FR2860817A1 - Bardeau perfectionne destine a la realisation de couverture bois - Google Patents

Bardeau perfectionne destine a la realisation de couverture bois Download PDF

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Abstract

Bardeau de bois 1 destiné à la réalisation de couverture en bois caractérisé en ce qu'il comporte , au voisinage d'au moins l'une de ses deux extrémités longitudinales, des moyens 8, 9 permettant son accrochage à un liteau solidaire de la charpente supportant ladite couverture et caractérisé en ce que sa face supérieure 2 comporte des rainures longitudinales 3 tandis que sa face inférieure comporte des rainures transversales 5 débouchant dans au moins l'une des faces latérale 6 dudit bardeau 1 .

Description

I
Bardeau perfectionné destiné à la réalisation de couverture bois Convention préalable: Tout d'abord il est précisé que l'élément de couverture selon l'invention, constitué d'une planche de bois dans laquelle sont réalisés différents usinages, sera désigné sous te terme de bardeau de bois dans les textes qui vont suivre.
II est stipulé par ailleurs que les termes de face longitudinale supérieure et face longitudinale inférieure du bardeau correspondent aux faces qui occupent ces positions lorsque le bardeau a été mis en place, la face longitudinale supérieure est donc la face du bardeau orientée vers le ciel et donc la face dont une partie est exposées aux intempéries tandis que la face longitudinale inférieure du bardeau est la face qui est orientée vers la charpente de la toiture.
Il est également précisé que dans les textes qui suivent les mentions amont et aval utilisés pour préciser les positions respectives de certains éléments de la toiture les uns par rapport aux autres sont définies non pas par rapport au terrain sur lequel est édifiée la construction concernée mais par rapport au faîtage de la toiture, le faîtage représentant pour chacun des pans de la toiture l'arête amont extrême dudit pan de toiture tandis que le bord inférieur de ce pan de toiture situé au voisinage du chéneau représente l'arête aval extrême dudit pan de toiture.
Critique des produits de l'art antérieur Tout d'abord les tuiles réalisées en terre cuite ou en béton présente certains avantages de facilité de mise en oeuvre et de durabilité mais elles ne sont pas du tout utilisable en montagne au dessus de 900 à 1000 mètres d'altitude car elles ne résistent pas au poids d'une couche importante de neige.
Les bardeaux de bois actuels sont par contre longs à mettre en place et donc coûteux car il est nécessaire de clouer chaque pièce à l'aide de deux clous de fixation.
Ces deux clous présentent en outre l'immense inconvénient de ne pas permettre au bardeau concerné de s'étendre ou au contraire de se contracter dans le sens transversal horizontal de la toiture en fonction des fluctuations hygrométriques ambiantes.
Or, il faut savoir qu'en raison des propriétés hygroscopiques du bois ces variations hygrométriques se traduisent par des variations dimensionnelles importantes en particulier dans le sens tangentiel des cernes du bois où elles atteignent environ 2,5 % par % d'eau absorbée ou au contraire évacuée par le bois. Selon qu'il pleut ou au contraire qu'il fait soleil, l'espace du bardeau prisonnier entre les deux clous de fixation, distants d'une dizaine de centimètres dans le sens transversal horizontal de la toiture, subit donc des allongements ou des retraits transversaux qui sont facilement de l'ordre de 6 à 7 millimètres. Comme les clous ne permettent pas au bardeau de s'étendre dans le sens transversal lorsqu'il gonfle ce bardeau va se déformer en forme de voûte dans le sens transversal horizontal de la toiture puis il reprendra sa forme plane lorsque le soleil aura fait chuter à nouveau sont taux d'humidité Ces mouvements répétés de mise en voûte et de retour à la forme plane entraînent rapidement des fentes par lesquelles l'eau de pluie pénètre progressivement jusqu'au coeur du bardeau où elle va favoriser l'installation de champignons qui vont entraîner la destruction inéluctable par pourrissement de ce bardeau en imposant de refaire périodiquement la toiture en changeant tous les bardeaux ce qui représente une opération fastidieuse et très coûteuse.
Un autre inconvénient réside dans le fait qu'en raison de leur section longitudinale conique leur épaisseur étant plus faible au niveau de leur extrémité amont qu'elle ne l'est au niveau de leur extrémité aval, les bardeaux existants ne sont pas réversibles. Il s'ensuit que lorsque la partie aval du bardeau exposée aux intempéries commence à se dégrader, il n'est pas possible de retourner le bardeau pour disposer la partie amont jusqu'alors abritée et donc intacte du bardeau en lieu et place de la partie dégradée alors que cette dernière, désormais abritée par les bardeaux amont, pourrait pourtant encore durer très longtemps de sorte qu'il serait ainsi possible de quasiment doubler la durée de vie de la toiture.
Par ailleurs, les bardeaux existants sont maintenus plaqués les uns sur les autres par la pression exercée par les clous de fixation ce qui ne permet pas une circulation d'air entre les couches contiguës de bardeaux suffisante pour éviter l'implantation de champignons rendue possible par l'humidité persistante entres ces différentes couches contiguës de bardeaux. Ces champignons lignophages accélèrent évidemment de façon très importante la dégradation par pourrissement desdits bardeaux Enfin le procédé de réalisation de ces bardeaux existants est difficilement industrialisable ce qui ne permet pas d'en réduire le coût de fabrication par rapport à une fabrication quasi artisanale exigeant beaucoup de maind'oeuvre.
Description du bardeau selon l'invention
Le bardeau selon l'invention permet d'obvier à tous ces inconvénients et il constitue un élément de toiture perfectionné qui offre tout à la fois les avantages d'une pose rapide et donc économique, d'une très grande longévité , d'une fabrication facilement industrialisable permettant d'en réduire les coûts de fabrication et d'une esthétique originale.
Pour ce faire et selon un premier mode de réalisation le bardeau de bois selon l'invention, destiné à la réalisation de couverture en bois, comporte sur sa face longitudinale inférieure et au voisinage d'au moins l'une de ses deux extrémités longitudinales, des moyens d'accrochage constitué d 'au moins un ergot solidaire dudit bardeau permettant son accrochage à un liteau solidaire de la charpente supportant ladite couverture. Selon un mode préférentiel d'exécution de ce premier mode de réalisation, dans le sens transversal du bardeau la largeur de l'ergot d'accrochage susmentionné correspond à la largeur hors tout dudit bardeau de telle sorte que ce dernier ne comporte qu'un seul ergot d'accrochage à au moins l'une de ses deux extrémités longitudinales. Selon un autre mode de réalisation, à chacune de ses deux extrémités longitudinales, le bardeau ne comporte pas un seul ergot d'accrochage mais plusieurs ergots dont les faces aval venant prendre d'appui contre la face amont du liteau sont coplanaires et le cumul des largeurs de ces ergots d'accrochage mesurées dans le sens transversal du bardeau représente avantageusement une somme supérieure aux deux tiers de la largeur hors tout du bardeau.
Selon une caractéristique dimensionnelle de ce premier mode de réalisation la face d'accrochage du ou des ergots par laquelle ceux-ci viennent prendre appui contre la face amont du liteau est située à une distance de l'extrémité longitudinale du bardeau avantageusement supérieure à 40 ( garante) millimètres, de préférence supérieure à 60 ( soixante vingt) millimètres, en particulier supérieure à 80 ( quatre vingt) millimètres.
Selon une variante de réalisation de ce premier mode de réalisation, les bardeaux comportent des protubérances d'accrochage telles que notamment des ergots ou des chevilles ergots venant se loger dans des cavités de formes et de dimensions correspondantes réalisés dans les liteaux supportant la couverture, cette technique permettant une pose très rapide des bardeaux tout en respectant un intervalle régulier des bardeaux entre eux assuré par le positionnement précis des cavités aménagées dans le liteau.
Selon un autre mode de réalisation le bardeau selon l'invention comporte des moyens d'accrochage, positionnés au voisinage d'au moins l'une de ses deux extrémités longitudinales, constitués d'au moins un trou traversant le bardeau de part en part dans toute son épaisseur et le liteau fixé à la charpente supportant la couverture comporte lui des protubérances telles que des chevilles, des tétons ou des ergots de formes et de dimensions adaptées à celles du ou des trous réalisés dans le bardeau de telle manière que celui-ci peut être accroché au liteau simplement en enfilant son ou ses trous sur la ou les protubérances correspondantes et ce sans nécessiter l'usage d'aucun outil et tout en assurant une grande rapidité de pose et une précision de positionnement garantie par le positionnement rigoureux des tétons disposés sur les liteaux. Selon une caractéristique dimensionnelle de ce mode de réalisation le ou les trous susmentionnés aménagés dans le bardeau sont d'un diamètre avantageusement supérieur à 10 ( dix) millimètres, de préférence supérieur à 15 ( quinze) millimètres, et en particulier supérieur à 20 ( vingt) millimètres et ils peuvent donc permettre le passage de tétons d'un diamètre approprié . Selon un mode préférentiel de ce mode de réalisation, les tétons forment avec le liteau sur lequel ils sont disposés un ensemble monolithique réalisé par moulage, par coulage ou par tout autre procédé notamment à partir d'une matière synthétique thermoplastique ou thermodurcissable armée ou non de fibres de renfort ou encore à partir d'un mélange de fibres de bois et!ou de sciures agglomérées avec un liant ou à partir de toute autre matière ou matériau. Selon un autre variante de ce mode de réalisation les tétons sont disposés sur des éléments solidarisés à un liteau de bois par clipsage, par collage, par agrafage ou par tout autre moyen de solidarisation.
