La présente invention concerne un dispositif d'hydrolienne modulaire producteur d'énergie mécanique par des courants océaniques, de marées ou de rivières à un ou deux sens du fluide. Consécutif et en complément à ma demande de brevet N° 09 03624 relatif à un dispositif particulièrement conçu pour être construit en béton et à un principe de fonctionnement mixte Air/Eau dans la chambre à turbine, par restriction ou Delta P aval, pour y maintenir une poche d'air dans une cloche supérieure en immersion totale. Le dispositif selon l'invention est particulièrement étudié ici pour fonctionner sans cette caractéristique principale, en acier ou mixte avec du béton, par un retour aux sens des courants, avec différents modèles de turbine à positions de pales régulées, à vis sans fin ou hélices, pour des installations spécifiques (culée de pont) et recevoir des éléments de stabilisation ou de planification, pour limiter les travaux anti-affouillement sous-marins de préparation de sa base, dans des conditions de sol difficiles ou instables. Ainsi que de faciliter le remplacement partiel ou total des modules qui le constituent ou de ses systèmes mécaniques, sur place ou en flottaison. Le dispositif représenté dans les différentes figures reprend principalement le fait de présenter, l'arbre de rotation des roues à aubes classiques dans un sens perpendiculaire aux courants, mais aussi parallèle, avec un modèle à vis ou à hélice pour certaines configurations, avec une capacité entre eux d'accouplement, pour sa mise en ligne ou en barrage, ainsi qu'une possibilité d'empilement des unités assemblées, avec une possibilité pour les éléments dynamiques soumis à une usure plus élevés d'interchangeabilités totale ou partielle. Contrairement au dispositif relatif à la demande de brevet mentionnée ci-dessus et le fait de conserver la prise en sandwich de la turbine (2) ou à vis sans fin (102) entre une base (4) et une toiture (3), celui-ci est caractérisé en ce qu'il autorise le placement des divers modules supports de son axe de rotation (6) ou des zones de ballast qui le constituent en divers points, pour de plus nombreuses adaptations techniques de production et d'exploitation. Les dessins annexés illustrent l'invention. La figure 1 représente, le dispositif sous une forme préférentielle vue en coupe, avec un axe de turbine perpendiculaire aux sens du courant, pour ce modèle et un placement en base inférieure de son module étanche technique (20), ainsi que de ses divers éléments modulaires mécaniques, de mise en place et de stabilisation ou de ses zones de ballastage, pour un renflouage etlou une immersion partielle ou totale et son transport en flottaison assemblé ou toutes parties de ses modules séparables. La figure 2 représente le dispositif de face au sens du courant à deux turbines couplées et des localisations générales en coupe partielle, de tous les éléments décris dans la figure 1 de ce modèle, ainsi que des régulateurs de position de ses pales (60). La figure 3 représente le dispositif sous une forme préférentielle vue en coupe et de profil au sens du courant, d'un modèle avec une salle technique (20) supérieure, des ballasts ou des réserves de production d'eau douce et des caissons lests inférieurs ou intermédiaires en béton. La figure 4 représente le dispositif de la figure 3 sous une forme préférentielle en phase de séparation de sa base et de renflouage, pour un remplacement des éléments mobiles et mécaniques, en surface ou pour son immersion après réparation ou entretien.
La figure 5 représente le dispositif sous une forme préférentielle vue en plan d'un modèle de turbine (102) à vis sans fin sur l'axe (6) de rotation ou le module casette de la chambre (20) parallèle aux sens du courant est intercalé entre la toiture (3) et la base (4). La figure 6 représente le dispositif de la figure 5 en coupe équipé d'une turbine à vis sans fin parallèle au sens du courant, pour son utilisation à la construction de culées de ponts routiers ou ferroviaires, sur pieux foncés ou battus. La figure 7 représente le dispositif sous une version préférentielle avec une face d'entrée de tuyère de la configuration de la figure 5 à axe (6) en parallèle au sens du courant et ses grilles (11) de protection aux encombrants flottants en rivière ou en mer. La figure 8 représente le dispositif sous une forme préférentielle vue en coupe avec son axe (6) perpendiculaire aux sens du courant aval ou amont par la mise en place de son module technique (103) et à chambre (20) sur une de ses faces verticales. La figure 9 représente le dispositif sous une forme préférentielle et schématique de la position neutre de la turbine à pales mobiles et ses mécanismes à autoposition des pales (60) par et au sens du fluide à l'aide du mécanisme (8) assurant le point fixe, sans débit ou force de courants fluides. La figure 10 représente le dispositif de la figure 9 dans sa ter phase de positionnement des pales (60) mobiles de la turbine, par la force et le sens du courant. La figure 11 représente le dispositif en contre sens de la figure 9 au neutre. La figure 12 représente le dispositif en le` phase au sens du flux de la figure 11.
La figure 13 représente le dispositif sous la forme préférentielle du modèle de la figure 3 et la figure 8 avec une turbines (2) à quatre pales équipées d'un dispositif de désalinisation d'eau de mer, de deux générateurs électriques et réserve d'air interne (52).
