FR2663820A3 - Chaussure de ski en matiere plastique. - Google Patents

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Abstract

Chaussure de ski en matière plastique, comprenant: - une coque (1), destinée à recevoir un pied du skieur; - un collier (5), destiné à enserrer le bas de la jambe, articulé par rapport à la coque autour d'un axe fictif de flexion, matérialisé par des organes mécaniques d'articulation (28), disposés de chaque côté de la coque (1) et du collier (5); - des moyens de serrage du collier sur le bas de la jambe, caractérisée en ce que l'axe matérialisé par les organes d'articulation (28) est susceptible de pivoter autour de l'axe du bas de la jambe dans un plan (P) sensiblement perpendiculaire à cet axe (A) du bas de la jambe, puis d'être immobilisé dans une position souhaitée, de façon à permettre un réglage de l'orientation de la flexion du collier (5) sur la coque (1).

Description

CHAUSSURE DE SKI EN MATIERE PLASTIQUE.
L'invention concerne un nouveau type de chaussure de ski en matière plastique, aussi bien pour la pratique du ski alpin, que du ski de randonnée ou de fond.
Comme on le sait, une chaussure de ski en matière plastique, notamment pour la pratique du ski alpin, comprend essentiellement
. d'une part, une coque destinée à recevoir un pied
du skieur et qui comporte une semelle
. d'autre part, un collier, destiné à enserrer le
bas de la jambe, articulé par rapport à la coque
autour d'un axe fictif de flexion, matérialisé par
des organes mécaniques d'articulation, disposés de
chaque côté de la coque et du collier
. enfin, des moyens de serrage du collier sur le bas
de la jambe.
Une telle chaussure pour la pratique du ski alpin est schématisée aux figures 1 et 2. Dans la pratique, le collier est articulé soit sur la coque elle-même, soit sur une pièce intermédiaire, fixe ou mobile, solidaire à son tour de la coque. Pour des raisons de commodité, dans la description et dans les revendications, cet ensemble sera désigné par "coque".
L'articulation du collier sur la coque est effectuée le plus généralement soit au niveau des malléoles, soit sur l'arrière de la coque à hauteur du calcanéum.
Dans la plupart des réalisations commercialisées et connues à ce jour, l'axe fictif de flexion est fixe et est imposé par le fabricant. Cet axe ne tient donc pas compte des variations morphologiques des jambes des différents skieurs et de la position de leurs malléoles.
Pour pallier cet inconvénient, notamment pour régler le problème du valgus et du varus, on a proposé de modifier, sur un ou sur les deux côtés de la coque, l'inclinaison latérale de cet axe fictif dans un plan sensiblement vertical, et ce par un jeu de dents ou analogue (voir par exemple documents FR-A-2 124 781, 2 545 716d et
AT-A- 388 649). Cette disposition, commercialisée avec succès, est connue sous le nom de "correction de canting". Elle permet comme déjà dit, d'adapter le collier aux malformations valgus et varus des membres inférieurs, en agissant dans le plan sensiblement vertical, mais n'autorise des flexions du collier autour de la coque que dans l'axe longitudinal, c'est-à-dire dans l'axe du ski.
Comme on le sait, dans la pratique du ski alpin, la direction "trois quarts avant" est une direction privilégiée lors des appuis. En effet, un skieur confirmé cherche à obtenir des appuis fermes dans cette direction, de manière à obtenir de bonnes prises de carres internes par flexion (avancée du genou) et rentré du genou. En revanche, un skieur débutant recherche plutôt des appuis souples sur le collier, pour permettre soit de rentrer le genou lorsqu'il pratique le chasse-neige, soit pour avoir des flexions plus importantes lors du déclenchement des virages.
Les chaussures actuelles, dans lesquelles le collier est comme déjà dit articulé par rapport à la coque sur un axe de positionnement fixe passant par les malléoles ou à hauteur du talon, ne permettent pas d'obtenir ce compromis.
Dans la pratique du ski de fond, on sait qu'il existe deux techniques essentielles qui sont, d'une part le pas alternatif, et d'autre part le pas de patineur plus connue sous l'expression "skating". Ces deux techni aues nécessitent des matériels et des chaussures différents.