Selon le mode préférentiel de réalisation du bardeau selon l'invention, celui-ci comporte sur sa face longitudinale inférieure au voisinage de chacune de ses deux extrémités longitudinales un ou plusieurs ergots permettant l'accrochage dudit bardeau par l'une ou par l'autre de ses deux extrémités longitudinales à un liteau fixé à la charpente supportant ladite couverture ladite extrémité longitudinale du bardeau par laquelle celui-ci est accrochée au liteau occupant alors une position amont par rapport à la seconde extrémité longitudinale dudit bardeau.
Le fait que le bardeau possède un dispositif d'accrochage à chacune de ses deux extrémités, tel que décrit ci-dessus, lui offre l'immense avantage d'être réversible, ainsi lorsque qu'après plusieurs années sa partie aval jusqu'alors exposée aux intempéries commence à se dégrader, il suffit de retourner le bardeau en disposant la partie amont jusqu'alors abritée et donc intacte du bardeau en lieu et place de la partie aval qui commence à se dégrader et celle ci, désormais abritée par les bardeaux amont, pourra encore durer très longtemps de sorte qu'il sera ainsi possible de quasiment doubler la durée de vie de la couverture.
Selon une variante de réalisation de ce mode préférentiel de réalisation le bardeau de bois selon l'invention comporte un premier dispositif d'accrochage, constitué d'un ou de plusieurs ergots d'accrochage, situés au voisinage de sa première extrémité longitudinale et un second dispositif d'accrochage, constitué d'un ou de plusieurs ergots d'accrochage, situés au voisinage de sa seconde extrémité longitudinale et la distance à laquelle est implanté le premier dispositif d'accrochage par rapport à la première extrémité longitudinale du bardeau est différente de la distance à laquelle est implanté le second dispositif d'accrochage par rapport à la seconde extrémité longitudinale dudit bardeau de telle sorte que, selon que le bardeau est accroché au liteau par son premier dispositif d'accrochage ou par son second dispositif d'accrochage, le pureau qu'il présente par rapport aux bardeaux contigus est différent.
Selon une autre caractéristique de ce mode préférentiel de réalisation, le ou les ergots d'accrochage constituent un ensemble monolithique avec le bardeau lui-même et ils sont réalisés par enlèvement de matière dans l'épaisseur d'une pièce de bois dans la face longitudinale inférieure de laquelle est usinée au moins une creusure, s'étendant dans le sens transversal du bardeau, dans laquelle vient se loger, en partie au moins, le liteau auquel est accroché le bardeau. Dans ce mode de réalisation, la pièce de bois dans laquelle est réalisée le bardeau étant au départ une planche dont les deux grandes faces, supérieure et inférieure, sont parallèles entre elles deux à deux, au moins dans le sens longitudinal du bardeau, il s'ensuit que l'épaisseur totale hors tout du bardeau mesurée de la face supérieure du bardeau à la face inférieure des ergots d'accrochage est donc inférieure ou égale à l'épaisseur totale hors tout du bardeau mesurée dans sa zone centrale de ladite face supérieure à la face inférieure. Selon un mode particulier de ce mode de réalisation, le bord inférieur des ergots d'accrochage est situé dans le même plan que la face inférieure du bardeau.
Selon un autre mode de réalisation dans lequel le bardeau ne comporte un ou des ergots d'accrochage qu'au voisinage d'une seule de ses deux extrémités longitudinales le ou les ergots d'accrochage forment également un ensemble monolithique avec le bardeau lui-même mais l'épaisseur totale dudit bardeau au niveau de ses ergots d'accrochage est sensiblement égale à la somme de l'épaisseur du bardeau au niveau de son extrémité opposée à celle qui comporte les 'ergots d'accrochage additionnée à l'épaisseur du bardeau mesurée au fond de la creusure constituant le fond de ce ou de ces ergots, somme à laquelle il faut également ajouter l'épaisseur de minimum 1 millimètre à 6 millimètres maximum que représente le trait de scie, empruntant un parcours sensiblement parallèle ou au contraire oblique par rapport aux deux grandes faces de la planche de bois initiale, pour débiter les deux bardeaux disposés au départ tête bêche dans ladite planche de bois initiale.
Selon une autre caractéristique d'un autre mode de réalisation les ergots d'accrochage que comporte le bardeau selon l'invention sont constitués d'éléments rapportés solidarisés au bardeau par surmoulage, collage, clouage, clipsage, agrafage, ou par tout autre moyens de solidarisation 25. Ces ergots peuvent notamment être constitués de chevilles de bois encore être constitués de pièces réalisées par moulage, par coulage ou par tout autre procédé notamment à partir d'une matière synthétique thermoplastique ou thermodurcissable armée ou non de fibres de renfort ou encore à partir d'un mélange de fibres de bois et!ou de sciures agglomérées avec un liant ou à partir de toute autre matière ou matériau.
Selon une autre caractéristique, pour les bardeaux utilisés en extrémités de rangées, donc en rives de toiture, c'est à dire pour le premier et le dernier bardeau de chacune des rangées de bardeaux s'étendant dans le sens transversal du pan de toiture, la creusure transversale constituant l'évidement du ou des ergots d'accrochage situés au voisinage de l'une au moins des deux extrémités longitudinales dudit bardeau de rive ne s'étend que sur une partie de la largeur dudit bardeau de sorte qu'elle ne débouche que d'un seul coté de ce bardeau de façon à ce qu'elle ne soit pas visible en rive de toiture.
Selon une variante préférentielle de ce mode de réalisation, les bardeaux utilisés en rives de toiture comportent à chacune de leurs deux extrémités longitudinales une creusure constituant l'évidement des argots d'accrochage, chacune de ces deux creusures étant réalisées à partir de la même face latérale du bardeau sans déboucher dans l'autre face latérale dudit bardeau de sorte que ce bardeau est réversible pour servir aussi bien de premier bardeau d'une rangée de bardeaux à l'une des extrémité latérales du pan de toiture que de dernier bardeau à l'autre extrémité latérale de la rangée de bardeaux et qu'il offre ainsi dans l'une comme dans l'autre de ces deux positions l'avantage d'une face latérale dans laquelle n'apparaît aucune creusure ce qui présente un intérêt non seulement sur le plan esthétique mais aussi sur le plan technique puisque les extrémités des liteaux auxquels s'accrochent les bardeaux sont ainsi protégées des pénétrations de pluies particulièrement redoutables en bois de bout.
Selon une autre caractéristique, la face longitudinales supérieure du bardeau selon l'invention comporte des rainures disposées dans le sens longitudinal du bardeau et s'étendant sur une partie au moins de ladite face longitudinale supérieure. Ces rainures disposées dans le sens d'écoulement de l'eau, donc dans le sens de la pente de la couverture peuvent être toutes identiques entre elles ou au contraire être de profils et/ou de largeur et/ou de profondeur différentes et notamment être de profondeur progressive au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'une et/ou de l'autre des deux extrémités longitudinales dudit bardeau aussi bien qu'être de profondeur progressive au fur et à mesure que l'on se rapproche des bords latéraux du bardeau ou au contraire au fur et à mesure que l'on se rapproche du plan longitudinal de symétrie dudit bardeau. Selon un mode préférentiel de réalisation ces rainures disposées dans le sens longitudinal du bardeau s'étendent sur toute la longueur de la face supérieure dudit bardeau et elles présentent dans le sens transversal de ce bardeau un profil identique sur toute leur longueur Selon une autre caractéristique, l'axe longitudinal médian de la face supérieure du bardeau, axe donc situé dans le plan longitudinal de symétrie du bardeau, est matérialisé au moins sur une partie de sa longueur par un repère tel que notamment une rainure ou un bossage se différenciant le cas échéant par sa forme et/ou par sa longueur des autres rainures et/ou bossages présents sur tout ou partie de cette face supérieure du bardeau et ce afin de faciliter le positionnement d'un clou ou d'une vis de fixation que l'on souhaite localiser à mi-largeur dudit bardeau et donc sur cet axe médian longitudinal.
