FR2949650A1 - Dispositif de traitement cosmetique, necessaire et procede de traitement associes - Google Patents

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Abstract

Ce dispositif (10) comprend comprenant un support (12) recevant un produit déodorant et/ou anti-transpirant. Le support (12) reçoit en outre une source (50) de gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine acceptable.

Description

Dispositif de traitement cosmétique, nécessaire et procédé de traitement associés La présente invention concerne un dispositif de traitement cosmétique du type comprenant un support recevant un produit déodorant et/ou anti-transpirant.
Un tel dispositif est destiné à traiter la transpiration humaine et les odeurs corporelles, en particulier les odeurs axillaires. La sueur eccrine ou apocrine est peu odorante lorsqu'elle est secrétée par l'organisme. Toutefois, sa dégradation par des bactéries via des réactions enzymatiques produit des composés malodorants. II est donc nécessaire de diminuer voir supprimer l'apparition de ces bactéries. A cet effet, des substances anti-bactériennes telles que le Triclosan ou le Farnésol sont utilisées. Ces substances présentent l'inconvénient d'être inhibées par certains composés ou parfois d'engendrer des réactions sur la surface corporelle de l'organisme humain.
D'autres substances telles que les inhibiteurs d'arylsulphatase, de 5-lypoxygénase, ou d'aminocyclase sont aptes à bloquer certaines réactions enzymatiques. Toutefois, leur activité est souvent spécifique et donc peu efficace par rapport aux anti-bactériens mentionnés plus haut.
Pour pallier les inconvénients engendrés par la transpiration et les odeurs qui en résultent, il est connu par exemple de EP 1 491 182 ou de EP 1 586 504 d'utiliser en application topique des produits déodorants de type antibactériens ou parfumants. Il est également connu d'utiliser des produits anti-transpirants qui permettent de réduire la transpiration.
Dans d'autres domaines de la cosmétique, il est connu d'utiliser un gaz biocide tel que l'ozone. Ainsi, JP 2005 046 190 décrit une brosse à cheveux qui délivre de l'ozone. US 2003/0198580 divulgue une brosse à dents électrique avec un générateur d'ozone, JP 2003 32 13 35 décrit un appareil comprenant un sac relié à un générateur d'ozone. Ces dispositifs ne sont pas adaptés au traitement de la transpiration. Un but de l'invention est d'obtenir un dispositif de traitement cosmétique qui permet de traiter de manière efficace et prolongée la transpiration humaine et les odeurs corporelles.
Un autre but de l'invention est d'obtenir un dispositif déodorant et/ou antitranspirant propre à traiter les odeurs corporelles avec un risque minimal d'irritation de la peau. A cet effet, l'invention à pour objet un dispositif du type précité, caractérisé en ce que le support reçoit en outre une source de gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine acceptable. Le dispositif selon l'invention peut comprendre l'une ou plusieurs des caractéristiques suivantes, prises isolément ou suivant toute(s) combinaison(s) techniquement possible(s) : - la source de gaz biocide comprend un générateur de gaz biocide propre à engendrer du gaz biocide à partir d'un gaz de base ; - la source de gaz biocide comprend un réservoir de gaz biocide ; - le gaz biocide est l'ozone ; - le dispositif comporte un réceptacle contenant le produit déodorant et/ou anti-transpirant, le réceptacle étant amovible par rapport au support ; - le support délimite au moins une ouverture de distribution du produit déodorant et/ou anti-transpirant pour permettre son application sur une surface corporelle et une ouverture de distribution du gaz biocide raccordée à la source de gaz biocide débouchant avantageusement à l'écart de l'ouverture de distribution du produit déodorant et/ou anti-transpirant ; - le dispositif comporte un applicateur de produit déodorant et/ou antitranspirant, l'applicateur comprenant un siège et un organe d'application monté rotatif par rapport au siège, l'organe d'application rotatif et le siège délimitant l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant ; - le support comprend une ouverture, l'ouverture comportant une région centrale délimitant l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou antitranspirant et une région périphérique délimitant l'ouverture de distribution de gaz biocide ; - le support s'étend suivant un axe de support, l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant s'étendant axialement d'un côté du support, l'ouverture de distribution de gaz biocide s'étendant axialement d'un autre côté du support ; - le support comprend une partie de base et deux branches latérales qui font saillie par rapport à la partie de base, une première branche latérale délimitant l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant, une deuxième branche latérale délimitant l'ouverture de distribution de gaz biocide ; et - le support porte une source d'énergie propre à interagir avec une surface corporelle de l'utilisateur. L'invention à également pour objet un nécessaire de traitement cosmétique du type comprenant un produit déodorant et/ou anti-transpirant, caractérisé en ce qu'il comprend dans des supports séparés respectivement : - un ensemble de distribution de gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine ou acceptable ; et - un ensemble de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant. Le nécessaire selon l'invention peut comprendre un emballage contenant les supports séparés comprenant respectivement l'ensemble de distribution de gaz biocide et l'ensemble de distribution de produit déodorant et/ou antitranspirant. L'invention à également pour objet un procédé de traitement cosmétique comprenant les étapes suivantes : - application d'un produit déodorant et/ou anti-transpirant sur une surface corporelle ; et, avant, pendant ou/et après l'application du produit déodorant et/ou anti-transpirant ; - traitement de la même surface corporelle par un gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine acceptable. Le procédé selon l'invention peut comprendre la caractéristique suivante : - l'étape de traitement et l'étape d'application sont réalisées de manière séquentielle, l'étape de traitement étant avantageusement réalisée avant l'étape d'application.
L'invention sera mieux comprise à la lecture de la description qui va suivre, donnée uniquement à titre d'exemple, et faite en se référent aux dessins annexés, sur lesquels : - la figure 1 est une vue schématique de face d'un premier dispositif de traitement cosmétique selon l'invention - la figure 2 est une vue schématique d'un premier générateur d'ozone placé dans le dispositif de la figure 1 ; - les figures 3 à 9 illustrent de manière schématique des variantes de générateurs d'ozone destinées à être placées dans le dispositif de la figure 1 ; - la figure 10 est un schéma synoptique illustrant un procédé de traitement cosmétique selon l'invention ; - la figure 11 est une vue analogue à la figure 1 d'un deuxième dispositif de traitement cosmétique selon l'invention ; - la figure 12 est une vue analogue à la figure 1 d'un troisième dispositif de traitement cosmétique selon l'invention - la figure 13 est une vue analogue à la figure 1 d'un quatrième dispositif de traitement cosmétique selon l'invention - la figure 14 est une vue analogue à la figure 1 d'un cinquième dispositif de traitement cosmétique selon l'invention ; et - la figure 15 est une vue schématique de face d'un nécessaire de traitement cosmétique selon l'invention. Un premier dispositif de traitement cosmétique 10 selon l'invention est représenté sur la figure 1. Ce dispositif 10 est destiné à traiter la transpiration humaine et les odeurs corporelles engendrées par le corps humain sur une surface corporelle, en particulier une surface corporelle produisant une quantité importante de sueur, telle que les aisselles.
Le dispositif 10 comprend un support formé par un boîtier 12. Le boîtier 12 contient un ensemble 14 de distribution d'un produit déodorant et/ou antitranspirant, et un ensemble 16 de distribution d'un gaz biocide à une concentration physiologiquement acceptable, tel que l'ozone. Le produit déodorant et/ou anti-transpirant est formé à base d'une composition déodorante et/ou anti-transpirante comprenant notamment une phase aqueuse et avantageusement un émulsionnant, une phase grasse, un agent structurant, des sels ou complexes d'aluminium et/ou de zirconium, des actifs déodorants, des agents de suspension, une poudre organique et des additifs.
La composition peut se présenter sous toutes les formes galéniques classiquement utilisées pour une application topique et notamment sous forme de gels aqueux, de solutions aqueuses ou hydroalcooliques. Elle peut aussi, par ajout d'une phase grasse ou huileuse, se présenter sous forme de dispersions du type lotion, d'émulsions de consistance liquide ou semi-liquide du type lait, obtenues par dispersion d'une phase grasse dans une phase aqueuse (H/E) ou inversement (E/H), ou de suspensions ou émulsions de consistance molle, semi-solide ou solide du type crème ou gel, ou encore d'émulsions multiples (E/H/E ou H/E/H), de microémulsions, de dispersions vésiculaires de type ionique et/ou non ionique, ou des dispersions cire/phase aqueuse. Ces compositions sont préparées selon les méthodes usuelles. Comme on le verra plus bas, les compositions peuvent être conditionnées sous forme pressurisée dans un dispositif aérosol ou dans un flacon pompe ; conditionnée dans un dispositif muni d'une paroi ajourée notamment une grille ; conditionnées dans un dispositif muni d'un applicateur à billes ("roll-on) ; caractérisées par le fait qu'elles contiennent au moins des particules de perlite telle que définies précédemment. Elles contiennent à cet égard les ingrédients généralement utilisés dans ce type de produits et bien connus de l'homme de l'art. Selon une autre forme particulière de l'invention, les compositions selon l'invention peuvent être anhydres. On entend par composition anhydre une composition contenant moins de 2 0/0 en poids d'eau, voire moins de 0,5 % d'eau, et notamment exempte d'eau, l'eau n'étant pas ajoutée lors de la préparation de la composition mais correspondant à l'eau résiduelle apportée par les ingrédients mélangés.
Les compositions anti-transpirantes selon l'invention peuvent également se présenter sous forme de bâtonnets (sticks). Selon une forme particulière de l'invention, les compositions pour traiter la transpiration selon l'invention peuvent également se présenter sous forme de poudre libre ou compactée.
