANCES; COFFEE MILLS; SPICE MILLS; SUCTION CLEANERS IN GENERAL
    • A47CCHAIRS; SOFAS; BEDS
    • A47C23/00Spring mattresses with rigid frame or forming part of the bedstead, e.g. box springs; Divan bases; Slatted bed bases
    • A47C23/06Spring mattresses with rigid frame or forming part of the bedstead, e.g. box springs; Divan bases; Slatted bed bases using wooden springs, e.g. of slat type ; Slatted bed bases
    • A47C23/062Slat supports
    • A47C23/067Slat supports adjustable, e.g. in height or elasticity
    • AHUMAN NECESSITIES
    • A47FURNITURE; DOMESTIC ARTICLES OR APPLIANCES; COFFEE MILLS; SPICE MILLS; SUCTION CLEANERS IN GENERAL
    • A47CCHAIRS; SOFAS; BEDS
    • A47C23/00Spring mattresses with rigid frame or forming part of the bedstead, e.g. box springs; Divan bases; Slatted bed bases
    • A47C23/06Spring mattresses with rigid frame or forming part of the bedstead, e.g. box springs; Divan bases; Slatted bed bases using wooden springs, e.g. of slat type ; Slatted bed bases
    • A47C23/062Slat supports
    • A47C23/068Slat supports with additional supports between the ends of the slats
    • AHUMAN NECESSITIES
    • A47FURNITURE; DOMESTIC ARTICLES OR APPLIANCES; COFFEE MILLS; SPICE MILLS; SUCTION CLEANERS IN GENERAL
    • A47CCHAIRS; SOFAS; BEDS
    • A47C7/00Parts, details, or accessories of chairs or stools
    • A47C7/02Seat parts
    • A47C7/35Combinations of different types of springs; Adjustable springs; Attachment of springs to other springs or to the base frame ; Springs for seat parts not provided for in other groups of this subclass

Landscapes

  • Health & Medical Sciences (AREA)
  • General Health & Medical Sciences (AREA)
  • Nursing (AREA)
  • Springs (AREA)
  • Invalid Beds And Related Equipment (AREA)

Abstract

Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) pour un sommier ou une assise, comportant : . une section supérieure (512, 612, 712) munie d'un plateau (514, 614, 714) apte à soutenir un matelas ; . une section inférieure (520, 520', 620, 720) comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, ladite section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension (630, 730) ; . des moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension, comportant un organe mobile (540, 540', 640, 740) par rapport au dispositif de suspension de manière à pouvoir être déplacé au moins entre une première position et une deuxième position pour modifier la raideur du dispositif de suspension. L'organe mobile (540, 540', 640, 740) est muni d'au moins un premier corps élastique qui est configuré pour se déformer élastiquement lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre.

