FR3130117A1 - Chassure de ski alpin - Google Patents

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Danilo Frada
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Rossignol Lange SRL
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    • A43FOOTWEAR
    • A43BCHARACTERISTIC FEATURES OF FOOTWEAR; PARTS OF FOOTWEAR
    • A43B5/00Footwear for sporting purposes
    • A43B5/04Ski or like boots
    • A43B5/0427Ski or like boots characterised by type or construction details
    • A43B5/0452Adjustment of the forward inclination of the boot leg

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  • Footwear And Its Accessory, Manufacturing Method And Apparatuses (AREA)

Abstract

L’invention concerne une chaussure de ski alpin comportant une coque (300) et un collier (200) incluant deux bras (201) latéraux de chaque côté de la chaussure (1000), chaque bras (201) portant un dispositif d’articulation (100) comportant un axe de rotation principal (101) permettant l’articulation du collier (200) sur la coque (300). L’invention est caractérisée en ce qu’elle comporte en outre un dispositif limitateur de débattement comprenant deux surfaces d’appui (152, 153, 202) solidaires respectivement du collier et de la coque, et un élément élastique (154) interposé entre lesdites surfaces d’appui (152, 153, 202). Figure pour l’abrégé : Fig 4

Description

[TITRE] : CHASSURE DE SKI ALPIN
L’invention se rattache au domaine des sports de glisse, et en particulier aux sports de glisse sur neige.
L'invention concerne plus particulièrement une chaussure de ski alpin comportant un dispositif d’articulation d’un collier sur la coque de la chaussure présentant un bon compromis entre rigidité et gestion des contraintes apparaissant au sein de la structure de la chaussure lors de la pratique du ski.
Techniques antérieures
De manière classique, une chaussure de ski alpin comporte une semelle destinée à coopérer avec les éléments d’une fixation pour être solidarisée à la face supérieure d’un ski. La semelle est surmontée d’une coque, destinée à couvrir et protéger le pied, et d’un collier, destiné au serrage de la partie basse de la jambe. Le collier et/ou la coque comportent généralement des moyens de réglage du serrage de la chaussure, afin d’en adapter le maintien à la préférence et au type de pratique de l’utilisateur. Enfin, l’intérieur de la chaussure est rendu plus confortable par la présence d’un chausson.
Le collier est généralement articulé sur la coque par le biais d’un dispositif d’articulation. Pour ce faire, le collier comporte deux bras latéraux s’étendant vers le bas, destinés à venir en regard des malléoles. Les bras et la coque sont percés d’ouvertures traversées par un axe de rotation de l’articulation, typiquement formé par une vis et un écrou. En pratique, le débattement angulaire du collier par rapport à la coque est faible de l’ordre de quelques degrés. Ce débattement angulaire peut être utile pour marcher avec les chaussures aux pieds, mais également lors de la pratique du ski, notamment lors des phases de flexion/extension de la jambe du skieur, donnant l’impulsion nécessaire au bon guidage des skis lors de la pratique du ski.
La coque et le collier sont généralement formés dans un même matériau plastique, en particulier un matériau thermoplastique. Le matériau utilisé est rigide, voire très rigide, éventuellement renforcé de fibres, telles que les fibres de verre ou de carbone, afin de garantir un bon maintien du pied et de la jambe et des meilleures performances lors de la pratique du ski. Cependant, de fortes contraintes peuvent s’appliquer sur l’articulation lors de sa rotation, notamment sur des lors des phases de flexion/extension de la jambe. L’articulation est en effet très sollicitée, ce qui peut entrainer des déformations, voire la rupture des matériaux rigides constitutifs de la coque et du collier. Sur les modèles de chaussures existants, des ruptures sont d’ailleurs souvent observées au niveau des bras du collier. En effet, le besoin de rigidité des chaussures impose aux constructeurs de choisir des matériaux qui présentent une faible déformation élastique et qui sont donc propices à la rupture lorsque trop de contraintes leur sont appliquées.
