FR2767268A1 - Vehicule jouet - Google Patents

Abstract

Un véhicule jouet (10) télécommandé comporte un châssis (12), une paire de roues arrière montée à proximité de l'extrémité arrière du châssis, au moins un moteur couplé fonctionnellement à au moins une roue de la paire des roues arrière; et un axe avant (34) monté à proximité de l'extrémité avant du châssis et comportant au moins une roue avant (28). L'axe avant a une première extrémité libre (70) et une seconde extrémité (72) couplée au véhicule sur un pivot (74) pour déplacement pivotant de l'axe avant par rapport au châssis. Un bras de commande (76) a une extrémité couplée à l'axe avant entre les deux extrémités de l'axe avant. Un contrôleur sensible aux signaux reçus à partir d'une télécommande et couplé au moteur et au bras de commande (76) commande sélectivement le fonctionnement du moteur et du bras de commande (76).

Description

VEHICULE JOUET

La présente invention se rapporte à des véhicules jouets et, en particulier, à des véhicules jouets télécommandés comportant des capacités d'action inhabituelles. Des véhicules jouets sont bien connus. Des véhicules télécommandés, en particulier, radiocommandés présentent

une part du marché du jouet significativement importante.

Les fabricants dans ce marché essaient de dupliquer des véhicules bien connus de même que les développements les plus récents dans l'automobile, incluant les véhicules d'entraînement spéciaux, tels que les véhicules à quatre roues motrices, les véhicules de course et les véhicules militaires. De plus, les fabricants cherchent constamment de nouvelles caractéristiques et fonctions pour ajouter une action innovatrice à ces jouets pour rendre ces véhicules

plus universels et/ou plus amusants.

Les véhicules jouets entraînés par des moteurs électriques sont capables de fonctionner à des vitesses très élevées. Lorsqu'ils effectuent des manoeuvres ou des virages serrés à vitesse élevée, de tels véhicules ont tendance à rouler ou à basculer et quelquefois piquent du nez ou s'affaissent sur le côté latéral, d'une manière telle que les roues du véhicule ne sont plus en contact avec la surface et ainsi que le véhicule ne peut plus être mis en oeuvre. Il devrait être avantageux de proposer un véhicule qui peut se cabrer tout en ayant ses roues qui

soient toujours en contact avec la surface.

De tels véhicules jouets sont également connus effectuer des acrobaties, telles que le "cabrage" dans lequel l'avant du véhicule se soulève du sol et le véhicule se déplace seulement sur ses roues arrière. Il devrait être désirable de proposer un véhicule jouet capable d'effectuer facilement un cabrage et autres acrobaties du type rotation rapide sur place o le véhicule tourne sur place (ou essentiellement sur place), tel que sur une roue, à une vitesse élevée autour généralement d'un axe vertical s'étendant à travers le véhicule de façon à être capable de fonctionner avec sa roue avant ou ses roues avant décollées

du sol pour accroître la valeur ludique du véhicule jouet.

Dans un premier aspect, l'invention est un véhicule jouet télécommandé qui peut être mis en oeuvre sur une surface de roulement et comprenant: un châssis ayant une extrémité avant, une extrémité arrière et deux côtés latéraux opposés; une carrosserie couplée au châssis; au moins une roue arrière montée à proximité de l'extrémité de l'arrière du châssis pour rotation par rapport au châssis; un axe avant monté à proximité de l'extrémité avant du châssis, l'axe avant ayant au moins une roue avant montée pour rotation sur celui-ci par rapport au châssis; et un moteur couplé fonctionnellement avec la au moins une roue arrière; le véhicule étant caractérisé par un arceau de sécurité incurvé s'étendant à partir des côtés latéraux opposés du châssis le long des côtés latéraux opposés et sur le haut du châssis et de la carrosserie espacé de la carrosserie le long du sommet et des côtés de la

carrosserie.

Dans un autre aspect, l'invention est un véhicule jouet pour mise en oeuvre sur une surface de roulement et comprenant: un châssis ayant une extrémité avant, une extrémité arrière et deux côtés latéraux opposés; une paire de roues arrière montées à proximité de l'extrémité arrière du châssis, les roues arrière étant montées sur les côtés latéraux opposés du châssis pour rotation par rapport au châssis; au moins un moteur couplé fonctionnellement à au moins une roue de la paire des roues arrière; et un axe avant monté à proximité de l'extrémité avant du châssis ayant au moins une roue avant montée pour rotation sur celui- ci par rapport au châssis; caractérisé en ce que l'axe avant est le seul axe avant du véhicule et est placé généralement au milieu de l'extrémité avant entre les côtés latéraux opposés, l'axe avant ayant deux extrémités opposées, une première extrémité libre et une seconde extrémité connectée à un restant du véhicule par un pivot pour mouvement pivotant de l'axe avant par rapport au châssis.