Description

Arrière-plan de l'invention La présente invention concerne le domaine de la suspension élastique des sommiers et des assises pour canapés ou fauteuils. Elle concerne notamment mais pas exclusivement la suspension élastique de lattes d'un sommier de lattes. Elle concerne plus particulièrement un dispositif de suspension pour un sommier ou une assise, comportant : - une section supérieure munie d'un plateau apte à soutenir un matelas ; 10 - une section inférieure comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier ou à l'assise, ladite section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension ; - des moyens pour modifier la raideur du dispositif de 15 suspension. Un tel dispositif de suspension est notamment décrit dans le document FR 2 945 195. Dans ce document, les moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension comportent un organe raidisseur rigide qui vient se loger entre l'une ou l'autre des sections inférieure et 20 supérieure et un organe ressort du dispositif de suspension. Le couplage ainsi réalisé conduit à augmenter la raideur de l'organe ressort, et donc celle du dispositif de suspension. Un inconvénient de ce dispositif de suspension réside dans le fait que la présence de l'organe raidisseur diminue sensiblement l'amplitude 25 de déformation du dispositif de suspension. Un effort important est donc nécessaire pour déformer le dispositif de suspension, ce qui est susceptible de nuire à l'impression de confort donné par le dispositif de suspension. 30 Objet et résumé de l'invention Un but de la présente invention est de proposer un dispositif de suspension de sommier à raideur réglable qui présente une courbe de confort améliorée.
Dans certains modes de réalisation de la présente invention, le dispositif de suspension est un dispositif de suspension pour un sommier ou une assise, comportant : - une section supérieure munie d'un plateau apte à soutenir un matelas ; - une section inférieure comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, ladite section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension ; - des moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension comportant un organe mobile muni d'au moins un premier corps élastique. Ainsi, l'organe mobile est élastiquement déformable de manière à participer activement à la modulation de la raideur du dispositif de 15 suspension. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut présenter une première position dans laquelle l'organe mobile présente une première raideur lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections 20 supérieure et inférieure avec ladite première raideur. En particulier, dans la première position, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le premier corps élastique peut adopter une première configuration apte à se déformer élastiquement pour exercer une force de rappel avec une première raideur RI.. Ainsi, 25 dans cette première position, le premier corps élastique peut présenter cette première raideur Ri lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension et réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur Ri. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut présenter 30 une autre position, dite « deuxième position », qui est distincte de la première position, et dans laquelle l'organe mobile n'est pas apte à réaliser ledit couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. 35 En particulier, dans la deuxième position, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le premier corps élastique peut être tel qu'il n'est pas apte à exercer ladite force de rappel avec ladite première raideur R1 et n'est pas apte à réaliser ledit couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur Ri. Dans certains modes de réalisation, les moyens de suspension peuvent présenter une raideur dite « de suspension » Rs lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, et les moyens de suspension et l'organe mobile peuvent être configurés pour que ladite raideur de suspension Rs ne varie pas, lorsque l'organe mobile est amené d'une position à une autre (en particulier lorsque l'organe mobile est déplacé entre la première position et la deuxième position). En particulier, la valeur de la raideur de suspension Rs peut être indépendante de la position qu'occupe l'organe mobile par rapport au dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, les moyens de suspension 15 peuvent être aptes à se déformer élastiquement avec une capacité de déplacement (une ampleur de déplacement ou de déformation) qui ne varie pas lorsque l'organe mobile est amené d'une position à une autre (en particulier lorsque l'organe mobile est déplacé entre la première position et la deuxième position). 20 Ainsi, les moyens de suspension peuvent adopter une configuration dite « de suspension » qui, pour exercer une force de rappel avec la raideur de suspension Rs précitée, est apte à se déformer élastiquement avec une capacité de déplacement prédéterminée, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension ; et les moyens de suspension et 25 l'organe mobile peuvent être configurés pour que ladite configuration de suspension demeure inchangée lorsque l'organe mobile est amené d'une position à une autre. En particulier, ladite capacité de déplacement peut être indépendante de la position qu'occupe l'organe mobile par rapport au 30 dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, le dispositif peut être tel que, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile adopte sa première position, la section supérieure et la section inférieure se déplacent l'une par rapport à l'autre sur une course 35 de déplacement prédéterminée, et les moyens de suspension et le premier corps élastique sont comprimés et se déforment élastiquement simultanément sur au moins une partie de ladite course de déplacement. Ainsi, les moyens de suspension et le premier corps élastique de l'organe mobile dans sa première position peuvent être couplés en parallèle sur au moins cette partie de ladite course de déplacement, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. La raideur de suspension Rs et la première raideur R1 peuvent alors être couplées en parallèle sur au moins cette partie de ladite course de déplacement.
En particulier, ces raideurs Rs et R1 peuvent s'additionner mutuellement sur au moins cette partie de ladite course de déplacement, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile occupe sa première position. Dans certains modes de réalisation, les moyens de suspension peuvent présenter la raideur de suspension Rs lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique principal entre les sections supérieure et inférieure avec ladite raideur Rs, tandis que le premier corps élastique peut présenter la première raideur R1 lorsque cette pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile occupe sa première position, de manière à réaliser un couplage élastique secondaire (d'appoint) entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur R1. En particulier, ces couplages élastiques principal et secondaire 25 peuvent être réalisés distinctement l'un de l'autre et s'additionner mutuellement sur au moins une partie de la course de déplacement précitée, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile occupe sa première position. Dans certains modes de réalisation, le premier corps élastique de 30 l'organe mobile dans sa première position peut se comprimer et se déformer élastiquement qu'après un léger déplacement de la section supérieure et de la section inférieure l'une par rapport à l'autre, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. En particulier, le couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec la 35 première raideur, qui résulte de la compression et de la déformation élastique du premier corps élastique lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile adopte sa première position, peut n'être effectivement réalisé qu'après ce léger déplacement de la section supérieure et de la section inférieure l'une par rapport à l'autre.
Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que, dans la deuxième position, le premier corps élastique présente une deuxième raideur, différente de la première raideur, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur. Ainsi, dans cette deuxième position, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le premier corps élastique peut adopter une deuxième configuration, distincte de la première configuration, apte à se déformer élastiquement pour exercer une force de rappel avec une deuxième raideur R2, différente de la première raideur R1, et réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur R2. Dès lors, lorsque l'organe mobile est amené dans sa deuxième position à partir de sa première position, le premier corps élastique n'est plus apte à exercer une force de rappel avec la première raideur R1 et n'est plus apte à réaliser de couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur R1. Au contraire, le premier corps élastique devient alors apte à exercer une force de rappel avec la deuxième raideur R2 et apte à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur R2. En particulier, on peut avantageusement obtenir deux raideurs différentes R1 et R2 avec un seul et unique premier corps élastique, simplement en agençant différemment ce premier corps élastique par rapport au dispositif de suspension, par le jeu du déplacement de l'organe mobile entre sa première position et sa deuxième position. Dans certains modes de réalisation, le premier corps élastique peut être configuré pour se déformer élastiquement lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. On comprend que, dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension pour sommier ou assise peut être tel qu'il comporte : - une section supérieure munie d'un plateau apte à soutenir un matelas ; - une section inférieure comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, ladite section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension ; - des moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension, comportant un organe mobile par rapport au dispositif de suspension de manière à pouvoir être déplacé au moins entre une première position et une deuxième position pour modifier la raideur du dispositif de suspension. Cet organe mobile peut être muni d'au moins un premier corps élastique qui est configuré pour se déformer élastiquement lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre.
En particulier, le premier corps élastique peut adopter une première configuration de forme, lorsque l'organe mobile adopte sa première position, et une deuxième configuration de forme, distincte de la première, lorsque l'organe mobile adopte sa deuxième position. Le passage d'une configuration de forme à l'autre peut s'effectuer par une déformation élastique du premier corps élastique qui est provoquée par un déplacement de l'organe mobile d'une position à l'autre. En outre, puisque cette déformation élastique résulte d'un déplacement de l'organe mobile d'une position à l'autre, cette déformation élastique peut être opérée pendant que les moyens de suspension demeurent au repos (i.e. opérée sans devoir appliquer de pression sur le dispositif de suspension visant à un rapprochement des sections supérieure et inférieure l'une par rapport à l'autre). Dans certains modes de réalisation, la première configuration de forme peut être telle que, dans la première position, le premier corps élastique présente une première raideur lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur. Dans certains modes de réalisation, la première configuration de forme peut être telle que, dans la première position, le premier corps élastique est contraint dans un premier état de déformation élastique, qui permet au premier corps élastique, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de présenter la première raideur. Un tel premier état de déformation peut exister en l'absence de toute pression appliquée sur le dispositif par un opérateur et être amplifié lorsqu'une telle pression est appliquée.
Dans certains modes de réalisation, le corps mobile peut être configuré de manière à ce que la première configuration de forme soit une première configuration de compression du premier corps élastique selon la direction de rapprochement des sections supérieure et inférieure l'une par rapport à l'autre.
Dans certains modes de réalisation, la deuxième configuration de forme peut être telle que, dans la deuxième position, le premier corps élastique présente une deuxième raideur lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur.
Dans certains modes de réalisation, la deuxième configuration de forme peut être telle que, dans la deuxième position, le premier corps élastique est contraint dans un deuxième état de déformation élastique, qui permet au premier corps élastique, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de présenter la deuxième raideur. Un tel deuxième état de déformation peut exister en l'absence de toute pression appliquée sur le dispositif par un opérateur et être amplifié lorsqu'une telle pression est appliquée. Dans certains modes de réalisation, le corps mobile peut être configuré de manière à ce que la deuxième configuration de forme soit une deuxième configuration de compression du premier corps élastique selon la direction de rapprochement des sections supérieure et inférieure l'une par rapport à l'autre. Dans certains modes de réalisation, le passage d'une configuration de forme à l'autre peut être effectué par flambage (flambement) du premier corps élastique provoqué par le passage de l'organe mobile d'une position à l'autre. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter un corps de base monté mobile sur le dispositif de suspension ; et une languette élastique, en tant que premier corps élastique, qui présente une première extrémité par laquelle cette languette est liée audit corps de base, et une deuxième extrémité qui est libre de s'écarter et de se rapprocher du corps de base par flexion de la première extrémité (qui fait alors office de point de flexion pour la languette) et qui est configurée pour coopérer avec le dispositif de suspension de manière à ce que la languette réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans ces modes, lorsque l'organe mobile est déplacé entre sa première position et sa deuxième position, la position de la première extrémité de la languette est déplacée de manière à faire varier la capacité de flexion de la languette par rapport au corps de base et, partant, de faire varier, entre ses valeurs RI. et R2, la raideur de la force de rappel qu'oppose la languette au déplacement relatif de la section supérieure par rapport à la section inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, le premier corps élastique peut être apte à adopter une première configuration de flexion, lorsque l'organe mobile occupe sa première position, et une deuxième configuration de flexion (différente de la première), lorsque l'organe mobile occupe sa deuxième position, de manière à faire varier la résistance qu'oppose le premier corps élastique à sa flexion et, partant, de faire varier, entre ses valeurs RI. et R2, la raideur de la force de rappel qu'oppose le premier corps élastique au déplacement relatif de la section supérieure par rapport à la section inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter une lame flexible, en tant que premier corps élastique, apte à être disposée entre les sections inférieure et supérieure, respectivement dans la première configuration de flexion, lorsque l'organe mobile occupe sa première position, et dans la deuxième configuration de flexion (différente de la première), lorsque l'organe mobile occupe sa deuxième position, de manière à faire varier la résistance qu'oppose la lame flexible à sa flexion et, partant, de faire varier, entre ses valeurs R1 et R2, la raideur de la force de rappel qu'oppose cette lame au déplacement relatif de la section supérieure par rapport à la section inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension.
Dans certains modes de réalisation, le premier corps élastique peut être configuré pour se déformer élastiquement au moins dans un plan transverse parallèle à la direction d'espacement des sections supérieure et inférieure l'une par rapport à l'autre lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. Dans certains modes de réalisation, cette direction d'espacement peut correspondre à une direction perpendiculaire au plateau de la section supérieure, de sorte que le plan transverse peut correspondre à un plan perpendiculaire à ce plateau. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut comprendre un plan de symétrie et être configuré de manière à ce que le plan transverse soit, au choix, parallèle ou perpendiculaire au plan de symétrie. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que la section supérieure comporte au moins un logement (par exemple deux logements) pour accueillir l'extrémité d'une latte selon une direction d'insertion. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que le plan transverse est, au choix, parallèle ou perpendiculaire à cette direction d'insertion. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que les moyens de suspension comprennent au moins deux éléments de suspension espacés selon une direction longitudinale du dispositif, et le plan transverse peut être perpendiculaire à cette direction longitudinale. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être apte à pivoter par rapport au dispositif de suspension autour d'au moins un premier axe de rotation pour passer d'une position à l'autre. Dans certains modes de réalisation, le premier axe de rotation peut être, au choix, parallèle ou perpendiculaire au plan du plateau (i.e. au choix, perpendiculaire ou parallèle à la direction d'espacement des sections supérieure et inférieure). Dans certains modes de réalisation, le premier axe de rotation peut être, au choix, perpendiculaire ou parallèle au plan transverse précité. Dans certains modes de réalisation, le premier axe de rotation peut être espacé de la section supérieure, notamment selon la direction d'espacement des sections supérieure et inférieure.
Dans certains modes de réalisation, le premier axe de rotation peut être solidaire de la section inférieure. Dans certains modes de réalisation, le premier corps élastique peut être agencé entre le premier axe de rotation et la section supérieure.