Toutes ces creusures ou rainures aménagées sur la face supérieure du bardeau ont un triple rôle: tout d'abord, au delà d'un rôle esthétique qui n'est pas non plus inintéressant, lorsque le bardeau est posé elles assurent la ventilation de la sous face de la partie du bardeau supérieur contiguë à cette partie rainurée longitudinalement, d'autre part elles permettent de canaliser sous forme de filets d'eau les gouttes d'eau qui tombent sur toute la partie apparente dudit bardeau ainsi que l'eau que celle-ci reçoit des bardeaux amont. Les filets d'eau canalisés acquièrent de ce fait une vitesse suffisamment importante pour sauter sur le bardeau aval sans toucher la face d'extrémité aval des bardeaux évitant ainsi de pénétrer par capillarité dans les canaux ligneux débouchant dans ces faces d'extrémité aval des bardeaux comme cela est habituellement le cas lorsque, faute de cannelures longitudinales, l'eau qui ruisselle sur les bardeaux s'étale sur toute leur largeur en un film d'eau qui, en raison d'une vitesse insuffisante, descend le long de la face d'extrémité aval des bardeaux plutôt qu'en ne sautant directement d'un bardeau à l'autre.
Par ailleurs ces rainures ou cannelures longitudinales en sectionnant les éventuelles fibres torses du bois responsables du vrillage du bois contribuent à limiter le gauchissement et les déformations du bardeau lors des séchages et des reprises d'humidité qu'il va connaître successivement durant toute sa vie en fonction des conditions climatiques locales.
Enfin, ces cannelures longitudinales facilitent le passage de l'eau sous les barres disposées horizontalement dans le pan de la toiture pour retenir la neige qui seront évoquées plus loin dans ce texte.
Selon une autre caractéristique, la face longitudinale inférieure du bardeau selon l'invention comporte des rainures s'étendant dans le sens longitudinal dudit bardeau sur une partie au moins de la largeur de celuici et/ou sur une partie au moins de la longueur dudit bardeau. Selon un mode préférentiel de ce mode de réalisation, les rainures longitudinales réalisées sur la face longitudinale inférieure du bardeau sont décalées dans le sens transversal du bardeau par rapport aux rainures réalisées dans la face longitudinale supérieure dudit bardeau et ce pour ne pas trop affaiblir la résistance en flexion transversale du bardeau, comme elles le feraient si elles étaient situées en vis à vis les unes des autres, tout en assurant cependant une neutralisation efficace des fibres longitudinales torses du bois en les sectionnant par les rainures disposées dans la face longitudinales supérieures et/ou par les rainures disposées dans la face longitudinale inférieure dudit bardeau.
Selon une autre caractéristique d'un mode préférentiel de réalisation, la face longitudinale inférieure du bardeau selon l'invention comporte une ou plusieurs rainures disposées dans le sens transversal du bardeau et s'étendant de façon continue ou au contraire discontinue sur une partie au moins de la largeur de ladite face longitudinale inférieure du bardeau.
Selon une autre caractéristique la face longitudinale inférieure du bardeau selon l'invention comporte une ou plusieurs rainures disposées obliquement par rapport à l'axe longitudinal du bardeau et s'étendant sur une partie au moins de la largeur de ladite face longitudinale inférieure du bardeau.
Ces rainures transversales et/ou longitudinales et/ou obliques sont destinées d'une part à permettre la ventilation de la sous-face du bardeau et d'autre part à segmenter en partie au moins les éventuelles fibres longitudinales torses du bois qui sont responsables du vrillage du bardeau lors de son séchage.
Les rainures transversales ainsi que les rainures obliques et que les rainures longitudinales peuvent être toutes identiques entre elles ou au contraire être de profils et/ou de largeur et/ou de profondeur différentes et notamment être de profondeur progressive au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'une et/ou de l'autre des deux extrémités longitudinales et fou au fur et à mesure que l'on se rapproche de l'une et/ou de l'autre des deux extrémités transversales dudit bardeau aussi bien qu'être de profondeur progressive au fur et à mesure que l'on se rapproche des bords latéraux du bardeau ou, au contraire, au fur et à mesure que l'on se rapproche du plan longitudinal de symétrie dudit bardeau.
Les rainures obliques peuvent être parallèles entre elles ou non et elles peuvent être disposées symétriquement ou non par rapport à l'axe longitudinal médian du bardeau selon une configuration en arêtes de poisson ou en forme de chevrons.
Les rainures transversales et les rainures obliques ont notamment pour mission de couper, le plus près possible du nez aval du bardeau, les canaux ligneux longitudinaux de la couche inférieure du bardeau par lesquels peuvent remonter par capillarité d'éventuelles gouttes d'eau absorbées par ce bardeau au niveau de son extrémité aval. Ces rainures transversales permettent ainsi non seulement de stopper la progression vers l'amont de ces gouttes d'eau mais elles leur permettent également de ressortir du bardeau en retombant sur la face supérieure du bardeau inférieure sur laquelle elles peuvent alors couler pour redescendre en direction du bas de la toiture.
Selon une autre caractéristique, Les rainures, transversales, longitudinales, obliques, réalisées dans la face inférieure du bardeau constituent, avec les rainures longitudinales réalisées dans la face supérieure du bardeau inférieur, un réseau de circulation d'air assurant l'évacuation rapide de l'humidité emprisonnée entre deux couches de bardeaux ce qui permet d'accroître considérablement la longévité de la toiture en ne permettant pas le développement des champignons lignivores qui ont besoin d'un taux d'humidité élevé pour vivre et s'étendre en colonisant progressivement toute la toiture qu'ils vont ensuite rendre beaucoup plus sensibles aux attaques des insectes xylophages.
On comprend ainsi tout l'intérêt, par rapport aux bardeaux de l'art antérieur, des dispositions susdécrites qui permettent une aération optimale et donc un séchage optimum des faces cachées des bardeaux selon l'invention en assurant ainsi leur préservation optimale contre les attaques des champignons et des insectes qui conditionnent largement à eux seuls la durée de vie effective de la couverture réalisée.
Selon une autre caractéristique d'un mode préférentiel de réalisation, lorsque le bardeau selon l'invention est vu en coupe transversale, la face supérieure et la face inférieure dudit bardeau sont planes dans le sens transversal de ce bardeau et ce sur une partie au moins de la longueur dudit bardeau.
Selon une autre caractéristique d'un mode particulier de réalisation, lorsque le bardeau selon l'invention est vu en coupe transversale, la face supérieure et/ou la face inférieure dudit bardeau sont concaves dans le sens transversal de ce bardeau et ce sur une partie au moins de la longueur dudit bardeau.
Selon une autre caractéristique d'un autre mode de réalisation, lorsque le bardeau selon l'invention est vu en coupe transversale, la face supérieure et/ou la face inférieure dudit bardeau sont convexes dans le sens transversal de ce bardeau et ce sur une partie au moins de la longueur dudit bardeau.
Selon une autre caractéristique d'un mode préférentiel de réalisation, lorsque le bardeau selon l'invention est vu en coupe transversale, les faces latérales dudit bardeau sont planes et disposées perpendiculairement par rapport au plan que représente le pan de la toiture. Selon un autre mode de réalisation, ces faces latérales sont inclinées, et notamment inclinées de telle manière que les bords latéraux contigus de deux bardeaux qui sont situés l'un à coté de l'autre dans le sens transversal du pan de toiture forment un V ouvert vers le haut.
Selon une autre caractéristique d'un mode préférentiel de réalisation, lorsque le bardeau selon l'invention est vu de dessus, sa face d'extrémité aval est rectiligne et disposée perpendiculairement par rapport aux faces longitudinales latérales dudit bardeau.
Selon d'autres modes de réalisation, lorsque le bardeau selon l'invention est vu de dessus, sa face d'extrémité aval n'est pas disposée perpendiculairement par rapport aux faces latérales dudit bardeau mais au contraire obliquement et elle comporte une ou plusieurs facettes rectilignes ou curvilignes.
Selon une autre caractéristique, lorsque le bardeau selon l'invention est vu en coupe longitudinale, sa face d'extrémité aval est inclinée par rapport au plan que représente le pan de la toiture et notamment avantageusement inclinée de telle manière qu'elle occupe une position sensiblement verticale par rapport au sol malgré la pente de la toiture et ce dans le but de faciliter l'écoulement des gouttes de pluie en permettant à celles-ci d'acquérir une plus grande vitesse pour qu'elles n'aient pas le temps de pénétrer dans le bardeau en remontant par capillarité dans les canaux du bois débouchant dans ladite face d'extrémité aval du bardeau.