Les compositions selon l'invention destinées à l'usage cosmétique peuvent comporter au moins une phase aqueuse. Elles sont notamment formulées en lotions aqueuses ou en émulsion eau-dans-huile, huile-dans-eau, ou en émulsion multiple (émulsion triple huile-dans-eau-dans-huile ou eau-dans-huile-dans-eau (de telles émulsions sont connues et décrites par exemple par C. FOX dans Cosmetics and Toiletries - november 1986 - Vol 101 - pages 101-112). La phase aqueuse des dites compositions contient de l'eau et en général d'autres solvants solubles ou miscibles dans l'eau. Les solvants solubles ou miscibles dans l'eau comprennent les mono alcools à chaîne courte par exemple en C1-C4 comme l'éthanol, l'isopropanol ; les diols ou les polyols comme l'éthylèneglycol, le 1,2-propylèneglycol, le 1,3-butylène glycol, l'hexylèneglycol, le diéthylèneglycol, le dipropylene glycol, le 2-éthoxyéthanol, le diéthylène glycol monométhyléther, le triéthylène glycol monométhyléther et le sorbitol. On utilisera plus particulièrement le propylèneglycol et la glycérine, le propane 1,3 diol. Comme émulsionnants pouvant être utilisés dans les émulsions huile-danseau ou émulsions triples huile-dans-eau-dans-huile, on peut citer par exemple les émulsionnants non ioniques tels que les esters d'acides gras et de glycérol oxyalkylénés (plus particulièrement polyoxyéthylénés) ; les esters d'acides gras et de sorbitan oxyalkylénés ; les esters d'acides gras oxyalkylénés (oxyéthylénés et/ou oxypropylénés) ; les éthers d'alcools gras oxyalkylénés (oxyéthylénés et/ou oxypropylénés) ; les esters de sucres comme le stéarate de sucrose ; et leurs mélanges tels que le mélange de stéarate de glycéryle et de stéarate de PEG-40. On peut citer également les mélanges émulsionnants alcool gras/alkylpolyglycoside tels que sont décrits dans les demandes W092/06778, W095/13863 et W098/47610 comme les produits commerciaux vendus par la société SEPPIC sous les appellation MONTANOV O. Parmi les émulsionnants pouvant être utilisés dans les émulsions eau-danshuile ou émulsions triples eau-dans-huile-dans-eau-dans-huile ou émulsions triples, on peut citer à titre d'exemple les alkyl dimethicone copolyols répondant à la formule (I) suivante C H3 c H3 C H3 1 C I-13 CH3- Si --- Si-0 Si û CH3 (1) C H3 R1 R I CH3 2 b dans lesquelles : - R1 désigne un groupement alkyle linéaire ou ramifié en C12-C20 et de préférence en C12-C18 ; - R2 désigne le groupement :--CnH2n--(-OC2H4-)X -(-OC3H6-)@ -OùR3, - R3 désigne un atome d'hydrogène ou un radical akyle linéaire ou ramifié comportant de 1 à 12 atomes de carbone ; - a est un nombre entier allant de 1 à environ 500 ; - b désigne un nombre entier allant de 1 à environ 500 ; - n est un nombre entier allant de 2 à 12 et de préférence 2 à 5 ; - x désigne un nombre entier allant de 1 à environ 50 et de préférence de 1 à30; y désigne un nombre entier allant de 0 à environ 49 et de préférence 0 à 29 sous réserve que lorsque y est différent de zéro le ratio x/y est supérieur à 1 et de préférence varie de 2 à 11. Parmi les émulsionnants alkyldimethicone copolyols de formule (I) préférés, on citera plus particulièrement le CETYL PEG/PPG-10/1 DIMETHICONE et plus particulièrement le mélange CETYL PEG/PPG-10/1 DIMETICONE AND DIMETHICONE (nom INCI) comme le produit vendu sous le nom commercial ABIL EM90 par la société GOLDSCHMIDT ou bien le mélange (POLYGLYCERYL-4-STEARATE and CETYL PEG/PPG-10 (AND) DIMETHICONE (AND) HEXYL LAURATE) comme le produit vendu sous le nom commercial ABIL WE09 par la même société. Parmi les émulsionnants eau-dans-huile, on peut citer également les dimethicone copolyols répondant à la formule (Il) suivante CH3 dans lesquelles : - R4 désigne le groupement :--Cn,H2n,--(-OC2H4-)s-(-OC3H6-)t--OùR5, - R5 désigne un atome d'hydrogène ou un radical akyle linéaire ou ramifié comportant de 1 à 12 atomes de carbone ; - c est un nombre entier allant de 1 à environ 500 - d désigne un nombre entier allant de 1 à environ 500, - m est un nombre entier allant de 2 à 12 et de préférence 2 à 5 , - s désigne un nombre entier allant de 1 à environ 50, et de préférence de 1 à 30; - t désigne un nombre entier allant de 0 à environ 50 et de préférence de 0 à 30 ; sous réserve que la somme s+t soit supérieure ou égal à 1. Parmi ces émulsionnants dimethicone copolyols de formule (II) préférentiels on utilisera particulièrement le PEG-18/PPG-18 DIMETHICONE et plus particulièrement le mélange CYCLOPENTASILOXANE (and) PEG-18/PPG-18 DIMETHICONE (nom INCI) tel que le produit vendu par la société Dow Corning sous la dénomination commerciale Silicone DC 5225 C ou KF-6040 de la société Shin Etsu. Selon une forme particulièrement préféréE, on utilisera un mélange d'au moins un émulsionnant de formule (I) et d'au moins un émulsionnant de formule (II). On utilisera plus particulièrement un mélange de PEG-18/PPG-18 Dimethicone et Cetyl PEG/PPG-10/1 DIMETHICONE et encore plus particulièrement un mélange de (CYCLOPENTASILOXANE (and) PEG-18/PPG-18 Dimethicone) et de Cetyl PEG/PPG-10/1 DIMETICONE and Dimethicone ou de (Polyglyceryl-4-stearate and Cetyl PEG/PPG-10 (and) Dimethicone (and) Hexyl Laurate). Parmi les émulsionnants eau-dans-huile, on peut citer également les émulsionnants non ioniques dérivés d'acide gras et de polyol, les alkylpolyglycosides (APG), les esters de sucres et leurs mélanges.
Comme émulsionnants non ioniques dérivés d'acide gras et de polyol, on peut utiliser notamment les esters d'acide gras et de polyol, l'acide gras ayant notamment une chaîne alkyle en C8-C24, et les polyols étant par exemple le glycérol et le sorbitan. Comme esters d'acide gras et de polyol, on peut citer notamment les esters d'acide isostéarique et de polyols, les esters d'acide stéarique et de polyols, et leurs mélanges, en particulier les esters d'acide isostéarique et de glycérol et/ou de sorbitan.
Comme esters d'acide stéarique et de polyols, on peut citer notamment les esters de polyéthylèneglycol comme le PEG-30 Dipolyhydroxystearate tel que le produit commercialisé sous le nom Arlacel P135 par la société ICI. Comme esters de glycérol et/ou de sorbitan, on peut citer par exemple l'isostéarate de polyglycérol, tel que le produit commercialisé sous la dénomination Isolan GI 34 par la société Goldschmidt ; l'isostéarate de sorbitan, tel que le produit commercialisé sous la dénomination Arlacel 987 par la société ICI ; l'isostéarate de sorbitan et le glycérol, tel que le produit commercialisé sous la dénomination Arlacel 986 par la société ICI, , le mélange d'isostéarate de sorbitan et d'isostéarate de polyglycérol (3 moles) commercialisé sous la dénomination Arlacel 1690 par la société Unigema. et leurs mélanges. L'émulsionnant peut être choisi aussi parmi les alkylpolyglycosides ayant un HLB inférieur à 7, par exemple ceux représentés par la formule générale (1) suivante : R-O-(G)x (1) dans laquelle R représente un radical alkyle ramifié et/ou insaturé, comportant de 14 à 24 atomes de carbone, G représente un sucre réduit comportant de 5 à 6 atomes de carbone, et x désigne une valeur allant de 1 à 10 et de préférence de 1 à 4, et G désigne notamment le glucose, le fructose ou le galactose.
Le radical alkyle insaturé peut comprendre une ou plusieurs insaturations éthyléniques, et en particulier une ou deux insaturations éthyléniques. Comme alkylpolyglycosides de ce type, on peut citer les alkylpolyglucosides (G=glucose dans la formule (I)), et notamment les composés de formule (I) dans laquelle R représente plus particulièrement un radical oléyle (radical insaturé en C18) ou isostéaryle (radical saturé en C18), G désigne le glucose, x est une valeur allant de 1 à 2, notamment l'isostéaryl-glucoside, l'oléyl-glucoside et leurs mélanges. Cet alkylpolyglucoside peut être utilisé en mélange avec un coémulsionnant, plus spécialement avec un alcool gras et notamment un alcool gras ayant la même chaîne grasse que celle de l'alkylpolyglucoside, c'est-à-dire comportant de 14 à 24 atomes de carbone et ayant une chaîne ramifiée et/ou insaturée, et par exemple l'alcool isostéarylique quand l'alkylpolyglucoside est l'isostéaryl-glucoside, et l'alcool oléylique quand l'alkylpolyglucoside est l'oleylglucoside, éventuellement sous forme d'une composition autoémulsionnante, comme décrit par exemple dans le document WO-A-92/06778. On peut utiliser par exemple le mélange d'isostéaryl-glucoside et d'alcool isostéarylique, commercialisé sous la dénomination Montanov WO 18 par la société SEPPIC ainsi que le mélange octyldodécanol et octyldodecylxyloside commercialisé sous la dénomination FLUDANOV 20X par la société SEPPIC. On peut également citer les polyoléfines à terminaison succinique, comme les polyisobutylènes à terminaison succinique estérifiée et leurs sels, notamment les sels de diéthanolamine, tels que les produits commercialisés sous les dénominations Lubrizol 2724, Lubrizol 2722 et Lubrizol 5603 par la société Lubrizol ou le produit commercial CHEMCINNATE 2000. La quantité totale en émulsionnants dans la composition sera de préférence dans la composition selon l'invention à des teneurs en matière active allant de 1 à 8% en poids et plus particulièrement de 2 à 6% en poids par rapport au poids total de la composition.
Les compositions selon l'invention peuvent contenir au moins une phase liquide organique non-miscible dans l'eau. Celle-ci comprend en général un ou plusieurs composés hydrophobes qui rendent ladite phase non-miscible dans l'eau. Ladite phase est liquide (en l'absence d'agent structurant) à température ambiante (20-25 t). De manière préférentielle, la phase organique liquide organique non-miscible dans l'eau conforme à l'invention est généralement constituée comprend généralement au moins une huile volatile et/ou une huile non volatile et éventuellement au moins un agent structurant. Par huile , on entend un corps gras liquide à température ambiante (25 `C) et pression atmosphérique (760mm de Hg soit 105 Pa). L'huile peut être volatile ou non volatile. Par huile volatile , on entend au sens de l'invention une huile susceptible de s'évaporer au contact de la peau ou de la fibre kératinique en moins d'une heure, à température ambiante et pression atmosphérique. Les huiles volatiles de l'invention sont des huiles cosmétiques volatiles, liquides à température ambiante, ayant une pression de vapeur non nulle, à température ambiante et pression atmosphérique, allant en particulier de 0,13 Pa à 40 000 Pa (10-3 à 300 mm de Hg), en particulier allant de 1,3 Pa à 13 000 Pa (0,01 à 100 mm de Hg), et plus particulièrement allant de 1,3 Pa à 1300 Pa (0,01 à 10 mm de Hg).