La figure 14 représente le dispositif sous une forme préférentielle d'une vue externe de ses éléments modulaires individuels, d'un modèle avec une turbine (2) à trois pales (60) et axe de rotation perpendiculaire aux sens du courant, pour un assemblable en chaine ou en barrage, ainsi qu'une possibilité d'empilage avec les caractéristiques principales partielles ou totales représentées dans les différentes figures précédentes. En référence à ces dessins la figure 1 représente le dispositif sous une forme préférentielle vue de profil et en coupe partielle, avec un axe (6) de turbine (2) perpendiculaire aux sens du courant et un placement sur la base (4) inférieure, de son module étanche technique (20). La base (4) avec la toiture (3) crée une chambre (13) ovoïde ou ronde suivant la cloche (1) en rapport à l'encombrement d'un développement d'aube de turbine (2). Ici une roue à trois aubes (60) incurvées avec des cintrages de leurs courbes relatives aux dimensions autorisées par la position respective de leurs axes de rotation (105) sur le périmètre de leurs disques supports et de la dimension de la chambre (13) de rotation. Leur mise en position automatique et réversible se fait par le sens et la force des courants, sur la base d'un point fixe ou point mort (8) en position repliée dit neutre. Les dos inférieurs des demi-pale (60) exposés à l'entrée des tuyères d'accès des courants reçoivent leur force, qu'il transmet via la chaine (32) sur les deux ressorts (30) équilibrés en tension au neutre, pour créer un déséquilibre d'un quart de tour par l'élasticité de l'un ou de l'autre, pour un cycle bas des pales orientées et en charges ou à sa remise en place sans charge, avec un échappement circulaire en retour pour présenter son profil, avec un coefficient de pénétration dans les fluides inférieur. Le but étant de passer d'une surface plate en charge à celle de la goutte d'eau, soit au meilleur rendement ou CX possible entre ces deux formes et d'épouser au maximum la parabole idéale d'échappement de l'aile en retour, en réduisant l'encombrement de leur replis supérieur, pour permettre d'avoir le volume de la cloche (1) le plus petit possible. Le placement de l'élément modulaire (103) aux deux extrémités de la base (4) relative à cette figure 1 : Forme des chambres (20) techniques, cloches étanches réservées aux éléments électriques ou mécaniques et supports des paliers (17) ou cages à roulements étanches supérieurs de l'arbre (6) des turbines (2) à aubes (60). La toiture (3) qui forme la cloche (1) dans cette version chapeaute ses modules techniques (103) et sa turbine (2) est équipés de déflecteurs (9). Il est relié à sa base (4) à ballastage ou à support de lests, par des câble de treuils (18) sur des moufles (19) parfois renvoies d'angle, sur les points fixes (23) de la base (4) afm d'autoriser le renflouage en surface des modules techniques, inclus la toiture (3) et la turbine (2) ou de procéder à son immersion pour une remise en place après réparation en surface. Option facultative qui est démontrée dans les diverses figures d'autres configurations à suivre, mieux adaptées à cette fonction. Le module technique (103) peut être équipé en option pour des interventions mécaniques d'entretien ou de réparations d'un sas cloche (21), donnant accès par une porte (22) à la salle (20) technique, qui reçoit les éléments générateurs (5) électriques, les multiplicateurs à chaines (16) ou planétaire (7) en carter, ainsi que les moteurs réducteurs (24), des scarificateurs (25) nettoyeurs des grilles (11) anti-encombrants flottants qui pourraient s'y accumuler spécialement en rivière. Les moteurs réducteurs (24) peuvent aussi recevoir des volets (10) pour étrangler le débit de sortie, aval ou amont afin de créer dans la chambre (13) une pression supérieure par élévation du fluide en amont, pour une accélération des fluides dans les tuyères. Ensemble d'options qui peuvent se retrouver, dans tous les modèles du dispositif faisant l'objet de cette demande de brevet. Comme celles de rendre possible, sur des paliers (12) par des moteurs réducteurs (15) disposés par côté dans la toiture (3), de commander un seul mouvement des grilles (11) vers le haut, afin de faire passer les encombrants au dessus du dispositif, pour dégager leurs faces bouchées, par un nettoyage à contre courant. Mais aussi de pouvoir donner accès aux tuyères et aux turbines, une fois celles-ci bloquées ou à l'étale pour les courants de marée. Les grilles (11) sont aussi des éléments de sécurité anti intrusion à des plongeurs ou des mammiferes marins. Des pieux (14) à l'aide de leurs vérins hydrauliques (28) ou des télescopes (26) par leurs vérins (27) stabilisent et planifient le dispositif. L'ensemble de ces fonctions peuvent être réalisées : Soit par une petite centrale hydraulique interne avec un stock de batteries rechargées par le dispositif, celles-ci étant très occasionnelles en cour d'opération d'installation ou d'exploitation pour le nettoyage. Soit possible par un retour de la terre via le câble sous marin d'alimentation au réseau. Ces options n'ont qu'un caractère d'amélioration ou de sécurité, pour la bonne marche du dispositif. La