FR2823983A1 - Engin de glisse comprenant deux planches - Google Patents

Abstract

Engin de glisse (1) qui comprend une planche haute (2) et une planche basse (3) solidarisées l'une à l'autre par deux liaisons (40, 41). L'engin est caractérisé par le fait que chaque liaison (40, 41) comprend une assise basse (42) solidaire de la planche basse (3), une assise haute (43) solidaire de la planche haute (2), ainsi que des moyens d'articulation qui permettent une rotation de l'assise basse (42) par rapport à l'assise haute (43), selon un axe sensiblement transversal de l'engin (1).

Description

verrouillage des coques en position fermée.

Engin de glisse comprenant deux planches L' invention se rapporte à un engin de glisse comprenant deux planches. L'engin est prévu pour être conduit par l 'action physique d'un utilisateur, avec ou sans l' aide de la gravité. De tels engins sont utilisés généralement sur des sols glissants comme de la neige ou de la glace, et parfois sur de

l'herbe ou du sable.

Dans certains cas les deux planches d'un engin de glisse

sont situées l'une au-dessus de l'autre.

C'est par exemple le cas dans le document US 3,343,847, o une planche haute est prévue pour supporter les deux pieds d'un utilisateur, et une planche basse est prévue pour glisser. Les deux planches sont solidarisées l'une à l'autre par deux liaisons, de façon que les planches soient écartées l'une de l'autre et orientées sensiblement dans une méme direction longitudinale. Les liaisons sont écartées l'une de l'autre longitudinalement. Cet engin permet d'évoluer, en suivant une trajectoire continue ou entrecoupée par des figures. Lors de la conduite l'engin est soumis à des efforts divers, dont certains qui le sollicitent en flexion selon un axe tranevereal. Les efforts de flexion appliqués sur toute la longueur de l'engin transitent par chaque liaison, dont la taille est réduite par rapport à celle de l'engin. De ce fait chaque liaison doit absorber des contraintes élevées résultant notamment de couples selon des

axes transversaux.

Ces contraintes accélèrent l'usure des liaisons et

engendrent, par suite, leur dégradation.

L' invention a notamment pour but de réduire les contraintes exercées sur chaque liaison, pour éviter sa détérioration, ou

au moins pour la retarder de façon significative.

Pour cela, l' invention propose un engin de glisse comprenant deux planches situées l'une au-dessus de l'autre, une planche haute prévue pour supporter les deux pieds d'un utilisateur, et une planche basse prévue pour glisser, les deux planches étant solidarisées l'une à l'autre par deux liaisons, de façon que les planches soient maintenues écartées l'une de l'autre, les

liaisons étant écartées l'une de l'autre longitudinalement.

L'engin de glisse selon l' invention est caractérisé par le fait que chaque liaison comprend une assise basse solidaire de la planche basse, une assise haute solidaire de la planche haute, ainsi que des moyens d' articulation qui permettent une rotation de l'assise basse par rapport à l'assise haute, selon

un axe sensiblement transversal de l'engin.

En permettant la rotation relative des assises, les moyens darticulation permettent une répartition des contraintes le long de chaque planche notamment dans le cas o ces contraintes résultent de couples selon des axes transversaux. Ainsi chaque articulation véhicule des efforts plus faibles. Il s'ensuit avantageusement que l'usure et la dogradation des liaisons sont réduites. D'autres caractéristiques et avantages de l' invention seront

mieux compris à l' aide de la description qui va suivre, en

regard du dessin annexé illustrant, selon des exemples non limitatifs, comment l' invention peut être réalisoe, et dans lequel: - la figure l est une vue en perspective d'un engin de glisse selon un premier exemple de réalisation de l'invention, - la figure 2 est une vue de côté de l'engin de la figure l, - la figure 3 est une vue en perspective éclatée de l'engin de la figure l, - la figure 4 est une coupe selon IV-IV de la figure l, - la figure 5 est une vue de côté partielle d'un engin de glisse selon un deuxTème exemple de réalisation de l'invention, - la figure 6 est une vue en perspective éclatée d'une liaison d'un engin de glisse selon un troisième exemple de réalisation de l 'invention, - la figure 7 est une vue en perspective d'une liaison d'un engin de glisse selon un quatrième exemple de réalisation de

l' invention.

Le premier exemple est décrit ci-après à l' aide des figures

1 à 4.

