FR2851142A1 - Chaise de portage pliable. - Google Patents

Abstract

Chaise pliable ayant une structure tubulaire comprenant un cadre arrière (2), une assise (21) articulée sur le cadre arrière, deux cadres latéraux (14, 15) supportant l'assise, chaque cadre latéral étant articulé respectivement sur l'un des montants du cadre arrière, de sorte qu'après rabattement de l'assise, les cadres latéraux peuvent être rabattus l'un sur l'autre vers l'intérieur. Elle comporte, en partie basse avant des cadres latéraux (14,15), un repose-pied (26) articulé à une extrémité sur l'un des cadres latéraux et relié, à son autre extrémité, à l'autre cadre latéral par un moyen d'accrochage qui peut être mis hors d'action.

Description

CHAISE DE PORTAGE PLIABLE

L'invention est relative à une chaise de portage, également appelée chaise portoir, pliable du genre de celles qui ont une structure tubulaire comprenant: - un cadre arrière avec deux montants reliés transversalement en partie haute et munis de roues à leur extrémité inférieure, le cadre arrière supportant le dossier de la chaise; - une assise, qui peut se rabattre, articulée sur le cadre arrière; - deux cadres latéraux supportant l'assise, chaque cadre latéral 10 étant articulé respectivement sur l'un des montants du cadre arrière, de sorte qu'après rabattement de l'assise, les cadres latéraux peuvent être rabattus l'un sur l'autre vers l'intérieur.

Généralement les montants du cadre arrière comportent une articulation sensiblement à mi-hauteur, avec un moyen de blocage qui peut 15 être rendu inactif, de sorte que la partie supérieure du cadre arrière peut être rabattue contre la partie inférieure de ce cadre.

Une chaise portoir de ce type est connue et commercialisée par la société déposante sous la référence "ZCOOlPP".

Ces chaises portoirs sont soumises à des efforts relativement 20 importants, notamment lorsqu'elles sont déplacées tout en supportant une personne. Un but de l'invention est d'améliorer la tenue mécanique de ces chaises dépliées, ainsi que le confort procuré, sans pour autant diminuer leur capacité de pliage sous une épaisseur réduite. Il est souhaitable également de faciliter le portage et le déplacement de ces chaises.

Selon l'invention, une chaise portoir pliable du genre défini précédemment est caractérisée par le fait qu'elle comporte, en partie basse avant des cadres latéraux, un repose-pied articulé à une extrémité sur l'un des cadres latéraux et relié, à son autre extrémité, à l'autre cadre latéral par un moyen d'accrochage permettant aussi un décrochage, l'ensemble étant 30 tel que le repose-pied, dans la position o il relie les deux cadres latéraux, contribue à renforcer la tenue mécanique de la chaise.

Le moyen d'accrochage est avantageusement prévu pour que sa mise en action et hors d'action ne nécessite pas d'outil, et pour sécuriser l'accrochage lorsque le pied d'une personne appuie sur le repose-pied.

De préférence, le repose-pied est formé par une barre transversale. Cette barre est horizontale en position dépliée.

La barre repose-pied et son articulation sur le cadre latéral sont prévues pour que la barre en position repliée ne gêne pas le rabattement des cadres latéraux l'un sur l'autre, de sorte que le repliement complet de la chaise s'effectue sous une épaisseur réduite, qui n'est pas augmentée par l'existence de la barre repose-pied.

Le moyen d'accrochage de la barre peut comporter, sur l'un des éléments constitués par la barre et un cadre latéral, une encoche de verrouillage inclinée sur la verticale, une extrémité de l'encoche étant ouverte tandis que l'autre extrémité est fermée, un doigt étant prévu sur 10 l'autre élément pour s'engager dans ladite encoche.

De préférence, l'encoche est prévue sur la barre et le doigt sur le cadre latéral.