Par huile non volatile , on entend une huile restant sur la peau ou la fibre kératinique à température ambiante et pression atmosphérique au moins plusieurs heures et ayant notamment une pression de vapeur inférieure à 10-3 mm de Hg (0,13 Pa).
L'huile peut être choisie parmi toutes les huiles physiologiquement acceptables et en particulier cosmétiquement acceptables, notamment les huiles minérales, animales, végétales, synthétiques ; en particulier les huiles hydrocarbonées et/ou siliconées et/ou fluorées volatiles ou non volatiles et leurs mélanges.
Plus précisément, par huile hydrocarbonée , on entend une huile comportant principalement des atomes de carbone et d'hydrogène et éventuellement une ou plusieurs fonctions choisies parmi les fonctions hydroxyle, ester, éther, carboxylique. Généralement, l'huile présente une viscosité de 0,5 à 100 000 mPa.s, de préférence de 50 à 50 000 mPa.s et de préférence encore de 100 à 300 000 mPa.s. A titre d'exemple d'huile volatile utilisable dans l'invention, on peut citer : - les huiles hydrocarbonées volatiles choisies parmi les huiles hydrocarbonées ayant de 8 à 16 atomes de carbones, et notamment les isoalcanes en C$-C16 d'origine pétrolière (appelées aussi isoparaffines) comme l'isododécane (encore appelé 2,2,4,4,6-pentaméthylheptane), l'isodécane, l'isohexadécane, et par exemple les huiles vendues sous les noms commerciaux d'lsopars ou de Permetyls, les esters ramifiés en C8-C16, le néopentanoate d'isohexyle, et leurs mélanges. D'autres huiles hydrocarbonées volatiles comme les distillats de pétrole, notamment ceux vendus sous la dénomination Shell Soit par la société SHELL, peuvent aussi être utilisées ; les alcanes linéaires volatils comme ceux décrits dans la demande de brevet de la société Cognis WO 2007/068371 en particulier ceux obtenus à partir d'alcools gras, eux-mêmes obtenus à partir d'huile de coprah ou de palme notamment un mélange d'undécane (C11) et de tridécane (C13) comme le produit commercialisé sous la référence de CETIOL UT par la Société Cognis. - les silicones volatiles, comme par exemple les huiles de silicones linéaires ou cycliques volatiles, notamment celles ayant une viscosité 5 8 centistokes (8 10-6 m2/s), et ayant notamment de 2 à 7 atomes de silicium, ces silicones comportant éventuellement des groupes alkyle ou alkoxy ayant de 1 à 10 atomes de carbone. Comme huile de silicone volatile utilisable dans l'invention, on peut citer notamment l'octaméthyl cyclotétrasiloxane, le décaméthyl
cyclopentasiloxane, le dodécaméthyl cyclohexasiloxane, l'heptaméthyl
hexyltrisiloxane, l'heptaméthyloctyl trisiloxane, l'hexaméthyl disiloxane, l'octaméthyl trisiloxane, le décaméthyl tétrasiloxane, le dodécaméthyl pentasiloxane et leurs mélanges.
On peut également citer les huiles linéaires alkyltrisiloxanes volatiles de formule générale (I) : CH (CH1âi f - i 0 t f R
où R représente un groupe alkyle comprenant de 2 à 4 atomes de carbone et dont un ou plusieurs atomes d'hydrogène peuvent être substitués par un atome de fluor ou de chlore.
Parmi les huiles de formule générale (I), on peut citer :
le 3-butyl 1,1,1,3,5,5,5-heptaméthyl trisiloxane,
le 3-propyl 1,1,1,3,5,5,5-heptaméthyl trisiloxane, et
le 3-éthyl 1,1,1,3,5,5,5-heptaméthyl trisiloxane,
correspondant aux huiles de formule (I) pour lesquelles R est respectivement un groupe butyle, un groupe propyle ou un groupe éthyle.
A titre d'exemple d'huile non volatile utilisable dans l'invention, on peut citer :
- les huiles hydrocarbonées d'origine animale telles que le perhydrosqualène ;
- les huiles hydrocarbonées végétales telles que les triglycérides liquides
d'acides gras de 4 à 24 atomes de carbone comme les triglycérides des acides heptanoïque ou octanoïque ou encore les huiles les huiles de germe de blé, d'olive, l'huile d'amande douce, de palme, de colza, de coton, de luzerne, de pavot, de potimarron, de courge, de cassis, d'onagre, de millet, d'orge, de quinoa, de seigle, de carthame, de bancoulier, de passiflore, de rosier muscat, de tournesol, de maïs, de soja, de courge, de pépins de raisin, de sésame, de noisette, d'abricot, de macadamia, de ricin, d'avocat, les triglycérides des acides caprylique/caprique comme ceux vendus par la société Stearineries Dubois ou ceux vendus sous les dénominations Miglyol 810, 812 et 818 par la société Dynamit Nobel, l'huile de jojoba, de beurre de karité ; - les hydrocarbures linéaires ou ramifiés, d'origine minérale ou synthétique tels que les huiles de paraffine et leurs dérivés, la vaseline, les polydécènes, les polybutènes, le polyisobutène hydrogéné tel que le Parleam, le squalane ; - les éthers de synthèse ayant de 10 à 40 atomes de carbone ; - les esters de synthèse notamment d'acides gras comme les huiles de formule RICOOR2 dans laquelle R1 représente le reste d'un acide gras supérieur linéaire ou ramifié comportant de 1 à 40 atomes de carbone et R2 représente une chaîne hydrocarbonée notamment ramifiée contenant de 1 à 40 atomes de carbone avec R1 + R2 10 comme par exemple l'huile de Purcellin (octanoate de cétostéaryle), l'isononanoate d'isononyle, le myristate d'isopropyle, le palmitate d'isopropyle, le benzoate d'alcool en C12 à 015, le laurate d'hexyle, l'adipate de diisopropyle, l'isononanoate d'isononyle, le palmitate d'éthyl 2-hexyle, le stéarate d'octyl 2-dodécyle, l'érucate d'octyl 2-dodécyle, l'isostéarate d'isostéaryle, le tridecyl trimellitate ; les octanoates, décanoates ou ricinoléates d'alcools ou de polyalcools comme le dioctanoate de propylène glycol ; les esters hydroxylés comme l'isostéaryl lactate, l'octyl hydroxy stéarate, l'hydroxy stéarate d'octyl dodécyle, le diisostéaryl malate, le citrate de triisocétyle, des heptanoates, octanoates, décanoates d'alcools gras ; des esters de polyol comme le dioctanoate de propylène glycol, le diheptanoate de néopentyl glycol, le diisononanoate de diéthylène glycol ; et les esters du pentaérythritol comme le tétra-isostéarate de pentaérythrytyle ; - des alcools gras liquides à température ambiante à chaîne carbonée ramifiée et/ou insaturée ayant de 12 à 26 atomes de carbone comme l'octyl dodécanol, l'alcool isostéarylique, le 2-butyloctanol, le 2-hexyl décanol, le 2- undécyl pentadécanol, l'alcool oléique ; - les acides gras supérieurs tels que l'acide oléique, l'acide linoléique, l'acide linolénique ; - les carbonates ; - les acétates ; - les citrates ; - les huiles fluorées éventuellement partiellement hydrocarbonées et/ou siliconées comme les huiles fluorosiliconées, les polyéthers fluorés, les silicones fluorées telles que décrit dans le document EP-A-847752; - les huiles siliconées comme les polydiméthylsiloxanes (PDMS) non volatiles, linéaires ou cycliques ; les polydiméthylsiloxanes comportant des groupements alkyle, alcoxy ou phényle, pendant ou en bout de chaîne siliconée, groupements ayant de 2 à 24 atomes de carbone ; les silicones phénylées comme les phényl triméthicones, les phényl diméthicones, les phényl triméthylsiloxy diphényl siloxanes, les diphényl diméthicones, les diphényl méthyldiphényl trisiloxanes, les 2-phényl éthyl triméthyl-siloxysilicates, et leurs mélanges. Les compositions selon l'invention comprenant une phase grasse peuvent contenir en plus au moins un agent structurant de ladite phase grasse qui peut être choisi de préférence parmi les cires, les composés pâteux, les gélifiants lipophiles minéraux ou organiques et leurs mélanges. Il est entendu que la quantité en ces composés peut être ajustée par l'homme du métier de manière à ne pas porter préjudice à l'effet recherché dans le cadre de la présente invention.
La cire est d'une manière générale un composé lipophile, solide à température ambiante (25 à changement d'état s olide/liquide réversible, ayant un point de fusion supérieur ou égal à 30 `C pouvan t aller jusqu'à 200 `C et notamment jusqu'à 120 `C. En particulier, les cires convenant à l'invention peuvent présenter un point de fusion supérieur ou égal à 45 t, et en particulier supérieur ou égal à 55 `C. Au sens de l'invention, la température de fusion correspond à la température du pic le plus endothermique observé en analyse thermique (DSC) telle que décrite dans la norme ISO 11357-3 ; 1999. Le point de fusion de la cire peut être mesuré à l'aide d'un calorimètre à balayage différentiel (DSC), par exemple le calorimètre vendu sous la dénomination MDSC 2920 par la société TA Instruments. Le protocole de mesure est le suivant. Un échantillon de 5 mg de cire disposé dans un creuset est soumis à une première montée en température allant de -20 t à 100 cc, à la vitesse de chauffe de 10 ° C/minute, puis est refroidi de 100 `C à -20 `C à une vitesse de refroidissement de 10 `C/minute et enfin soumis à une deuxième montée en température allant de -20 `C à 100 `C à une vitesse de chauffe de 5 `C/minute. Pendant la deuxième montée en température, on mesure la variation de la différence de puissance absorbée par le creuset vide et par le creuset contenant l'échantillon de cire en fonction de la température. Le point de fusion du composé est la valeur de la température correspondant au sommet du pic de la courbe représentant la variation de la différence de puissance absorbée en fonction de la température.