Le problème technique que se propose de résoudre l’invention est donc de mettre au point des chaussures de ski alpin présentant un meilleur compromis entre rigidité et gestion des contraintes apparaissant au sein de la structure de la chaussure.
Pour résoudre ces problèmes, le Demandeur propose une chaussure de ski alpin comportant :
- une coque destinée à envelopper au moins une partie du pied d’un utilisateur, et
- un collier destiné au serrage de la partie basse de la jambe de l’utilisateur, le collier incluant deux bras latéraux de chaque côté de la chaussure, chaque bras portant un dispositif d’articulation comportant un axe de rotation principal permettant l’articulation du collier sur la coque.
Une telle chaussure est caractérisée en ce qu’elle comporte en outre un dispositif limitateur de débattement comprenant :
- deux surfaces d’appui solidaires respectivement du collier et de la coque, et
- un élément élastique interposé entre lesdites surfaces d’appui.
Autrement dit, le Demandeur a mis au point une chaussure de ski alpin dont l’articulation comporte un axe principal, permettant de réaliser effectivement la rotation du collier par rapport à la coque, et un élément élastique déporté sur une autre partie du bras du collier. Cet élément élastique se déforme lors de la rotation du collier et exerce une force de rappel dans la direction opposée à la rotation du collier, ce qui tend à ramener le collier vers sa position de repos. Ce mouvement de relance permet de donner plus de souplesse à l’articulation et d’accompagner le rebond du pied et de la jambe par exemple pendant la pratique du ski.
En effet, les surfaces d’appui et l’élément élastique sont disposés de telle sorte qu’un pivotement vers l’avant du collier provoque la compression de l’élément élastique au contact des surfaces d’appui.
L’élément élastique peut par exemple être un ressort ou encore un élément viscoélastique tel qu’une pièce réalisée en un matériau élastomère, comme par exemple du caoutchouc. Outre sa déformation et sa raideur, un élément viscoélastique présente l’avantage de pouvoir absorber au moins partiellement les contraintes s’appliquant sur l’articulation et de dissiper cette énergie absorbée, par exemple sous forme de chaleur.
Ainsi, il est possible de moduler trois paramètres de l’élément viscoélastique en fonction de la rigidité des matériaux composant la coque et le collier. Ces trois paramètres sont la déformation du matériau, sa raideur et son coefficient d’amortissement. Plus l’élément est déformable, plus le débattement angulaire de la chaussure sera important, plus l’élément est élastique et plus la force de rappel vers sa position de repos du collier sera dynamique. Enfin, plus l’élément présente un coefficient d’amortissement important et plus les contraintes subies par la structure pourront être absorbées.
L’élément élastique est alors interposé entre les surfaces d’appui. Ces dernières peuvent être disposées de diverses manières, comme par exemple perpendiculairement l’une par rapport à l’autre.
Cependant, dans un mode de réalisation privilégié, les surfaces d’appui sont planes et parallèles entre-elles pour que lors de la rotation du collier, elles évoluent de manière parallèle, exerçant des forces sensiblement égales mais de sens opposé sur l’élément élastique. La compression de l’élément élastique est alors plus uniforme et ce dernier ne risque pas d’être arraché ou d’échapper de la zone située entre les surfaces d’appui.
En pratique, l’élément élastique est positionné dans un logement ménagé dans la face externe de la coque, ledit logement présentant des dimensions supérieures aux dimensions de l’élément élastique pour permettre à celui-ci d’être mobile dans le logement afin de suivre les mouvements du collier.
Plusieurs modes de réalisations peuvent être envisagés.
