FR2916648A1

FR2916648A1 - User's leg lower portion e.g. ankle, maintaining device, has mechanism authorizing limited movement of leg around ankle in vertical and longitudinal plane of skate, where mechanism is located at back of leg and in alignment with skate

Info

Publication number: FR2916648A1
Application number: FR0704251A
Authority: FR
Inventors: Jean Pierre Bauduin
Original assignee: Individual
Current assignee: Individual
Priority date: 2007-06-14
Filing date: 2007-06-14
Publication date: 2008-12-05

Abstract

The device has a clamping stirrup for clamping a lower portion of a leg and connected to a skate by a mechanism. The mechanism authorizes the limited movement of the leg around an ankle in a vertical and longitudinal plane of the skate. The mechanism is located at back of the leg and in alignment with the skate. The mechanism is composed of a lower rod that is connected to the skate by a horizontal axle (24). A plate (10) of the skate is articulated on a frame.

Description

L'invention concerne les engins non motorisés permettant la circulationThe invention relates to non-motorized vehicles allowing the circulation

des personnes ainsi que les engins de loisirs du type roller-skate et patins en ligne. people as well as recreational vehicles of the roller-skate type and skates online.

La demande de brevet n PCT/IB2006/000427 décrit un engin de type roller-skate ou patin à roues alignées, équipé d'un système de freinage, d'un palonnier avant avec un anti-recul et d'une chaussure détachable. Le but de cette invention était la création d'un petit engin de déplacement urbain. Pour atteindre ce but, cette demande de brevet fait allusion à un système de chaussure amovible sans toutefois le décrire. Patent Application No. PCT / IB2006 / 000427 describes a roller-skate or rollerblading machine, equipped with a braking system, a front spreader with an anti-recoil and a detachable shoe. The purpose of this invention was the creation of a small urban displacement machine. To achieve this goal, this patent application alludes to a removable shoe system without, however, describing it.

La présente invention apporte le complément nécessaire en proposant plusieurs systèmes de fixation de chaussure amovible. Les patins en ligne classiques présentent tous le même défaut: le fait de patiner sur quatre ou cinq roues alignées revient à tenir en équilibre sur une ligne horizontale. Cela est pratiquement impossible sans se tordre la cheville. Il est difficile de maintenir un alignement permanent de la jambe et la position de contact des roues au sol. Pour solutionner cette difficulté, la majorité des patins en ligne du commerce sont équipés (fig. 1) d'une partie articulée (1) au niveau de la cheville selon un axe (2) solidaire de la coque (3). Cette partie articulée (1) vient entourer et serrer le bas de la jambe à l'aide d'une ou plusieurs sangles (4). Cette disposition permet (fig. 2) une rotation de la jambe autour de la cheville dans le plan vertical longitudinal vers la position (5) ou (6) et interdit tout mouvement angulaire latéral dans un plan perpendiculaire au premier. En revanche elle présente le défaut de faire une chaussure très lourde et composée de deux parties totalement rigides. The present invention provides the necessary complement by proposing several removable shoe fastening systems. The classic inline skates all have the same flaw: skating on four or five aligned wheels amounts to balancing on a horizontal line. This is virtually impossible without wringing one's ankle. It is difficult to maintain a permanent alignment of the leg and the contact position of the wheels on the ground. To solve this problem, the majority of the inline skates of the trade are equipped (Fig. 1) with an articulated part (1) at the level of the pin along an axis (2) integral with the shell (3). This articulated part (1) surrounds and tighten the lower leg with one or more straps (4). This arrangement allows (FIG 2) a rotation of the leg around the ankle in the longitudinal vertical plane to the position (5) or (6) and prohibits lateral angular movement in a plane perpendicular to the first. On the other hand, it has the disadvantage of making a shoe very heavy and composed of two completely rigid parts.

Par ailleurs, certains fabricants avaient commercialisé des patins à platine détachable. La chaussure possède une semelle très rigide avec deux ou plusieurs points de fixation se fixant temporairement sur le châssis du patin. La chaussure utilisée dans ce cas est un compromis entre la chaussure précédemment décrite et une chaussure montante du type chaussure de marche en montagne. Elle ne possède pas de partie articulée (1). Le résultat ne donne pas satisfaction. La semelle de la chaussure est trop rigide pour avoir un confort de marche. De plus, la chaussure serre trop la cheville pour marcher en ville et ne maintient pas suffisamment la cheville pour patiner. Ces défauts ne sont pas compatibles avec le but de la demande n PCT/IB2006/000427 qui était la création d'un engin de déplacement urbain. Ce type d'engin impose d'avoir un certain confort, une certaine souplesse de la chaussure, de pouvoir marcher normalement avec lorsqu'elle est désolidarisée des roues, tout en gardant un maintien correct de la cheville. La recherche du confort amène à utiliser une chaussure la plus proche possible d'une chaussure de ville et d'y adjoindre un système de fixation autorisant la souplesse de la partie avant de la chaussure. En outre, et pour palier aux défauts des chaussures actuelles de patins en ligne, l'innovation de l'invention consiste à séparer les deux fonctions de tenue du pied d'une part, et de maintien de la cheville d'autre part. Ce choix permet de garder une chaussure classique avec un système de fixation intégré et de créer un dispositif annexe et indépendant pour assurer le maintien de la jambe sur le patin. In addition, some manufacturers had marketed detachable platen pads. The shoe has a very rigid sole with two or more attachment points temporarily attached to the frame of the shoe. The shoe used in this case is a compromise between the previously described shoe and a shoe-type hiking shoe in the mountains. It does not have an articulated part (1). The result is not satisfactory. The sole of the shoe is too rigid to have a comfortable walk. In addition, the shoe too tightens the ankle to walk in town and does not hold enough ankle to skate. These defects are not compatible with the purpose of the application n PCT / IB2006 / 000427 which was the creation of a urban commuter. This type of machine requires to have a certain comfort, flexibility of the shoe, to be able to walk normally when it is detached from the wheels, while keeping a correct support of the ankle. The search for comfort leads to use a shoe as close as possible to a city shoe and to add a fastening system allowing the flexibility of the front part of the shoe. In addition, and to overcome the defects of current shoes skates online, the innovation of the invention is to separate the two functions of holding the foot on the one hand, and maintaining the ankle on the other. This choice makes it possible to keep a classic shoe with an integrated fastening system and to create a separate and independent device to ensure the maintenance of the leg on the skate.