Le résumé précédent, de même que la description

détaillée suivante d'un mode de réalisation préféré de l'invention, seront mieux compris lorsque lus en liaison avec les dessins annexés. A des fins d'illustration de l'invention, il est représenté sur les dessins un mode de réalisation qui est présentement préféré. On comprendra, toutefois, que l'invention n'est pas limitée à la

disposition précise et aux fonctionnalités représentées.

Dans les dessins, qui sont des dessins simplifiés: La figure 1 est une vue en élévation avant d'un véhicule jouet en conformité avec la présente invention; La figure 2 est une vue en élévation latérale du véhicule jouet de la figure 1; La figure 3 est une vue en élévation arrière du véhicule jouet des figures 1 et 2, avec un arceau de sécurité de celui-ci étant découpé; La figure 4 est une vue en plan d'en haut du véhicule jouet des figures 1 à 3; La figure 5 est une vue en plan d'en haut partielle d'une partie avant du véhicule jouet des figures 1 à 4; La figure 6 est un schéma synoptique sous forme de blocs illustrant un contrôleur du véhicule jouet des figures 1 à 4; et La figure 7 est une vue en plan du dessous partielle du véhicule jouet des figures 1 à 4 dans une position sur une roue/rotation. Sur les dessins, des références numériques identiques sont utilisées pour indiquer des éléments identiques sur tous ceux-ci. Une certaine terminologie est utilisée dans

la description suivante à seulement des fins de commodité

et n'est pas limitative. Les termes "droit", "gauche", "inférieur", "supérieur", "haut", "bas", "horizontal", "vertical", "avant" et "arrière" désignent des directions sur les dessins auxquels on se réfère. Les termes "vers l'intérieur" et "vers l'extérieur" se réfèrent à des directions vers et à l'opposé, respectivement, du centre

géométrique du véhicule jouet ou de ses parties désignées.

La terminologie inclut les termes ci-dessus spécifiquement mentionnés, des dérivés de ceux-ci et des termes d'une

importance similaire.

En se référant maintenant aux dessins en détail, un véhicule jouet préféré capable de rouler sur et de reposer sur ses roues et également d'effectuer un mouvement de rotation sur une roue sur une surface de roulement "S" est indiqué généralement par la référence numérique 10 sur les figures 1 à 4. Le véhicule 10 comprend de préférence un châssis 12 ayant une extrémité avant 14, une extrémité arrière 16 et deux côtés latéraux opposés 18, 20. Le châssis 12 peut être prévu avec des composants miniatures d'une automobile, tels qu'un cadre, une suspension, un moteur et/ou un train d'entraînement. Les composants miniatures peuvent être tridimensionnels (fonctionnels ou non fonctionnels) ou simplement des composants du type décoration en surface prévus pour simuler de tels éléments fonctionnels. Par exemple, le châssis 12 peut être prévu avec des composants détaillés tels qu'un bloc de tuyaux de collecteur, un refroidisseur de fluide externe (huile, transmission ou les deux), des ressorts de suspension

agissant sur les roues avant et arrière, etc..

Le véhicule 10 comprend également de préférence une carrosserie, indiquée généralement par une référence numérique 22, montée sur le châssis 12. La carrosserie 22 est de préférence configurée avec des côtés latéraux opposés et une partie supérieure pour couvrir fondamentalement et cacher de la vue au moins une partie des côtés latéraux 18, 22 et une partie supérieure du châssis 12. La carrosserie 22 peut comprendre certains composants miniaturisés à décoration en surface non fonctionnels, non représentés, tels que la forme d'un conducteur, des éléments de suspension, une turbine, un système d'échappement, un moteur et/ou un train d'entraînement. Le châssis 12 et la carrosserie de véhicule 22 sont constitués par exemple de matière plastique ou de

tout autre matériau approprié, tel que du bois ou un métal.

Le véhicule représenté 10 a un style d'automobile de forme aérodynamique, l'extrémité avant 14 étant effilée ou quelque peu pointue dans des vues en élévation, en plan et latérale et une hauteur augmentant progressivement vers l'extrémité arrière 16. Bien que le véhicule 10 représenté comme ayant une forme généralement angulaire et un style aérodynamique, le véhicule 10 peut être sous la forme d'autres styles aérodynamiques ou véhicule pour passager classique, camion et autres styles de véhicule. Le véhicule peut également être muni d'éclairages (non représentés)

qui sont allumés lorsque le véhicule est en fonctionnement.