Dans certains modes de réalisation, la première configuration de forme peut être obtenue en contraignant le premier corps élastique dans un premier état de déformation élastique entre le premier axe de rotation et la section supérieure. Dans certains modes de réalisation, la deuxième configuration de forme peut être obtenue en contraignant le premier corps élastique dans un deuxième état de déformation élastique entre le premier axe de rotation et la section supérieure. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comprendre un premier corps de base qui est solidaire du premier axe de 15 rotation. Dans certains modes de réalisation, le premier corps de base peut être formé d'un seul tenant avec le premier axe de rotation. Dans ce cas, le pivotement de l'organe mobile autour du premier axe de rotation peut être effectué par élasticité de l'organe mobile, par exemple en agençant le 20 premier axe de rotation et le premier corps de base en une articulation (notamment une charnière) faite d'un seul tenant. Dans certains modes de réalisation, le premier corps de base peut être dissocié du premier axe de rotation et être configuré pour être monté sur cet axe. Dans ce cas, le premier corps de base peut comprendre une 25 portion de pince configurée pour solidariser le premier axe de rotation avec le premier corps de base par effet de clipsage. Dans certains modes de réalisation, le premier axe de rotation peut être formé d'un seul tenant avec la section inférieure. Dans certains modes de réalisation, le premier corps de base peut 30 être relié à une portion inférieure du premier corps élastique. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être muni d'au moins un deuxième corps élastique qui est apte à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec une raideur associée, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de 35 suspension tandis que l'organe mobile occupe sa première position, et qui n'est pas apte à réaliser ledit couplage élastique avec ladite raideur associée, lorsque l'organe mobile adopte la deuxième position. On comprend que, dans la première position, le deuxième corps élastique présente une raideur associée (différente ou égale à la première raideur précitée du premier corps élastique) lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite raideur associée. Dans certains modes de réalisation, le deuxième corps élastique est solidaire en déplacement avec le premier corps élastique lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. Dans ce cas, il peut être profité du changement de configuration de forme du premier corps élastique, lors du passage de l'organe mobile d'une position à l'autre, pour permettre au deuxième corps élastique d'être déplacé par ce premier corps élastique entre deux configurations distinctes pour faire varier la raideur du dispositif de suspension dans son ensemble. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être configuré pour que, dans la première position, le deuxième corps élastique réalise le couplage élastique entre la section supérieure et le premier axe de rotation avec la raideur associée, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, le premier corps de base peut être apte à coopérer avec le deuxième corps élastique pour réaliser le couplage élastique entre la section supérieure et le premier axe de rotation avec la raideur associée, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile occupe sa première position. Dans certains modes de réalisation, le premier corps de base peut être, au choix, rigide ou bien présenter une certaine souplesse, de manière à participer activement au couplage élastique entre la section supérieure et le premier axe de rotation. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être configuré pour que, dans la deuxième position, le deuxième corps élastique ne réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être apte à pivoter par rapport au dispositif de suspension autour d'un deuxième axe de rotation. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être amené d'une position à l'autre au moins par rotation de l'organe mobile autour des premier et deuxième axes de rotation. Dans certains modes de réalisation, les caractéristiques du dispositif de suspension relatives à ce deuxième axe de rotation peuvent être analogues à celles relatives au premier axe de rotation, de sorte que leur description sera omise dans un seul souci de concision, tant bien même leur possible incorporation par le deuxième axe de rotation fait partie intégrante du présent exposé. Dans certains modes de réalisation, les premier et deuxième axes de rotation peuvent être parallèles entre eux.
Dans certains modes de réalisation, les premier et deuxième axes de rotation peuvent être espacés selon la direction d'espacement des sections supérieure et inférieure. Dans certains modes de réalisation, le deuxième axe de rotation peut être solidaire de la section supérieure.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comprendre un deuxième corps de base qui est solidaire du deuxième axe de rotation. Dans certains modes de réalisation, ce deuxième corps de base peut être relié à une portion supérieure du premier corps élastique.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être formé d'un seul tenant. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être monté coulissant par rapport au dispositif de suspension selon une direction de coulissement.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être amené d'une position à l'autre au moins par rotation de l'organe mobile autour du premier axe de rotation et par coulissement de l'organe mobile selon la direction de coulissement. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comprendre une partie de coulissement qui est solidaire de la section supérieure et apte à être translatée selon la direction de coulissement lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que l'organe mobile présente une troisième position, distincte de la première position et de la deuxième position, dans laquelle le premier corps présente une troisième raideur, différente de la première raideur et de la deuxième raideur, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite troisième raideur.
Ainsi, dans cette troisième position, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le premier corps élastique peut adopter une troisième configuration, distincte de la première configuration, apte à se déformer élastiquement pour exercer une force de rappel avec une troisième raideur R3, différente de la première raideur R1 et de la deuxième raideur R2, et réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite troisième raideur R3. En particulier, on peut avantageusement obtenir trois raideurs différentes R1, R2 et R3 avec un seul et unique premier corps élastique, simplement en agençant différemment ce premier corps élastique par rapport au dispositif de suspension, par le jeu du déplacement de l'organe mobile entre ses différentes positions. Dès lors, l'organe mobile permet de moduler la raideur du dispositif de suspension selon trois positions, rigide, souple, et mi-souple. En outre, cette troisième raideur R3 peut avantageusement être 25 obtenue par extension et par analogie avec les moyens mis en oeuvre dans les modes de réalisation ci-avant détaillés pour obtenir la deuxième raideur R2. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que, dans la deuxième position, le premier corps élastique ne 30 réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. On comprend que, dans ces modes de réalisation, le dispositif peut comporter : 35 - une section supérieure munie d'un plateau apte à soutenir un matelas ; - une section inférieure comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, ladite section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension; des moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension comportant un organe mobile, lequel l'organe mobile peut être muni d'au moins un premier corps élastique (par exemple, un premier corps élastique du type de ceux précédemment décrits), et présenter : 10 une première position dans laquelle le premier corps élastique réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, et une deuxième position, distincte de la première position, dans laquelle le premier corps élastique ne réalise pas de couplage élastique 15 entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. En particulier, le dispositif de suspension peut être tel que, dans la deuxième position, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le premier corps élastique n'est pas sollicité. 20 Ainsi, dans cette deuxième position, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le premier corps élastique peut être dans un état de repos dans lequel il ne se déforme pas élastiquement, de sorte qu'il n'est pas apte à exercer une force de rappel et à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et 25 inférieure. En d'autres termes, dans la deuxième position, le premier corps élastique oppose une deuxième raideur R2 nulle au déplacement des sections supérieure et inférieure l'une par rapport à l'autre, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Par ailleurs, le dispositif de suspension peut alors être tel que, dans 30 cette deuxième position, les moyens de suspension et le premier corps élastique ne sont pas aptes à être couplés en parallèle, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dès lors, seule la raideur de suspension Rs peut s'opposer au déplacement des sections supérieure et inférieure l'une par rapport à l'autre, lorsqu'une pression est 35 appliquée sur le dispositif de suspension.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut présenter une troisième position, distincte de la première position et de la deuxième position, dans laquelle le premier corps élastique présente une deuxième raideur, différente de la première raideur, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur. Ainsi, l'organe mobile permet de moduler la raideur du dispositif de suspension selon trois positions, rigide, souple, et mi-souple. En outre, cette troisième position peut avantageusement être obtenue en mettant en oeuvre des caractéristiques analogues à celles précédemment décrites pour les modes de réalisation dans lesquels la deuxième position de l'organe mobile permet au premier corps élastique de se déformer élastiquement pour présenter une raideur non nulle, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter en outre un deuxième corps élastique, et le dispositif de suspension peut être tel que, dans la deuxième position, le deuxième corps élastique présente, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, une deuxième raideur différente de la première raideur que présente le premier corps élastique dans la première position, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur. Dans certains modes de réalisation, ce deuxième corps élastique peut être dissocié et solidaire en déplacement avec le premier corps élastique. Dans certains modes de réalisation, le deuxième corps élastique peut présenter une raideur différente de celle du premier corps élastique, et, dans la deuxième position, le deuxième corps élastique peut réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Ainsi, dans la deuxième position, le couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure peut être réalisé par le deuxième corps élastique et non pas par le premier corps élastique. Dès lors, dans la deuxième position, les moyens de suspension peuvent avantageusement être couplés en parallèle avec le deuxième corps élastique sur au moins une partie de la course de déplacement de la section supérieure par rapport à la section inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. De préférence, la raideur du deuxième corps élastique est supérieure (ou inférieure) à celle du premier corps élastique. Pour ce faire, on pourra par exemple prévoir que le deuxième corps élastique présente une épaisseur supérieure (ou inférieure) à celle du premier corps élastique. Dans une alternative, on pourra choisir des matériaux présentant des raideurs différentes.
Par conséquent, on comprend que, dans la deuxième position, le dispositif de suspension présente une raideur supérieure (ou inférieure) à celle qu'il présente lorsque l'organe mobile est dans la première position. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter en outre un troisième corps élastique, et présenter en outre une troisième position dans laquelle le troisième corps élastique présente, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, une troisième raideur différente des première et deuxième raideurs que présentent les premier et deuxième corps élastiques respectivement dans les première et deuxième positions, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite troisième raideur. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter en outre un troisième corps élastique ayant une raideur différente de celles des premier et deuxième corps élastiques, et l'organe mobile peut présenter en outre une troisième position dans laquelle le troisième corps élastique réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Ainsi, dans cette troisième position, les moyens de suspension peuvent avantageusement être couplés en parallèle avec le troisième corps élastique sur au moins une partie de la course de déplacement de la section supérieure par rapport à la section inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. De préférence, mais non exclusivement, le troisième corps élastique présente une raideur supérieure à celle des premier et deuxième corps élastiques. Par suite, dans la troisième position, le dispositif de suspension présente une raideur supérieure à celle qu'il présente lorsque l'organe mobile est dans la première ou dans la deuxième position.
Ainsi, l'organe mobile peut permettre de moduler la raideur du dispositif de suspension selon trois positions, rigide, souple, et mi-souple. Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension peut être tel que, dans la deuxième position, l'organe mobile ne réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Il peut s'agir d'une position « débrayée ». La raideur du dispositif de suspension n'est donc pas modifiée par l'organe mobile. En d'autres termes, dans cette deuxième position, les moyens de suspension sont découplés de l'organe mobile.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter en outre un deuxième corps élastique, et présenter en outre une troisième position dans laquelle le deuxième corps élastique présente, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, une deuxième raideur différente de la première raideur que présente le premier corps élastique dans la première position, de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec la deuxième raideur. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comporter en outre, un deuxième corps élastique ayant une raideur différente de celle du premier corps élastique, et l'organe mobile peut présenter en outre une troisième position dans laquelle le deuxième corps élastique réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Là encore, la raideur du deuxième corps élastique peut être supérieure ou inférieure à celle du premier corps élastique de manière à moduler la raideur du dispositif de suspension. Les raideurs différentes pourront être obtenues en choisissant des matériaux différents ou des épaisseurs différentes d'un même matériau. Ainsi, dans ces modes de réalisation, on peut donc disposer d'une position débrayée et d'une ou deux positions pour lesquelles la raideur du dispositif de suspension est augmentée. Dans certains modes de réalisation, le premier corps élastique peut présenter au moins une partie de contact qui, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile adopte sa première position, est apte à coopérer avec ledit dispositif de suspension pour provoquer une déformation élastique du premier corps élastique avec la première raideur, et lorsque l'organe mobile est amené d'une position à une autre, ladite partie de contact peut être déplacée selon au moins une direction parallèle au plateau. Ainsi, le déplacement de cette partie de contact comprend au moins une composante de déplacement selon ladite au moins une direction parallèle au plateau (en particulier, une direction horizontale, lorsque le dispositif de suspension est fixé au sommier, dans des conditions normales d'utilisation). Dans certains modes de réalisation, le dispositif de suspension comprend un support sur lequel ladite partie de contact est apte à prendre appui, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, ce support peut être fixé à (par exemple, formé d'un seul tenant avec), au choix, la section inférieure ou la section supérieure du dispositif de suspension.
Dans certains modes de réalisation, le support peut être rigide ou bien souple. En particulier, le support peut présenter la forme d'une arche s'étendant selon une direction longitudinale du dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, le support peut s'étendre entre les moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, 20 et peut, par exemple, être arrangé de telle sorte que le sommet de l'arche soit dirigé vers la section supérieure. Alternativement, dans certains modes de réalisation, le support peut faire saillie sous la section supérieure de telle sorte que le sommet de l'arche soit dirigé vers la section inférieure. 25 Dans certains modes de réalisation, le dispositif peut comprendre des moyens de suspension secondaires (préférentiellement distincts des moyens de suspension précédemment décrits qui font alors office de moyens de suspension principaux) disposés entre le support (en particulier formés dans le prolongement du sommet de l'arche) et la section 30 supérieure ou la section inférieure, en fonction des modes de réalisations mis en oeuvre, de manière à se déformer élastiquement lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, ces moyens de suspension secondaires présentent au moins une ligne de pliage qui est parallèle, au 35 choix, à la direction transversale ou la direction longitudinale du dispositif de suspension.
Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être monté rotatif par rapport au dispositif de suspension, de sorte que ledit organe mobile est amené d'une position à l'autre par un mouvement de rotation de l'organe mobile.
Un tel montage permet d'obtenir un dispositif de suspension compact et qui permet en outre d'éviter d'égarer l'organe mobile. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être apte à pivoter autour d'un axe parallèle au plateau, par exemple un axe s'étendant selon la direction longitudinale du dispositif de suspension (en particulier, une direction orthogonale à un plan de symétrie du dispositif de suspension, lorsque ce dernier comporte un tel plan de symétrie). Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut présenter la forme générale d'une roue fixée de manière rotative à la section supérieure. On pourrait toutefois fixer la roue de manière rotative à la section inférieure sans sortir du cadre de la présente invention. Avantageusement, la roue est montée rotative autour d'un axe parallèle au plateau. De préférence, l'axe s'étend selon la direction longitudinale du dispositif de suspension. Par exemple, l'axe de la roue peut être orthogonal à un plan de symétrie du dispositif de suspension, lorsque ce dernier comporte un tel plan de symétrie. On comprend donc que l'on fait tourner la roue afin de changer la position de l'organe mobile. Dans certains modes de réalisation, la roue comprend une jante, et le ou les corps élastiques sont constitués par une ou plusieurs portions de jante, et lesdites portions de jante sont aptes à prendre appui sur un support fixé à la section inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, par exemple un support du type de ceux précédemment décrits. On comprend donc que la ou les portions de jante présentent une élasticité radiale afin de réaliser le couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure. Dans certains modes de réalisation, la roue peut comporter une première portion de jante et une deuxième portion de jante, la première portion de jante présentant une épaisseur radiale supérieure à celle de la deuxième portion de jante, en conséquence de quoi la première portion de jante présente une raideur supérieure à celle de la deuxième portion de jante.
Dans certains modes de réalisation, la jante peut présenter en outre un évidement angulaire. Dans une première position de l'organe mobile, la première portion de jante peut être positionnée entre le support et le plateau, de sorte que la première portion de jante réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans cette première position, le dispositif de suspension peut présenter une grande raideur, lorsque les moyens de suspension et la première portion de jante sont couplés.
