FR2820380A1

FR2820380A1 - Vehicule automobile avec au moins une barre de toit

Info

Publication number: FR2820380A1
Application number: FR0101430A
Authority: FR
Inventors: Serge Poulet
Original assignee: Scambia Industrial Developments AG
Current assignee: ACPS Automotive Holding 2 BV
Priority date: 2001-02-02
Filing date: 2001-02-02
Publication date: 2002-08-09
Anticipated expiration: 2021-02-02
Also published as: DE20201533U1; FR2820380B1

Abstract

Véhicule automobile avec au moins une barre de toit.Le véhicule automobile (1) a un pavillon (2) avec un toit (3) et deux saillies latérales (5) et/ ou gorges latérales (7) qui sont disposées aux côtés opposés du toit (3) et s'étendent en général dans la direction longitudinale du véhicule (1). Le véhicule automobile (1) est muni d'au moins une barre de toit (22) pouvant être serrée de façon détachable sur le pavillon (2). Chaque barre de toit (3) comprend deux pattes (37) pour saisir les saillies latérales (5) et/ ou gorges latérales (7). Chaque patte (37) a au moins un trou de prise (37h) ou au moins une saillie de prise qui peut être mis en prise avec une saillie d'arrêt (16b) ou un trou d'arrêt stationnaire par rapport au pavillon (2) et limitant et/ ou empêchant des déplacements de la barre de toit (22) lors d'une collision frontale ou d'une collision par l'arrière.

Description

DESCRIPTION Le véhicule automobile est muni d'au moins une barre de toit d'un porte-charge qui possède normalement encore au moins une autre barre égale ou similaire. La barre de toit peut être arrangée sur le pavillon d'un véhicule dans une direction transversale par rapport au véhicule automobile.

Les pavillons de véhicules connus comportent une gorge latérale à proximité de chaque bord longitudinal du toit. Des porte-charges connus comportent des barres de toit dont chacune a un secteur central et/ou principal ainsi que deux éléments de serrage arrangés aux extrémités dudit secteur.

Chacun des éléments de serrage possède une patte qui peut être accrochée dans une des gorges du pavillon. Des barres de toit serrées de cette manière ont l'inconvénient qu'une collision frontale ou une collision par l'arrière du véhicule automobile amène le risque que les pattes glissent le long des gorges et sortent de celles-ci et que les barres de toit se séparent du pavillon et s'envolent.

La présente invention a pour but de fournir un véhicule automobile muni d'au moins une barre de toit qui permet d'éliminer l'inconvénient mentionné.

Selon l'invention, ce but est atteint par un véhicule automobile avec un pavillon et au moins une barre de toit pouvant être serrée de façon détachable sur le pavillon, le dernier comportant un toit et deux saillies latérales et/ou gorges latérales disposées aux côtés opposés du toit, chaque barre de toit comportant deux pattes formées pour saisir les saillies latérales et/ou gorges latérales du pavillon, le

véhicule étant caractérisé en ce que chaque patte a des moyens de prise formées de manière à ce qu'ils soient en prise avec des moyens d'arrêt stationnaires par rapport au pavillon et limitent et/ou empêchent des déplacements de la barre de toit le long des saillies latérales et/ou gorges latérales si la barre de toit est serrée au pavillon.

De préférence, les moyens d'arrêt comportent, pour chaque patte, au moins une saillie d'arrêt qui pénètre dans un trou de prise d'une patte attribuée ou au moins un trou d'arrêt dans lequel pénètre une partie de prise d'une patte attribuée si la barre du toit est serrée au pavillon.

Avantageusement, chaque saillie d'arrêt a une section qui s'élargit vers une extrémité libre de la saillie d'arrêt au moins dans une coupe dans la direction longitudinale de la saillie latérale et/ou gorge latérale à laquelle la saillie d'arrêt est arrangée. Ladite section de chaque saillie d'arrêt a alors deux sections de surface opposées qui sont inclinées dans ladite coupe à des côtés opposés par rapport à un plan médian à travers la saillie d'arrêt. Ladite section de chaque saillie d'arrêt est, par exemple, conique. Chaque saillie d'arrêt est, par exemple, formée par une section d'une vis fixée au pavillon.

Dans une forme préférée de réalisation, chaque saillie d'arrêt a une section d'extrémité qui forme une extrémité libre de la saillie d'arrêt et est dirigée vers cette extrémité libre vers le bas et, par exemple, inclinée par rapport à un plan médian vertical du véhicule de manière à ce qu'elle s'éloigne de ce plan médian du véhicule vers le bas.

Dans une forme avantageuse de réalisation, chaque saillie d'arrêt est formée par un crochet.

Les moyens d'arrêt comportent, par exemple, pour chaque patte un élément d'arrêt qui est formé d'une pièce unique et possède une base et/ou un dos couché sur une surface du pavillon et au moins un crochet et, par exemple, au moins deux crochets servant comme saillie d'arrêt.

Dans une autre forme avantageuse de réalisation, les moyens d'arrêt comportent pour chaque patte un élément d'arrêt qui est formé d'une pièce unique et possède une base et/ou un dos couché sur une surface du pavillon ainsi qu'au moins une bosse et, par exemple, au moins deux bosses limitant, au moins en partie, un trou d'arrêt.

Avantageusement, chaque barre de toit comporte un secteur central disposé entre les deux pattes et des moyens de réglage pour régler une distance entre les deux pattes et pour relier au moins une de celles-ci au secteur central de manière à ce que cette patte puisse faire des mouvements limités par rapport au secteur central si la barre de toit est desserrée et que les moyens de réglage relient la patte en question de façon immobile au secteur central si la barre de toit est serrée au pavillon.