Selon une autre caractéristique d'un mode préférentiel de réalisation la face d'extrémité aval du bardeau comporte une arête horizontale intermédiaire, constituant un larmier, disposée entre l'arête horizontale supérieure et l'arête horizontale inférieure de ladite face d'extrémité aval de telle sorte que ladite face d'extrémité aval n'est donc pas plane mais qu'elle comporte un profil en redan jouant le rôle de larmier en permettant aux gouttes d'eau de tomber en aval de l'arête inférieure de ladite face d'extrémité aval et ce pour éviter que ces gouttes d'eau ne remontent par capillarité entre la face longitudinale inférieure dudit bardeau et la face longitudinale supérieure du bardeau inférieur. L'arête intermédiaire horizontale s'étendant dans le sens transversal du bardeauet constituant un larmier occupe donc, par rapport à la demi-longueur de ce bardeau, une position dans le sens longitudinal dudit bardeau située plus à l'extérieur que la position occupée par l'arête horizontale inférieure de cette même extrémité longitudinale du bardeau.
Selon d'autres caractéristiques de réalisation, les caractéristiques dimensionnelles du bardeau selon l'invention sont les suivantes: Longueur hors tout comprise entre 450 ( quatre cent cinquante) et 1000 ( mille) millimètres, de préférence entre 500 ( cinq cent) et 800 ( huit cent) millimètres, en particulier comprise entre 550 ( cinq cent cinquante) et 750 ( sept cent cinquante) millimètres Largeur hors tout comprise entre 120 ( cent vingt) et 250 ( deux cent cinquante) millimètres, de préférence entre 130 ( cent trente) et 230 ( deux cent trente) millimètres, en particulier entre 140 ( cent quarante) et 210 ( deux cent dix) millimètres, - Epaisseur hors tout comprise entre 20 ( vingt) et 50 ( cinquante) millimètres, de préférence entre 22 ( vingt deux) et 50 ( cinquante) millimètres, en particulier comprise entre 25 ( vingt cinq) et 45 ( quarante cinq) millimètres.
Selon une autre caractéristique le bardeau de bois selon l'invention présente lorsqu'il est posé un pureau par rapport aux bardeaux voisins avantageusement supérieur à 240 ( deux cent quarante) millimètres, de préférence supérieur à 300 ( trois cent) millimètres, en particulier supérieur à 350 ( trois cent cinquante) millimètres. mm Selon une autre caractéristique le bardeau de bois selon l'invention est maintenu plaqué contre le liteau auquel il est accroché par la tension exercée par un élément élastiquement déformable, avantageusement constitué d'un fil plié réalisé en acier ressort du type dit corde à piano , passant au dessous dudit liteau et dont l'une des branches recourbées prend appui sur la face supérieure dudit bardeau tandis qu'au moins une autre branche prend appui soit sur la face supérieure d'un ou de plusieurs bardeaux disposés en amont dudit bardeau soit sur la face supérieure du chevron ou du platelage de la toiture.
Selon une autre caractéristique, les bardeaux de bois selon l'invention constituent une couverture dont l'arrimage à la charpente qui la supporte est assuré par des barres d'appui disposées horizontalement dans le sens transversal du pan de toiture maintenues pressées contre ladite couverture selon une force dirigée sensiblement perpendiculairement à la ligne de pente de la toiture assurée par un dispositif de compression constitué de tirants tels que notamment des tiges filetées ou des boulons arrimés à la charpente de la toiture et/ou à la structure de la construction elle-même. Ces tirants de compression pourront agir sur les barres d'appui directement ou par l'intermédiaire de moyens élastiquement déformables tels que notamment des ressorts de compression du type hélicoïdal ou du type rondelles-ressorts qui pourront être avantageusement intégrés dans ce dispositif de compression pour permettre de maintenir constamment les barres d'appui sous contrainte de compression en compensant les différents tassements de la toiture tout en permettant par ailleurs les variations dimensionnelles de la couverture et de la charpente dues au séchage ou aux reprises d'humidité . Ces moyens élastiquement déformables offrant les avantages ci-dessus énoncés pourront être insérés aussi bien entre la charpente et l'ancrage des tirants de compression qu'entre les tirants de compression et les barres d'appui elles-mêmes.
Selon une autre caractéristique d'un mode préférentiel de réalisation, le faîtage de la toiture est réalisé à l'aide d'une tôle pliée en forme de dièdre ouvert vers le bas coiffant la partie supérieure de la dernière rangée de bardeaux de chacun des deux pans de la toiture. Selon un mode préférentiel de réalisation, ce faîtage est réalisé à l'aide d'une bande de zinc, la réaction chimique entre le zinc et l'eau de pluie constituant une solution chimique diluée qui ruisselle sur la couverture en retardant ainsi considérablement la formation de mousse, de champignons et de moisissures.
Selon une autre caractéristique, les bardeaux selon l'invention seront avantageusement réalisés dans des bois offrant de façon naturelle une grande résistance aux champignons et/ou aux insectes xylophages tels que notamment l'acacia, le châtaignier, le mélèze, le pin, le Douglas; pour des raisons économiques ils pourront également être réalisés dans d'autres essences moins résistantes qui pourront avantageusement être traitées de façon appropriée pour en améliorer les performances de longévité lorsqu'ils sont ainsi exposés aux intempéries. Ainsi il peut être notamment envisagé d'améliorer la résistance du bois contre les infiltrations d'eau en le traitant par imprégnation de Bakélite qui offre l'avantage d'être inerte chimiquement et inoffensive pour l'environnement.
Selon une autre caractéristique d'un autre mode de réalisation, les éléments de couverture que constituent ces bardeaux ne sont pas réalisés à partir de pièces de bois naturel massif tel que décrit précédemment mais à l'aide à partir de pièces de bois réalisé en lamellé collé , matériau constitué de lamelles de bois, toutes de la même essence ou au contraire d'essences différentes, assemblées par collage. Selon une autre variante encore de réalisation, ces éléments de toiture sont constitué d'un matériau synthétique ou naturel comprenant ou non des particules de bois. Bien-sûr il serait avantageux que ce matériau puisse avoir un aspect proche de celui du bois naturel tout en présentant par rapport au bois des avantages en terme de durabilité et/ou d'entretien, et/ou de prix de revient.
D'autres avantages et caractéristiques ressortiront plus clairement de la description qui va suivre des différents modes de réalisation montrés à titre d'exemples non limitatifs et représentés aux dessins annexés dans lesquels: - La figure 1 est une vue en perpective montrant la face longitudinale supérieure ainsi qu'une face d'extrémité longitudinale et la première face latérale d'un bardeau selon l'invention La figure 2 est une vue en perpective montrant la face longitudinale inférieure ainsi qu'une face d'extrémité longitudinale et la seconde face latérale du bardeau selon l'invention représenté à la figure 1 - La figure 3 est une vue en perpective montrant la face longitudinale supérieure ainsi qu'une face d'extrémité longitudinale et la première face latérale d'un bardeau selon l'invention destiné à être posé en rive de toiture.
- La figure 4 est une vue en perpective montrant la face longitudinale inférieure ainsi qu'une face d'extrémité longitudinale et l'autre face latérale du bardeau selon l'invention représenté à la figure 3 - La figure 5 montre un bardeau selon l'invention en vue de coté La figure 6 est une vue de coté montrant un pan de toiture dont la couverture est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention tels que celui qui est représenté sur la figure 5..
- La figure 7 est une vue de dessus correspondant à la figure 6 et montrant un pan de toiture dont la couverture en cours de réalisation est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention tels que celui qui est représenté sur la figure 5.
- La figure 8 montre une variante de réalisation d'un bardeau selon l'invention en vue de coté - La figure 9 est une vue de coté montrant un pan de toiture dont la couverture est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention tels que celui qui est représenté sur la figure 8. La figure 10 est une vue de dessus correspondant à la figure 9 et montrant un pan de toiture dont la couverture en cours de réalisation est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention tels que celui qui est représenté sur la figure 8.
La figure 11 montre une autre variante de réalisation d'un bardeau selon l'invention en vue de coté - La figure 12 montre un détail agrandi d'une partie de la figure 11 - La figure 13 montre un détail agrandi d'une partie de la figure 14 - La figure 14 montre une autre variante de réalisation d'un bardeau selon l'invention en vue de coté - La figure 15 est une vue de coté montrant un procédé de réalisation de deux bardeaux débités dans une planche de bois dans laquelle ils sont disposés tête bêche.
La figure 16 est une vue de coté montrant une variante de réalisation de deux bardeaux qui vont être débités dans une planche de bois dans laquelle ils sont disposés tête bêche.