Dans la deuxième position de l'organe mobile, l'évidement peut être positionné entre le support et le plateau, de sorte qu'il n'y a pas de couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. L'évidemment permet donc de réaliser la position « débrayée ». Il s'agit donc de la position dans laquelle le dispositif de suspension présente la plus grande souplesse. Dans la troisième position de l'organe mobile, la deuxième portion de jante peut être positionnée entre le support et le plateau, de sorte que la deuxième portion de jante réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Lorsque la deuxième portion de jante présente une raideur inférieure à celle de la première portion de jante, on comprend que, dans cette troisième position, le dispositif de suspension présente une raideur moins importante que dans la première position.
Afin d'améliorer la stabilité du dispositif de suspension, ce dernier peut comporter en outre deux éléments de suspension disposés de part et d'autre de la roue, lesdits éléments de suspension reliant de manière élastique le support à la section supérieure. Dans certains modes de réalisation, chaque portion de jante peut comporter une rainure axiale dans laquelle vient se loger le support lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, ce qui permet de verrouiller l'organe mobile dans la position choisie. Dans certains modes de réalisation, la roue peut comporter au moins une butée coopérant avec le plateau et/ou le support de manière à limiter l'amplitude de rotation de l'organe mobile.
Dans certains modes de réalisation, la roue peut comporter des marquages visibles qui sont diamétralement opposés aux portions de jante formant les corps élastiques. Dans certains modes de réalisation, au moins l'une des portions de jante peut comprendre une nervure s'étendant selon la circonférence de la roue de part et d'autre des rainures axiales de manière à éviter la rotation de l'organe mobile pendant qu'une pression est appliquée au dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être apte à pivoter autour d'un axe perpendiculaire au plateau. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être monté rotatif autour d'un axe perpendiculaire au plateau, et le ou les corps élastiques peuvent être constitués par une pluralité de lames-ressorts qui s'étendent selon une direction perpendiculaire au plateau, lesdites lames-ressorts étant aptes à prendre appui sur le support fixé à la section inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. La rotation de la roue permet donc de modifier la raideur du dispositif de suspension en changeant la position de l'organe mobile. Les lames-ressorts peuvent présenter des raideurs différentes. Par suite, la raideur du dispositif de suspension peut dépendre de la raideur de lames-ressorts qui prennent appui sur le support. De préférence, les lames-ressorts présentent des épaisseurs différentes de manière à présenter des raideurs différentes.
Avantageusement, le premier corps élastique est constitué de deux lames-ressorts, de préférence ondulées, qui s'étendent depuis la périphérie d'un disque fixé à une extrémité inférieure de l'organe mobile, les deux lames-ressorts étant diamétralement opposées. Préférentiellement, le deuxième corps élastique est également 30 constitué de deux lames-ressorts diamétralement opposées, dont l'épaisseur est différente de celle des lames-ressorts du premier corps élastique, qui s'étendent aussi depuis la périphérie du disque. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile est monté coulissant selon une direction transversale du dispositif de suspension, de 35 sorte que l'organe mobile est amené d'une position à l'autre par un mouvement de translation.
Avantageusement, le ou les corps élastiques sont constitués par une ou plusieurs lames élastiques aptes à prendre appui sur un support, de préférence en forme d'arche, fixée à la section inférieure. Les lames élastiques présentent des raideurs différentes. Pour ce faire, elles présentent des épaisseurs différentes. Dans certains modes de réalisation, le plateau peut comporter avantageusement une ouverture s'étendant selon une direction orthogonale du plateau, et une partie de l'organe mobile peut traverser ladite ouverture de manière à pouvoir être actionnée par un opérateur.
Dans certains modes de réalisation précités, la roue peut faire légèrement saillie au travers de l'ouverture de sorte que l'opérateur puisse voir les marquages et actionner aisément l'organe mobile. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut comprendre une portion d'actionnement et le plateau comporter une ouverture par l'intermédiaire de laquelle la portion d'actionnement fait au moins en partie saillie du plateau pour pouvoir être actionnée par un opérateur. Dans certains modes de réalisation, l'organe mobile peut être monté soit sur la section inférieure, soit sur la section supérieure du dispositif de suspension. Dans certains modes de réalisation, les moyens de suspension peuvent être constitués de deux parois arquées s'étendant entre la section inférieure et la section supérieure, chacune des parois arquées comportant une extrémité fixée à la section inférieure et une autre extrémité fixée à la section supérieure. L'organe mobile est préférentiellement disposé entre les deux parois arquées. On ajoute que le dispositif de suspension selon l'invention est de préférence, mais non exclusivement, un embout de lattes de sommier, généralement destiné à être fixé à un long pan de sommier. Pour ce faire, le plateau est muni d'au moins deux logements de lattes. De préférence, l'organe mobile est disposé entre les deux logements de lattes. Selon une variante, le plateau est dépourvu de logement de lattes et n'a qu'un rôle de support de matelas.
Brève description des dessins 2 990 833 23 L'invention sera mieux comprise et ses avantages apparaîtront mieux à la lecture de la description qui suit, de modes de réalisation indiqués à titre d'exemples non limitatifs. La description se réfère aux dessins annexés sur lesquels : 5 la figure 1 est une vue de face d'un premier mode de réalisation du dispositif de suspension selon l'invention dans lequel l'organe mobile est une roue montée rotative autour d'un axe parallèle au plateau, et dans lequel le plateau comporte deux logements pour lattes; 10 - la figure 2 est une vue de dessus du dispositif de suspension de la figure 1, l'organe mobile étant placé dans sa troisième position ; les figures 3A à 3C représentent, en vue de côté en coupe, le dispositif de suspension de la figure 1 dans ses trois positions, la 15 figure 3D montrant la déformation du dispositif lorsque une pression est appliquée ; la figure 4 est une vue en perspective du dispositif de suspension de la figure 1; - la figure 5 est une vue en perspective de l'organe mobile du 20 dispositif de suspension de la figure 1; - la figure 6 est une vue de face d'une première variante au dispositif de suspension de la figure 1, dans laquelle le plateau est dépourvu de logements pour lattes ; la figure 7 est une vue de face d'un deuxième mode de 25 réalisation du dispositif de suspension selon l'invention dans lequel l'organe mobile est monté rotatif autour d'un axe orthogonal au plateau ; - la figure 8 est une vue de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 7 ; 30 la figure 9 est une vue en perspective du dispositif de suspension de la figure 7 ; la figure 10 est une vue en perspective du dispositif de suspension de la figure 7 montrant le disque de l'organe mobile portant les lames-ressorts ; la figure 11 est une vue en perspective de l'organe mobile du dispositif de suspension de la figure 7 ayant deux corps élastiques constitués de deux paires de lames-ressorts ; la figure 12 est une variante de l'organe mobile de la figure 11, où l'organe mobile possède trois corps élastiques constitués de trois paires de lames-ressorts ; - la figure 13 est une vue de face d'un troisième mode de réalisation du dispositif de suspension selon l'invention dans lequel l'organe mobile est un tiroir coulissant selon la direction transversale du dispositif de suspension ; la figure 14 est une vue de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 13 ; la figure 15 est une vue en perspective du dispositif de suspension de la figure 13 montrant la surface supérieure du plateau et le curseur de l'organe mobile ; la figure 16 est une vue en perspective du dispositif de suspension de la figure 13 montrant les premier, deuxième et troisième corps élastiques de l'organe mobile ; et les figures 17A et 17B sont des vues en perspective de l'organe mobile du dispositif de suspension de la figure 13 ; la figure 18 est une vue de face d'une deuxième variante au dispositif de suspension de la figure 1; - la figure 19 est une vue de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 18 ; la figure 20 est une vue en perspective du dispositif de suspension de la figure 18 ; - la figure 21 est une vue en perspective d'une troisième variante au dispositif de suspension de la figure 1; - la figure 22 est une vue sensiblement de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 21 ; - la figure 23 est une vue en perspective d'une quatrième variante au dispositif de suspension de la figure 1; - la figure 24 est une vue de face du dispositif de suspension de la figure 23 ; 2 99083 3 25 les figures 25A, 25B et 25C sont des vues de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 23, montrant l'organe mobile respectivement dans trois positions différentes ; la figure 26 est une vue en perspective d'une cinquième variante 5 au dispositif de suspension de la figure 1; - la figure 27 est une vue de face du dispositif de suspension de la figure 26 ; les figures 28A, 28B et 28C sont des vues de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 26, montrant l'organe 10 mobile respectivement dans trois positions différentes ; les figures 29 et 30 sont des vues en perspective d'un quatrième mode de réalisation d'un dispositif de suspension selon la présente invention ; - la figure 31 est une vue de face du dispositif de suspension de 15 la figure 29 ; - la figure 32 est une vue d'un premier côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 29 ; les figures 33A, 33B et 33C sont des vues du côté opposé audit premier côté du dispositif de suspension de la figure 29, 20 montrant l'organe mobile respectivement dans trois positions différentes ; - la figure 34 est une vue en perspective d'une première variante au dispositif de suspension de la figure 29 ; - la figure 35 est une vue de face du dispositif de suspension de 25 la figure 34 ; - les figures 36A et 36B sont des vues de côté en coupe du dispositif de suspension de la figure 34, montrant l'organe mobile respectivement dans deux positions différentes ; - la figure 37 est une vue de face d'une deuxième variante au 30 dispositif de suspension de la figure 29 ; - la figure 38 est une vue en perspective du dispositif de la figure 37 ; la figure 39 est une vue en coupe du dispositif de la figure 37; - les figures 40 à 42 sont des vues analogues respectivement aux figures 37 à 39, avec l'organe mobile occupant une autre position ; - les figures 43 et 44 sont des vues en coupe partielle et en perspective d'une troisième variante au dispositif de suspension de la figure 29.
Description détaillée de l'invention On va maintenant décrire plusieurs modes de réalisation du dispositif de suspension à raideur réglable selon l'invention. Comme mentionné ci-dessus, le dispositif de suspension peut être un embout de lattes ou bien un système de suspension supportant un matelas. Sans sortir du cadre de la présente invention, le dispositif de suspension pourrait également être monté dans une assise de canapé ou de fauteuil. A l'aide des figures 1 à 5, on va décrire un premier mode de réalisation du dispositif de suspension selon l'invention. La figure 1 montre un dispositif de suspension 10 qui est de préférence réalisé dans une matière plastique souple de type élastomère. Ce dispositif de suspension 10 présente une section supérieure 12 munie d'un plateau 14 qui comporte deux logements 16,18 pour accueillir l'extrémité de deux lattes (non représentées ici) selon une direction d'insertion référencée D. Ces deux lattes sont parallèles et s'étendent dans un plan, appelé plan de couchage. Le plateau 14 est destiné à recevoir une portion latérale d'un matelas, étant entendu que la portion centrale du matelas est supportée par les lattes. Dans la suite, on appellera « direction longitudinale » du dispositif de suspension, la direction DL qui est orthogonale au plan de symétrie P du dispositif de suspension, étant précisé que ce plan de symétrie est parallèle à la direction longitudinale des lattes et orthogonal au plateau 14. En outre, on appellera « direction transversale » du dispositif de suspension, la direction DT qui est orthogonale à la direction DL précitée et parallèle à la direction D d'insertion des lattes. L'épaisseur du dispositif de suspension est considérée selon cette direction transversale. Pour sa fixation au sommier, le dispositif de suspension 10 comporte, dans sa section inférieure 20, des moyens d'ancrage 22 en 35 forme de manchon qui sont destinés à coopérer avec des tenons fixés dans un long pan du sommier.
On constate également que le dispositif de suspension 10 de cet exemple comporte, dans sa section inférieure 20, un logement additionnel 24 pour recevoir une latte inférieure. Les sections supérieure 12 et inférieure 20 sont reliées entre elles par une section intermédiaire 26 qui comporte des moyens de suspension 28. Dans cet exemple, les moyens de suspension 28 sont constitués de deux parois arquées 30 souples en forme de « C » s'ouvrant vers l'intérieur du dispositif de suspension et qui peuvent se plier selon des lignes de pliage 30a parallèles à la direction transversale du dispositif de suspension 10. Chacune de ces parois arquées 30 présente une première extrémité 30' reliée aux moyens d'ancrage 22 et une seconde extrémité 30", opposée à la première extrémité 30', reliée à la section supérieure 30". On comprend donc que lorsqu'une pression est appliquée au dispositif de suspension, notamment lorsqu'une pression est appliquée sur les lattes, perpendiculairement par rapport au plan de couchage, les parois arquées 30 plient selon leurs lignes de pliage 30a, en présentant un effet ressort. La section supérieure 12 se rapproche donc de la section inférieure 20 lorsqu'une pression est appliquée sur le plateau du dispositif de suspension 10. Conformément à l'invention, le dispositif de suspension 10 comporte en outre des moyens 32 pour modifier la raideur dudit dispositif, lesdits moyens comportant un organe mobile 34. Dans ce premier mode de réalisation, l'organe mobile présente la forme générale d'une roue qui est fixée de manière rotative à la section supérieure 12. Plus précisément, la roue 34 est montée rotative autour d'un axe 36 parallèle au plateau. Pour ce faire, la roue 34 est avantageusement clipsée à l'axe 36. Comme on peut le voir sur la figure 1, l'axe 36 s'étend selon la direction longitudinale DL du dispositif de suspension 10. Qui plus est, cet 30 axe 36 est disposé en dessous du plateau 14, entre !es deux logements 16,18. La roue présente ainsi un plan de symétrie qui coïncide sensiblement avec le plan de symétrie P du dispositif de suspension 10. La roue 34 est avantageusement réalisée dans un matériau souple, par exemple un élastomère. 35 En se référant à nouveau à la figure 1, on constate que le dispositif de suspension 10 comprend en outre un support 38 en forme d'arche 2 99083 3 28 comprenant une portion d'appui 40 qui est reliée aux moyens d'ancrage 22 de la section inférieure 20 par le biais de bras souples 42. De préférence, ce support 38 est souple. En outre, le dispositif de suspension 10 comporte deux éléments de 5 suspension 44 (en tant que moyens de suspension secondaires) disposés de part et d'autre de la roue 34. Ces éléments de suspension, qui se présentent sous la forme de parois arquées en forme de « C », relient le support 38 à la section supérieure 12. Ces éléments de suspension qui permettent d'améliorer la stabilité du dispositif de suspension, sont 10 toutefois facultatifs. En outre, dans cet exemple, ces parois arquées en forme de « C » s'ouvrent vers l'intérieur du dispositif de suspension et peuvent se plier selon des lignes de pliage parallèles à la direction transversale. A l'aide de la figure 3, on va maintenant décrire plus en détail la 15 roue 34. Comme on l'a mentionné ci-dessus, la roue 34 est réalisée dans un matériau souple. La roue 34 comporte un moyeu 46 clipsé à l'axe 36, et une jante 48 reliée au moyeu 46 par des rayons 50. La jante 48 est composée de plusieurs portions de jante, à savoir une première portion de jante 52 constituant un premier corps élastique 20 présentant une première raideur, et une deuxième portion de jante 54 constituant un deuxième corps élastique présentant une deuxième raideur inférieure à la première raideur. Chacune des deux portions de jante est déformable et présente une élasticité radiale. La deuxième portion de jante 54 s'étend angulairement entre les 25 bras 50a et 50b, tandis que la première portion de jante 52 s'étend angulairement entre les bras 50b et 50c. L'écart angulaire entre les bras 50a et 50b de la deuxième portion de jante 54 est supérieur à celui existant entre les bras 50b et 50c de la première portion de jante 52, grâce à quoi la première raideur de la première portion de jante est supérieure à la deuxième raideur de la deuxième portion de jante. On comprend que ces raideurs sont considérées selon une direction radiale. Il est également possible d'augmenter l'épaisseur radiale de la première portion de jante afin d'augmenter encore sa première raideur. Les première et deuxième portions de jante comportent en outre une rainure axiale 52a et 54a dont la fonction sera expliquée ci-dessous.
La jante 34 comporte en outre une troisième portion de jante 58 qui s'étendant angulairement sur environ 180°, ainsi qu'un évidement angulaire 56 défini entre la première portion de jante 52 et la troisième portion de jante 58.
Comme on le voit sur les figures 2 et 4, le plateau 14 comporte une ouverture 60 qui s'étend de préférence selon une direction orthogonale au plateau. Cette ouverture 60 s'étend entre les deux logements de latte 16,18 et débouche de part et d'autre de la section supérieure 12. Une partie de la roue 34 traverse l'ouverture 60 de sorte qu'un opérateur peut aisément actionner la roue, c'est-à-dire la faire tourner autour de l'axe 36, depuis la face supérieure du plateau. Plusieurs marquages sont gravés dans la troisième portion de jante 58, à savoir un « 1 » diamétralement opposé à l'évidement angulaire, un « 3 » diamétralement opposé à la première portion de jante 52, et un 15 « 2 » diamétralement opposé à la deuxième portion de jante 54. Deux flèches sont également gravées dans la troisième portion de jante de manière à indiquer à l'opérateur dans quel sens il doit tourner la roue 34. Ces marquages sont visibles par l'opérateur et lui permettent de régler aisément la raideur du dispositif de suspension en actionnant la 20 roue 34. En outre, de préférence, les portions de jante 52,54 comprennent une nervure 55 s'étendant selon la circonférence de la roue de part et d'autre des rainures axiales de manière à éviter la rotation de l'organe mobile pendant qu'une pression est appliquée au dispositif de suspension. 25 On va maintenant expliquer plus en détail comment fonctionne le réglage de la raideur du dispositif de suspension 10. Dans une première position, représentée sur la figure 3A, le premier corps élastique constitué par la première portion de jante 52 est disposé en regard de la portion d'appui 40 de telle sorte que le premier 30 corps élastique réalise un couplage élastique entre les sections supérieure 12 et inférieure 20 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. La portion d'appui 40 du support 38 vient se loger dans la rainure 52a ménagée dans la première portion de jante 52 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 10, en conséquence 35 de quoi le premier corps élastique 52 appuie sur la portion d'appui du support 38. Il s'ensuit que le premier corps élastique 52 se déforme 2 99083 3 30 élastiquement tout en appuyant sur le support souple 38 qui se déforme à son tour. Par suite, le premier corps élastique agit en série avec le support souple 38, ces derniers agissant en parallèle avec les moyens de suspension 30. On comprend également que la coopération entre la 5 portion d'appui 40 et la rainure 52a permet d'éviter que l'organe mobile 34 ne change de position de façon intempestive. De préférence, mais pas nécessairement, en position de repos (sans pression appliquée sur le dispositif de suspension), on prévoit un jeu J d'environ un millimètre entre la portion d'appui 40 et la première portion 10 de jante 52, et ce afin de faciliter la manipulation de l'organe mobile. Ainsi, dans cette première position, correspondant au marquage «3 », le dispositif de suspension 10 présente une grande raideur. Dans une deuxième position, représentée sur la figure 3B, l'évidement angulaire 56 est disposé en regard de la portion d'appui 40.