L'objet inventé va maintenant être expliqué plus en détail à l'aide d'exemples de réalisation avantageux représentés dans le dessin. Dans le dessin : la figure 1 représente une vue oblique sur un véhicule automobile équipé d'un porte-charge avec deux barres de toit, la figure 2 représente une coupe à travers une portion du véhicule automobile et de l'une des barres de toit dans la direction longitudinale de celle-ci,

la figure 3 représente une vue sur la section d'extrémité inférieure de l'une des pattes d'une barre et sur un élément d'arrêt dans la direction de la flèche III dans la figure 2 sur une plus grande échelle, la figure 4 représente une coupe courant le long de la ligne III-III dans la figure 2 à travers une section du pavillon et la section d'extrémité inférieure de la patte sur la même échelle que la figure 3, la figure 5 représente une vue d'un autre élément d'arrêt avec deux crochets dans la direction des flèches V dans les figures 7 et 8, la figure 6 représente une vue sur l'élément d'arrêt selon la figure 5, dans la direction des flèches VI dans les figures 7 et 8, la figure 7 représente une coupe courant le long de la ligne VII-VII dans la figure 6 à travers l'élément d'arrêt et la section d'extrémité inférieure d'une patte, la figure 8 représente une coupe courant le long de la ligne VIII-VIII dans la figure 6 à travers l'élément d'arrêt et la section d'extrémité inférieure de la patte, la figure 9 représente ure vue correspondant à celle dans la figure 8, mais à travers une patte modifiée, la figure 10 représente une vue correspondant à celle dans la figure 6 sur un autre élément d'arrêt avec deux trous,

la figure 11 représente une coupe courant le long de la ligne XI-XI dans la figure 10 à travers l'élément d'arrêt et une section d'une patte, la figure 12 représente une coupe courant le long de la ligne XII-XII dans la figure 10 et la figure 13 représente une coupe correspondant à celle dans la figure 2 à travers une autre barre de toit.

Le véhicule automobile 1 représenté dans la figure 1 comporte un pavillon 2 avec un toit 3 et deux panneaux latéraux 4. Le pavillon 2 est assemblé de tôles, est aussi visible partiellement dans la figure 2 et comprend deux saillies latérales 5 qui se trouvent aux bords latéraux du toit 3 ou à proximité de ces bords du toit, forment des nervures, courent le long d'une partie substantielle du toit et font saillie vers les côtés du pavillon 2. Les saillies latérales 5 forment et/ou suivent les bords du toit et sontcomme ces bords-droites et/ou légèrement courbes. Chaque saillie latérale 5 a à peu près une forme angulaire dans une coupe verticale et possède une branche supérieure et une branche inférieure 6. La branche inférieure 6 est constituée par une section longitudinale du pavillon en forme d'une bande et est substantiellement droite dans une coupe transversale. La branche inférieure 6 forme aussi la limitation supérieure d'une gorge latérale 7 formant un angle rentrant et s'étendant, comme chaque saillie latérale, en général dans la direction longitudinale du véhicule.

Les portières 8 du véhicule ont des bords supérieurs qui se trouvent à peu près au niveau des bords inférieurs des saillies 5. Lorsque les portières 8 sont fermées, elles peuvent, par exemple, pénétrer un peu dans les gorges latérales 7 de manière à ce que les surfaces extérieures des

branches supérieures et/ou sommets des saillies 5 et des portières 8 sont approximativement à fleur dans une coupe verticale. Des joints 9 en caoutchouc naturel et/ou artificiel sont disposés entre les panneaux latéraux 4 et les sections marginales des portières 8. Les joints 9 sont, par exemple, fixés aux panneaux latéraux 4 du pavillon, mais pourraient être fixés, au lieu de ça, aux portières. Le toit possède éventuellement encore deux rainures dont une est représentée en traits et points dans la figure 2 et désignée par le repère 10, ces rainures étant disposées près des bords du toit, s'étendant le long de ces bords et pouvant être couvertes par une bande de recouvrement et d'étanchéité non représentée.

Un porte-charge 21 comporte au moins une barre de toit 22 et, par exemple, deux barres de toit 22. Chaque barre de toit 22 est substantiellement transversale par rapport au véhicule et a un secteur central et/ou principal 24 ainsi que des moyens de fixation. Ceux-ci comprennent un premier dispositif de fixation 25 et un deuxième dispositif de fixation 26 disposés aux extrémités opposées du secteur central et/ou principal 24 de la barre pour fixer, à savoir accrocher et serrer, celle-ci de façon détachable sur le toit du pavillon.

Le véhicule automobile est équipé des moyens d'arrêt 12 qui sont stationnaires par rapport au pavillon 2 et comportent, pour chacune des-deux extrémités de chaque barre de toit 22, un trou 13 arrangé dans le pavillon 2, une douille 14 et un élément d'arrêt 16. Ces moyens d'arrêt 12 seront maintenant décrits plus en détail. La branche inférieure 6 de chacune des deux saillies latérales 5 est pourvue-pour chacune des barres de toit-d'un trou 13 et d'une douille 14 visible aussi dans les figures 3 et 4. La douille 14 pénètre le trou 13. La plus grande partie de la douille se trouve au côté supérieur et intérieur de la

branche 6. La douille a cependant un col 14a couché sur la surface inférieure et extérieure de la branche 6. La douille 14 est fixée de façon immobile à la section de tôle formant la branche 6. La douille a un trou avec un filet intérieur 14b et un élargissement 14c qui débouche dans la surface frontale formée par le col 14a de la douille.

Chaque élément d'arrêt 16 est constitué d'une pièce unique, à savoir d'une vis d'arrêt 16 qui comprend une tige avec un filet extérieur 16a et une tête 16b. Le filet extérieur 16a est vissé dans le filet intérieur 14b de la douille 14 attribuée. La tête 16b est en dehors de la douille 14 au côté inférieur et extérieur de la branche inférieure 6 de la saillie 5 du pavillon. La tête 16b possède, à son extrémité jointe à la tige filetée, une surface d'appui qui est plate ainsi que perpendiculaire à l'axe de la vis et est couchée sur la surface frontale de la douille 14 formée par le col 14a de celle-ci. La tête 16b forme une saillie d'arrêt 16b et/ou un plot d'arrêt 16b et est dirigée à partir de la branche inférieure 6 de la saillie latérale du pavillon vers l'extrémité libre de la tête et/ou saillie d'arrêt vers le bas. L'axe de la vis 16 et donc de la tête et/ou saillie d'arrêt 16b est incliné par rapport a un plan médian, vertical et longitudinal du véhicule de manière à ce que l'axe de la vis s'éloigne dudit plan médian vers le bas. La tête 16b s'élargit dans la direction s'éloignant de la douille 14 et donc aussi de ra branche inférieure 6 de la saillie latérale 5 du pavillon vers le bas. La surface circonférentielle de la tête 16b est au moins en majeure partie conique et est reliée à son extrémité plus large, par exemple, par une étroite transition, qui est courbe dans une coupe à travers l'axe de la vis, avec la surface frontale de la tête. La tête 16b forme donc une section conique 16c de l'élément d'arrêt 16 formé par la vis 16. La tête 16b de la vis est pourvue d'un trou d'entraînement qui débouche dans la

surface frontale de la tête, et complètement entourée par une section annulaire de cette surface et, par exemple, hexagonal.