Deux fonctions complémentaires peuvent s'ajouter à cette innovation : la première est de rendre très rapide le chaussage et le déchaussage des patins, la deuxième est de pouvoir replier l'ensemble de maintien de la jambe à l'horizontale, le long du patin pour réduire l'encombrement lors d'une non-utilisation en tant que patin. Cette innovation technologique de l'invention porte essentiellement sur cinq points : Le premier point porte sur la fixation de la chaussure sur le patin. Certaines chaussures de qualité sont équipées d'une pièce rigide appelée cambrion . Ce cambrion, réalisé en métal ou en plastique, est intégré à la semelle de la chaussure entre le talon et le milieu de la chaussure. Il sert à rigidifier la partie arrière de la chaussure, et seulement la partie arrière, pour éviter les entorses du pied. La partie avant reste souple pour faciliter la marche. On trouve ce système sur les chaussures de femme à haut talon et les chaussures de montagne. Le but de l'invention est d'adapter ce principe de cambrion pour assurer la fixation avec le patin. Pour réaliser la fonction de fixation avec le patin, il faut disposer, au minimum, de trois points de fixation sur le cambrion. La solution logique consiste à disposer deux points à l'avant de la chaussure, sous la semelle, et d'un point à l'arrière, au niveau du talon. Pour permettre à l'utilisateur de marcher facilement avec la chaussure, il faut permettre la flexion de la partie avant de la chaussure au niveau de l'articulation des orteils (articulation métatarso-phalangienne). La partie avant du cambrion ne doit donc pas s'étendre jusqu'à cette zone. Les points de fixation avant seront donc placés le plus prés possible de cette zone d'articulation, tout en restant derrière. Cette zone présente, en outre, l'avantage d'être la plus large partie de la semelle. Elle permet donc une implantation aisée de deux points de fixation sur une ligne transversale, suffisamment écartés pour donner de l'assise au pied, tout en laissant une surface de contact suffisante de la semelle avec le sol. A l'arrière, la position du point de fixation est plus délicate. Les essais ont montré qu'un emplacement à l'extrémité arrière et sur le bord inférieur du talon était une erreur : la semelle se retrouve coupée en deux au niveau de l'appui du pied sur le sol entraînant une détérioration immédiate de la semelle et du cambrion. De même, une disposition plus à l'intérieur de la semelle est difficile d'utilisation. En effet, pour chausser le patin, l'utilisateur pose le patin par terre et doit positionner son pied délicatement sur le patin pour enclencher la fixation. Dans cette disposition, l'utilisateur ne voit pas la position à respecter et cherche sans succès à faire correspondre sa chaussure avec le patin. En fait, il faut que l'utilisateur puisse voir au moins un des trois points de fixation et s'en servir comme repère. La solution consiste à utiliser la partie épaisse à l'arrière de la semelle et d'ouvrir la semelle non pas en dessous, mais sur la tranche. Le choix du point de fixation arrière sera donc situé au milieu de l'épaisseur de la semelle et à l'extrémité arrière. Avec cette disposition, l'utilisateur voit le point de fixation lorsqu'il place son pied sur le patin. Pour chausser, l'utilisateur positionne son talon au niveau du point de fixation arrière et peut aligner ensuite son pied dans l'axe du patin pour trouver les points de fixation avant. Le deuxième point est de concevoir un mécanisme de fixation rapide de cette chaussure sur le patin objet de la demande de brevet n PCT/IB2006/000427. Il faut pouvoir encliqueter la chaussure d'un geste simple, en posant le pied sur le patin posé au sol. Pour pouvoir poser le patin au sol et le faire tenir debout, on adjoint un système de béquille, escamotable automatiquement lorsque l'utilisateur décide d'avancer. La méthode la plus simple pour assurer l'encliquetage est d'avoir, au repos, les points de fixation écartés temporairement dans le sens longitudinal, pour permettre l'introduction du cambrion entre ces points de fixation. Pour encliqueter le système, l'utilisateur positionne le point de fixation arrière de la chaussure sur celui du mécanisme, avec le pied à l'horizontale, incline ensuite le pied vers le bas pour faire correspondre les points de fixation avant, et appuie enfin avec le talon pour provoquer l'encliquetage. Un mécanisme vient resserrer ces points de fixation lors de l'encliquetage. Le choix de cette procédure d'encliquetage impose donc d'avoir un point de fixation arrière situé, en position de repos, plus haut et plus en arrière qu'en position de travail et de le faire se déplacer vers l'avant et vers le bas pour assurer l'encliquetage. Dans la solution proposée dans l'invention, un coulisseau mobile horizontalement regroupe les deux points de fixation avant et un basculeur rotatif assure une mobilité du point arrière et son verrouillage. Le basculeur est relevé vers le haut en position repos et horizontal en position travail. La conception du basculeur est telle que le point de fixation avance et descend de 5 à 10 min lors de sa rotation. Un verrouillage le maintient en position horizontale. Une came de déverrouillage actionnée par un levier permet de libérer le basculeur. Un ressort de rappel tend à le ramener en position repos. Le coulisseau regroupant les points avant est ramené en permanence vers l'arrière par un ressort suffisamment puissant pour compenser les effets du freinage et supprimer les jeux. Lors du déverrouillage, il est nécessaire de provoquer l'évacuation du cambrion au niveau des points de fixation avant. La chaussure ne doit pas rester accrochée au patin dans les dispositifs de centrage des points de fixation. Pour assurer cette fonction, le fonctionnement des points de fixation avant doit être différentiel. Deux fourchettes fixes n'assurent que le centrage vertical du cambrion en autorisant un glissement horizontal de ce dernier. Deux butées sur le coulisseau assurent le maintien horizontal du cambrion, au niveau des fourchettes. Le coulisseau maintient un effort constant sur le cambrion vers l'arrière en autorisant la course nécessaire et suffisante pour l'introduction du cambrion dans les fourchettes fixes. En position repos, le coulisseau vient en butée pour ne pas gêner l'entrée du cambrion dans le mécanisme. Le troisième point consiste à maintenir l'alignement du point de contact des roues au sol avec l'axe de la jambe en créant un système de liaison entre le patin et un étrier serrant le bas de la jambe, indépendant de la chaussure. Pour cela, il faut adjoindre sur le patin un dispositif de maintien du bas de la jambe, au dessus de la cheville, capable de suivre les mouvements de la jambe dans le plan vertical longitudinal et de les interdire dans le plan transversal perpendiculaire au premier. Ce dispositif peut être la copie des systèmes traditionnels utilisés sur les patins du commerce. Il suffit pour cela de disposer de deux points de rotation sur la platine du patin et situés au niveau de l'articulation de la cheville et de chaque coté de la chaussure. Un étrier équipé d'une sangle de serrage est articulé sur l'axe de rotation. Mais pour fonctionner ce système doit entourer la chaussure et la jambe. Il devient alors très encombrant et incompatible avec le but de cette invention. D'autre part, le système à sangle est trop lent à mettre en oeuvre. Two complementary functions can be added to this innovation: the first one is to make the booting and the release of the skates very fast, the second one is to be able to fold the assembly of maintenance of the leg in horizontal, along the skate for reduce clutter when not used as a skid. This technological innovation of the invention essentially relates to five points: The first point relates to the attachment of the shoe on the pad. Some quality shoes are equipped with a rigid piece called shank. This shank, made of metal or plastic, is integrated into the sole of the shoe between the heel and the middle of the shoe. It serves to stiffen the back of the shoe, and only the back, to prevent sprains of the foot. The front remains flexible to facilitate walking. This system is found on high-heeled women's shoes and mountain shoes. The object of the invention is to adapt this principle shank to ensure the attachment with the pad. To achieve the function of fixing with the pad, it is necessary to have, at least, three fixing points on the shank. The logical solution is to have two points at the front of the shoe, under the sole, and a point at the back, at the heel. To allow the user to walk easily with the shoe, it is necessary to allow the flexion of the front part of the shoe at the level of the toe joint (metatarsal-phalangeal joint). The front part of the shank should not extend to this area. The front attachment points will therefore be placed as close as possible to this articulation zone, while remaining behind. This zone has, moreover, the advantage of being the largest part of the sole. It therefore allows easy implantation of two attachment points on a transverse line, sufficiently spaced apart to give the foot support, while leaving a sufficient contact surface of the sole with the ground. At the rear, the position of the attachment point is more delicate. The tests showed that a position at the rear end and on the lower edge of the heel was an error: the sole is cut in two at the foot support on the ground resulting in an immediate deterioration of the sole and of the shank. Likewise, a more interior disposition of the sole is difficult to use. Indeed, to put on the skate, the user places the skate on the ground and must position his foot gently on the pad to engage the attachment. In this arrangement, the user does not see the position to be respected and looks unsuccessfully to match his shoe with the pad. In fact, the user must be able to see at least one of the three attachment points and use them as a reference. The solution is to use the thick part at the back of the sole and open the sole not on the underside, but on the edge. The choice of the rear attachment point will therefore be located in the middle of the thickness of the sole and the rear end. With this arrangement, the user sees the point of attachment when placing his foot on the pad. To wear, the user positions his heel at the rear attachment point and can then align his foot in the axis of the pad to find the front attachment points. The second point is to design a quick attachment mechanism of this shoe on the shoe subject of the patent application n PCT / IB2006 / 000427. It is necessary to be able to snap the shoe of a simple gesture, by putting the foot on the pad placed on the ground. To be able to put the skate on the ground and make it stand up, we add a crutch system, retractable automatically when the user decides to move forward. The simplest method to ensure the latching is to have, at rest, the fastening points temporarily spaced in the longitudinal direction, to allow the introduction of the shank between these attachment points. To snap the system, the user positions the rear attachment point of the shoe on that of the mechanism, with the foot horizontally, then tilts the foot down to match the attachment points before, and finally supports with the heel to cause snapping. A mechanism comes to tighten these attachment points when snapping. The choice of this latching procedure therefore requires to have a rear fixing point located, in the rest position, higher and further back than in the working position and to move it forward and towards the rear. down to snap. In the solution proposed in the invention, a horizontally movable slider gathers the two front attachment points and a rotational rocker provides mobility of the rear point and its locking. The rocker is raised upwards in the rest and horizontal position in working position. The design of the rocker is such that the point of attachment advances and goes down from 5 to 10 min during its rotation. A lock keeps it in a horizontal position. An unlocking cam operated by a lever releases the rocker. A return spring tends to bring it back to the rest position. The slider gathering the points before is brought back permanently by a sufficiently powerful spring to compensate the effects of the braking and to eliminate the games. When unlocking, it is necessary to evacuate the shank at the front attachment points. The shoe must not remain attached to the shoe in the centering devices of the attachment points. To ensure this function, the operation of the front attachment points must be differential. Two fixed forks only ensure the vertical centering of the shank allowing horizontal sliding of the shank. Two stops on the slider ensure the horizontal maintenance of the shank, at the level of the forks. The slider maintains a constant effort on the shank rearward allowing the necessary and sufficient travel for the introduction of the shank in the fixed forks. In the rest position, the slider comes into abutment so as not to hinder the entry of the shank into the mechanism. The third point is to maintain the alignment of the contact point of the wheels on the ground with the axis of the leg by creating a connection system between the pad and a stirrup clamping the bottom of the leg, independent of the shoe. For this, it is necessary to add on the pad a lower leg support device, above the ankle, capable of following the movements of the leg in the longitudinal vertical plane and to prohibit them in the transverse plane perpendicular to the first. This device can be a copy of the traditional systems used on commercial skates. It suffices for this to have two points of rotation on the plate of the shoe and located at the level of the articulation of the ankle and each side of the shoe. A stirrup equipped with a tightening strap is articulated on the axis of rotation. But to work this system must surround the shoe and the leg. It then becomes very bulky and incompatible with the purpose of this invention. On the other hand, the strap system is too slow to implement.