La figure 17 est une vue de coté montrant les deux bardeaux selon l'invention, présentés à la figure 16, après qu'ils aient étés débités La figure 18 est une vue en perpective montrant la face longitudinale supérieure ainsi qu'une face d'extrémité longitudinale et la première face latérale du bardeau selon l'invention présenté à la figure 17.
- La figure 19 est une vue de coté montrant un pan de toiture dont la couverture est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention tels que celui qui est présenté sur la figure 18. La figure 20 est une vue en coupe longitudinale selon le repère de coupe CC de la vue 21 montrant un partie de toiture dont la couverture est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention dont certains sont maintenus plaqués contre le liteau auquel ils sont accrochés par une barre transversale arrimée à la charpente par un dispositif de compression.
- La figure 21 est la vue de dessus correspondant à la figure 20 Les figures 22 et 23 montrent d'autres dispositifs destinés à maintenir les bardeaux plaqués contre les liteaux auxquels ils sont accrochés.
Les figures 24 à 29 représentent différents modes de fixation des bardeaux selon l'invention.
- Les figures 30 à 35 sont des vues de dessus montrant différentes formes de bardeaux selon l'invention.
Les figures 1 et 2 montrent un premier mode préférentiel de réalisation dans lequel le bardeau de bois selon l'invention 1 comporte une face longitudinale supérieure 2 sur toute ta longueur de laquelle s'étendent des rainures 3 disposées dans le sens axial longitudinal du bardeau. La face longitudinale inférieure 4 du bardeau 1 comporte cinq rainures 5 en forme de saignées plus profondes que larges disposées perpendiculairement aux deux faces latérales 6 et 7 du bardeau et s'étendant sur toute la largeur du bàrdèàu 1 de sàitè qu'ellès débouchent dàns les deux faces latérales 6 et 7 du bardeau 1.
Au voisinage de chacune de ses deux extrémités longitudinales la face longitudinale inférieure 4 comporte une creusure en forme de gorge 8 et 9, chacune d'elle traversant le bardeau 1 sur toute sa largeur pour constituer l'évidement d'un ergot d'accrochage respectivement 10 et 11.
Le bardeau selon l'invention 1 réalisé selon ce mode préférentiel de réalisation présente un face longitudinale supérieure 2 plane disposée parallèlement à sa face longitudinale inférieure 4 également plane et l'épaisseur totale El dudit bardeau mesurée au niveau de ses ergots d'accrochage 10 ou 11 est identique à l'épaisseur totale E2 du bardeau dans les zones où il ne comporte pas de rainures transversales 5 ni de rainures longitudinales 3, autrement dit, les faces inférieures des ergots d'accrochage 10 et 11 sont situées dans le même plan que la face longitudinale Inférieure 4. Dans ce mode préférentiel de réalisation, les bardeaux 1 selon l'invention sont fabriqués à partir d'une planche de bois de grande longueur dont les quatre faces longitudinales sont planes et parallèles deux à deux, ladite planche étant avantageusement usinée sur ses quatre faces longitudinales en un seul passage dans une raboteuse dite quatre faces permettant également l'usinage en même temps des rainures longitudinales dans la face longitudinale supérieure de la planche correspondant à la future face supérieure 2 du bardeau 1 ainsi que, le cas échéant l'usinage des rainures longitudinales dans la face longitudinale inférieure de la planche correspondant à la future face inférieure 4. La planche de bois est ensuite tronçonnée en longueurs correspondant à la cote souhaitée pour le futur bardeau 1. II ne reste plus ensuite qu'à terminer la face inférieure des bardeaux en usinant les saignées transversales 5 et les creusures 8 et 9 et ce en une seule opération en faisant simplement passer le bardeau 1 au dessus des fraises de formes et de dimensions correspondantes montées sur un arbre tournant disposé parallèlement à l'axe longitudinal médian du bardeau. On obtient ainsi un bardeau 1 qui offre tout à la fois l'intérêt d'être très facile et très rapide donc économique aussi bien à produire qu'à poser tout en bénéficiant d'une grande longévité grâce à sa réversibilité . Les figures 3 et 4 montrent un bardeau de rive selon l'invention 12 comportant une face longitudinale supérieure 13 sur laquelle s'étendent des rainures 14 disposées dans le sens axial longitudinal du bardeau 12.
Sa face longitudinale inférieure 15 comporte cinq rainures 16 en forme de saignées plus profondes que larges disposées perpendiculairement aux deux faces latérales 17 et 18 du bardeau et s'étendant sur une partie seulement de la largeur du bardeau 12 de sorte qu'elles débouchent dans la face latérale 17 à partir de laquelle elles sont réalisées mais qu'elles ne débouchent pas dans la face latérale opposée 18.
Au voisinage de chacune de ses deux extrémités longitudinales la face longitudinale inférieure 15 comporte une creusure 19 et 20, chacune d'elle constituant l'évidement d'un ergot d'accrochage 21 et 22. Les deux creusures 19 et 20 s'étendent sur une partie seulement de la largeur du bardeau 12 de sorte qu'elles débouchent dans la face latérale 17 à partir de laquelle elles sont réalisées mais qu'elles ne débouchent pas dans la face latérale opposée 18.
La figure 5 montre en vue de coté le bardeau 1, représenté sur les figures 1 et 2. Dans ce mode de réalisation, les deux ergots 10 et 11, réalisés au voisinage de chacune des deux extrémités longitudinales du bardeau 1, sont identiques de sorte que leur face d'accrochage, respectivement et 110, sont situées à une même distance d par rapport à l'extrémité du bardeau 1 qui lui est la plus proche, la distance d étant avantageusement supérieure à 40 ( quarante) millimètres La figure 6 est une vue de coté montrant un pan de toiture dont la couverture est réalisée à l'aide de bardeaux 1 selon l'invention, tels que celui qui est représenté sur les figures 1, 2 et 5, lesdits bardeaux 1 étant accrochés par leurs ergots d'accrochage 11 aux liteaux 23 solidarisés au chevron 24 supportant la couverture.
La figure 7 est une vue de dessus correspondant à la figure 6 et montrant un pan de toiture dont la couverture en cours de réalisation est réalisée à l'aide de bardeaux 1 selon l'invention. Dans ce 35 mode de réalisation dans lequel les ergots d'accrochage sont tous situés à une distance d équivalente de l'extrémité du bardeau qui lui est proche, toutes les faces d'extrémité inférieures des bardeaux 1 sont donc alignées dans le sens transversal de la toiture.
Les figures 8, 9, et 10 montrent une variante de réalisation dans laquelle le bardeau 25 selon l'invention comporte des ergots d'accrochage 26 et 27 dont les faces d'accrochage, respectivement 260 et 270, sont positionnées à des distances, respectivement d1, avantageusement supérieure à 60 ( soixante) millimètres, et d2, avantageusement supérieure à 80 ( quatre vingt) millimètres, qui, par rapport à l'extrémité longitudinale correspondante du bardeau 25, diffèrent de A de telle sorte que selon que le bardeau est accroché au liteau 28 par l'un ou par l'autre de ses ergots d'accrochage 26 ou 27, le pureau P qu'il présente par rapport aux bardeaux contigus est lui aussi différent.
Les figures 11 et 12 montrent une autre variante de réalisation d'un bardeau 29 selon l'invention dans laquelle deux rainures en forme de saignées 30 et 31 sont inclinées par rapport à la face longitudinale inférieure du bardeau dans laquelle elles sont réalisées tandis que la rainure centrale 32 est perpendiculaire à cette face inférieure du bardeau.
Dans cette variante de réalisation, les faces d'accrochages 330 et 340 des ergots d'accrochage 33 et 34 ne sont pas perpendiculaires à la face inférieure du bardeau comme dans les versions représentées dans les figures précédentes mais elles sont légèrement inclinées par rapport à cette face inférieure du 29 selon un angle a inférieur à 90 avantageusement compris entre 75 et 85 de préférence compris entre 77 et 82 de telle façon que lorsque le bardeau 29 a été mis en place la face d'accrochage 330 ou 340 par laquelle il est accroché au liteau soit sensiblement parallèlement à la face amont dudit liteau contre lequel elle s'appuie.
Cette disposition présente d'une part l'avantage d'offrir une plus grande surface de contact entre la face d'accrochage de l'ergot et la face amont du liteau ce qui permet de répartir sur une plus grande surface de fibres de bois les contraintes de cisaillement des ergots dues au poids de la neige tendant à glisser vers le bas du toit en entraînant avec elle les bardeaux, d'autre part l'inclinaison identique de la face de l'ergot d'accrochage aménagé dans l'autre extrémité du bardeau et qui se retrouve en position aval permet un meilleur écoulement vers le bas des gouttes de pluies refoulées par le vents et qui se déposent contre les parois de l'évidement de l'ergot, cet évidemment servant de chambre de décompression dans laquelle se dissipe sous forme de mini-turbulences les filets d'air chargés d'humidité qui se parcourent la toiture de l'aval vers l'amont en se glissant entre les couches de bardeaux. Pour améliorer également la solidité des ergots d'accrochage, les angles 331 et 332 ainsi que les angles 341 et 342 du fond des creusures d'évidement 3300 et 3400 des ergots 33 et 34 sont avantageusement arrondis pour permettre une meilleure dispersion des contraintes en évitant ainsi leur concentration sur quelques lits de fibres de bois seulement.
