PROCEDE DE MONTAGE PAR COLLAGE D'UN VITRAGE SUR LA STRUCTURE D'UN VEHICULE AUTOMOBILE [0001] Le domaine technique de l'invention concerne le milieu de l'industrie automobile, et, plus particulièrement, les procédés de montage d'un vitrage sur la structure d'un véhicule automobile, ou sur un ouvrant. Généralement, ce type de procédé implique le dépôt d'un cordon de colle périphérique et entraine la présence de cales s'interposant entre le vitrage et une feuillure de la structure ou de l'ouvrant, lesdites cales servant d'entretoise pour permettre d'optimiser les conditions de dépôt dudit cordon de colle. Les procédés selon l'invention, mettent en oeuvre un cordon de colle et des cales, et vont impliquer une étape supplémentaire, qui va accroitre la sécurité de mise en place du vitrage sur la feuillure. Les procédés selon l'invention, sont particulièrement adaptés à la fixation d'un pare-brise sur la structure d'un véhicule automobile. [0002] Pour bien comprendre l'invention, il faut préciser que les termes « polymériser » et « durcir » appliqués au cordon de colle, sont équivalents. De plus, il est important de signaler que le terme «paire de ventouses » désigne un objet physique comprenant deux ventouses. [0003] Les procédés de montage d'un vitrage sur la structure d'un véhicule automobile ou sur un ouvrant, existent et ont déjà fait l'objet de brevets. On peut, par exemple, citer le brevet EP0859705, qui se rapporte à une fenêtre de véhicule automobile, dotée d'un vitrage fixée au moyen d'un adhésif et d'un organe de centrage et de maintien dudit vitrage. Cet organe revêt la forme d'un profil élastomère, comprenant à sa périphérie une bordure enroulée, cette bordure constituant la partie de ce profil assurant ces deux fonctions de centrage et de maintien. Selon un mode de réalisation préféré de l'invention, l'adhésif servant à fixer le vitrage sur la fenêtre, peut être déposé sur la partie du profil jouant le rôle de cale. [0004] Les procédés selon l'invention, permettent la fixation d'un vitrage sur la structure d'un véhicule automobile ou sur un ouvrant de véhicule, au moyen d'une opération de collage. Cette opération s'effectue généralement en présence d'une pluralité de cales, insérées entre le vitrage et une feuillure de la structure du véhicule ou de l'ouvrant, lesdites cales servant d'entretoise, afin de préserver un espacement suffisant entre ledit vitrage et ladite feuillure, dans le but d'optimiser les conditions de polymérisation du cordon de colle. Ce jeu, entre la feuillure et le vitrage est important, pour permettre au cordon de colle de durcir sans être écrasé. L'un des problèmes rencontrés avec ce type de procédé est que le vitrage, sur lequel a été déposé le cordon de colle périphérique et qui est généralement amené manuellement à l'emplacement de la structure ou de l'ouvrant, où il est prévu d'être collé, ne soit pas appliqué de façon homogène sur la feuillure, entrainant un risque non négligeable que ce vitrage ne vienne pas en appui contre les cales. Les conséquences d'une telle situation sont que ce vitrage a de fortes chances de glisser de son emplacement initial, avant que le cordon de colle ne durcisse, modifiant de façon désavantageuse, les conditions de montage de ce vitrage. Une autre situation dommageable peut également se rencontrer, lorsque, par exemple, la température ambiante est trop élevée. En effet, dans cette situation, le cordon de colle devient encore plus liquide, et va donc mettre plus de temps à se durcir, fragilisant ainsi les conditions d'immobilisation du vitrage à son emplacement initial, avant que le cordon ne se polymérise. Afin de résoudre ces problèmes de glissement du vitrage, avant que le cordon de colle ne durcisse, les procédés de montage selon l'invention, font intervenir une pluralité de paires de ventouses, insérées entre la feuillure et le vitrage, lesdites