L'invention propose de créer un mécanisme capable de suivre les mouvements de la jambe dans le plan vertical longitudinal et de les interdire dans le plan transversal perpendiculaire au premier. Ce système doit pouvoir compenser les mouvements relatifs de la jambe autour de la cheville selon un angle limité d'environ 20 en avant et 20 en arrière. Un système articulé ou coulissant répond à cette fonction. De plus, il doit être d'un encombrement minimum. La seule solution efficace et esthétique est de le placer derrière la jambe et suffisamment étroit pour rester dans l'alignement de la largeur du patin. Pour assurer une liaison de ce mécanisme avec le palier de l'étrier de serrage de la jambe, un axe de rotation transversal est installé sur ce palier. De même, pour lier ce dispositif au patin un axe de rotation transversal est installé sur le patin. Dans le cas précis de la demande de brevet n F'CT/IB2006/000427, deux points d'accrochage sont possibles : un axe sur la platine articulée du patin (solution 1), ou un point de rotation sur chaque coté du châssis du patin et formant un axe de rotation (solution 2). Dans le premier cas, le mouvement relatif de la jambe autour de la cheville ne tient compte que du mouvement de la jambe, soit une rotation d'environ 15 à 20 vers l'avant et l'arrière. Dans le deuxième cas, le mouvement relatif doit, en plus, tenir compte du mouvement de la platine lors du freinage. Ce mouvement est une rotation vers la position horizontale d'environ 10 . Dans les deux cas, pour assurer le mouvement relatif, deux solutions se présentent : La première solution consiste à utiliser deux bielles articulées entre elles par un axe horizontal (solution 1.1 ou 2.1), l'une reliée au patin, l'autre reliée au palier de l'étrier de serrage de la jambe. La deuxième solution consiste à utiliser une glissière articulée sur le patin et un coulisseau relié au support de l'étrier de serrage de la jambe et guidé par la glissière (solution 1.2 ou 2.2). Le coulisseau est guidé dans la glissière selon les techniques classiques utilisées en construction mécanique (guidage male/femelle avec ajustement, guidage à billes). Le quatrième point est de réaliser un système de serrage rapide du bas de jambe. Les systèmes actuels à sangles sont trop lents à serrer et demandent un réglage par crans sur la sangle. The invention proposes to create a mechanism capable of following the movements of the leg in the longitudinal vertical plane and to prohibit them in the transverse plane perpendicular to the first. This system must be able to compensate for the relative movements of the leg around the ankle at a limited angle of about 20 forward and 20 back. An articulated or sliding system responds to this function. In addition, it must be of a minimum size. The only effective and aesthetic solution is to place it behind the leg and narrow enough to stay in alignment with the width of the pad. To ensure a connection of this mechanism with the bearing of the clamping clamp of the leg, a transverse axis of rotation is installed on this bearing. Similarly, to bind this device to the shoe a transverse axis of rotation is installed on the pad. In the specific case of the patent application n F'CT / IB2006 / 000427, two attachment points are possible: an axis on the articulated plate of the shoe (solution 1), or a point of rotation on each side of the frame of the pad and forming an axis of rotation (solution 2). In the first case, the relative movement of the leg around the ankle takes into account only the movement of the leg, a rotation of about 15 to 20 forward and backward. In the second case, the relative movement must, in addition, take into account the movement of the plate during braking. This movement is a rotation to the horizontal position of about 10. In both cases, to ensure relative movement, two solutions arise: The first solution consists of using two rods hinged together by a horizontal axis (solution 1.1 or 2.1), one connected to the pad, the other connected to the bearing of the caliper clamping the leg. The second solution is to use a slide articulated on the pad and a slider connected to the bracket of the leg clamp and guided by the slide (solution 1.2 or 2.2). The slide is guided in the slide according to conventional techniques used in mechanical engineering (male / female guide with adjustment, ball guide). The fourth point is to achieve a quick clamping system of the lower leg. Current webbing systems are too slow to tighten and require notch adjustment on the webbing.

L'invention propose de serrer le bas de la jambe avec deux demi-coquilles articulées chacune selon un axe vertical sur un palier commun. Au repos, les deux demi-coquilles sont entr'ouvertes d'environ 20 pour permettre le passage du mollet. Pour serrer le mollet, l'utilisateur les resserre à la main, d'une simple pression. Pour assurer cette fonction de maintien, les deux demi-coquilles sont dotées d'un cliquet ou un système auto-bloquant autorisant le serrage et pas le desserrage. En outre, le système doit permettre un ajustement à la taille du mollet. Un système à cliquet donnera un réglage par crans et un système auto- bloquant un réglage en continu. Pour assurer un fonctionnement correct, les deux demi-coquilles doivent se déplacer de façon symétrique. Cette fonction est assurée par deux portions d'engrenage symétriques, chaque demi- coquille possédant une portion d'engrenage. Les cliquets ou le système auto-bloquant sont articulés sur le palier et possèdent un levier de déverrouillage. Le cinquième point est de permettre à ce dispositif articulé de se replier le long du patin lorsque le patin n'est pas utilisé. En effet, l'objet de cette invention est de créer un petit engin de déplacement urbain. Si sa fonction principale est de permettre de se déplacer en patin, sa fonction secondaire est de tenir le moins de place lorsque l'utilisateur ne peut pas s'en servir, en particulier lorsqu'il est obligé de déchausser pour entrer dans un lieu public tel que magasin, métro ou bus. Dans ce cas, le matériel devient gênant et encombrant. Le dispositif articulé de maintien du bas de la jambe doit donc être conçu de manière à pouvoir se replier horizontalement sur le patin, voire même à assurer une fonction de poignée pour le transport à la main. The invention proposes to tighten the lower leg with two half-shells each articulated along a vertical axis on a common bearing. At rest, the two half-shells are half open to allow passage of the calf. To tighten the calf, the user tightens them by hand, with a simple pressure. To ensure this holding function, the two half-shells have a ratchet or a self-locking system allowing tightening and not loosening. In addition, the system must allow adjustment to the size of the calf. A ratchet system will provide a ratcheting adjustment and a self-locking system for continuous adjustment. To ensure proper operation, the two half-shells must move symmetrically. This function is provided by two symmetrical gear portions, each half-shell having a gear portion. The pawls or the self-locking system are articulated on the bearing and have an unlocking lever. The fifth point is to allow this articulated device to fold along the pad when the pad is not used. Indeed, the object of this invention is to create a small urban displacement machine. If its main function is to allow to move in skate, its secondary function is to take the least space when the user can not use it, especially when it is necessary to take off to enter a public place such as store, subway or bus. In this case, the material becomes annoying and cumbersome. The articulated device for maintaining the lower leg must be designed so as to be able to fold horizontally on the pad, or even to provide a handle function for transport by hand.