Dans certains de ces modes de réalisation, le dispositif limitateur de débattement se présente sous la forme d’un axe secondaire localisé au niveau de la partie inférieure des bras du collier. Il comporte :
- un écrou dont une première portion est positionnée contre la face interne de la coque et dont une seconde portion traverse une première ouverture ménagée dans la coque, et
- une vis dont la tête est positionnée du côté de la face externe des bras et dont le corps traverse une seconde ouverture, ménagée dans les bras, la vis coopérant avec l’écrou pour former un axe fixe par rapport à la coque. Cet axe est donc indépendant de la rotation du collier.
En particulier, la première portion de l’écrou est positionnée dans un logement ménagé dans la coque afin de ne pas gêner ou blesser l’utilisateur. En outre, la portion de l’écrou traversant la première ouverture est nervurée. Ces nervures assurent le blocage de l’écrou dans la coque. L’écrou peut ainsi être monté en force dans la coque. Il est alors solidaire de la coque et ne peut effectuer de rotation dans l’ouverture de la coque.
Dans un premier mode de réalisation, les surfaces d’appui comprennent d’une part un ergot faisant saillie de la face interne des bras et d’autre part la vis et/ou l’écrou, le pivotement vers l’avant du collier provoquant la compression de l’élément élastique entre l’ergot et la vis et/ou l’écrou.
En pratique, la seconde ouverture, ménagée dans le collier, est de forme oblongue et présente une hauteur, mesurée perpendiculairement à la semelle de la chaussure, qui est supérieure au diamètre du corps de la vis. Ceci permet un débattement vertical du collier par rapport à la coque. Ce débattement permet un réglage de l’inclinaison latérale du collier, également appelé «canting» dans la littérature anglosaxonne. Le réglage du canting permet d’optimiser la prise de carre en compensant par une inclinaison certaines morphologies, comme par exemple des jambes arquées.
Dans un deuxième mode de réalisation, les surfaces d’appui comprennent d’une part un ergot faisant saillie de la face interne des bras et d’autre part une paroi du logement recevant l’élément élastique, le pivotement vers l’avant du collier provoquant la compression de l’élément élastique entre l’ergot et la paroi du logement.
Dans un troisième mode de réalisation, l’élément élastique est solidaire de la face interne des bras, les moyens de butée comprennent une paroi du logement recevant l’élément élastique, le pivotement vers l’avant du collier provoquant la compression de l’élément élastique contre la paroi du logement.
Dans un quatrième mode de réalisation, l’élément élastique est solidaire de la face interne des bras. Les moyens de butée comprennent la vis, le pivotement vers l’avant du collier provoquant la compression de l’élément élastique contre le corps de la vis.
Description des figures
La manière de réaliser l’invention, ainsi que les avantages qui en découlent, ressortiront bien de la description des modes de réalisation qui suivent, à l’appui des figures annexées dans lesquelles :
La est une vue de côté montrant la face externe d’une chaussure de ski alpin selon un premier mode de réalisation de l’invention,
La est une vue de côté montrant la face interne de la chaussure de ski alpin de la ,
La est une vue de face du dispositif d’articulation de la chaussure de ski alpin de la ,
La est une vue en perspective éclatée du côté externe du dispositif d’articulation de la chaussure de ski alpin de la , et
La est une vue en perspective éclatée du côté interne du dispositif d’articulation de la chaussure de ski alpin de la ,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation au repos de la chaussure de ski alpin de la ,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation lors de la rotation de l’axe de rotation principal de la chaussure de ski alpin de la ,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation au repos selon un deuxième mode de réalisation de l’invention,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation de la , lors de la rotation de l’axe de rotation principal de la chaussure de ski alpin,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation au repos selon un troisième mode de réalisation de l’invention,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation de la , lors de la rotation de l’axe de rotation principal de la chaussure de ski alpin,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation au repos selon un quatrième mode de réalisation de l’invention,
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation de la , lors de la rotation de l’axe de rotation principal de la chaussure de ski alpin,
La est une vue en perspective du côté externe d’une chaussure de ski alpin munie d’un dispositif d’articulation selon un cinquième mode de réalisation.