figure 2 représente le dispositif de la figure 1 vue de face et en coupe partielle de façon à permettre de mieux cerner et détailler les diverses positions et fonctions des éléments qui composent le dispositif, avec un accouplement de deux turbines (2) avec ses roues à aubes (60) et leurs tuyères d'accès (104) séparées par un élément intercalaire porteur (38), fixé sur la base (4) et support d'un palier à roulement intermédiaire (29) d'accouplement des turbines (2) pour une reprise de charge, sous la cloche (1) de la toiture (3), qui chapeaute les modules techniques (103) à ses deux extrémités ou cloches étanches (20) des équipements électriques, comme le ou les générateurs individuels ou multiples localisés dans l'une ou l'autre de chaque côté d'une plus faible capacité, pour tourner sur une ou deux turbines, dans les périodes à moins bon rendement des courants, au lieu d'un seul plus puissant. Un ou des multiplicateurs de vitesse (7) planétaires, sous carter à bain d'huile ou mécaniques à chaines (16) reliés à l'arbre (6) de rotation des turbines (2) peuvent y être installés, ainsi que des embrayages hydraulique (33) multidisques à friction, en fonction des révolutions et du couple développés par les turbines (2). Nous retrouvons les mécanismes optionnels de la figure 1 relatifs à la capacité de renflouage du module (103) des éléments techniques, par le treuil (18) à câble sur le point fixe de base (23) via le moufle (19), ainsi que les accès à ses chambres (20) par le sas (21) et la porte étanche (22). La position des déflecteurs (9) de coté pour canaliser le flux des surfaces mortes par coté, que ces salles présentent aux sens des courants, vers les bouches d'entrées (104), pour de meilleurs rendements et des charges moindres sur le dispositif. Dans cette configuration le dispositif est équipé de pieux externes (14) à l'aide de leurs vérins hydrauliques (28) ou des télescopes (26) par leurs vérins (27) pouvant le stabiliser et le planifier. Les moteurs réducteurs hydrauliques (15) autorisent le mouvement des grilles (11) sur leurs paliers (12) d'axe de rotation au niveau de l'entrée supérieure des bouches des tuyères (104) ou du niveau bas de la cloche (1). La chambre (13) de rotation des turbines (2) à aubes (60) sont ovoïdes dans cette figure et sa turbine (2) une roue aux aubes (60) en phase de développement comme dans la figure 10. Les disques (106) receveurs de l'axe central (6) des turbines (2) à caissons étanches récepteurs et supports en interne et à l'abri, les mécanismes de régulation et de positionnement des palles (60). Ils sont composés des ressorts (30) à tension réglable, par ses tiges filetées (107) receveurs par les pignons (31) sur leurs axes (105) de rotation, sur des paliers internes (111) via les chaines (32), du quart de tour résultant de la force et du sens des courants, sur le dos de la demi-pale (60), qui se trouve exposée au neutre par son point fixe (8) à l'entrée des tuyères d'accès des courants dans la chambre (13). Un mouvement qui permet à l'aube (60) inférieure, de recevoir le flux sur sa face cuillère, pour présenter son aube dans le bon sens au flux et entrainer le début de rotation. Les poutres (34) de base (4) supports des stabilisateurs (14) externes ou du palier intermédiaire (38) reçoivent des bâches réservoir flexibles (35) à eau douce, et des caissons (37) à ballast Air/Eau, ainsi que des lests individuels toiture (3), qui chapeaute les modules techniques (103) à ses deux extrémités ou cloches étanches (20) des équipements électriques, comme le ou les générateurs individuels ou multiples localisés dans l'une ou l'autre de chaque côté d'une plus faible capacité, pour tourner sur une ou deux turbines, dans les périodes à moins bon rendement des courants, au lieu d'un seul plus puissant. Un ou des multiplicateurs de vitesse (7) planétaires, sous carter à bain d'huile ou mécaniques à chaines (16) reliés à l'arbre (6) de rotation des turbines (2) peuvent y être installés, ainsi que des embrayages hydraulique (33) multidisques à friction, en fonction des révolutions et du couple développés par les turbines (2). Nous retrouvons les mécanismes optionnels de la figure 1 relatifs à la capacité de renflouage du module (103) des éléments techniques, par le treuil (18) à câble sur le point fixe de base (23) via le moufle (19), ainsi que les accès à ses chambres (20) par le sas (21) et la porte étanche (22). La position des déflecteurs (9) de coté pour canaliser le flux des surfaces mortes par coté, que ces salles présentent aux sens des courants, vers les bouches d'entrées (104), pour de meilleurs rendements et des charges moindres sur le dispositif. Dans cette configuration le dispositif est équipé de pieux externes (14) à l'aide de leurs vérins hydrauliques (28) ou des télescopes (26) par leurs vérins (27) pouvant le stabiliser et le planifier. Les moteurs réducteurs hydrauliques (15) autorisent le mouvement des grilles (11) sur leurs paliers (12) d'axe de rotation au niveau de l'entrée supérieure des bouches des tuyères (104) ou du niveau bas de la cloche (1). La chambre (13) de rotation des turbines (2) à aubes (60) sont ovoïdes dans cette figure et sa