Le premier dispositif de fixation 25 comprend un premier élément de serrage 27. Le deuxième dispositif de fixation comprend un deuxième élément de serrage 28. Le premier dispositif de fixation 25 et en particulier le premier élément de serrage 27 sont reliés avec le secteur central et/ou principal 24 de la barre 22 de manière à ce qu'ils puissent être ajustés et déplacés par rapport au secteur central et/ou principal 24 dans la direction longitudinale de celui-ci. Le deuxième dispositif de fixation 26 et son élément de serrage 28 sont, de préférence, reliés de façon immobile avec le secteur central et/ou principal 24 de la barre 22. Le secteur central et/ou principal 24 est substantiellement creux. Les deux dispositifs de fixation 25, 26 et leurs éléments de serrage 27,28 constituent des embouts et bouchent les deux extrémités du secteur central et/ou principal 24.

Une section d'extrémité du secteur central et/ou principal 24 de la barre et le premier dispositif de fixation 25 sont particulièrement bien visibles dans la figure 2. Le secteur central et/ou principal 24 de la barre est droit et perpendiculaire à la direction longitudinale du véhicule. Le secteur central et/ou principal 24 comporte, par exemple, un profilé 29 qui est métallique et rigide. Le profilé 29 a une ouverture longitudinale au côté supérieur. Une bande d'appui 30 en matière élastique est fixée de façon détachable au profilé 29 et couvre l'ouverture longitudinale du profilé.

Chaque élément de serrage 27,28 comprend un support 31 qui est courbe et/ou forme un angle dans une coupe verticale.

Le support comprend une crosse 32 formant son part principal,

un pied 33 et une pièce d'appui 34. La crosse 32 est rigide et constituée en une matière métallique ou une matière artificielle dure. La crosse 32 est substantiellement creuse et a une section tubulaire 32a qui contient une cloison de séparation 32b dans son intérieur. La section tubulaire 32a contient et borne un trou 32c qui défini un axe 35 qui est droit et parallèle à l'axe du secteur central et/ou principal 24 de la barre de toit 22 et, par exemple, même coïncident avec cet axe. Le trou 32c pénètre toute la section tubulaire 32a et en particulier aussi la cloison de séparation 32b. La section du trou 32c qui se trouve dans la cloison 32b est plus étroite que les sections du trou 32c qui se trouvent aux deux côtés opposés de la cloison et forme donc un rétrécissement du trou 32c. Le profilé 29 pénètre dans le trou 32c de la section tubulaire 32a de la crosse 32 et prend appui contre une des surfaces de la cloison 32b. La crosse 32 a une branche 32d qui est dirigée de la section tubulaire 32a vers le bas et, par exemple, inclinée. Le pied 33 est fixé à l'extrémité inférieure de la branche 32d, ferme le creux de la crosse 32 vers le bas et consiste d'une matière artificielle assez dure. La pièce d'appui 34 est disposée au côté inférieur du pied 33 et fixée à celui-ci, prend appui sur le toit 3 et consiste d'une matière molle et élastique telle que du caoutchouc naturel et/ou artificiel.

Chaque élément de serrage 27,28 comprend une patte 37 qui consiste d'un ruban en tôle, s'élargi vers le bas et est coudée et/ou courbe à plusieurs places. La section d'extrémité supérieure 37a de la patte 37 possède un trou 37b. La patte 37 possède une section d'appui 37c qui est jointe au bord inférieur de la section d'extrémité 37a, forme un angle avec la section d'extrémité 37a et est à peu près horizontale et parallèle à l'axe 35 et/ou inclinée vers le bas en partant de la section d'extrémité 37a. La patte a ensuite une section du milieu 37d qui est coudée, inclinée

vers le bas et pourvue de quelques raidisseurs s'étendant du haut vers le bas. La patte 37 sort du support 31 à l'extrémité inférieure de celui-ci à proximité du bord extérieur du pied 33 et possède un crochet 37e disposé audessous du support 31. Le crochet 37e est coudé et/ou courbe et possède une branche supérieure 37f et une branche inférieure 37g qui est aussi visible dans les figures 3 et 4.

La branche supérieure 37f est droite et/ou légèrement courbe dans une coupe verticale et contacte au moins en partie la surface extérieure de la branche supérieure de la saillie latérale 5 du pavillon 2. La branche inférieure 37g du crochet 37e forme la section d'extrémité inférieure de la patte 37 et est coudée et/ou courbe vers le plan médian vertical du véhicule automobile. La branche inférieure 37g du crochet 37e de la patte 37 a un trou de prise et/ou d'arrêt 37h qui pénètre la branche inférieure 37g et est attribué à un des éléments d'arrêt 16 formé par une vis 16. La branche inférieure 37g du crochet 37e et le trou de prise 37h des pattes 37 forment des moyens de prise. Le trou de prise et/ou d'arrêt 37h est cylindrique et circulaire et a un diamètre qui est au moins 1 mm et, par exemple, environ 2 à 3 mm plus grand que le diamètre maximum de la tête 16b de la vis 16. La branche inférieure 37g du crochet 37e de la patte 37 a une portion principale qui est plate et couchée sur la surface inférieure de la branche inférieure 6 de la saillie latérale 9 du pavillon 2, si la barre de toit comportant cette patte est fixée au pavillon. La branche inférieure 37g du crochet de la patte a, en plus, une dalle avec un fond substantiellement plat qui contient et borne le trou de prise 37h et est dans un petit écartement de la branche inférieure 6 de la saillie latérale 5 du pavillon. La surface supérieure du fond de la dalle de la branche inférieure 37g du crochet de la patte est à peu près au niveau du bord inférieur du col 14a de la douille 14.