De manière connue comme on le voit sur la figure l un engin de glisse l comprend deux planches situées l'une au-dessus de

lautre, une planche haute 2 et une planche basse 3.

L'engin l s'étend longitudinalement d'une première 4 à une deuxième 5 limite, chacune des limites 4, 5 pouvant être considérée comme l'arrière ou comme l' avant. L'engin 1 s'étend transversalement d'un premier 6 à un second 7 côté, chacun des côtés 6, 7 pouvant être considéré comme côté droit ou côté gauche. Le périmètre de la planche haute 2 comprend une première extrémité 10, un premier bord latéral 11, une deuxième

extrémité 12, et un deuxTème bord latéral 13.

Un dessus 14 de la planche haute est prévu pour recevoir les

pieds de l'utilisateur.

Comme le montre mieux la figure 2 la planche haute 2 présente, de la première 10 à la deuxième 12 extrémité, une première spatule 15, une portion centrale 16, et une deuxième

spatule 17.

Chaque spatule 15, 17 doit être comprise comme étant une portion d'extrémité relevée de la planche haute 2. Chacune des spatules 15, 17 est représentée sous la forme d'une portion

incurvée, dont le ou les centres de courbure sont vers le haut.

Cependant chacune des spatules pourrait avoir une structure différente, comme celle d'une portion droite relevoe, ou d'une portion courbe en surélévation, mais dont le ou les centres de

courbure seraient vers le bas.

La planche haute 2 est réalisée de préférence à partir de bois, tel quun lamellé-collé ou un équivalent. Cependant d'autres matériaux pourraient convenir. Par exemple il pourrait être prévu d'empiler un renfort de matériau composite, un noyau de mousse et / ou de bois, et un autre renfort de matériau composite. Les renforts peuvent être couverts de couches de protection contre les agressions extérieures, comme une couche

de matière plastique.

I1 peut également être prévu de couvrir le dessus 14 avec une couche d'amortissement. Cette couche peut être réalisoe à partir de caoutchouc, de silicone, de liège, de mousse d'une

matière plastique, ou de tout matériau équivalent.

Comme on le voit mieux sur la figure 3, la planche basse 3 a quant à elle un périmètre qui comprend une première extrémité , un premier bord latéral 21, une deuxième extrémité 22, et

un deuxième bord latéral 23.

Un dessous 24 de la planche basse 3 est prévu pour glisser sur un support, ce dernier pouvant être de la glace, de la

neige, de l'herbe, un tissu synChétique, ou autre.

La planche basse 3 présente, de la première 20 à la deuxTème 22 extrémité, une première spatule 25, une portion centrale 26,

et une deuxTème spatule 27.

Là encore chaque spatule 25, 27 doit être comprise comme

étant une portion d'extrémité relevée de la planche basse 3.

Chacune des spatules 25, 27 est représentée sous la forme d'une portion incurvée dont le ou les centres de courbure sont

situés vers le haut, cette forme n'étant pas limitative.

La planche basse 3 est de préférence constituée par un ski.

De ce fait elle est formée par un empilement vertical qui peut se composer, de bas en haut, d'une couche de glisse, d'un renfort inférieur, d'un noyau, d'un renfort supérieur, et d'une couche de protection. Cet empilement comprend essentiellement

des matériaux composites, et éventuellement du bois.

Les bords 21, 23 et / ou les extrémités 20, 22 de la planche

basse 3 peuvent présenter des carres.

Bien entendu, d'autres matériaux pourraient être utilisés

pour faire la planche basse 3.

Les deux planches 2, 3 sont solidarisoes l'une à l'autre par une première 40 et une deuxième 41 liaison, de façon que les planches 2, 3 soient maintenues écartées l'une de l'autre verticalement, et orientées sensiblement dans une même direction longitudinale. Les liaisons sont écartées l'une de

l'autre longitudinalement.

Etant donné que les liaisons 40, 41 sont identiques ou

similaires, une seule d'entre-elles est décrite ci-après.

Selon l 'invention la première liaison 40 comprend une assise basse 42 solidaire de la planche basse 3, une assise haute 43 solidaire de la planche haute 2, ainsi que des moyens d' articulation qui permettent une rotation de l'assise basse 42 par rapport à l'assise haute 43, selon un axe sensiblement

transvereal de lengin 1.