turbine (2) une roue aux aubes (60) en phase de développement comme dans la figure 10. Les disques (106) receveurs de l'axe central (6) des turbines (2) à caissons étanches récepteurs et supports en interne et à l'abri, les mécanismes de régulation et de positionnement des palles (60). Ils sont composés des ressorts (30) à tension réglable, par ses tiges filetées (107) receveurs par les pignons (31) sur leurs axes (105) de rotation, sur des paliers internes (111) via les chaines (32), du quart de tour résultant de la force et du sens des courants, sur le dos de la demi-pale (60), qui se trouve exposée au neutre par son point fixe (8) à l'entrée des tuyères d'accès des courants dans la chambre (13). Un mouvement qui permet à l'aube (60) inférieure, de recevoir le flux sur sa face cuillère, pour présenter son aube dans le bon sens au flux et entrainer le début de rotation. Les poutres (34) de base (4) supports des stabilisateurs (14) externes ou du palier intermédiaire (38) reçoivent des bâches réservoir flexibles (35) à eau douce, et des caissons (37) à ballast Air/Eau, ainsi que des lests individuels (36) ou des caissons à matériaux poreux (110) pour stoker un carburant non fossile. Ils peuvent aussi être placées ou disposées à l'intérieur des poutres (34) de la base (4), ou dans les caissons à ballast (37) de liaison individuelle entre poutre. Cet ensemble de caissons étanches internes ou de lest (34) à deux poutres porteuses parallèles de la base (4) ou de liaison (37) perpendiculaires entre elles, avec les lests béton ou acier (36) font office de plancher de la section basse du périmètre de rotation de la chambre (13) des turbines (2), en rapport aux déploiement des pales ou des aubes (60) en action. Ils ont aussi la fonction, avec une répartition équilibrée d'assurer la flottaison, l'immersion ou le renflouement du dispositif.
La figure 3 représente le dispositif sous une forme préférentielle vue en coupe et de profil au sens du courant, d'un modèle équipé d'une salle technique (20) supérieure, en toiture (3) et de réserves de production d'eau douce (34) dans des caissons lests à parois béton inférieurs (37) faisant office de base (4) ou intermédiaire (36), caractérisé en ce que la disposition de ses systèmes de stabilisation sur pieux (14) verticaux sont traversant et intégrés, aux différents modules qui le composent, pour autoriser son empilage avec un autre dispositif ou en barrage avec les logements d'extension de pieux (55) femelles, par des accouplements males arrimés aux points fixes supérieurs (56) en toiture (3) ici base supérieure incorporant la cloche (1) de la chambre (13) pour une version de turbines (2) à trois pales (60) incurvées ou cintrées, réversibles et mises en position par le sens et la force des courants. Sur la base d'un point fixe ou point mort (8) et d'une capacité de rotation du pignon (31) sur ses paliers (111) de leur axe de rotation à l'intérieur de caissons disques porteurs étanches (106), via la chaine (32) par la course des ressorts (30) indépendants et réglables. Dans cette figure la chambre étanche (20) en toiture (3) reçoit les éléments de productions électriques comme les générateurs (5), les multiplicateurs à chaines (16) ou planétaire (7) en carter, ainsi que les moteurs réducteurs (24) des scarificateurs (25) nettoyeurs des grilles (11) aux encombrants flottants, qui pourraient s'y accumuler spécialement en rivière. Dispositif de nettoyage qui reçoivent dans cette configuration des volets (10) d'étranglement du débit de sortie aval, afin de créer dans la chambre (13), une pression supérieure par élévation du niveau des fluides en amont. Les tuyères d'entrées de turbine sur leurs faces exposées aux sens des flux en amont ou en aval, sont protégées par des grilles (11) fixes et nettoyables par des scarificateurs (25) sans les ouvrir, pour ne pas prendre des risques d'intrusion d'éléments flottants dommageables aux turbines (2). Mais aussi ouvrables et mobiles par les vérins (58) avec le mouvement de la bielle (59) sur les paliers (12). Des portes (22) autorisent l'accès à l'intérieur des éléments d'accouplement males intégrés à aux caissons (36) et (37) de base qui sont équipés de chemises (70) ou tubes récepteurs intégrés femelles, qui permettent l'installation des options d'élévation et de stabilisation constitués par des pieux (26) à télescope (14) à l'aide des vérins hydraulique (27). Les fiches males d'accouplement du module technique sont ouvert à leur base pour autoriser par cette ouverture le passage des câbles et moufle (19) d'un treuil à câble (18) pour permettre son arrimage au point fixe (23). Des déflecteurs (9) de fluide sont installés sur ses quatre cotés pour canaliser le flux des surfaces mortes d'extrémités et finaliser la face verticale des bouches d'entrée des tuyères, donnant accès à la chambre (13) de rotation de la turbine (2). La toiture (3) est porteuse dans cette configuration du palier (17) de leur arbre de transmission de rotation (6), ainsi que des disques (106) étanches et récepteurs du point mort fixe (8) et des mécanismes à ressorts (30), de mise au neutre ou en fonction des pales (60) décrit dans les figures précédentes.
