FR2883909A1 - Procede de limitation de l'accessibilite aux produits sensibles d'une borne par deplacement desdits produits - Google Patents

Abstract

L'objet de l'invention est un procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne, notamment une borne avec un socle apte à recevoir des éléments sensibles, caractérisé en ce qu'il consiste à prévoir une manoeuvre de déplacement desdits produits sensibles à l'intérieur du socle entre deux positions la première dans laquelle les produits sensibles sont éloignés d'une ouverture d'accès et l'autre dans laquelle les produits sensibles sont au droit de cette ouverture.L'invention couvre aussi une borne adaptée.

Description

PROCEDE DE LIMITATION DE L'ACCESSIBILITE AUX PRODUITS

SENSIBLES D'UNE BORNE PAR DEPLACEMENT DESDITS PRODUITS La présente invention concerne un procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne par déplacement desdits produits.

L'invention couvre aussi la borne adaptée avec ses différents modes de réalisation.

De nombreux dispositifs sont positionnés au coeur des espaces publics, sur les trottoirs, sur les places, dans les allées et jardins car ils exercent une action en chacun de ces lieux. On connaît ainsi comme dispositifs des panneaux d'informations généralement éclairés ou seulement des éclairages.

Il existe aussi plus généralement des bornes disposées dans des lieux accessibles 10 au public tel que des parkings, des centres commerciaux.

De plus en plus, compte tenu des modifications d'urbanisme dans les lieux publics, il est opportun de recourir à des dispositifs sous formes de bornes et de plus en plus souvent à des bornes alimentées en énergie électrique à partir de panneaux photovoltaïques.

Cet apport autonome de l'énergie électrique est un avantage très important car il permet d'éviter les travaux de voiries qui, bien que de faibles importances, sont délicats, perturbants, et surtout très coûteux. En effet, dans le cas d'une connexion au réseau public, il faut réaliser une tranchée, effectuer les raccordements, généralement par des personnels différents, puis remettre en état la zone. Cette remise en état est rendue de plus en plus difficile et chère car les revêtements des places, trottoirs et autres espaces publics sont de plus en plus sophistiqués et donc délicats à reconstruire sous forme de raccords.

Le raccordement d'une borne est onéreux et la solution d'une borne autonome est très avantageuse car elle peut aussi être déplacée, par exemple lorsque, à l'usage, il est constaté que la localisation n'est pas particulièrement appropriée. De telles bornes nécessitent pour l'accumulation de l'énergie électrique d'origine solaire ainsi produite, des moyens de stockage généralement sous forme d'accumulateurs rechargeables.

Les performances de ces accumulateurs ont grandement progressé mais de tels objets deviennent des éléments de valeur.

Le vandalisme se portant sur des objets ayant généralement une valeur ou une fonction importante, les bornes sont particulièrement visées. Le vandalisme inclut la dégradation mais aussi le vol des accumulateurs car la forte demande du marché permet toujours un écoulement de ces produits volés.

Dans les lieux accessibles au public, il peut s'agir de bornes de pilotage de caméras de surveillance ou de bornes d'horodateurs avec cassette contenant de l'argent. Dans le premier cas, le vandalisme de la borne interdit le fonctionnement et donc ne permet plus d'assurer la fonction de surveillance et dans l'autre cas, le vandalisme conduit à une perte financière directe. Or, on constate que les bornes du marché comprennent généralement un portillon d'accès qui est fermé à l'aide d'une simple gâche et dont l'ouverture est réalisable aisément avec des outils communs même quand il y a présence d'une serrure. De plus, comme le portillon est immédiatement visible et accessible, l'opération de dégradation ou d'ouverture en force est très rapide. L'insertion d'un levier est également très simple.

En effet, la gestion de moyens de verrouillage plus sophistiqués comme des cadenas, des serrures à clés ou à codes, est très difficile car les agents d'intervention sont très nombreux et il arriverait plus souvent que de raison de trouver un agent opérant se présenter devant ladite borne avec des moyens d'ouverture non adaptés. De plus, des moyens de verrouillage sophistiqués ne limiteraient pas les dégradations en force puisque les portillons restent immédiatement accessibles.

Par contre, il est aussi connu que face à une difficulté ou un obstacle pour accéder aux éléments de valeur localisés dans la borne, le vandale ou les vandales 5 ont tendance à changer de cible.

De même en cas de vol, le temps est un ennemi qui conduit un voleur face à un obstacle suffisant et en proportion avec la valeur du larcin, à renoncer rapidement.

On sait aussi que certaines bornes disposent d'un mât supportant les panneaux photovoltaïques ou la caméra pour mettre les capteurs ou la caméra hors de portée et pour faciliter l'orientation sans qu'ils subissent de masquage ou d'ombres d'autres éléments du voisinage. Il existe aussi des mats avec des feux tricolores ou simplement des lanternes d'éclairage. La commande et/ou l'alimentation sont alors souvent logés dans une borne.