Pour la pratique du pas alternatif, il est nécessaire pour ne pas gêner les flexions des chevilles, d'avoir une chaussure libre vers l'avant et vers l'arrière, dans laquelle la tenue latérale n'est pas primordiale. En revanche, pour la pratique du pas de patineur, il est indispensable d'avoir une chaussure ferme latéralement, pour permettre des prises de carres internes, qui sont nécessaires à l'appui pour obtenir la meilleure efficacité de l'impulsion. De plus, pour cette pratique, il est nécessaire d'avoir un appui arrière rigide et ferme.
Les chaussures de ski de fond actuelles, dans lesquelles le collier partiellement rigide est articulé sur une partie, également partiellement rigide de la coque, et dans lesquelles l'axe d'articulation du collier sur la coque est fixe et est disposé au niveau des malléoles, ne permettent pas d'utiliser indifféremment de façon optimale la même paire de chaussure, quelle que soit la technique de ski utilisée, notamment dans les courses où selon les parcours ces deux techniques sont exigées.
L'invention pallie ces inconvénients. Elle vise une chaussure de ski du type en question pour le ski alpin ou de fond à coque et à collier, articulé par rapport à la coque, dans laquelle le positionnement du collier par rapport à la coque soit réglable en rotation par rapport à l'axe du bas de la jambe en fonction de la morphologie du skieur et en fonction de la pratique du ski que l'on désire effectuer.
Cette chaussure de ski en matière plastique comprend de manière connue
- une coque, destinée à recevoir un pied du skieur
- un collier, destiné à enserrer le bas de la jambe, articulé par rapport à la coque autour d'un axe fictif de flexion, matérialisé par des organes mécaniques d'articulation, disposés de chaque côté de la coque et du collier
- des moyens de serrage du collier sur le bas de la jambe.
Cette chaussure de ski perfectionnée selon l'invention se caractérise en ce que l'axe matérialisé par les organes d'articulation est susceptible de pivoter autour de l'axe du bas de la jambe dans un plan sensiblement perpendiculaire à cet axe du bas de la jambe, puis d'être immobilisé dans une position souhaitée, de façon à permettre un réglage de l'orientation de la flexion du collier sur la coque.
En d'autres termes, dans la chaussure de ski conforme à l'invention, le collier peut changer d'orientation sur la coque, puis s'immobiliser, autour de l'axe du bas de la jambe. Il s'ensuit que selon la morphologie propre du skieur, selon la pratique du ski qu'il désire effectuer, on peut à la demande modifier aisément l'orientation en rotation de cet axe fictif de flexion du collier, ce que ne permet pas et n'envisage aucune chaussure de ski à ce jour.
Comme on le sait, en pratique, l'axe du bas de la jambe, du moins lorsque celle-ci est introduite dans la chaussure, est légèrement incliné par rapport au plan de ia semelle. Dans la pratique du ski alpin, cet angle d'inclinaison C varie d'un individu à l'autre et est compris entre 5 et 20 , et est de préférence assimilé par certains constructeurs à des valeurs de 12, 14 ou 18".
En règle générale, le déplacement des organes d'articulation du collier sur la coque autorise une rotation, dans le plan de l'axe fictif de flexion, de plus ou moins 45" par rapport à l'axe perpendiculaire au plan longitudinal de la chaussure.
Dans une première forme d'exécution, de manière connue, l'axe fictif de flexion du collier par rapport à la coque mais susceptible de se déplacer autour de cette coque, passe par les malléoles. Dans une première variante
- la face externe de chaque côté latéral de la coque présente au niveau des malléoles, une lumière oblongue, permettant un débattement dans les deux sens par rapport à une position moyenne, correspondant à celle des chaussures actuelles, dont la périphérie est entourée par des bossages crantés, des saillies ou analogues, ces deux lumières oblongues ayant leur axe principal dans un plan sensiblement orthogonal à l'axe du bas de la jambe, pour permettre ainsi un débattement du collier en rotation par rapport à cet axe du bas de la jambe
- les deux faces en regard du collier présentent deux orifices circulaires, disposés également au niveau des malléoles
- et enfin, l'ensemble comprend une pièce interca- laire circulaire, destinée à être positionnée dans chaque orifice circulaire du collier, et à recevoir un des deux axes d'articulation, pour permettre la flexion du collier autour de la coque, la face interne de cette pièce inter- médiaire comportant des bossages crantés, des saillies ou analogues, aptes à coopérer avec les bossages crantés, saillies, périphériques de la coque.