La figure 4 représente le dispositif de la figure 3 sous une forme préférentielle en phase de séparation de sa base et de renflouage pour un remplacement des éléments mobiles et mécaniques en surface ou d'immersion après réparation ou entretien. Le module à chambre étanche (20) supérieur faisant office de toiture (3) au dispositif, se dissocie par les volumes d'air qu'il contient (Principe d'Archimède) à l'aide des treuils (18) via son câble avec ou sans moufle (19) sur le point fixe (23) de sa base (4). Elle aussi composée des caissons lest à ballast (34) et de leurs pieux (14) verticaux intégrés dans leur chemise de télescopage (26) en appuie au sol, par la force des vérins (27) qui reçoivent les charges, si les ballast (34) sont pleins de liquide, les lests des matériaux qui composent leur structure en béton ou des lests. Cette opération est effectuée par le déroulement du treuil (18) monté dans les tubages males inférieurs du module technique (20), ouvert à leur base pour laisser passer leurs câbles. Même si l'eau ne peut prendre la place de l'air à l'intérieur de la salle (20) ou dans ces logements de treuil. L'air y est maintenue en place par le principe de la différence de densité des fluides à l'état liquide ou de gaz au niveau de ce point bas ouvert, cela fait qu'elles restent sèches pour le treuil et l'intervention d'un opérateur au découplage des conduites hydrauliques des vérins (27). De plus une porte (22) peut sécuriser l'étanchéité de la chambre (20) et permettre l'accès à une déconnection des conduites ou du câble pour un opérateur. Les treuils (18) récupèrent par enroulage de son câble à cette base (4) dé-ballastée de la remonter en surface sur le même principe d'équilibre de volume immergée et de poids des ensembles qui le constitue ou par leur traction submerge le module supérieur seul, avec remplissage des zones de ballast en toiture, pour diminuer jusqu'à un point d'équilibre de flottaison le module technique de cette figure. Cette caractéristique d'installation ou de mise en place du dispositif complet ou de remplacement des éléments mécaniques mobiles en totalité ou partiellement peut être appliquée au dispositif en général, dans toutes ses versions. Dans cette version la turbine (2) est son mécanisme (8) de mise au neutre de ses aubes sont solidaires à la chambre (20) par les paliers (17) de l'axe de rotation (6). La figure 5 représente le dispositif sous une forme préférentielle équipé d'un modèle de turbine (102) à vis sans fin à 4 pales sur l'axe (6) de rotation et d'un module éjectable de sa chambre (20) technique étanche, positionné parallèlement aux sens du courant, toujours intercalé entre la toiture (3) et la base (4). Une vue en plan du dispositif, qui reprend tous les éléments essentiels ou optionnels défmis dans les figures antérieures. Que cela soit ceux du module de base (4) et de la toiture (3) ou de la chambre technique (20) ici en aval seulement, car il s'agit ici d'une version du dispositif spécialisée dans la construction de piles de ponts fixe. Pour cette caractéristique particulière fixe, il est implanté au sol par des pieux (101) battus ou foncés et présente sa bouche d'entrée de tuyère sur sa face verticale amont aux courants forts et turbulents de rivière ou d'estuaire à un seul sens de courant, pour une meilleure stabilité sur sa longueur et pouvoir l'équipée de grilles (11) courbes mobiles et auto nettoyantes par des scarificateurs (25) pourvus de moteur réducteur (15) ou de l'option précédente de la figure 3 avec les vérins (58), pour plus de puissance au nettoyage d'encombrants flottants plus nombreux en rivière. Cette position de son module technique à chambre (20) éjectable en aval du courant, dans ce dispositif pour la construction de culée de ponts routiers ou ferroviaires, peut être utilisée comme dans toutes les configurations du dispositif précédentes ou suivantes à une mise en place individuelle, ainsi qu'en barrage, l'une sur l'autre ou en chaine de profil de façon parallèle aux courants. Une chambre (13) de rotation circulaire ou ronde interne reçoit une turbine (2) à vis hélicoïdale, avec une capacité extraction pour remplacement, de l'intérieur de la partie fixe cloisonnée. L'extraction en aval du courant est réalisée par sa position sur des glissières (80) équipées de crémaillères de poutres porteuses (90) inférieures à points d'arrimages (81) par l'action de rotation de pignons dentés (84) sur chacune d'elles effectuée par des moteurs réducteur (82) et le déroulage du câble des treuils (83).