La figure 12 montre également que la face d'extrémité du bardeau 29 comporte des redans et que, entre l'arête supérieure 351 et l'arête inférieure 352 de ladite face d'extrémité 35 existent deux autres arêtes intermédiaires 353 et 354 jouant le rôle de larmiers.
Les figures 13 et 14 montrent une autre variante de réalisation de la face d'extrémité 37 du bardeau 40 dans laquelle à été réalisé un chanfrein supérieur plan 371 et un chanfrein inférieur concave en forme de congé arrondi constituant ainsi une arête 373 servant de larmier qui est positionnée entre l'arête inférieure 3710 du chanfrein supérieur 371 et l'arête inférieure 370 de ladite face d'extrémité 37.
Bien-sûr, t'autre face d extrémité 38 du bardeau 40 est réalisée de la même manière que la face d'extrémité 37 d'une part pour que le bardeau puisse disposer d'un larmier dans sa face aval dans l'une comme dans l'autre des deux positions dans lesquelles il peut être posé et d'autre part pour que le congé inférieur constituant un dégagement de l'angle inférieur de la face d'extrémité ainsi obtenu évite que, quelle que soit sa position de montage, l'extrémité inférieure amont du bardeau ne vienne toucher le chevron supportant le liteau auquel est accroché ce bardeau.
Pour les mêmes raisons, tel que montré aux figures précédentes 8 et11, les chanfreins sont réalisés sur chacune des deux faces d'extrémité du bardeau qu'ils soient en forme de redans tel que montré sur la figure 12 ou en forme de chanfreins plans tel que montré sur la figure 8.
Par ailleurs, d'une part pour améliorer la solidité générale de la zone d'accrochage du bardeau et d'autre part pour optimiser l'effet de chambre de décompression tel que décrit ci-avant, les fonds 3300, 3400, 372, 382, des évidements des ergots d'accrochage montrés sur les figures 11 et 14 sont avantageusement inclinés de telle manière que la profondeur de ces évidements diminue lorsque l'on s'éloigne de la face d'appui des ergots d'accrochage correspondants; autrement dit, pour chacune des extrémités du bardeau, la profondeur de l'évidement de l'ergot d'accrochage est dégressive lorsque l'on s'éloigne de l'extrémité longitudinale du bardeau située à proximité dudit ergot d'accrochage pour se rapprocher de l'extrémité longitudinale opposée du bardeau.
Sur la figure 14 le bardeau selon t'invention 40 comporte 6 saignées 41 inclinées par rapport à la face longitudinale inférieure dudit bardeau dans laquelle elles sont creusées.
Les figures 15 et 16 montrent un second procédé de fabrication des bardeaux selon l'invention selon tequet les bardeaux sont réalisés deux par deux dans une planche de bois dans laquelle ils sont initialement disposés tête bêche. La planche de bois est tout d'abord usinée sur ses quatre faces à l'aide d'une raboteuse quatre faces qui usine en même temps sur les deux grandes faces longitudinales de cette planche les rainures longitudinales des deux futures faces longitudinales supérieures des deux bardeaux, puis la planche est tronçonnée en longueurs correspondant à la longueur souhaitée pour le futur bardeau à raquette on doit ajouter d'une part ta distance d, avantageusement supérieure à 40 ( quarante) millimètres, correspondant à la dimension souhaitée pour l'ergot d'accrochage et d'autre part la largeur de la rainure 42 à réaliser pour permettre l'introduction de la lame 4000 d'une scie à ruban qui, en suivant le parcours indiqué sur cette figure 15 par les repères 1, 2, et 3, permet de séparer les deux bardeaux l'un de l'autre.
Les bardeaux selon l'invention montrés aux figures 16 et 17 sont réalisés selon le même procédé que ceux de la figure 15 mais d'une part les pièces de bois ont étés ici tronçonnées par un trait de scie incliné selon l'angle (3 par rapport aux futures faces longitudinales supérieures des bardeaux et d'autre part la rainure 43 permettant l'introduction de la lame de scie est plus large que la rainure 44 réalisée sur l'autre face de la pièce de bois et ce dans le but d'obtenir deux bardeaux 46 et 47 dont les longueur totales L1 et L2 différeront de la cote AL correspondant à la différence de largeur des deux rainures 43 et 44. Les rainures 43 et 44 présentent des flans inclinés selon l'angle a pour que les faces d'appui des ergots d'accrochage correspondants 470, et 460 puissent mieux plaquer sur la face amont des liteaux auxquels ils seront accrochés. Les ergots d'accrochage 460 et 470 constituent avec le reste du bardeau un ensemble monolithique et la hauteur h de la face d'accrochage de chacun de ces deux ergots 460, 470 est supérieure à l'épaisseur du bardeau mesurée en n'importe quel point situé en aval de cette face d'accrochage desdits ergots 460,470.
Les bardeaux obtenus selon ce procédé de fabrication se caractérisent par une épaisseur totale E, mesurée de ta face supérieure du bardeau à la face inférieure de l'ergot d'accrochage, qui est supérieure à l'épaisseur el, ou e2 de tout autre point de la partie du bardeau située en aval dudit ergot d'accrochage 460 ou 470. Selon que le trait de scie séparant les deux bardeaux l'un de l'autre se déplace parallèlement aux futures faces longitudinales des deux bardeaux obtenus ou au contraire obliquement par rapport à celles-ci la face longitudinale supérieure du bardeau sera parallèle ou oblique par rapport à sa face longitudinale inférieure. Ainsi, tel que montré sur les figures 15 et 16, le trait de scie de séparation étant disposé légèrement obliquement par rapport aux futures faces longitudinales supérieures des deux bardeaux il s'ensuit que le bardeau vu en section longitudinale est de forme conique sur sa partie située en aval de l'ergot d'accrochage ( 460, 470) de telle sorte que son épaisseur ( el) mesurée au voisinage de sa face d'accrochage de l'ergot est inférieure à son épaisseur ( e2) mesurée au voisinage de son extrémité aval.
Les bardeaux obtenus selon ce procédé de fabrication offrent par rapport à ceux montrés sur les figures 1, 2, 5, 8, 11, 14 l'avantage d'une économie de bois mais en contre-partie leur forme ne permet pas d'envisager leur retournement raison pour laquelle ils ne possèdent un dispositif d'accrochage qu'à une seule de leurs deux extrémités longitudinales.
La figure 18 est une vue en vue en perpective montrant la face longitudinale supérieure ainsi qu'une face d'extrémité et la première face latérale du bardeau selon l'invention présenté à la figure 17.
La figure 19 est une vue de coté montrant un pan de toiture dont la couverture, réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention tels que celui qui est présenté sur la figure 18, comporte une barre ronde 48 disposée parallèlement au faîtage et retenue par un crochet métallique 49 fixé au chevron 50 par un tirefond 51. La barre ronde 48, destinée à éviter le glissement du manteau neigeux recouvrant la toiture en hiver, est chargée par des pierres 480 disposées à intervalles réguliers tout au long de barre ronde 48 Sur la longueur de la barre ronde 48.