Dans une seconde variante, dans laquelle l'axe fictif de flexion passe également au niveau des malléoles, mais comme déjà dit, est susceptible de se déplacer dans un plan sensiblement orthogonal par rapport à l'axe du bas de la jambe, chaque face latérale externe de la co que, présente un premier ergot disposé au niveau des malléoles, possédant un trou taraudé, et chacune des faces internes du collier disposé en regard présente à son tour un second ergot disposé également de chaque côté, mais en regard du premier ergot qui, à son tour, reçoit une vis qui coopère avec le trou taraudé pour déplacer et positionner le collier par rapport à la coque dans un plan sensiblement perpendiculaire à l'axe du bas de la jambe.
Dans une deuxième forme d'exécution, de manière connue, le collier est articulé sur l'arrière de la coque autour d'un axe disposé au voisinage du calcanéum à l'arrière de la coque. Dans cette réalisation, l'arrière de la coque comporte alors une rampe entourant en partie l'arrière du talon, sur laquelle coulisse le collier afin d'obtenir une rotation de celui-ci autour de l'axe du bas de la jambe.
Dans une troisième forme d'exécution, la chaussure est du type connu dit "à ouverture arrière", c'est-à-dire dans laquelle le collier est constitué de deux parties, respectivement une manchette avant et une manchette arrière, toutes deux articulées sur la coque, par exemple autour de deux axes distincts disposés respectivement le premier en avant, le second en arrière des malléoles.
Dans ce cas
- les deux manchettes sont alors articulées des deux côtés sur une pièce intermédiaire, dont la face interne présente des bossages, aspérités, saillies ou analogues
- chaque face de la coque, disposée au niveau des malléoles, présente une lumière oblongue, dont l'axe principal est disposé dans un plan sensiblement orthogonal à l'axe du bas de la jambe, et dont également la périphérie est entourée de bossages crantés, saillies, aspérités, aptes à coopérer avec les bossages crantés, saillies ou aspérités de la face interne de la pièce intermédiaire ;;
- et enfin, l'ensemble présente un axe fileté de solidarisation, dont la tête peut se déplacer contre la lumière oblongue, et dont le corps traverse cette lumière ainsi que la pièce intermédiaire, et dont l'écrou prend appui sur la face externe de la pièce intermédiaire entre les deux points d'articulation des manchettes sur la coque.
Dans une quatrième forme d'exécution, la chaussure comporte également de manière connue, un étrier rigide en forme de U qui entoure l'arrière de la coque à hauteur du calcanéum, et dont les deux branches sont articulées autour d'un axe disposé dans la semelle de la coque au niveau de la voute plantaire. Dans cette chaussure perfectionnée, le collier, réalisé en une ou deux parties, présente sur chaque côté alors un orifice circulaire traversant, apte à recevoir la pièce intermédiaire comportant les bossages crantés, les saillies ou analogues.
L'étrier comprend également une lumière oblongue dont l'axe principal est situé (en position d'utilisation) dans un plan orthogonal à l'axe du bas de la jambe. Les deux pièces sont ensuite reliées par un axe permettant d'effectuer ce réglage.
La manière dont l'invention peut être réalisée et les avantages qui en découlent ressortiront mieux des exemples de réalisation qui suivent à l'appui des figures annexées.
Les figures 1 et 2 représentent une chaussure de ski selon l'art antérieur, montrée respectivement en vue schématique (figure 1) et en section selon l'axe brisé 11-11' (figure 2).
La figure 3 est une représentation sommaire d'une vue éclatée de la chaussure selon la figure 1 modifiée conformément à l'invention.