Bien que le mode de réalisation présentement préféré du véhicule 10 comprend un châssis 12 et une carrosserie 22, c'est à l'intérieur de la portée de l'invention que le véhicule jouet peut être également fabriqué sans partie de carrosserie ou avec un châssis solidaire de la carrosserie ou avec la carrosserie et le châssis formés collectivement

par des coques s'opposant latéralement.

Le mode de réalisation présentement préféré du véhicule 10 comporte deux roues arrière 24, 26. Les roues arrière 24, 26 sont montées sur un axe arrière 30 à proximité de l'extrémité arrière 16 du châssis 12 en relation opposée sur les côtés latéraux opposés 18, 20 du châssis 12 pour rotation par rapport au châssis 12. Bien que le mode de réalisation présentement préféré du véhicule comporte deux roues arrière 24, 26, un véhicule comportant une seule roue arrière ou plus qu'une paire de roues arrière peut être conçu qui est toujours à

l'intérieur de la portée de l'invention.

Le véhicule 10 comporte également au moins une roue avant 28 montée sur un axe avant 34 à proximité de l'extrémité avant 14 du châssis 12 pour rotation par rapport au châssis 12. La roue avant 28 est montée de sorte que sa partie la plus à l'extérieur est espacée ou

prolongée au-delà de l'extrémité avant 14 du châssis 12.

Toutefois, le châssis 12 (ou la carrosserie 22) peut être prolongé (ou la roue avant rentrée) pour protéger la roue avant 28. Dans le mode de réalisation présentement préféré, la roue avant 28 présente un diamètre qui est inférieur au diamètre des roues arrière 24, 26 afin de procurer au

véhicule 10 la forme aérodynamique précédemment mentionnée.

De plus, il est également préféré que la roue avant 28 et que l'axe avant 34 soient le seul axe avant et roue avant et soient placés au milieu de l'extrémité avant 14 le long d'une ligne centrale dans le sens longitudinal du véhicule , indiqué comme ligne A-A sur la figure 1 entre les côtés latéraux opposés 18, 20. Les roues avant et arrière 28, 24, 26 peuvent être constituées de tout matériau approprié quelconque, tel que matière plastique, bois ou métal ou autres matériaux appropriés quelconques utilisés habituellement pour les pneus. De préférence, les roues

avant et arrière 28, 24, 26 sont constituées de caoutchouc.

Les roues peuvent également être munies de petits morceaux (non représentés) pour améliorer la traction lorsque le véhicule 10 est mis en oeuvre en dehors d'une surface lisse dure. L'homme de l'art comprendra que, bien que l'invention soit décrite ici en termes de mode de réalisation à trois roues préférés, des aspects de la présente invention peuvent être incorporés dans un véhicule à deux roues (c'est-à-dire une motocyclette) ou dans un véhicule ayant quatre roues tel qu'une automobile ou camion classique ou ayant plus que quatre roues. Ainsi, la présente invention est décrite en termes d'un véhicule à trois roues seulement à des fins de préférence mais n'est pas limitée à un

véhicule à trois roues.

Le véhicule 10 est entraîné par au moins un et de préférence un seul moteur électrique réversible, indiqué généralement par la référence numérique 36 (en transparence sur la figure 3) qui est couplé fonctionnellement à au moins une et de préférence aux deux roues arrière 24, 26 pour entraîner les roues arrière 24, 26. Puisque le moteur électrique 36 est réversible, les roues arrière 24, 26 peuvent être entraînées soit dans le sens avant, soit dans le sens arrière. Le moteur d'entraînement 36 est de préférence monté sur le châssis du véhicule 12 à l'intérieur de la carrosserie du véhicule 22 et placé à proximité de l'extrémité arrière 16 du véhicule 10. Les deux roues arrière peuvent également être entraînées en commun par des moteurs appariés ou séparément par des

moteurs séparés.

En se référant maintenant à la figure 6, le moteur d'entraînement 36 est couplé fonctionnellement aux roues arrière 24, 26 au moyen d'une transmission 39, laquelle est accouplée aux roues arrière 24, 26 à l'aide d'un axe arrière 30 de manière classique. C'est-à-dire que les roues arrière 24, 26 sont montées sur l'axe 30 avec un engrenage d'entraînement final (non représenté) de la transmission 39. L'engrenage d'entraînement final peut être entraîné par l'intermédiaire d'un ou plusieurs engrenages réducteurs (non représentés) et à des vitesses différentes par l'intermédiaire de trains d'engrenages via un commutateur de sélection 39a. De préférence, le moteur 36 est disposé plus près de l'extrémité arrière 16 et d'un des côtés latéraux 18, 20 du véhicule 10 pour déplacer le poids du véhicule 10 vers l'extrémité arrière et vers le côté latéral pour accroître l'aptitude du véhicule 10 à effectuer une rotation lorsqu'en position sur une roue,