Les dessins annexés illustrent l'invention. Pour faciliter la compréhension, l'avant de l'engin est toujours représenté du coté gauche des dessins. La figure 1 représente un patin classique avec sa partie articulée de maintien de la cheville. La figure 2 représente le patin classique dans les deux positions maxi avant et arrière. La figure 3 représente la chaussure en vue de dessous. La figure 4 représente la chaussure en vue de face coupée. La figure 5 représente la chaussure en vue de dessous et en perspective. The accompanying drawings illustrate the invention. To facilitate understanding, the front of the machine is always shown on the left side of the drawings. Figure 1 shows a conventional skate with its articulated part for maintaining the ankle. Figure 2 shows the conventional shoe in the two maximum positions front and rear. Figure 3 shows the shoe in view from below. Figure 4 shows the shoe in front view cut. Figure 5 shows the shoe in view from below and in perspective.

La figure 6 représente la chaussure en vue de dessous et en perspective arrière. La figure 7 représente la chaussure en vue arrière. La figure 8 représente l'ensemble de fixation de la chaussure sur le patin, en perspective arrière. Seul le cambrion est représenté. La figure 9 représente l'ensemble de fixation de la chaussure sur le patin en perspective avant. Seul le cambrion est représenté. La figure 10 montre un détail du point de fixation arrière, en coupe. La figure 11 montre le détail de la partie avant du dispositif de fixation de la chaussure sur le patin, en perspective avant. La figure 12 représente la partie avant du dispositif de fixation en position repos avec le cambrion en cours de mise en place. La figure 13 représente la partie avant du dispositif de fixation en position de travail avec le cambrion introduit. La figure 14 représente une vue de face des fourchettes de fixation et l'introduction du cambrion. Figure 6 shows the shoe in bottom view and rear perspective. Figure 7 shows the shoe in a rear view. Figure 8 shows the attachment of the shoe on the shoe in rear perspective. Only the shank is represented. Figure 9 shows the attachment of the shoe on the shoe in front perspective. Only the shank is represented. Figure 10 shows a detail of the rear attachment point, in section. Figure 11 shows the detail of the front portion of the shoe attachment device on the pad, in front perspective. Figure 12 shows the front part of the fixing device in the rest position with shank being set up. Figure 13 shows the front portion of the fastener in working position with the inserted shank. Figure 14 shows a front view of the attachment forks and the introduction of the shank.

La figure 15 représente l'ensemble de fixation de la chaussure sur le patin en vue de face coupée. La figure 16 représente l'ensemble de fixation de la chaussure sur le patin en vue de dessus et en position repos. La figure 17 représente l'ensemble de fixation de la chaussure sur le patin en vue de dessus en position travail, avec le cambrion en place. Figure 15 shows the fastening assembly of the boot on the pad in cutaway front view. Figure 16 shows the attachment of the shoe on the shoe in plan view and in the rest position. Figure 17 shows the attachment of the shoe on the shoe in plan view in working position, with the shank in place.

Les figures 18 à 21 représentent les différentes phases de mise en place et de déverrouillage du cambrion. - Fig 18 : centrage du point arrière. -Fig 19 : centrage des deux points avant. - Fig 20 : encliquetage du cambrion. - Fig. 21 : déverrouillage. La figure 22 représente l'engin avec un système de tenue de cheville classique, en vue de face. La figure 23 représente l'engin avec un système de tenue de cheville classique, en 10 perspective arrière. Les figures 24 à 30 représentent le dispositif de maintien à deux demi-coquilles. - La figure 24 représente le dispositif de maintien à deux demi-coquilles, en position ouvert et en perspective arrière. - La figure 25 représente le dispositif de maintien à deux demi-coquilles, en position 15 fermée et en perspective arrière. - La figure 26 représente le détail de l'engrenage d'une demi-coquille. - La figure 27 représente le dispositif de maintien à deux demi-coquilles, en position fermée et en vue de face. - La figure 28 représente le dispositif de maintien à deux demi-coquilles, en position 20 fermée et en vue de dessus. - La figure 29 représente le dispositif de maintien à deux demi-coquilles, en position fermée et en vue de dessus coupée. - La figure 30 représente le dispositif de maintien à deux demi-coquilles, en position ouverte et en vue de dessus coupée. 25 Les figures 31 à 35 représentent une variante du dispositif de maintien à deux demi-coquilles. - La figure 31 représente ce dispositif, en position fermée, en perspective arrière. -La figure 32 représente ce dispositif, en position ouverte, en perspective arrière. - La figure 33 représente un détail de ce dispositif, en position fermée, en vue de 30 dessus. - La figure 34 représente ce dispositif, en position fermée, en vue de dessus. - La figure 35 représente ce dispositif, en position ouverte, en vue de dessus. Les figures 36 à 45 représente la solution (1.1) du maintien de bas de jambe. - Figure 36 : vue de face 35 - Figure 37 : perspective arrière. - Figure 38 : détail du système, en vue de face coupée. - Figure 39 : détail du système en position déverrouillage, en vue de face coupée. - Figure 40 : position maxi avant en vue de face. - Figure 41 : position maxi avant en perspective arrière. - Figure 42 : position maxi arrière en vue de face. -Figure 43 : position maxi arrière en perspective arrière. - Figure 44 : système en position repli, en vue de face. - Figure 45 : système en position repli, en perspective arrière. Les figures 46 à 54 représente la solution (1.2) du maintien de bas de jambe. - Figure 46 : position maxi avant en vue de face. - Figure 47 : position maxi avant en perspective arrière. - Figure 48 : section de l'ensemble glissière/coulisseau. Figure 49 : détail du système en vue de face coupée. - Figure 50 : détail du système en position déverrouillage, en vue de face coupée. - Figure 51 : position maxi arrière en vue de face - Figure 52 : position maxi arrière en perspective arrière. - Figure 53 : système en position repli, en vue de face. - Figure 54 : système en position repli, en perspective arrière. Les figures 55 à 60 représente la solution (2.1) du maintien de bas de jambe. - Figure 55 : position maxi avant en vue de face. - Figure 56 : position maxi avant en perspective arrière. - Figure 57 : position maxi arrière en vue de face. - Figure 58 : position maxi arrière en perspective arrière. -Figure 59 : système en position repli, en vue de face. - Figure 60 : système en position repli, en perspective arrière. Les figures 61 à 71 représente la solution (2.2) du maintien de bas de jambe. - Figure 61 : vue de face - Figure 62 : perspective arrière. - Figure 63 : détail du système en vue de face coupée. - Figure 64 : détail du système en position déverrouillage, en vue de face coupée. - Figure 65 : détail du système en perspective avant. - Figure 66 : position maxi avant en vue de face. -Figure 67 : position maxi avant en perspective arrière. - Figure 68 : position maxi arrière en vue de face - Figure 69 : position maxi arrière en perspective arrière. - Figure 70 : système en position repli, en vue de face. - Figure 71 : système en position repli, en perspective arrière. Figures 18 to 21 show the different phases of setting up and unlocking the shank. - Fig 18: centering of the rear point. -Fig 19: centering of the two points before. - Fig 20: snapping of the shank. - Fig. 21: unlocking. Figure 22 shows the machine with a conventional ankle holding system, in front view. Figure 23 shows the machine with a conventional ankle holding system, in rear perspective. Figures 24 to 30 show the holding device with two half-shells. - Figure 24 shows the holding device with two half-shells, in the open position and rear perspective. - Figure 25 shows the holding device with two half-shells, in the closed position and in rear perspective. - Figure 26 shows the detail of the gear of a half-shell. - Figure 27 shows the holding device with two half-shells, in the closed position and in front view. - Figure 28 shows the holding device with two half-shells, in the closed position and in top view. - Figure 29 shows the holding device with two half-shells, in the closed position and in top view cut. - Figure 30 shows the holding device with two half-shells, in the open position and in top view cut. Figures 31 to 35 show a variant of the two-half-shell holding device. - Figure 31 shows this device, in the closed position, in rear perspective. FIG. 32 represents this device, in open position, in rear perspective. - Figure 33 shows a detail of this device, in the closed position, in view from above. - Figure 34 shows this device, in the closed position, seen from above. - Figure 35 shows this device, in the open position, seen from above. Figures 36 to 45 show the solution (1.1) of the maintenance of lower leg. - Figure 36: front view 35 - Figure 37: rear perspective. - Figure 38: detail of the system, in front of cut face. - Figure 39: detail of the system in the unlocked position, in front view cut. - Figure 40: maximum front position in front view. - Figure 41: maximum front position in rear perspective. - Figure 42: rear max position in front view. -Figure 43: rear max position rear perspective. - Figure 44: system in the folded position, in front view. - Figure 45: system in the retracted position, rear perspective. Figures 46 to 54 show the solution (1.2) of the maintenance of lower leg. - Figure 46: maximum front position in front view. - Figure 47: maximum front position in rear perspective. - Figure 48: section of the slide assembly / slider. Figure 49: Detail of the system in front of cut face. - Figure 50: detail of the system in unlocked position, in front view cut. - Figure 51: rear max position in front view - Figure 52: rear max position in rear perspective. - Figure 53: system in the folded position, in front view. - Figure 54: system in the retracted position, rear perspective. Figures 55 to 60 show the solution (2.1) of lower leg support. - Figure 55: maximum front position in front view. - Figure 56: maximum front position in rear perspective. - Figure 57: rear max position in front view. - Figure 58: rear max position in rear perspective. -Figure 59: system in the folded position, in front view. - Figure 60: system in the retracted position, rear perspective. Figures 61 to 71 show the solution (2.2) of the lower leg. - Figure 61: front view - Figure 62: rear perspective. - Figure 63: detail of the system in front of cut face. - Figure 64: detail of the system in the unlocked position, in front view cut. - Figure 65: detail of the system in perspective before. - Figure 66: maximum front position in front view. -Figure 67: maximum front position in rear perspective. - Figure 68: rear max position in front view - Figure 69: rear max position in rear perspective. - Figure 70: system in the folded position, in front view. - Figure 71: system in the retracted position, rear perspective.