La figure 20 est une vue en coupe longitudinale selon le repère de coupe CC de la vue 21 montrant une partie d'un pan de toiture dont la couverture est réalisée à l'aide de bardeaux selon l'invention dont certaines rangées sont maintenues très fermement plaquées contre la charpente 57 supportant la couverture par une barre transversales 52 sur laquelle s'exerce la force d'appui FA, dirigée sensiblement perpendiculairement à la ligne de pente de la toiture et donc perpendiculairement à la surface du pan de toiture, ladite force FA étant transmise à la barre par un robuste crochet métallique 53, ouvert vers le bas, sur lequel prend appui un tirant de compression constitué d'un boulon 55 arrimé à la charpente 57. Un tirant d'ancrage 54 traversé par le boulon de compression 55 et disposé sensiblement parallèlement à la face longitudinale supérieures des bardeaux s'oppose au déversement vers l'aval de ce boulon de compression 55 et de la barre 52. Le tirant d'ancrage 54 est arrimé au chevron 57 par un boulon 56 positionné en un point situé plus en amont dans la toiture que ne le sont le boulon de compression 55 et la barre de retenue 52 et ce dans le but de résister au mieux aux efforts de poussée vers l'aval transmis à la barre par le poids de la neige accumulée sur la toiture et qui tend à glisser vers le bas du toit en entraînant les bardeaux et les barres de retenue 52. Ce dispositif de pression et d'arrimage de la couverture à la charpente 52 agissant sur les barres transversale 52 est bien-sûr beaucoup plus performant que ne l'est le dispositif classique consistant à charger les barres à l'aide de pierres tel que montré à la figure 19 et qui n'empêche pas que la couverture, les barres et les pierres soient emportées toutes ensembles par la tempête alors que le dispositif de pression et d'arrimage montré aux figures 20 et 21 est totalement efficace et peut lutter sans aucun dommage contre ce risque si les chevrons 57 auxquels sont arrimés les boulons de tensions 55 sont eux-mêmes arrimés aux murs ou mieux encore directement aux fondations du bâtiment par des tirants de solidité appropriée. Ce système d'amarrage très efficace de la toiture toute entière est en outre totalement sûr et particulièrement économique alors que les pierres utilisées dans la disposition classique risquent toujours de tomber du toit en blessant quelqu'un et qu'elles représentent par ailleurs une solution peu esthétique et difficile à mettre en oeuvre, lesdites pierres devant tout d'abord être trouvées, puis transportées sur place puis hissées sur la toiture et enfin être soigneusement calées pour ne pas être déplacées par le vent. Les figures 22 et 23 montrent un autre dispositif destiné à maintenir les
bardeaux plaqués contre les liteaux auxquels ils sont accrochés. Ce dispositif est constitué d'un élément de fixation 58, avantageusement constitué d'un fil plié en forme de oméga élastiquement déformable réalisé en acier ressort du type dit corde à piano ou en tout autre matériau présentant les qualités d'élasticité requises. La partie centrale 581 de cet élément en forme d'oméga prend appui sur la face longitudinale supérieure d'un premier bardeau 60 sur lequel elle exerce une force d'appui F2 puis chacune des deux branches latérales du oméga passe soit au dessous du liteau 73 auquel est accroché le premier bardeau 60 soit au dessous du liteau situé immédiatement en aval dudit liteau d'accrochage 73. Lorsque l'élément élastique de fixation 58 est mis en tension, il vient prendre appui contre la face inférieure du liteau au dessous duquel il passe et l'une des deux branches d'extrémité 580 de l'élément 58 vient ensuite prendre appui sur le bardeau 61 situé en amont du premier bardeau 60 en exerçant une force d'appui FI tandis que l'autre branche 580 de l'élément 58 vient prendre appui sur le bardeau 62 situé cote à cote avec le bardeau 61 sur lequel prend appui la première branche 580 de l'élément élastique 58. Sien-sûr, les deux branches d'extrémité 580 peuvent ne pas être repliées vers l'intérieur tel que représenté en trait fort sur la figure 23 mais être repliées vers l'extérieur l'une et l'autre tel que représenté en pointillés sur cette même figure 23 et elles viennent alors prendre appui sur la face supérieure des bardeaux situés de part et d'autre des deux bardeaux 61 et 62. Il est également possible de réaliser des éléments de fixation tel que décrit ci-avant mais dont l'une des branches d'extrémité est pliée vers l'intérieur tel que représenté en trait fort sur la figure 23 tandis que l'autre est tournée vers l'extérieur tel que représenté en pointillés sur cette même figure 23.
Selon une variante de ce mode de réalisation, la ou les branches d'extrémité ne prennent pas appui sur un ou plusieurs bardeaux situés en amont du liteau au dessous duquel passe l'élément élastique de fixation mais ettes prennent appui contre te chevron ou contre un liteau situé en amont du liteau au-dessous duquel passe l'élément élastique ou encore contre la face supérieure du platelage de la toiture.
Selon une autre variante encore de réalisation, l'élément élastique de fixation prend appui sur la face supérieure d'un premier bardeau puis passe au dessous du liteau situé immédiatement en aval de celui auquel est accroché le premier bardeau pour aller ensuite prendre appui soit sur la face supérieure d'au moins un deuxième bardeau situé en aval du premier soit contre l'un des chevrons ou contre un liteau situé en aval du premier liteau soit encore contre le platelage de la toiture.
La fixation des bardeaux peut également être réalisée à l'aide élément 59 constitué d'un fil plié en forme de S et élastiquement déformable dont la branche aval 591 passe au travers d'un trou 630 traversant le bardeau 63 sur lequel elle vient s'appuyer tandis que la seconde branche, après être passée sous le liteau 74 auquel est accroché le bardeau 63 vient s'appuyer sur la face longitudinale supérieure d'un bardeau 64 situé plus en amont dans la toiture.
Les figures 24, 25, 26, montrent un premier mode de fixation des bardeaux par vis qui offre l'avantage de n'exiger aucun perçage des bardeaux et permet donc de les conserver intacts pour pouvoir ensuite les retourner lorsqu'après plusieurs années la partie aval exposée des bardeaux commence à se dégrader. Il suffira alors de retourner le bardeau en disposant la partie amont jusqu'alors abritée et donc intacte du bardeau en lieu et place de la partie aval qui commence à se dégrader et celle ci désormais abritée par les bardeaux amont, pourra encore durer très longtemps de sorte qu'il sera ainsi possible de quasiment doubler la durée de vie de la couverture Comme le montrent ces vues 24, 25, 26, la vis 65 traverse une large rondelle 66 qui vient prendre appui sur tes bords voisins de deux bardeaux contigus entre lesquels est glissée ladite vis de fixation 65 qui vient se visser dans le liteau 68 auquel sont accrochés les deux bardeaux concernés. La vis ne traversant pas les bardeaux ceux-ci peuvent librement se dilater ou se contracter en glissant sous la rondelle large 66 au gré des fluctuations dimensionnelles qu'ils subissent en fonction des variations hygrométriques ambiantes. La vis, dont la tête est logée dans une rainure 67 aménagée dans la face inférieure du bardeau qui la recouvre, est en outre protégée des intempéries par les recouvrements des deux couches de bardeaux amont.
Sur le mode de fixation présenté sur les figures 27, 28, 29 la vis de fixation 69 traverse un bardeau mais elle le fait dans le centre dudit bardeau de telle sorte que le trou ainsi positionné ne gène en rien le retournement dudit bardeau puisque dans chacune des deux positions envisageables pour ce bardeau, la vis pourra être vissée en utilisant ce même trou. Pour faciliter le repérage de l'axe médian longitudinal du bardeau sur lequel doit être positionnée la vis, celui ci est matérialisé par une rainure longitudinale 70 de forme et de dimension différentes des autres rainures longitudinales couvrant la face supérieure des bardeaux. Cette disposition centrale de la vis de fixation autorise par ailleurs les mouvements de gonflement et de retrait du bardeau puisque celui- ci ne comporte d'une seule vis de part et d'autre de laquelle il peut librement se dilater ou se contracter.
Les figures 30 à 35 sont des vues de dessus montrant différentes formes de bardeaux selon l'invention dans lesquelles: - la figure 30 montre des bardeaux dont l'extrémité aval comporte deux faces concourantes disposées symétriquement par rapport à l'axe médian longitudinal du bardeaux.
- la figure 31 montre des bardeaux dont l'extrémité aval est arrondie à la manière des tuiles écaille.
la figure 32 montre des bardeaux dont les deux angles inférieurs sont chanfreinés de telle sorte que l'extrémité aval de ces bardeaux comporte trois facettes disposées symétriquement 25 par rapport à l'axe médian longitudinal du bardeaux.
la figure 33 montre des bardeaux dont les deux angles inférieurs sont chanfreinés et dont la partie comprise entre les deux chanfreins est concaves et disposée symétriquement par rapport à l'axe médian longitudinal du bardeaux.
la figure 34 montre des bardeaux dont les extrémités longitudinales inférieures comportent 30 une ou plusieurs facettes disposées perpendiculairement ou non par rapport à l'axe médian longitudinal des bardeaux.
- la figure 35 est une variante de la figure 32 dans laquelle les quatre angles des bardeaux sont chanfreinés, lesdits bardeaux étant réversibles et comportant des ergots d'accrochage implantés à une distance de chacune des extrémités du bardeau variant de A de telle manière 35 que les pureaux qu'offrent les différents bardeaux contigus sont différents.
Bien sûr l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation montrés et décrits à titre d'exemples mais elle comprend aussi tous les équivalents techniques ainsi que leurs combinaisons et il est également précisé que l'on ne sortirait pas des limites de cette invention si les éléments de couverture que constituent ces bardeaux ne sont pas réalisés à partir de pièces de bois naturel massif tel que décrit précédemment mais à l'aide d'un matériau, synthétique ou naturel comprenant ou non des particules de bois, qui pourrait avantageusement avoir un aspect proche de celui du bois naturel.