L'assise basse 42 est représentée sous la forme d'un demi-

cylindre, avec une face plate 44 et une face cylindrique 45. La face plate 44 vient en appui au-dessus d'une face supérieure 46 de la planche 3, et la face cylindrique 45 est tournce vers le haut. L'axe de révolution W du cylindre est orienté transversalement par rapport à la planche basse 3, et par rapport à l'engin 1. L'assise basse 42 est solidarisée à la planche basse 3 par un moyen représenté sous la forme de vis 47, 48. Chacune des vis 47, 48 se visse dans la planche 3, en passant par des trous 49, 50 à travers l'assise basse. Ce moyen de solidarisation

permet un démontage, ce qui facilite l'entretien de la liaison.

Cependant d'autres moyens de solidarisation pourraient convenir, comme un rivetage, un encliquetage, un collage ou autre. I1 pourrait aussi être prévu que l'assise basse 42 forme

avec la planche basse 3 une pièce monobloc.

Ainsi, la solidarisation de l'assise basse 42 à la planche

basse 3 peut être amovible ou non.

L'assise haute 43 est quant à elle représentée sous la forme d'un bloc qui vient en appui, par une face plate 60, sur une

face inférieure 61 de la planche haute 2.

A l'opposé de la face plate 60 du bloc est ménagée une rainure cylindrique concave 62 dont l'axe de révolution est orienté transversalement, par rapport à la planche haute 2, et

par rapport à lengin 1.

L'assise haute 43 est solidarisée à la planche haute 2 par un moyen représenté sous la forme d'une vis 63 et dun écrou 64. La vis 63 traverse un trou 65 de la planche haute 2, puis un trou 66 de l'assise haute 43, pour se visser dans l'écrou 64. Bien entendu là encore ce moyen de solidarisation facilite lentretien. Comme dans le cas de l'assise basse 42 d'autres moyens de solidarisation pourraient également convenir, et l'assise haute

pourrait former avec la planche haute 2 une pièce monobloc.

Comme on le comprend mieux à l' aide de la figure 4, les moyens d' articulation de l'assise basse 42 par rapport à l'assise haute 43 comprennent la face cylindrique 45 de l'assise basse 42, la rainure cylindrique 62 de l'assise haute 43, le trou 66 de l'assise haute 43, une fente 67 de l'assise basse 42, ainsi que la vis 63 et l'écrou 64 du moyen de solidarisation de l'assise haute 43 à la planche haute 2. La vis 63 traverse également la fente 67 de l'assise basse 42 pour se visser dans l'écrou 64, maintenant ainsi la face cylindrique 45 dans la rainure cylindrique 62. Bien entendu il aurait pu être prévu que la vis 63 et l'écrou 64 servent uniquement à solidariser l'assise haute 43 à la planche haute 2, et qu'une autre vis soit utilisée pour les moyens d' articulation. L'utilisation de la seule vis 63 permet de réduire le nombre de pièces nécessaires à la fabrication de

ltengin 1.

La fente 67 de l'assise basse 42 présente une portion haute 68 orientée dans le sens de la direction longitudinale de lengin 1. La forme de la portion haute 68 est par exemple oblongue. La longueur de la portion 68 est sensiblement supérieure au diamètre de la vis 63, et sa largeur est à peine supérieure au diamètre de la vis 63. Cela permet un débattement

longitudinal de la vis 63 et son maintien latéral.

La fente 67 de l'assise basse 42 présente une portion basse 69 qui prolonge la portion haute 68 vers le bas. Cette portion basse 69 est également orientée dans le sens de la direction longitudinale de l'engin 1. La portion basse 69 est à la fois plus longue et plus large que la portion haute 68. Sa longueur est sensiblement supérieure au diamètre de l'écrou 64, et sa largeur est à peine supérieure au diamètre de l'écrou 64. Cela permet un débattement longitudinal de l'écrou 64, et son

immobilisation en rotation.

Pour faciliter une rotation de l'assise haute 43 par rapport à l'assise basse 42, selon un axe transvereal de l'engin 1, la face cylindrique 45 de l'assise basse 42 et la rainure cylindrique 62 de l'assise haute 43 présentent sensiblement le même rayon de courDure. Ainsi l'axe de révolution de la face cylindrique 45 de l'assise basse 42 se confond avec l'axe de révolution de la rainure cylindrique concave 62 de l'assise

haute 43.