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation de la chaussure de ski alpin de la , et
La est une vue en coupe du dispositif d’articulation de la , lors de la rotation de l’axe de rotation principal de la chaussure de ski alpin.
Dans les vues en coupe des figures 6 à 13, 15 et 16, la chaussure est orientée de façon à ce que sa partie avant se trouve à gauche, et sa partie arrière à droite sur les schémas.
Description détaillée des modes de réalisation
Tel qu’illustré sur les figures 1 et 2, une chaussure1000pour la pratique du ski alpin comporte une semelle400, surmontée d’une coque300et d’un collier200.
La coque300épouse la forme du pied, tandis que le collier200entoure le bas de la jambe. Le collier200comporte deux rabats latéraux205,206sur lesquels sont fixés des moyens de réglage207,208du serrage de la chaussure1000, typiquement des boucles de serrage non représentées sur les figures. D’autres moyens de réglage peuvent également être présents sur le dessus de la coque300, mais ceux-ci ne sont pas représentés sur les figures. Les moyens de réglage207,208du serrage de la chaussure1000se présentent par exemple sous la forme d’un système de boucles présentes sur l’un des rabats latéraux205,206venant crocheter des crans de réglage localisés sur le rabat opposé205,206.
Le collier200se prolonge au niveau de deux bras201latéraux destinés à venir en regard des malléoles de l’utilisateur. Pour ce faire, les bras201ont typiquement une hauteur comprise entre 3 et 7 cm et une largeur comprise entre 3 et 5 cm. Tel qu’illustré sur les figures 1 et 2, les bras201peuvent présenter une forme trapézoïdale allongée. Le collier200peut alors recouvrir une portion de la coque300, notamment au niveau des bras201.
Le collier200est articulé en rotation sur la coque300de la chaussure1000grâce à un dispositif d’articulation100. Le collier200peut ainsi basculer d’avant en arrière d’un angle de quelques degrés lors des mouvements de flexion du skieur, notamment pendant la pratique du ski.
Pour ce faire, tel qu’illustré sur les figures 3 à 5, le dispositif d’articulation100comporte un axe de rotation principal101. Ce dernier est localisé au niveau de la partie supérieure des bras201du collier. Une première ouverture de diamètre compris entre 1 et 4 cm est ménagée dans les bras201du collier200et une seconde ouverture de diamètre plus réduit, typiquement compris entre 0.2 et 1 cm est ménagée dans la coque300. Un écrou peut être positionné au niveau de la partie interne de la coque300, en regard de la seconde ouverture. Une vis est insérée à travers la première et la seconde ouverture de sorte à coopérer avec l’écrou. L’axe de rotation principal101peut également comporter des moyens permettant de maintenir une distance minimale entre la vis et l’écrou de façon à laisser libre la rotation du collier200par rapport à la coque300. Ces moyens permettent d’éviter que la vis ne frotte sur le collier, et que ce dernier ne frotte excessivement sur la coque. Ainsi, les efforts générés par le collier ne s’appliquent pas directement sur la vis ou le contrefort, mais au travers de ces moyens additionnels. Ces moyens peuvent par exemple être une entretoise et/ou une rondelle.
Avantageusement, une pièce de finition peut être positionnée à l’extérieur de la portion terminale du bras du collier, en regard de la seconde ouverture. La pièce de finition reçoit alors l’appui de la tête de la vis et permet de limiter l’usure de la portion terminale du bras du collier. La pièce de finition a également un but d’esthétisme et de protection du dispositif d’articulation des chocs et des rayures.
Le dispositif d’articulation100comporte en outre un dispositif limitateur de débattement151, par exemple localisé sur la portion inférieure des bras201. Il existe plusieurs modes de réalisation du dispositif limitateur de débattement151. Dans tous les cas, ce dernier comporte deux surfaces d’appui152,153,202,212,303,313solidaires respectivement du collier et de la coque, et un élément élastique154,164,174,184interposé entre lesdites surfaces d’appui152,153,202,212,303,313. L’élément élastique peut par exemple être une pièce de caoutchouc ou encore un ressort.