La figure 4 est une section de cette chaussure selon la figure 3 selon l'axe brisé II-II' de la figure 1.
La figure 5 représente en détail les pièces agrandies des organes d'articulation caractéristiques de l'invention.
Les figures 6 et 7 qui représentent une chaussure pour pied droit, montrent une première forme d'exécution des organes d'articulation caractéristiques de l'invention.
Les figures 8 et 9 montrent en coupe une autre forme d'exécution de ces organes d'articulation déplaçables en rotation et immobilisables.
La figure 10 montre en coupe schématique et partielle une autre forme d'exécution de l'invention avec collier articulé à l'arrière de la coque.
Les figures 11 et 12 montrent une chaussure de ski à ouverture arrière modifiée conformément à l'invention.
La figure 13 montre vue de côté schématique, une chaussure de ski à collier unique rotatif conforme à l'invention.
La figure 14 illustre enfin schématiquement une chaussure de ski conforme à l'invention, dans laquelle le collier n'est plus articulé directement sur la coque mais sur une pièce intermédiaire, elle-même solidaire de la coque.
Enfin la figure 15 montre une chaussure de ski de ond réalisée conformément à l'invention.
Comme on le sait (voir figures 1 et 2), une chaussure de ski traditionnelle comprend essentiellement
- tout d'abord une coque (1) en matière plastique d'usage courant pour cette application, généralement rigide, comprenant elle-même une pointe (2), une semelle (3) et un talon (4)
- d'autre part, un collier (5) réalisé en une ou deux parties, articulées sur la coque (1), par exemple en (6) au niveau des malléoles, autour d'un axe fictif (7) matérialisé par des organes mécaniques d'articulation, respectivement (8) et (9), tels que des rivets, des tétons venus de moulage, des systèmes vis/écrous, disposés de chaque côté sur les flancs de la coque et du collier.
A ce jour, le plus généralement, l'axe d'articulation fictif, dénommé également "axe fictif de flexion", désigné par la référence (7), est fixe à la construction.
De la sorte, le collier (5) ne peut pivoter sur la coque (1) que vers lavant, c'est-à-dire n'autorise que des flexions avant et arrière et seulement dans le plan longitudinal désigné par la référence générale (L). Comme déjà dit, l'axe du bas de la jambe, désigné par la référence générale (A) forme, lors de la pratique du ski, avec l'axe (B) perpendiculaire au plan de la semelle (3), un angle (C) compris entre 5 et 20 , imposé par le constructeur, par exemple de 12, 14 ou 18".
De manière connue, la chaussure comprend également des moyens de fermeture du collier sur le bas de la jambe non référencés, tels que des boucles ou analogues bien connus, et reçoit également un chausson non référencé.
Dans une première forme d'exécution montrée aux figures 3 à 7, l'axe fictif (7) de flexion passe au niveau des malléoles. La face externe (10) de chaque côté latéral de la coque (1) présente, au niveau de ces malléoles, une lumière oblongue désignée par la référence générale (11) permettant un débattement par rapport à une position moyenne. Ces deux lumières oblongues (11) sont entourées en périphérie (12) par des bossages (13), des saillies, des crans ou analogues. Ces deux lumières oblongues (11) ont leur axe principal (90) disposé dans un plan (P), sensiblement perpendiculaire à l'axe du bas de la jambe (A), pour permettre (voir figure 4) une rotation du collier (5) par rapport à la coque (1) d'environ
t 45" par rapport à un axe perpendiculaire à l'axe longitudinal de la chaussure, dans un plan perpendiculaire à l'axe A du bas de la jambe.Dans une variante, les lumières oblongues (11) peuvent avoir une forme légèrement courbe.
Les deux faces (15) (voir figure 5) en regard du collier (5), présentent à leur tour deux orifices circulaires (16), disposés également au niveau des malléoles. Une pièce intercalaire (17) circulaire est positionnée dans chaque orifice circulaire (16) du collier (5).
Cette pièce intercalaire (17) montrée en détail à la figure 5, présente sur chaque face interne (18) d'une part, des bossages crantés (19), des saillies, des aspérités ou analogues, destinés à coopérer avec les bossges crantés périphériques (13), saillies ou analogues, complémentaires des lumières oblongues (11) de la coque (1).
