FR2828901A1 - Bac paysager, associes a une clavette, en beton colore, prefabrique a la presse, destine a creer des soutenements paysagers inclines ou verticaux, des murs de cloture paysagers, des jardinieres composees - Google Patents

Abstract

La présente invention concerne un bac paysager (1), associé à une clavette (14), en béton coloré, préfabriqué à la presse, destiné à créer des soutènements paysagers inclinés ou verticaux, des murs de clôture paysagers, des jardinières composées...Le bac paysager (1) est constitué principalement de deux alvéoles (2).Il est symétrique par rapport à son axe transversal (3), sur lequel se trouvent deux cavités à base circulaire légèrement coniques (4), reliées par une partie à section rectangulaire (5).Le bac paysager (1) est pratiquement symétrique par rapport à son axe longitudinal (6).Les alvéoles (2) sont symétriques par rapport à leur axe transversül (7).Les alvéoles (2) sont constituées par deux parties cylindriques (9) et transversalement d'encoches (10) et de tenons (11).Les clavettes (14) ont la même hauteur que le bac paysager (1).Les deux faces de la clavette (14) sont différentes : une face (15) ne comporte pas de fruit, tandis que l'autre face (16) et ses abouts (17) en présente un. Ce bac est un véritable module paysager pour réaliser tous les ouvrages d'un jardin et de l'environnement paysager.

Description

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La présente invention concerne un bac paysager, associé à une clavette, en béton coloré, préfabriqué à la presse, destiné à créer des soutènements paysagers inclinés ou verticaux, des murs de clôture paysagers, des jardinières composées.....

Le brevet nO 96 03426 déposé le 14. 03. 1996 par le demandeur traite également d'un bloc paysager avec clavette.

La présente invention se propose d'améliorer considérablement ce produit en simplifiant sa forme, en augmentant ses performances et ses possibilités d'emploi ainsi que la sécurité du clavetage.

L'objectif est de créer un module paysager, qui tel un jeu de construction en béton coloré, s'assemblerait par clavetage pour réaliser tous les ouvrages d'un jardin et de l'environnement paysager.

La description et les dessins qui suivent vont montrer toutes les utilisations de ce module paysager.

Analysons les principales différences fondamentales avec le brevet précité : - Le bloc paysager du brevet précité, comportait deux parties, une partie technique arrière et une partie jardinière à l'avant, ce qui en faisait un bloc assez complexe, alors que le nouveau bac paysager n'est constitué que de deux alvéoles.

- La sécurité au glissement des blocs superposés est assurée par des clavettes qui s'engagent à mi-hauteur.

La clavette du brevet précité, se bloquait sur des bossages rectangulaires et un épaulement situés dans des demi-alvéoles ouvertes aux extrémités.

Lorsque les poussées des terres exercées sur ces talus paysagers ne sont pas uniformes, par exemple lors d'une présence locale d'eau, le soutènement peut se déformer et avoir un ventre , c'est à dire une déformation importante en plan.

Les blocs paysagers s'écartent alors les uns des autres, ce qui fait que les clavettes ne peuvent plus se buter sur les bossages rectangulaires ou l'épaulement.

Dans la présente invention, les clavettes s'insèrent dans des encoches situées dans des alvéoles fermées, le blocage se fait alors aussi bien dans le sens transversal que dans le sens longitudinal. Les bacs paysagers sont liés les uns aux autres par les clavettes, tels les maillons d'une même chaîne.

- Les murs et les talus paysagers sont en général des ouvrages droits, mais ils doivent aussi avoir la possibilité de tourner pour suivre des courbures.

Dans le brevet précité, les courbures étaient impossibles. Pour tourner il fallait juxtaposer des portions d'ouvrages droits, ce qui n'était pas très esthétique surtout dans les zones de raccordement.

Dans la présente invention, les courbures sont possibles aussi bien pour des ouvrages verticaux tels que les murs paysagers que pour les ouvrages inclinés tels que les talus paysagers.

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- Les bacs paysagers doivent être manu-portables, c'est à dire avoir un poids d'environ vingt kilogrammes par élément.

Ils assurent la stabilité d'un talus paysager par leur poids et l'inclinaison des ouvrages. A titre indicatif des talus paysagers constitués de petits éléments remplis de terre pèsent de 400 à 450 kg/m2 de façade.

Lorsque l'on veut augmenter la hauteur des ouvrages ou diminuer leur inclinaison, il est nécessaire d'avoir des éléments plus importants et plus lourds.

C'est à dire qu'il faut avoir recours à un autre produit plus grand qui va nécessiter pour le fabricant soit un autre moule, soit de devoir passer de la préfabrication légère sur presse à une préfabrication lourde.

Dans la présente invention, il est possible d'assembler par clavetage les bacs pour réaliser des ensembles plus lourds éventuellement remplis de terre, de matériaux de drainage ou de béton. Ces ensembles que l'on peut composer avec plus ou moins de bacs permettent de traiter facilement et économiquement avec un seul type de bac paysager manu-portable tous les problèmes de soutènement.

Il est très intéressant de rester dans le domaine de la préfabrication légère sur presse plutôt que d'employer la préfabrication lourde qui est beaucoup plus onéreuse.

La préfabrication légère sur presse se réalise avec un démoulage immédiat et un automatisme quasiment intégral, tandis que la préfabrication lourde s'effectue avec un démoulage différé, elle est très peu automatisée et nécessite des moyens importants de levage et de mise en oeuvre.

Avec ces ensembles de bacs assemblés par clavettes on peut réaliser différents ouvrages de soutènement verticaux ou inclinés (murs de quai, berges de rivières), obtenir des parois plus ou moins perméables en les remplissant de matériaux drainants ou de terre et moduler la résistance par un coulage de béton éventuellement renforcé par des armatures.

- Dans la présente invention, un système de ferraillage pratique est préconisé, il permet de réaliser le ferraillage des murs verticaux sur toute leur hauteur en introduisant des armatures préfabriquées après le montage intégral des bacs.

La continuité horizontale de ferraillage est néanmoins assurée par des épingles en Uposées sur chaque bac lors de la pose.

Lorsque les clavettes ne sont pas utilisées, par exemple quand les alvéoles sont bétonnées et ferraillées, le positionnement et le verrouillage des bacs sont cependant assurés par des tubes qui se logent des cannelures arrondies.

- Dans la présente invention, la création de murs paysagers verticaux se réalise en incorporant d'une manière régulière ou ponctuelle des jardinières.

Les architectes paysagistes peuvent laisser libre cours à leur imagination créatrice.

Les jardinières incorporées sont constituées par des bacs paysagers inclinés en plan d'un angle avec l'alignement général, le fond d'une des alvéoles ayant été rendue borgne par un coulage béton réalisé sur chantier.

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Le bac paysager est constitué principalement de deux alvéoles.

Il / ? ? Më'/ ? < 7 ? < ? < 7 0 ? 60r Y7.' ? y-'. 7/, M/6Më'/ < 9MV6'" deux cavités à base circulaire légèrement coniques, reliées par une partie à section rectangulaire présentant également un petit fruit. Cette parfie à secfion rectangulaire est borgne, c'est à dire qu'elle possède un fond.

Le bac paysager est pratiquement symélriqite par rapport à son axe longitudinal.

Les alvéoles sont syiîîéti-iquespai/a Les ppoi-t à leur axe transversal.

Les axes des joints entre bacs paysagers consécutifs sur un même alignement sont distants d'une longueur égale au pas = p.

L'axe transversal des bacs paysagers est donc situé à pl2 de l'axe des joints.

Les axes transversaux des alvéoles sont situés à pl,'de l'axe transversal des bacs paysagers et de 1' {LY ; e des joints.

Les alvéoles sont constituées par deux parties cylindriques et transversalement d'encoches et de tenons.

Les encoches sont alignées sur l'aX'CC/C''inal et sur des axes parallèles décalés de 2 e de l'axe longitudinal.

Les tenons sont alignés sur des axes décalés de e de l'axe longitudinal. e, distance entre les axes des encoches et les axes des tenons, est déterminé de manière à ce que de chaque côté des alvéoles il y ait au moins 3 encoches et 2 tenons.

Un bac paysager peut être fabriqué, par exemple, avec pour valeur p égal à 500 mm et e égal à 25 mm.

Les clavettes ont la même hauteur que le bac paysager.

Les deux faces principales de la clavette sont différentes : une face ne comporte pas ae rult, tunats que l autre Juce et ses uoouts en presente un.

Les deu : x abouts de la clavette sont conçus légèrement amincis pour 'ada e è s s'adapter aux dimensions des encoches. En plan ces abouts ont une légère pente identique à celle des encoches.

Les faces des extrémités de la clavette n'ont pas de fruit. La distance entre ces faces, c'est à dire la longueur de la clavette, est égale au diamètre des deux ,, aces, c parties cylindriques des alvéoles, mnins un léger jeu.

Les clavettes sont fabriquées en même temps que les bacs paysagers, accolées deux à deux par des zones de raccordement. Un simple coup de marteau permet de désolidariser les clavettes.

Le bac paysager comporte sur son axe transversal, en partie haute, sur l'axe longitudinal, une encoche cylindrique qui permet d'inclure un élément de ferraillage.

Les encoches ont uneface sansfruit comme lofoce sans la et uneface avec unfruit identique à celui desfaces avecfruit de la ciàvette.

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L & y OMy ecoc/ ! e o M 'o coM/'Mre eg' < ?/ ce/M < e M parties cylindriques. La distance entre deux fonds, sur un même axe et dans une même alvéole, est égal au diamètre des deux parties cylindriques.

Z. oM'Me c/vee eee 'Më e/coce, m ce ' M coulisse contre la face sans fruit de l'encoche, tandis que sa face avec fruit tangente la face avec fruit de l'encoche.

La largeur à mi-hauteur des abouts de la clavette est égale à la largeur à la base de l'encoche.

Ainsi une clavette engagée dans une encoche du bac paysager se positionne automatiquement à mi-hauteur et solidarise le bac paysager du rang inférieur.

Le contour périphérique du bac paysager qui comporte un léger fruit est composé, sur chaque façade longitudinale de : - deux partles cylindriques dont le diamètre est légèrement inférieur à p12, centrées à l'intersection de l'axe longitudinal du bac paysager ei des axes transversaux des alvéoles et - raccordées à deux parties planes situées de part el daiitre de l'axe transversal du bac paysager et sur les 2 façades transversales une partie cylindrique avec un rayon de courbure un peu inférieur à pl2 et dont le centre se situe sur l'axe longitudinal du bac paysager.

Sur chaque façade longitudinale des cannelures arrondies avec le même que lal'açade so.-,,,, Des axes inclinés passant par le centre des alvéoles font un angle déterminé, 600 par exemple, par rapport à l'axe longitudinal du bac paysager.

Les centres de cannelures arrondies se trouvent il l'intersediun : - < cerc/e cey /e/ < 3M < / & < xc/7'age e Mx- < 'e. y ''eMx' des alvéoles et o/e -'OM eg/'/// + e/e - de parallèles distantes de e des axes inclinés, du côté de l'axe transversal du bac paysager.

D'autres cannelures sont implantées également sur les cercles décrits cidessus, du côté de l'axe transversal du bac paysager et à une distance e des axes transversaux des alvéoles.

Sur les 2 façades transversales des cannelures sont centrées à l'intersection Itersectl : On des axes des tenons et des a ; - s des joints entre bacs paysagers consécutifs.

Leur centre se situe également sur les cercles décrits ci-dessus.

La surface légèrement conique des cannelures est égale à une portion de la su/face des deux cavités à base circulaire légère/ ? ïe coniques.

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Ces cannelures ont une ulli' ; sation pratique de verrouillage comine nous le veO. y C- < 7p, 7 < 7 < O. Me' MV MM < ? e ? < ? ?/T ? < 7' < '/C'KgM < 7/ et transversales.

Les clavettes liaisonnent les bacs paysagets pour ia iéal'isallori de talus paysagers.

Cette liaison mécaniqi4e permet plitçieilrs inclinaisons de talis paysagers, Pour un decalage par rang egal à 2e 2e peut par exemple être égal à û /H/e c/ee egge < 7 n-/ ! MM/' M/e coc/ ce/ ! '/e & < xc paysagers dit second rang s'implantent dans les encoches arrière des bacs paysagers du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants. des encoches centrales des bacs paysagers. des encoches centrales des bacspcysagers.

Au rang situé immédiatement au-dessous, un léger iide égal à la ialezir du fruit de la clavette se trouve entre la partie inférieure de la face avec fruit des paysagers. paysagers.

Ilfaut faut bien orienter à la pose les bacs paysagers et les clavettes.

La face sans fruit des clavettes et la face sans fruit des encoches se situent du côté aval du talus paysager, tandis que la face avec fruit des clavettes et la face avec fruit des encoches sont du côté amont, c'est à dire du côté terre.

L'orientation peut aussi être inversée, la face sans fruit des clavettes et la face sans fruit des encoches se situent du côté amont du talus paysager, tandis que / < c6 avecM L/e c/ûfvej'e/ < 7 sce < 2VcM cocAe. yo M cd v/.

Dans ce cas le décalage par rang est de (2e-j).

Si f est par exemple égal à 3 mm sur 200 mm de hauteur, le décalage par rang (2e-j) est de 47 mm. f étant le fruit sur la hauteur du bac paysager et de la clavette.

Ce fruif est commun a bealcoup d'élémenfs.

- aux 2 cavités à base circulaire, - auxfaces a-vecfi-ul-i de t'a clavetie, - aux faces avec fruit des encoches, - auxli7çades longitudinales et transversales et - aux cannelures.