ventouses entrant en action dès que le vitrage est apposé contre la feuillure de l'ouvrant ou de la structure du véhicule, avant d'être enfoncé, afin de le maintenir dans sa position initiale de montage, avant même que le cordon de colle ne polymérise. Chaque paire intègre deux ventouses placées en opposition et reliées l'une à l'autre, de manière à pouvoir solidariser deux éléments de surface parallèles, en l'occurrence la feuillure et le vitrage. Ces ventouses constituent des moyens sûrs, éprouvés et rapides à mettre en oeuvre, pour assurer le maintien du vitrage dans la bonne position. [0005] La présente invention a pour objet un procédé de montage d'un vitrage sur la structure d'un véhicule automobile ou sur un ouvrant, ledit procédé comprenant les étapes suivantes : - Fixation d'un dispositif de calage sur le contour d'une feuillure de structure de véhicule ou d'ouvrant, destinée à recevoir le vitrage, - Dépôt d'un cordon de colle sur le contour du vitrage, - Acheminement du vitrage en face de la zone de la feuillure prévue pour 5 le recevoir, puis mise au contact dudit vitrage avec le dispositif de calage, - Plaquage du vitrage contre le dispositif de calage, jusqu'à ce que le cordon de colle durcisse. La principale caractéristique d'un procédé selon l'invention, est que le dispositif de calage 10 comprend une pluralité de paires de ventouses réparties sur le contour de la feuillure destinée à recevoir le vitrage, chaque paire étant constituée de deux ventouses placées en opposition, une première ventouse étant au contact de la feuillure et la deuxième ventouse venant au contact du vitrage. Généralement, un vitrage est amené à venir remplir une ouverture pratiquée dans la structure d'un véhicule, ou dans un ouvrant. Cette ouverture est 15 délimitée par une feuillure, sur laquelle sont disposées les cales, le cordon de colle étant préalablement déposé sur le contour du vitrage. Le fait d'ajouter des ventouses permet au vitrage muni de son cordon de colle périphérique, d'être maintenu dans sa position de fixation sur l'ouvrant ou la structure du véhicule sur lequel il est appliqué, dès l'instant où il entre en contact avec ces ventouses, et avant que le cordon de colle ne se soit polymérisé.
20 Ces ventouses agissent comme des organes de prémaintien pour le vitrage, en attendant que le cordon de colle ne durcisse. Les situations, pour lesquelles le vitrage est susceptible de glisser et de se décaler par rapport à sa position idéale de fixation avant que la colle ne se fige, se rencontrent essentiellement, soit lorsque la température ambiante est élevée, ce qui ralentit le processus de durcissement de la colle, soit lorsque le vitrage n'est pas enfoncé 25 uniformément et n'entre pas en contact simultanément avec toutes les cales lors de son enfoncement. Les ventouses peuvent revêtir toute forme, l'essentiel étant que chaque paire assure la liaison entre le vitrage et la feuillure par un simple contact avec ledit vitrage et avec ladite feuillure, sans avoir à être sollicitées de façon particulière. En effet, un simple contact du vitrage et de la feuillure sur ces ventouses permet de solidariser efficacement ces deux éléments. Chaque paire peut être constituée de deux ventouses identiques, ou de deux ventouses différentes au niveau de leur forme respective et/ou de leur matériau constitutif. Le fait d'utiliser des paires de ventouses en opposition, par rapport à de simples ventouses, accroît la souplesse d'utilisation et d'implantation de ces ventouses entre la feuillure et le vitrage, puisque ces paires de ventouses peuvent être déplacées facilement et à tout moment, pour réajuster leur positionnement. [0006] Selon un premier mode de réalisation préféré d'un procédé selon l'invention, chaque paire de ventouses est disposée à coté des cales servant d'entretoisement entre le vitrage et la feuillure. De cette