L'engin, objet de l'invention, est réalisé à partir du patin objet de la demande n PCT/IB2006/000427. Ce patin est composé essentiellement d'un châssis (7) (fig. 22) recevant la roue arrière (8), des roues avant (9) et de la platine (10).Cette platine (10) est articulée sur le châssis (7) autour de l'axe (11). Il est rappelé que l'articulation de la platine (10) est destinée à la commande du freinage sur la roue arrière (8). Une petite béquille (12) articulée, située devant la roue arrière (8) permet de poser le patin debout sur le sol pour chausser. Cette béquille s'escamote en position horizontale dès que l'utilisateur avance (fig. 23). La chaussure comporte une pièce métallique appelée cambrion (14), rigide, intégrée à la semelle (13) par la technique du surmoulage. Dans une réalisation de l'invention, le cambrion (14) est réalisé en forme de T, avec un vé de centrage à l'arrière et deux chanfreins à l'avant. Cette disposition permet un centrage rapide du point de fixation arrière (A) et un guidage latéral correct des deux points de fixation avant (B) et (C). Le point de fixation arrière (A) est situé, pour la chaussure, dans l'épaisseur de la semelle et à l'extrémité arrière de celle-ci. Une ouverture de la semelle à cet endroit permet d'y avoir accès. Dans l'exemple de l'invention, le cambrion (14) présente une particularité pour le point de fixation arrière (A). Un vé de centrage est obtenu par poinçonnage d'un trou triangulaire dans le cambrion (14), avant pliage, à 90 vers le haut, de l'extrémité du cambrion. Cette méthode permet d'obtenir le vé de centrage, mais aussi un point d'appui (15) indépendant du vé et de son éventuelle usure. Cette technique permet, en outre, de présenter un espace entre le rebord (15) et la surface supérieure du cambrion permettant un centrage vertical du cambrion (14) par une pièce de fixation ultérieure. Les points de fixation avant (B) et (C) sont situés entre le milieu de la semelle de la chaussure (13) et l'articulation métatarso-phalangienne de manière à laisser une possibilité de flexion de la chaussure lors de la marche. Deux ouvertures de la semelle vers le bas de la semelle permettent d'y avoir accès. Un double pli réalisé sur le cambrion (14) permet de décaler en hauteur les points de fixation avant et le point de fixation arrière. Un étrier (16) est fixé sur la platine (10) du patin. Il assure le guidage vertical du cambrion (14) à l'aide de deux fourchettes (17) en forme de C . La hauteur de passage du C correspond à l'épaisseur du cambrion et sa forme permet la dépose du cambrion sur une surface d'appui (18) avant introduction à l'intérieur (fig. 14). Un chanfrein d'entrée (19) sur chaque fourchette (17) permet le recentrage du cambrion (14) lors du positionnement de celui-ci par l'utilisateur. Un coulisseau (20) est guidé dans l'étrier (16) à l'aide d'une rainure dans la platine (10). Un ressort (21) le ramène en permanence vers l'arrière avec un effort important. Deux tétons verticaux (22), soudés sur le coulisseau (20), viennent compléter la fonction de points de fixation avant (B) et (C). Au repos les deux tétons (22) sont en contact avec les fourchettes (17) par l'effet du ressort (21). Ils sont, en outre, alignés avec le bord des fourchettes (17). Lors de l'introduction du cambrion (14), le coulisseau se déplace vers l'avant de quelques millimètres et les tétons (22) exercent, sur le cambrion, une pression constante horizontale et dirigée vers l'arrière. Les deux chanfreins de la forme avant du cambrion (14) provoquent le recentrage longitudinal de ce cambrion entre les tétons (22). La fixation arrière est assurée par un basculeur (23) articulé autour d'un axe (24) solidaire de la platine (10) du patin. Un verrou (25) est articulé autour d'un axe (26) solidaire de la platine (10). Un ergot (27) fixé sur le verrou (25) vient se loger dans la partie inférieure du basculeur (23). La forme de la partie inférieure du basculeur (23) présente deux butées permettant de définir deux positions du basculeur (23). Un ressort (28) reliant le basculeur (23) et le verrou (25) contraint l'axe (27) à être toujours en contact avec le basculeur et ramène toujours le basculeur vers le haut (fig. 10). La partie active du basculeur (23) peut ainsi prendre une position repos (fig. 18 et 19), dirigé vers le haut et vers l'arrière, pour permettre la mise en place du cambrion (14) et une position travail (fig. 20), en position horizontale et vers l'avant. En position travail, le basculeur (23) est bloqué par l'ergot (27) du verrou (25), pour assurer le maintien du cambrion (14). En position travail, la forme de la partie active du basculeur assurant le point de fixation (A) est telle qu'elle vient se positionner horizontalement dans le vé du cambrion et le bloque en hauteur grâce au rebord (15). Pour déverrouiller le système, un levier (29) doté d'une rampe (30) est articulé sur l'axe (24). Si l'utilisateur bascule le levier (29) vers l'arrière (fig. 21), la rampe (30) pousse l'ergot (27) vers l'extérieur et le libère du verrou (25), autorisant de ce fait le retour du basculeur (23) en position repos. Les ergots (22) du coulisseau (20) repoussent, à l'aide du ressort (21), le cambrion (14) à la position d'introduction. La position des ergots (22) sur le coulisseau (20) est telle qu'en position repos le cambrion échappe aux fourchettes (17). Cette disposition permet lors du déverrouillage du basculeur (23) une libération immédiate de la partie avant du cambrion (14) et de la chaussure. Pour assurer le maintien du bas de la jambe, la solution classique consiste à fixer un support (31) sur la platine (10). Ce support vient entourer le talon de la chaussure avec un jeu suffisant pour laisser le passage à tout type de chaussure. Chaque coté du support (31) possède un point d'articulation (32) placé au niveau de la cheville (36) ou légèrement en dessous. Les deux points d'articulation (32) fonnent un axe sur lesquels vient s'articuler un étrier (33) dont la forme vient épouser le bas de la jambe (35), au dessus de la cheville. Une sangle (34) équipée d'une boucle, assure le serrage du bas de la jambe (35). The machine, which is the subject of the invention, is produced from the pad which is the subject of the application PCT / IB2006 / 000427. This pad is essentially composed of a frame (7) (FIG 22) receiving the rear wheel (8), front wheels (9) and the plate (10) .This plate (10) is hinged to the chassis (FIG. 7) around the axis (11). It is recalled that the articulation of the plate (10) is intended for braking control on the rear wheel (8). A small crutch (12) hinged, located in front of the rear wheel (8) allows to put the skate standing on the ground for shoes. This crutch retracts to the horizontal position as soon as the user moves forward (Fig. 23). The shoe comprises a metal part called shank (14), rigid, integrated into the sole (13) by the overmoulding technique. In one embodiment of the invention, the shank (14) is T-shaped, with a centering vee at the rear and two chamfers at the front. This arrangement allows rapid centering of the rear attachment point (A) and correct lateral guidance of the two front attachment points (B) and (C). The rear attachment point (A) is located, for the shoe, in the thickness of the sole and at the rear end thereof. An opening of the sole at this location allows access. In the example of the invention, the shank (14) has a feature for the rear attachment point (A). A centering vee is obtained by punching a triangular hole in the shank (14), before folding, at 90 upwards, the end of the shank. This method provides the centering vee, but also a fulcrum (15) independent vee and its possible wear. This technique also makes it possible to present a space between the flange (15) and the upper surface of the shank allowing vertical centering of the shank (14) by a subsequent fastener. The attachment points before (B) and (C) are located between the middle of the sole of the shoe (13) and the metatarsophalangeal joint so as to leave a possibility of bending of the shoe when walking. Two openings from the sole to the bottom of the sole allow access. A double fold made on the shank (14) allows to offset the height of the attachment points before and the rear attachment point. A stirrup (16) is fixed on the plate (10) of the pad. It provides vertical guidance of the shank (14) with two forks (17) C-shaped. The height of passage of C corresponds to the thickness of the shank and its shape allows the shank to be placed on a bearing surface (18) before introduction to the interior (Figure 14). An input chamfer (19) on each fork (17) allows the recessing of the shank (14) when positioning it by the user. A slider (20) is guided in the stirrup (16) by means of a groove in the plate (10). A spring (21) brings it back continuously with great effort. Two vertical pins (22), welded to the slider (20), complete the function of front attachment points (B) and (C). At rest the two pins (22) are in contact with the forks (17) by the effect of the spring (21). They are further aligned with the edge of the forks (17). Upon introduction of the shank (14), the slider moves forward a few millimeters and the nipples (22) exert on the shank, a constant horizontal pressure and directed rearward. The two chamfers of the front shape of the shank (14) cause the longitudinal recentering of this shank between the nipples (22). The rear binding is provided by a rocker (23) articulated about an axis (24) integral with the plate (10) of the pad. A latch (25) is articulated about an axis (26) integral with the plate (10). A lug (27) fixed on the latch (25) is housed in the lower part of the rocker (23). The shape of the lower part of the rocker (23) has two stops for defining two positions of the rocker (23). A spring (28) connecting the rocker (23) and the lock (25) constrains the shaft (27) to always be in contact with the rocker and always returns the rocker upwards (Figure 10). The active part of the rocker (23) can thus take a rest position (Figures 18 and 19), directed upwards and backwards, to allow the setting of the shank (14) and a working position (Fig. 20), in the horizontal and forward position. In the working position, the rocker (23) is blocked by the lug (27) of the lock (25), to maintain the shank (14). In the working position, the shape of the active part of the rocker ensuring the fixing point (A) is such that it is positioned horizontally in the vee of the shank and locks in height through the rim (15). To unlock the system, a lever (29) with a ramp (30) is articulated on the shaft (24). If the user tilts the lever (29) backwards (Fig. 21), the ramp (30) pushes the lug (27) outwards and releases it from the lock (25), thus allowing the return of the rocker (23) to the rest position. The lugs (22) of the slider (20) push back, with the aid of the spring (21), the shank (14) to the insertion position. The position of the lugs (22) on the slider (20) is such that in the rest position the shank escapes the forks (17). This arrangement allows when unlocking the rocker (23) an immediate release of the front portion of the shank (14) and the shoe. To maintain the lower leg, the conventional solution is to fix a support (31) on the plate (10). This support comes around the heel of the shoe with sufficient clearance to let the passage to any type of shoe. Each side of the support (31) has a pivot point (32) located at or slightly below the ankle (36). The two hinge points (32) form an axis on which is articulated a stirrup (33) whose shape comes to marry the bottom of the leg (35), above the ankle. A strap (34) equipped with a loop ensures the tightening of the lower leg (35).