La construction d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 2e se réalise de la manière suivante : Lafondation est coulée à pleine fouille et descendue jusqu'au bon sol.

Elle doit pouvoir par butée absorber les efforts de poussée du talus.

Le premier rang de bacs paysagers est solidarisé à la fondation par des attentes en acier et un béton de clavetage coulé à mi-hauteur des alvéoles.

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Les clavettes engagées à mi-hauteur dans les encoches centrales des bacs paysagers du second rang s'implantent dans les encoches arrière des bacs paysagers du premier rang, ce qui permet de réaliser un décalage de 2e et ainsi de suite pour les rangs suivants.

Les clavettes vont absorber à chaque rang les efforts de glissement.

Sur /o/ ? (7/ee Je/ < 7J < 7//o, J < 7/ ey/e < 7/e 5' ? Me/ ? < 7 ? 7/ez/ fonction de la perméabilité du terrain.

Les e < 7'Je J ?' < ? M (7ge o co//ecee e evcMee'MM MyMM/ ? e/c'/'e.

LnfieJtree/e colmaage du J.

Au fur et à mesure du montage des rangs de bacs paysagers de la terre végétale est mise en place dans les alvéoles et à l'arrière des bacs.

La construction d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 4e (Soit 100 mm par exemple), se réalise d'une manière semblable : Les clavettes engagées à mi-hauteur dans les encoches avant des bacs paysagers du second rang s'implantent dans les encoches arrière des bacs paysagers du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants, ce qui permet de réahser lin décalage de 4e.

Comme cela a été indiqué précédemment, l'orientation des bacs paysagers et des clavettes peut être inversée, dans ce ca/e Jeca/ge 'a/'yag e Je (e-/), égal à 97 mm par exemple.

Dans tous les cas ci-dessus les clavettes liaisonnent les bacs paysagers transversalement et longitudinalement, elles ne les liaisonnent que transversaler, dans les cas ci-dessous, ce qui permet de réaliser des talus paysagers avec une courbure, avec les décalages d, (d+2e) et (d+4e).

La construction d'un talus paysager peut se réaliser avec un décalage des rangs égal à d. d est le décalage des rangs lorsque la face avec fruit de la clavette positionnée dans les encoches arrière des bacs pal ;, çagers d'i ; l rang, tangente les parties cylindriques de la façade longitudinale des bacs paysagers du rang inférieur. d est par exemple égal à 87. 5 mm.

Il faut bien orienter à la pose les bacs paysagers et les clavettes.

Les faces avec fruit des clavettes et les faces avec fruit des encoches se situent du côté aval du talus paysager, tandis que les faces sans fruit des clavettes et les faces sans f uit des encoches sont dg côté amortt, c'est c ; d, re du coté ter r e. et lesfaces saiisfi-uit des encoches sont du côté ai ; î b, c'est à dire côté terre.

Ainsi pour un décalage par rang de d, les faces avec fruit des clavettes engagées dans les encoches arrière, des bacs paysagers du second rang tangentent /e/ ? < cv//MJMe Je/cJe/OMgJ/e Je c' < ge JM'e/M/e rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants,

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La coMrMco 'MM /M 'o'ger j'e r/r eg/ee vec M décalage des rangs égal àa d+2e).

(d+2e) est par exemple égal à 137. 5 mm.

Les faces avec fruit des clavettes engagées dans les encoches cenirules des bacs paysagers du second rang tangentent les parties cylindriques de la façade longitudinale des bacs paysagers du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants, ce qui permet de réaliser un décalage de (d+ 2e).

La construction d'un talus paysager peut se réaliser aussi avec un décalage des rangs égal à (d+4e) est par exemple égal à 187. 5 mm.

Les faces avec fruit des clavettes engagées dans les encoches avant des bacs paysagers du second rang tangentent les parties cylindriques de la façade longitudinale des bacs paysagers du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants, ce qui permet de réaliser un décalage de (d+4e).

D'autres disposition permettent d'obtenir une infin té de montages e/ d'inclinaisons Les bacs paysagers peuvent être par ex-emple à l'aplomb sur del, y rangs et avec un décalage tous les deux rangs égal à 4e.

Les deux premiers rangs se superposent aìiec des clavettes incorporées dans la partie arrière des encoches.

Les clavettes engagées dans les encoches avant du troisième rang s'implantent dans les encoches arrière du deuxième rang, ce qui permet de réaliser un décalage de 4e.

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

Les bacs paysagers peuvent être par exemple à l'aplomb sur deux rangs et avec un décalage tous les deux rangs ég2l à (d + 2e).

Les deux premiers rangs se superposent avec des clavettes incorporées dans la partie arrière des encoches.

Les faces des clavettes engagées dans les encoches centrales du troisième rang, tangentent les parties cylindriques de la façade longitudinale des bacs paysagers du deuxième rang, ce qui permet de réaliser un décalage de (d + 2e).

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

Différents montages permettent d'obtenir une infinité d'inclinaisons et d'une manière générale dMx OMplusieuMs rMgs peuven se décaler de 2e, e-), 4e, (4efi, d, (d+ 2e) et (d+4e).

L'inclinaison globale la plus adaptée d'un talus paysager sera calculée en fonction des poussées dues au terrain et de la hauteur de soutènement.

Les bacs paysagers permettent de réaliser des talus paysagers avec une courbure, avec les décalages d, (d+ 2e) et (d+4e).

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Dans ces trois décalages, les clavettes engagées dans les encoches d'un rang peuvent coulisser et fongenter les parties ellindriames de la façade longitudinale des bacs paysagers du rang inférieur.

Etudions par exeiriple un lalus paysager courbe avec un décalage des rangs égal à (d+ 2e).

Les faces avec fruit des clavettes engagées dans les encoches centrales des bacs paysagers du second rang tangentent les faces des bacs paysagers du premier rang, ce qui per/Mî t decliser un décalage de (+2e).

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

L'aspect en amphithéâtre du talus paysager est très esthétique.

L'axe longitidinal des blocs paysagers tangente des cercles concentriques axés.

Les blocs paysagers du premier rang se trouve sur un cercle de rayon R et sont décalés successivement d'un angle égal à 2a a = 2 arc tang { (P/4)/Rj.

Se 4--o Les blocs ?, y /ocge/' M ecoM mg e 'oHve sur un cercle 'o/7++2y e sont décalés successivement d'un angle égal à 2 al al =2 arc tang { (P/4)/ {R+ (d+2e)}).

Les blocs paysagers du troisième rang se trouve M M ? ? cerc/e e 'o/7+2 (+2y e sont décalés successivement d'un angle égal à 2 el a2 = 2 arc g ///7 ? +2 (+2.

Et ainsi de suite.

Pour /M' < ' (Xgey rvec coMe, vec c/ge CM (/+,/ formules des rayons et des angles sont identiques, il suffit de remplacer (d+ 2e) par d ou (d+.

Un muret vertical peut être réalisé en bacs paysagers, montés en quinconce, suivant un alignement droit ou avec une courbure.

Les bacs paysagers, - dans la partie droite, se décalent de p, - dans la partie courbe, ils pivotent J'urí arígle 2a,. sU ! un c. ; enle JUfli le c. : eríÍfe esi situé sur Leu.--,,-e ebde rciy,-, n R. situé sur leur ve tranversal ef de rayon R.

=//g) Les clavettes sont implantées transversalement et sont rayonnantes dans la partie courbe.

Le e yMoge 'MM/KM vec o/e oMe/M < ? M < ? < ? M/cc/ ? MMre par le poids propre des bacs paysagers et de la terre végétale incorporée se réalise de la manière suivante. Il ne peut concerner que des murets verticaux de très petite hauteur.

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La fondation est coulée à pleine fouille et descendue jusqu'au bon sol.

Elle doit pouvoir par butée absorber les efforts de poussée.

Le premier rang de bacs paysagers est solidarisé à la fondation par des attentes en acier et un béton de clavetage coulé à mi-hauteur des alvéoles.

Les clavettes vont absorber à chaque rang les efforts de glissement.

Sur le talon arrière de la fondation un drain est réalisé sur une hauteur fonction de la perméabilité du terrain.

Les eaux de drainage sont collectées et MCMee) /' Mï MyMpe/yb/'e.

Un feutre jardin évite le colmatage du drain.

Sur le béton de clavetage du premier rang, les clavettes sont implantées transversalement et ainsi de suite à chaque rang.

Au fur et à mesure du montage des rangs de bacs paysagers de la terre végétale est mise en place dans les alvéoles et à l'arrière des bacs.

Ces murets verticaux ne peuvent reprendre, par leur simple poids, une grande hauteur de soutènement.

Leurs performances peuvent être améliorées par le ferraillage et le bétonnage des alvéoles. Cela permet de les solidariser avec/a fondation et de prendre en compte pour la stabilité, en pius de leur poids propre et de la terre vege/e co/po/'ee, ce/M < Je/a Jb, JM Jm e Je/a ? '0 vege/e Me sur cette fondation.

Comme précédemment, un muret de soutènement vertical peut être réalisé en bacs paysagers, montés en quinconce, suivant un alignement droit ou avec une courbure.

Les bacs paysagers, - dans la partie droite, se décalent de p, - dans la partie courbe, ils pivotent d'un angle 2a, sur un cercle dont le centre est sfué sur Zeu7 s zes et de rZ. > o7 R. situé sur leurs axes et de rayon R.

=/g Les éléments j--ferf,-lillage son ! transversalement et son ! ravonnants dans la Partie courbe.

Dûf MjJtXHO o ï/Mfee f < 3M . s/2, M Jrof Je < xxe ovem' Dans iajoii oit a's axes fraiiveisaia es a étj, ?-e Les e/eM'J/rVe s Ja c/ïMe /o c' < cw/T/w. J. b-C--es aciers.

Les éléments de îerrailiage inseeré's clans chaque aivùoie sont corriposes allc- = 1 acier de mnnt (]ÇFe et - aciers aciers S'OMjg /û/M MX C/0gMjMaMX g /Cr J/MOMge.

Ces 2 aciers coi-istituent i-ai, iiîat'ui-e tiai-ts-vei-sale des éléiïents de lu 1

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Les parties courbes des 2 aciers tangentent les parties cylindriques des alvéoles et débordent les aciers longitudinaux et l'acier de montage d'une ZDII e. épaisseur égale à l'enrobage des aciers. Ceci afin d'obtenir un calage automatique des aciers.

Pour solidariser longitudinalement les alvéoles, à chaque rang, au droit de C/ ! M6 < XT/' < 7yv < ?/ < ? /' < ? ? C < 9C/7 < ? C// < '/f < ? / ?// 6 /Vgf e mise en place. Les parties verticales de ces épingles se recouvrent avec les aciers des e/e ! e e/ge.

Une fois que les bacs paysagers du muret de soutènement vertical sont montés ainsi que les épingles en U renversé, les éléments de ferraillage insérés dans chaque alvéole se positionnent dans l'axe, les 2 aciers longitudinaux encadrant symétriquement les attentes.

Après le ferraillage, le coulage du béton va réaliser dans les alvéoles des poutrelles en béton armé solidarisées par les épingles en U renversé.

Ces murets peuvent s'agrémenter de jardinières disposées de plusieurs manières pour devenir de véritables murs paysagers.

Cette intégration de jardinières d'une manière régulière ou ponctue ! 1e est facile à réaliser.

Poiii-cet'U--iioiis at'l'oiis uii ùac paysagei-a-, ; ec iiiie aî ùûi-giie.

Cotte o'Póratinn est rónli ('óo Sur "hantior - des bacs paysagers sont posés sur un coffrage horiz, ontal, - des bacs paysagers sont posés sur un coffrage horizontal, - une faible épaisseur de béton est coulée dans le bas d'une des deux alvéoles des bacs paysagers pour constituer un fond.

Ces c'yge crc z Ao/e og ? ? e" ? /a cc's'co 'MM mur paysager vertical.

Au premier rang du mur paysager vertical, on réalise une succession d'éléments composés d'un bac paysager et de deux bacs paysagers avec une alvéole borg" c/ y s smétriquemen 'un angle déterminé.

Les axes inclinés, précédemment définis des bacs paysagers avec une alvéole borgne, vont s'aligner avec les axes longitudinaux des bacs paysagers.

Si l'angle déterminé est par exemple 600, les centres des alvéoles borgnes sont distants du pas égal à p.

Au second rang la même succession d'éléments composés d'un bac paysager eS4 et de deux bacs paysagers avec une alvéole borgne est mise en place avec un décalage de p12.

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

Le décalage de pl2 des rangs va permettre U"alierner la position ales jardinières.

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Pour positionner automatiquement les bacs paysagers et les bacs pa) isagers avec une ali,-ole borgne, des éléments-de tubes senent de gabarit.

D'une longueur égale à quelques hauteurs de rangs, leur diamètre est /egee/M < ///'/eM a ce/M e cv < xe c'CM/m'e.

Pour positionner automatiquement les Aacs palyçage.,,. c,-c. t tl'oc, avec iine alvéole borgne, les éléments de liibes çont engage. ç çifeceççivement toiis les pl2 sur un même alignement dans une des deux cavités à base circulaire /e/'e/He COMe M C p'e/'e 6/76/ej CMe/M7' < C/ ? ûfy/' e t v l successifs.

Les éléments de tubes servent simplement de gabarit.

Si ces murs paysagers n'assurent pas de soutènement et s'ils sont de faible hauteur on peut assurer le liaisonnement par le clavetage précédemment décrit.

Si au contraire ce sont des soutènements paysagers verticaux, il est nécessaire de ferrailler et de bétonner les alvéoles.

Dans ce cas, le ferraillage et le bétonnage des alvéoles ne permettent pas d'utiliser les clavettes.