manière, les cales et les paires de ventouses sont des éléments distincts, ayant leur fonction spécifique. Le nombre de paires de ventouses peut être égal au nombre de cales, ou être différent, seule la configuration à traiter dictera leur nombre respectif. [0007] Avantageusement, chaque paire de ventouses est placée entre chaque cale et le cordon de colle, chaque paire de ventouses ayant une hauteur supérieure à celle des cales, chaque paire de ventouses étant déformable par pression. Ainsi, le vitrage, lorsqu'il va être apposé sur la feuillure, va d'abord rencontrer les ventouses, puis les cales après un écrasement partiel desdites ventouses. [0008] Selon un deuxième mode de réalisation préféré d'un procédé selon l'invention, chaque paire de ventouses est constituée par une cale, les cales étant déformables par pression jusqu'à une hauteur minimum. Pour cette configuration, l'encombrement est minimum au niveau de la feuillure, puisque les cales ne viennent pas se doubler avec les ventouses. Les cales jouent à la fois le rôle d'un organe de prémaintien pour le vitrage, quand la colle n'est pas encore devenue totalement efficace, et d'un organe d'entretoisement entre le vitrage et la feuillure. [0009] Selon un troisième mode de réalisation préféré d'un procédé selon l'invention, chaque cale comprend une paire de ventouses placées en opposition et déformables par pression, lesdites ventouses prolongeant deux extrémités opposées de ladite cale et devenant incompressibles au dessous d'une pression seuil. Cela revient à créer des plots bimatière, la matière centrale étant rigide et indéformable, et la matière placée aux extrémités de la cale, étant déformable jusqu'à un certain seuil lui garantissant une hauteur minimale incompressible, ce caractère d'incompressibilité étant valable pour les niveaux de sollicitation mis en jeu lors du plaquage du vitrage sur la feuillure. [0010] Préférentiellement, les ventouses émergent de chaque cale, et peuvent se déformer 5 sous la pression engendrée par un opérateur sur le vitrage. [0011] De façon avantageuse, les deux ventouses déformées par le vitrage sous pression, demeurent chacune en saillie de la cale sur laquelle elles sont implantées. De cette manière, une fois que le vitrage se retrouve plaqué contre la feuillure sous l'effet de la pression exercée par un opérateur, les ventouses sont déformées, et la hauteur résiduelle de la cale et 10 des deux ventouses, est supérieure à celle de la cale prise toute seule. [0012] De façon préférentielle, chaque cale présente une saillie rigide et indéformable, prolongeant chacune des extrémités au niveau desquelles sont implantées les ventouses, lesdites saillies permettant d'assurer une hauteur minimum à la cale, quelle que soit la profondeur d'enfoncement des deux ventouses sous pression. Il s'agit d'une configuration 15 sécuritaire, pour laquelle, la cale aura systématiquement la hauteur requise, quelle que soit la forme et le matériau constitutif des ventouses, qui auront été retenus pour prémaintenir le vitrage. [0013] Avantageusement, la partie émergeante de chaque ventouse a une section progressive et monotone, la partie rétrécie étant située du coté de la cale, tandis que la 20 partie évasée étant destinée à venir au contact du vitrage ou de la feuillure. Pour cette configuration, chaque ventouse peut classiquement avoir une forme conique ou tronconique. [0014] Les procédés de montage selon l'invention, possèdent l'avantage d'être sécurisés, dans la mesure où ils mettent en oeuvre une étape de prémaintien du vitrage en position de 25 fixation sur la feuillure, avant que la colle ne se fige. De plus, les organes impliqués pour assurer cette fonction supplémentaire de prémaintien, sont des ventouses déformables, largement éprouvées, et ne nécessitant aucun usinage complexe, long et coûteux. En outre, ces procédés ont l'avantage