Par ailleurs, cette pièce intercalaire (17) présente un rebord (20), destiné à lui permettre de s'encastrer dans un logement (20') (voir figure 6) prévu à cet effet lors du moulage du collier (5).
L'ensemble comprend également une rondelle (21) (voir figure 6), qui prend appui sur les bords externes (22) du collier (5). L'axe d'articulation (7) du collier (5) sur la coque (1) désigné aussi par la référence (27), comprend essentiellement une tête (26) analogue à (6), destinée à venir s'appuyer contre la lumière oblongue (11) et un axe (27) proprement dit solidaire de cette tête (26), traverse la lumière (11) oblongue et la pièce intermédiaire (17) dans un canal (24) prévu à cet effet.
Un écrou (28) vissé sur l'axe (27) permet d'appuyer la rondelle (21) sur les bords externes (22) du trou circulaire (16) du collier (5) et par là, d'engrener les dents crantées en regard (13) et (19). Dans une variante, l'écrou (28) peut être remplacé par un système rapide de serrage en soi connu.
En dévissant les écrous (28) et (28') (voir figure 7), le skieur désengrène les dents complémentaires (13,19), puis les repositionne en fonction de l'emplace- ment recherché par une simple rotation autour de l'axe (A), aussi bien dans un sens (7') que dans l'autre (7"), par rapport à la position moyenne classique (7).
Une fois un réglage choisi, le skieur pratique le ski puis, s'il y a lieu, modifie ce réglage jusqu'à obtenir une position idéale, personnalisée en fonction soit de sa morphologie, soit de la qualité de la neige, soit de son niveau de pratique du ski, soit de sa technicité, soit de la nature de la piste ou de la technique de ski pratiqué (par exemple pas alternatif ou pas de patineur dans le ski de fond).
Si le réglage est effectué de manière à ce que le sens de flexion indiqué par la flèche F (voir figure 7), perpendiculaire à l'axe fictif de flexion (7), est sensiblement confondu à la direction trois quarts avant interne (D), qui est généralement incliné d'environ 22 (par exemple) par rapport à l'axe longitudinal (L), dirigé vers lavant, et dont on sait qu'elle correspond à l'axe idéal de flexion, on obtient alors une grande course de flexion et peu de retour élastique. Cette position est très favorable pour obtenir une faible prise de carres, fort utile pour la pratique en neige poudreuse ou pour les débutants.
En revanche, si la direction de cette flexion (F) pivote vers l'extérieur comme indiqué en (F') sur la figure 7, plus l'angle augmente avec la direction D trois quarts avant, plus la chaussure se rigidifie en flexion du côté de la prise de carres interne. Cela se traduit alors par un comportement de la chaussure plus rigide en direction trois quarts avant, donc plus favorable à une prise de carres qui devient alors plus rapide, plus efficace et plus nerveuse, notamment sur les neiges dures, ce qui est très recherché par les skieurs confirmés ou de compétition.
Comme déjà dit, selon la longueur des lumières oblongues caractéristiques (11), on peut faire varier le débattement et plus exactement la rotation de cet axe fictif de flexion (7) par rapport à l'axe longitudinal perpendiculaire à l'axe (L) de la chaussure dans une gamme très variée, de préférence de plus ou moins 45".
Il va de soi qu'on peut également disposer les lumières oblongues caractéristiques sur le collier et les orifices circulaires sur la coque. Cette alternative conduit sensiblement aux mêmes résultats.
Dans une variante de réalisation montrée à la figure 9, la face externe (30) de chaque côté latéral de la coque (1) disposée au niveau des malléoles, présente un premier ergot (31) comportant un trou taraudé (32). La face interne (35) du collier (5) présente alors en regard de (30) un second ergot (36) disposé de chaque côté et en regard du premier ergot (31). Une vis (37) filetée s'engage dans le filetage du trou taraudé (32) pour permettre, grâce à deux rondelles circlips (38) et (39), la rotation du collier (5) par rapport à la coque (1) dans le plan (P) sensiblement perpendiculaire à l'axe (A) du bas de la jambe. Cette disposition permet de régler l'axe fictif (7) en fonction de la morphologie exacte du skieur.