Les cires susceptibles d'être utilisées dans les compositions selon l'invention sont choisies parmi les cires, solides, à température ambiante d'origine animale, végétale, minérale ou de synthèse et leurs mélanges. A titre illustratif des cires convenant à l'invention, on peut notamment citer les cires hydrocarbonées comme la cire d'abeille, la cire de lanoline, et les cires d'insectes de Chine, la cire de son de riz, la cire de Carnauba, la cire de Candellila, la cire d'Ouricury, la cire d'Alfa, la cire de berry, la cire de shellac, la cire du Japon et la cire de sumac; la cire de montan, les cires d'orange et de citron, Cire de Tournesol raffinée commercialisée sous la dénomination SUNFLOWER WAX par KOSTER KEUNEN, les cires microcristallines, les paraffines et l'ozokérite; les cires de polyéthylène, les cires obtenues par la synthèse de Fisher-Tropsch et les copolymères cireux ainsi que leurs esters. On peut aussi citer des cires obtenues par hydrogénation catalytique d'huiles animales ou végétales ayant des chaînes grasses, linéaires ou ramifiées, en C8-C32. Parmi celles-ci, on peut notamment citer l'huile de jojoba isomérisée telle que l'huile de jojoba partiellement hydrogénée isomérisée trans fabriquée ou commercialisée par la société Desert Whale sous la référence commerciale Iso-Jojoba-50 , l'huile de tournesol hydrogénée, l'huile de ricin hydrogénée, l'huile de coprah hydrogénée, l'huile de lanoline hydrogénée, et le tétrastéarate de di-(triméthylol-1,1,1 propane) vendu sous la dénomination de Hest 2T-4S par la société HETERENE. On peut encore citer les cires de silicone (C30-45 ALKYL DIMETHICONE), les cires fluorées.
On peut également utiliser les cires obtenues par hydrogénation d'huile de ricin estérifiée avec l'alcool cétylique vendues sous les dénominations de Phytowax ricin 16L64 et 22L73 par la société SOPHIM. De telles cires sont décrites dans la demande FR-A- 2792190.
Comme cire, on peut utiliser un (hydroxystéaryloxy)stéarate d'alkyle en C20-C40 (le groupe alkyle comprenant de 20 à 40 atomes de carbone), seul ou en mélange. Une telle cire est notamment vendue sous les dénominations Kester Wax K 82 P , Hydroxypolyester K 82 P et Kester Wax K 80 P par la 10 société KOSTER KEUNEN. Comme micro-cires pouvant être utilisées dans les compositions selon l'invention, on peut citer notamment les micro cires de carnauba telles que celle commercialisée sous la dénomination de MicroCare 350 par la société MICRO POWDERS, les micro cires de cire synthétique telles que celle commercialisée 15 sous la dénomination de MicroEase 114S par la société MICRO POWDERS, les micro cires constituées d'un mélange de cire de carnauba et de cire de polyéthylène telles que celles commercialisées sous les dénominations de Micro Care 300 et 310 par la société MICRO POWDERS, les micro cires constituées d'un mélange de cire de carnauba et de cire synthétique telles que celle 20 commercialisée sous la dénomination Micro Care 325 par la société MICRO POWDERS, les micro cires de polyéthylène telles que celles commercialisées sous les dénominations de Micropoly 200 , 220 , 220L et 250S par la société MICRO POWDERS, les produits commerciaux PERFOMALEN 400 POLYETHYLENE et PERFORMALENE 500-L POLYETHYLENE de NEW PHASE 25 TECHNOLOGIES, le PERFORMALENE 655 POLYETHYLENE ou les cires de paraffine comme la cire ayant pour nom INCI , MICROCRISTALLINE WAX and SYNTHETIC WAX et vendue sous le nom commercial MICROLEASE par la Société SOCHIBO. ; les micro cires de polytétrafluoroéthylène telles que celles commercialisées sous les dénominations de Microslip 519 et 519 L par la 30 société MICRO POWDERS. La composition selon l'invention comprendra de préférence une teneur en cire(s) allant de 3 % à 20% en poids par rapport au poids total de la composition, en particulier de 5 à 15%, plus particulièrement de 6 à 15%.
Par composé pâteux au sens de la présente invention, on entend un composé gras lipophile à changement d'état solide/liquide réversible, présentant à l'état solide une organisation cristalline anisotrope, et comportant à la température de 23 `C une fraction liquide et une fraction solid e.
Le composé pâteux est de préférence choisi parmi les composés synthétiques et les composés d'origine végétale. Un composé pâteux peut être obtenu par synthèse à partir de produits de départ d'origine végétale. Le composé pâteux peut avantageusement choisi parmi : - la lanoline et ses dérivés, - les composés siliconés polymères ou non, - les composés fluorés polymères ou non, - les polymères vinyliques, notamment : - les homopolymères d'oléfines, - les copolymères d'oléfines, - les homopolymères et copolymères de diènes hydrogénés, - les oligomères linéaires ou ramifiés, homo ou copolymères de (méth)acrylates d'alkyles ayant de préférence un groupement alkyle en C8-C30, - les oligomères homo et copolymères d'esters vinyliques ayant des groupements alkyles en C8-C30, et - les oligomères homo et copolymères de vinyléthers ayant des groupements alkyles en C8-C30, - les polyéthers liposolubles résultant de la polyéthérification entre un ou plusieurs diols en C2-C100, de préférence en C2-050, - les esters, - leurs mélanges. Parmi les esters, on préfère notamment : - les esters d'un glycérol oligomère, notamment les esters de diglycérol, en particulier les condensats d'acide adipique et de glycérol, pour lesquels une partie des groupes hydroxyles des glycérols ont réagi avec un mélange d'acides gras tels que l'acide stéarique, l'acide caprique, l'acide stéarique et l'acide isostéarique et l'acide 12-hydroxystéarique, à l'image notamment de ceux commercialisé sous la marque Softisan 649 par la société Sasol, - le propionate d'arachidyle commercialisé sous la marque Waxenol 801 par Alzo, - les esters de phytostérol, - les triglycérides d'acides gras et leurs dérivés, - les esters de pentaérythritol, - les polyesters non réticulés résultant de la polycondensation entre un acide dicarboxylique ou un polyacide carboxylique linéaire ou ramifié en C4-050 et un diol ou un polyol en C2-050, - les esters aliphatiques d'ester résultant de l'estérification d'un ester d'acide hydroxycarboxylique aliphatique par un acide carboxylique aliphatique, - les polyesters résultant de l'estérification, par un acide polycarboxylique, d'un ester d'acide hydroxy carboxylique aliphatique, ledit ester comprenant au moins deux groupes hydroxyle tels que les produits Risocast DA-H , et Risocast DA-L , - les esters de dimère diol et dimère diacide, le cas échéant, estérifiés sur leur(s) fonction(s) alcool(s) ou acide(s) libre(s) par des radicaux acides ou alcools tels que le Plandool-G, - leurs mélanges. Parmi les composés pâteux d'origine végétale, on choisira de préférence un mélange de stérols de soja et de pentaérythritol oxyéthyléné (5OE) oxypropyléné (5 OP), commercialisé sous la référence Lanolide par la société VEVY. Comme gélifiant lipophile minéral, on peut citer les argiles éventuellement modifiées comme les hectorites modifiées par un chlorure d'ammonium en C10 à C22, comme l'hectorite modifiée par du chlorure de di-stéaryl di-méthyl ammonium telle que, par exemple, celle commercialisée sous la dénomination de Bentone 38V par la société ELEMENTIS. On peut également citer la silice pyrogénée éventuellement traitée hydrophobe en surface dont la taille des particules est inférieure à 1 pm. II est en effet possible de modifier chimiquement la surface de la silice, par réaction chimique générant une diminution du nombre de groupes silanol présents à la surface de la silice. On peut notamment substituer des groupes silanol par des groupements hydrophobes : on obtient alors une silice hydrophobe. Les groupements hydrophobes peuvent être des groupements triméthylsiloxyle, qui sont notamment obtenus par traitement de silice pyrogénée en présence de l'hexaméthyldisilazane. Des silices ainsi traitées sont dénommées Silica silylate selon le CTFA (8ème édition, 2000). Elles sont par exemple commercialisées sous les références Aerosil R812 par la société DEGUSSA, CAB-O-SIL TS-530 par la société CABOT, des groupements diméthylsilyloxyle ou polydiméthylsiloxane, qui sont notamment obtenus par traitement de silice pyrogénée en présence de polydiméthylsiloxane ou du diméthyldichlorosilane. Des silices ainsi traitées sont dénommées Silica diméthyl silylate selon le CTFA (8ème édition, 2000). Elles sont par exemple commercialisées sous les références Aerosil R972 , et Aerosil R974 par la société DEGUSSA, CAB-O- SIL TS-610 et CAB-O-SIL TS-720 par la société CABOT. La silice pyrogénée hydrophobe présente en particulier une taille de particules pouvant être nanométrique à micrométrique, par exemple allant d'environ de 5 à 200 nm.
Les gélifiants lipophiles organiques polymériques sont par exemple les organopolysiloxanes élastomériques partiellement ou totalement réticulés, de structure tridimensionnelle, comme ceux commercialisés sous les dénominations de KSG6 , KSG16 et de KSG18 par la société SHIN-ETSU, de Trefil E-505C et Trefil E-506C par la société DOW-CORNING, de Gransil SR-CYC , SR DMF10 , SR-DC556 , SR 5CYC gel , SR DMF 10 gel et de SR DC 556 gel par la société GRANT INDUSTRIES, de SF 1204 et de JK 113 par la société GENERAL ELECTRIC ; l'éthylcellulose comme celle vendue sous la dénomination Ethocel par la société DOW CHEMICAL ; les galactommananes comportant de un à six, et en particulier de deux à quatre, groupes hydroxyle par ose, substitués par une chaîne alkyle saturée ou non, comme la gomme de guar alkylée par des chaînes alkyle en Cl à C6, et en particulier en Cl à C3 et leurs mélanges. Les copolymères séquencés de type dibloc , tribloc ou radial du type polystyrène/polyisoprène, polystyrène/polybutadiène tels que ceux commercialisés sous la dénomination Luvitol HSB par la société BASF, du type polystyrène/copoly(éthylène-propylène) tels que ceux commercialisés sous la dénomination de Kraton par la société SHELL CHEMICAL CO ou encore du type polystyrène/copoly(éthylène-butylène), les mélanges de copolymères tribloc et radial (en étoile) dans l'isododécane tels que ceux commercialisé par la société PENRECO sous la dénomination Versagel comme par exemple le mélange de copolymère tribloc butylène/éthylène/styrène et de copolymère étoile éthylène/propylène/styrène dans l'isododécane (Versagel M 5960). Comme gélifiant lipophile, on peut encore citer les polymères de masse moléculaire moyenne en poids inférieure à 100 000, comportant a) un squelette polymérique ayant des motifs de répétition hydrocarbonés pourvus d'au moins un hétéroatome, et éventuellement b) au moins une chaîne grasse pendante et/ou au moins une chaîne grasse terminale éventuellement fonctionnalisées, ayant de 6 à 120 atomes de carbone et étant liées à ces motifs hydrocarbonés, telles que décrites dans les demandes WO-A-02/056847, WO-A-02/47619 ; en particulier les résines de polyamides (notamment comprenant des groupes alkyles ayant de 12 à 22 atomes de carbone) telles que celles décrites dans US-A-5783657.