Selon un premier mode de réalisation illustré aux figures 3 à 7, le dispositif limitateur de débattement151se présente sous la forme d’un axe de liaison secondaire reliant la coque300et le collier200.
Pour ce faire, une première ouverture302de diamètre typiquement compris entre 0.5 et 3 cm est ménagée dans la coque300et une seconde ouverture203de diamètre compris entre 0.2 et 2 cm est ménagée dans les bras201du collier200. La seconde ouverture203peut présenter une empreinte destinée à accueillir la tête d'une vis.
Un écrou152comprenant une première portion de forme ronde ou parallélépipédique, de largeur comprise entre 1 et 5 cm est positionné au niveau de la face interne de la coque300. Cette première portion de l’écrou est de plus grandes dimensions que l’ouverture ménagée dans la coque pour ne pas traverser cette dernière. La première portion de l’écrou152peut également présenter une empreinte coopérant avec un outil permettant de régler le dispositif limitateur de débattement151. Dans une autre variante, l’écrou152peut être inséré dans un logement158de la face interne de la coque, tel qu’illustré sur la , empêchant sa rotation et permettant également de limiter l’épaisseur totale du dispositif limitateur de débattement151en ne laissant pas dépasser l’écrou 152 de la face interne de la coque 300. Ceci permet également de ne pas gêner ou blesser l’utilisateur, en évitant la présence de parties proéminentes à l’intérieur de la chaussure
L’écrou152présente également une seconde portion traversant la première ouverture302ménagée dans la coque300. Cette seconde portion est de préférence de section circulaire ou encore rectangulaire de diamètre ou longueur compris entre 1 et 3 cm.
La seconde portion de l’écrou152est de forme tubulaire creuse et peut présenter un filetage sur tout ou partie de sa paroi interne. De préférence, l’écrou152présente une longueur totale comprise entre 0.2 et 0.5 cm et une ouverture dimensionnée pour recevoir une vis153. Avantageusement, l’écrou152est réalisée dans un matériau plastique ou en métal, typiquement en acier. De préférence, le pourtour de la seconde portion de l’écrou152est nervuré. Il peut ainsi être monté en force dans la première ouverture302ménagée dans la coque300. Les nervures permettent ainsi d’éviter que l’écrou152ne se désengage ou tourne dans la première ouverture302. La seconde portion de l’écrou152peut dépasser ou non de la première ouverture302. Selon une variante non représentée, la coque peut être directement taraudée, pour recevoir la vis153. L’écrou152est ainsi remplacé par le taraudage de la coque.
Une vis153présentant une tête de diamètre typiquement compris entre 0.5 et 3 cm et une longueur comprise entre 1 et 3 cm est insérée à travers la seconde ouverture203ménagée dans les bras201du collier. La tête de la vis153présente une empreinte coopérant avec un outil permettant de régler le dispositif limitateur de débattement151, comme par exemple une clé ou un tournevis. Avantageusement, la vis153est réalisée dans un matériau plastique ou en métal, typiquement en acier.
Le corps de la vis peut présenter un filetage sur tout ou partie de sa longueur. La vis153peut également comporter un frein filet, c’est-à-dire qu’une portion du filetage est recouverte d’une colle permettant de limiter le jeu, les fuites et la corrosion.
La vis153est ainsi vissée dans la seconde portion de l’écrou152. L'axe formé par la vis153et l’écrou152est solidaire de la coque300et le collier200est mobile par rapport à l'ensemble formé par l'axe et la coque300. Ainsi, l'ouverture203ménagée dans le collier200présente de préférence un diamètre supérieur à celui du corps de la vis153afin de permettre au collier200d’effectuer sa rotation avant ou arrière librement, voire d’avoir également la possibilité de s’incliner vers la droite ou la gauche par rapport à la coque300, notamment lorsque le dispositif d’articulation principal100comprend une bague de réglage du canting, permettant de modifier l’inclinaison latérale de la chaussure.