En raison de la non-mobilité en culée de pont ses chambres (12) amont comme aval sont équipées de sas cloche d'entrée (21) à porte étanche (22) pour procéder à des interventions humaines d'entretien ou de réparations et sont pourvus de grilles (11) à deux sections pour réduire leur longueur, donc le couple d'ouverture nécessaire avec des surcharges d'encombrants, comme c'est souvent le cas en rivière ou en estuaire (Arbres û algues û plastiques). Des grilles (11) sont ouvrables en éventail, comme pour leurs doubles scarificateurs (25) de nettoyage individuel, actionnés par les moteurs réducteur (15) à chaine (24) ou par les vérins (58) plus puissant de la figure 3. Un générateur électrique étanche optionnel peut être installé en moyeu ou sur l'axe (6) de rotation de tous les modèles de turbines. Constitué d'un rotor (85) et d'un stator 86 tournant à contre sens de celui-ci au régime de rotations des turbines. Contre sens accélérateur de la vitesse du rotor ou des phases d'induction par le multiplicateur (112) en tête d'arbre (6) d'un coté et pourvue à l'autre extrémité d'un collecteur rotatif (87) électrique mono ou trois phases - neutre. Les générateurs (5) et les multiplicateurs (7), leurs embrayages (33) multi disque à friction ne sont alors plus nécessaire, ainsi que les transmissions à chaînes (8) dans les ailerons (89) support du palier (17) de cette turbine. La figure 6 représente le dispositif vue de face de la figure 5 en coupe équipé d'une turbine (102) à vis sans fin parallèle au sens du courant, pour son utilisation à la construction de culées de ponts routiers ou ferroviaires sur pieux (101) foncés ou battus.
Une vue de face de la configuration décrite dans la figure 5 précédente du dispositif pour localiser correctement la position de la turbine (102) à vis hélicoïdale de l'option générateurs (5) et les multiplicateurs (7) ou de leurs embrayages (33) multi disque à friction ou en option du générateur étanche en moyeu central d'axe (6) de rotation des turbines (2) avec son stator (86) et son rotor (85).
La figure 7 représente le dispositif sous une version préférentielle d'une de ses faces amont ou aval dans la configuration de la figure 5 à axe (6) de rotation de la turbine (2) présenté parallèlement au sens du courant avec ses grilles (11) à ouverture en éventail à deux sections, de protection aux encombrants flottants en rivière ou en mer par leurs moteurs réducteur (15). Derrière la grille la bouche d'entrée des tuyères (104) aux chambres de rotation circulaires (13) pour un modèle de turbine à vis on distingue Les ailerons (89) supports de palier (17). Le module de toiture (3) reçoit les tubages (55) femelles pour la pose d'une autre unité en étage. La Base (4) les glissières d'extraction (80) et les poutres porteuses (90).
La figure 8 représente le dispositif sous une forme préférentielle, vue en coupe et de profil, avec son axe (6) perpendiculaire aux sens du courant aval ou amont et une position de mise en place de son module technique (103) à chambre technique (20) sur une de ses faces verticales, avec son générateur (5) son multiplicateur (16) à chaines ou sous carter (7) planétaire. La base (4) et ses stabilisateurs (14) hydrauliques sur les vérins (27) dans leur chambre de télescopage (26). Dans cette figure une roue à trois aubes (60) incurvées ou cintrées, avec des dimensions de leurs courbes autorisées : Par la position respective de leurs axes de rotation d'un quart de tour, sur le périmètre supports de leurs disques (106) et à la dimension ovoïde de leur chambre (13) de rotation, réalisée par la toiture (3) en cloche (1) et la basse en courbe inversée de sa base (4), pour une position déployée des ailes de la turbine (2) en action de rotation sur les paliers (17) de son axe (6). La turbine (2) ici est au neutre (sans courant), par la force équilibrée et réglable sur le point fixe (8) par les tendeurs à vis (107) des ressorts (30) reliés par les chaines (32) à leurs pignons (31) sur leurs axes (105) de rotation d'un quart de tour. Un groupe de désalinisation (44) à membranes à haute pression peut-être installé dans les chambres (20) du dispositif et être alimenté par la prise d'eau de mer (51). La figure 9 représente le dispositif sous une forme préférentielle schématique de la position neutre de la turbine à pales mobiles et ses mécanismes d'autoposition des pales (60) par et au sens du fluide. Le point neutre est réalisé par la tension des ressorts (30) équilibrée sur le point mort (8) avec une force réglable par les tendeurs (107) en position de démarrage. Les formes cuillères des aubes repliées dirigées vers son axe (6) de rotation. Le dos de la demi-pale (60) inférieure (A) exposé à l'entrée des tuyères d'accès des courants reçoit leur force, qu'il transmet via la chaine (32) sur ces deux ressorts (30) pour créer un déséquilibre en assistant la force de traction de l'un ou de l'autre, suivant le sens du courant et par ricoché, sur son dos qui s'efface et dirige le sens du flux sur l'aube inférieure (B). Cette pale va s'orienter et se mettre en charge pour le lancement du cycle de rotation, suivit par la (A) jusqu'à sa fin de course basse après la sortie aval, suivit d'une remise en équilibre sans charge et d'un échappement circulaire en retour, pour présenter son profil en position (C), avec un coefficient de pénétration dans les fluides, très inférieur. Le but étant de passer d'une surface plate en fonction à celle dite de la goutte d'eau, soit au meilleur rendement possible entre ces deux formes et d'épouser au maximum, la parabole idéale d'échappement de l'aile en réduisant l'encombrement de leurs replis supérieur, pour permettre d'avoir le volume de la cloche (1) le plus petit possible. Les bases (4) à ballast et support des lests (36) sont équipées d'obturateurs (10) de la section des bouches d'accès aux chambres (13) haut ou bas suivant les configurations des figures précédentes, pour restreindre de débit de sortie. Cette restriction entraîne une élévation de pression interne dans la salle (13) de rotation pour les aubes (60) des turbines (2) et une accélération des courants, relative ou résultante de l'élévation de niveau amont ou à la dépression aval. Principe de Bernoulli. La figure 10 représente le dispositif de la figure 9 en suivant, dans sa ter phase de positionnement