Une fois le montas ? e du mur vavsaper effectiié, comme de-'crit ci-dessil, y des éléments de tubes vont assurer le verrouillage avant les opérations de ferraillage et de bétonnage des alvéoles.

Une ou plusieurs longueurs de tubes sont engagées dans les cannelures et dans les cavités circulaires tous les p12.

Les éléments de ferraillage insérés dans chaque alvéole sont composés de : - 1 acier, arriature longitudinale destinée à reprendre les efforts deflexiort, - 1 acier de montage et - 1 acier soudé alternativement à l'acier et à l'acier de montage, il constitue l'armature transversale de l'élément de ferraillage.

Les parties courbes des 2 aciers s' e / ? e c).'/. rK alvéoles et débordent les aciers d'iine épaisseur égale à enrobage de acie. r-ç.

Ceci afin d'obtenir un calage automatique des aciers.

PoM'o/ < /'e//og M < < û7eeMt/e /veo/e a c/MM/û7 ûM o chaq Me '6 e *M'/COC/ ! e C).in/Me MM 6 *'e' ? ver' 'mise en place. Les parties verticales de ces épingles se recouvrent avec les aciers des éléments deferraillage. éléments de, ferraillage. Pour assurer la pérennité des plantes et desfleurs da ; îs t'es jardiii ; eres, il est nécessaire d'intégrer l'arrosage.

L'arrosage est éventuellement assuré par un collecteur horizontal situé en haut du mur paysager raccordés à des tuyaux verticaux qui. von ! alimenter cnaque ç, 7 7 7 ; 7^ 7, 7 7 n 7 , 7 > 4 4 + s, 7 o Z 7 7 7"+, 7 o 7 , 7 r y e oMeM/ eg.

J"l u Les di dernier rang sont iTrrospç ~par des goitteirç direefemen ! branchés sur le collecteur.

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Les goutieu,, ,,, d-Ô so,, it F-a, > ,-, gat CI h ? eurs d bac pager.

Cette intégration d'arrosage se réalise après le montage du mur paysager. i u CI Le concepteur de murs paysagers peut vouloir obtenir des jardinières de plus grande hau. i-lu.- plantes plus importantes, avec un moin.,, nombre de jardinières.

Pour cette option, au premier rang du mur paysager vertical, on réalise une MCceMM c ïe coïpoee x c ge/' ec'M e JeMX' bacs paysagers avec une alvéole borgne inclinés symétriquement et d'un bac paysager.

Au second rang, on met en place une succession de cinq bacs paysagers composée de deux bacs paysagers encadrés deux bacs paysagers inclinés sj) métriqz ! ement et d'un bac pt. 7j) sacer, avec un décalla.,, a-a d pl ?. symétriquement et d'un bac paysager, avec un décalage de p12.

Les o sont constituées par les alvéoles des bacs paysagers inclinés qui se superposent aux jardinières des bacs paysagers avec une alvéole borgne pour constituer desjardintères à double htauteur.

? OM COe < ?. S'Y OM/e MK. rangs.

. L, t Ut ; a ttr, Il est possible de composer librement un mur ~,-cy-, ager en intégrant dans i., n Mg.

M ? JJ MC OM7'/C Mg MM.

Dans tous les cas on réalise de la même manière, ensemble de bacs des jardinières à simple ou double hauteur, Dans tous les cas on réalise de la même manière, - le verrouillage par les éléments de tubes, - le ferraillage par les éléments de ferraillage insérés dans chaque alvéole et - l'intégration de l'arrosage.

Les murs poids réalisés en bacs paysagers ne doivent leur stabilité qu'au pC e/C C < OK ce M/e e/0/, / MOMO,/MX' int'rpçy-ant de de drainage, et terre. Cela n'es ! pas toi, ioirç siffiçai ? t, a d'augmenter leur poids en élargissant les dimensions transversales du mur.

On peut ainsi doubler l'épaisseur d'un mur de la manière suivante.

On p /K , o ye/ M e'/ee.' ? / ? , g de bacs paysagers au pas p, de bacs paysagers au pas p.

Les deux, files sont décalées l'une par rapport à l'autre longitudinalement d'une distance égale ap/2.

Au second rang les bacs paysagers disposés transversalement au pas pl2 se superposent et se clavettent avec les bacs paysagers du premier rang.

Les clavettes incorporées dans ies encoches centrales aés'nacs paysagers du second rang, se positionnent transversalement dans les éléments du premier rang. p, & Et ainsi de suite pour les rangs suivants, qui croisent alternativement des bacs paysagers disposés longitudinalement et transversalement.

<Desc/Clms Page number 13>

Ce mur double peul,'a-e eît, ar-,,, or,, di.

Au premier ro ? io, des bac-ç paisa C/MMr oMO/e pM , s' e o ; .

Au premier rang des bacs paysagers dont l'axe longitudinal est tangent à un cercle de rayon R, pivotent les uns par rapport aux autres d'un angle égal à 2 a, avec = // /. pivo 4 , a eiît Sur une autre courbe de rayon égal à (I ? : pI2), des bacs paysagers pivotent également d'un angle 2 a.

Les axes transversaux des bacs paysagers des deux lignes courbes font entre eux un angle égal à a.

Au eco/', e c (ge, sw c m'Jo transversalement et parallèlement de part et d'autre d'un axe de symétrie à une distance de p/4 de cet axe.

Les axes transversaux des alvéoles des deux bacs paysagers tangentent les 4 deux courbes parallèles précédemment décrites pour le prernier rang à leur intersection avec les axes de symétrie.

Les clavettes incorporées dans les encoches centrales des bacs paysagers du second rang, se positionnent transversalement dans les éléments du premier rang.

Et rang, se positionnent transversalement dans les éléments du premier rang. bacs paysagers disposés longitudinalement et transversalement. bacs peut également augmenter l'épaisseur des murs de la manière suivante.

1 7 l,. 1'la man" Au premier egaiement augmenter 1 épaisseur aes murs ae iere suivante. ues eiiserrio't"es quatel ( : so-e , uuc,, puy t'il décalés les uns des autres de 312 p.

Les axes ? / < 7 ? < ?/7/ < 7C. S'/ ? < 7V. . < ' < 9/ ///. < i'. < C < ? côté p et de centre 0.

S4i4 L'ensemble des quatre bacs paysagers constitue un carré de 3/2 p de côté extérieur.

Au second rang les ensembles formés de quatre bacs paysagers se superposent avec une rotation de 900 autour de leurs centres O.

Les clavetteo s nt toutes inco/porées transversalement < XM Mr.

E Me M/e g Mh. ? .

Les alvéoles ainsi que la partie centrale entre bacs peuvent être remplies par différentes matières selon l'usage de ces ensembles de bacs paysagers.

- de terre pour desjard. -iiè.-es carrées, - de matériaux drainants si on veut obtenir un mur très perméable ou un gabion, - du béton, éventuellement armé, pour avoir plus de résistance.

U 4 UiSi on envisage par exemple un mur perméable de bonne hauteur, les bacs , u UX u oit paysagers seraient remplis de ma, t,. ; riaIL-r drainants, tandis qz,.,--la partie centrale serait armée par un ferraillage conçu pour résister aux différents efforts et ancré dans une fondation.

Pour des murs de quai < e e/e /vMre/e//e e//'e/ ? ? < béton, tandis que la partie centrale serait armée par un ferraillage.

<Desc/Clms Page number 14>

Ces murs constitués d'ensemble de quatre bacs paysagers peuvent se monter en arrondi.

Au premier et au deuxième rang les mêmes ensembles de quatre bacs paysagers sont formés.

Ils pivotent les uns par rapport aux autres d'un angle égal à 3 a, =//gf Au second rang les ensembles formés de quatre bacs paysagers se superposent avec une roíaíion de 900 autour des centres O.

De la même manière, on peut également augmenter l'épaisseur des murs par . y . e'" ? /e'/z 'c'.' ? , wp/e 7 ee/ ? ? / cyge. qui constitue un carré de 2 p de côté extérieur.

Au premier rang des ensembles formés de six bacs paysagers sont décalés les uns des autres de 2 p.

Les axes longitiidinaiix des six bacs poysagers sont sitiés si,, r un carré de côté 3/2 p.

Sei, 4 Au second rang les ensembles formés de six bacs pciysage ;-s se supeipo avec une rotation de 90'autour des centres 0.

Les clavettes sont toutes incorporées transversalement au mur.

Et ainsi de suite tous les deux rangs suivants.

Ces murs constitués d'ensemble de six bacs paysagers peuvent se monter en arrondi.

Au premier et au deuxième rang les mêmes ensembles de six bacs paysagers sont formés.

Ils pivotent les uns par rapport aux autres d'un angle égal à 4 a, avec R = (pl4)/lar.,Il est possible de réaliser des ensembles plus important de bacs paysagers carré ou rectangulaire, en les construisant suivants les mêmes principes.

Les bacs paysagers permettent de réaliser des jardinières composées par un ou plusieurs rangs : - un rang permet de faire une bordure, - trois rangs unejardiïiière ae hauie sujj'ls-ariic-.

Par < ? j < ' < ? / Me J MgOM/ < ? co/'ec Je/iX suivante Les axes longitudznaux des bacs paysagers sont situés sur un hexagone de côté égal 3/2 e Je fOM = (/ /M JC .

Il en est de même au second rang, l'i,, nplantat. ion se avec une rotation des bacs paysagers de 600.

Les clavettes mises en place dans les encoches centrales du second rang et se superposent à celles du premier rang.

Le troisième rang est à l'aplomb du premier rang.

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Pour éventuellement les rangs suivants on superpose alternativement des d-pîly nromi. Prs rangs.

On peut constituer également des jardinières polygonales par exemple de douze bacs paysagers par rang.

Les axes longitudinaux des bacs paysagers sont situés sur un polygone de 24 côtés égal à pl2 et de rayon R = (pl4)/tang 7. J .

Les centres des alvéoles des bacs paysagers se situent aux extrémités des cotés du polygone.

Les (LieS transversaux des bacs paysagers se recoupent au centre de la jardinière et font entre eux un angle de 300.

Au second rang, l'implantation se fait avec une rotation des bacs paysagers 0 de iso.

Le troisième rang est à l'aplomb du premier rang.

Les axes des clavettes rayonnent, c'est à dire que leur axe passe par le centre /j'/'e.

Les jardinières composées sont remplies de terre végétale en partie centrale et dans les alvéoles des bacç p ; sagers.

Nous allons examiner des compositions réalisées avec des bacs paysagers et des bacs paysagers avec une alvéole borgne.

Ces derniers permettent d'ajouter soe j't' cAM < ? rang ce qui donne l'aspect de véritable corolle.

Le premier rang d'une jardinière composée est par exemple réalisé de 4 bacs paysagers et de 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne par rang.

Les axes longitudinau. ; ( des 4 bacs paysagers sont sur un polygone de 12 côtés de rayon R égal à (P/4) 1 tang 150.

Les axes longitudinaux des 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne se recoupent au centre de la jardinière et font entre eux un angle de 900.

Les centres des alvéoles sans fond des 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne se ytuent aux extremités des cotés du po/ygone.

Toutes les clavettes sont î-ayortiiarties.

T 0 second rang se su'ne1"nnso/'lu P1"om ; o1" n/'l1" 1/MO rotatz'on de no of ainsi rio Le second rang se supci ? M/ ? " ? / ? fX Me o/ot o ? suite.

De la même manière on peut constituer une jardinière composée de 8 bacs paysagers et de 8 bacs paysagers avec une alvéole borgne par rang.

Les axes longitudinalc, ; des 8 bacs paysagers sont sur un polygone de 24 côtés de rayon R égal à ?/t/ng 7. 50.

Les axes longitudinata des 8 bacs paysagers avec une alvéole borgne se recoupent au centre de la jardinière et font entre eux un angle de 450.

Z. C ? < ' < '/VC/ . 0. ' ? < T. < '/ ? < ? g6'. ' < ' < yC . 6' /VC'/e borgne se situent aux extrémités des cotés du polygone.

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Toutt-Ô les so,, il Le second rang se superpose au premier par une rotation de 150 et ainsi de suite.

Dans ce'J/'ej cooee/ëj cpagë' uvec Me Mco ûgA < e ent'l'a i--ïda. l--. Ce L-cr viennent à l'aplomb après trois tours, d'une manière hélicoïdale. Cela crée un aspect décoratif intéressant.

Cet aspect décoratif peut se réaliser avec une jardinière hélicoïdale constituée de bacs paysagers avec une M/veo/e o/'ge M < e 'e/pojK/ï e tournant de 600 par rang.

Les axes longitudinaux des bacs paysagers avec une alvéole borgne se recoupent au centre de l'alvéole sans fond enfaisant entre eux un angle de 6ûo.

JO Les clavettes eg < xg6e 7/M/e e'M/ cy/ < 'M/ ? rg ; c/ve ; dans les parties cylindriques du bac inférieur.

Des tuyaux verticaux peuvent être implantés dans les cavités à base circulaire, pour alimenter chaque bac paysager avec une alvéole borgne par des goutteurs intégrés.

La partie centrale est également remnlie de terre végétal.-,, Ces jardinières hélicoïdales peuvent avoir quelques rangs, mais elles U4 Ces jardinières hélicoïdales peuvent avoir quelques rangs, mais elles Il est conçu co..-,, ; ne lajardi,-iière héli.-o. idale.

Il est conçu comme la jardinière hélicoïdale.

Des éléments de tubes mis en place dans les cavités à base circulaire vont assurer le verrouillage.

La mise en place d'éléments ferraillage et le bétonnage des alvéoles sans fond permettent d'assurer la stabilité du poteau-jardinière par son ancrage dans une fondation.