D'autres bornes sont seulement des centrales de pilotage ou de commande et dans ce cas, il n'existe pas nécessairement de mât et le raccordement peut aussi être réalisé à partir du réseau public. En effet, dans ce cas, une telle borne peut être positionnée au droit du réseau public si bien que les travaux de raccordement sont très simplifiés et donc possibles.

De telles bornes peuvent émettre des signaux de pilotage d'autres bornes, de tels signaux étant du type radio ou utilisant tout autre moyen de communication sans fil.

De telles bornes n'échappent pas au vandalisme urbain et il convient aussi de les protéger pour qu'elle puisse poursuivre leur fonction de pilotage ou de 25 commande.

La présente invention vise à proposer un procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne accessible au public à embase au sol ou surélevée qui est simple, qui évite la gestion de moyens de verrouillage, qui engendre de faibles surcoûts et dans tous les cas des surcoûts tout à fait proportionnés au prix desdits produits.

L'invention couvre aussi la borne adaptée pour la mise en oeuvre du procédé, cette borne préservant l'esthétique donnée à l'origine pour permettre une 5 intégration satisfaisante.

On entend donc par borne publique tout carter disposé au sol ou surélevé contenant des produits sensibles, c'est-à-dire des produits tels que des accumulateurs et/ou des circuits de commande et de contrôle d'un appareillage et/ou des éléments de valeur tels que des espèces.

L'invention est maintenant décrite selon un mode de réalisation particulier, non limitatif, et incluant de nombreuses variantes, cette description étant conduite en regard des dessins annexés qui représentent sur les différentes figures: - figure lA: une vue en coupe d'un premier mode de réalisation d'une borne, du type simple, en position de service, figure 1B: une vue de la borne de la figure lA en position de maintenance, - figure 2A: une vue en coupe d'un deuxième mode de réalisation d'une borne, du type avec mât et accumulateurs, en position de service, - figure 2B: une vue de la borne de la figure 2A en position de maintenance, figure 3A: une vue en coupe d'un troisième mode de réalisation d'une 20 borne avec mât également et accumulateurs avec moyens d'élévation, en position de service, et - figure 3B: une vue de la borne de la figure 3A en position de maintenance. Sur la figure 1A, le dispositif comprend une borne simple 10-1 avec une embase à l'intérieur de laquelle sont disposés des produits sensibles 12-1, destinés à être protégés des intempéries et du vandalisme. On utilise bien le terme élément sensible pour désigner tout qui peut être d'un coût élevé par lui-même mais aussi surtout par la fonction qu'il remplit ou par la nécessité de son bon fonctionnement.

L'embase est de forme cylindrique sur la figure schématique représentée mais peut prendre toute forme esthétique appropriée en fonction du lieu et des besoins d'intégration. De même les matériaux peuvent être du type matériaux composites ou métalliques, seule une résistance mécanique suffisante étant rendue nécessaire par la destination du produit.

Cette embase comprend un socle 14-1 qui est destiné à être fixé au sol ou à tout autre support tel qu'un mur, ceci par tous moyens 15-1 de fixation adaptés comme des inserts ménagés dans un massif encastré dans le sol ou par des ancrages postérieurement réalisés dans un sol bétonné. Ce socle est de forme cylindrique se prolongeant vers le haut et de façon préférentielle ouvert en partie supérieure.

Ce socle cylindrique comporte au moins une ouverture 16-1 d'accès, ménagée latéralement pour permettre à un opérateur d'intervenir sur les éléments sensibles 12-1 qu'il protège.

Ce socle reçoit une coiffe 18-1, de profil conjugué de celui du socle, de forme cylindrique dans le cas présent, qui assure un doublage du socle.

Cette coiffe est fermée en partie supérieure.

Il est prévu des moyens 20-1 de liaison de la coiffe 18-1 avec le socle 14-1. Ces moyens de liaison sont simples tels que ceux actuellement utilisés pour fermer les trappes.

La coiffe peut être déplacée en translation vers le haut par rapport au socle qui est immobilisé, une fois les moyens 20-1 de liaison manoeuvrés.

Selon un premier mode de réalisation, la coiffe 18-1 est intégralement retirée. De fait, l'ouverture 16-1 d'accès est dégagée et permet à l'opérateur 25 d'intervenir directement.

Il est à noter que pour retarder encore l'accès, il est associé un portillon à l'ouverture 16-1 d'accès. Ce portillon est alors équipé d'une gâche de type connue et manoeuvrable au moyen d'une clé dite simplifiée, par exemple une clé à empreinte carrée, triangulaire ou à double ergots.