Dans une variante montrée à la figure 8 analogue à celle représentée en figure 9, et décrite ci-dessus, l'ergot (36) est disposé alors sur la face externe du collier (5) et l'ergot (31) sur la face externe de la coque (1) et traverse le collier (5) dans unelumière (40) prévue à cet effet. Le mode de réglage est identique à celui de la forme de réalisation montrée à la figure 9.
Dans une autre variante montrée à la figure 13, les faces respectivement externe de la coque (1) et interne du collier (5) en regard, disposées au niveau des malléoles, présentent une crémaillère (45) sur laquelle se déplace une vis sans fin. On peut ainsi déplacer l'axe d'articulation (28) en le faisant tourner et en l'immobilisant autour de la coque (1) dans le plan (P).
Dans une autre forme d'exécution montrée à la figure 10, le collier (5) est articulé sur l'arrière de la coque (1) au niveau du haut du calcanéum. La face arrière de la coque présente alors deux tétons respectivement (44) et (45) venus de moulage, dirigées vers l'extérieur, ensérant une rampe courbe (42) épousant vers l'extérieur l'arrière de la coque (1) sensiblement dans le plan (P) perpendiculaire à l'axe (A). Ces tétons (44) et (45) traversent deux lumières (46) et (47) prévues à cet effet, à ce niveau, sur l'arrière du collier (5), qui présente en son milieu un téton (41) également venu de moulage, formant guide de coulissement sur la rampe (42). Un système de blocage (43) tel que par exemple une vis ou un pointeau, immobilise le collier (5) dans la position recherchée dans le plan (P) perpendiculaire à l'axe (A).
Dans une troisième forme d'exécution représentée à la figure 11, la chaussure de ski alpin est une chaussure à entrée arrière. Cette chaussure comprend alors une coque (50) rigide, analogue à (1), et le collier est constitué en deux parties, à savoir respectivement une manchette avant (51) et une manchette arrière (52). Au niveau des malléoles, la coque (50) présente de chaque côté un trou oblong (59) dirigé sensiblement vers l'avant de la chaussure. Comme précédemment (figure 5), la péri pnérie de chacune de ces deux lumières oblongues opposées (59) présente des bossages crantés (53), des saillies ou analogues.
Une pièce intermédiaire (54), dont la face interne (55) présente des bossages crantés (56), des saillies ou analogues, complémentaires de (53), destinés à coopérer avec ceux-ci. Les deux manchettes, respectivement avant (51) et arrière (52), sont articulées en (57) et en (58) sur cette pièce intermédiaire (54). Un boulon comprenant une tête (61), apte à se déplacer dans la lumière oblongue (52), traverse comme précédemment (figure 6) cette lumière oblongue (59), puis la pièce intermédiaire (54).
Un écrou (62) permet d'assurer le serrage de l'ensemble.
Cet écrou (62) prend appui, notamment au moyen d'une rondelle (63) sur la face externe de la pièce intermédiaire (54) entre les deux points d'articulation (57) et (58) des deux manchettes (51) et (52) sur la coque (50).
Dans une quatrième forme d'exécution montrée à la figure 14, la chaussure comprend de manière connue une coque rigide (70), analogue à (50), et un collier (71), analogue à (5), et également une pièce intercalaire (72) en forme d'étrier rigide en U, qui entoure l'arrière de la coque (70) à hauteur du calcanéum, et dont les deux branches respectivement (73) sont articulées autour d'un axe (74) disposé dans la semelle (75) au niveau de la voute plantaire. Comme précédemment, le collier (71) présente au niveau des malléoles un orifice circulaire (76). Là encore, comme précédemment, une pièce intercalaire circulaire est positionnée dans ces orifices d'articulation (27) pour recevoir les axes d'articulation (voir figures 6 et 12), pour faire coopérer les bossages crantés internes de la pièce intermédiaire et les bossages crantés périphériques externes de l'étrier rigide (72).