Ce système, dérivé des patins traditionnels, interdit les mouvements transversaux de la jambe et autorise les mouvements dans le plan vertical longitudinal. Malheureusement, ce système est très encombrant, même une fois replié vers l'avant. D'autre part, le laçage de la sangle (34) est trop long à mettre en oeuvre. Dans la réalisation de l'invention, le serrage du bas de la jambe (35) se fait par deux demi-coquilles symétriques (37) articulées sur un palier (38) grâce à deux axes verticaux et parallèles (39). les deux demi-coquilles sont réalisées en matière plastique revêtues de mousse à l'intérieur. Le palier possède un axe horizontal (40) pour assurer la liaison avec le patin. Les deux demi-coquilles sont écartées au repos pour permettre l'introduction de la jambe. Pour maintenir la jambe, l'opérateur resserre les deux demi-coquilles vers l'intérieur. Afin d'avoir un mouvement symétrique desdeux demi-coquilles, ces dernières sont équipées de portion d'engrenage (41) dont l'axe de rotation correspond à l'axe (39) (fig. 29). Un ressort (42) tend à ramener en permanence les deux demi-coquilles vers l'extérieur, en position ouvertes. Pour limiter la course de l'ouverture, le palier (38) est doté de deux butées (43)(fig. 30). Pour maintenir les deux demi-coquilles en position fermées, ces dernières possèdent une portion de roue à cliquets (44) alignées sur l'axe (39). Un verrou (45) possède des dents de cliquet correspondant aux portions de roues à cliquets (44). Ce verrou est articulé autour d'un axe horizontal (46) solidaire du palier (38) et est équipé d'un ressort ou lame-ressort (47) pour le maintenir en contact avec les roues à cliquets (44). La forme des dents des cliquets est telle qu'elle autorise la fermeture des deux demi-coquilles, et interdise leur ouverture (fig. 28). Pour déverrouiller le système, il suffit de tirer le verrou (45) vers l'arrière (fig. 24). Le système de roues à cliquets présente l'avantage de donner plusieurs positions franches et sans possibilité de glissement. Il donne plusieurs positions pour l'adaptation à la taille du mollet de l'utilisateur. Une variante de l'invention permet d'avoir un réglage plus fin et de façon continue. Par contre, cette variante peut présenter un risque de glissement dû principalement à l' usure des composants. Les cliquets des demi-coquilles sont remplacés par des portions de cylindre (48) alignées sur l'axe (39). Un levier (49) assure un auto blocage par deux rampes (50) (fig. 33). Un ressort identique à celui du levier (45) contraint les rampes (50) à venir bloquer en rotation les cylindres (48) et maintient les demi-coquilles en position fermée. Pour déverrouiller, le fait de tirer le levier (49) vers l'arrière libère le serrage des demi-coquilles (37). Dans la solution (1.1) du système de maintien du bas de jambe, deux bielles (51) et (52) assurent la liaison entre le palier (38) et la platine articulée (10) du patin (fig. 36). Dans cette solution, la bielle inférieure (52) est articulée sur la platine (10) du patin. Pour simplifier la construction, l'articulation de la bielle inférieure (52) peut se faire autour de l'axe (24) du basculeur (23). La bielle (52) est constituée de deux flasques reliés par une entretoise (53). La bielle supérieure (51) est articulée sur le palier (38) grâce à l'axe (40). Les deux bielles (51) et (52) sont reliées entre elles par deux pivots (54) formant un axe de rotation horizontal. L'ensemble donne un mécanisme autorisant les mouvements dans le plan vertical et longitudinal du patin et interdisant les mouvements dans le plan transversal et vertical. Le tracé de l'ensemble est fait de telle manière qu'il puisse admettre toutes les positions de la jambe de l'utilisateur : de la position avant (fig. 40 et 41), à la position arrière (fig. 42 et 43). Dans l'étude de ce tracé, il faut, en outre, tenir compte du fait que tout l'ensemble peut basculer autour de l'axe (11) pendant le freinage, d'environ 10 vers l'arrière, sans gêner la roue (8). Pour déverrouiller la fixation de la chaussure, il est possible d'utiliser une surcourse des bielles (51 et 52) vers l'arrière, au delà de la position maximum. Pour réaliser cette opération, on réalise sur la bielle (49) une rampe (55), identique à celle du levier (29) et en lieu et place de celui-ci (fig. 38). De même on ajoute une butée (56) sur la bielle (51) de manière à ce que cette butée (56) vienne correspondre à l'entretoise (53). Avec cette disposition, la bielle (51) fait levier sur la bielle (52). L'utilisateur peut ainsi d'un seul geste, en tirant sur le levier (45 ou 49), libérer le serrage de la jambe et déverrouiller la fixation de la chaussure sur le patin. La forme générale de ce système de maintien du bas de jambe permet d'avoir une position de repli sur le châssis (7) du patin (fig. 44 et 45). Le choix d'une bielle (52) avec une longueur plus petite que la bielle (51) permet de minimiser l'encombrement général. Pour maintenir la position de repli, l'utilisateur resserre les demi-coquilles (37) vers l'intérieur, sur le châssis (7). Dans la solution (1.2) du système de maintien du bas de jambe, une glissière verticale (57) est articulée sur la platine (10), toujours sur l'axe (24). Elle reçoit un coulisseau (58), lui-même articulé sur le palier (38) par son axe (40) (fig. 46). La section (fig. 48) montre les techniques connues assurant le coulissement des pièces (57) et (58) l'une dans l'autre. La solution courante est de faire un guidage par glissement avec un léger jeu de fonctionnement. Pour obtenir un fonctionnement sans aucun effort, il est possible d'utiliser un guidage par circulation de billes. L'ensemble donne un mécanisme autorisant les mouvements dans le plan vertical et longitudinal du patin et interdisant les mouvements dans le plan transversal et vertical. La disposition est telle qu'elle permette toute position entre la position maximum vers l'avant (fig. 46 et 47) et la position maximum vers l'arrière de la jambe (fig. 51 et 52). Dans la réalisation de l'invention, le guidage des pièces (57) et (58) se fait le long d'un arc de cercle dont le centre (59) se trouve à proximité de la cheville (36). Si cette disposition apporte une esthétique à l'ensemble, elle présente surtout l'avantage de limiter les mouvements angulaires des pièces (57) et (58) autour de l'axe (24). Il semble, néanmoins, impossible de placer exactement le centre (59) au niveau de la cheville (36). De même, pour assurer le déverrouillage du basculeur (23), le levier (29) est remplacé par une came (60) incluse sur la rampe verticale (57)(fig. 50). Une surcourse vers l'arrière de l'ensemble des pièces (57) et (58) permet un déverrouillage rapide du basculeur (23). La forme générale de ce système de maintien du bas de jambe permet d'avoir une position de repli sur le châssis (7) du patin (fig. 53 et 54). This system, derived from traditional skates, prohibits transverse movements of the leg and allows movements in the longitudinal vertical plane. Unfortunately, this system is very bulky, even when folded forward. On the other hand, the lacing of the strap (34) is too long to implement. In the embodiment of the invention, the tightening of the lower leg (35) is by two symmetrical half-shells (37) articulated on a bearing (38) by two vertical and parallel axes (39). the two half-shells are made of plastic coated with foam inside. The bearing has a horizontal axis (40) to ensure the connection with the pad. The two half-shells are spread at rest to allow the introduction of the leg. To maintain the leg, the operator tightens the two half-shells inwards. In order to have a symmetrical movement of the two half-shells, the latter are equipped with a gear portion (41) whose axis of rotation corresponds to the axis (39) (FIG 29). A spring (42) tends to permanently bring the two half-shells outward, in the open position. To limit the stroke of the opening, the bearing (38) has two stops (43) (Fig. 30). To keep the two half-shells in the closed position, the latter have a portion of ratchet wheel (44) aligned on the axis (39). A latch (45) has ratchet teeth corresponding to the ratchet wheel portions (44). This latch is articulated about a horizontal axis (46) integral with the bearing (38) and is equipped with a spring or leaf-spring (47) to keep it in contact with the ratchet wheels (44). The shape of the teeth of the pawls is such that it allows the closing of the two half-shells, and prohibits their opening (Fig. 28). To unlock the system, simply pull the latch (45) backwards (Fig. 24). The ratchet wheel system has the advantage of giving several clear positions and no possibility of sliding. It gives several positions for the adaptation to the calf size of the user. A variant of the invention allows a finer adjustment and continuously. By cons, this variant may present a risk of sliding due mainly to wear of the components. The ratchets of the half-shells are replaced by cylinder portions (48) aligned on the axis (39). A lever (49) provides self-locking by two ramps (50) (Fig. 33). A spring identical to that of the lever (45) constrains the ramps (50) to block the cylinders (48) in rotation and keeps the half-shells in the closed position. To unlock, pulling the lever (49) backwards releases the clamping of the half-shells (37). In the solution (1.1) of the lower leg support system, two connecting rods (51) and (52) provide the connection between the bearing (38) and the articulated plate (10) of the shoe (Fig. 36). In this solution, the lower link (52) is articulated on the plate (10) of the pad. To simplify the construction, the articulation of the lower link (52) can be done around the axis (24) of the rocker (23). The rod (52) consists of two flanges connected by a spacer (53). The upper link (51) is articulated on the bearing (38) through the axis (40). The two rods (51) and (52) are interconnected by two pivots (54) forming a horizontal axis of rotation. The assembly provides a mechanism allowing movements in the vertical and longitudinal plane of the pad and prohibiting movements in the transverse and vertical plane. The layout of the assembly is made in such a way that it can accommodate all the positions of the user's leg: from the front position (Figs 40 and 41) to the rear position (Figs 42 and 43) . In the study of this route, it must also be taken into account that the whole assembly can tilt around the axis (11) during braking, about 10 to the rear, without disturbing the wheel (8). To unlock the binding of the boot, it is possible to use an overtravel rods (51 and 52) rearward, beyond the maximum position. To carry out this operation, a boom (55) is made on the connecting rod (49) identical to that of the lever (29) and in place of the latter (FIG 38). Similarly is added a stop (56) on the connecting rod (51) so that this stop (56) comes to match the spacer (53). With this arrangement, the rod (51) lever on the connecting rod (52). The user can thus in a single gesture, by pulling on the lever (45 or 49), release the tightening of the leg and unlock the attachment of the shoe on the pad. The general shape of this lower leg support system makes it possible to have a retracted position on the frame (7) of the shoe (Figures 44 and 45). The choice of a rod (52) with a shorter length than the connecting rod (51) minimizes the overall size. To maintain the folded position, the user tightens the half-shells (37) inwardly on the frame (7). In the solution (1.2) of the lower leg support system, a vertical slide (57) is articulated on the plate (10), always on the axis (24). It receives a slider (58), itself hinged on the bearing (38) by its axis (40) (Figure 46). The section (Fig. 48) shows the known techniques for sliding parts (57) and (58) into each other. The common solution is to make a sliding guide with a slight operating clearance. To obtain an operation without any effort, it is possible to use a guide by circulation of balls. The assembly provides a mechanism allowing movements in the vertical and longitudinal plane of the pad and prohibiting movements in the transverse and vertical plane. The arrangement is such as to allow any position between the maximum forward position (Figures 46 and 47) and the maximum position towards the rear of the leg (Figures 51 and 52). In the embodiment of the invention, the guide parts (57) and (58) is along an arc whose center (59) is close to the dowel (36). If this arrangement brings an aesthetic to the assembly, it has the advantage of limiting the angular movements of the parts (57) and (58) around the axis (24). It seems, however, impossible to place exactly the center (59) at the ankle (36). Similarly, to ensure the unlocking of the rocker (23), the lever (29) is replaced by a cam (60) included on the vertical ramp (57) (Figure 50). An overtravel to the rear of all the parts (57) and (58) allows rapid unlocking of the rocker (23). The general shape of this lower leg support system makes it possible to have a retracted position on the frame (7) of the pad (Figs 53 and 54).