de nécessiter un encombrement constant sur l'ouvrant ou la structure du véhicule, par rapport aux procédés déjà existants, puisque chaque paire de 10 15 20 ventouses peut venir se fixer sur chaque cale, sans occuper un espace supplémentaire sur la largeur de la feuillure. Enfin, le recours à des paires de ventouses en opposition octroie une grande souplesse d'implantation desdites paires de ventouses, entre le vitrage et la feuillure, puisque celles-ci peuvent être facilement déplacées pour peaufiner leur implantation. [0015] On donne ci-après une description détaillée d'un mode de réalisation préféré d'un procédé selon l'invention, en se référant aux figures 1 à 3. - La figure 1 est une vue en coupe partielle transversale, d'un pare-brise et d'une feuillure de structure de véhicule, à partir d'un procédé de l'état de la technique. - La figure 2 est une vue en coupe partielle transversale, d'un pare-brise et d'une feuillure de structure de véhicule, à partir d'un procédé de montage selon l'invention. - La figure 3a est une vue en coupe partielle transversale, d'une feuillure et d'une paire de ventouses, lors d'une étape préliminaire d'un procédé de montage selon l'invention. - La figure 3b est une vue en coupe partielle transversale, d'une feuillure et d'une paire de ventouses, lors d'une étape intermédiaire d'un procédé de montage selon l'invention. - La figure 3c est une vue en coupe partielle transversale, d'une feuillure et d'une paire de ventouses, lors d'une étape finale d'un procédé de montage selon l'invention. [0016] En se référant à la figure 1, les procédés de montage, habituellement utilisés pour fixer un pare-brise 1 sur une feuillure 2 de la structure d'un véhicule automobile, prévue 25 pour le recevoir, font intervenir un cordon 3 de colle préalablement déposé sur ledit pare- brise 1, et une pluralité de cales 4 solidarisées à ladite feuillure 2. Ces cales 4 peuvent, soit constituer des pièces rapportées, et arrimées à des emplacements précis sur la feuillure 2, ou bien être directement moulées avec la feuillure 2 pour former une seule et même pièce en plastique. Les principales étapes d'un procédé de montage d'un pare-brise 1, impliquent 30 généralement le dépôt préalable d'un cordon 3 de colle sur le contour de ce pare-brise 1, puis la mise au contact de ce pare-brise 1 encollé, avec les cales 4 de la feuillure, dans sa position de montage, suivie enfin d'un effort de plaquage du pare-brise 1 contre lesdites cales 4, en attendant que le cordon 3 de colle polymérise. Les cales 4 ménagent un espacement incompressible entre le pare-brise 1 et la feuillure 2, pour éviter que le cordon 3 de colle, sous l'effet de la pression engendrée par le pare-brise 1, ne se déforme, ne se déplace ou ne coule, avant de se solidifier. [0017] Généralement ce type de procédé donne globalement satisfaction, mais il existe des situations, pour lesquelles le pare-brise 1, risque de dévier de sa position de montage, avant que le cordon 3 de colle ne durcisse. Ces situations peuvent, par exemple, se rencontrer lorsque la température ambiante est élevée et retarde alors le processus de durcissement de la colle 3, ou lorsque le pare-brise 1 n'est pas enfoncé de façon homogène, jusqu'aux cales 4 et peut alors glisser légèrement. Pour remédier à ces situations un peu délicates, les procédés de montage selon l'invention, mettent en jeu des paires de ventouses 6,7 déformables, deux ventouses 6,7 d'une même paire étant placées en opposition, afin que le pare-brise 1 soit figé le plus tôt possible, dans sa position de montage, par rapport à la feuillure 2, sans possibilité de glissement ou de coulissement accidentel. Une première ventouse 6 se solidarise donc au pare-brise 1, la deuxième ventouse 7 se solidarisant à la feuillure 2, les plans de surfaces dudit pare-brise 1 et de ladite feuillure 2 sur lesquels prennent appui