Par suite, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 10, la jante de la roue 34 ne vient jamais en contact avec la portion d'appui 40. Il s'ensuit que, dans cette position, correspondant au marquage « 1 », l'organe mobile ne réalise pas un couplage élastique entre les sections supérieure 12 et inférieure 20. Il s'agit d'une position débrayée où l'organe mobile ne modifie pas la raideur intrinsèque du dispositif de suspension. Dans une troisième position, représentée sur la figure 3C, le deuxième corps élastique 54 constitué par la deuxième portion de jante est disposé en regard de la portion d'appui 40 de telle sorte que le deuxième corps élastique 54 réalise un couplage élastique entre les sections supérieure 12 et inférieure 20 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. La portion d'appui 40 du support 38 vient se loger dans la rainure 54a ménagée dans la deuxième portion de jante 54 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 10, en conséquence de quoi le deuxième corps élastique 54 appuie sur la portion d'appui du support souple 38. Il s'ensuit que le deuxième corps élastique 52 se déforme élastiquement et agit en série sur le support souple 38 qui se déforme à son tour, comme cela est représenté sur la figure 3D. On comprend également que le deuxième corps élastique 42 et le support souple 38 agissent en parallèle avec les moyens de suspension 30. Par ailleurs, la coopération entre la portion d'appui 40 et la rainure 54a permet 2 99083 3 31 d'éviter que l'organe mobile 34 ne change de position de façon intempestive. De préférence, en position de repos (sans pression appliquée sur le dispositif de suspension), on prévoit là-encore de préférence, mais pas 5 nécessairement, un jeu J d'environ un millimètre entre la portion d'appui et la deuxième portion de jante 54, et ce afin de faciliter la manipulation de l'organe mobile. Ainsi, dans cette première position, correspondant à au marquage « 2 », le dispositif de suspension 10 présente une raideur moyenne. 10 L'organe mobile 34 peut ainsi prendre trois positions différentes correspondant à des raideurs différentes du dispositif de suspension 10. La fermeté globale du dispositif de suspension 10 dépend donc de la capacité locale de déformation de l'organe mobile 34. En se référant aux figures 3A à 3D et 5, on constate que la roue 34 15 comporte en outre une première butée 62 disposée à une extrémité de la première portion de jante 52, et une seconde butée 64 disposée à une extrémité de la troisième portion de jante 58 qui fait face à la première portion de jante 52. Les première et seconde butées 62,64 permettent de restreindre l'amplitude de rotation de la roue 34 de sorte que la troisième 20 portion de jante 58 ne peut pas être positionnée en regard de la portion d'appui 40. Pour ce faire, la première butée est arrangée pour venir en butée avec la portion d'appui comme cela est représenté sur la figure 3A, tandis que la seconde butée 64 est arrangée pour venir en butée avec le plateau 14, comme on le voit sur la figure 3B. 25 A l'aide de la figure 6, on va maintenant décrire une première variante du premier mode de réalisation décrit ci-dessus. Sur cette figure 6, on a représenté un dispositif de suspension 10' qui comporte une roue 34' similaire à la roue 34 décrite ci-dessus. Le dispositif de suspension 10' diffère du précédent en ce que le plateau 14' 30 de la section supérieure 12' ne comporte pas de logements pour lattes. En outre, la section inférieure 20' comporte des moyens pour permettre la fixation du dispositif à un sommier, ces moyens comprenant une plate-forme de montage. A l'aide des figures 18 à 20, on va maintenant décrire une 35 deuxième variante du premier mode de réalisation décrit ci-dessus.
Dans cette deuxième variante, le dispositif de suspension 10B diffère du dispositif de suspension 10 précédemment décrit en ce que le support 38B en forme d'arche comprend une portion d'appui 40B qui est reliée à la section supérieure 12B par le biais de bras souples. De préférence, ce support 38B est souple. Dans cette variante, le sommet de l'arche est dirigé vers la section inférieure 20B. En outre, le dispositif de suspension 10B comporte deux éléments de suspension 44B (en tant que moyens de suspension secondaires) disposés de part et d'autre de la roue 34B. Ces éléments de suspension, 10 qui se présentent sous la forme de parois arquées en forme de «C », permettent au support 38B de venir prendre appui sur la section inférieure 20B, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. En particulier, les moyens de suspension secondaires comprennent une partie de contact 46B (qui, dans cet exemple relie entre elles les deux 15 éléments de suspension 44B) apte à venir en appui sur la section inférieure 20B, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Dans cet exemple, cette partie de contact 46B est apte à s'étendre au-dessus du logement additionnel 24B de manière à pouvoir prendre 20 appui sur la latte inférieure additionnelle, lorsqu'une telle latte est logée dans ce logement 24B. Lorsqu'une aucune latte inférieure n'est logée dans le logement 24B, une cale 80B, dissociée du dispositif de suspension, peut avantageusement être montée dans le logement 24B (par exemple par 25 clipsage) pour permettre à la partie de contact 46B de prendre appui sur cale 80B en l'absence de l'épaisseur de cette latte inférieure. Pour diminuer le bruit lorsque la partie de contact 46B vient en contact avec la cale 80B, cette dernière peut avantageusement être réalisée dans un matériau amortissant les chocs, tel un matériau 30 caoutchouteux ou élastomère, par exemple du SBS. Par ailleurs, dans cet exemple, les parois arquées en forme de « C» s'ouvrent vers l'intérieur du dispositif de suspension et peuvent se plier selon des lignes de pliage parallèles à la direction transversale. A l'aide des figures 21 et 22, on va maintenant décrire une 35 troisième variante du premier mode de réalisation décrit ci-dessus.
Dans cette troisième variante, le dispositif de suspension 10C diffère du dispositif de suspension 10 précédemment décrit en ce que les moyens de suspension secondaires présentent au moins une ligne de pliage parallèle à la direction longitudinale (et donc perpendiculaire à la direction transversale DT). En particulier, le dispositif de suspension 10C comprend un support 38C comprenant une portion d'appui 40C qui est reliée à la section inférieure 20C par le biais de bras aptes à se plier selon des lignes de pliage parallèles à la direction longitudinale.
En outre, le dispositif de suspension 10C comporte deux éléments de suspension 44C (en tant que moyens de suspension secondaires) disposés de part et d'autre de la roue. Ces éléments de suspension, qui se présentent sous la forme de parois arquées en forme de « C », relient le support 38C à la section supérieure 12C. En outre, dans cet exemple, ces parois arquées en forme de «C » s'ouvrent dans la direction transversale et peuvent se plier selon des lignes de pliage parallèles à la direction transversale. A l'aide des figures 23 à 25C, on va maintenant décrire une quatrième variante du premier mode de réalisation décrit ci-dessus.
Dans cette quatrième variante, le dispositif de suspension 310 diffère du dispositif de suspension 10 précédemment décrit en ce que l'organe mobile 332 est structuré différemment. En particulier, selon cette variante, l'organe mobile 332 comporte un corps de base 334 monté mobile sur le dispositif de suspension.
Dans cet exemple, ce corps de base 334 est en forme de portion de roue, notamment d'une roue sensiblement analogue à celle précédemment décrite pour le dispositif de suspension 10. Ce corps de base 334 est monté pivotant autour d'un axe 336 parallèle au plateau, comme précédemment décrit pour le dispositif de suspension 10. Par ailleurs, dans cet exemple, l'organe mobile 332 comporte en outre une languette élastique 338, en tant que premier corps élastique, qui présente une première extrémité 338A par laquelle cette languette 338 est liée audit corps de base 334, et une deuxième extrémité 338B qui est libre de s'écarter et de se rapprocher du corps de base 334 par flexion de la première extrémité 338A et qui est configurée pour coopérer avec le dispositif de suspension de manière à ce que la languette 338 réalise un couplage élastique entre les sections supérieure 312 et inférieure 320, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Plus particulièrement, dans cet exemple, lorsque l'organe mobile 332 est déplacé entre deux positions particulières, la position de la première extrémité 338A de la languette 338 est déplacée de manière à faire varier la capacité de flexion de languette par rapport au corps de base 334 et, partant, de faire varier la raideur de la force de rappel qu'oppose la languette au rapprochement de la section supérieure 312 par rapport à la section inférieure 320, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. Notamment, dans cet exemple, la deuxième extrémité 338B de la languette 338 est apte à prendre appui sur une portion d'appui 340 du dispositif de suspension. Par exemple, cette portion d'appui 340 peut être reliée à la section inférieure 320 par le biais de bras souples, en particulier d'une manière analogue à celle décrite pour la troisième variante décrite ci-dessus. Plus particulièrement, dans cet exemple, la deuxième extrémité 338B est apte à coopérer avec le dispositif de suspension (en particulier avec la portion d'appui 340) en deux lieux distincts l'un de l'autre, en fonction de la position qu'occupe l'organe mobile 332. Il en résulte que la capacité de déplacement de languette élastique 338 varie lorsque l'organe mobile 332 est déplacé, par exemple entre les deux positions illustrées aux figures 25B et 25C.
Notamment, la capacité de déplacement de la languette 338, dans une direction de rapprochement (en particulier la direction DV illustrée sur les figures 25A à 25C) de la section supérieure 312 par rapport à la section inférieure 320, peut dépendre des positions relatives, selon cette direction de rapprochement, du point de flexion de la languette 338 (i.e. sa première extrémité 338A) et son extrémité libre (i.e. sa deuxième extrémité 338B). Ainsi, en fonction de la position qu'occupe l'organe mobile 332, ces positions relatives peuvent être plus espacées (d'une distance Hl sur la figure 25B) pour permettre une plus grande capacité de déplacement et opposer une raideur plus faible, ou au contraire plus rapprochées (d'une distance H2 sur la figure 25C, qui est plus petite que 2 99083 3 35 H1) pour réduire la capacité de déplacement et opposer une raideur plus importante. Par ailleurs, comme illustré à la figure 25A, l'organe mobile est également apte à occuper une autre position dans laquelle la languette 5 élastique 338 ne réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. En particulier, la deuxième extrémité 338B n'est pas apte à coopérer avec le dispositif de suspension 310 de sorte qu'une déformation élastique de la languette 338 n'est pas sollicitée, lorsqu'une pression est 10 appliquée sur ce dernier. A l'aide des figures 26 à 28C, on va maintenant décrire une cinquième variante du premier mode de réalisation décrit ci-dessus. Dans cette cinquième variante, le dispositif de suspension 410 diffère du dispositif de suspension 10 précédemment décrit en ce que 15 l'organe mobile 432 est structuré différemment. En particulier, selon cette variante, l'organe mobile 432 est apte à pivoter sur le dispositif de suspension 410 non pas par l'intermédiaire d'un axe ou pivot mais au contraire par le biais d'organes de guidage 420A et 420B, plus discrets, présentant des surfaces périphériques au moins 20 partiellement circulaires et configurées pour guider en rotation l'organe mobile 432. Dans cet exemple, l'organe mobile 432 est apte à pivoter autour d'un axe géométrique, imaginaire, qui est parallèle à la direction longitudinale et qui est de préférence monté sur la section supérieure 412, 25 avec un résultat analogue à celui obtenu avec le dispositif de suspension 10 décrit ci-dessus. Par ailleurs, dans cet exemple, l'organe mobile 432 peut présenter différentes portions arquées 442, 440 présentant des épaisseurs différentes de manière à matérialiser des premier et deuxième corps 30 élastiques au sens de la présente invention qui présentent respectivement des première et deuxième raideurs distinctes, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 410 (voir en particulier les figures 28B et 28C). Par ailleurs, comme illustré à la figure 28A, l'organe mobile 432 est 35 apte à occuper une position dans laquelle ce dernier ne réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension (voir en particulier la figure 28A). En outre, afin de fiabiliser la solidarisation de l'organe mobile 432 sur le dispositif de suspension 410, d'une part, et de faciliter le passage d'une position dudit organe 432 à une autre, d'autre part, ce dernier comporte en outre une lame souple 450 apte à coopérer avec au moins une portion d'un organe de guidage 420A et comprenant une pluralité d'oeillets ou d'indexes aptes à coopérer avec des indexes ou des oeillets correspondants de cet organe de guidage 420A.
A l'aide des figures 7 à 12, on va maintenant décrire un deuxième mode de réalisation du dispositif de suspension selon l'invention. Dans ce deuxième mode de réalisation, le dispositif de suspension 110 diffère du dispositif de suspension 10 précédemment décrit en ce que l'organe mobile est monté rotatif autour d'un axe perpendiculaire au plateau 114. L'organe mobile 134 se présente sous la forme d'un curseur ayant une tête 170 destinée à être actionnée par un opérateur, une tige 172 reliée à la tête et traversant une ouverture 160 ménagée dans le plateau et portant un disque 174. La face supérieure 174a du disque, qui est sensiblement parallèle au plan du plateau 114, présente un bourrelet annulaire 176 qui coopère avec des portions de guidage 178 situées sur la surface inférieure 114a du plateau 114 afin de permettre le guidage en rotation du curseur 134 par rapport à la section supérieure 112. Le disque 174 porte deux paires de lames-ressorts, à savoir une première paire comprenant deux lames-ressorts 180 diamétralement 25 opposées, et une deuxième paire comprenant deux lames-ressorts 182 diamétralement opposées. L'épaisseur cl des lames-ressorts 180 de la première paire est supérieure à l'épaisseur c2 des lames-ressorts 182 de la deuxième paire de sorte que les lames-ressorts 180 de la première paire présente une raideur supérieure à celle des lames-ressorts de la deuxième 30 paire. On précise ici que les lames-ressorts sont ondulées et qu'elles s'étendent depuis la périphérie du disque 174, selon une direction perpendiculaire au plateau 114, vers la section inférieure 120. Les lames-ressorts 180 de la première paire constituent un premier corps élastique, tandis que les lames-ressorts 182 de la deuxième paire 35 constituent un deuxième corps élastique. Compte tenu des différences 2 99083 3 37 d'épaisseur, la raideur du premier corps élastique 180 est supérieure à celle du deuxième corps élastique 182. En se référant aux figures 7 et 8, on comprend que les lames-ressorts 180,182 sont aptes à venir en contact avec le support 138 en 5 forme d'arche, à tout le moins lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. En se référant maintenant à la figure 11, qui est une vue en perspective de l'organe mobile 134, on comprend que ce dernier présente trois positions. 10 Dans une première position de l'organe mobile 134, le premier corps élastique 180 (constitué par les deux lames-ressorts 180 de la première paire disposées en vis-à-vis) est disposé en regard du support souple 138 en forme d'arche, de telle sorte que lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 110, les deux lames-ressorts 180 15 viennent en appui sur le support souple 138 de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure 112 et inférieure 120. Dans cette position, le dispositif de suspension 110 présente une grande raideur. Il s'agit de la position « ferme ». Dans une deuxième position de l'organe mobile 134, les lames 20 ressorts des deux paires 180,182, considérées selon la direction transversale DT du dispositif de suspension 10, sont positionnées de part et d'autre du support souple 138 de telle sorte que lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 110, aucune des lames-ressorts ne vient en appui contre le support souple 138, ces dernières passant à côté du support. L'espacement diamétral entre les lames-ressorts 180,182 et la largeur transversale du support souple 138 seront choisis de manière à obtenir cet effet. Par conséquent, dans cette deuxième position, l'organe mobile 134 ne réalise pas de couplage élastique entre les sections supérieure 112 et inférieure 120 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 110. Il s'agit de la position « débrayée ». En faisant tourner l'organe mobile, en l'espèce le curseur rotatif 134, l'opérateur peut modifier la position de l'organe mobile et peut ainsi régler la raideur du dispositif de suspension 110.
Dans une troisième position de l'organe mobile 134, le deuxième corps élastique 182 (constitué par les deux lames-ressorts 182 de la deuxième paire disposées en vis-à-vis) est disposé en regard du support souple 138 en forme d'arche, de telle sorte que lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 110, les deux lames-ressorts 182 viennent en appui sur le support souple 138 de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure 112 et inférieure 120. Dans cette position, le dispositif de suspension 110 présente une grande raideur. Il s'agit de la position « mi-souple ». Sur la figure 12 on a représenté une variante du curseur rotatif 134', lequel se distingue du curseur de la figure 11 en ce qu'il comporte en outre une troisième paire de lames-ressorts 184'. Ces lames-ressorts 184' s'étendent depuis la périphérie du disque 174', tout en étant diamétralement opposées, et sont situées entre les lames-ressorts 180' et 182'. On comprend donc que le curseur rotatif 134' ne présente pas de position débrayée, contrairement au curseur rotatif 134 précédemment décrit. Dans cet exemple, l'épaisseur des lames-ressorts 184' de la troisième paire est inférieure à celles des lames-ressorts 180',182' des première et deuxième paires. On pourrait toutefois prévoir que l'épaisseur des lames-ressorts 184' de la troisième paire soit supérieure aux autres épaisseurs.