La barre repose-pied est avantageusement située, en position dépliée, à une distance de l'assise telle qu'une personne de taille moyenne 15 peut aisément poser ses pieds sur la barre et appuyer l'avant du talon d'une chaussure contre cette barre.

La barre peut être formée par un tube; les deux extrémités du tube sont aplaties, l'une étant traversée par un axe d'articulation horizontal parallèle au cadre latéral, l'autre extrémité aplatie comportant l'encoche.

Chaque cadre latéral peut comporter un montant avant dont la partie inférieure est courbée sensiblement en S de sorte que l'extrémité basse du montant se trouve plus éloignée du dossier que l'extrémité haute.

De préférence, la barre repose-pied est articulée sur la partie basse du montant avant la plus éloignée du cadre arrière.

Une poignée pliable escamotable est prévue respectivement sur chaque montant avant d'un cadre latéral et, à un niveau plus élevé, sur chaque montant du cadre arrière.

Les poignées escamotables avant sont articulées au début de la partie haute du S et font saillie vers l'avant de manière à pouvoir être 30 rabattues vers le bas contre la partie médiane inclinée du S. L'articulation de chaque poignée arrière est avantageusement prévue audessus d'une traverse arrière du dossier, de telle manière que lorsque la poignée arrière est rabattue vers le bas, elle est voisine de l'extrémité de la traverse.

Une roulette peut être prévue sous chaque montant avant de cadre latéral. Au moins une de ces roulettes avant peut être équipée d'un

frein escamotable.

Une sangle est avantageusement prévue sur le dossier et sur l'assise.

L'invention consiste, mises à part les dispositions exposées cidessus, en un certain nombre d'autres dispositions dont il sera plus explicitement question ci-après à propos d'un exemple de réalisation décrit 5 en détail avec référence aux dessins annexés, mais qui n'est nullement limitatif. Sur ces dessins: Fig.1 est une vue en perspective de trois quarts avant d'une chaise portoir selon l'invention, en position dépliée d'utilisation.

Fig.2 montre de face, à plus grande échelle avec parties enlevées, 10 le détail de la barre repose-pied déverrouillée.

Fig.3 est une vue de dessus par rapport à Fig.2.

Fig.4 est une coupe schématique illustrant l'appui d'un pied sur la barre.

Fig.5 est une vue de côté de la chaise dépliée, et Fig.6 est une vue en perspective de la chaise pliée, à plus grande échelle.

En se reportant aux dessins, notamment à Fig. 1, on peut voir une chaise portoir pliable 1 pour personne à mobilité réduite. Cette chaise 1 comporte une structure tubulaire comprenant un cadre arrière 2, en forme 20 de U renversé comprenant deux montants 3, 4 reliés, en partie haute, par une traverse 5. Chaque montant comprend, sensiblement à mi-hauteur, une articulation 6 (Fig.6) d'axe géométrique horizontal situé dans le plan du cadre arrière et orthogonal au montant. Un manchon coulissant 7 peut recouvrir cette articulation et la bloquer comme illustré sur Fig.1. Chaque 25 montant est ainsi formé d'une partie haute 3a, 4a et d'une partie basse 3b, 4b; la partie haute du dossier peut être rabattue vers l'arrière, contre la partie basse, par rotation autour de l'axe horizontal des articulations 6 comme illustré sur Fig.6. Un seul tube coudé en U vers le bas permet de réaliser d'une seule pièce la partie 3a, la traverse 5 et la partie 4a. Chaque 30 partie 3a, 4a est elle-même coudée dans une zone 8 vers l'arrière, de sorte que les segments supérieurs 3al et 4al des montants forment un angle, par exemple de 200, avec la verticale.

Vers chaque extrémité latérale de la traverse 5 est soudé un anneau 9 pour l'accrochage d'une bretelle de portage.