les ventouses 6,7, étant parallèles. En se référant à la figure 2, les cales 40 supportent les paires de ventouses 6,7. Chaque cale 40 est assimilable à un parallélépipède rectangle plein, dont deux faces opposée 8,9 présentent chacune un évidement pour loger une ventouse 6,7 déformable. Les ventouses 6,7 sont insérées dans chacun desdits évidements de la cale 40, de manière à ce qu'elles émergent de par et d'autre de la cale 40, la partie émergeante 10 de chaque ventouse 6,7 ayant une forme tronconique, dont la base circulaire rétrécie 11 est au contact de la face 8,9 de la cale 40, dans laquelle a été creusée l'évidement, et dont la base circulaire évasée 12 est destinée à venir au contact, soit du pare-brise 1, soit de la feuillure 2. La partie émergeante 10 de chaque ventouse 6,7, qui a initialement une certaine hauteur, peut se comprimer, sous l'effet d'une contrainte axiale exercée sur celle-ci, et diminuer ainsi sa hauteur à une valeur inférieure. Chaque face 8,9 de la cale 40, dans laquelle a été pratiqué un évidement pour recevoir une ventouse 6,7, présente une saillie 13, permettant d'assurer une hauteur minimum à ladite cale 40, quelle que soit la profondeur d'enfoncement de la partie émergeante 10 de chaque ventouse 6,7 mise sous pression. Cette saillie 13 a la forme d'un ergot allongé et rigide, s'étendant suivant un axe parallèle à l'axe de révolution de la partie émergeante 10 tronconique de chaque ventouse 6,7, la hauteur totale de la cale 40 incluant ces deux saillies 13 parallèles, constituant l'espacement minimal et incompressible, recherché entre le pare-brise 1 et la feuillure 2. Ces cales 40, prolongées par ces deux saillies 13 parallèles, ont un aspect sécuritaire, puisque, quelle que soit la forme de la ventouse 6,7 et quel que soit leur matériau constitutif leur assurant une déformation plus ou moins marquée, elles garantissent une distance d'entretoisement minimale entre ledit pare-brise 1 et ladite feuillure 2. [0018] En se référant aux figures 3a, 3b et 3c, le procédé de montage selon l'invention, suit les étapes suivantes. En se référant à la figure 3a, chaque cale 40 munie de sa paire de ventouses 6,7 en opposition, est amenée sur la feuillure 2 par un opérateur, qui la positionne, de manière à mettre en contact la base circulaire évasée 12 de la partie émergeante 10 de la deuxième ventouse 7, contre la feuillure 2. En se référant à la figure 3b, l'opérateur exerce une pression sur chaque cale 40, de manière à expulser l'air emprisonné dans la ventouse 7 au contact de la feuillure 2, ladite ventouse 7 réagissant en s'écrasant, diminuant ainsi sa hauteur, pour solidariser chaque cale 40 à ladite feuillure 2 par l'intermédiaire de cette ventouse 7 déformée. L'opérateur ajuste précisément le positionnement de chaque cale 40 sur la feuillure 2, en désolidarisant facilement et rapidement, si besoin est, la ventouse 7 déformée, pour repositionner avec satisfaction ladite cale 40 au bon endroit. En se référant la figure 3c, une fois que toutes les cales 40 ont été correctement positionnées autour de la feuillure 2, l'opérateur apporte le pare-brise 1, qu'il vient mettre au contact de la base élargie 12 de la partie émergeante 10 de toutes les premières ventouses 6 implantées dans lesdites cales 40. L'opérateur exerce alors une poussée axiale sur ledit pare-brise 1, selon une direction perpendiculaire à son plan de surface, et qui tend à le rapprocher de la feuillure 2. Lesdites premières ventouses 6, non encore sous contrainte, se déforment à leur tour, pour expulser l'air qu'elles ont emmagasiné au préalable dans leur position au repos, en diminuant leur hauteur. Les cales rigides 40, assurent alors, selon une direction parallèle à l'axe de leurs saillies 13 rigides, et par l'intermédiaire de celles-ci, une hauteur d'entretoisement minimum entre le pare-brise 1 et la feuillure 2. 5 10