Parmi les gélifiants lipophiles pouvant être utilisés dans les compositions selon l'invention, on peut encore citer les esters de dextrine et d'acide gras, tels que les palmitates de dextrine, notamment tels que ceux commercialisés sous les dénominations Rheopearl TL ou Rheopearl KL par la société CHIBA FLOUR. On peut également utiliser les polyamides siliconés du type polyorganosiloxane tels que ceux décrits dans les documents US-A-5,874,069, US-A-5,919,441, US-A-6,051,216 et US-A-5,981,680. Ces polymères siliconés peuvent appartenir aux deux familles suivantes : - des polyorganosiloxanes comportant au moins deux groupes capables d'établir des interactions hydrogène, ces deux groupes étant situés dans la chaîne du polymère, et/ou - des polyorganosiloxanes comportant au moins deux groupes capables d'établir des interactions hydrogène, ces deux groupes étant situés sur des greffons ou ramifications. Les compositions selon l'invention peuvent contenir en plus un ou plusieurs sels ou complexes d'aluminium et/ou de zirconium.
Les sels ou complexes anti-transpirants conformes à l'invention sont choisis généralement parmi les sels ou complexes d'aluminium et/ou de zirconium. II sont de préférence choisis parmi les halohydrates de d'aluminium ; les halohydrates d'aluminium et de zirconium, les complexes d'hydroxychlorure de zirconium et d'hydroxychlorure d'aluminium avec ou sans un acide aminé tels que ceux décrits dans le brevet US-3792068. Parmi les sels d'aluminium, on peut citer en particulier le chlorhydrate d'aluminium sous forme activée ou non activée, l'aluminium chlorohydrex, le complexe aluminium chlorohydrex polyéthylèneglycol, le complexe aluminium chlorohydrex propylèneglycol, l'aluminium dichlorohydrate, le complexe aluminium dichlorohydrex polyéthylèneglycol, le complexe aluminium dichlorohydrex propylèneglycol, l'aluminium sesquichlorohydrate, le complexe aluminium sesquichlorohydrex polyéthylèneglycol, le complexe aluminium sesquichlorohydrex propylèneglycol, le sulfate d'aluminium tamponné par le lactate de sodium et d'aluminium. Parmi les sels d'aluminium et de zirconium, on peut citer en particulier l'aluminium zirconium octachlorohydrate, l'aluminium zirconium pentachlorohydrate, l'aluminium zirconium tetrachlorohydrate, l'aluminium zirconium trichlorohydrate.
Les complexes d'hydroxychlorure de zirconium et d'hydroxychlorure d'aluminium avec un acide aminé sont généralement connus sous l'appellation ZAG (lorsque l'acide aminé est la glycine). Parmi ces produits on peut citer les complexes aluminium zirconium octachlorohydrex glycine, aluminium zirconium pentachlorohydrex glycine, aluminium zirconium tetrachlorohydrex glycine et aluminium zirconium trichlorohydrex glycine. Les sels ou complexes anti-transpirants peuvent être présents dans la composition selon l'invention à raison d'environ 0,5 à 25% en poids par rapport au poids total de la composition. Les compositions selon l'invention peuvent contenir en plus un ou plusieurs actifs déodorants. Les actifs déodorants peuvent être des agents bactériostatiques ou des agents bactéricides agissant sur les germes des odeurs axillaires, comme le 2,4,4'-trichloro-2'-hydroxydiphényléther (°Triclosan), le 2,4-dichloro-2'- hydroxydiphényléther, le 3',4',5'-trichlorosalicylanilide, la 1-(3',4'-dichlorophenyl)-3-(4'-chlorophenyl)urée ( Triclocarban) ou le 3,7,11-triméthyldodéca-2,5,10-triénol ( Farnesol) ; les sels d'ammonium quaternaires comme les sels de cetyltrimethylammonium, les sels de cétylpyridinium , le DPTA (acide 1,3- diaminopropanetétraacétique), le 1,2 decanediol (SYMCLARIOL de la société Symrise), - les dérivés de glycérine comme par exemple le Caprylic/Capric Glycerides (CAPMUL MCM de Abitec), le Caprylate ou caprate de Glycerol (DERMOSOFT GMCY et DERMOSOFT GMC respectivement de STRAETMANS), le Polyglyceryl-2 Caprate (DERMOSOFT DGMC de STRAETMANS) les dérivés de biguanide comme les sels de polyhexaméthylène biguanide. - la chlorhexidine et ses sels; 4-Phenyl-4,4-dimethyl-2butanol (SYMDEO MPP de Symrise). Parmi les actifs déodorants conformes à l'invention, on peut aussi citer également - les sels de zinc comme le salicylate de zinc, le gluconate de zinc, le pidolate de zinc ; le sulfate de zinc, le chlorure de zinc, le lactate de zinc, le phénolsulfonate de zinc ; ricinoléate de zinc - le bicarbonate de sodium ; - l'acide salicylique et ses dérivés tels que l'acide n-octanoyl-5-salicylique ; - zéolites d'argent ou sans argent ; - l'alun.
En cas d'incompatibilité ou pour les stabiliser, certains des actifs mentionnés ci-dessus peuvent être incorporés dans des sphérules, notamment des vésicules ioniques ou non-ioniques et/ou des nanoparticules (nanocapsules et/ou nanosphères). Les actifs déodorants peuvent être présents de préférence dans les compositions selon l'invention dans des concentrations pondérales allant 0,01 à 5% en poids par rapport au poids total de la composition. Afin d'améliorer l'homogénéité du produit, on peut utiliser en plus un ou plusieurs agents de suspension qui sont choisis de préférence parmi les argiles montmorillonites modifiées hydrophobes comme les bentonites ou hectorites modifiées hydrophobes. On peut citer par exemple le produit Stearalkonium Bentonite (nom CTFA) (produit de réaction de la bentonite et de l'ammonium quaternaire chlorure de stéaralkonium) tel que le produit commercial vendu sous le nom TIXOGEL MP 250 par la société Sud Chemie Rheologicals, United Catalysts Inc ou le produit Disteardimonium Hectorite (nom CTFA) (produit de réaction de l'hectorite et du chlorure de distéaryldimonium) vendu sous le nom de Bentone 38 ou Bentone Gel par la société Elementis Specialities. Les agents de suspension sont présents de préférence dans des quantités allant de 0,1 à 5% en poids et plus préférentiellement de 0.2 à 2% en poids par rapport au poids total de la composition. Selon une forme particulière de l'invention, les compositions antitranspirantes selon l'invention contiendront en plus une poudre organique. On entend dans la présente demande par poudre organique , tout solide insoluble dans le milieu à température ambiante (25CC). Comme poudres organiques qui peuvent être utilisées dans la composition de l'invention, on peut citer par exemple, les particules de polyamide et notamment celles vendues sous les dénominations ORGASOL par la société Atochem ; les poudres de polyéthylène ; les microsphères à base de copolymères acryliques, telles que celles en copolymère diméthacrylate d'éthylène glycol/ methacrylate de lauryle vendues par la société Dow Corning sous la dénomination de POLYTRAP ; les microsphères de polyméthacrylate de méthyle, commercialisées sous la dénomination MICROSPHERE M-100 par la société Matsumoto ou sous la dénomination COVABEAD LH85 par la société Wackherr ; les microsphères de poly methacrylate de methyle creuses (granulometrie : 6,5 - 10,5 p) commercialisées sous la dénomination GANZPEARL GMP 0800 par Ganz Chemical; micro-billes de copolymere methacrylate de methyle/dimethacrylate d'ethylene glycol (taille: 6.5-10.5 p) commercialisées sous la dénomination GANZPEARL GMP 0820 par Ganz Chemical ou MICROSPONGE 5640 par la société Amcol Health & Beauty Solutions; les poudres de copolymère éthylèneacrylate, comme celles commercialisées sous la dénomination FLOBEADS par la société Sumitomo Seika Chemicals ; les poudres expansées telles que les microsphères creuses et notamment, les microsphères formées d'un terpolymère de chlorure de vinylidène, d'acrylonitrile et de méthacrylate et commercialisées sous la dénomination EXPANCEL par la société Kemanord Plast sous les références 551 DE 12 (granulométrie d'environ 12 pm et masse volumique 40 kg/m3), 551 DE 20 (granulométrie d'environ 30 pm et masse volumique 65 kg/m3), 551 DE 50 (granulométrie d'environ 40 pm), ou les microsphères commercialisées sous la dénomination MICROPEARL F 80 ED par la société Matsumoto les poudres de matériaux organiques naturels tels que les poudres d'amidon, notamment d'amidons de maïs, de blé ou de riz, réticulés ou non, telles que les poudres d'amidon réticulé par l'anhydride octénylsuccinate, commercialisées sous la dénomination DRY-FLO par la société National Starch ; les microbilles de résine de silicone telles que celles commercialisées sous la dénomination TOSPEARL par la société Toshiba Silicone, notamment TOSPEARL 240 ; les poudres d'aminoacides telles que la poudre de Lauroyllysine commercialisée sous la dénomination AMIHOPE LL-11 par la Société Ajinomoto ; les particules de microdispersion de cire, qui ont de préférence des dimensions moyennes inférieures à 1 pm et notamment allant de 0,02 pm à 1 pm, et qui sont constituées essentiellement d'une cire ou d'un mélange de cires, telles que les produits commercialisés sous la dénomination Aquacer par la société Byk Cera, et notamment : Aquacer 520 (mélange de cires synthétiques et naturelles), Aquacer 514 ou 513 (cire de polyéthylène), Aquacer 511 (cire polymérique), ou telles que les produits commercialisés sous la dénomination Jonwax 120 par la société Johnson Polymer (mélange de cires de polyéthylène et de paraffine) et sous la dénomination Ceraflour 961 par la société Byk Cera (cire de polyéthylène modifiée micronisée) ; et leurs mélanges.