comme cela sera décrit de manière plus détaillée ci-

dessous. Le moteur d'entraînement 36 est connecté électriquement à un contrôleur 40, lequel est connecté à un récepteur radio 42, tel qu'un circuit récepteur à haute fréquence, qui est relié à une antenne 44 servant à recevoir et à traiter des signaux de commande transmis à partir d'une télécommande au véhicule 10, telle qu'une télécommande 46. La télécommande 46 comprend de préférence un élément de commande à levier ou à glissière 50 servant à générer des signaux qui commandent le fonctionnement du moteur d'entraînement 36. Par exemple, en déplaçant le levier à glissière 50 dans une première direction, le véhicule 10 se déplace dans une première direction vers l'avant et en déplaçant le levier à glissière 50 dans une seconde direction opposée, le véhicule 10 se déplace dans une seconde direction arrière, comme le comprendra facilement l'homme de l'art. De même, l'homme de l'art comprendra que la quantité de déplacement latéral du levier à glissière 50 peut commander de manière variable la vitesse du véhicule. Par exemple, en déplaçant le levier à glissière 50 autant que possible soit dans la direction avant soit dans la direction arrière, ordonne au véhicule 10 de se déplacer à la vitesse maximale dans cette direction tout en déplaçant le levier à glissière seulement à la moitié ordonnée au véhicule 10 de se déplacer

seulement à environ la moitié de la vitesse la plus rapide.

Le contrôleur 40 et le récepteur radio 42 sont de préférence montés sur une carte de circuit imprimé ou "CCI" (non représentée), placée à l'intérieur du véhicule 10 entre le châssis 12 et la carrosserie 22. De préférence, la carte de circuit imprimé est montée près d'un point milieu du châssis 12. Le contrôleur 40, le récepteur radio 42, la télécommande 46 et le moteur d'entraînement 36 sont entièrement classiques basés sur des conceptions de véhicule radiocommandé existantes bien connues, telles que celles décrites dans le Brevet Américain n 5 135 427 et qui est incorporé ici par référence dans sa totalité. De tels systèmes de commande peuvent être obtenus directement à partir de fabricants, tels que Taiyo Kogyo of Tokyo, Japan et autres ou des distributeurs américains vendant des

produits de véhicule radiocommandé et/ou composants.

Puisque le véhicule 10 de la présente invention utilise les mêmes circuits de commande ou circuits de commande similaires que ceux décrits dans le Brevet Américain n 5

427, ces éléments ne seront pas décrits de plus ici.

Bien que dans le mode de réalisation présentement préféré, le véhicule jouet 10 soit télécommandé via des signaux radio, on comprendra que d'autres types de véhicules jouets télécommandés (à la fois par câble et autres types de commandes sans fil) de même que des véhicules jouets qui ne soient pas commandés sont également à l'intérieur de la portée de l'invention. En outre, bien que la propulsion du véhicule 10 soit entièrement classique identique à celle d'un certain nombre de dispositions précédemment utilisées dans des véhicules jouets électriques radiocommandés connus de l'homme de l'art, d'autres moyens peuvent être utilisés, tels que des moyens de moteur actionné par enroulement ou ressort, des moteurs tracteurs hydrauliques, pneumatiques ou autres moteurs tracteurs inertiels et électromagnétiques qui peuvent

remplacer le moteur d'entraînement électrique 36.

Le véhicule 10 a de préférence un centre de gravité placé relativement haut dans le châssis/carrosserie combinée 12/22 et vers l'extrémité arrière 16 du véhicule afin de faciliter la performance de certaines acrobaties, telles que déplacement sur une roue et retournement. Afin que le véhicule 10 puisse avoir un centre de gravité à une position élevée, le véhicule 10 comprend un poids monté de manière amovible au-dessus des roues arrière 24, 26. Le poids comprend de préférence une source d'énergie amovible 32, pour délivrer l'énergie au véhicule pour alimenter le moteur électrique 36, les circuits du contrôleur 40 et du récepteur radio 42 et tout

autre composant électrique quelconque qui peut être prévu.

La source d'énergie 32 est de préférence contenue à l'intérieur de la carrosserie 22. De préférence, la source d'énergie 32 comprend un ensemble de pile rechargeable amovible, tel qu'un ensemble de pile rechargeable de Ni-Cd de 6,0 volts (non représenté) ou un boîtier 32a comprenant une pluralité de piles séparées 32b (par exemple 4 piles AA) comme il est représenté sur la figure 4, lesquelles peuvent être enlevées du boîtier 32a. La source d'énergie préférée 32 est d'une forme pratiquement rectangulaire et est adaptée par coulissement dans un plateau de pile 54, qui est également d'une forme pratiquement rectangulaire, de sorte que l'ensemble de pile est reçu et maintenu dans celui-ci. La source d'énergie 32 est fixée de manière amovible à l'intérieur du plateau 54 au moyen d'un couplage

sous la forme d'une patte ou d'un collier de fixation 56.