Un élément élastique est interposé entre le collier200et la coque300. Cet élément élastique peut être un élément viscoélastique154réalisé dans un matériau élastomère tel qu'un caoutchouc. L’élément viscoélastique154présente une forme sensiblement parallélépipédique avec une largeur comprise entre 2 et 5 cm, une longueur comprise entre 1 et 3 cm et une épaisseur comprise entre 0.1 et 0.7 cm. Avantageusement, les coins de l’élément viscoélastique154peuvent être arrondis. Bien entendu, d’autres formes pourraient être envisagées pour l’élément viscoélastique154, comme par exemple une forme circulaire. L'élément viscoélastique154présente également une ouverture centrale156permettant de recevoir le corps de la vis153et/ou la seconde portion de l’écrou152. Dans certains modes de réalisation, l'élément viscoélastique154comprend une protubérance155, de préférence réalisée dans le même matériau que le reste de la pièce. La protubérance155présente une hauteur comprise entre 0.5 et 1 cm et coopère avec une lumière204ménagée dans les bras201. La protubérance155est ainsi visible depuis l’extérieur de la chaussure1000. Sa fonction est assimilable à celle d’un repère visuel permettant de vérifier le bon positionnement de l'élément viscoélastique154entre le collier200et la coque300.
Lorsque le dispositif limitateur de débattement151est au repos, tel qu’illustré sur la , l'élément viscoélastique154est positionné au centre d’un logement 301 de la coque, dont la largeur et la longueur sont supérieures aux dimensions de l'élément viscoélastique 154, afin que ce dernier puisse se mouvoir dans le logement 301 à la fois selon la largeur et la longueur du logement 301. La vis 153 traverse l’ouverture de l’élément viscoélastique 154 et est logée dans l’écrou 152. En variante, c’est l’écrou 152 qui peut être monté en force dans l’ouverture de l’élément viscoélastique 154. Les nervures de l’écrou 152 permettent alors de maintenir l’élément viscoélastique 154 sur la seconde portion de l’écrou 152 pour l’empêcher de s’extraire ou de tourner dans le logement 301.
Dans ce mode de réalisation, les surfaces d’appui comprennent d’une part un ergot202et d’autre part la vis153et/ou l’écrou152traversant l’élément viscoélastique154. Ces surfaces d’appui sont sensiblement parallèles l’une par rapport à l’autre. Ainsi, l’élément viscoélastique se trouve comprimé entre les deux surfaces d’appui.
L’ergot202est positionné sur la face interne des bras du collier200. L’ergot présente une forme prismatique et est avantageusement dans le même matériau que le collier, typiquement en matière thermoplastique, par exemple du TPU de hauteur comprise entre 0.5 et 1 cm. Une arête du prisme est disposée perpendiculairement à la face supérieure de l’élément viscoélastique154et parallèlement à l’axe central de la vis153. En variante, d’autres formes peuvent être envisagées pour l’ergot202, dès lors que l’ergot peut former une surface d’appui pour l’élément viscoélastique.
Au repos, même s’il peut venir à son contact, l’ergot202n’exerce pas d’effort sur l’élément viscoélastique154et ce dernier n’est donc pas comprimé. En revanche, lors de la rotation du collier200vers l’avant par rapport à la coque300, le collier200subit une quasi translation de sa partie basse vers l’arrière correspondant à la flècheF, permettant de déplacer l’ergot202au contact de l'élément viscoélastique154. Plus la rotation est importante et plus l'ergot202est reculé. Il comprime alors l'élément viscoélastique154contre le corps de la vis153et/ou de l'écrou152, tel qu’illustré sur la .
De préférence l’ergot202s’étend sur toute la largeur de l’élément viscoélastique154de sorte à comprimer l'élément viscoélastique154de manière uniforme.