Une traverse de renforcement 10 (Fig.5) est soudée ou brasée (d'une manière générale le terme "soudé(e)" englobe tout assemblage réalisé par soudure, brasure ou moyen équivalent) à l'arrière des parties 3a, 4a légèrement au-dessous de la zone coudée 8. Les extrémités de la traverse 10 sont coudées dans le plan horizontal vers l'avant, de sorte que la traverse 10 se trouve en arrière du plan du dossier. Un sac en matière plastique S peut être prévu à l'arrière du dossier en étant accroché, par exemple, à la traverse 10.

Une poignée qui peut se rabattre 1 la, 1 lb est prévue à l'arrière de chaque partie 3al, 4al légèrement au-dessus de la traverse 10.

L'articulation de chaque poignée 1 la, 1 lb est prévue pour qu'en position relevée illustrée sur Fig.5, les poignées 1 la, 1 lb soient bloquées vers le haut dans une position sensiblement horizontale lorsque les segments 3a, 10 4a sont verticaux. L'articulation est en outre prévue pour que les poignées puissent être rabattues vers le bas sans interférer avec la traverse 10, comme illustré sur Fig.6.

Une roue pivotante 12 est prévue à chaque extrémité inférieure des parties 3b, 4b. L'axe vertical de pivotement de chaque roue est logé 15 dans la partie tubulaire 3b, 4b. Une traverse inférieure de renforcement 13 est soudée ou brasée par ses extrémités recourbées à angle droit vers l'avant dans le plan horizontal, à l'arrière des tubes 3b, 4b.

La structure de la chaise 1 comporte, de chaque côté, un cadre latéral 14, 15 respectivement situé à gauche et à droite suivant le sens de 20 progression de la chaise. Dans la position dépliée illustrée sur Fig. 1, les cadres 14 et 15 sont situés dans des plans orthogonaux au plan du dossier arrière de la chaise.

Chaque cadre 14, 15 est formé par un tube recourbé présentant une partie avant 14a, 15a essentiellement verticale qui se prolonge vers le 25 haut par une partie 14b, l5b recourbée à l'horizontale et pouvant servir d'accoudoir. L'extrémité de chaque partie 14b, 15b voisine du dossier arrière est recourbée à la verticale vers le bas et est montée rotative par un manchon 16 autour du montant correspondant du dossier arrière.

La partie basse des montants 14a, 15a est contre-coudée 30 sensiblement en S, dans le plan du cadre latéral, de manière à faire saillie vers l'avant par une partie inclinée 14c, 15c suivie d'une nouvelle partie verticale 14d, l5d, qui se trouve ainsi déportée vers l'avant par rapport aux parties 14a, l5a.

Une roulette 16, 17 est montée pivotante autour d'un axe vertical 35 logé dans les parties 14d, l5d. L'une des roulettes, par exemple la roulette 16, est munie d'un frein 18 escamotable.

Sur chaque montant I4a, l5a, légèrement au-dessus du coude donnant naissance à la partie inclinée 14c, l5c, est prévue une poignée de portage l9a, l9b qui peut se rabattre vers le bas. Chaque poignée l9a, i9b comporte une oreille engagée entre deux joues soudées sur le montant i4a, 14b. Un axe d'articulation 20, notamment formé par un boulon, d'axe géométrique horizontal orthogonal au plan du cadre 14, 15 traverse des 5 trous prévus dans les joues et l'oreille solidaire de la poignée. Le boulon 20 formant axe est retenu par un écrou prévu à l'intérieur. En position relevée, la poignée l9a, l9b est bloquée sensiblement à angle droit par rapport au montant 14a, l5a. Le rabattement de la poignée s'effectue dans le plan du cadre latéral 14, 15 et la poignée rabattue vient appuyer contre la partie 10 inclinée 14c, 15c (voir Fig.6). Le montage des poignées lia, ilb est semblable à celui des poignées l9a, 19b.