Le collier de fixation 56 est fixé de manière sûre à un côté interne du plateau 54 et s'étend vers le haut à partir du côté interne de celui-ci. Le collier de fixation 56 est élastique et auto-sollicité d'une manière telle que le collier se met en prise avec la source d'énergie 32

lorsqu'il est totalement reçu à l'intérieur du plateau 54.

En se référant particulièrement aux figures 2 et 4, la source d'énergie 32 est adaptée par coulissement dans le plateau 54 à partir de l'extrémité arrière du véhicule 16 du véhicule 10 à travers une ouverture dans l'extrémité arrière 16 du véhicule 10 et du plateau 54. Le collier de fixation 56 est sollicité ou déplacé vers le bas afin de

faire coulisser la source d'énergie 32 dans le plateau 54.

Lorsque la source d'énergie 32 est reçue à l'intérieur du plateau 54, le collier de fixation 56 est sollicité vers le haut jusqu'à sa position normale, d'une manière telle que la source d'énergie est maintenue d'une manière sûre à l'intérieur du plateau 54. La source d'énergie 32 et le plateau 54 peuvent également comprendre chacun des pattes complémentaires (non numérotées) le long de leurs côtés respectifs pour fixer encore la source d'énergie 32 à

l'intérieur du plateau 54.

Lorsque la source d'énergie 32 est reçue à l'intérieur du plateau 54, des contacts électriques (non représentés) de la source d'énergie 32 sont électriquement connectés aux contacts électriques complémentaires sous la forme de ressorts 56a sur le plateau 54, lesquels à leur tour sont électriquement connectés au contrôleur 40 et au récepteur radio 42 et par l'intermédiaire du contrôleur 40 au moteur 36 de sorte que la source d'énergie 32 délivre le courant

électrique au moteur 36.

Comme on peut le voir au mieux sur la figure 2, le

plateau 54, incluant la source d'énergie reçue dans celui-

ci, est disposé sur le châssis 12 sur l'axe arrière 30 et les roues arrière 24, 26 de sorte que le centre de gravité du véhicule 10 est placé relativement haut à l'intérieur de la combinaison châssis/carrosserie 12/22 et vers l'extrémité arrière 16 du véhicule 10 à ou près du point 56 pour faciliter l'aptitude du véhicule à rouler à la fois latéralement et sur les côtés et effectuer un déplacement sur une roue. L'alimentation électrique amovible 32 constitue de préférence une fraction importante du poids total du véhicule, par exemple, environ cinquante pourcent ou plus du poids total du véhicule. Afin d'augmenter encore la valeur ludique du véhicule, le véhicule 10 comporte une cage de protection au retournement incluant un arceau de sécurité incurvé 60 de préférence généralement circulaire s'étendant à partir des côtés latéraux opposés du châssis 12 le long des côtés latéraux opposés 18, 20 et sur le haut du véhicule 10, à

proximité d'un emplacement central le long du châssis 12.

L'arceau de sécurité 60 permet au véhicule 10, lorsqu'il bascule latéralement (latéralement) de basculer totalement et de reposer correctement avec les roues du véhicule 24, 26, 28 contactant la surface de roulement S sur laquelle le véhicule est supporté. De préférence, l'arceau de sécurité délimite les côtés latéraux 18, 20 et le haut du châssis

12 et de la carrosserie 22 est espacé de la carrosserie 22.

Comme il est représenté, l'arceau de sécurité 60 s'étend en un arc autour du châssis 12 et de la carrosserie 22 d'au moins 180 degrés, de préférence de plus de 180 degrés,

comme cela est représenté.

L'arceau de sécurité 60 comprend de préférence une certaine longueur d'acier élastique formé pour être généralement circulaire. Généralement circulaire est destiné à couvrir toutes formes continuellement incurvées qui ne sont pas exactement circulaires, incluant mais non limitées à des formes généralement elliptiques et autre, bien que ce soit des variations sur des formes circulaires exactes. L'arceau de sécurité 60 est reçu à l'intérieur de trous 62 ménagés sur chacun des côtés latéraux 18, 20 du châssis 12. La carrosserie 22 comprend de préférence également une barre de support 64 s'étendant à partir d'une