Les bacs paysagers se réalise sur une planche de fubricuiiun en même temps que les clavettes qui sont accolées deux par deux.

Les clavettes doubles sont interposées entre les bacs paysagers dans le moule.

Z. / ? < 7/6MO/ < 'ë/6CM6 K/ ?/6/M6AM e/ < /'6e/7'/ < t/ë 'uC/MugeA ë < /6 clavettes doubles par les pinces de palettisation.

Les dessins ci-joint sont donnés à titre d'exemple indicatif et non limitatif Ils permettront de comprendre aisément l'invention.

*Lafigure 1 représente la vue de dessus du bac paysager (1).

Lafigure 2 montre la vue de dessus des clavettes (14).

Lafigure 3 représente la coupe transversale du bac paysager (1) au droit de l'axe transversal (7).

La figure 4 représente la coupe transversale du bac paysager (1) au droit des encoches (10) et des tenons (11).

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Lafigure 5 représen, *e Zigure rep/eMe egleeMi"/ r'Me < e eM M ac'ger 'ec /M < r < 7/" ? M// / ? < 7g e /M cccMMe < e 77 < 7 < eMe.

L < XgM /MOM//C'MgJ/MM < X/e M Cgf .

Lafigure 7 présente lafaçade transversúle du bac púysúgef (1).

LgMfC rerM/ coMe 'e cye M o des encoches (10) el des tenons (11).

La figure 9 représente une coupe transversale au droit des axes transversaux e < x/veo/e < 'M /Mj/ ? ger < xvec M cc/e Jcj/'Mgj eg ( ?/ a 2e.

Z < 7jM 7 6 MS VMe M M/ ? 6 Zy ? ? /Yg-KO en quinconce d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 2e.

La, figure Il représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à *,, le.

La figure 12 représente une coupe transversale au droit des axes transversaux (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 4e.

La figure-1'3 c)-I,'une d-ssus du. rang-nont,,, s en quinconce d'un ?/ ? ? < 7C M"C/ < ? < '' < 7Mg''.'7/ e.

La figure 14 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 4e.

T n fiÇTurp 1' ; rpnrp. ; : pnfp unp rnunp tronc : vprc : o ! p 011 rlrnit rlpc : Oyp. ; : Z. (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal transversaux (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal àd.

La figure 16 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang montés en figure 17 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à d. avec un décalage des rangs égal a d.

La figure 18 représente une coupe transversaux (7) des alvéoles d'un tolus paysager avec un décalage des rangs égal à (d+2e).

La figure 19 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang mOiltés en quinconce d' n talus paysager ûfVec un décgl ge des rang éga/ +2e).

Lafigure 20 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à (d+2e).

La figure u ; îe cou e tra ; îs-versalw au droit des axes transversal. (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à (d+4e).

La figure 22 est une vue M JM /Mr < MM M. X/K rMg/MC'M/ en < yM/MccMcc 'MM /MF/ ? 'ge n'ec UM déca/ge c Mg eg/tX -e.

H'-'VI'-''",. t'" U0 jJ"'J'''1 uv 1 u, utU6 Ui 1 u/t6" 1 :'5U' U ! u'/. Lafigure 23 représente la vue de dessus de J'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à (d+4e).

<Desc/Clms Page number 18>

La e-T pe au d,--i des axes M ? r /o/ M"/M) gc/e cg co/ //C'/M M < m'f/Pg. S' aC M C/fge M/ M ega/ e.

La figure 25 représente une cûupe transversale au drûit des axes T e- , t'a jlguie 21l urte coupe U-'U-s aïes transversaux (7) des alvéoles d'un talus paysager, les bacs paysagers (1) sont à l'aplomb sur deux rangs et avec un décalage tous les deux rangs égal à (d + 2e).

Les figures 26 et 27 montrent un exemple de talus paysager avec courbure. e 4 La figure 26 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang montés en quinconce et avec un décalags des rangs égal +2e).

La figure 27 une vue de dessus d'un talus paysager avec courbure avec un décalage des rangs égal à (d+ 2e).

Lafigure 28 représente le premier rang d'un muret vertical réalisé en bacs paysagers (1).

Lafigure 29 représente le second rang du même muret vertical.

La figure 30 représente la coupe transversale du muret vertÙ ; al réalisé en bacs paysagers (1).

Lafigure 31 montre sa coupe longitudinale.

Lafigure 32 représente le premier rang d'un muret de soutènement vertical réalisé en bacs paysagers (1).

La figure 33 représente le second rang du même muret de soutènement vertical.

La. figure 34 représente la coupe longitudinale dans l'axe du muret de . Iigu 1't soutèneiiieiit vertical.

La figure 35 'e/ coz . ve. a/ /MM. < ? zeM. / ?/ vertical réalisé en bacs paysagers (1).

La figure 36 montre sa coupe longitudinale au droit de l'axe (12) des encoches (10) La figure 37 r, nrésenie le premier rang d'in-miir pai) s ger v rt r é , a P ica en bacs paysagers (1) et en bacs paysagers avec une alvéole borgne (47).

La figure 38 ïeprésente le second rang d'un mur paysager vertical réalisé en bacs na'HYU7e"'s (7) of On/'nl" < ;' nn" < ;, "go,, "s ""'01" 1["0 nl"ónlo/'n"' (7V1o (d7) en bacs na-lent-yer-s La figure 39 montre la Jåçade d'un mur paysager vertical réalisé en bacs paysagers (1) et en bacs paysagers avec une alvéole borgne (4 7).

ZgMre C rere/e/e re/ ? ïr/ 'M/MM/'-jMge verCM/Mvec jardinières à double hauteur.

La figure 41 représente le second rang d'un mur paysager vertical avec jardinières à double hauteur.

La figure 41 représente le second rang d'un mur paysager vertical avec M/É' < ? M.

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Lafigure 43 présente le premier rang d'un mur vertical d'une largeur égale M ?.

La figure 44 présente le second rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas p.

La figure 45 CK/e /7r7K g 'M/MM Vf ? rC < 7/ COMe 'MC largeur égale 011 pas p.

Lafigure 46 présente le second rang d'un mur vertical courbe d'une largeur égale aupasp. égale au pas p.

< 7M < ? /2/ ?. au pas 3/2 p.

M 3/2.

La figure 48 présente le second rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas 3/2 p.

La figure 49 présente le premier rang d'un mur vertical courbe d'une au pas 312 p.

La figure 49 préçente le premier rang mi-., r largeur égale au pas 3/2 p.

La figure 5û présente le second rang d'an iyiur vertic ; ul' cour've d'une largeur égale au pas 3/2 p. t fgure tS1 présenJe le premier rezng d'un mur vertical d'une. largeur égale au pas 2 p.

Lafigure 52 présente le second rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas 2 p.

La figure 53 présente le premier rang d'un mur vertical courbe d'une largeur égale au pas 2 p.

La figure 54 présente le second rang d'un mur vertical courbe d'une lbrgeur égale au pas 2 p. largeur égale au pas 2 p.

Lafigure 5ó présente le second rang d'une jardinière hexagonale.

CPg " 7g. bacs pvsagers (I) par rexng La figure 58 présente le second rang d'une jardinière polygonale de douze bacs paysagers (1) par rang.

La figure 59 montre le premier rang d't., ne jardinière composée de 4 bacs / ? . ge ? /'/ et de 4 hacs paysager avec une alvéole borgne 77) par rang.

La figure 60 montre la vue de dessus d'une jardinière composée de 4 bacs paysagers (1) et de 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) par rang.

La figure 61 montre le premier rang d'une jardinière composée de 8 bacs paysagers (1) et de 8 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) par rang.

La figure 62 montre la vue de dessus d'une jardinière composée de 8 bacs paysagers (1) et de 8 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) par rang.

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La figure 63 représente une jardinière hélicoidale constituée de bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) qui se superposent en tournant de 600 par rang.

La figure 64 présente le poteau-jardinière.

Lafigure 65 montre le plan du des bacs paysagers el des (14).

La figure 66 montre la palettisation des bacs paysagers (1) et des clavettes (14).

Lafigure 1 représente la vue de dessus du bac paysager (1).

Lafigure 2 metre l vuede dessus des clavettes (14).

Le bac paysager (1) est constitué principalement de deux alvéoles (2).

Il est symétrique par rapport à son axe transversal (3), sur lequel se trouvent Il cavités à base circulaire légèrement coniques (4), reliées par une partie à sectIOn rectangulaire (5) présentant également un petit fruit. Cette partie à section section rectangulaire (5) présentant également un petitfruit. Cette partie à section rectangulaire (5) est borgne, c'est M'e//epoëJe Mo.

Le bac paysager (1) est pratiquement symétrique par rapport à son axe longitudinal (6).

Les alvéoles (2) sont symétriques par rapport à leur axe transversal (7). r4-e'acs pa-ysagei-s (1) consécî14IS SUi- 7, m'e'e 0 e'e & c pqe' cocM Mf M/He/He alignement s--.-.. t distants d'une longuet., r égale au, p.

L'axe transversal (3) des bacs paysagers (1) est donc situé ànl2 de l'axe des joints (8).

Les axes transversaux (7) des alvéoles (2) sont situés à pl4 de l'axe transversal (3) des bacs p'c et de l'e desyc" .

Les alvéoles (2) sont constituées par deux parties cylindriques (9) et transversalement d'encoches (10) et de tenons (11).

Les encoches (10) sont alignées sur l'axe longitudinal (6) et sur des axes parallèles (12) décalés de 2 e de l'axe longitudiYla ! (6).

Les tenons (11) sont alignés sur des axes (13) décalés de e de l'axe longitudinal (6). e, distance entre les axes (12) des encoches (10,) et les axes (13) des tenons (11), est déterminé de manière à ce que de chaque côté des alvéoles (2) il Y ait au moins 3 encoches (10) et 2 tenons (11).

Un bac paysager (1) peut être fabriqué, par exemple, avec pour valeur p égal à 500 mm et e égal à 25 mm.

Les clavettes (4) ont la même hauteur que le bac paysager 0).

Les deuxfaces < 7e/ ce'e 7) 6'/ ?/ / ? : une face (15) ne comporte pas de fi'uit, tandis que l'autre face (16) et ses abouts (17) en présente un.

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Les deux abouts de la clavette (14) sont conçus légèrement amincis pour 7 < 7 ? r . ? e. < e ? coc/ ? 7). E /. M c c'M o. M/ M. /gg. pente identique à celle des encoches (10).

Z. 7C 7 < / < ? //M '0 < / ? eM . Z. 'Cf ? ee C < ? Ce (18), c'est à dire la longueur de la clavette, est égale au diamètre des deux parties cylindriques (9) des alvéoles (2), moins un léger jeu.

Les clavettes sont fabriquées en même temps que les bacs paysagers (1), accolées deux à deux par des zones de raccordement (19). Un simple coup de marteau permet de désolidariser les clavettes.

Le bac paysager (1) comporte sur son axe transversal (3), en partie haute, sur l'axe longitudinal (6), une encoche cylindrique (20) qui permet d'inclure un élément deferraillage. Cette encoche est visible en coupe sur la figure 4.

Les encoches (10) ont unefoce (21) sansfriiii comme loface sûnsfruit (15) de la clavette (14) et uneface (22) avec unfruit identique à celui desfaces avec fruit (1 ei (17) de ta clavette (14), Z'' (23 encoches (7 o Mn rq'0 e ccKr & Mre eg/ ce/K < c deuTParties cylindria/s . La di < s/ nce en/e d ?/Tfonds (,). ? u mme axe (6) ou (12) et dans une même alvéole, est égale au diamètre des deux parties cylindriques (9).

11"U it de Z ? gM r/ ? A7 COte "Vg/g C ? ' M < ? l'axe transversal (7).

On peut voir sur la coupe les deux parties cylindriques (9) sans fruit et sur la vue, en arrière plan, les faces (21) sans fruit et les faces (22) avec fruit des encoches (10).

La figure 4 représente la coupe transversale du bac paysager (1) au droit e ecoc/ ! 70 e ', y 77/. des '/rtt//7// f/7MTrf /TfIf I/M ? 7') '7///)) f Y/ (YTf r-tgag -y'ttH MH'HLtH, H (**'/ ftML MWt. J Hft t, < n < < t ('/, jLtM Mtt. J DUi ùljU UHc. -. Uyc. -Hc. -. l.) c. -ù. c. -. 6U6c. -c. - UUlh) U c. - c. -iH... U'-'Hc. - \. l V), ùU JU'-' oJUHoJ face avecfruit 77 tangente laface avecfruit (22) de l'encoche.

14 La largeur à mi-hauteur des abouts de la clavette est égale à la largeur à la base de l'encoche (10).

Ainsi une clavette engagée dans une encoche du bac vaysager se positionne automatiquement comme le montre la figure 4 et solidarise le bac paysager du rang iriférieur.

Lafigure M e/e VMg C/ ? gg VC principalement le repérage des éléments caractéristiques de safaçade extérieure.

Lafigure 6 montre lafaçade longitudiriate du bac paysager (i) iandis que l'a 7 fade'-ansversale.

Le contour périphérique du bac paysager (1) qui comporte un léger fruit est composé,

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sur cliaquefa-ade de : - deux parties cylindriques (24) dont le diamètre est légèrement il1férieur à p/2, centrées à l'intersection de l'axe longitudinal (6) du bac paysager et des axes transversaux (7) des alvéoles (2) et - raccordées à deux parties planes (25) situées de part et d'autre de l'axe transversal (3) du bac paysager (1) et sur les 2 façades transversales une partie cylindrique (26) avec un rayon îî4--e Se S ; 4Ue S-1 de courbure un peu inférieur à p/2 et dont le centre se situe sur l'axe lûilgitudinal (6) du bac paysager.