Lorsque une barre de toit 22 est fixée au pavillon 2, la tête conique 16b de chaque vis 16 ou élément d'arrêt 16 attribué à cette barre de toit se trouve en partie dans le trou de prise 37h de l'une des pattes 37 de la barre de toit.

Le bord supérieur et plus étroit de la tête 16b est alors approximativement à fleur avec la surface supérieure du fond de la dalle de la branche inférieure 37g du crochet de la patte 37 comme il est visible dans les figures 2 et 4. La dimension axiale ou hauteur de la tête 16b de la vis 16 est un peu plus grande que l'épaisseur de la tôle formant la patte. La tête 16b de la vis a une portion frontale qui se trouve en dehors du trou de prise 37h. La tête 16b et sa section conique 16c dépassent donc la surface inférieure et extérieure de la branche inférieure 37g du crochet 37e de la patte 37 d'un petit intervalle qui est au moins 0,3 mm, de préférence, au plus 4 mm et, par exemple, 0,5 mm à 2 mm ou à 3 mm.

Le premier dispositif de fixation 25 comprend des moyens de réglage 41 pour ajuster et déplacer le premier dispositif de fixation 25 et son élément de serrage 27 le long du secteur central et/ou principal 24 de la barre 22. Les moyens de réglage 41 comprennent un premier élément fileté 42 et un deuxième élément fileté 43. Un des éléments filetés 42,43 a un filet extérieur coopérant avec un filet intérieur de l'autre élément fileté. Plus en détail, le premier élément fileté 42 est pourvu du filet intérieur et constitué, par exemple, d'un écrou. Le deuxième élément fileté 43 est constitué d'une vis avec une tête 43a polygonale, à savoir hexagonale, un cou 43b cylindrique et une tige partiellement filetée 43c pénétrant le premier élément fileté 42 ou écrou.

Ce dernier est disposé dans une section d'extrémité du profilé 29 du secteur central et/ou principal 24 de la barre 22 et relié de façon plus ou moins rigide ou avec un petit jeu avec le profilé 29. Le deuxième élément fileté 43

constitué d'une vis est supporté mobile autour de l'axe 35 par la section tubulaire 32a de la crosse 32 du support 31.

Plus en détail, une section de la tige de la vis pénètre le rétrécissement du trou 32c borné par la cloison 32b et le trou 37b dans la section d'extrémité supérieure de la patte 37. La tête 43a et le cou 43b de la vis sont disposés dans le trou axial 32c aux côtés de la cloison de séparation 32b et de la section d'extrémité supérieure 37a de la patte 37 qui sont détournés du profilé 29. Le cou 43b forme avec la tige filetée 43c une épaule avec une surface d'épaule annulaire qui est plate et perpendiculaire à l'axe 35. Lorsque la barre de toit est fixée au pavillon 2, le cou 43b de la vis formant le deuxième élément fileté 43 prend appui via une rondelle ou directement contre la section d'extrémité supérieure 37a de la patte 37 et presse celle-ci contre la cloison de séparation 32b de la crosse 37. En plus, la section d'appui 37c de la patte 37 et couchée sur une surface d'appui intérieure de la crosse 32, cette surface d'appui étant comme la section d'appui 37c de la patte, par exemple, à peu près horizontale. La patte 37 est donc fixée de façon immobile et stable à la crosse 32 du support 31 lorsque la barre de toit est fixée au pavillon.

Les moyens de réglage 41 comportent un organe d'actionnement 45 qui est supporté de façon mobile autour de l'axe des éléments filetés 42,43 en permanence par la crosse 32 du support 31. L'organe d'actionnement 45 est relié avec la vis formant le deuxième élément fileté 43 à l'aide des moyens d'accouplement pourvus d'un limiteur de couple 47 pour limiter le couple de rotation lorsque l'organe d'actionnement 45 est tourné dans le sens de rotation servant de serrer la barre au pavillon. L'organe d'actionnement 45 comprend un bouton et/ou une autre poignée formée et dimensionnée de manière à ce qu'une personne puisse serrer la barre au toit et ensuite desserrer la barre en tournant l'organe

d'actionnement à la main sans utiliser un outil. Le premier dispositif de fixation 25 comprend aussi des moyens de verrouillage 48 avec une serrure 49. La serrure 49 comporte un carter qui est logé dans l'intérieur du bouton de l'organe d'actionnement 45. La serrure peut être opérée à l'aide d'une clé amovible et permet de mettre l'organe d'actionnement 45 alternativement dans un état verrouillé ou dans un état déverrouillé. Dans l'état verrouillé, la serrure et les autres moyens de verrouillage 48 verrouillent l'organe d'actionnement 45 et empêchent de tourner le dernier.

L'organe d'actionnement 45 peut servir dans l'état verrouillé aussi comme protection antivol. Dans l'état déverrouillé, une personne peut tourner l'organe d'actionnement pour diminuer ou agrandir la distance entre les deux dispositifs de fixation 25,26 et pour serrer ou desserrer la barre de toit.

Le deuxième dispositif de fixation 26 de chaque barre de toit comprend également un support et une patte qui sont, par exemple, substantiellement identiques au support 31 et à la patte 37 du premier dispositif de fixation 25. Une vis et un écrou arrangés de façon similaire comme la vis et l'écrou formant les deux éléments filetés 42,43 du premier dispositif de fixation 25 fixent la crosse et la patte du deuxième dispositif de fixation au secteur central et/ou principal 24 de la barre de toit. Le deuxième dispositif de fixation 26 est cependant relié, de préférence, en permanence de façon immobile au secteur'central et/ou principal 24 de la barre de toit 22 comme déjà mentionné. Le deuxième dispositif de fixation 26 ne possède donc ni un organe d'actionnement 45, ni un limiteur de couple 47. Le deuxième dispositif de fixation 26 comprend, par exemple, un couvercle et/ou embout qui remplace l'organe d'actionnement 45 du premier dispositif de fixation, a une forme extérieure similaire à celle de l'organe d'actionnement et est fixé, par exemple, par des moyens d'encliquetage en permanence à la crosse.