Ainsi dans ce cas, il faut plusieurs opérations pour accéder à l'intérieur du socle. Déverrouillage des moyens 20-1 de liaison, dégagement de la coiffe 18-1 en translation verticale, ouverture du portillon avec une clé simplifiée et accès à l'intérieur du socle.

En variante, il est possible de prévoir un socle avec des moyens 22-1 de retenue en position haute de la coiffe. Dans ce cas, la coiffe est soulevée, avec un dégagement limité, jusqu'à dégager le portillon et elle est retenue dans cette position haute par exemple par des ergots mis en saillie simultanément au soulèvement de la coiffe qui les dégage.

Ceci évite de retirer la coiffe et pour l'opérateur de la reposer à proximité de la borne. C'est le mode de réalisation représenté sur la figure 1B.

La remise en place dans les deux cas consiste à réaliser les opérations dans 15 l'ordre inverse.

Dans la variante avec les moyens 22-1 de retenue, ceux-ci peuvent s'escamoter manuellement, cas représenté ou automatiquement par un mouvement en translation vers le haut de faible amplitude et une descente consécutive dans le cas d'ergots avec rappel.

Il est à remarquer que dans le cas où la borne inclut un mat 11-1, représenté sur les figures 1 en trait mixte, seule la variante avec soulèvement en translation de la coiffe 18-1 et dégagement limité est compatible car il est impossible de retirer la coiffe intégralement. Dans ce cas, le mat 11-1 peut aussi permettre un guidage de la coiffe. Un tel mat supporte des accessoires tels qu'un panneau photovoltdique, des panneaux d'informations, une caméra de surveillance ou des moyens d'éclairage pour ne citer que ces applications.

Afin de rendre encore plus difficile l'accès, il est prévu un crantage 241 entre le socle 14-1 et la coiffe 18-1 si bien que, préalablement au mouvement de translation, il convient de provoquer une rotation angulaire faible pour dégager les crans puis d'assurer le déplacement en translation.

Sur la figure 2A, à l'embase 10-2 est associé un mât 11-2 avec des capteurs photovoltaïques et les composants 12-2 électroniques qui incluent aussi des accumulateurs 13-2 permettant de stocker l'énergie électrique produite, constituant les éléments sensibles.

On retrouve de façon générale les produits sensibles de la variante précédente. Le socle 14-2 est fixé au sol par des moyens de liaison et reçoit une coiffe 18-2, montée de façon coaxiale par rapport à l'embase. Les deux profils de l'embase et de la coiffe doivent être de révolution.

La coiffe comprend dans cette variante elle-même au moins une ouverture 17-2 d'accès avec de façon préférentielle un portillon 19-2 de fermeture.

Dans ce cas, la coiffe est montée à rotation par rapport au socle avec des moyens 20-2 de liaison permettant une immobilisation en rotation de la coiffe par rapport au socle.

De façon nécessaire, dans la position d'immobilisation, l'ouverture 17-2 d'accès ménagée dans la coiffe et l'ouverture 16-2 d'accès ménagée dans le socle sont décalées angulairement pour éviter toute superposition.

Par contre, dès que les moyens 20-2 de liaison sont libérés, la rotation de la coiffe par rapport au socle permet de mettre en coïncidence les deux ouvertures 16-2 et 17-2 et autorise l'accès aux produits sensibles à condition d'ouvrir aussi les deux portillons lorsque ces accès en sont équipés. C'est la représentation de la figure 2B.

Cet agencement à contraintes multiples provoque un retard à l'ouverture pour 25 une personne non initiée et limite fortement l'accès et les possibilités de dégradation et de vol. Selon une troisième variante, applicable à chacun des deux modes de réalisation précédents d'une borne, il est prévu de disposer les produits sensibles lorsqu'il y en a, sur des moyens 26 de manoeuvre à l'intérieur même du socle ou plus généralement de la borne.

Ainsi que représenté sur la figure 3A, les produits sensibles 12-1 sont disposés sur une platine 28 mobile en translation verticale, par exemple au moyen d'un parallélogramme et d'une vis comme un cric de véhicule constituant un exemple de moyens 26 de manoeuvre en translation verticale. Dans ce cas, l'opérateur agit à partir de l'extérieur, à travers la paroi du socle et/ou de la coiffe. L'embout de manoeuvre est de type standard et une manivelle permet d'agir de façon rapide sur la vis assurant ainsi l'élévation des produits disposés sur la platine 28 mobile.

Les ouvertures 16 et/ou 17 suivant les variantes sont disposées en hauteur. Il suffit à l'opérateur d'actionner les moyens 26 en translation verticale pour amener les produits sensibles au droit des ouvertures concernées, autorisant un accès direct, voir figure 3B.