partie arrière de la carrosserie 22 jusqu'à un point au-

dessus de la carrosserie 22. L'arceau de sécurité 60 s'étend à travers un trou dans la barre de support 64. La barre de support 64 empêche l'arceau de sécurité 60 de pivoter vers l'extrémité avant 14 ou l'extrémité arrière 16 du véhicule 10. Afin de s'assurer encore que le véhicule 10, lorsqu'il roule latéralement, bascule totalement et se retrouve avec ses roues 24, 26, 28 contactant la surface de roulement S, particulièrement lorsqu'il tourne sur lui-même sur son extrémité arrière, la cage de protection au retournement du véhicule 10 comprend de préférence un second arceau de sécurité 66 s'étendant à partir des côtés latéraux 18, 20 du véhicule 10 et autour de l'extrémité arrière 16 du châssis 12 et de la carrosserie 22 du véhicule 10 de préférence à une hauteur au-dessus du haut de la carrosserie 22 pour le véhicule 10 représenté. Le second arceau de sécurité 66, de manière identique au premier arceau de sécurité 60 est reçu à l'intérieur de trous 68 sur les côtés latéraux 18, 20 du châssis 12 à proximité d'un emplacement central le long du châssis 12 et est supporté par la barre de support 64, à une extrémité opposée de la barre de support 64 à partir du point auquel le premier arceau de sécurité 60 est supporté par la barre de support 64. Les premier et second arceaux de sécurité 60, 66 délimitent chacun les côtés 18, 20 et le haut du châssis 12 et de la carrosserie 22 du véhicule 10 et sont

espacés des côtés 18, 20 et du haut de la carrosserie 22.

La barre de support 64 peut comprendre tout matériau rigide d'une résistance appropriée pour maintenir les premier et second arceaux de sécurité 60, 66 sur le véhicule 10 tandis que le véhicule roule et d'empêcher le mouvement pivotant des premier et second arceaux de sécurité 60, 66. Dans le mode de réalisation présentement préféré, la barre de

support 64 est constituée d'un matériau polymère rigide.

L'homme de l'art comprendra que la cage de protection au retournement peut être construite d'une autre manière, telle que constituée d'une série de structures incluant des tuyaux d'échappement, des béquets, des capotes, des ailes, etc.. La barre de support 64 et/ou les premier et second arceaux de sécurité 60, 66 peuvent comprendre des décorations en surface ou des composants miniaturisés,

comme désire.

En se référant maintenant à la figure 5, l'axe avant 34 du véhicule 10 peut pivoter. Dans le mode de réalisation présentement préféré, l'axe avant 34 a une première extrémité libre 70 et une seconde extrémité 72 couplées à un mécanisme de direction d'une manière telle qu'au moins une roue avant 28 est dirigeable. Plus précisément, la seconde extrémité 72 de l'axe avant 34 est couplée par un pivot 74 au châssis 12 pour mouvement pivotant de l'axe avant 34 par rapport au châssis 12. Le pivot 74 est muni d'une broche, d'un arbre, d'une tige ou analogues s'étendant à travers la seconde extrémité 72 de l'axe 34 de préférence à partir du châssis 12. Un bras de commande 76 est également couplé à l'axe avant 34 entre la roue avant 28 et la seconde extrémité 72. Le bras de commande 76 est capable de déplacer l'axe avant 34 sur le pivot 74, lequel déplace la roue avant 28 autour du pivot 74, dirigeant de ce fait le véhicule 10. Bien qu'il soit préféré que l'axe avant 34 ait une extrémité libre (70), l'extrémité libre 70 peut être reçue dans un guide tel qu'un canal ou couplée à un guide ou à un bras de commande ou organe de commande supplémentaire, la totalité permettant ou procurant

toujours la rotation de l'axe 34 autour du pivot 74.

En se référant maintenant à la figure 6, le bras de commande 76 est couplé à un dispositif de direction électrique 38. Le dispositif de direction 38, de manière identique au moteur d'entraînement 36, est connecté au contrôleur 40, lequel reçoit des signaux d'ordre transmis à partir de la télécommande 46 et reçus par le récepteur radio 42. La télécommande 46 comprend un interrupteur à levier ou interrupteur à glissière 48 ou autres moyens, pour commander le dispositif de direction 38 et ainsi, le

déplacement du bras de commande 76 et de la roue avant 28.

Le dispositif de direction 38 et le couplage au contrôleur sont classiques et connus par l'homme de l'art. Le dispositif 38 est de préférence un électro-aimant incluant un aimant fixe et une bobine rotative avec un ressort de centrage. En délivrant le courant dans l'un ou l'autre sens dans la bobine amène la bobine à tourner sur une fraction de rotation dansl'une ou l'autre des directions opposées à partir d'une position angulaire centrale ou neutre de la bobine, laquelle correspond à une position de déplacement droite de la roue avant 28, l'axe avant 34 étant perpendiculaire à la ligne centrale A-A du véhicule 10 et

qui est positionnée par la position du ressort de centrage.