Avec des courses réduites, les solutions 1.1 et 1.2 sont faciles à mettre en oeuvre. Elles présentent toutefois un défaut. Leur fonction mécanique théorique est de garantir le parallélisme permanent entre l'axe (40) et les axes de roues (8) et (9). Pour atteindre ce but, la construction mécanique de l'ensemble passe par un empilage important de pièces, apportant une addition de jeux et de tolérances de fabrication. En particulier, elle tient compte de la platine (10) et de ses axes. Les solutions 2.1 et 2.2 présentent l'avantage de relier directement au châssis (7) le mécanisme de maintien du bas de jambe et de réduire les jeux. Par contre, les courses sont plus importantes, car il faut tenir compte du basculement de la platine (10) d'environ 10 vers le bas. La solution (2.1) du système de maintien du bas de jambe utilise le même principe que la solution (1.1). La différence est que la bielle inférieure (61) est articulée directement sur le châssis (7) grâce à l'axe (62)(fig. 55). La bielle supérieure (63) reste articulée sur le palier (38) grâce à l'axe (40) et reliée à la bielle inférieure par l'axe (64). Cette disposition constructive impose de prendre en compte le basculement de la platine (10) vers le bas, dans la position freinage (fig. 57). Dans cette solution, il est difficile d'intégrer le levier (29) sur la bielle inférieure (61) pour assurer le déverrouillage du basculeur (23) par une surcourse arrière. La forme générale de ce système de maintien du bas de jambe permet d'avoir une position de repli sur le châssis (7) du patin (fig. 59 et 60). La solution (2.2) du système de maintien du bas de jambe utilise le même principe que la solution (1.2). La différence est que la glissière inférieure (65) est articulée directement sur le châssis (7) grâce à l'axe (62). Le coulisseau (66) est articulé sur le palier (38) grâce à l'axe (40). Comme pour la solution (2.1), cette disposition constructive impose de prendre en compte le basculement de la platine (10) vers le bas, dans la position freinage (fig. 68). Comme dans la solution (1.2), le coulisseau est guidé dans la glissière selon un arc de cercle dont le centre (67) est proche de la cheville (36), pour limiter les mouvements angulaires de l'ensemble. Cette disposition permet d'ajouter la fonction de déverrouillage du basculeur (23). Pour réaliser cette fonction, on ajoute une came (68) articulée sur l'axe (24) et présentant un ergot (69) et une rampe (70) identique à celle du levier (29). un crochet (71) intégré à la glissière (65) peut actionner l'ergot (69). Une surcourse de la glissière (65) vers l'arrière entraîne le déverrouillage du basculeur (23) par la came (68). Par contre, les mouvements de la platine (10) durant le freinage n'entraînent pas de déverrouillage (fig. 68). La forme générale de ce système de maintien du bas de jambe permet d'avoir une position de repli sur le châssis (7) du patin (fig. 70 et 71). With reduced runs, solutions 1.1 and 1.2 are easy to implement. However, they present a defect. Their theoretical mechanical function is to guarantee the permanent parallelism between the axis (40) and the wheel axles (8) and (9). To achieve this goal, the mechanical construction of the assembly passes through a large stack of parts, bringing an addition of games and manufacturing tolerances. In particular, it takes into account the plate (10) and its axes. The solutions 2.1 and 2.2 have the advantage of connecting directly to the frame (7) the holding mechanism of the lower leg and reduce play. On the other hand, the races are more important, because it is necessary to take into account the tilting of the plate (10) of approximately 10 downwards. The solution (2.1) of the lower leg support system uses the same principle as the solution (1.1). The difference is that the lower connecting rod (61) is articulated directly on the frame (7) thanks to the axis (62) (Fig. 55). The upper link (63) remains articulated on the bearing (38) through the axis (40) and connected to the lower link by the axis (64). This constructive arrangement makes it necessary to take into account the tilting of the plate (10) downwards, in the braking position (FIG.57). In this solution, it is difficult to integrate the lever (29) on the lower link (61) to ensure the unlocking of the rocker (23) by a rear overtravel. The general shape of this lower leg support system makes it possible to have a retracted position on the frame (7) of the pad (Figs 59 and 60). The solution (2.2) of the lower leg support system uses the same principle as the solution (1.2). The difference is that the lower slide (65) is articulated directly to the frame (7) through the axis (62). The slide (66) is articulated on the bearing (38) by the axis (40). As for the solution (2.1), this constructive arrangement imposes to take into account the tilting of the plate (10) downwards, in the braking position (FIG 68). As in the solution (1.2), the slide is guided in the slide along an arc whose center (67) is close to the pin (36), to limit the angular movements of the assembly. This arrangement makes it possible to add the unlocking function of the rocker (23). To achieve this function, a cam (68) is added articulated on the axis (24) and having a lug (69) and a ramp (70) identical to that of the lever (29). a hook (71) integrated with the slide (65) can actuate the lug (69). An overtravel of the slide (65) towards the rear causes the release of the rocker (23) by the cam (68). On the other hand, movements of the plate (10) during braking do not cause unlocking (Fig. 68). The general shape of this lower leg support system makes it possible to have a retracted position on the frame (7) of the pad (Figs 70 and 71).