Sur chaque façade longitudinale des cannelures arrondies avec le même 'M//Me/Je o/ ? ? e.

Des axes inclines (12 7) passant par le centre des alvéoles (2) font un angle déterminé, 600 par exemple, par rapport à l'axe longitudinal (6) du bac paysager.

Les centres de cannelures arrondies (28) & (30) se trouvent à l'intersection : - de cercles centrés à l'axe longitudinal (6) du bac paysager (1) et aux axes ^) 2 e2 transversaux J Ao/s'e 0/7 /'o/7 ega'/'/f + 7 - //e . e < e/.' ? c/M 2, K cd /''e < ? ? y ! / du bac paysager (1).

D'autres cannelures (29) sont implantées également sur les cercles décrits C ; Ai-A-in 4n 41, A"C-M, et à une dist nce e t-uc-ùùUù, uu vVH, UC- t lof./\, v tJ U1tÙ Vvl ùUt I.. J) UU VUV jJUYùU6vl 1t. des axes transversaux (7) des alvéoles (2).

Sur les 2 façades transversales des cannelures (31) sont centrées à 4 l'intersection des axes des tenons (13) et des axes des joints (8) entre bacs paysagers (1) consécutifs.

Leur centre se situe également sur les cercles décrits ci-dessus.

La surface légèrement conique des cannelures (28), (29), (30) & (31) est égale à une portion de la suiface des deta cavités à base circulai,-e légè ;, elile ; lt coniques (4).

Ces cannelures ont une utilisation pratique de verrouillage, mais donne aussi un aspect esthétique aux façades longitudinales et transversales.

Z, aj ? gMre < reee/ coMp 'era'/e e & c/ ? < c M Jro des encoches (10) et des tenons (11).

Les clavettes (14) liaisonnent les bacs paysagers (1) transversalement et longitudinalement pour la réalisation de talus paysagers.

Cette liaison mécanique permet plusieurs inclinaisons de talus paysagers.

Pour un décalage par rang égal à 2e (2e peut par exemple être égal à 50 mm), les clavetles (14) engagées à mi-hauteur dans les encoches (l0) centrales des bacs paysagers (1) du second rang s'implantent dans les encoches (10) arrière des bacs paysagers (1) du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants.

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c/MMe/,/fc 7 7 ae c/'e oe /acc A chaque rang, la face sans fruit (15) des clavettes (J 4) s'adosse à la face Au rang situé immédiatement au-dessous, un léger vide égal à la valeur du fruit de la clavette (14) se trouve entre les par /ïiei'rieres (X fee < ? vec fruit (17'1 de la clavettn/14'1 nt ln Pnvtin sunóvin/vn rln Tn finr > e n"oc fruit/ììl rio" p-reur-faencoches (10) arrière des bacs payçagerç.

Il'faut bien orienter à la pose les bacs paysagers (1) et les clavettes (14).

4 f-U 4 1 1 Il'des eiîcoches La a'M 7 c/ < ? vee e/ace 'M ;"27/j ecocAe (10) se situent du côté aval du talus paysager, tandis que la face avec fruit (17) des clavettes (14) et laface avecfruit (22) des encoches (10) sont du côté amont, c'est à dire du-côté ferre.

L'orientation peut aussi ; être inversée, t't-ÀIlace sans fruit (lç) des clavettes (14) et la face sans fruit (21) des encoches (10) se situent du côté amont du talus paysager, tandis que la face avec fruit (17) des clavettes (14) et la face avec fruit (22) des encoches (l0) sont du côté aval.

Dans ce cas le décalage par rang est de (2e-f).), e 17r Si f est vor exemvle é (7al à 3 mm sur 200 mm de hauteur. le décalage var rang (2e-f) est de 7/mm. rang (2e-f) est de 47 mm.

Cefruit est commun à - aux 2 cavités à base circulaire (4), - mfaces avecfruit (16) & (17) des clavettes (14), - auxfaces avec fruit (22) des encoches (JO), - auxfaces avec VI/, - ailvfoçades longitudinales et transversales et - M cannelures (28), (29), (30) & (31).

Lafigure 9 représente urie coupe irarisversale au droit des caes iransversaux (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 2e.

Le taliis pco) sager est montré dans l'ensemble de son environnement.

ZaybO 2 COM/ eC'M/7/e ceMCMM'M 0 /.

Elle doit pouvoir par buiée aùsoi-beï les efjoi-is de poussée du tatus.

Le premier rang de bacs paysagers (1) est solidarisé à la fondation (32) par des attentes en acier (33) et un béton de clavetage (34) coulé à mi-hauteur des alvéoles (2).

Les clavettes (14) vont absorber à chaque rang les efforts de glissement.

Sur le talon arrière de lafondation, un drain (35) est réalisé sur une hauteur fonction de la perméabilité du terrain. fonction de la perméabilité du terrain.

Les eaux de drainage sont collectées ei évacuées par un iuyau pety'oré (')'6).

Un% ulirejardill 37)'lvlte le colZmatage du drairl.

J'-ç-lvtfll~ er~"ift.

Au fur et à mesure du montage des rangs de bacs paysagers (1) de la terre végétale (38) est mise en place dans les alvéoles (2) et à l'arrière des bacs.

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La figure 10 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang montés , ! i ; lco. nce d'z ! n la ! zispcn en quinconce d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal il 2e, e Les clavettes (14) engagées dans les encoches centrales du second rang s'implantent dans les encoches arrière du premier rang, ce qui permet de réaliser un décalage de 2e.

La figure 11 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talifs payça, ger avec un décalage des rangs égal à 2e.

La figure 12 représente une coupe transversale au droit des axes La figui-e 12 repi-ésente une cou tranSVerSalLY (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 4e. Soit 100 mm par exemple.

La La. figure 13 est une vue de dessus du premier et du deuxièrne rang nwntés en quinconce d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 4e.

La construction d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à 4e (Soit 100 mm par exemple), se réalise d'une manière semblable : Les clavettes""erigu-'es à mi-hauieur u'ans les encoc'nes avarit des (1 lqi ge I."lantent dans les encoch--rière des c ? 'ge ecc g j' ?/ /e ecoce 76 L ? < bacs pa < 7ger < ? Wre < 7r6'/a ? ?. !'/ de suite p Cr le. s rang. s Z//vants La figure 14 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage ües i-aiîgs égat'u--te.

Co ? ? e C/ Me ? C6gM,/'OMOM C ? g (1) et des clavettes (14) peut être inversée, dans ce cas le décalage par rang est de égal à 9 7 mm par exemple.

La figure 15 représente une coupe transversale au droit des axes transversal, ( (7) des alvéoles d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal àd. d est le décalage des rangs lorsque la face avec fruit (16) de la clavette (14) positionnée dans les encoches arrière des bacs paysagers (1) d'un rang, tangente les parties C) < ques e la f çade longitudinale (24) des bacs p < 7a < 7g. ( ) du yMg/M/'M. ey e/M/e eg/S7. J/M7M. rang inférieur. d est par exemple égal à 87. 5 mm.

La figure 16 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang montés en quinconce d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à d Les faces avec fruit (16) des clavettes (14) engagées dons les encoches arrière des bacs paysagers (1) du second rang tangentent les parties cylindriques 4 de lafaçade long *tu' ; iate (.-,-t) U' (Z-s t') acs paysagei-s du pi-erilier rang, et ainsi de t (4, i suite pour les rngs suivants, ce qMpermet de r/e un écalge d.

7/jM M < 3/-/eM /'C'e/e < 2C < ge /e Ce 7).

II faut bien orienter à la pose les bacs paysager (1) et les clavettes (14). es faces ave M6 M CO fXV/ /M. t s 'ge, M iMe/e fCCF tXM M du ti, r, --, v"""rtJ. o.. Jc, tJtt. l4r" lItw. vVt, L uvw" wu. r. WtU. i. 1 j/W., YtJU15 ( ; "f, HAlu'4"1J LJuc.. H : :.. J..) JU"""Cd : J. I.. H... f,/h.) JI 141" (15) Ê' < 'CA' ? 1 < ' //É' ? 7C < ' < ' < ? M < 'M/7 2/''MCOCMë' OM < M 00 < 7. ? < 9M C'ë'-S'/ à dire du côté terre.

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La figure 17 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à d.

La figure j 8 représente une coupe transversale au droit des axes transversaux (7) d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à (d+2e).

(d+2e) est par exemple égal à l > mm. l, a figure 19 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang montés en quinconce d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à (d-t-2e). e, 44 1-1Les faces avec 'uit (16) des clavettes (14) engagées dans les encoches rigage uui centrales des bacs paysagers (1) du second rang tangentent les parties cylindriques de la façade longitudinale (24) des bacs paysagers (1) du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants, ce qui permet de réaliser un décalage de La figure 20 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager 2 avec un décalage des rangs égal à (d+ 2e).

La figure 21 représente une coupe transversale au droit des axes trans"ersaux 17') rlOs al" ; ;,., ! n,, A'IM f"'II" n"''''''''/'I"nv rn, n/ > HVI d ; ;/ > "' ! "'/'I"n An" v", Vlgs e'ual transversaux'7) des 1". 9s égal (d+ 4e) est par exemple égal à 18 7. 5 mm. à (d+4e).

(d+4e) est par exemple égal à 187. 5 mm.

La figure 22 est une vue de dessus du premier et du deuxième rang montés en quinconce d'MM / /rager a'ec un décalage des rangs égal à (di ?.

Les des clavettes (14) engagées dans les encoches avant des bacs paysagers (1) du second rang tangenten les parties cylindriques de la façade longitidinale (24) des bacs paysagers (1) du premier rang, et ainsi de suite pûur les rangs MhM, C M/M/ /e Z/M C/ < ? g +.

La figure 23 représente la vue de dessus de l'ensemble d'un talus paysager avec un décalage des rangs égal à (d+4e).

La figure 24 représente une coupe transversale au drolt des axes transversaux (7) des alvéoles d'un talus paysager, les bacs paysagers (1) sont à l'aplomb sur deux rangs et avec un décalage tous les deux rangs égal à 4e.

Les deMxp/'ei/e/'j faMgs se sMperposei Mec M c/ûvetges ('i inco/'o/ées dans la partie arrière des encoches. l, es clavettes (14) engagées dans les encoches avant du troisième rang s'implantent dans les encoches arrière du deuxième rang, ce qui permet de réaliser un décalage de 4e.

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

La figure 25 représente une coupe transversale au droit des axes (7) d'un talus ? < 2ge C fge OM //6'/M & 'M JM. X' Mg < MVëC MM décalage tous les deux rangs égal à (d +2e).

Les deux premiers rangs se superposent avec des clavettes (14) incorporées dans lapartie arrière des encoches.

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Les faces (16) des clavettes (14) engagées dans les encoches centrales du troisième rang, tangentent les faces (24) des bacs paysagers (1) du deuxième rang, C > l ce qui permet de réaliser un Jecalage de (d +2e).

Et ainsi de suite pour l'es rangs suivants.

1, VU & L, % lut, Parles deMX exemples présentés e gure 24 et 25, cf ? T'' ue d re montages permettent d'obtenir une infinité d'inclinaison. et d'une manière générale deux ou plusieurs rangs peuvent se décaler de 2e, (2e-j), 4e, (4e-j), d, (d+2e) et -.

L'inclinaison globale la plus adaptée d'un talus paysager sera calculée en fonction des poussées dues au terrain et de la hauteur de soutènement.

Les bacs paysagers (1) permettent de réaliser des talus paysagers avec une courbure, avec les décalages d, +2e) et (d+4e).

Dans ces trois décalages, les clavettes (14) engagées dans les encoches (10) d'un rang peuvent coulisser et tangenter les parties cylindriques de la façade longitudinale (24) des bacs paysagers (1) du rang inférieur.

Lesfigures 26 et 27 montrent un exemple de talus paysager avec courbure.

La figure 26 est une vue de dessus du premier et du deuxième rong montés en quinconce et avec un décalage des rangs égal à (d+ 2e).

Z, 6j'MC6j' (/'S'C/M66j'7'/e/ < gM66j MM/M/6j ëCOC/ C6//'M/6 Më erigagees uuits teà eertcûcft à (,, lit bacs paysagers (1) du n, -a-,. g tangentent lesfaces (24, -ti-S b,'I~-s s gers q) . e., o. paj a Lafigure 27 une vue de dessus d'un talus paysager avec courbure avec un La figure 2 7 une vue de dessus d'un talus paysager avec courbure avec un décalage d'6 m/igJ'M/M) +2e). L'aspect e 67 Mlp/MgM 'eeMe. et sont décalés successivement d'un angle égal à 2a concentriques axés.

Les blocs paysagers (1) du premier rang se trouve sur un cercle de rayon R et sont MCM/e. sccs'hï M"M Mg/e gM/M a'= 2 arc tag ' 7.

Z /C'C/ ? Mge M'M 6COMM'Mg 6//'OMV6 sur un cercle o/ ?/7-+2 e sont décalés successiveiîierit4 d'uiî angle égal à 2-uj -2 c g /++2.

Le. bloc, s nav. vaçer, ç dii troiçi'troii e Le. s bZoc. s na., V. s, 7, gers ttl) d, U troisièwe rang se trouve sur un cercle de rayon [R+2 (d+2ey et sont décalés successivement d'un angle égal à 2 a2 2 -') "'7A f"'TA"" r/",/AI/rR-L")/À-L") nI7 L- M7L ttft ('/T///\'. (M C/.

Et ainsi de suite.