Maintenant, il est supposé que les barres de toit 22 soient séparées du pavillon 2 et que les moyens de réglage soient desserrés. Si une personne veut monter les barres au pavillon 2, ladite personne peut lever une des barres sur le toit 3 et introduire les sections d'extrémité inférieures des deux pattes 37 de la barre de toit, c'est à dire les branches inférieures 37g des crochets 37e des pattes 37, dans les gorges latérales 7 du pavillon. S'il est nécessaire, les joints 9 peuvent être déformés un peu lors de l'introduction des pattes dans les gorges 7. La barre de toit est placée lors de cette opération de manière à ce que les trous de prise 37h des deux pattes soient plus ou moins alignés avec les éléments d'arrêts 16 formés par des vis 16 fixées au pavillon 2. La tige 43c de la vis formant le deuxième élément fileté 43 du premier dispositif de fixation pénètre le trou 37b de la patte 37 du premier dispositif de fixation avec un certain jeu. Lorsque les moyens de réglage sont encore plus ou moins desserrés, la patte 37 du premier dispositif de fixation est donc un peu mobile par rapport au secteur central et/ou principal 24 et par rapport à la crosse 32 du support 31 et peut, par exemple, être basculée un peu. Cette mobilité limitée de la patte 37 du premier dispositif de fixation 25 de la barre par rapport au secteur central et/ou principal 24 et support 31 et le jeu assez grand entre les trous de prise 37h des pattes et les têtes 16b des vis ou éléments d'arrêt 16 permettent que les têtes 16b entrent dans les trous de prise 37h des pattes si une barre a été mise en place. Ladite personne peut maintenant tourner l'organe d'actionnement 45 dans le sens servant à serrer la barre de toit au pavillon. La distance entre les deux dispositifs de fixation 25,26 est par ce fait réduite et les crochets 37e des pattes 37 sont déplacés dans la direction longitudinale du secteur central et/ou principal 24 de la barre l'un vers l'autre. Les crochets 37e sont aussi pressés contre les

branches supérieures et les branches inférieures 6 des saillies latérales 5 du pavillon 2. Il soit remarqué que le support et la patte du deuxième dispositif de fixation 26 peuvent rester fixés de façon immobile au secteur central et/ou principal de la barre de toit en permanence lors du montage de la barre au pavillon. La deuxième barre de toit 22 peut naturellement être montée et serrée au pavillon 2 de façon analogue.

Si une barre de toit a été enclenchée et fixée au pavillon de la façon décrite, la tête 16b des deux vis ou éléments d'arrêt 16 attribués aux pattes de la barre pénètrent les trous d'arrêt 37b comme il fut déjà mentionné.

Il soit remarqué à cet égard que les têtes 16b atteignent quasi automatiquement les positions désirées dans les trous de prise 37b lorsque la barre de toit est serrée au pavillon en tournant l'organe d'actionnement 45. Il suffit donc qu'une personne tourne l'organe d'actionnement 45 pour serrer les pattes contre le pavillon et dans les positions désirées par rapport aux éléments d'arrêt 16 sans que la personne ne doive opérer n'importe quel autres moyens d'actionnement ou faire des autres manoeuvres pour que les têtes 16b entrent dans les trous de prise 37h et atteignent les positions prévues.

Lorsque une barre de toit a été fixée de la façon décrite, les cols 14a des douilles 14 et les sections frontales des têtes 16b des éléments d'arrêt 16 sont les seuls parts des moyens d'arrêt 12 qui dépassent la surface extérieure des saillies latérales 5 du pavillon 2. Les cols 14a et têtes 16b ne prennent que peu de place et ne gênent la fonction des portières 8 et des joints 9 pas.

Il est en outre d'abord supposé que les barres de toit 22 soient fixées au pavillon 2 et que le centre de chaque trou de prise 37h d'une patte 37 se trouve, par exemple, au moins

approximativement sur l'axe de l'élément d'arrêt 16 attribué comme il est dessiné dans les figures 2, 3 et 4. La tête 16b de chaque élément ou vis d'arrêt 16 est alors séparée d'une fente annulaire de la surface intérieure du trou de prise 37h attribué. Dans l'utilisation normale du véhicule automobile 1, les pattes 37 restent dans la position décrite ci-devant et les moyens d'arrêt 12 n'ont quasiment pas de fonction.

Maintenant il est supposé que le porte-charge 21 porte une charge et qu'une collision frontale ou une collision par l'arrière du véhicule automobile ait lieu. Une collision pareille produit une grande force agissant sur les barres de toit 22 et dirigée à peu près dans la direction longitudinale du véhicule automobile. Cette force peut être si grande que l'effort de serrage serrant les pattes 37 au pavillon 2 ne suffit plus pour maintenir les barres de toit en place et que les pattes se mettent à glisser le long des gorges 7. Si ceci arrive, des sections circonférentielles des bords des trous de prise 37h des pattes 37 parviennent en contact avec les têtes 16b des éléments d'arrêt et en particulier avec les sections coniques 16c de ces têtes. Les éléments d'arrêt ou vis d'arrêt 16 arrêtent alors les barres de toit et empêchent que celles-ci soient séparées du pavillon et lancées au loin par la collision. La surface circonférentielle des sections coniques 16c des éléments d'arrêt 16 possède des sections de surface opposées qui sont inclinées dans une coupe dans la direction longitudinale de la saillie latérale 5 et/ou gorge latérale 7 vers le bas à des côtés opposés d'un plan médian à travers l'axe de la vis 16 et perpendiculaire à la saillie latérale 5 et/ou gorge latérale 7. Pour cette raison, les sections coniques 16c poussent les portions des pattes qui contactent les sections coniques vers les branches inférieures 6 des saillies latérales 5 du pavillon 2. Ceci assure que les pattes ne glissent pas par dessous les têtes 16b bien que celles-ci ne dépassent les trous de prise 37h

pas beaucoup. Les éléments d'arrêt 16 assurent donc en coopération avec les trous de prise et/ou d'arrêt 37h des pattes 37 que les barres puissent faire tout au plus des mouvements bien limités lors d'une collision frontale ou par l'arrière. Puisque les pattes 37 ont seulement des trous de prise 37h mais aucune saillie pour coopérer avec les moyens d'arrêt 12 du pavillon, les barres de toit peuvent être montées au pavillon sans que les modifications des barres faites pour la protection contre l'envol des barres n'augmente le risque que le montage ou démontage des barres cause des égratignures sur le pavillon.