Les compositions cosmétiques selon l'invention peuvent comprendre en outre des adjuvants cosmétiques choisis parmi les adoucissants, les antioxydants, les opacifiants, les stabilisants, les agents hydratants, les vitamines, des bactéricides, les conservateurs, les polymères, les parfums, les agents épaississants, des agents propulseurs ou tout autre ingrédient habituellement utilisé en cosmétique pour ce type d'application. Bien entendu, l'homme de métier veillera à choisir ce ou ces éventuels composés complémentaires de manière telle que les propriétés avantageuses attachées intrinsèquement à la composition cosmétique conforme à l'invention ne soient pas, ou substantiellement pas, altérées par la ou les adjonctions envisagées. Les épaississants, de préférence non ioniques, peuvent être choisis parmi les gommes de guar et celluloses modifiées ou non modifiées telles que la gomme de guar hydroxypropylée, la cétylhydroxyéthylcellulose, les silices comme par exemple la Bentone Gel MIO vendue par la société NL INDUSTRIES ou la Veegum Ultra, vendue par la société POLYPLASTIC. Les épaississants peuvent également être cationiques comme par exemple le POLYQUATERNIUM-37 commercialisé sous la dénomination Salcare SC95 (Polyquaternium-37 (And) Minerai Oil (And) PPG-1 Trideceth-6) ou Salcare SC96 (Polyquaternium-37 (And) Propylene Glycol Dicaprylate/Dicaprate (And) PPG-1-Trideceth-6) ou d'autre polymère cationiques réticulés comme par exemple ceux de nom CTFA Copolymère Ethylacrylate / Dimethylamino Ethyl Methacrylate Cationique En Emulsion.
Les quantités de ces différents constituants pouvant être présents dans la composition cosmétique selon l'invention sont celles classiquement utilisées dans compositions pour le traitement de la transpiration. En référence à la Figure 1, le boîtier 12 est allongé suivant un axe A-A' vertical sur la Figure 1. II comprend une paroi extérieure creuse 18 débouchant, dans cet exemple, par une ouverture supérieure 20. II comporte un capot amovible 21 fixé de manière démontable sur la paroi creuse 18 pour couvrir l'ouverture supérieure 20 lors du stockage du dispositif 10. Le boîtier 12 est de dimensions et de masse adaptées pour être saisi et porté par la main d'un utilisateur. Ainsi si la hauteur est sensiblement inférieure à 30 centimètres, et sa masse est inférieure à 0,5 kg. L'ensemble 14 de distribution de produit comprend un réceptacle amovible 22 de réception de produit et un applicateur 24 de produit déodorant et/ou antitranspirant sur une surface corporelle de l'utilisateur, l'applicateur 24 faisant saillie à l'extérieur du boîtier 12 à partir du réceptacle 22.
Le réceptacle 22 est formé par une paroi intérieure creuse 26 délimitant un réservoir 28 de produit déodorant et/ou anti-transpirant. Le réservoir 28 contient ainsi le produit déodorant et/ou anti-transpirant sous forme fluide, par exemple sous forme d'un liquide, d'une crème, d'un gel, ou éventuellement d'une poudre.
Dans l'exemple représenté sur la figure 1, le réceptacle 22 est amovible conjointement avec l'applicateur 24 par rapport au boîtier 12, afin de permettre son remplacement une fois le produit contenu dans le réservoir 28 épuisé.
Le réceptacle 22 et l'applicateur 24 présentent une section transversale, prise perpendiculairement à l'axe A-A' du boîtier 12, inférieure à la section transversale du boîtier 12 au niveau de l'ouverture supérieure 20. Cette section transversale est également inférieure à celle de l'ouverture supérieure 20 pour délimiter avec la paroi creuse 18 un espace périphérique. Comme illustré par la figure 1, l'applicateur 24 comporte un organe rotatif 30 destiné à entrer en contact avec la surface corporelle et un siège 32 destiné à retenir l'organe rotatif 30 sur le réceptacle 22 lors de l'application. Dans cet exemple, l'organe rotatif 30 est formé par une bille sphérique. En variante, l'organe rotatif 30 est formé par une pièce cylindrique telle qu'un rouleau. L'organe rotatif 30 fait saille partiellement au-delà de l'ouverture 20 et du siège 32 à l'extérieur du boîtier 12. II présente une région supérieure 34 découverte et une région inférieure 36 couverte, reçue dans le siège 32. Le siège 32 s'étend dans le prolongement axial du réceptacle 22. Dans cet exemple, il est venu de matière avec la paroi intérieure creuse 26 du réceptacle 22. Le siège 32 comporte une chape périphérique 38 de retenue de l'organe rotatif 30 vers l'extérieur et une butée 40 intérieure de retenue de l'organe rotatif vers l'intérieur.
La chape 38 délimite une ouverture supérieure de passage de l'organe rotatif 30, qui présente une section transversale inférieure à la section transversale maximale de cet organe 30. La butée 40 fait saillie intérieurement par rapport à la chape 38 en délimitant intérieurement une ouverture de circulation de produit débouchant dans le réservoir 28. L'organe rotatif 30 est monté libre en rotation entre la butée 40 et la chape 38 suivant au moins un axe horizontal. II est également mobile en translation partielle le long de l'axe A-A' entre une position inférieure appliquée sur la butée 40 pour obturer vers l'extérieur le réservoir 28, et une position supérieure de distribution, dans laquelle il délimite avec la chape 38 une ouverture 42 périphérique de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant.
Lorsque le capot 21 est monté sur la paroi creuse 18, il plaque l'organe rotatif contre la butée 40 et empêche le passage de l'organe rotatif 30 vers sa position supérieure. L'ensemble 16 de distribution de gaz biocide comprend une source 50 de gaz biocide disposée dans le boîtier 12, et un organe d'actionnement 52 propre à activer la source 50 pour libérer du gaz biocide hors de la source 50 et l'amener hors du boîtier 12 à travers un passage de distribution 54. Le gaz biocide est avantageusement de l'ozone. II est propre à être délivré à une concentration physiologiquement acceptable tout en conservant une activité biocide en regard de la surface corporelle à traiter. La concentration du gaz biocide diffusé à la sortie du boîtier 12 hors du passage 54 est par exemple inférieure à 10%. Dans cet exemple, la source de gaz biocide 50 comprend un générateur 56 de gaz biocide raccordé à une source d'énergie électrique 58.
La source d'énergie électrique 58 est formée par exemple par une batterie ou par un connecteur destiné à être raccordé à une source de tension extérieure telle qu'une prise de courant. Le générateur 56 de gaz biocide est par exemple de type décharge à couronne , couramment désignée par le terme anglais coronna discharge .
Comme illustré par la figure 2, ce générateur 56 comprend généralement une première électrode 60, une deuxième électrode 62 placée en regard de la première électrode 60, les électrodes 60, 62 délimitant entre elles un espace intermédiaire 64 de décharge. Le générateur 56 comprend en outre des moyens 66 d'alimentation de l'espace intermédiaire 64 en un gaz de base et une couche diélectrique 68, par exemple en céramique ou en verre. Comme illustré par la figure 2, la première électrode 60 et la deuxième électrode 62 sont en forme de plaque. La première électrode 60 est raccordée à une borne à haute tension de la source 58 de tension électrique. Sa surface extérieure, placée en regard de la deuxième électrode 62, est couverte par la couche diélectrique 68.
La deuxième électrode 62 s'étend en regard et à l'écart de la couche diélectrique 68 de la première électrode 60. Elle est raccordée électriquement à une deuxième borne basse tension de la source 58. Le gaz de base contient de l'oxygène, par exemple au moins 10% d'oxygène. Dans l'exemple représenté sur la figure 2, le gaz de base est l'air. Les moyens d'alimentation 66 sont alors formés par une ouverture d'alimentation en air ménagée dans le boîtier 12. En variante, par exemple représentée sur la figure 3, le gaz de base est de l'oxygène sensiblement pur, à une concentration supérieure à 90%. Les moyens d'alimentation 66 comprennent alors une source d'oxygène 70 disposée dans le boîtier 12 et raccordée à l'espace intermédiaire 64 pour alimenter l'espace intermédiaire 64. Le gaz de base issu des moyens 66 est éventuellement filtré avant de passer dans l'espace intermédiaire 64.
Lorsque la source d'énergie électrique 58 alimente le générateur 56, une tension est établie entre les électrodes 60, 62. Des décharges électriques se forment dans le gaz de base à travers l'espace intermédiaire 64 entre la première électrode 60 et la deuxième électrode 62. Ces décharges sont contrôlées et maintenues par la couche diélectrique 68.
Sous l'effet des décharges, l'oxygène contenu dans le gaz de base se transforme en ozone et le gaz biocide ainsi formé est évacué par le passage de distribution 54 vers l'extérieur du boîtier 12. Dans la variante décrite sur la figure 4, le générateur d'ozone 56 est du type décrit dans la demande de brevet WO 01/19 729. Il comprend ainsi une électrode centrale 60 formée par un noyau cylindrique 72, et une électrode périphérique 62 formée par un fil 73 enroulé autour de l'électrode centrale. Dans une variante (non représentée) décrite dans WO 01/19 729, le fil 73 est disposé dans une cavité ménagée dans le manchon 72 de l'électrode centrale 60.
Dans une variante représentée sur le figures 5 et 6, la première électrode 60 et la deuxième électrode 62 sont formées par des manchons cylindriques coaxiaux, la première électrode 60 étant insérée dans la deuxième électrode 62.
La couche électrique 68 est formée par un tube 68 en verre ou en céramique appliqué sur la première électrode 60. Le tube 68 est obturé à une extrémité. La couche diélectrique 68 appliquée sur la première électrode 60 délimite avec la deuxième électrode 62 un espace annulaire 64 de décharge. Dans la variante représentée sur la figure 7, la couche diélectrique 68 est disposée sur la deuxième électrode 62 reliée à la basse tension. La première électrode 60 délimite une pluralité de rainures transversales 74 disposées parallèlement les unes aux autres le long et en regard de la deuxième électrode 62. Chaque rainure est délimitée par deux plans inclinés se coupant suivant une ligne sensiblement transversale à un axe de circulation du gaz de base dans l'espace intermédiaire 64. Les rainures 74 définissent entre elles des dents 76 qui font saillie vers la deuxième électrode 62. Des variantes de ce générateur sont décrites dans US 6,932,946.