par la force et le sens du courant, des aubes (60) mobiles de la turbine (2) avec un niveau de courbe de cloche (1) interne supérieur, le plus bas possible en rapport de leur développement ou de leur replie. Un échappement à la position neutre ou à contre sens des courants sur leur profil, par le rappel résultant de l'équilibre initial de la force des ressorts (30) via les chaines (32) sur leurs pignons (31) du mouvement d'un quart de tour des aubes (60) réalisé sur leurs axes de rotation individuel. La figure 11 représente le dispositif de la figure 9 avec l'aube (A) au neutre, qui va recevoir sur sa partie basse un contre sens de flux et le diriger sur la cuillère de l'aube inférieure (B) de la pale (60). Le volet (10) créé la restriction ou le delta P aval avec le point bas de la toiture (3). La figure 12 représente le dispositif en ter phase de développement des aubes (60) de la turbine (2) au sens du flux de la figure 11. Des déflecteurs (9) de fluide sont installés sur ses quatre cotés pour canaliser le flux des surfaces mortes verticales des flancs de bouche d'entrée des tuyères, donnant accès à la chambre (13) de rotation. La figure 13 représente le dispositif sous la forme préférentielle d'une version identique à la figure 3 et à la figure 8, mais avec une turbines (2) à quatre pales (60) équipées de tous les éléments essentiels à sa construction et son fonctionnement pour une localisation du positionnement général des options potentielles décrites dans les diverses figures précédentes. Il est composé d'une salle technique (20) supérieure, en toiture (3) et de réserves de production d'eau douce (34) dans les caissons lests à paroi béton inférieurs (37) faisant office de base (4) ou intermédiaires (36). Caissons ballast prés chargés à l'au douce et alimentés en rapport à la consommation ou à l'alimentation de stock tampon à terre, par un ensemble de désalinisation par osmose inverse à l'aide de ses membranes (44) haute pression, réalisé par la pompe à piston (74) montée en parallèle ou en remplacement du générateur double (5) ou dans le module de chambre étanche (20) opposé en toiture (3). L'aspiration de l'eau de mer se fait au niveau d'une prés-grille (47) en toiture (3) ou en base suivant s'il s'agit d'un modèle de dispositif totalement ou partiellement immergé dans un collecteur (46), par la conduite d'aspiration (42) d'une pompe (41) de circulation basse pression qui la refoule après le passage dans le filtre multimédia (40) vers la pompe (74) afin d'être envoyée sous haute pression par la tuyauterie (43) pour passer à travers des membranes (44) et rejoindre par la connexion (45) les caissons à ballast de plancher (37) de poutre de base (34) ou intermédiaire (36) équipés de réservoirs flexibles (35) et (57), si ceux-ci ne sont pas totalement étanches. Comme pour des modèles en béton toujours plus ou moins poreux, sans revêtement spéciaux de paroi interne, qui seraient non compatible pour ou à des produits alimentaires. Les alimentations de ses systèmes de stabilisation sur pieux (14) constitués par des extensions (26) télescopiques verticales à l'aide des vérins (27) à double effet hydraulique sont réalisée par les tuyauterie (67) et (68). Le dispositif dans cette figure est proposé en version de turbine (2) à quatre pales à aubes (60), avec une capacité identique d'un dispositif à disque (106) avec la rotation du pignon (31) sur les paliers (111) de leur axe individuel de rotation à l'extrémité de branches porteuses en croix ou en (X) à deux coquilles boulonnées sur joints d'étanchéités, qui autorise aussi dans cette configuration de turbine (2) via la chaine (32) leur rotation d'un quart de tour à l'encontre de la force de prés tension d'un des ressorts (30) indépendants et réglables par les réglage à vis du point fixe (8). Les chambres étanches (20) dans cette figure en toiture (3) reçoivent les éléments de productions électriques comme les générateurs (5), les multiplicateurs à chaines (16) ou planétaire (7) en carter, ainsi que les moteurs réducteurs (24) des scarificateurs (25) nettoyeurs des grilles (11) anti-encombrants flottants qui pourraient s'y accumuler spécialement en rivière. Dispositif de nettoyage qui peut recevoir dans cette configuration des volets (10) flexibles d'étranglement du débit de sortie aval. Les tuyères d'entrées dans la chambre (13) de rotation de turbine sur leurs faces exposées aux sens des flux amonts ou avals sont protégées par des grilles (11) fixes ou mobiles par les vérins (58) avec le mouvement de la bielle (59). Elles sont nettoyables par des scarificateurs (25) sans les ouvrir à l'aide des moteurs réducteur (24) sur les paliers (12), pour ne pas prendre des risques d'intrusions d'éléments flottants dommageables aux turbines (2) Des portes (22) autorisent l'accès à l'intérieur des éléments d'accouplement males intégrés à la base (4) ou à tous modules équipés de chemises (70) réceptrices des accouplements males du module technique de cette figure ouvert à leurs bases, pour autoriser par cette ouverture le passage des câbles et moufles (19) d'un treuil (18) et pour permettre son arrimage au point fixe (23). Les pieux (14) et leur télescope (26) d'appuis au sol ou de surélévation du dispositif peuvent être équipés de verrous (66) avec des mécanismes de déverrouillage (69) sur les tubages (70) des caissons à ballast. Des déflecteurs (9) de fluide sont installés sur ses quatre cotés pour canaliser le flux des surfaces mortes d'extrémités et finaliser la face verticale des bouches d'entrée des tuyères, donnant accès à la chambre (13) de rotation de la turbine (2). La toiture (3) est porteuse dans cette configuration du palier (17) de l'arbre (6) de transmission de rotation. Une réserve d'air interne (52) peut être installée dans la salle technique (20) pour les phases d'immersion totale ou partielle et pour procéder au déballastage contrôlé en pression par des régulateurs (48) pour l'injection d'air par la tuyauterie (49) entre les parois des caissons (36) et (37) et leurs outres flexibles réserves internes, pour chasser par surpression l'eau douce qu'elles contiennent, vers les réserves terrestres. Les générateurs (5) sont connectés via le chemin de câble (53) à l'armoire électrique (54) de départ du câble de mise en réseau ou de liaison entre les dispositifs.