Pour les talus paysagers avec courbure, avec des décalages d ou (d+4e), les formules des rayons et des angles sont identiques, il suffit de remplacer (d+ 2e) par d ou í-±An 1 M'OM +.

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La figure 28 représente le premier rang d'un muret vertical réalisé en bacs paysagers (1). . Le soutènement est seulementeassuré par le poids propre des bacs paysagers et de la terre végétale Incorporée. Ce sont des murets verticaux de très petite hauteur.

La figure 29 représente le second rang du même muret vertical.

Un muret vertical peut être réalisé en bacs paysagers (1), montés en quinconce, suivant un alignement droit ou avec une courbure.

Les & ucj p'ge/'y (7/, - dans la partie droite, se décalent de p, - dans la partie courbe, ils pivotent d'un angle 2 a, sur lm cercle dont le centre est situé sur leur axe transversal (3) et de rayon R.

R = (pl4)/tang (a,, 2) Les clavettes (141-o-i et son"rayonnantes dans , 0'bb R partie courbe.

Les dm/ettes (14) sont implantées transversalement et sont rayonnantes dans iîg4, la partie courbe.

La figure 30 représente la coupe transversale du muret vertical réalisé en bacs pasagers (1) tandis que la figure 31 llwntre sa cûupe lûiîgitudinale.

Elle doit pouvoir par butée absorber les efforts de poussée.

Elle doit pouvoir par butée absorber les efforts de poussée.

Le premier rang de bacs paysagers (1) est solia'arisé à la fondation par des attentes en acier (33) et un béton de clavetage (34) coulé à mi-hauteur des alvéoles dz Les clavettes (14) vont absorber à chaque rang les efforts de glissement.

Sur le talon arrière de la fondutiun un draifl (35) est réalisé Sur une hauteur f'n1/J/ > 11n1/1 rin,,,., n"TNJ"h1111 ri1 1n"""11/1 ftm/t t n jL7 fttttttu tt n/Mt. t4 S Iltl) Soijl Z < ' < 7 ? Y J /. ? C' C//C/''' Y'/7. S' y ? M/7/7 ? 7 /r) /3) Un feutre jardin (3 7) évite le colmatage du drain.

Au fur et à mesure du montage des rangs de bacs paysagers (1) de la terre implantées transversalement et ainsi de suite à chaque rang.

Aufur et à mesure du montage des rangs de bacs paysagers (1) de la terre végétale (38) est mise en place dans les alvéoles (2) et à l'arrière des bacs.

Ces murets verticaux Hë améliorées par le ferraillage et le bétonnage grande hauteur de soutènement.

Leurperformancespeuvent etre amélioréespar leferraillage et le bétonnage des a/o/ 2). Ce/ae J c'/ < J'Me/'ec/M,/Jc e J reJ co ? pOM/ & e, e /M Je/eMr ? oJ ? ce, ce Je jJo J draii ? et de la terre végétale situés sur cette fondation.

Lafigure 32 représente le premier rang d'un muret de soutènement vertical réal/sé e < b cs (ge //.

Z. M < ? 33 re/e ecoJ ? g JM e/ < ?/M*' < ? J OMe/e, vertical.

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La f yre 34 r/e/ ccMpe/o/ /e < //e u yMe soutènement vertical.

La figure 35 représente la coupe transversale du muret de soutènement ver-iiCM7/lisé en bcs paysagers y1), tandis que û fgu/'e 36 mon < /e sa coupe longitudinale au droit de l'axe (12) des encoches (10) Comme précédemm-ent, un muret de soiitènement vertical peut être réalisé en bacs paysagers (1), montés en quinconce, suivant un alignement droit ou avec une courbure.

Les bacs paysagers (1), - dans la partie droite, se décalent de p, - dans la partie courbe, ils pivotent d'un angle 2a, sur un cercle dont le centre est situé sur leurs axes (3) et de rayon R.

R ?/4)/tang Les éléments de ferraillage (39) sont implantés transversalement et sont rayonnants dans la partie courbe.

Dans la fondation (40) sont implantées tous les p/2, au dïoit des axes trance, ^saut (7) des dz rloç, i") , dec,-Yttolitoc/, Ill illio Ao In nnrtio cylindrique (9) égale à l'enrobage des aciers.

Les éléments de ferraillage (39) insérés dans chaque alvéole (2) sont composés de : - 2 aciers (42), armature longitvdinai-P destinée à reprendre les efforts de flexion, - 1 acier (43) de montage et - 2 aciers (44) soudés alternativement aux aciers longÜuúinaux (42) et à l'acier de montage (43).

Ces 2 aciers 4 ) constitl/7v/rm t /r/a < d'/n ?ments de e ferraillage (39).

Les parties courbes des 2 aciers (44) tangenlent les parties cylindriques (9) des alvéoles (2) et débordent les aciers longitudinatL, ( (42) et l'acier de montage (43) d'une épaisseur égale à l'enrobage des aciers. Ceci afin d'obtenir un calage automatique des aciers.

Pour j'o/rr/ogM/e ; K û/veo , c/ïKe m, M 'o d chaM ' tag. / '/ns 6'Che lriqu (2 Z ? gl e U renversé (45) est mise en place. Les parties verticales de ces épingles (45) se recouvrent avec les aciers des éléments de ferraillage (39).

Une fois que les bacs paysage du mure de OMec/ ve/cl sont montés ainsi que les < ? ?/7g/e 7 / ? ? 1 J,/e e/W < j < 7/ < 7 P insérés dans chaque alvéole (2) se positionnent dans l'axe (7), les 2 aciers tongiiuditiata les alleiiies llf, Zll eriL : uuruiit,) Yfrietftq Après leferraillage, le coulage du béton des poutrelles en béton armé solidarisées par les épingles en U renversé (45).

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L//?M/C.//'L?/t?/H > tZ??C/7/ttt7f7M/LCCHt CtC ? t/C ? t en bacs paysagers (1).

La-figure représente le second rang d *un mur paysager vertical réalisé en bacs paysagers (1).

[a-Prfe,"KL-d'un mur paysag,-r vertical réalisé en bacs paysagers Les figures précédentes de 28 à 36 ont représenté un muret vertical sans jardinières intégrées en façade.

Ces murets peuvent s'agrémenter de jardinières disposées de plusieurs manières pour devenir de véritables murs paysagers.

Cette intégration de jardinières d'une manière régulière ou ponctuelle est facile à réaliser.

OM c. c' //o c M c < y ( < yc M/ ? Ao borgne.

Cette opération est réalisée sur chantie-r, - e c'. ? ? ' 7ooF FM M cqc AooH/, - ? J7//e /. S'7r d // < n e. S'/ C077/ le . y ' ? de. y ? ? < 7/0/ des bacs paysagers (1) pour constituer un fond.

Ces bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) permettent la construction d'u n m u, f r p Au premier rang du mur paysager vertical, on réalise une succession d'éléments composés d'un bac paysager (1) et de deux bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) inclinés symétriquement sur l'alignement général d'un angle déterminé.

Les axes (27), précédemment définis des bacs paysagers avec une alvéole borgne (47), vont s aligner avec les axes (/a's acs paysagers ( ).

Si l'angle déterminé est par exemple 600, les axes des alvéoles borgnes sont distants d. u pas égal a p.

Au second rang la même succession d'éléments composés d'un bac paysager /'171 1- (1) et de deux bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) est mise en place avec un décalage de p12.

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

Le décalage de ?'2 aes rangs va permettre d'alterner la position des arg co/ ? t/e/e ; o/ajcaa'/ ? /' ! j'M//agë 3P.

Pour positionner automatiquement les bacs paysagers (1) et les bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) des éléments de tubes (48) servent de gabarit.

D'une longueur ega/e a ?/M/eM AaM a/,/eMr a/Mee e- ? légèrement inférieur à celui des cavités à base circulaire (4).

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Pou" POSZ'f ; Ol"'''e'' autovyord ;. -v..,.. VYO,.. Mf Inn J... -v,.. n on. -v", "n/11,.. f Inn J... -vn , r- & tua ualj < rg'nc zM f/o/e o. ge 7,/e e/e/M /Me / ? egg successivement tous les pl2 sur un même alignement dans une des deux cavités à base cCM/M/re/ege/'e/Me < coMe M c pgeA // < ?/ ee/ c/ ? M < ?/Mf ? 2 < , 3 < ?/ 37 c'sge Mcc < ? .

Les e/e/e e e ne/7w/ ?/wM/ gw/7 Si ces murs pqvsagers n'assurent pas de soutènement et s'lis sont de faible /MMM/'oeM M'er/e MsoeyK/ ? le c/vep'écédeyM/He/ït déci'.

Le c/vge e , 6' ? A ? ga'MC gM 7 ( 3.

Si au contraire ce sont des soutènements pgvsagers verticaux, il est Mcea ,/ë/T7/e e eMe/e ec'/ .

Dans c e cas, le fe rra 1 ; llage e-t < tlr--lu-des alvé o les (2) 11 e p e riii e tte ii t pas D c c/rn//ge ege /veo/e ; pry ? ïn d'utiliser les clavettes (14).

Une fois le montage du mur paager effectué, comme décrit ci-dessus, des éléments aé iuoes""von ! assurer le verrouiiïage avani l'es opéraiions aé ferraillage et de bétonnage des alvéoles (2).

Une ou plusieurs longueurs de tubes (48) sont engagées dons les cannelures (31), les cavités circulaires (4) de (1) et les cannelures (30) de (47) tous les pl2.

"---1, 19) Son4 U4iliS il Les éléiiieiit'a-üc-1-t t 1 es de t'a iîianei-e que les éléiiîents Les éléments de ferraillage (49) sont utilisés de la manière que les éléments de ferraillage (39) précédemment décrits sur les figures 32 à 36. composés de Les éléments de ferraillage (49) insérés dans chaque alvéole (2) sont composés de : - 1 acier (50), armature longitudinale destinée à reprendre les efforts de flexion, - 1 acier (43) de montage et - 1 acier (44) soudés alternativement à l'acier (42) et à l'acier de montage (43), < 7co7MÈ-/M/M/'e''v'/e e/'e/e/Me < Myë/a/ug P/. jL < C3H'të CCKCt ?. ? n LCSt ? t'*/ ? 72Cn ? Ït ef76 Ctf/tK ('.'/ paivtit ; çnle. (9) tfF,,)"'ivue des alvéoles (2) et débordent les aciers (50) et (43) d'une épaisseur égale à l'enrobage des aciers. Ceci afin d'obtenir un calage automatique des aciers.

Pour solidariser longitudinalement les alvéoles (2), à chaque rang, au droit t a de C/ ! e K'e 7/'eCOCC C/MC 2 MM < ? ?/Mg/ < ? < ?/ ? < ? V ( ? e (45) est mise en place. Les parties verticales de ces épingles se recouvrent avec les aciers eM g P.

Pour assurer la pérennité des plantes et des fleurs dans les jardinières, il est nécessaire d'intégrer l'arrosage.

L'arrosage est éventuellement assuré par un collecteur horizontal (51) situé en haut du mur paysager raccordés à des tuyaux verticaux (52) qui vont alimenter CL ? 'MeytX*MT"e7tX* Mj'gOMM g'M -3/. t, rt tl4'-J"f"titir-t4'-5"a Les J' < ? M /'/Y ? ? ? g 0 ?' < ? 0 y gOM/M i directement branchés sur le collecteur (51).

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Les goutteurs (53) des tuyaux verticaux (52) sont implantés avec un pas égal à 2 hauteurs de bac paysager.

Les tuyaux verticaux (51) sont implantés comme le montrent les parties droites disfigures 37, 35 e < 3 P.

Sur la façade de la gMe 39, les tuyaux verticaux (52) son7t en partie apparents, mais ;/s seront très vUe masqués par la végétation.

Cette intégration d'arrosage se réalise après le montage du mur paysager. r4'e pî-p--vei-tica'avec La figure 40 i-epiése lie t-eiiiiei rang d'ur, iîîui aysagei jardinières à double hauteur.

La figure 41 représente le second rang d'un mur paysager vertical avec jardinières à double hauteur.

Lafigure 42 montre lafaçade d'un mur paysager vertical avec jardinières à , la, uitttr-, OZ/'// ? < ? M/M. '.

Le concepteur de murs paysagers peut vouloir obtenir des jardinières de plus grande hauteur pour des piu-iiies plus irripot-ianies, avec un moins grand nombre de jardinières.

Pour cette option, au premier ranq dii mi-ir pai. soger vertical, on réaliçe une succession de cinq éléments composée de deux bacs paysagers (1) encadrés de deux bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) inclinés symétriquement et d'un bac paysager (1).

Au second rang, on met en place la même succession de cinq bacs paysagers (1) composée de deux bacs paysagers (1), encadrés deux bacs paysagers (1) inclinés symétriquement et d'un bac pasager (1), avec un décalage de p/2.

Ces rangs se superposent comme le montrent les figures 40 & 41.

Les jardinières sont constituées par les alvéoles (2) des bacs paysagers (1) c/e M. ? Mpe/po ù'MX y ? ? c. y 'e avec Me < /veo borgne (47) pour constituer des jardinières à double hauteur.

- i e. e a Les deux rangs suivants se décalent de p par rapport aux deux premiers rangs.

Et ainsi de suite pour les rangs suivants.

Il est possible de composer librement un mur paysager en intégrant dans un ensemble de bacs, '7 P 2 C) - e 6/ïe. s' co/oj'co/ ? < /e ceZM y'epe/ ! ej egM/ 37 (. S 3 (5 e il-riallrodn & 1-é) mma roi., y 41.

Dans tous les cas on réalise de la même manière, Dans tous les cas on réalise de la même manière, tqo) l - le verrouillage par les éléments de tubes (48), -le,/8 ; rra, 11cvge par les é, Zémenvfs 49) et l'intégration de l'arros,-7ge.