Dans la variante représentée sur la figure 8, le générateur 56 de gaz biocide 56 comprend une source artificielle 80 de rayonnement ultraviolet, et une chambre 82 d'exposition du gaz de base au rayonnement ultraviolet pour produire le gaz biocide. La source 80 est apte à émettre un rayonnement électromagnétique lumineux présentant une longueur d'onde inférieure à 400 nm, avantageusement dans la gamme comprise entre 100 nm et 400 nm, préférentiellement entre 200 nm et 300 nm et encore préférablement à 240 nm. Le rayonnement lumineux produit dans la source 80 est dirigé vers la chambre 82 pour exposer le gaz de base contenant de l'oxygène à ce rayonnement. L'interaction entre les molécules d'oxygène et le rayonnement ultraviolet produit de l'ozone. Dans une variante représentée schématiquement sur la figure 9, un plasma froid 78 est formé entre les électrodes 60, 62. Le plasma froid 78 résulte d'un transfert filamentaire d'électrons créant des micro-décharges. Les moyens d'alimentation 66 comprennent une source d'oxygène pur délivré dans le plasma 78.
Dans l'exemple représenté sur la figure 1, l'ensemble 16 de distribution de gaz biocide est disposé dans le fond du boîtier 12, en dessous de l'ensemble 18 de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant. Le passage de distribution 54 s'étend dans l'espace délimité parallèlement à l'axe A-A' entre la paroi creuse 18 du boîtier et le réceptacle 22. Le passage 54 raccorde le générateur de gaz biocide 56 à l'ouverture 20. II débouche à la périphérie de l'ouverture 20 par une ouverture de distribution de gaz biocide située autour de l'applicateur 24 de produit déodorant et/ou antitranspirant.
Dans cet exemple, le boîtier 12 délimite un passage 54 périphérique unique. En variante, le boîtier 12 définit une pluralité de passages 54 qui débouchent par des ouvertures distinctes. L'organe d'actionnement 52 est disposé sur le boîtier 12 pour être accessible pour l'utilisateur à l'extérieur du boîtier 12. II est formé par exemple par un bouton de commande. L'organe 52 d'actionnement est raccordé à la source d'énergie électrique 58. Lorsque l'organe d'actionnement 52 est activé par l'utilisateur, il est propre à autoriser l'alimentation du générateur 56 par la source 58 pour produire du gaz biocide dans le générateur 56. Au contraire, lorsque le bouton 52 est désactivé, par exemple en étant relâché, le générateur de gaz biocide 56 n'est plus alimenté par la source de tension électrique 58, ce qui stoppe la génération de gaz biocide. Un premier procédé de traitement cosmétique selon l'invention, mis en oeuvre à l'aide du dispositif 10 va maintenant être décrit. Comme illustré par la figure 10, ce procédé comprend une étape 80 de placement du premier dispositif 10 en regard d'une surface corporelle de l'utilisateur, une étape 82 de traitement de la surface corporelle à l'aide du gaz biocide à une concentration physiologiquement acceptable, puis une étape 84 d'application du produit déodorant et/ou anti-transpirant sur la surface corporelle. Initialement, à l'étape 80, l'utilisateur du premier dispositif 10 saisit le boîtier 12 à l'aide de ses mains. Il retire le capot 21 présent sur le boîtier 12 et amène l'ouverture 20 en regard de la surface corporelle à traiter. Dans cette configuration, le générateur 56 n'est pas alimenté par la source d'alimentation 58.
Puis, à l'étape 82, l'utilisateur active l'organe d'actionnement 52 pour activer la production de gaz biocide. L'activation de l'organe d'actionnement 52 raccorde la source 58 au générateur 56 et engendre une tension alternative de fréquence comprise entre 3 Hz et 30 kHz entre les électrodes 60, 62 des générateurs 56. Le gaz de base fourni par les moyens d'alimentations 66 entre alors dans l'espace intermédiaire 64 où l'oxygène présent dans le gaz de base est au moins partiellement transformé en ozone. L'ozone produit dans le générateur 56 sort alors de la source de gaz biocide 50 et s'écoule jusqu'à l'extérieur du boîtier 12 à travers le passage 54 et l'ouverture de distribution de gaz biocide. La concentration de gaz biocide engendrée par la source est inférieure à 10%, de sorte que le gaz biocide présente, à la sortie du boîtier 12, une concentration physiologiquement acceptable.
Toutefois, la concentration en gaz biocide diffusant sur la surface corporelle est localement suffisante pour que ce gaz soit biologiquement actif, afin d'inhiber la prolifération de micro-organismes sur la surface corporelle et afin de détruire les micro-organismes déjà présents sur cette surface. Ainsi, la flore bactérienne présente sur la surface corporelle est partiellement ou totalement détruite avant l'application du produit déodorant et/ou anti-perspirant. La durée de production de gaz biocide par la source 50 et la durée d'exposition de la surface corporelle au gaz biocide produit par la source 50 est supérieure à 5 secondes, tout en restant avantageusement inférieure à 120 secondes. Cette durée est par exemple avantageusement comprise entre 10 secondes et 100 secondes. Ensuite, une fois la source 50 désactivée, l'utilisateur applique du produit cosmétique sur la surface corporelle préalablement exposée au gaz biocide à l'aide de l'applicateur 24. Le produit cosmétique contenu dans le réservoir 28 passe à travers l'ouverture 42 et se dépose ainsi sur la surface corporelle par contact avec l'organe rotatif 30.
La coopération entre l'ozone diffusé sur la surface corporelle et le produit déodorant et/ou anti-transpirant appliqué sur cette surface produit une action assainissante et désodorisante de grande durée dans un spectre anti-bactérien très large.
Cet effet synergique est obtenu de manière simple, et permet de diminuer le taux de substances actives présentes dans la composition déodorante et/ou anti-transpirante, pour un meilleur confort de l'utilisateur. Dans une variante, le produit déodorant et/ou anti-transpirant est d'abord appliqué sur la surface corporelle, puis le gaz biocide est diffusé en regard de cette surface, après l'application du produit déodorant et/ou anti-transpirant. Dans une autre variante, le produit déodorant et/ou anti-transpirant est appliqué sur la surface corporelle en même temps que la diffusion du gaz biocide en regard de cette surface. Dans une variante (non représentée) du dispositif de la figure 1, le réceptacle 22 contient une cupule portant un bloc autoportant de produit déodorant et/ou anti-transpirant. La cupule est montée mobile dans le réceptacle 22 entre une position rétractée et une position déployée le long de l'axe A-A'. Un organe de manoeuvre de la cupule est accessible pour l'utilisateur hors du boîtier.
Dans ce cas, l'applicateur de produit déodorant et/ou anti-transpirant est formé par le bloc de produit qui sort progressivement hors du réceptacle lors du déploiement de la cupule. Dans une autre variante (non représentée), la source 50 de gaz biocide est formée par un réservoir de gaz biocide, avantageusement maintenu sous pression, à une pression supérieure à la pression atmosphérique. Le réservoir est obturé au repos. Lorsque l'utilisateur active l'organe de commande 52, il ouvre le réservoir de gaz biocide, ce qui permet la diffusion de gaz biocide hors du boîtier 12 à travers le passage 54 et l'ouverture de distribution de gaz biocide.
Un deuxième dispositif 90 selon l'invention est représenté sur la figure 11. A la différence du premier dispositif 10, le boîtier 12 comprend une partie de base creuse 92 prolongée par deux branches latérales 94A, 94B creuses.
La partie de base creuse 92 reçoit la source de gaz biocide 50. La première branche 94A et la deuxième branche 94B font saillie à partir de la partie de base 92 dans laquelle elles débouchent. Le boîtier 12 présente par exemple une forme en Y, les branches 94A, 94B étant inclinées par rapport à la partie de base 92.
Chaque branche 94A, 94B délimite une ouverture supérieure 20A, 20B respective. L'ensemble 14 de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant est disposé dans la deuxième branche 94B. Il fait saillie partiellement à travers l'ouverture 20B.
Dans cet exemple, et comme indiqué précédemment, le réceptacle 22 comprend une cupule 95 portant un bloc 96 de produit déodorant et/ou antitranspirant, déplaçable en translation le long d'un axe B-B' de la branche 94B, entre une position rétractée du bloc 96 dans la branche 94B, et une position déployée du bloc 96 hors de la branche 94B.
La cupule 95 est actionnée par un bouton de commande 98 accessible depuis l'extérieur du boîtier 12 par l'intermédiaire d'une fente longitudinale 100 ménagée dans la paroi délimitant la deuxième branche 94B. L'ouverture 20B délimite exclusivement une ouverture de sortie de produit déodorant et/ou anti-transpirant.
Ainsi, le passage 54 de distribution de gaz biocide s'étend dans la base creuse 92, puis dans la première branche 94A, sans passer par la deuxième branche 94B. Il débouche à travers l'ouverture 20A présente dans la première branche 94A. Le fonctionnement du deuxième dispositif 90 diffère du fonctionnement du premier dispositif 10 en ce que l'utilisateur place d'abord la première branche 94A et son ouverture 20A en regard de la surface corporelle. Puis, comme décrit précédemment, il active l'organe d'actionnement 52 afin d'activer la diffusion de gaz biocide à travers le passage 54 jusqu'à l'ouverture 20A pour balayer la surface corporelle.
Ensuite, une fois la source 50 de gaz biocide désactivée, l'utilisateur pivote le boîtier 12 autour de l'axe A-A' de la partie de base 92 pour placer l'ouverture 20B de la deuxième branche 94B en regard de la surface corporelle. II déploie alors le bloc 96 de produit déodorant et/ou anti-transpirant hors de l'ouverture 20B par l'intermédiaire du bouton 98 et applique du produit déodorant et/ou antitranspirant sur la surface corporelle. Un troisième dispositif 110 de traitement cosmétique selon l'invention est représenté sur la figure 12.
A la différence du premier dispositif 10, le boîtier 12 du troisième dispositif 110 débouche axialement par l'ouverture supérieure 20A, et par une ouverture inférieure 112 situé à l'opposé de l'ouverture supérieure 20. Comme dans le mode de réalisation à la figure 10, l'ensemble de distribution de produit 14 comprend un bloc 96 de produit déodorant et/ou anti- transpirant 96 déployable depuis l'extérieur du boîtier 12 par l'intermédiaire d'un bouton 98. Le bloc 96 de produit déodorant et/ou anti-transpirant est extrait à travers l'ouverture supérieure 20 et présente sensiblement la même section transversale que celle de l'ouverture 20.