Les poignées l9a, 19b sont situées à un niveau inférieur à celui des poignées 1 la, 1 lb. La différence de hauteur de fixation des poignées est choisie de manière à faciliter le portage de la chaise dans un escalier, 15 alors qu'une personne est assise sur la chaise. Cette différence de hauteur peut être comprise entre 85cm et 95cm.

La chaise comporte une assise 21 formée par un tube recourbé sensiblement en U dont la traverse est située vers l'avant et dont les extrémités arrière sont articulées autour d'un axe horizontal transversal 20 porté par les montants 3b, 4b.

Un crochet 22 est prévu vers l'intérieur de chaque montant i4a, 15a pour retenir les branches latérales de l'assise 21 dépliée dans une position sensiblement horizontale. Les crochets 22 sont ouverts vers le haut et permettent de relever l'assise 21 pour la dégager des crochets.

Une toile 23 démontable est installée sur l'assise et sur le dossier, les angles de cette toile étant échancrés sensiblement à 450 pour laisser apparaître les coudes de la partie haute du dossier et de la partie avant de l'assise.

Au-dessus de chaque poignée avant escamotable l9a, 19b est 30 soudé sur le montant correspondant 14a, 14b un anneau 24 dont le plan est parallèle à celui du cadre latéral correspondant. Cet anneau 24 permet d'accrocher des bretelles de portage.

Chaque cadre latéral 14, 15 comporte en partie basse un longeron contrecoudé 25a, 25b dont l'extrémité arrière horizontale est à un 35 niveau supérieur à celui de l'extrémité avant horizontale soudée aux parties 14d, l5d. L'extrémité arrière des longerons 25a, 25b est solidaire d'un manchon monté rotatif autour du montant correspondant 3b, 4b.

Un repose-pied repliable formé par une barre transversale 26 est prévu en partie basse avant des cadres latéraux 14, 15. La barre 26, horizontale lorsque la chaise est dépliée, est articulée à une extrémité 26a, sur la partie inférieure 14d du montant avant. De préférence, la barre 26 est formée par un tube et son extrémité 26a est aplatie par écrasement comme 5 visible sur Fig.3. Cette extrémité 26a est engagée entre deux joues 27 verticales, orthogonales au plan moyen du cadre 14 et soudées sur le montant 14d. Un axe d'articulation par exemple formé par un boulon 28, traverse deux trous opposés prévus dans les joues 27 et un trou prévu dans l'extrémité 26a. Le boulon 28 est retenu par un écrou prévu à son extrémité 10 opposée à la tête et débordant de la joue 27 correspondante.

L'autre extrémité 26b de la barre 26 est prévue pour être accrochée et décrochée, sans outil, à la partie inférieure avant i5d de l'autre cadre latéral 15.

Comme mieux visible sur Fig.2, l'extrémité 26b du tube est 15 aplatie et comporte une encoche 29 inclinée vers le bas de telle manière que son extrémité inférieure ouverte soit plus proche du boulon d'articulation 28 que son extrémité supérieure fermée. Le bord 30 de cette encoche le plus proche de l'extrémité 26a forme une rampe inclinée.

L'extrémité 26b peut être engagée entre deux joues 31 parallèles soudées à 20 la partie I5d du cadre 15 et orthogonales au plan moyen de ce cadre. Un doigt de verrouillage 32, par exemple formé par un boulon, est maintenu par les joues 31 perpendiculairement à ces joues.

Le crochet formé par l'encoche 29 peut être engagé entre les joues 31 de manière que le doigt 32 pénètre dans l'encoche 29.

La barre 26 repose-pied, dans la position dépliée o elle est accrochée au cadre latéral 15, agit comme une traverse de liaison entre les cadres latéraux 14, 15 et contribue à améliorer la tenue mécanique de la chaise. Les cadres 14 et 15 sont maintenus au bon écartement à l'encontre d'efforts, notamment charge appliquée sur l'assise, ayant tendance à 30 provoquer leur ouverture.