Dans une autre forme d'exécution montrée à la figure 15, l'invention est particulièrement adaptée à la réalisation de chaussures de ski de fond. Cette chaussure de ski de fond comprend une coque (100) souple sur le dessus, par exemple en tissu, mais qui présente latéralement deux faces arrière latérales partiellement rigides (101) sur le haut desquelles est articulé un collier (102) également partiellement rigide. Des organes de serrage (103) permettent de serrer le collier (102) sur le bas de la jambe au niveau de la cheville. Selon l'invention, le haut de la partie rigide de la coque présente une lumière (110), dans laquelle se déplace l'axe d'articulation et de flexion (111) du collier (102) sur la coque (101).
Cette lumière (110) et la face en regard du collier (102) sont agencées de la même manière que celle montrée précédemment, notamment à la figure 6.
On obtient de la sorte une chaussure de ski de fond polyvalente adaptée aussi bien à la pratique du pas alternatif (axe de flexion F confondu à l'axe longitudinal
L de la chaussure, donc du ski), qu'à la pratique du pas de patineur en faisant alors tourner le collier (102) vers l'extérieur et plus précisément l'axe (111) dans la lumière oblongue (110), ce qui permet d'obtenir un appui sur la carre intérieure du ski de fond plus efficace que dans les solutions actuelles.
Les chaussures de ski conformes à l'invention présentent de nombreux avantages par rapport à celles commercialisées à ce jour. On peut citer
- la possibilité de faire tourner et positionner l'axe fictif de flexion (7) dans un plan (P) sensiblement perpendiculaire à l'axe (A) de la jambe, ce que ne permet aucune chaussure commercialisée jusqu'alors ;
- la possibilité également d'adapter cet axe fictif (7) à la morphologie du skieur, à sa technicité et à la nature de la neige, puisque l'on améliore ainsi la flexion, ce qui permet d'obtenir des prises de carres plus fermes et plus efficaces.
Ces chaussures conviennent donc tout particulièrement aussi bien pour des skieurs débutants que confirmés, que pour la pratique du ski alpin, de randonnée ou de fond.

Claims (10)

REVENDICATIONS
1/ Chaussure de ski en matière plastique, comprenant
- une coque (1,50,70), destinée à recevoir un pied
du skieur
- un collier (5,51-52, 71), destiné à enserrer le
bas de la jambe, articulé par rapport à la coque
autour d'un axe fictif de flexion (7), matérialisé
par des organes mécaniques d'articulation
(8,9,28), disposés de chaque côté de la coque (1)
et du collier (5) ;
- des moyens de serrage du collier sur le bas de la
jambe, caractérisée en ce que l'axe (7) matérialisé par les organes d'articulation (28) est susceptible de pivoter autour de l'axe du bas de la jambe dans un plan (P) sensiblement perpendiculaire à cet axe (A) du bas de la jambe, puis d'être immobilisé dans une position souhaitée, de façon à permettre un réglage de l'orientation de la flexion du collier (5) sur la coque (1).
2/ Chaussure de ski selon la revendication 1, caractérisée en ce que le déplacement des organes d'articulation (28) du collier (5) sur la coque (1) autorise une rotation dans le plan (P) de l'axe fictif de flexion (7), de plus ou moins 45" par rapport à l'axe perpendiculaire au plan longitudinal (L) de la coque.
3/ Chaussure de ski selon la revendication 1, dans laquelle l'axe fictif de flexion (7) passe au niveau des malléoles, caractérisée
- en ce que la face externe (10) de chaque côté latéral de la coque (1) présente au niveau des malléoles une lumière oblongue (11), dont la périphérie (12) est entourée de bossages crantés (13) ou de saillies, ces deux lumières oblongues (11) ayant leur axe principal dans un plan (P) perpendiculaire à l'axe (A) du bas de la jambe, pour permettre un débattement du collier par rotation autour de cet axe (A) du bas de la jambe ;;
- en ce que les deux faces en regard du collier (5) présentent deux orifices circulaires (7) disposés également au niveau des malléoles
- et en ce que l'ensemble comprend également une pièce intercalaire (17) circulaire, destinée à être positionnée dans chaque orifice circulaire (16) du collier (5), pour recevoir un des deux axes d'articulation (28) pour permettre la flexion du collier (5) sur la coque (1), la face interne (18) de cette pièce intermédiaire (17) présentant des bossages crantés ou des saillies (19), aptes à coopérer avec le bossages crantés ou saillies (13) périphériques disposés sur la coque (1).