Dans cette variante, l'organe mobile 134' présente donc une troisième position dans laquelle les lames-ressorts 184' de la troisième paire, qui constituent un troisième corps élastique, sont disposés en regard du support souple 138 en forme d'arche, de telle sorte que lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 110, les deux lames-ressorts 184' viennent appuyer sur le support souple 138 de manière à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure 112 et inférieure 120. Dans cette troisième position, la raideur du dispositif de suspension est inférieure à celle des première et deuxième positions. Il s'agit donc d'une position « souple ».
A l'aide des figures 13 à 17, on va maintenant décrire un troisième mode de réalisation de l'invention. Le dispositif de suspension 210 représenté sur ces figures comporte, à l'instar des dispositifs de suspension précédemment décrits, une section supérieure 212 et une section inférieure 220 reliée à la section supérieure 212 par des moyens de suspension 230 présentant la forme de parois arquées 230. Dans cet exemple, la section supérieure 212 comprend un plateau 214 et des 2 99083 3 39 logements de lattes 216, 218, tandis que la section inférieure 220 comporte des moyens d'ancrage 222 entourant un logement 224 pour une latte supplémentaire. Le dispositif de suspension 210 comporte en outre un support 238 5 qui présente la forme d'une arche. Ce support 238 s'étend dans cet exemple selon la direction longitudinale DL du dispositif de suspension entre les moyens d'ancrage 222, le sommet de l'arche étant dirigé vers la section supérieure 212. Dans cet exemple, le support 238 est souple et présente une élasticité selon une direction perpendiculaire au plateau 214. 10 Dans ce troisième mode de réalisation, l'organe mobile 234 est monté coulissant selon la direction transversale DT du dispositif de suspension 210. Par suite, l'organe mobile 234 est amené d'une position à l'autre par un mouvement de translation. Dans cet exemple, l'organe mobile 234 présente donc la forme d'un tiroir coulissant qui est maintenu 15 et guidé grâce à deux rampes de guidage 270 fixées à la surface inférieure 214a du plateau 214, à l'extrémité 230" des parois arquées 230. Comme on le voit sur la figure 15, les rampes de guidage 270 s'étendent selon la direction transversal DT du dispositif de suspension 210, et l'organe mobile 234 présente des ailes latérales 272 qui sont engagées 20 entre les rampes de guidage 270 et la surface inférieure 214a du plateau 214. A l'aide des figures 17A et 17B, on va décrire plus en détail l'organe mobile 234. Comme on peut le voir sur ces figures, l'organe mobile 234 est constitué d'une plaque 274 dont les bords latéraux forment les ailes 25 272. L'une des faces 274a de la plaque porte un doigt de commande 276 permettant à l'opérateur de déplacer en translation l'organe mobile 234 selon la direction transversale du dispositif de suspension. Comme on le voit sur les figures 14 et 15, le doigt de commande 276 s'étend au travers d'une ouverture 260 formée dans le plateau 214 afin de pouvoir être 30 manipulé par un opérateur. L'autre face 274b de la plaque 274 porte trois lames élastiques en forme d'arche, à savoir des première, deuxième et troisième lames élastiques référencées 280,282 et 284. En se référant à la figure 14, on constate que les lames élastiques se distinguent par leurs épaisseurs, 35 l'épaisseur étant considérée ici selon une direction perpendiculaire à la direction transversale au plateau 214. Dans cet exemple, l'épaisseur el de 2 99083 3 la première lame élastique 280 est supérieure à l'épaisseur e2 de la deuxième lame élastique 282, qui est elle-même supérieure à l'épaisseur e3 de la troisième lame élastique 284. Au sens de l'invention, les première, deuxième et troisième lames élastiques 280,282,284 constituent 5 des premier, deuxième et troisième corps élastiques qui, dans cet exemple, présentent un effet ressort selon une direction orthogonale au plateau 214. Compte tenu des différences d'épaisseurs des trois lames élastiques, on comprend que le premier corps élastique présente une raideur supérieure à celle du deuxième corps élastique, ce dernier 10 présentant une raideur supérieure à celle du troisième corps élastique. Comme on le comprend à l'aide de la figure 14, l'organe mobile 234 peut présenter trois positions : - une première position dans laquelle le premier corps élastique 280 est disposé en regard du support 238, de telle 15 sorte que le premier corps élastique 280 réalise un couplage élastique entre les sections supérieure 212 et inférieure 220 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 210. Il s'agit de la position « rigide » ou « ferme » 20 - une deuxième position dans laquelle le deuxième corps élastique 282 est disposé en regard du support 238, de telle sorte que le deuxième corps élastique 282 réalise un couplage élastique entre les sections supérieure 212 et inférieure 220 lorsqu'une pression est appliquée sur le 25 dispositif de suspension 210. Il s'agit de la position « mi- souple » ; - une troisième position dans laquelle le troisième corps élastique 284 est disposé en regard du support 238, de telle sorte que le troisième corps élastique 284 réalise un 30 couplage élastique entre les sections supérieure 212 et inférieure 220 lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 210. Il s'agit de la position « souple » qui est précisément celle représentée sur la figure 14.
Dans ces trois positions, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, le corps élastique correspondant (la lame-élastique) exerce une pression sur le support 238 tout en se déformant élastiquement. Sous l'effet de cette pression, le support 238 se déforme élastiquement à son tour. Par suite, on comprend qu'un couplage élastique est réalisé entre les sections supérieure et inférieure. Dans une variante (non représentée ici), l'organe mobile ne comporte que deux lames élastiques de manière à présenter une position débrayée où l'organe mobile ne réalise pas de couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. A l'aide des figures 29 à 33C, on va maintenant décrire un quatrième mode de réalisation du dispositif de suspension selon l'invention.
Dans ce quatrième mode de réalisation, le dispositif de suspension 510 diffère du dispositif de suspension 10 précédemment décrit en ce que l'organe mobile est structuré différemment. En particulier, dans ce mode de réalisation, l'organe mobile comporte une lame flexible 540, en tant que premier corps élastique, apte à être disposée entre les sections inférieure 520 et supérieure 512, respectivement dans une première configuration de flexion, lorsque l'organe mobile occupe une première position (mieux visible sur la figure 33A), dans une deuxième configuration de flexion (différente de la première), lorsque l'organe mobile occupe une deuxième position (mieux visible sur la figure 33B), et dans une troisième configuration de flexion (différente de la première et différente de la deuxième), lorsque l'organe mobile occupe une troisième position (mieux visible sur la figure 33C). Notamment, la lame flexible 540 est disposée entre les sections inférieure 520 et supérieure 512 de manière à présenter un ou plusieurs points de flexion (en particulier trois points de flexion 542, 544 et 546). La lame flexible présente une première extrémité qui est fixe par rapport au dispositif de suspension, en particulier d'une première section parmi la section inférieure et la section supérieure (par exemple la section inférieure dans cet exemple) ; et une deuxième extrémité qui est monté déplaçable sur le dispositif de suspension de manière à ce que l'organe mobile puisse être déplacé entre ses trois positions précitées.
En particulier, cette deuxième extrémité est apte à être déplacée selon une direction perpendiculaire à la direction du plateau du dispositif de suspension, en particulier selon la direction transversale de ce dernier. Cette extrémité est terminée par des moyens de manoeuvre 530 aptes à être manoeuvrés pour déplacer l'organe mobile et aptes à coopérer avec une crémaillère 516 arrangée dans la section supérieure 512 pour verrouiller l'organe mobile dans une quelconque des trois positions précitées. Lorsque l'organe mobile adopte sa première position, la lame flexible prend une première configuration de flexion dans laquelle elle présente une portion aisément flexible entre deux de ses points de flexion 542 et 554, en particulier parce que la distance Li, selon la direction transversale DT (qui est perpendiculaire à la direction de rapprochement de la section supérieure par rapport à la section inférieure), qui sépare ces deux points est importante. Dès lors, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, la lame flexible oppose une résistance à une déformation élastique par rapport à cette première configuration de flexion qui est faible. Il en résulte que, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, la lame flexible présente une première raideur R1 qui est relativement faible et réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite première raideur R1. Lorsque mobile adopte sa deuxième position, la lame flexible prend une deuxième configuration de flexion dans laquelle elle présente une portion moins aisément flexible entre ses points de flexion 542 et 554 que dans la première position de l'organe mobile, en particulier parce que la distance L2 qui sépare ces deux points est moins importante dans la deuxième configuration que dans la première. Dès lors, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, la lame flexible oppose une résistance à une déformation élastique par rapport à cette deuxième configuration de flexion qui est plus importante. Il en résulte que, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, la lame flexible présente une deuxième raideur R2, qui est supérieure à la première raideur R1, et réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite deuxième raideur R2.
Lorsque mobile adopte sa troisième position, la lame flexible prend une troisième configuration de flexion dans laquelle elle présente une 2 99083 3 43 portion encore moins aisément flexible entre ses points de flexion 542 et 554 que dans la deuxième position de l'organe mobile, en particulier parce que la distance L3 qui sépare ces deux points est moins importante dans la troisième configuration que dans la deuxième (dans cet exemple, cette 5 portion de la lame flexible devient sensiblement parallèle à la direction de déplacement de la section supérieure par rapport à la section inférieure, de sorte qu'elle devient quasiment rigide). Dès lors, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, la lame flexible oppose une résistance à une déformation élastique par rapport à cette troisième 10 configuration de flexion qui est encore plus importante. Il en résulte que, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, la lame flexible présente une troisième raideur R3, qui est supérieure à la deuxième raideur R2, et réalise un couplage élastique entre les sections supérieure et inférieure avec ladite troisième raideur R3. 15 A l'aide des figures 34 à 36C, on va maintenant décrire une première variante du quatrième mode de réalisation décrit ci-dessus. Dans cette variante, le dispositif de suspension 510' diffère du dispositif de suspension 510 précédemment décrit en ce que l'organe mobile 540' est structuré différemment. 20 En particulier, dans cette variante, la lame flexible 540' que de l'organe mobile 540 est apte à être disposée entre les sections inférieure 520' et supérieure, respectivement dans seulement une première configuration de flexion, lorsque l'organe mobile occupe une première position (mieux visible sur la figure 36A), et dans une deuxième 25 configuration de flexion (différente de la première), lorsque l'organe mobile occupe une deuxième position (mieux visible sur la figure 36B). Ainsi, l'organe mobile est uniquement apte à occuper deux positions dans cette variante. En outre, dans cette variante, lorsque l'organe mobile passe de sa 30 première position à sa deuxième position, la lame flexible 540' flambe en inversant la courbure d'un de ses points de flexion 544', ce qui rend cette lame moins aisément flexible et augmente la raideur qu'elle oppose au déplacement de la section supérieure par rapport à la section inférieure, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension. 35 Par ailleurs, afin de rendre la lame 540' encore moins flexible, lorsque l'organe mobile adopte sa deuxième position, il avantageux que le flambage de lame 540' induise une mise en butée d'une portion 546' de cette dernière avec une butée 548' fixe par rapport au dispositif de suspension (voir la figure 36B pour plus de précisions). A l'aide des figures 37 à 42, on va maintenant décrire une deuxième variante du quatrième mode de réalisation décrit ci-dessus. Dans cette variante, le dispositif de suspension 610 diffère du dispositif de suspension 510 précédemment décrit en ce que l'organe mobile 640 est structuré différemment. En particulier, dans cet exemple, le dispositif de suspension 610 10 pour sommier ou assise comporte - une section supérieure 612 munie d'un plateau 614 apte à soutenir un matelas ; - une section inférieure 620 comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, ladite 15 section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension 630 ; - des moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension, comportant un organe mobile 640 par rapport au dispositif de suspension de manière à pouvoir être déplacé au moins entre une 20 première position (visible sur les figures 37 à 39) et une deuxième position (visible sur les figures 40 à 42) pour modifier la raideur du dispositif de suspension. Dans cet exemple, l'organe mobile 640 est muni d'au moins un premier corps élastique 641 qui est configuré pour se déformer 25 élastiquement lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. Dans cet exemple, dans la première position, le premier corps élastique 640 est contraint dans un premier état de déformation élastique. Dans cet exemple, dans la deuxième position, le premier corps élastique 640 est contraint dans un deuxième état de déformation 30 élastique. Dans cet exemple, le premier corps élastique 641 est configuré pour se déformer élastiquement par flambage lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre.
Dans cet exemple, l'organe mobile 640 est apte à pivoter par rapport au dispositif de suspension autour d'un premier axe de rotation X1 et d'un deuxième axe de rotation X2 pour passer d'une position à l'autre. Dans cet exemple, le premier axe de rotation X1 est espacé de la section supérieure 612 selon la direction d'espacement DE des sections supérieure 612 et inférieure 620, et le premier corps élastique est disposé entre le premier axe de rotation X1 et la section supérieure 612. Dans cet exemple, le premier axe de rotation X1 est solidaire avec la section inférieure 620. Ainsi, cet axe X1 est configuré pour se rapprocher puis s'écarter de la section supérieure 614 selon la direction d'espacement DE, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension puis relâchée. Dans cet exemple, le deuxième axe de rotation X2 est solidaire avec la section supérieure 612. Ainsi, cet axe X2 est configuré pour se rapprocher puis s'écarter de la section inférieure 620 selon la direction d'espacement DE, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension puis relâchée. Dans cet exemple, les premier et deuxième axes X1 et X2 sont espacés selon la direction d'espacement DE.
Dans cet exemple, les premier et deuxième axes X1 et X2 sont parallèles entre eux. Dans cet exemple, les premier et deuxième axes X1 et X2 sont parallèles au plateau 614. Dans cet exemple, le premier corps élastique 641 est configuré pour se déformer élastiquement au moins dans un plan transverse P qui est parallèle à la direction d'espacement DE des sections supérieure et inférieure, lorsque l'organe mobile 640 est amené d'une position à l'autre. Dans cet exemple, les premier et deuxième axes X1 et X2 sont perpendiculaires à ce plan transverse P.
Dans cet exemple, le dispositif 610 comprend un plan de symétrie et configuré de manière à ce que le plan transverse P soit parallèle au plan de symétrie. Dans cet exemple, le dispositif 610 est tel que les moyens de suspension 630 comprennent plusieurs éléments de suspension 631 à 634 espacés selon une direction longitudinale DL du dispositif, et le plan transverse P est perpendiculaire à cette direction longitudinale DL.
Dans cet exemple, l'organe mobile 640 est muni d'au moins un deuxième corps élastique 642 qui est apte à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure 612 et inférieure 620 avec une raideur associée, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension 610 tandis que l'organe mobile 640 occupe sa première position, et qui n'est pas apte à réaliser ledit couplage élastique avec ladite raideur associée, lorsque l'organe mobile adopte la deuxième position. Dans cet exemple, l'organe mobile 640 est configuré pour que, dans la deuxième position, le deuxième corps élastique 642 ne réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure 612 et inférieure 620. Dans cet exemple, l'organe mobile 640 comprend un premier corps de base 643 qui est solidaire du premier axe de rotation X1. Dans cet exemple, le premier corps de base 643 est dissocié du premier axe de rotation X1 et est configuré pour être monté directement sur cet axe. En particulier, le premier corps de base comprend une portion de pince configurée pour solidariser le premier axe de rotation X1 avec le premier corps de base 643 par effet de clipsage. Dans cet exemple, le premier corps de base 643 est formé d'un seul tenant avec une extrémité inférieure du premier corps élastique 641. Dans cet exemple, l'organe mobile comprend un deuxième corps de base 644 qui est solidaire du deuxième axe de rotation X2. Dans cet exemple, ce deuxième corps de base est formé d'un seul tenant avec une extrémité supérieure du premier corps élastique 641.
Dans cet exemple, l'organe mobile 640 est d'un seul tenant. A l'aide des figures 43 et 44, on va maintenant décrire une troisième variante du quatrième mode de réalisation décrit ci-dessus. Dans cette variante, le dispositif de suspension 610 diffère de la deuxième variante précédemment décrite en ce que l'organe mobile 740 est structuré différemment. En particulier, dans cet exemple, l'organe mobile 740 est apte à pivoter par rapport au dispositif de suspension autour d'un premier axe de rotation X1 analogue à celui précédemment décrit et à coulisser par rapport audit dispositif selon une direction de coulissement DT pour passer d'une position à l'autre.
Plus particulièrement, dans cet exemple, l'organe mobile 740 comprend une partie de coulissement 745 qui est solidaire de la section supérieure 712 et apte à être translatée selon la direction de coulissement DT lorsque l'organe mobile 740 est amené d'une position à l'autre En outre, dans cet exemple, on retrouve le même phénomène de déformation élastique du premier corps élastique 741 précédemment décrit en association avec la deuxième variante, lorsque l'on passe d'une position de l'organe mobile 740 à l'autre.
10 Les modes ou exemples de réalisation décrits dans le présent exposé sont donnés à titre illustratif et non limitatif, une personne du métier pouvant facilement, au vu de cet exposé, modifier ces modes ou exemples de réalisation, ou en envisager d'autres, tout en restant dans la portée de l'invention.
15 De plus, les différentes caractéristiques de ces modes ou exemples de réalisation peuvent être utilisées seules ou être combinées entre elles. Lorsqu'elles sont combinées, ces caractéristiques peuvent l'être comme décrit ci-dessus ou différemment, l'invention ne se limitant pas aux combinaisons spécifiques décrites dans le présent exposé. En particulier, 20 sauf précision contraire, une caractéristique décrite en relation avec un mode ou exemple de réalisation peut être appliquée de manière analogue à un autre mode ou exemple de réalisation.