Pendant la conduite de l'engin 1 les planches haute 2 et basse 3 se déforment en flexion longitudinale, notamment au niveau des spatules. I1 est fréquent par exemple que chacune des spatules 25, 27 de la planche basse 3 se rapproche élastiquement de la planche haute 2 jusqu'à la toucher. En conséquence les assises des liaisons oscillent l'une par rapport à l'autre selon un axe transversal de l'engin. Dans la première liaison ce phénomène se traduit par une rotation de la face cylindrique 45 de l'assise basse 42 dans la rainure

cylindrique 62 de l'assise haute 43.

La rotation relative des assises 42, 43 évite qu'un couple darrachement soit exercé au niveau de la face d'appui 44, 60

de l'assise 42, 43 sur la planche 2, 3.

Cela permet une répartition des contraintes le long de chaque planche, et une réduction des efforts qui transitent par les liaisons. De ce fait l'usure et la dégradation des liaisons

sont réduites.

De plus, chaque planche fléchit plus librement dans le sens

de la longueur.

En termes de dimensions les planches haute 2 et basse 3 ont de préférence chacune sensiblement la même longueur, qui est

comprise entre 0,5 et 2 mètres.

Cependant, une longueur voisine de 0,8 à 1 mètre offre un

bon compromis entre poids et stabilité en conduite.

La planche haute 2 est de préférence plus large que la planche basse 3. Par exemple la largeur de la planche haute peut être comprise entre 150 et 350 mm, tandis que la largeur

de la planche basse peut être comprise entre 60 et 150 mm.

Chacune des liaisons 40, 41 est de préférence située à une distance comprise entre 100 et 500 mm d'une extrémité 10, 12,

, 22 de la planche haute 2 ou de la planche basse 3.

Les liaisons 40, 41 peuvent être disposées sensiblement de facon symétrique par rapport à un axe traneversal central de

l'engin.

Les autres exemples de réalisation de l' invention sont

présentés ci-après à l' aide des figures 2 à 7.

Pour des raisons de commodité, seules les différences par

rapport au premier exemple sont décrites en détail.

Le deuxième exemple est présenté à l' aide de la figure 5. I1 se rapporte à un engin de glisse 80 qui comprend notamment une planche haute 81, une planche basse 82, et une liaison 83 entre les planches. Une autre liaison de l'engin nest pas visible sur la figure. Chacune des liaisons est similaire à celles du premier exemple. L'engin 80 est muni d'une cale 84 disposée entre la liaison 83 et l'une des planches 81, 82. La cale 84 est ici insérée entre la liaison 83 et la planche haute 81, mais elle aurait pu être insérée entré la liaison 83 et la planche basse 82. Il aurait également pu être prévu deux cales

de part et d'autre de la même liaison.

Chaque cale peut servir à ajuster la distance entre les planches 81, 82. Elle est dans ce cas réalisée par exemple avec une matière relativement rigide telle qu'une matière plastique

ou métallique.

Chaque cale peut servir à amortir des chocs et des vibrations. Elle est dans ce cas réalisée par exemple avec une matière plus souple telle que du caoutchouc, du silicone, un

aggloméré de liège, ou autre.

Le troisième exemple est présenté à l' aide de la figure 6.

Il se rapporte à un engin de glisse dont une liaison 90 présente une structure qui diffère de celle selon le premier exemple. La liaison 90 est une articulation qui comprend une assise basse ou socle 91, en forme de U. et une assise haute ou doigt 92 articulé par rapport au soale 91 à l' aide d'un tourillon 93. Ce dernier est orienté transverealement par rapport à l'engin. Bien entendu, le socle 91 et le doigt 92 peuvent être fixés à la planche haute ou à la planche basse par

tout moyen, ou former avec la planche une pièce monobloc.

Le quatrième exemple est présenté à l' aide de la figure 7.

Il se rapporte à un engin de glisse dont une liaison 100 présente une structure qui diffère de celles selon les exemples antérieurs. La liaison 100 est une articulation qui comprend deux assises réalisées sous la forme d'un premier 101 et d'un deuxième 102 socles fendus, reliés l'un à l'autre par un moyen

d' articulation réalisé sous la forme d'une lame flexible 103.

La lame est insérée dans les fentes des socles 101, 102, et maintenue dans les fentes par tout moyen tel qu'un collage, un vissage, un rivetage, un montage en force, un encliquetage, ou autre. La lame 103 est orientée transverealement par rapport à

l'engin de glisse.