4/ Chaussure de ski selon la revendication 1, dans laquelle l'axe fictif de flexion (7) du collier (5) sur la coque (1) passe au niveau des malléoles, caractérisée:
- en ce la face externe (30) de chaque côté latéral de la coque (1) présente un premier ergot (31) disposé au niveau des malléoles, possédant un trou taraudé (32)
- en ce que chacune des faces internes (35) du collier (5) présente, en regard, un second ergot (36) disposé de chaque côté et également en regard du premier ergot (31),
- et en ce que l'ensemble comporte une vis (37) qui coopère avec le trou taraudé (32) et traverse le second ergot (36) pour permettre ainsi le déplacement du collier (5) par rapport à la coque (1) dans un plan (P) sensiblement perpendiculaire à l'axe (A) du bas de la jambe.
5/ Chaussure de ski selon la revendication 1, dans laquelle le collier (5) est articulé sur l'arrière de la coque (1) autour d'un axe disposé au voisinage du calcanéum, caractérisée en ce que l'arrière de la coque (1) présente une rampe (42) qui entoure pour partie l'arrière de la coque, sur laquelle coulisse le collier (5) afin d'obtenir une rotation de celui-ci autour de l'axe (A) du bas de la jambe.
6/ Chaussure de ski selon la revendication 1, dans laquelle le collier est réalisé en deux parties, respectivement une manchette avant (51) et une manchette arrière (52), toutes deux articulées sur la coque (50), caractérisée
- en ce que ces deux manchettes (51,52) sont articulées des deux côtés sur une pièce intermédiaire (54), dont la face interne présente des saillies, bossages, dents (56)
- en ce que chaque face de la coque (50) au niveau des malléoles, présente une lumière oblongue (59), dont l'axe principal est disposé dans un plan sensiblement orthogonal à l'axe A du bas de la jambe, et dont la périphérie est entourée de saillies, de bossages, de dents (53) aptes à coopérer avec les saillies, dents, bossages (56) de la face interne de la pièce intermédiaire (54)
- et en ce que l'ensemble présente un axe fileté (61,62) de solidarisation, dont la tête (61) peut se déplacer contre la lumière oblongue (59), et dont le corps traverse cette lumière ainsi que la pièce intermédiaire (54), et dont l'écrou (62) prend appui sur la face externe (63) de la pièce intermédiaire (54) entre les deux points d'articulation (57,58) des deux manchettes (51,52) sur la coque (50).
7/ Chaussure de ski selon la revendication 1, qui présente un étrier rigide (72) en forme de U, qui entoure l'arrière de la coque (70) à hauteur du calcanéum, et dont les deux branches (73) sont- articulées autour d'un axe (74) disposé dans la semelle (75) au niveau de la voute plantaire, caractérisée
- en ce que le collier (71) présente sur chaque côté un orifice circulaire (76), apte à recevoir une pièce intermédiaire (77) comportant des bossages, des saillies, des dents aptes à coopérer avec des bossages, saillies et dents disposés en périphérie de l'étrier (73) ;
- en ce que l'étrier (72) comprend une lumière oblongue (77), dont l'axe principal est situé (en position d'utilisation) dans un plan perpendiculaire à l'axe
A du bas de la jambe ; ;
- et en ce que l'étrier (72) et la pièce intermédiaire sont assemblés par un axe de réglage.
8/ Chaussure de ski selon l'une des revendications 1 à 7, caractérisée en ce que les organes d'articulation mobiles et positionnables du collier (5) autour de la coque (1), sont associés à des moyens susceptibles de les orienter dans un sens sensiblement vertical.
9/ Chaussure de ski alpin selon l'une des revendications 1 à 8.
10/ Chaussure de ski de fond selon l'une des revendications 1 à 8.
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