Claims (5)

Revendications
1 Bardeau de bois (1,12, 25, 29, 46,47) destiné à la réalisation de couverture en bois caractérisé en ce qu'il comporte, au voisinage d'au moins l'une de ses deux extrémités longitudinales des moyens tels que des trous ou des ergots (10, 11, 21, 22, 26, 27, 33, 34) permettant son accrochage à un liteau (23, 28) solidaire de la charpente (24) supportant ladite couverture 2 Bardeau de bois selon la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens d'accrochage sont constitué d 'au moins un trou d'un diamètre supérieur à dix millimètres 10 traversant ledit bardeau dans son épaisseur dans lequel vient se loger un téton de forme adaptée solidaire d'un liteau fixé à la charpente supportant ladite couverture 3 - Bardeau de bois (1,12, 25, 29, 46,47) selon la revendication 1 caractérisé en ce que les moyens d'accrochage sont constitué d 'au moins un ergot d'accrochage (10, 11, 21, 22, 26, 27, 33, 34) solidaire dudit bardeau, venant s'accrocher à un liteau (23, 28) solidaire de la charpente (24) supportant ladite couverture et caractérisé en ce que la largeur cumulée, mesurée dans le sens transversal du bardeau, du ou des ergots d'accrochage situés à l'une des extrémités du bardeau est supérieure au deux tiers de la largeur hors tout dudit bardeau (1,12, 25, 29, 46,47), 4 Bardeau de bois (1, 25) selon la revendication 3 caractérisé en ce qu'il comporte au voisinage de chacune de ses deux extrémités longitudinales un ou plusieurs ergots (10, 11, 26, 27) permettant l'accrochage dudit bardeau (1,25) par l'une ou par l'autre de ses deux extrémités longitudinales à un liteau ( 23, 28) fixé à la charpente ( 24) supportant ladite couverture, ladite extrémité longitudinale du bardeau (1, 25) , par laquelle celui-ci est accrochée au liteau, occupant alors une position amont par rapport à la seconde extrémité longitudinale dudit bardeau Bardeau de bois (25) selon la revendication 4 caractérisé en ce qu'il comporte un premier dispositif d'accrochage (26), constitué d'un ou de plusieurs ergots d'accrochage, situé au voisinage de sa première extrémité longitudinale et un second dispositif d'accrochage (27), constitué d'un ou de plusieurs ergots d'accrochage, situé au voisinage de sa seconde extrémité longitudinale et caractérisé en ce que la distance (dl) séparant la face d'accrochage (260) du premier dispositif d'accrochage (26) par rapport à la première extrémité longitudinale du bardeau est différente de la distance (d2) séparant la face d'accrochage (270) du second dispositif d'accrochage (27) par rapport à la seconde extrémité longitudinale dudit bardeau de telle sorte que, selon que le bardeau est s accroché au liteau (28) par son premier dispositif d'accrochage (26) ou par son second dispositif d'accrochage (27) , le pureau (P) qu'il présente par rapport aux bardeaux contigus est différent.
6 - Bardeau de bois (1) selon la revendication 3, 4 ou 5 caractérisé en ce que: les moyens d'accrochage sont constitué d 'un ou de plusieurs ergots d'accrochage (10,11) constituant un ensemble monolithique avec le bardeau (1) lui-même et ils sont situés au voisinage de l'une au moins des deux extrémités longitudinales du bardeau les ergots d'accrochage (10, 11) sont réalisés par enlèvement de matière dans l'épaisseur d'une pièce de bois dans la face inférieure (4) de laquelle est usinée au moins une creusure (8,9), s'étendant dans le sens transversal du bardeau, dans laquelle vient se loger, en partie au moins, le liteau (23) auquel est accroché le bardeau (1) l'épaisseur totale hors tout (El) du bardeau (1) mesurée de la face supérieure (2) du bardeau à la face inférieure des ergots d'accrochage (10,11) est inférieure ou égale à l'épaisseur hors tout (E2) du bardeau mesurée dans sa zone centrale de ladite face supérieure (2) à la face inférieure de ce bardeau.
7 Bardeau de bois (46,47) selon la revendication 3 caractérisé en ce que: les moyens d'accrochage sont constitués d 'au moins un ergot d'accrochage (460,470) disposés au voisinage d'une seule des deux extrémités longitudinales du bardeau (46,47) , le ou les ergots d'accrochage (460,470) constituent un ensemble monolithique avec le bardeau (46,47) lui-même et leur face d'accrochage est située à une distance supérieure à 40 millimètres de l'extrémité longitudinale la plus proche dudit bardeau (46,47) le bardeau vu en section longitudinale est de forme conique sur sa partie située en aval de l'ergot d'accrochage ( 460, 470) de telle sorte que son épaisseur (el) mesurée au voisinage de sa face d'accrochage de l'ergot est inférieure à son épaisseur ( e2) mesurée au voisinage de son extrémité aval la hauteur ( h) de la face d'accrochage des ergots (460,470) est supérieure à l'épaisseur du bardeau mesurée en n'importe quel point situé en aval de la face d'accrochage desdits ergots d'accrochage (460,470) 8 - bardeau de bois (12) selon les revendications 3, 4, 5, ou 6 destiné à être posé en extrémité de rangée caractérisé en ce que les creusures transversales (19,20) , constituant les évidements des ergots d'accrochage (21,22) , sont réalisées à partir d'une seule (17) des deux faces latérales dudit bardeau et ne débouchent pas dans l'autre face latérale (18) .
9 Bardeau de bois (1,12) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte, sur sa face longitudinale supérieure (2,13) , des rainures (3,14) disposées dans le sens longitudinal du bardeau (1,12) qui s'étendent sur toute la face supérieure du bardeau en présentant dans le sens transversal du bardeau ( 1, 12) un profil identique sur toute leur longueur.
Bardeau de bois (1,12) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte, sur sa face longitudinale inférieure (4,15) , une ou plusieurs rainures (5,16) disposées dans le sens transversal du bardeau (1,12) et s'étendant sur une partie au moins de la largeur de ladite face longitudinale inférieure (4,15) . 11 Bardeau de bois selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il comporte, sur sa face longitudinale inférieure, une ou plusieurs 25 rainures disposées obliquement par rapport à l'axe longitudinal du bardeau et s'étendant sur une partie au moins de la largeur de ladite face longitudinale inférieure.
12 Bardeau de bois (29,40) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que, entre l'arête horizontale supérieure (351,371) et l'arête horizontale inférieure (352,370) d'au moins l'une (35,37) de ses deux extrémités longitudinales, il comporte une arête intermédiaire horizontale (353,354,373) s'étendant dans le sens transversal du bardeau et caractérisé en ce que ladite arête intermédiaire horizontale constituant un larmier occupe, par rapport à la demi longueur de ce bardeau, une position dans le sens axial dudit bardeau située plus à l'extérieur que la position occupée par l'arête horizontale inférieure (352,370) de cette même extrémité longitudinale du bardeau.
13 Bardeau de bois (1,12,25,29,46,47) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce que sa longueur totale est comprise entre 500 et 800 millimètres et sa largeur totale est comprise entre 120 ( cent vingt) et 250 ( deux cent cinquante) millimètres et en ce que le pureau qu'il présente par rapport aux bardeaux contigus est supérieur à 240 ( deux cent quarante) millimètres.
14 - Bardeau de bois (60,63) selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisé en ce qu'il est maintenu plaqué contre le liteau (73,74) auquel il est accroché lo par la tension exercée par un élément de fixation élastiquement déformable (58,59) passant au dessous dudit liteau (73,74) ou passant au dessous du liteau situé immédiatement en aval de celui-ci et caractérisé en ce que l'une des branches recourbées (581,591) de l'élément de fixation (58,59) prend appui sur la face supérieure dudit bardeau (60,63) tandis qu'au moins une autre branche (580,590) prend appui soit sur la face supérieure d'au moins un deuxième bardeau soit contre l'un des chevrons ou contre un autre liteau ou encore contre le platelage de la toiture.
Bardeaux de bois selon l'une quelconque des revendications précédentes caractérisés en ce qu'ils constituent une couverture dont l'arrimage à la charpente qui la supporte est assuré par des barres d'appui (52) disposées horizontalement dans le sens transversal du pan de toiture maintenues pressées contre ladite couverture selon une force (FA) dirigée sensiblement perpendiculairement à la ligne de pente de la toiture et assurée par un dispositif de compression constitué de tirants (55) tels que notamment des tiges filetées ou des boulons arrimés à la charpente de la toiture et/ou à la structure de la construction elle-même.
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