Dans tous les cas, l' invention peut être réalisée à partir de tous les matériaux mis en _uvre selon toutes les techniques

connues de l'homme du métier.

Bien entendu, linvention n'est pas limitée aux exemples ci-

avant décrits, et comprend tons les Equivalents techniques

pouvant entrer dans la portée des revendications qui vont

suivre. En particulier, il est possible de prévoir d'autres structures pour chaque liaison de la planche haute à la planche

basse de l'engin.

Il est touj ours possible de permuter les assises haute et

basse pour réaliser une liaison.

Claims (11)

REVENDICATIONS

1- Engin de glisse (1, 80) comprenant deux planches (2, 3, 81, 82) situées l'une au-dessus de l'autre, une planche haute (2, 81) prévue pour supporter les deux pieds d'un utilisateur, et une planche basse (3, 82) prévue pour glisser, les deux planches (2, 3, 81, 82) étant solidarisées l'une à l'autre par deux liaisons (40, 41, 83, 90, 100), de facon que les planches (2, 3, 81, 82) soient maintenues écartées l'une de l'autre, les liaisons (40, 41, 83, 90, 100) étant écartées l'une de l'autre longitudinalement, caractérisé par le fait que chaque liaison comprend une assise basse (42, 91, 102) solidaire de la planche basse (3, 82), une assise haute (43, 92, 101) solidaire de la planche haute (2, 81), ainsi que des moyens d' articulation qui permettent une rotation de l'assise basse (42, 91, 102) par rapport à l'assise haute (43, 92, 101), selon un axe

sensiblement transversal de l'engin (1, 80).

2- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'une assise (42) présente la forme d'un demi-cylindre, que l'autre assise (43) est un bloc dans lequel est ménagée une rainure cylindrique concave (62), et que les moyens d' articulation dune assise par rapport à l'autre comprennent une face cylindrique (45) du demi-cylindre, la rainure cylindrique concave (62) du bloc, un trou (66) du bloc (43), une fente (67) de l'assise en demi-cylindre, ainsi qu'une

vis (63) et un écrou (64).

3- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 2, caractérisé par le fait que l'assise (42) en demi-cylindre est solidarisée à la planche basse (3), et que le bloc rainuré est

solidarisé à la planche haute (2).

4- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 3, caractérisé par le fait que la fente (67) présente une portion haute (68) et une portion basse (69) qui prolonge la portion haute vers le bas, les portions étant orientées dans le sens de la direction longitudinale de l'engin (1, 80), la portion basse (69) étant à la fois plus longue et plus large que la portion

haute (68).

- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 3 ou 4, caractérisé par le fait que le moyen de solidarisation de l'assise basse (42) à la planche basse (3) comprend deux vis

(47, 48).

6- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 3 ou 4, caractérisé par le fait que le moyen de solidarisation de l'assise haute (43) à la planche haute (2) comprend la vis (63) et l'écrou (64), la vis (63) traversant un trou (65) de la

planche haute (2).

7- Engin de glisse (1, 80) selon l'une des revendications 1

à 6, caractérisé par le fait que la planche haute (2) est plus

large que la planche basse (3).

8- Engin de glisse (1, 80) selon l'une des revendications 1

à 7, caractérisé par le fait que les planches haute (2) et

basse (3) ont chacune sensiblement la même longueur.

9- Engin de glisse (1, 80) selon l'une des revendications 1

à 8, caractérisé par le fait que les liaisons (40, 41, 83, 90, ) sont disposoes de facon symétrique par rapport à un axe

transversal central de l'engin.

- Engin de glisse (1, 80) selon l'une des revendications 1

à 9, caractérisé par le fait que les planches haute (2) et basse (3) présentent respectivement, à chacune de leurs

extrémités, des spatules (15, 17, 25, 27).

11- Engin de glisse (1, 80) selon l'une des revendications 1

à 10, caractérisé par le fait qu'au moins une cale (84) est

insérée entre une liaison (83) et une planche (81, 82).

12- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'une assise est un socle (91), que l'autre assise est un doigt (92) , et que les moyens d' articulation d'une assise par rapport à l'autre comprennent

un tourillon (93).

13- Engin de glisse (1, 80) selon la revendication 1, caractérisé par le fait qu'une assise est un socle fendu (101), que l'autre assise est un soale fendu (102), et que les moyens d' articulation comprennent une lame flexible (103) insérée dans

les fentes des socles (101, 102).