Bien entendu, au contraire, les produits sensibles 12 peuvent être positionnés en hauteur et les moyens d'élévation sont alors manoeuvrés en sens inverse pour les conduire en partie basse où sont nécessairement situées les ouvertures. Néanmoins, si cette possibilité est réelle, elle est moins avantageuse en ce sens que, dans le cas de produits sensibles lourds tels que des accumulateurs, il est préférable de les trouver en partie basse en sorte d'abaisser le centre de gravité de l'ensemble.

D'autres moyens de manoeuvre peuvent être prévus comme des ensembles de poulies montées en moufle avec un câble de traction circulant entre lesdites poulies, afin de manoeuvrer la platine. Cette platine supporte de toutes les façons un poids de produits sensibles relativement limité.

Le terme platine est utilisé de façon large c'est-à-dire incluant tout moyen de support des produits sensibles, quel que soit le moyen d'accrochage.

La borne peut aussi être rapportée sur un mur et la translation peut se trouver être du type horizontale, le tout étant de supprimer l'accès direct aux produits sensibles et de préférence, de les placer hors de portée d'un vandale. Le procédé de limitation d'accès à l'intérieur d'une borne à l'intérieur de laquelle sont disposés des produits sensibles selon la présente invention, consiste à prévoir une manoeuvre des produits sensibles de sorte à assurer un déplacement desdits produits sensibles entre au moins une première position éloignée du portillon d'accès dudit socle et une seconde position au droit du portillon d'accès dudit socle.

Cette manoeuvre peut être une translation verticale ou horizontale.

De plus, selon un mode de réalisation perfectionné, ce procédé de limitation de l'accès à l'intérieur de cette borne comportant une coiffe, apte à recevoir des éléments sensibles consiste, pour accéder à l'intérieur dudit socle, à effectuer au moins les manoeuvres suivantes mouvement relatif de la coiffe par rapport au socle pour atteindre l'ouverture d'accès du socle et/ou les moyens de manoeuvre, - déplacement des produits sensibles entre au moins une première position éloignée du portillon d'accès dudit socle et une seconde position au droit du portillon d'accès dudit socle, et - ouverture du portillon d'accès à l'intérieur dudit socle.

Ce procédé consiste, selon un mode de réalisation, à assurer un déplacement relatif en translation de la coiffe par rapport au socle et à ouvrir un portillon d'accès à l'intérieur dudit socle.

Ce procédé consiste selon un deuxième mode de réalisation à assurer un déplacement relatif en rotation de la coiffe, également munie d'une ouverture d'accès, par rapport au socle jusqu'à mettre en coïncidence les deux ouvertures d'accès de la coiffe et du socle puis à ouvrir le portillon d'accès à l'intérieur du socle.

Ce procédé consiste selon un troisième mode de réalisation à assurer un déplacement relatif combiné en rotation d'abord et en translation ensuite ou en translation d'abord et en rotation ensuite pour atteindre l'ouverture d'accès au socle, puis à ouvrir le portillon d'accès à l'intérieur du socle.

Claims (7)

REVENDICATIONS

1. Procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne, notamment une borne avec un socle apte à recevoir des éléments sensibles, caractérisé en ce qu'il consiste à prévoir une manoeuvre de déplacement desdits produits sensibles à l'intérieur du socle entre deux positions la première dans laquelle les produits sensibles sont éloignés d'une ouverture d'accès et l'autre dans laquelle les produits sensibles sont au droit de cette ouverture.

2. Procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne, selon la revendication 1, caractérisé en ce que, ledit socle comportant une coiffe, il est prévu: - au moins mouvement relatif de la coiffe par rapport au socle pour atteindre l'ouverture d'accès du socle et/ou les moyens de manoeuvre, - déplacement des produits sensibles entre au moins une première position éloignée du portillon d'accès dudit socle et une seconde position au droit du portillon d'accès dudit socle, et ouverture du portillon d'accès à l'intérieur dudit socle.

3. Procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne, selon la revendication 2, caractérisé en ce que le déplacement relatif de la coiffe par rapport au socle est un mouvement en translation.

4. Procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne, selon la revendication 2, caractérisé en ce que le déplacement relatif de la coiffe par rapport au socle est un mouvement en rotation.

5. Procédé de limitation de l'accessibilité aux produits sensibles d'une borne, selon la revendication 2, caractérisé en ce qu'il consiste à assurer un déplacement relatif combiné en rotation d'abord et en translation ensuite ou en translation d'abord et en rotation ensuite.

6. Borne pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce qu'elle comprend une platine (28) mobile en translation verticale, recevant les produits sensibles, liée à un parallélogramme avec une vis accessible à partir de l'extérieur, à travers la paroi du socle et/ou de la coiffe.

7. Borne pour la mise en oeuvre du procédé selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce qu'elle comprend une platine (28) mobile en translation verticale, recevant les produits sensibles, manoeuvrée par un ensemble de poulies montées en moufle avec un câble de traction circulant entre lesdites poulies.