Claims (18)

  1. REVENDICATIONS1. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) pour un sommier ou une assise, comportant : - une section supérieure (512, 612, 712) munie d'un plateau (514, 614, 714) apte à soutenir un matelas ; - une section inférieure (520, 520', 620, 720) comprenant des moyens permettant la fixation du dispositif de suspension au sommier, ladite section inférieure étant reliée à la section supérieure par des moyens de suspension (630, 730) ; - des moyens pour modifier la raideur du dispositif de suspension, comportant un organe mobile (540, 540', 640, 740) par rapport au dispositif de suspension de manière à pouvoir être déplacé au moins entre une première position et une deuxième position pour modifier la raideur du dispositif de suspension ; caractérisé en ce que l'organe mobile (540, 540', 640, 740) est muni d'au moins un premier corps élastique qui est configuré pour se déformer élastiquement lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre.
  2. 2. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon la revendication 1, dans lequel, dans la première position, le premier corps élastique est contraint dans un premier état de déformation élastique.
  3. 3. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon la revendication 1 ou 2, dans lequel, dans la deuxième position, le premier corps élastique est contraint dans un deuxième état de déformation 30 élastique.
  4. 4. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon l'une quelconque des revendications 1 à 3, dans lequel le premier corps élastique est configuré pour se déformer élastiquement par flambage 35 lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. 2 99083 3 49
  5. 5. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon l'une quelconque des revendications 1 à 4, dans lequel l'organe mobile est apte à pivoter par rapport au dispositif de suspension autour d'au moins un premier axe de rotation (X1) pour passer d'une position à l'autre.
  6. 6. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon la revendication 5, dans lequel le premier axe de rotation (X1) est espacé de la section supérieure selon la direction d'espacement (DE) des sections supérieure et inférieure, et le premier corps élastique est disposé entre le premier axe de rotation (X1) et la section supérieure. 10
  7. 7. Dispositif de suspension (610, 710) selon la revendication 5 ou 6, dans lequel le premier axe de rotation (X1) est solidaire de la section inférieure (620, 720).
  8. 8. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon l'une 15 quelconque des revendications 1 à 7, dans lequel le premier corps élastique est configuré pour se déformer élastiquement au moins dans un plan transverse (P) qui est parallèle à la direction d'espacement (DE) des sections supérieure et inférieure, lorsque l'organe mobile (540, 540', 640, 740) est amené d'une position à l'autre. 20
  9. 9. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon la revendication 8, comprenant un plan de symétrie et configuré de manière à ce que le plan transverse (P) soit parallèle au plan de symétrie. 25
  10. 10. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon la revendication 8 ou 9, dans lequel les moyens de suspension (630, 730) comprennent au moins deux éléments de suspension (631 à 634, 731, 732) espacés selon une direction longitudinale (DL) du dispositif, et le plan transverse (P) est perpendiculaire à cette direction longitudinale (DL).
  11. 11. Dispositif de suspension (610) selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, dans lequel l'organe mobile (640) est muni d'au moins un deuxième corps élastique (642) qui est apte à réaliser un couplage élastique entre les sections supérieure (612) et inférieure (620) avec une raideur associée, lorsqu'une pression est appliquée sur ledispositif de suspension (610) tandis que l'organe mobile (640) occupe sa première position, et qui n'est pas apte à réaliser ledit couplage élastique avec ladite raideur associée, lorsque l'organe mobile adopte la deuxième position.
  12. 12. Dispositif de suspension (610) selon la revendication 11, dans lequel l'organe mobile (640) est configuré pour que, dans la deuxième position, le deuxième corps élastique (642) ne réalise aucun couplage élastique entre les sections supérieure (612) et inférieure (620).
  13. 13. Dispositif de suspension (610) selon l'une quelconque des revendications 1 à 12, dans lequel l'organe mobile (640) est monté rotatif par rapport au dispositif de suspension autour d'un deuxième axe de rotation (X2).
  14. 14. Dispositif de suspension (610) selon la revendication 13, dans lequel le deuxième axe de rotation (X2) est solidaire de la section supérieure (612). 20
  15. 15. Dispositif de suspension (510, 510', 710) selon l'une quelconque des revendications 1 à 14, dans lequel l'organe mobile (540, 540', 740) est monté coulissant par rapport au dispositif de suspension selon une direction de coulissement (DT). 25
  16. 16. Dispositif de suspension (510, 510', 710) selon la revendication 15, dans lequel l'organe mobile comprend une partie de coulissement (530, 530', 745) qui est solidaire de la section supérieure et apte à être translatée selon la direction de coulissement (DT) lorsque l'organe mobile est amené d'une position à l'autre. 30
  17. 17. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon l'une quelconque des revendications 1 à 16, dans lequel les moyens de suspension (630, 730) présentent une raideur dite de suspension lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension, et les 35 moyens de suspension et l'organe mobile (540, 540', 640, 740) sont 10 15configurés pour que ladite raideur de suspension ne varie pas lorsque l'organe mobile est amené d'une position à une autre.
  18. 18. Dispositif de suspension (510, 510', 610, 710) selon l'une quelconque des revendications 1 à 17, dans lequel, lorsqu'une pression est appliquée sur le dispositif de suspension tandis que l'organe mobile (540, 540', 640, 740) adopte sa première position, la section supérieure et la section inférieure se déplacent l'une par rapport à l'autre sur une course de déplacement prédéterminée, et les moyens de suspension (630, 730) et le premier corps élastique se déforment élastiquement simultanément sur au moins une partie de ladite course de déplacement.
FR1261372A 2011-05-23 2012-11-28 Dispositif de suspension pour un sommier a raideur reglable Active FR2990833B1 (fr)