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-r-, Ff tr-Fi 1-Ilt uir-gatrZgMre-e-s'ee/epre r ; 7g veCc ?/ e ge eg/e au pas p.

Lafigure 44 présente le second rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas p.

Les murs poids réalisés en bacs paysagers (1) ne doivent leur stabilité qu'au poids des éléments et de tout ce qui leur est solidaire, tels que fondation, matériaux de drainage et terre. Cela n'est pas toujours suffisant, aussi il est intéressant de 1 put 14---iii ui-.

< Mg ! e/'/6M/'pO 6 /'gM. / Hej/b/M tM/HM/'.

Les figures 43 et 44 montrent comment doubler l'importance d'un mur.

Au premier rang, on réalise sur deux alignements distants de p12, des files de bacs paysagers (1) au pas p.

Les deux files sont décalées longitudinalement d'une distance égale à p12.

Au second rang des bacs paysagers (1) disposés transversalement au pas pl2 se superposent et se clavettent avec le premier rang.

Les clavettes (14) incorporées dans les encoches centrales des bacs paysagers du second rang, se positionnent transversalement dans les éléments du premier rang.

Et ainsi de suite pour les rangs suivants, qui croisent alternativement des bacs paysagers disposés longitudinalement et transversalernent, comme cela est Me M gMe 3 .

La figure 45 présente le premier rang d'un mur vertical courbe d'une largeur égale au pas p.

Lafigure 46 présente le second rang d'un mur vertical courbe d'une largeur égale au pas p.

Au premier rang des bacs paysagers (1) dont l'axe longitudinal (6) est tangent il un cercle aé rayon î-,,, pi voi'eni' ies uns par rupoori aux auires a'yun angle égal à 2 a, avec R = = 4)/g (a/2) Sur une autre courbe de rayon égal à (R + pI2), des bacs paysagers (1) pivotent également d'un angle 2 a.

Les axes transversaux (3) des bacs paysagers (1) des deux lignes courbes font entre eux un angle égal à a.

Ait second rang, des bacs pysagers - ' de' disposés transversalement et parallèlement de part et d'autre d'un axe de symétrie (54) à une distance de pl4 de cet axe Les axes trajisversata des alvéoles C,) des deza bacs paysageî^s t'a ; îgerite ; it,' les deux x courbes parallèles précédemment décrites pour le premier rang à leur intersection avec les axes de symétrie (54).

Les cave les incorporées dans les encoches centrales aés bacs 'ge K eco Mg, 6 '0/076/f < ? VfX/e/ / /K K premier rang

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Et ainsi de suite pour les rangs suivants, qui croisent alternativement des bacs Jc/c'MMMw < ? My. 6'M c < 9 ? e C#'/ indiqué sur les figures 45 & 46.

Lafigure 47 présente le premier rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas 312 p.

La figure 48 présente le second rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas 312 p.

Au pi-eiîîiei-i-aiig des eriseiîîûles jûi-iîîés üt-quatt-'e ûacspaysagei-s sont' décalés les uns des autres de 312 p.

Les axes longitudinaux (6) des quatre bacs paysagers (1) sont situés sur un carré de côté p.

Au second rang les ensembles formés de quatre bacs paysagers (1) se superposent avec une rotation de 900 autour des centres O.

Les clavettes (14) sont toutes incorporées transversalement comme le montreles figures 47 & - < S.

Et ainsi de suite tous les deux rangs suivants.

Les alvéoles (2) ainsi que la partie centrale entre bacs peuvent être remplies par différentes matières selon l'usage de ces ensembles de bacs paysagers : - de Te poM/'cojMeA Mej'H'e c/'yee, - de matériau, ;, drainants si on veut obtenir un mur très perméable ou un gabion, - du béton, éventuellement armé, pour avoir plus de résistance.

*Si on envisage par exemple un mur perméable de bonne hauteur, les bacs paysagers seraient, < reriptll ; a- de matériaux drai ; îants, taiidis que la pai, t*ie celitrale e MM jmV/e ( COMM < ? M r 'M ? e/ a ancré dans une fondation.

Pour des murs de quai ou des berges de rivière l'ensemble serait rempli de béton, tandis que la partie centrale serait armée par unferraillage (55).

La figure 49 présente le premier rang d'un mur vertical courbe d'une largeur égale au pas 312 p.

La figure 50 pren < ele second rang d'un /KM/'ve/'cal coM/'e d'uMe largeur égale au pas 312 p.

Au premier et au deuxième rang les mêmes ensembles de quatre bacs paysagers (l) sont formés.

Ils pivotent les uns par rapport aux autres d'un angle égal à 3 a, R = /tang Au second rang les ensembles formés de quatre bacs paysagers (1) se superposent avec une rotation de 900 autour des centres O.

Lafigure 51 présente le premier rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas 2 p.

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La 52 présente le second rang d'un mur vertical d'une largeur égale au pas ? p Au premier rang des ee//, /M c c p < y < /' o décalés les uns des aulres de 2 p.

Les axes longitudinaux (6) des six bacs paysagers (1) sont situés sur un carré de côlé 3-2 pAu second rang les ensembles formés de six bacs paysagers 0) se superposent avec une rotation de 900 autour des centres O.

Les clavettes (14) sont toutes incorporées transversalement comme le montrent lesfigures 51 & 52.

Et ainsi de suite tous les deux rangs suivants.

Z. ? Me 33 7/'77t'e/e ?/e/"// < 'M/MMr ve//CM/coM/e cMe largeur égale au pas 2 p.

La figure 54 présente le second rang d'un mur vertical courbe d'une largeur égale au pas 2 p.

Au premier et au deuxième rang les mêmes ensembles de six bacs paysagers (1) sontformés.

Ils pivotent les uns par rapport aux autres d'un angle égal à 4 a, avec R = (a/2) Il est possible de réaliser des ensembles plus important de bacs paysagers C OM C/ ? gM/e, e/g COM ? Mh. /e eeMCe.

ZgM présente le premier rang d'une jardinière hexagonale.

La figure 55 présente le premier rang d'une jardinière hexagonale.

Les bacs pmsagers ( !,) pei, m-ettept de réal. i. elp. r desjardi ;, lii ; è, ees c-nmpoôe,-,. par un oii pliisieiir,, v rangç : z// ? o// ? ? ? gs' ; - un rangpermet defaire une bordure, - trois rangs une jardinière de haute suffisante.

Les axes longitudinaux (6) des bacs paysagers (1) sont situés sur un hexagone de côté égal à 3/2 p et de rayon R = (3/4 p)/tang 300, Il en est de même au second rang, l'implantation se fait avec une rotation des bacs paysagers (1) de 600.

Les clavettes (J 4) mises en place dans les encoches centrales du second rang et se superposent à celles du premier rang. et se superposent à celles du premier rang. rar-uàani-or s,-e,-pose lo, gs l'implani, giinn des deiixpremier-ç raiip,, ç l'imp. lantation des deaz : rrn. remiers rn. ngs. l'implantation des deux premiers rangs. bacs paysagers (]) par rang.

La figure 58 présente le second rang d'une jardinière polygonale de douze bacs paysagers (1) par rang.

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Les axes li des bacs paysagers (1) sont situés sur un polygone de 24 côtés 0 égal à pl2 et-de rcr,,) on R = (pl4)/t,-7ng 7. J .

Les centres des alvéoles (2) des bacs paysagers 0) se situent aux extrémités des cotés du polygone.

Les ûor < /og'K'' c ''g e co ? < ? i ! fM cei ? lajardinière etfont entre eiix un angle de 300.

Les axes des clavettes (14) rayonnent également.

1 1 1--irô Soiî4 j-eiii Lesjai-dirti'èt^es coiiiposeespt^eserttt : uà aur ii a t lies de terre végétale en partie centrale e t da ; ?-v les/-es dos h-v nai çaaers Dans les jigures suivantes nous allons examiner des compositions réalisées avec des bacs paysagers (1) et des bacs paysagers avec une alvéole borgne (47).

Il 1 Ic 1 Il Ces derniers permettent d'ajouter des jardinières en porte à faux à chaque rang ce qui donne l'aspect de véritable corolle.

La figure 59 montre le premier rang d'une jardinière composée de 4 bacs paysagers (1) et de 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) par rang.

La figure 60 montre la vue de dessus d'une jardinière composée de 4 bacs paysagers (1) et de 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) par rang.

Les axes longitudinaux (6) des 4 bacs paysagers (1) sont sur un pozvgone de 12 côtés de rayon R égal à (P14) 1 tang 150.

Les av~-s longitudinaux (6) des 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne 0 (47) se recoupent au centre de la jardinière etfont entre eux un angle de 900.

Les centres des alvéoles (2) des 4 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) se situent aux extrémités des cotés du polygone.

Toutes les clavettes (14) sont rayonnantes.

Le second rang se superpose au premier par une rotation de 300 et ainsi de suite.

Z, 6 d7 oe/6 prer r eyrg ccpodc e c paj, sagp-r, ç (1) et de 8 bacç pcn, , çaç,, erç avec une alvéole borgne (4 7) par rang.

Lafigure 62 montre la vue de dessus d'unejardinière composée de 8 bacs Lafigure 62 montre la vue de dessus d'une jardinière composée de 8 bacs paysagers (1) et de 8 bacs paysagers avec uiie ave-oi'e-ûoi-gjîe par i-arig.

Les axes longitudina1LY (6) des 8 bacs paysagers (1) sont sur un polygone de 24 côtés de rayon R égal à vI4)/tang 7. 50.

Les axes longitudinaux (6) des 8 bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) se recoupent au centre de lajardinière etfont entre eux un angle de 450.

Les centres des alvéoles (2) des 4 bacs paysagers (47) se situent awc extrémités des cotés M/ ? o/o/.

Toutes les claveties (4) sont rayonnuntes.

Z. e eco ; g e Me/po Me M/e oo, ? 7 e L ? c suite. rang au siite.

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Dans ces jardinières composées les bacs paysagers avec une alvéole borgne 7 V ? /''/C'W . 0 C'M. , 'M. ? < 76' C < 9/6'. CeA ? C. g M. M aspect décorat ? f intéressant.

Dans les deux figure ;., suivante ;., nuus ul/um re/ruuver cei un uspeci detcoratxif La figure 63 représente une jardinière hélicoidale constituée de bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) qui se superposent en tournant de 600 par rang.

Les axes longitudinaux (6) des bacs paysagers (47) se recoupent au centre de l'alvéole (2) et font entre eux un angle de 600.

Les clavettes (14) engagées dans les nervures centrales d'un rang dans les parties cylindriques (9) du bac inférieur.

Des < ? m' ve/c 2 peMv ' ccw't7 6e circulaire (4), pour alimenter chaque bacs paysagers (47) par des goutteurs intégrés .

La centrale centrale 7 f'l f 7'd f "t 1 Ces iardinières hélicoïdales pei"ent avoir aielaies rangs, mois elles peuvent être beaucoup plus hautes et devenir des poteaux-jardinières, comme le /MC'M'e/gM MA7.

Z, g/ 'OM'2. la ele"., ro il. d nrivalito Io Il est conçu comme la jardinière hélzcoïdale.

Des éléments de tubes (48) vont assurer le verrouillage.

La mise en place du ferraillage par des éléments (49) et le bétûiîiîage des alvéoles (2) permettent d'assurer la stabilité du poteau-jardinière par son ancrage dans une fondation.

Lafigure 65 montre le plan du moule des bacs paysagers (1) et úes cluveiies /141 11'J.

Z-É' < 7Cy < y) < ? ! / < ''/' < 7/É' < 'M ?/ ? / < 7C ? É' '7C7 < ? ? / ? - ! ion en même temps que les clavettes (14) qui sont accolées deux par deux.

Les clavettes dûîtv'les soîtt eiilf--e tes ûacs pa-ysagei-s daiis te moule.

La figure 66 montre la palettisation des bacs paysagers (1) et des clavettes (14).

La palettisation s'effectue simplement en resserrant les bacs paysagers (1) et les clavettes (14) doubles par les pinces de palettisation.

Cette longue description, détaillée par un grand nombre de figures, montre les principales possibilités techniques et décoratives de ce bac, vérituble mudule paysager ? r/ ? cMr /Mr OM . y OMvrsg ' y e /'evoHe/e paysager.

Claims (10)

1. 

   REVEAICA YC.