S'il est désiré d'utiliser le véhicule automobile 1 sans les barres de toit 22 pour une certaine étendue de temps, une personne peut déverrouiller et ensuite tourner l'organe d'actionnement 45 de manière à desserrer chacune des barres.

La personne peut alors facilement mettre les éléments d'arrêt 16 et les pattes 37 hors de prise et détacher les barres de toit du pavillon.

Les figures 5 à 8 montrent une portion d'un pavillon 102 avec un toit 103 et, à chaque bord de celui-ci, une saillie latérale 105. La saillie latérale 105 peut être un peu différente de la saillie 5 et a, par exemple, une branche supérieure, un sommet à peu près plat et vertical et une branche inférieure 106 inclinée similairement comme la branche inférieure 6 représentée dans la figure 2. La gorge latérale 107 disposée en-dessous de la saillie latérale 5 a, par exemple, un profil en U et possède un côté supérieur formé par la branche inférieure 106 de la saillie 105, un fond 108 et un côté inférieur.

Les moyens d'arrêt comportent pour chacune des extrémités de chaque barre de toit un élément d'arrêt 116 formé par une plaquette d'arrêt 116 qui est oblongue et s'étend

substantiellement dans la direction longitudinale du véhicule automobile. L'élément d'arrêt 116 a une base et/ou un dos 116a qui est plat et couché sur le fond 108 de la gorge 107. L'élément d'arrêt a aussi une section de bord supérieure 116b et une section de bord inférieure 116c. Ces deux sections de bords 116b, 116c sont coudées et/ou courbes, forment des courtes branches et vont bien entre les deux côtés de la gorge 107 de manière à ce que la section du bord supérieur 116b prend appui contre la branche inférieure 106 de la saillie 106. L'élément d'arrêt 116 possède en plus au moins une saillie d'arrêt 116d formée d'un crochet d'arrêt 116d et, à savoir, deux crochets d'arrêt 116d qui sont disposés aux bords de la branche 116b et écartés l'un de l'autre dans la direction longitudinale de la saillie latérale 105 et/ou gorge latérale 107 à laquelle l'élément d'arrêt 116 est disposé. Chaque crochet 116d a une section ou branche qui se joint à la branche 116b et est alignée avec celle-ci ainsi qu'une section ou branche d'extrémité libre qui est coudé et/ou courbe vers la branche 116c disposée au bord inférieur de la base et/ou du dos 116a. L'élément d'arrêt 116 est fixé au fond 108 de la gorge 107 par quelques soudures en forme de point 117 ou d'une autre manière quelconque.

Chaque barre de toit est pourvue d'une patte 137 à chacune des extrémités de la barre. La partie inférieure de la patte est dessinée en traits et points dans la figure 6 et en coupe dans les figures 7 et 8 et forme un crochet 137e.

Celui-ci a une branche supérieure 137f et une branche inférieure 137g formant l'extrémité inférieure de toute la patte. Lorsque la barre de toit est montée au pavillon du véhicule, la branche supérieure 137e du crochet est à peu verticale ainsi que couchée au sommet de la saillie latérale 105. La branche inférieure 137g du crochet de la patte 137 pénètre dans la gorge 107 et entre les deux sections de bords 116b, 116c de l'élément d'arrêt 116 de manière à ce que la

branche inférieure 137g du crochet 137e se trouve très proche de la section du bord supérieur 116b et touche celle-ci éventuellement. Le crochet 137f de la patte 137 a deux trous de prise et/ou d'arrêt 137h dont chacun consiste d'une fente qui a substantiellement la forme d'un rectangle et s'étend dans la direction longitudinale de la gorge 107. Chaque trou de prise 137h est attribué à un des crochets d'arrêt 116d de manière à ce que celui-ci puisse pénétrer ce trou de prise.

La partie supérieure de la patte 137 non dessinée peut avoir une forme similaire à celle de la patte 37 représentée dans la figure 2 et aussi être fixée de façon similaire au reste de la barre de toit.

Si une barre de toit ayant deux pattes 137 est séparée du pavillon et si une personne désire de monter cette barre au pavillon, la personne peut lever la barre sur le toit et la placer de manière à ce que les crochets d'arrêt 116d des deux éléments d'arrêt 116 attribués à la barre puissent entrer dans les trous de prise 137h attribués des pattes 137 de la barre de toit. La personne peut ensuite serrer la barre au pavillon analogiquement comme il a été décrit pour les barres avec les pattes 37. Les crochets d'arrêt 116d ont assez de jeu dans les trous de prise 137h pour qu'ils puissent aisément entrer dans ces trous de prise et que les pattes puissent aisément glisser par dessus les crochets et atteindre les positions désirées lors du serrage de la barre.

Lorsque chacune des barres de toit a été enclenchée et fixée au pavillon, chaque crochet d'arrêt 116d des éléments d'arrêt 116 pénètre le trou de prise 137h attribué d'une patte 137 comme il est visible dans les figures 6 et 8. Si le véhicule équipé avec les barres de toit subit une collision frontale ou une collision par l'arrière, les crochets d'arrêt 116d des éléments d'arrêt 116 limitent les déplacements des pattes 137 accrochées aux crochets d'arrêt 116d dans la direction

longitudinale du véhicule et empêchent que les barres de toit soient séparées du pavillon du véhicule.

Autant que rien d'autre n'ait été écrit ci-devant, un véhicule avec des éléments d'arrêt 116 et des barres de toit qui possèdent des pattes 137 peuvent être formés de façon similaire comme le véhicule 1 et les barres de toit 22 décrits en référence aux figures 1 à 4.