Une cloison étanche sépare le fond du réceptacle 22 de la source 50 de gaz biocide. Par ailleurs, le passage 54 de distribution de gaz biocide s'étend au dessous de la source 50 pour déboucher par l'ouverture inférieure 112. Lors du fonctionnement du troisième dispositif, l'utilisateur place tout d'abord l'ouverture inférieure 112 en regard de la surface corporelle, puis presse l'organe d'actionnement 52 pour activer la diffusion de gaz biocide sur la surface corporelle. Ensuite, il retourne le boîtier 12 pour placer l'ouverture supérieure 20 en regard de la surface corporelle et appliquer du produit déodorant et/ou anti- transpirant sur la surface corporelle. Dans une variante du deuxième dispositif 90 et du troisième dispositif 110, l'applicateur 24 est formé par un organe rotatif 30 retenu dans un siège 32 comme décrit précédemment. Un quatrième dispositif 120 de traitement cosmétique selon l'invention est représenté sur la figure 14. A la différence du premier dispositif 10, le boîtier 12 est formé par le corps d'un aérosol, qui porte sur sa tête un bouton de commande 52 actionnant une valve 122.
Le bouton 52 délimite une ouverture commune 20 de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant et de gaz biocide. II comprend ainsi une buse délimitant l'ouverture 20. Le boîtier 12 contient un réceptacle 22 contenant la composition déodorante et/ou anti-transpirante définie plus haut et un agent propulseur. Les propulseurs généralement utilisés dans ce type de produits et bien connus de l'homme de l'art, sont comme par exemple le diméthyléther (DME) ; les hydrocarbures volatils tels que le n-butane, le propane, l'isobutane, et leurs mélanges, éventuellement avec au moins un hydrocarbure chloré et/ou fluoré; parmi ces derniers on peut citer les composés vendus par la société Dupont de Nemours sous les dénominations Fréon et Dymel , et en particulier le monofluorotrichlorométhane, le difluorodichlorométhane, le tétrafluorodichloroéthane et le 1,1-difluoroéthane vendu notamment sous la dénomination commerciale DYMEL 152 A par la société DUPONT. On peut également utiliser en tant qu'agent propulseur le gaz carbonique, le protoxyde d'azote, l'azote ou l'air comprimé. Selon l'invention, la concentration en agent propulseur varie généralement de 5 à 95% en poids pressurisée et plus préférentiellement de 50 à 85% en poids par rapport au poids total de la composition pressurisée.
Le réceptacle 22 est raccordé à l'ouverture 20 par un canal 124 de distribution de produit, obturé en aval par la valve 122. La source de gaz biocide 50 est également disposée dans le boîtier 12, en parallèle du réceptacle 20. Elle est raccordée à l'ouverture 20 par un canal 126 de distribution de gaz biocide, obturé en aval par la vanne 122. Dans une première variante, la source 50 est formée par un réservoir de gaz biocide sous pression. Dans une autre variante, la source 50 comprend un générateur de gaz biocide activé par une pression sur le bouton 52. Le fonctionnement du quatrième dispositif 120 diffère du fonctionnement du premier dispositif 10, en ce que l'utilisateur appuie sur le bouton 52 pour ouvrir la vanne 122 et libérer simultanément le produit déodorant et/ou anti-transpirant à travers le canal 124, la valve 122 et l'ouverture 20, et le gaz biocide à travers le canal 126, la valve 122 et l'ouverture 20. Le mélange ainsi formé est pulvérisé sur la surface corporelle. Dans une variante (non représentée), le bouton 52 définit une première ouverture pour le passage du gaz biocide et une deuxième ouverture 20 dans le bouton 52 distincte de la première ouverture pour le passage du produit déodorant et/ou anti-transpirant. Dans encore une autre variante, la source de gaz biocide 50 est disposée dans le boîtier 12, comme pour le troisième dispositif 110, et un passage 54 de distribution de gaz biocide débouche par une ouverture ménagée dans la paroi du boîtier 12 sans passer par la valve 122. Un cinquième dispositif 130 selon l'invention est représenté sur la figure 14. A la différence du premier dispositif 10, ce dispositif est muni d'une source d'énergie 132A, 132B pour stimuler la surface corporelle, tel qu'un moyen de chauffage 132A, un moyen de massage par ultrasons 132B, ou un moyen d'exposition de la surface corporelle à un rayonnement lumineux avantageusement infrarouge ou ultraviolet, ou à un rayonnement radiofréquence. La figure 15 illustre un premier nécessaire 140 de traitement cosmétique selon l'invention. Ce premier nécessaire 140 comporte un ensemble 14 de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant, et un ensemble 16 de distribution de gaz biocide qui sont contenus respectivement dans des boîtiers 12A, 12B distincts et déplaçables indépendamment l'un de l'autre. Les boîtiers 12A et 12B sont avantageusement reçus dans un emballage 142 qui peut être ouvert par l'utilisateur pour accéder successivement au premier boîtier 12A et au deuxième boîtier 12B. Le premier boîtier 12A délimite une ouverture 20A par laquelle débouche un passage de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant. Le deuxième boîtier 12B délimite une ouverture 20B de distribution de gaz biocide par laquelle débouche un passage 54 de distribution de gaz biocide depuis une source 50 contenue dans le deuxième boîtier 12B. Comme décrit précédemment la source 50 peut être constituée d'un réservoir de gaz biocide ou peut comprendre un générateur 56 de gaz biocide.
Le fonctionnement du premier nécessaire 140 selon l'invention comprend une étape d'ouverture de l'emballage 142, puis une étape de saisie du deuxième boîtier 12B contenant l'ensemble 16 de distribution de gaz biocide. Ensuite, le boîtier 12B est placé avec son ouverture 20B en regard de la surface corporelle et le bouton 52 est activé pour permettre la diffusion de gaz biocide à une concentration physiologiquement acceptable, sur la surface corporelle de l'utilisateur. Puis, l'utilisateur saisit le boîtier 12A contenant le produit déodorant et/ou anti-transpirant, ouvre le capot 21 obturant ce produit et libère l'accès à l'applicateur 24. Il applique alors du produit déodorant et/ou anti-transpirant sur la surface corporelle, comme décrit précédemment. Au sens de la présente invention, le terme un s'entend comme au moins un , sauf si le contraire est précisé.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS1.- Dispositif (10 ; 90 ; 110 ; 120 ; 130) de traitement cosmétique du type comprenant un support (12) recevant un produit déodorant et/ou anti-transpirant, caractérisé en ce que le support (12) reçoit en outre une source (50) de gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine acceptable.
    2.- Dispositif (10 ; 90 ; 110 ; 120 ; 130) selon la revendication 1, caractérisé en ce que la source de gaz biocide (50) comprend un générateur (56) de gaz biocide propre à engendrer du gaz biocide à partir d'un gaz de base.
    3.- Dispositif (10 ; 90 ; 110 ; 120 ; 130) selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que la source de gaz biocide (50) comprend un réservoir de gaz biocide.
    4.- Dispositif (10 ; 90 ; 110 ; 120 ; 130) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le gaz biocide est l'ozone.
    5.- Dispositif (10 ; 90 ; 110 ; 120 ; 130) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il comporte un réceptacle (22) contenant le produit déodorant et/ou anti-transpirant, le réceptacle (22) étant amovible par rapport au support (12).
    6.- Dispositif (10 ; 90 ; 110 ; 120 ; 130) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le support (12) délimite au moins une ouverture de distribution du produit déodorant et/ou anti-transpirant pour permettre son application sur une surface corporelle et une ouverture de distribution du gaz biocide raccordée à la source de gaz biocide.
    7.- Dispositif (10 ; 130) selon la revendication 6, caractérisé en ce qu'il comporte un applicateur (24) de produit déodorant et/ou anti-transpirant, l'applicateur comprenant un siège (32) et un organe (30) d'application monté rotatif par rapport au siège (32), l'organe d'application rotatif (30) et le siège (32) délimitant l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant.
    8.- Dispositif (10 ; 130) selon l'une des revendications 6 ou 7, caractérisé en ce que le support (12) comprend une ouverture (20), l'ouverture (20) comportant une région centrale délimitant l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant et une région périphérique délimitant l'ouverture de distribution de gaz biocide.
    9.- Dispositif (110) selon l'une quelconque des revendications 6 ou 7, caractérisé en ce que le support (12) s'étend suivant un axe (A-A') de support, l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant s'étendant axialement d'un côté du support (12), l'ouverture de distribution de gaz biocide s'étendant axialement d'un autre côté du support (12).
    10.- Dispositif (90) selon l'une quelconque des revendications 6 ou 7, caractérisé en ce que le support (12) comprend une partie de base (92) et deux branches latérales (94A, 94B) qui font saillie par rapport à la partie de base (92), une première branche latérale (94A) délimitant l'ouverture de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant, une deuxième branche latérale (94B) délimitant l'ouverture de distribution de gaz biocide.
    11.- Dispositif (130) selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que le support (12) porte une source d'énergie (132A, 132B) propre à interagir avec une surface corporelle de l'utilisateur.
    12.- Nécessaire (140) de traitement cosmétique du type comprenant un produit déodorant et/ou anti-transpirant, caractérisé en ce qu'il comprend dans des supports séparés (12A, 12B) respectivement : - un ensemble (16) de distribution de gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine ou acceptable ; et - un ensemble (14) de distribution de produit déodorant et/ou antitranspirant.
    13.- Nécessaire (140) selon la revendication 12, caractérisé en ce qu'il comprend un emballage (142) contenant les supports séparés (12A, 12B) comprenant respectivement l'ensemble (16) de distribution de gaz biocide et l'ensemble (14) de distribution de produit déodorant et/ou anti-transpirant.
    14.- Procédé de traitement cosmétique comprenant les étapes suivantes : - application d'un produit déodorant et/ou anti-transpirant sur une surface corporelle ; et, avant, pendant ou/et après l'application du produit déodorant et/ou anti-transpirant : - traitement de la même surface corporelle par un gaz biocide adapté à détruire des micro-organismes tout en étant à concentration physiologique humaine acceptable.
    15.- Procédé selon la revendication 14, caractérisé en ce que l'étape de traitement et l'étape d'application sont réalisés de manière séquentielle, l'étape de traitement étant avantageusement réalisée avant l'étape d'application.5
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