Priority Applications (4)

Application Number Priority Date Filing Date Title
FR1261372A FR2990833B1 (fr) 2012-05-23 2012-11-28 Dispositif de suspension pour un sommier a raideur reglable
US13/899,687 US9072387B2 (en) 2012-05-23 2013-05-22 Suspension device for a bed base with adjustable stiffness
ES13168904.4T ES2556052T3 (es) 2011-05-23 2013-05-23 Dispositivo de suspensión para un somier con rigidez regulable
EP13168904.4A EP2666389B1 (fr) 2012-05-23 2013-05-23 Dispositif de suspension pour un sommier à raideur réglable

Applications Claiming Priority (2)

Application Number Priority Date Filing Date Title
EP12169155.4A EP2526835B1 (fr) 2011-05-23 2012-05-23 Dispositif de suspension pour un sommier à raideur réglable
FR1261372A FR2990833B1 (fr) 2012-05-23 2012-11-28 Dispositif de suspension pour un sommier a raideur reglable

Publications (2)

Publication Number Publication Date
FR2990833A1 true FR2990833A1 (fr) 2013-11-29
FR2990833B1 FR2990833B1 (fr) 2017-01-06

Family

ID=48444269

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
FR1261372A Active FR2990833B1 (fr) 2011-05-23 2012-11-28 Dispositif de suspension pour un sommier a raideur reglable

Country Status (3)

Country Link
US (1) US9072387B2 (fr)
EP (1) EP2666389B1 (fr)
FR (1) FR2990833B1 (fr)

Families Citing this family (8)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
DE202013103212U1 (de) * 2013-07-17 2013-09-18 Lorenz Kunststofftechnik Gmbh Federleisten-Lagerkörper eines Lattenrostes
EP2984923B1 (fr) 2014-08-14 2020-11-04 Robert Bosch GmbH Rotor excentrique avec lubrification pour appareil de découpage et procédé de lubrification correspondand
ES2899723T3 (es) 2015-04-29 2022-03-14 Bekina Nv Dispositivo de suspensión de listones ajustable
US10548409B2 (en) * 2016-03-07 2020-02-04 Rock Island Industries, Inc. Comfort control insert for a mattress and foundation
FR3066088B1 (fr) * 2017-05-12 2019-07-05 Tournadre Sa Standard Gum Dispositif de reglage de raideur
WO2019007960A1 (fr) * 2017-07-03 2019-01-10 Bvba Bedking Ergopolis Structure de support à lattes
US11685303B2 (en) 2018-08-31 2023-06-27 Daniel R. Brettschneider Berth apparatus and methods using physiological parameters for controlling berth motion to promote relaxation and to induce sleep
US11820275B2 (en) 2020-10-30 2023-11-21 Daniel R. Brettschneider Carrier platform with suspension mechanism for supporting a vibration-sensitive load on a vehicle

Family Cites Families (11)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
CH619605A5 (fr) * 1977-09-30 1980-10-15 Marpal Ag
BE903459A (nl) * 1985-10-16 1986-02-17 Salens Luc Inrichting voor het ten opzichte van een bedframe instellen van buiglatten
DE29611876U1 (de) * 1996-07-09 1997-08-07 Froli Kunststoffe Heinrich Fro Endfeder zur gefederten Lagerung von Latten eines Lattenrostes
IT1296919B1 (it) * 1997-12-04 1999-08-03 Esperides Srl Struttura elastica per piani letto a doghe
FR2839870B1 (fr) 2002-05-24 2004-08-27 Delahousse Et Fils Sa Systeme de reglage de fermete pour rotule de sommier
ES2262778T3 (es) * 2002-12-06 2006-12-01 Ls Bedding Dispositivo para la fijacion de tablillas a una base formada por las mismas.
FR2854313B1 (fr) * 2003-04-30 2005-07-29 Dispositif de suspension pour ensemble bilattes
DE202004016392U1 (de) 2004-10-21 2005-01-13 Hartmann, Siegbert Endpunktlager für Federleisten von Bettlattenrosten
DE202005006530U1 (de) 2005-04-22 2005-07-21 Hartmann, Siegbert Unterfederung mit Härteverstellung
FR2945195B1 (fr) 2009-05-11 2015-08-21 Tournadre Sa Standard Gum Dispositif de suspension de latte comportant un embout et un organe raidisseur.
DE102009043009A1 (de) * 2009-08-31 2011-03-03 Thomas Beteiligungs- und Vermögens-GmbH & Co. KG Unterfederung sowie Schlaf-, Sitz- oder Liegemöbel mit Unterfederung

Also Published As

Publication number Publication date
US9072387B2 (en) 2015-07-07
EP2666389A1 (fr) 2013-11-27
EP2666389B1 (fr) 2015-09-16
US20130334746A1 (en) 2013-12-19
FR2990833B1 (fr) 2017-01-06

Similar Documents

Publication Publication Date Title
EP2666389B1 (fr) Dispositif de suspension pour un sommier à raideur réglable
EP2526835B1 (fr) Dispositif de suspension pour un sommier à raideur réglable
EP2551199B1 (fr) Verrou de surpression
EP2072850B1 (fr) Système de montage de patin de frein à disque
EP0807844B1 (fr) Charnière élastique de lunettes démontable
FR3066087B1 (fr) Element a raideur reglable pour meuble de couchage ou d'assise
WO1998044379A1 (fr) Charniere extensible extra-plate
FR2907371A1 (fr) Instrument d'ecriture sans capuchon
EP3253984A1 (fr) Frein à disque comportant au moins un ressort de rappel élastique d'un patin de freinage, ressort de rappel élastique, et kit de remplacement
EP3400842A1 (fr) Dispositif de reglage de raideur
EP2253248B1 (fr) Dispositif de suspension de latte comportant un embout et un organe raidisseur
FR2781437A1 (fr) Articulation destinee notamment a un siege de vehicule automobile
EP1364600B1 (fr) Système de réglage de fermeté pour rotule de sommier
EP3253615B1 (fr) Ensemble d'articulation debrayable pour siege de vehicule automobile
EP0524068B1 (fr) Dispositif de suspension pour voiture d'enfant, comportant une lame composite à raideur variable
FR2902376A1 (fr) Dispositif de reglage en hauteur d'un siege blocable en position et siege equipe du dispositif
WO2014005688A1 (fr) Dispositif de commande avec coaxialite optimisee
EP2959949B1 (fr) Dispositif d'accueil d'une chaussure sur un engin de glisse
EP3502507A1 (fr) Frein a disque modulaire muni d'une chape de taille reduite et de systeme de montage de patin de frein
EP3669705B1 (fr) Element souple a raideur reglable pour meuble de couchage et/ou d'assise
FR2941180A1 (fr) Dispositif de liaison pour mecanismes de reglage angulaire d'un siege de vehicule et siege comprenant le dispositif de liaison.
EP3881160B1 (fr) Joystick
FR2874547A1 (fr) Dispositif d'application d'un element sur une surface, notamment d'une feuille adhesive sur une surface d'une porte de vehicule automobile
FR3026630A1 (fr) Ressort de rappel pour piece mobile d'aspirateur
FR2875914A1 (fr) Pont extensible d'adaptateur solaire amovible a griffes, destine a etre monte sur des lunettes.

Legal Events

Date Code Title Description
PLFP Fee payment

Year of fee payment: 4

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 5

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 6

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 8

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 9

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 10

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 11

PLFP Fee payment

Year of fee payment: 12