La figure 9 montre une portion d'un pavillon et un élément d'arrêt qui sont plus ou moins égaux au pavillon 102 et à l'élément d'arrêt visibles dans les figures 5 à 8 et qui sont donc aussi désignés par les mêmes repères. La patte 147 représentée dans la figure 9 se distingue cependant de la patte 137 dessinée dans les figures 7 et 8 par le fait qu'elle possède, au lieu d'un crochet 137e, une section d'extrémité inférieure 147e qui est droite dans une coupe verticale et, par exemple, à peu près plate et verticale. La section d'extrémité inférieure 147e de la patte 147 a deux trous de prise et/ou d'arrêt 147h dont chacun est attribué à un des crochets d'arrêt 116d de l'élément d'arrêt 116. Si une barre de toit avec deux pattes 147 est montée sur un pavillon, les pattes 147 sont accrochées aux crochets d'arrêt 116d des éléments d'arrêts 116.

Les figures 10 à 12 montrent une portion d'un pavillon 202 qui a une saillie latérale 205 avec une branche inférieure 206 à chaque bord du toit formé par le pavillon.

Une gorge latérale 207 avec un fond 208 est disposée audessous de la saillie latérale 205. La saillie 205 et la gorge 207 ont, par exemple, en général des formes similaires à celles de la saillie 105 et gorge 107 selon les figures 7 à 9. Le fond 208 de la gorge 207 a cependant encore des dalles 209 qui sont écartées l'une de l'autre le long de la gorge 207 et dont une est particulièrement bien visible dans la

figure 12. Un élément d'arrêt 216 est disposé dans chacune des deux gorges 207 pour chaque barre de toit. Chaque élément d'arrêt 216 est oblongue et consiste d'une plaquette d'arrêt avec une base et/ou un dos 216a. La base 216a est plate et couchée sur le fond 208 de la gorge 207 et fixée au fond 208, par exemple, par quelques soudures en forme de point.

L'élément d'arrêt a au moins une bosse 216b et, par exemple, deux bosses 216b qui sont disposées au bord supérieur de la base 216a et écartées l'une de l'autre le long de ce bord.

Les bosses sont produites par une déformation plastique d'une plaquette initialement plate. Chaque bosse 216 est oblongue et pourvue d'un trou d'arrêt 216c qui est limité au moins en partie par la bosse et consiste d'une fente s'étendant dans la direction lonngitudinale de la gorge 207.

Chaque barre de toit comprend, à chacune de ses extrémités, une patte 237, dont la partie inférieure comporte deux parties et/ou saillies de prise et/ou d'arrêt, à savoir deux crochets de prise et/ou d'arrêt 237e qui font saillie vers le bas, sont à distance l'un de l'autre dans la direction longitudinale de la gorge 207 et séparés d'un vide.

Chaque crochet de prise 237e a une branche supérieure 237f et une branche inférieure 237g coudée et/ou courbe vers la patte opposée. Lorsque une barre de toit est serrée au pavillon, les branches supérieures 237f des crochets 237e et/ou les parties des pattes suivant ces branches supérieures des crochets de prise vers le haut sont couchées sur le sommet des saillies latérales 205 du pavillon tandis que la branche inférieure 237g de chaque crochet pénètre un des trous d'arrêt 216. Chaque trou d'arrêt 216c est disposé devant une des dalles 209 du pavillon et permet que la branche inférieure 237g du crochet de prise 237e puisse pénétrer complètement le trou d'arrêt 216c et même dépasser un peu de celui-ci au côté inférieure de l'élément d'arrêt 216. Autant que rien d'autre n'ait été écrit préalablement, les barres de

toit avec les pattes 237 peuvent être formées et utilisées de façon similaire comme les barres de toit avec les pattes 37 ou 137.

La barre de toit 322 visible en partie dans la figure 13 possède un secteur central et/ou principal 324 et un premier dispositif de fixation 325 avec un élément de serrage 327.

Celui-ci comprend un support 331 avec une crosse 332, qui est de nouveau creuse, et une patte 337. Celle-ci a une section d'extrémité supérieure 337a qui a un trou. Si la barre de toit est fixée au pavillon, la section d'extrémité supérieure 337a est verticale et couchée contre la cloison de la crosse de façon analogue comme il est représenté pour la patte 37 dans la figure 2. La patte 237 diffère cependant par le fait de la patte 37 que la section d'appui 337c est inclinée de la section d'extrémité 337a vers le bas et appuyée sur une surface d'appui inclinée de la crosse dans l'intérieure de la dernière. Le premier dispositif de fixation 325 comprend aussi des moyens de réglage 341 avec un premier élément fileté 342 formé d'un écrou et avec un deuxième élément fileté 343 formé d'une vis qui a une tête 343a. Les deux éléments filetés 342,343 sont arrangés de façon similaire comme les éléments filetés 42,43 et permettent aussi de fixer la patte 337 à la crosse 332. La crosse 332 est pourtant pourvue d'une ouverture 332e qui peut rendre accessible la tête 343a ou peut être fermée à l'aide d'un couvercle 338 fixé de façon séparable, par exemple, par encliquetage, à la crosse 332. Si une personne veut serrer ou desserrer la barre de toit, elle peut temporairement enlever le couvercle 338, introduire un outil 350, par exemple, une clé ou un tourne-vis, dans l'ouverture 332e de la crosse et mettre cet outil 350 en prise avec des moyens d'entraînement de la tête 343a pour tourner la vis formant le deuxième élément fileté 343. Les moyens de réglage 341 se distinguent donc des moyens de réglage 41 représentés dans la figure 2

par le fait qu'ils possèdent ni un organe d'actionnement 45 relié en permanence à la crosse ni un limiteur de couple 47.

Le deuxième dispositif de fixation de la barre de toit 322 peut être similaire comme le premier dispositif de fixation 325. Le couvercle 338 peut cependant éventuellement être remplacé par un couvercle indétachable. La partie inférieure des pattes 337 est formée de manière à ce qu'elle puisse coopérer avec des moyens d'arrêt fixés au pavillon.

Ces moyens d'arrêt et les parties inférieures des pattes peuvent, par exemple, être formés de façon similaire comme au premier exemple de réalisation décrit en référence aux figures 1 à 4.