De même, la télécommande 46 peut générer un signal de commande qui est transmis sur un canal séparé ou bande de fréquence séparée au récepteur 42, lequel signal est ensuite utilisé par le contrôleur 40 pour actionner le mécanisme 38 et initier le déplacement du bras de commande

76, orientant de ce fait le véhicule 10 comme désiré.

Afin de permettre au véhicule 10 de pivoter ou de tourner rapidement autour d'un axe vertical tout en étant dans une position sur une roue, o l'extrémité avant 14 et la roue avant 28 sont soulevées de la surface de roulement S supportant le véhicule 10, le véhicule 10 comprend de plus un élément de came 80 disposé entre les roues arrière 24, 26 dans une première position de façon à s'étendre jusqu'à un point au-delà des roues arrière 24, 26 (voir la figure 2) au niveau de l'extrémité arrière 16 du véhicule 10. L'élément de came 80 est placé plus près d'une de la paire des roues arrière 24, 26 de sorte que lorsque le véhicule 10 est dans une position de déplacement sur une roue (figure 7), l'élément de came 80 contacte la surface de roulement S, soulevant de ce fait la roue la plus proche 26 de la paire des roues arrière de la surface de roulement S. Ensuite, la rotation continue de l'autre roue 24 contactant la surface de roulement amène le véhicule à tourner généralement autour de l'élément de came 80. L'élément de came 80 peut comprendre tout matériau rigide quelconque capable de supporter le véhicule 10 et également capable de contacter la surface de roulement S sans déformation lorsque le véhicule 10 effectue un déplacement sur une roue. Dans le mode de réalisation présentement préféré, l'élément de came 80 est une saillie solidaire s'étendant à partir de l'extrémité arrière 16 du châssis 12. L'élément de came 80 est de préférence positionné à proximité du côté interne d'une des deux roues arrière, la roue arrière gauche 26 dans le mode de réalisation représenté, de sorte que l'action de la roue arrière droite 24 amènera le véhicule 10 à pivoter généralement autour de l'élément de came 80 lorsque le véhicule est en position de déplacement sur une roue, généralement vertical sur son

extrémité arrière.

Bien que dans le mode de réalisation présentement préféré, l'élément de came 80 est fixé, l'élément de came peut être déplaçable entre une première position de contact de surface de roulement indiquée par l'élément de came 80 sur la figure 2 et une seconde position évidée à l'intérieur du véhicule 10 par exemple, comme indiqué en transparence en 80' sur la figure 2, o la ligne S' (également en transparence) est tangente aux roues arrière 24, 26 et à la barre de support 64 et représente une surface de roulement qui devrait être mise en contact avec l'arrière du véhicule 10 pendant un déplacement sur une roue en l'absence de l'élément de came 80. En faisant que l'élément de came 80 soit déplaçable, ceci permet au véhicule 10 d'être entraîné tandis qu'il est en position de déplacement sur une roue, comme opposé à la rotation sur place lorsqu'en position sur une roue avec l'élément de came 80 contactant la surface de roulement S. L'élément de came 80 peut être couplé à un bras de levier et à un électro-aimant ou à un moyen de sollicitation pour déplacer l'élément de came 80 à une position qui permet au véhicule d'effectuer une rotation sur lui-même. Par exemple un canal séparé ou bande de fréquence séparée peut être utilisé pour délivrer un signal de commande à partir de la télécommande 46 au contrôleur 40 pour déplacer l'élément de came 80 entre une première position et une seconde position évidée,

comme désiré.

Bien que les caractéristiques essentielles de l'invention ont été décrites ci-dessus eu égard à un mode de réalisation préféré, l'homme de l'art appréciera que l'invention peut prendre l'une quelconque d'une grande

variété de configurations. La description précédemment

donnée est simplement à titre d'exemple et n'est pas limitative. Par exemple, bien que le mode de réalisation représenté sur les figures 1 à 4 comporte deux roues arrière de grandes dimensions et une seule roue avant plus petite, le véhicule jouet peut avoir deux roues arrière et deux roues avant. Le véhicule peut également avoir une seule roue avant et une seule roue arrière (c'est-à-dire une motocyclette). De plus, le diamètre et le rapport du diamètre des roues arrière aux roues avant peut varier. De même, la direction par entraînement différentiel des roues arrière 24, 26 peut être mise en oeuvre, comme opposée à une roue avant pivotable 28. L'homme de l'art appréciera que d'autres modifications, dispositions, structures et modes de fonctionnement supplémentaires devraient être possibles pour atteindre le but ultime consistant à proposer un véhicule capable d'effectuer des retournements et une rotation sur une roue. On comprendra de ce fait que l'invention n'est pas limitée aux modes de réalisation décrits ou suggérés mais est destinée à couvrir toute modification qui se trouve à l'intérieur de la portée et de l'esprit de l'invention, comme définie par les

revendications annexées.