La hauteur de fixation de la barre 26 est prévue pour qu'une personne de taille moyenne puisse aisément poser ses pieds et chaussures 33 sur la barre horizontale 26, comme illustré sur Fig.4. La barre 26 se loge dans la partie concave de la semelle de chaussure, devant le talon 33a, et 35 exerce une retenue du pied. La barre 26 est montée entre les parties 14d, lSd situées plus en avant que les parties i4a, i5a, de sorte que la pose des pieds sur cette barre 26 s'en trouve facilitée.

L'appui des pieds sur la barre 26 permet de sécuriser l'accrochage de l'extrémité 26b sur le doigt 32. En effet, la force d'appui dirigée vers le bas provoque, par coopération de la rampe 30 et du doigt 32, le maintien de ce doigt 32 en butée contre l'extrémité supérieure fermée de l'encoche 29.

Le déverrouillage s'effectue aisément. Lorsqu' aucune personne n'est assise sur la chaise, on fait légèrement tourner le cadre 15 vers le cadre 14, éventuellement après dégagement de l'assise 21, et on soulève la barre 26 comme illustré sur Fig.2.

Une sangle 34, ou ceinture, est prévue sur le dossier à hauteur 10 convenable tandis qu'une autre sangle 35 est prévue sur l'assise sensiblement à mi-longueur.

Les sangles 34, 35 permettent un bon maintien de la personne assise, notamment lorsque la chaise est soulevée par des porteurs, par exemple dans un escalier.

Le pliage de la chaise s'effectue de la manière suivante.

Les poignées lia, i1 b et 19a, l9b sont rabattues vers le bas respectivement contre les parties 3a, 4a et 14c, 15c. Les manchons 7 sont soulevés pour déverrouiller les parties 3a, 3b et 4a, 4b, ce qui permet de rabattre la partie supérieure du dossier vers le bas contre la traverse 13.

L'extrémité 26b de la barre 26 est soulevée de manière à se décrocher du doigt 32. La barre 26 peut être ramenée à la verticale à l'aplomb de l'axe de pivotement 28.

L'assise 21 est soulevée de manière que ses branches latérales se dégagent des crochets 22. Les cadres latéraux 14 et 15 sont alors 25 légèrement écartés, de telle sorte que l'assise 21 puisse être rabattue vers le bas contre la traverse 13.

Le cadre latéral 14 est replié vers l'intérieur contre l'assise rabattue, la barre 26 étant verticale comme illustré sur Fig.6. Grâce à sa forme rectiligne, à ses dimensions et à son articulation, la barre 26 peut 30 s'inscrire dans le quadrilatère du cadre latéral 15 rabattu vers l'intérieur contre le cadre 14. Le repliement complet de la chaise peut donc s'effectuer sous une épaisseur réduite, qui n'est pas augmentée par l'existence du repose-pied.

Claims (12)

REVENDICATIONS

1. Chaise portoir pliable ayant une structure tubulaire comprenant: - un cadre arrière (2) avec deux montants reliés transversalement en partie 5 haute et munis de roues à leur extrémité inférieure, le cadre arrière supportant le dossier de la chaise; - une assise (21), qui peut se rabattre, articulée sur le cadre arrière; - deux cadres latéraux (14, 15) supportant l'assise, chaque cadre latéral étant articulé respectivement sur l'un des montants du cadre arrière, 10 de sorte qu'après rabattement de l'assise, les cadres latéraux peuvent être rabattus l'un sur l'autre vers l'intérieur, caractérisée par le fait qu'elle comporte, en partie basse avant des cadres latéraux (14,15), un repose-pied (26) articulé à une extrémité sur l'un des cadres latéraux et relié, à son autre extrémité, à l'autre cadre latéral par n 15 moyen d'accrochage (29,32) permettant aussi un décrochage, l'ensemble étant tel que le repose-pied dans la position o il relie les deux cadres latéraux contribue à renforcer la tenue mécanique de la chaise.