Elle reçoit les éléments de protection, de sécurité ou de connectivité pour les différentes fonctions électriques de commande ou les automatismes de fonction. La figure 14 représente le dispositif sous une forme préférentielle d'une vue Bi dimensionnelle externe de ses éléments modulaires individuels, d'un modèle avec une turbine (2) à trois pales (60) à axe de rotation perpendiculaire aux sens du courant, pour un assemblable en chaine ou en barrage, ainsi qu'une possibilité d'empilage avec les caractéristiques principales partielles ou totales représentées dans les différentes figures précédentes sans limitations des options internes énumérés du dispositif. Construite sur la base d'une structure tubulaire ronde, carré ou rectangulaire, il est constitué comme dans les précédentes figures d'un module de base (4) à ballastage interne, autoporteur hors sol par des pieux (14) télescopiques ou fixes, dans des tubages verticaux (70) externes, d'un plancher de modules (37) de lest ou de ballastage en section ou complet. Modules caissons fixés ici par leurs perçages (92) à la base (4) sur des amarrages (78) à clavette (93) ou toutes autres fixations (boulonnerie) afm de créer la section partielle circulaire inférieure de la chambre (13) pour la course déployée des aubes (60) au sens du courant en charge. Les modules intermédiaires (36) ont ici des glissières (91) femelles et mâles (79) installées sur les tubes (70) verticaux pour former et fermer les deux cotés du dispositif avec leur plaque de visite (108). Un module (103) supérieur qui inclus dans cette figure la chambre technique (20) ou l'on accède par une trappe de visite (96) supporte le palier (17) par ses boulonnages (99) externes ou internes, qui est récepteur derrière sa plaque de visite (98) de l'arbre moteur (6) de la turbine (2). Les aubes (60) sont au neutre, sur leurs supports (77) d'axe de rotation à 45° ou d'un quart de tour. Comme en base (4) les modules (109) de lests ou ballast, en section ou non, sont fixés au module supérieur (103) par les clavetages (93) pour former la toiture (3) et la cloche (1) du dispositif des autres Figures décrites ci-dessus. Des divisions ou des sectionnements de structure peuvent être réalisés avec des brides (94). Les connections de dispositif complet en chaine sont réalisées ici par des accouplements (76) inférieurs ou supérieur au choix, avec leurs unions (75) en matériaux flexibles ou d'une articulation pour suivre les mouvements du sol. Les modules (36) comme la chambre technique (20) sont pourvues du logement (95) des épaisseurs du caisson disque (106) pour limiter les fuites du passage des fluides par les cotés dans la chambre (13).Des corolles (100) peuvent être installées en tête des pieux verticaux de la base (4) pour y recevoir les fiches males du module de toiture (103) au moment de la procédure de liaison par les câbles (19) des treuils (18) à l'identique de la figure 4. Comme dans toutes les figures de représentation du dispositif on peut y retrouver les options de sécurité ou de rendement, de facilités de mise en place d'élévation ou de planification d'entretien ou de réparation, de production ou de protection. Cette configuration de façon préférentielle du dispositif et d'autres autorisent plusieurs possibilités de montages en série ou combinés : L'un sur l'autre, en barrage ou assemblé en chaine, par les accouplements (75) sur leurs récepteurs (76) en partie haute ou basse ou en créneaux avec les logements d'extension de pieux (55) ou les colonnes (70) à tulipes (100) de cette figure. Cela sur leur longueur comme sur leur largeur, pour les versions des turbines (2) à pales (60) ou à vis sans fm (102).
Le dispositif suivant l'invention est particulièrement destiné à la production d'énergies électriques et mécaniques, pour la désalinisation, la production et le stockage d'eau douce ou de carburant non fossile comme l'hydrogène.