Claims (12)

REVEND I CATIONS

1. Véhicule jouet (10) télécommandé pour mise en oeuvre sur une surface de roulement (S) incluant: un châssis (12) comportant une extrémité avant (14), une extrémité arrière (16) et deux côtés latéraux opposes

(18, 20);

une paire de roues arrière (24, 26) montée à proximité de l'extrémité arrière du châssis, les roues arrière étant montées sur les côtés latéraux opposés du châssis pour rotation par rapport au châssis; au moins un moteur (36) couplé fonctionnellement à au moins une roue de la paire des roues arrière; et un axe avant (34) monté à proximité de l'extrémité avant du châssis et comportant au moins une roue avant (28) montée pour rotation sur celui-ci par rapport au châssis, caractérisé par: l'axe avant étant le seul axe avant du véhicule étant placé au milieu de l'extrémité avant entre les côtés latéraux opposés du châssis, l'axe avant ayant deux extrémités opposées, une première extrémité libre (70) et une seconde extrémité (72) couplées au restant du véhicule par un pivot (74) pour déplacement pivotant de l'axe avant par rapport au châssis; un bras de commande (76) ayant une extrémité couplée à l'axe avant entre les deux extrémités de l'axe avant; un contrôleur (40) sensible aux signaux de commande reçus à partir d'une télécommande (46) du véhicule et couplé au moteur (36) et au bras de commande (76) pour commander sélectivement le fonctionnement du moteur (36) et

du bras de commande (76).

2. Véhicule jouet selon la revendication 1, caractérisé de plus par: une source d'énergie (32) montée de manière amovible au-dessus de la paire des roues arrière; et un récepteur radio (42) couplé au contrôleur (40) pour délivrer l'ordre télécommandé de fonctionnement du moteur

(36) et du bras de commande (76).

3. Véhicule jouet (10) selon la revendication 1 ou 2, incluant en outre: une carrosserie (22) couplée au châssis; et un arceau de sécurité incurvé (60) s'étendant à partir des côtés latéraux opposés du châssis le long des côtés latéraux opposés et sur le haut du châssis et de la carrosserie, espacé de la carrosserie le long du haut et

des côtés de la carrosserie.

4. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 1 à 3, caractérisé en ce que les roues

arrière (24, 26) sont montées sur un axe arrière (30) pour rotation par rapport au châssis à proximité des côtés latéraux opposés du châssis, le moteur étant couplé

fonctionnellement à chacune des deux roues arrière.

5. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 1 à 4, caractérisé de plus par un élément de

came (80) disposé entre les roues arrière dans une première position de façon à contacter la surface de roulement (S) lorsque le véhicule est dans la position de déplacement sur une roue, la roue avant étant suffisamment décollée de la surface de roulement, l'élément de came étant positionné plus près de l'une des roues arrière (24) pour soulever la roue arrière la plus près des roues arrière hors de la surface de roulement et pour amener de ce fait le véhicule à tourner généralement autour de l'élément de came par

l'action de l'autre roue arrière.

6. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 2 à 5, caractérisé en ce que la source

d'énergie (32) est enlevable du restant du véhicule et un plateau (54) est monté pour recevoir et supporter l'alimentation électrique et un collier de fixation (56) est placé pour maintenir de manière amovible la source

d'énergie (32) dans le plateau.

7. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 2 à 6, caractérisé en ce que le contrôleur

(40) est couplé à la source d'énergie (32).

8. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 1 à 7, caractérisé de plus par un dispositif

de direction (38) couplé au bras de commande.

9. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 1 à 8, caractérisé en ce que la roue avant

est placée le long d'une ligne centrale longitudinale du véhicule s'étendant entre l'extrémité avant et l'extrémité arrière.

10. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 3 à 9, caractérisé en ce que l'arceau de

sécurité est généralement circulaire et délimite les côtés

latéraux et le haut du châssis et de la carrosserie.

11. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 3 à 9, caractérisé en ce que l'arceau de

sécurité s'étend sur un arc de plus de 180 degrés autour de

la carrosserie et du châssis.

12. Véhicule jouet selon l'une quelconque des

revendications 3 à 9, caractérisé en ce que l'arceau de

sécurité s'étend à partir des côtés latéraux opposés du châssis à proximité d'un emplacement central le long du châssis et une second arceau de sécurité (66) s'étend à partir des côtés latéraux opposés du châssis et le long des côtés latéraux opposés et sur le haut du véhicule à

proximité de l'extrémité arrière du châssis.