Le véhicule automobile et les barres de toit peuvent encore être modifiés autrement. Il est notamment possible de combiner des caractéristiques des différents exemples de réalisation décrits en référence aux figures de dessin. Ainsi les moyens d'arrêt du premier exemple de réalisation dessiné dans les figures 1 à 4 pourraient en particulier comprendre deux éléments d'arrêt ou même plus que deux éléments d'arrêt avec une tête conique pour chacune des pattes. Chaque patte serait alors naturellement pourvue d'un nombre correspondant de trous de prise. Les éléments d'arrêt 116,216 pourraient, par contre, comprendre seulement un crochet d'arrêt 116d ou trou d'arrêt 216c, respectivement, ou plus que deux crochets ou trous d'arrêt.

Les barres de toit préalablement décrites en référence aux figures 1 à 13 permettent de desserrer temporairement et partiellement la connexion entre la patte du premier dispositif de fixation d'une barre de toit et le reste de celle-ci tandis que la patte du deuxième dispositif de fixation peut rester fixée de façon immobile en permanence au reste de la barre. Les barres de toit peuvent cependant

éventuellement être formées de manière à ce qu'il soit possible de desserrer aussi temporairement et partiellement la connexion entre la patte du deuxième dispositif de fixation et le reste de la patte lors du montage de la barre au pavillon et lors de la séparation de la barre du pavillon.

Les trous d'arrêt 216c dans les éléments d'arrêt 216 pourraient éventuellement être remplacés par des trous d'arrêt produits directement dans des tôles du pavillon.

Claims

REVENDICATIONS 1. Véhicule automobile avec un pavillon (2, 102, 202) et au moins une barre de toit (22,322) pouvant être serrée de façon détachable sur le pavillon (2,102, 202), le dernier comportant un toit (3,103) et deux saillies latérales (3, 105,205) et/ou gorges latérales (7,107, 207) disposées aux côtés opposés du toit (3,103), chaque barre de toit (22, 322) comportant deux pattes (37,137, 147,237, 337) formées pour saisir les saillies latérales (5,105, 205) et/ou gorges latérales (7,107, 207) du pavillon (2,102, 202), caractérisé en ce que chaque patte (37,137, 147,237, 337) a des moyens de prise formées de manière à ce qu'ils soient en prise avec des moyens d'arrêt (12) stationnaires par rapport au pavillon (2,102, 202) et limitent et/ou empêchent des déplacements de la barre de toit (22,322) le long des saillies latérales (5,105, 205) et/ou gorges latérales (7, 107,207) si la barre de toit (22,322) est serrée au pavillon (2,102, 202).
2. Véhicule selon la revendication 1, caractérisé en ce que les moyens d'arrêt (12) comportent, pour chaque patte (37,137, 147,237, 337), au moins une saillie d'arrêt (16b, 116d) qui pénètre dans un trou de prise (37h, 137h, 147h) d'une patte (37,137, 147) attribuée ou au moins un trou d'arrêt (216c) dans lequel pénètre une partie de prise (237e) d'une patte (237) attribuée si la barre du toit (22,322) est serrée au pavillon (2,102, 202).
3. Véhicule selon la revendication 2, caractérisé en ce que chaque saillie d'arrêt (16b) a une section (16c) qui s'élargit vers une extrémité libre de la saillie d'arrêt (16b) au moins dans une coupe dans la direction longitudinale de la saillie latérale (5) et/ou gorge latérale (7) à laquelle la saillie d'arrêt (16b) est arrangée et que ladite

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section (16c) de chaque saillie d'arrêt (16b) a deux sections de surface opposées qui sont inclinées dans ladite coupe à des côtés opposés par rapport à un plan médian à travers la saillie d'arrêt (16b).
4. Véhicule selon la revendication 3, caractérisé en ce que ladite section (16c) de chaque saillie d'arrêt (16b) est conique.
5. Véhicule selon l'une quelconque des revendications 2 à 4, caractérisé en ce que chaque saillie d'arrêt (16b) est formée par une section d'une vis (16) fixée au pavillon (2).
6. Véhicule selon l'une quelconque des revendications 2 à 5, caractérisé en ce que chaque saillie d'arrêt (16b, 116d) a une section d'extrémité qui forme une extrémité libre de la saillie d'arrêt (16b, 116d) et est dirigée vers cette extrémité libre vers le bas et, par exemple, inclinée par rapport à un plan médian vertical du véhicule de manière à ce qu'elle s'éloigne de ce plan médian du véhicule vers le bas.
7. Véhicule selon la revendication 2 ou 6, caractérisé en ce que chaque saillie d'arrêt (116d) est formée par un crochet.
8. Véhicule selon l'une quelconque des revendications 2, 6 ou 7, caractérisé en ce que les moyens d'arrêt comportent pour chaque patte (137,147) un élément d'arrêt (116) qui est formé d'une pièce unique et possède une base et/ou un dos (116a) couché sur une surface du pavillon (102) et au moins un crochet et, par exemple, au moins deux crochets servant comme saillie d'arrêt (116d).
9. Véhicule selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que les moyens d'arrêt comportent pour chaque patte (237)

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un élément d'arrêt (216) qui est formé d'une pièce unique et possède une base et/ou un dos (216a) couché sur une surface du pavillon (202) ainsi qu'au moins une bosse (216b) et, par exemple, au moins deux bosses (216b) limitant, au moins en partie, un trou d'arrêt (216c).
10. Véhicule selon l'une quelconque des revendications 1 à 10, caractérisé en ce que chaque barre de toit (22,322) comporte un secteur central (24,324) disposé entre les deux pattes (37,137, 147,237, 337) et des moyens de réglage (111,341) pour régler une distance entre les deux pattes (37,137, 147,237, 337) et pour relier au moins une de celles-ci au secteur central (24,324) de manière à ce que cette patte (37,137, 147,237, 247) puisse faire des mouvements limités par rapport au secteur central (24,324) si la barre de toit (22,322) est desserrée et que les moyens de réglage (41,341) relient la patte (37,137, 147,237, 247) en question de façon immobile au secteur central (24, 324) si la barre de toit (22,322) est serrée au pavillon (2, 102,202).