L'utilisation de l'engin est la suivante : L'utilisateur pose les patins au sol, avec les béquilles (12) en position verticale. Il positionne le talon d'un pied au niveau de l'extrémité du basculeur, place ensuite l'avant du pied dans l'alignement du patin pour faire correspondre les points de fixation avant et appuie sur le talon pour verrouiller le système de fixation. Il place l'étrier de serrage du bas de la jambe autour de cette dernière et resserre les deux demi-coquilles. Il procède ensuite de la même façon avec l'autre pied. Il peut alors patiner. Pour déchausser un pied, il tire sur le levier de déverrouillage vers l'arrière. De cette façon, il desserre dans un premier temps l'étrier de serrage du bas de la jambe et libère celle-ci et, dans un deuxième temps, déverrouille la fixation de la chaussure sur le patin. Il procède ensuite de la même façon avec l'autre pied. Il replie les mécanismes de maintien du bas de la jambe sur les patins et peut alors marcher avec les chaussures. Telle qu'elle est représentée sur les dessins, l'invention est une réalisation pratique destinée à une application commerciale pour les loisirs et les déplacements de personnes sur de cours trajets. The use of the machine is as follows: The user places the skates on the ground, with the crutches (12) in the vertical position. He positions the heel of one foot at the tip of the rocker, then places the forefoot in alignment with the pad to match the front attachment points and presses the heel to lock the fastener. He places the caliper of the lower leg around the latter and tightens the two half-shells. He then proceeds in the same way with the other foot. He can then skate. To remove a foot, it pulls the unlocking lever backwards. In this way, it first loosens the caliper of the lower leg and releases it and, in a second time, unlocks the attachment of the shoe on the pad. He then proceeds in the same way with the other foot. It folds the lower leg support mechanisms on the skates and can then walk with the shoes. As shown in the drawings, the invention is a practical embodiment intended for a commercial application for leisure and the movement of people on journeys.

Claims

1. A device for maintaining the lower leg of a user on an in-line skate or similar gear, intended to maintain the alignment of the leg relative to said skate, characterized in that: - It is independent of the shoe. - It consists of a lower leg clamp connected to the shoe by a mechanism allowing limited movement of the leg around the ankle in the vertical and longitudinal plane of the pad and prohibiting these movements in any vertical plane or inclined, perpendicular to the previous one. - The mechanism is located behind the leg, in alignment with the pad.

2. Device according to R1 characterized in that: - The mechanism allowing the limited movements of the leg around the ankle is composed of two rods (52 or 63) and (51 or 61) articulated together by a horizontal axis (54 or 64). - The lower rod (52 or 63) is connected to the pad by a horizontal axis (24 or 62). - The upper rod (51 or 61) is connected to the bearing (38) by a horizontal axis (40). 20 - The layout of the two rods (51 or 61) and (52 or 63) allows the maximum front and rear positions imposed by the movements of the leg of the user around the ankle (36). R3. Device according to R2, characterized in that: - The lower link (52) has a ramp (55) for unlocking a shoe attachment device. - Unlocking operates by overtaking backwards the maximum angle of deflection of the user's leg. R4. Device according to RI characterized in that: - The mechanism allowing the limited movements of the leg around the ankle is composed of a slide (57 or 65) and a slide (58 or 66), guided in the slide according to an arc whose center (59 or 67) is located on the side of the ankle (36). 35 - The lower slide (57 or 65) is connected to the pad by a horizontal axis (24 or 62) .- The upper slide (58 or 66) is connected to the bearing (38) by a horizontal axis - The slide track (57 or 65) and the slider (58 or 66) allows the maximum front and rear positions imposed by the movements of the user's leg around the ankle (36). R5. Device according to R4, characterized in that: - The lower slide (57) has a ramp (60) for unlocking a shoe attachment device. - Unlocking operates by overtaking backwards the maximum angle of deflection of the user's leg. R6. Device according to R4, characterized in that: - The lower slide (65) has a hook (71). - A cam (68) for unlocking a shoe attachment device, has a ramp (70) and a lug (69) corresponding to the hook (71). - The tilting back of the slide (65) actuates the rotation of the cam (68) and its ramp (70).