   J) Pa3S < ? g 7 ayCcie Mve clavette (14), en bétonCcoloré,0 p é abriquéà la. se, dëe à créer des soutènements pay agersgin linés ou verticaux, desMrs de clôture paysagetw, des jai-dittiètes Colliposées...... cotistitué piiticipaloitictit de deu-v alvéoles MX- symétriques par rapport à leur (L'Ce transversal (7) caractérisées en ce Qu'elles sont constituées var deux varties cvlindriQues (9) et mVe/ee 'eCOCe 7 M < 3 77,/6 m' yb 6 h"e to et"vy/7} p2te > tSnr > -Z sf iV ot rt e ^e nt. ee. ^ frSi. rte. n tevt etei v > > s. e t 7ini.-steiv rS"zse. < transversalement d'encoches (10) et de tenons (11), les axes des joints (8) entre longu > , ! r égule 2 ?. J p. S = p, l'. xe franslewual fR) fleS h^ > es n n7stger 7) est. 7/nc / 7Mp /rg V/ C < ' g OC situé à pl2 de l'axe des joints (8) et les axes transversaux (7) des alvéoles (2) sont situés à p/4 de l'axe transversal (3) des bacs paysagers (1) et de í'axe des joints (8).
2. 2) Bac paysager (1), selon la revendication 1, caractérisé en ce que, les encoches (10) sont alignées sur l'axe longitudinal (6) et sur des axes parallèles (12) décalés de 2 e de l'axe longitûdinal (6), les tenons (11) sont alignés sûr des axes (13) décalés de e de l'axe longitudinal (6), e, distance entre les axes (12) des encoches (10) et les axes (13) des tenons (11), est déterminé de manière à ce que de chaque côté des alvéoles (2) ily ait au moins 3 encoches (10) et 2 tenons (11).
3. 3) Bac pasageï (1), selon les revendications 1 et 2, cmc/je e ce 6/cj u t ieîise eî-t ce principales sont différentes : une face (J 5) ne comporte pas de fruit, tandis que principales sont différentes : une face (15) ne comporte pas de fruit, tandis que l'autre f ce (c et ses abou s (M7) en p ésente un, les de x abou.s de coclave- e 7), M/ ? C OM C" ? M" 7 . ? ? M < 7 C// / ? C < ? C/ ? 7, (14) sont conçus légère ment a,,-, iit- :. L-is pou,,-s'adaptür aux d Ur--s el-tL-U-t-111-tes les en plan des extrémités n'ont pas de fruit, la distance entre ces faces (18), les faces (18) des extrémités n'ont pas de fruit, la distance entre ces faces (18), c'est à des alvéoles (2), moins un léger jeu, la largeur à mi-hauteur des OM < / < 7 C// 7) / < 7/e < 7/ < 7//- ? < 7/ < ? e < '/ ? CC'C/ ? e /, / une clavette (14) engagée dans une encoche (10) du bac paysager (1) se positionne une clavette (J 4) engagée dans une encoche (10) du bac paysager (1) se positionne 4iq il4'-iîî, ; 1 U4/11 1 autoiîîat ueiiie t u-, ria te-ui-et soliu'ai-t, 3-e- tt-p-u--y-à-u-gei-i@aiig , ; ei i, du li
4. 4) Bac paysager (1), selon les revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les encoches (l0) ont une face (21) sans fruit comme la face sans fruit (/5) de la clavette (14) et une face (22) avec un fruit identique à celui des faces avec fruit (16) et (17) d la clavette (14), lbs 2 des encoches 7 ont un7/a'o (16) et f] 7) de la clavette fl4), Zes, 7 < ands 23) des encoches (lO) ont W ;, rayon de courbure égal à celui des dev. x parties cylindriques (9), la distance entre deux fonds (23). sur un même axe (6) ou (12) et dans une même alvéole (2), est égale au diamètre des deux parties cylindriques (9).

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5. 5) Bac paysager (1), selon les revendications 1 à 4, caractérisé en ce qu'it'est symétrique par rapport à son axe transversal (3), sur lequel se trouvent d'une part deux cavités à base circulaire légèrement coniques (4), reliées par une partie à deux cavités à base circulaire légèrement coniques (4), reliées par une partie à ecb cgM/a'e p/'et e/e6/Me'M cee/''e 'ecb rectangC O i ?, C' d < 2 M'el/ < ? 0 MO 'ùfM ! ? pr C artie haute, sur l'axe longitMdinst71 (6), une encoche cylindrici7ue 620).
6. 6) Bac paysager (1), selon les revendications 1 à 5, caractérisé en ce que le 6) Bac paysager (1), selon les revendications 1 à 5, caractérisé en ce que le composé, périphérique du bac paysager (1), qui comporte un léger fruit est diamètre est légèrement injërieur à pl2, centrées à l'intersection de l'axe diamètre est légèrement inférieur à p12, centrées à l'intersection de l'axe longitudinal (6) du bac paysager (1) et des axes transversaux (7) des alvéoles (2) et raccordées à deux parties planes (25) situées de part et d'autre de l'axe transversal cl et sur les 2 façades transversales une partie cylindrique (26) avec un rayon de courbure un peu inférieur à pl2 et dont le centre se situe sur l'axe longiiudi, ria' sur chaquejûçau-'L--lu-iigliudiriatcl-U-'e-s catiiiel'ures art-oridies uvec l'e- 1'171 meme, 4ruit yue la façade sont imp, 7antetesn dces axes i, 74C, 7, 7Md's (27) passant par In l'axe longitudinal (6) du bac paysager (1), les centres de cannelures arrondies (28) centre des alvéoles (2) font un angle détermine, 600 par exemple, par rapport à & (30) se trouvent à l'intersection de cercles centrés à l'axe longitudinal (6) du bac paysager (1) et m'a'' < ? m' /o/e Jo . gg/ à + 7 < 7' < 7///e6'/ ?/ < < m'5'// ? C// 27, CO l'axe transversal (3) du bac paysager (1), d'autres cannelures (29) sont implantées gg/ee M/'/ Ce/'C/ej cC/' < CeMM M Cd (/''e t'WMëM/ M uC jE'eTge e < X MM MMC 6 'g, ' /vec Z paysager (1) et à une dista- ?--,- e des ayes'7) doc, Silr/-es 2façades transversales des cannelures (31), sont centrées à l'intersection des axes des tenons (13) et des axes des joints (8) entre bacs paysagers (1) consécutifs, leur centre se situe également sur les cercles décrits ci-dessus, la swface légèrement conique des cannelures (28), (29), (30) & (31) est égale à une portion de la surface des deux cavités à base circulaire légèrement coniques (4), ces cannelures ont une utilisation pratique de verrouillage, mais donne aussi un aspecí esthétique aux façades longitudinales et transversales.

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7. 7) Talus paysager caractérisé en ce qu'il est réalisé à partir de bacs paysagers (1) et de clavettes (14) selon les revendications 1 à 6, les clavettes (14) liaisonnent les bacs paysagers (1), cette liaison mécanique permet plusieurs inclinaisons de talus paysagers, pour un décalage par rang égal à 2e ou 4e, les clavettes (14) engagées à mi-hauteur dans les encoches (10) centrales ou avant des bacs paysagers (1) du second rang s'implantent dans les encoches (10) arrière des bacs paysagers (1) du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants, à chaque rang la face sans fruit (15) des clavettes (14) s'adosse à la face sans fruit (21) des encoches (10) centrales ou avant des bacs paysagers (1), laface sans fruit (15) des clavettes (14) et la face sans fruit (21) des encoches (10) se situent du côté aval du talus paysager, tandis que la face avec fruit (17) des clavettes (14) et la face avec fruit (22) des encoches (10) sont du côté amont, c'est à dire du côté terre, l'orientation peut aussi être inversée, dans ce cas le décalage par rang est de (2e-j) ou (4e-j)), f étant le fruit sur la hauteur du bac paysager (1) et de la clavette (14), dans tous les cas ci-dessus les clavettes (14) liaisonnent les bacs paysagers (1) transversalement et longitudinalement, elles ne les liaisonnent que transversalement dans les cas ci-dessous, ce qui permet de réaliser des talus paysagers avec une courbure, avec les décalages d, (d+2e) et (d+4e). d est le décalage des rangs lorsque la face avec fruit (16) de la clavette (14) positionnée dans les encoches (10) arrière des bacs paysagers (1) d'un rang, tangente les parties cylindriques (24) de la façade longitudinale des bacs paysagers (1) du rang inférieur, dans ces trois décalages, les faces (16) des clavettes (14) engagées dans les encoches arrière, centrales ou avant des bacs paysagers (1) du second rang tangentent les parties cylindriques (24) de la façade longitudinale des bacs paysagers (1) du premier rang, et ainsi de suite pour les rangs suivants, différents montages permettent d'obtenir une infinité d'inclinaisons et d'une manière générale deux ou plusieurs rangs peuvent se décaler de 2e, (2e-j), 4e, -/), d, (d+2e) et (d+4e).

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8. 8) Muret vertical caractérisé en ce qu'il est réalisé à partir de bacs paysagers (1) et de clavettes (14) selon les'revendications 1 à 6, les bacs paysagers (1) sont montés en quinconce, suivant un alignement droit ou avec une courbure, les bacs paysagers (1) dans la partie droite, se décalent de p et dans la partie courbe, ils pivotent d'un angle 2a, sur un cercle dont le centre est situé sur leur axe tranversal (3) et de rayon R, R = (pl4)/tang (al2), les clavettes (14) sont implantées transversalement et sont rayonnantes dans la partie courbe, ces murets verticaux ne peuvent reprendre par leur simple poids une grande hauteur de soutènement, leurs performances peuvent être améliorées par le ferraillage et le bétonnage des alvéoles (2), les éléments de ferraillage (39) sont implantés transversalement et sont rayonnants dans la partie courbe. ils sont composés de 2 aciers (42), armature longitudinale destinée à reprendre les efforts de flexion, 1 acier de montage (43) et 2 aciers (44) soudés alternativement aux aciers longitudinaux (42) et à l'acier de montage (43), les parties courbes des 2 aciers (44) tangentent les parties cylindriques (9) des alvéoles (2) et débordent les aciers longitudinaux (42) et l'acier de montage (43) d'une épaisseur égale à l'enrobage des aciers, ceci afin d'obtenir un calage automatique des aciers, pour solidariser longitudinalement les alvéoles (2), à chaque rang, au droit de chaque axe transversal (3) et dans l'encoche cylindrique (20) une épingle en U renversé (45) est mise en place, les parties verticales de ces épingles (45) se recouvrent avec les aciers des éléments de ferraillage (39), une fois que les bacs paysagers (1) du muret de soutènement vertical sont montés ainsi que les épingles en U renversé (45), les éléments de ferraillage (39) insérés dans chaque alvéole (2) se positionnent dans l'axe (7), les 2 aciers longitudinaux (42) encadrant symétriquement les attentes (41).

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9. 9) Mur paysager vertical caractérisé en ce qu'il est réalisé à partir de bacs paysagers (1) et de clavettes (14) selon les revendications 1 à 6, un bac paysager (47) avec une alvéole Oge /M Mr C/MM'p MM/e ? aMeM de béton coulée dans le bas d'une des deux alvéoles (2) des bacs paysagers (1) pour constituer un fond, ces bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) permettent la construction d'un mur paysager vertical, au premier rang du mur paysager vertical, on réalise une succession d'éléments composés d'un bac paysager (1) et de deux bacs paysagers (47) avec une alvéole borgne inclinés symétriquement d'un angle déterminé, les axes inclinés (27) des bacs paysagers (47) avec une alvéole borgne, vont s'aligner avec les axes longitudinaux (6) des bacs paysagers (1), si l'angle déterminé est par exemple 600, les centres des alvéoles (2) borgnes sont distants du pas égal à p, au second rang la même succession d'éléments composés d'un bac paysager (1) et de deux bacs paysagers (47) avec une alvéole borgne est mise en place avec un décalage de p12, et ainsi de suite pour les rangs suivants, le décalage de pl2 des rangs va permettre d'alterner la position des jardinières, pour positionner automatiquement les bacs paysagers (1) et les bacs paysagers avec une alvéole borgne (47) des éléments de tubes (48) servent de gabarit, d'une longueur égale à plusieurs hauteurs de rangs, leur diamètre est légèrement inférieur à celui des cavités à base circulaire (4), ils sont engagés successivement tous les pl2 sur un même alignement dans une des deux cavités à base circulaire légèrement coniques (4) du bac paysager (1) et entre les cannelures (28), (30) & (31) de bacspaysagers successi s (1) & (47).

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10. 10) Mur poids caractérisé en ce qu'il est réalisé à partir de bacs paysagers (1) et de clavettes (14) selon les revendications 1 à 6, pour les murs poids réalisés en bacs paysagers (1), il est intéressant d'augmenter leur poids en élargissant les dimensions transversales du mur, on peut ainsi doubler l'épaisseur d'un mur de la manière suivante : au premier rang, on réalise sur deux alignements distants de pl2, des < 2C paysagers (1) au pas p, leMXiles sont décalées l'unepar rapport à l'autre longitudinalement d'une distance égale à p12, au second rang les bacs paysagers (1) disposés transversalement au pas pl2 se superposent et se clavettent avec les bacs paysagers (1) du premier rang, les clavettes (14) incorporées dans les encoches centrales (10) des bacs paysagers (1) du second rang, se positionnent transversalement dans les éléments du premier rang et ainsi de suite pour les rangs suivants, qui croisent alternativement des bacs paysagers (1) disposés longitudinalement et transversalement, on peut également augmenter l'épaisseur des murs de la manière suivante : au premier rang des ensembles formés de quatre bacs paysagers (1) sont décalés les uns des autres de 312 p, les axes longitudinaux (6) des quatre bacs paysagers (1) sont situés sur un carré de côté p et de centre 0, l'ensemble des quatre bacs paysagers (1) constitue un carré de 312 p de côté extérieur, au second rang les ensembles formés de quatre bacs paysagers (1) se superposent avec une rotation de 900 autour de leurs centres 0, les clavettes (14) sont toutes incorporées transversalement au mur, et ainsi de suite tous les deux rangs suivants, de la même manière, on peut également augmenter l'épaisseur des murs par des ensembles plus importants, par exemple par un ensemble de six bacs paysagers (1) qui constitue un carré de 2 p de côté extérieur, au premier rang des ensembles formés de six bacs paysagers (1) sont décalés les uns des autres de 2 p, les axes longitudinaux (6) des six bacs paysagers (1) sont situés sur un carré de côté 312 p, au second rang les ensembles formés de six bacs paysagers (1) se superposent avec une rotation de 900 autour des centres 0, les clavettes (14) sont toutes incorporées transversalement au mur, et ainsi de suite tous les deux rangs suivants, ces murs double ou constitués d'ensemble de quatre ou six bacs paysagers (1), peuvent se monter en arrondi.