2. Chaise portoir selon la revendication 1, caractérisée par le fait que le 20 moyen d'accrochage (29, 32) est prévu pour que sa mise en action et hors d'action ne nécessite pas d'outil, et pour sécuriser l'accrochage lorsque le pied d'une personne appuie sur le repose-pied.

3. Chaise portoir selon la revendication 1 ou 2, caractérisée par le fait que 25 le repose-pied est formé par une barre transversale (26).

4. Chaise portoir selon la revendication 3, caractérisée par le fait que la barre repose-pied (26) et son articulation sur le cadre latéral (14) sont prévues pour que la barre repose-pied (26) en position repliée ne gêne pas 30 le rabattement des cadres latéraux (14, 15) l'un sur l'autre, de sorte que le repliement complet de la chaise s'effectue sous une épaisseur réduite, qui n'est pas augmentée par l'existence du repose-pied.

5. Chaise portoir selon la revendication 3 ou 4, caractérisée par le fait que 35 le moyen d'accrochage (29,32) comporte, sur l'un des éléments constitués par la barre (26) et un cadre latéral (15), une encoche (29) de verrouillage inclinée sur la verticale, une extrémité de l'encoche étant ouverte tandis que l'autre extrémité est fermée, un doigt (32) étant prévu sur l'autre élément (1 5;26) pour s'engager dans ladite encoche (29).

6. Chaise portoir selon la revendication 5, caractérisée par le fait que l'encoche (29) est prévue sur la barre (26) et le doigt (32) sur le cadre latéral (15).

7. Chaise portoir selon l'une des revendications 3 à 6, caractérisée par le fait que la barre repose-pied (26) est située, en position dépliée, à une distance de l'assise (21) telle qu'une personne de taille moyenne peut 10 aisément poser ses pieds sur la barre.

8. Chaise portoir selon la revendication 6, caractérisée par le fait que la barre (26) est formée par un tube dont les deux extrémités (26a, 26b) sont aplaties, l'une (26a) étant traversée par un axe d'articulation (28) horizontal 15 parallèle au cadre latéral (14), l'autre extrémité aplatie (26b) comportant l'encoche (29).

9. Chaise portoir selon l'une des revendications 3 à 8, caractérisée par le fait que chaque cadre latéral (14, 15) comporte un montant avant dont la 20 partie inférieure est courbée sensiblement en S de sorte que l'extrémité basse (14d, 15d) du montant se trouve plus éloignée du dossier que l'extrémité haute (14a, 15a), et la barre repose-pied (26) est articulée sur la partie basse (14d) du montant.

10. Chaise portoir selon l'une des revendications 1 à 9, caractérisée par le fait qu'une poignée pliable (la, 1lb; l9a, 19b) escamotable est prévue respectivement sur chaque montant avant d'un cadre latéral (14,15) et, à un niveau plus élevé, sur chaque montant (3,4) du cadre arrière.

1 1. Chaise portoir selon l'ensemble des revendications 9 et 1 0, caractérisée par le fait que les poignées escamotables avant (19a, l9b) sont articulées au début de la partie haute du S et font saillie vers l'avant de manière à pouvoir être rabattues vers le bas contre la partie médiane inclinée (14c, 15c) du S. 12. Chaise portoir selon la revendication 10 ou 11, caractérisée par le fait que l'articulation de chaque poignée arrière (1 la, 1 lb) est prévue au-dessus d'une traverse arrière (10) du dossier, de telle manière que lorsque la poignée arrière est rabattue vers le bas, elle vient au voisinage de l'extrémité de la traverse.

13. Chaise portoir selon l'une des revendications précédentes, caractérisée 5 par le fait qu' une roulette (16, 17) est prévue sous chaque montant avant (14d, 15d) de cadre latéral.

14. Chaise portoir selon l'une des revendications précédentes, caractérisée par le fait qu'une sangle (34, 35) est prévue sur le dossier et sur l'assise. 10