Dans un deuxième mode de réalisation illustré aux figures 8 et 9, le dispositif limitateur de débattement161comporte un élément viscoélastique164positionné dans un logement311ménagé dans la coque310. Les surfaces d'appui permettant de comprimer l'élément viscoélastique164sont d'une part, l’arête de l’ergot212disposée perpendiculairement à la face supérieure de l’élément viscoélastique154et d’autre part une paroi latérale303du logement311ménagé dans la face externe de la coque300. Ces surfaces d’appui sont sensiblement parallèles l’une par rapport à l’autre.
Au repos, l’ergot212n’est pas en contact avec ou du moins n’exerce pas d’effort sur l’élément viscoélastique164et ce dernier n’est donc pas comprimé. En revanche, lors de la rotation du collier210vers l’avant, l’arête de l’ergot212est déplacée au contact de l'élément viscoélastique164. Plus la rotation du collier210est importante et plus l'ergot212est translaté vers l’arrière, selon la flècheFvisible sur la . Il comprime alors l'élément viscoélastique164contre la paroi latérale 303 d’un logement 311, tel qu’illustré sur la .
En variante, l'élément viscoélastique164peut être positionné au contact d'une protubérance faisant saillie de la coque310, l’ergot212comprime alors l'élément viscoélastique164contre la protubérance.
Le troisième mode de réalisation illustre, aux figures 10 et 11, des surfaces d'appui avec d'une part, la face interne du collier220, dont l’élément viscoélastique174est rendu solidaire via une vis173enfoncée dans un trou borgne de l’élément viscoélastique174, et d’autre part, une paroi latérale313du logement321ménagé dans la face externe de la coque320. Les surfaces d’appui sont ici perpendiculaires.
Ainsi, au repos, l’élément viscoélastique174n’est pas comprimé. En revanche, tel qu’illustré sur la , lors de la rotation du collier220vers l’avant, l'élément viscoélastique 174 est translaté vers l’arrière selon la flèche F en même temps que le collier 220, jusqu’à entrer en contact avec la paroi latérale 313 du logement 321. Plus la rotation du collier 220 est importante et plus l'élément viscoélastique 174 est comprimé contre la paroi latérale 313.
Selon un quatrième mode de réalisation illustré aux figures 12 et 13, le dispositif limitateur de débattement181comporte un élément viscoélastique184positionné entre le collier230et la coque330. Les surfaces d'appui permettant de comprimer l'élément viscoélastique184sont d'une part, la face interne du collier230, dont l’élément viscoélastique184est solidaire. En effet, une partie seulement de la face supérieure de l’élément viscoélastique184est solidarisée au collier230. D’autre part, les surfaces d'appui comprennent le corps d’une vis183et/ou le corps d’un écrou184. En variante, la seconde surface d’appui peut être formée par une paroi latérale d’un logement331ménagé dans la face externe de la coque300ou encore par une protubérance contre laquelle l’élément viscoélastique184vient buter. Les surfaces d’appui sont ici perpendiculaires.
Ainsi, au repos, l’élément viscoélastique184n’est pas comprimé. Tel qu’illustré sur la , lors de la rotation du collier230vers l’avant, l'élément viscoélastique 184 est translaté vers l’arrière selon la flèche F en même temps que le bas du collier 230, jusqu’à entrer en contact avec le corps de la vis 183. Plus la rotation est importante et plus l'élément viscoélastique 184 est comprimé contre le corps de la vis 183.
Selon un cinquième mode de réalisation illustré sur les figures 14 à 16, les surfaces d’appui peuvent être d’une part, la face externe de la coque340contre laquelle l’élément viscoélastique194est solidarisé au moins en partie au niveau de sa face inférieure et d’autre part, une paroi latérale du191bras du collier240. Les surfaces d’appui ou plus précisément les surfaces entre lesquelles l’élément viscoélastique est contraint sont ici perpendiculaires.
Ainsi, au repos, l’élément viscoélastique194n’est pas comprimé. En revanche, tel qu’illustré sur la , lors de la rotation du collier240vers l’avant, le bras 191 du collier recule selon la flèche F, et entre en contact avec une portion latérale de l’élément viscoélastique 194. Cette portion latérale de l’élément viscoélastique n’étant pas solidaire de la coque 340, elle peut être comprimée.
Pour tous ces modes de réalisation, la compression de l’élément élastique154,164,174,184,194permet d’absorber au moins partiellement les contraintes s’appliquant sur le dispositif d’articulation100, en particulier sur l’axe principal101lors de la rotation du collier200,210,220,230,240. En effet, l’élément élastique154,164,174,184,194exerce une force de rappel dans la direction opposée à la rotation du collier200,210,220,230,240, ce qui tend à ramener le collier200,210,220,230,240vers sa position de repos. Ce mouvement de relance permet de donner plus de souplesse à l’articulation et d’accompagner le rebond du pied lors de la pratique du ski.
En pratique, le choix du matériau de l’élément viscoélastique, et de sa forme et ses dimensions, ainsi que la géométrie du dispositif permet d’influer sur l’amplitude du mouvement du collier. Par ailleurs, en sélectionnant un matériau plus ou moins élastique, on peut influer sur les propriétés de rebond du collier en fin de flexion, et jouer sur le mouvement de relance pour le mouvement inverse. Le choix du matériau et de son facteur d’amortissement permet de jouer sur la dissipation d’une partie de l’énergie cinétique liée au mouvement du collier, par des effets de cisaillement à l’intérieur de l’élément viscoélastique. On peut ainsi amortir tout ou partie des vibrations pouvant se propager dans la chaussure lors de la pratique du ski.
Pour conclure l’invention permet de mettre au point des chaussures de ski alpin présentant un bon compromis entre rigidité et gestion des contraintes au sein de la structure lors de la pratique du ski.

Claims (13)

  1. Chaussure de ski alpin (1000, 2000) comportant :
    - une coque (300, 310, 320, 330, 340) destinée à envelopper au moins une partie du pied d’un utilisateur, et
    - un collier (200, 210, 220, 230, 240) destiné au serrage de la partie basse de la jambe de l’utilisateur, le collier (200, 210, 220, 230, 240) incluant deux bras (201) latéraux de chaque côté de la chaussure (1000, 2000), chaque bras portant un dispositif d’articulation (100) comportant un axe de rotation principal (101) permettant l’articulation du collier (200, 210, 220, 230, 240) sur la coque (300, 310, 320, 330, 340), caractérisée en ce qu ’elle comporte en outre un dispositif limitateur de débattement (151, 161, 171, 181, 191) comprenant :
    - deux surfaces d’appui (152, 153, 202, 212, 303, 313, 240, 340) solidaires respectivement du collier (200, 210, 220, 230, 240) et de la coque (300, 310, 320, 330, 340), et
    - un élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) interposé entre lesdites surfaces d’appui (152, 153, 202, 212, 303, 313, 240, 340).
  2. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que les surfaces d’appui (152, 153, 202, 212, 303, 313, 240, 340) et l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) sont disposés de telle sorte qu’un pivotement vers l’avant du collier (200, 210, 220, 230, 240) provoque la compression de l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) au contact des surfaces d’appui (152, 153, 202, 212, 303, 313, 240, 340).
  3. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) est viscoélastique.
  4. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que les surfaces d’appui (152, 153, 202, 212, 303, 313, 240, 340) sont planes et parallèles entre-elles.
  5. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) est positionné dans un logement (301, 311, 321, 331) ménagé dans la face externe de la coque (300, 310, 320, 330, 340), ledit logement (301, 311, 321, 331) présentant des dimensions supérieures aux dimensions de l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194).
  6. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) est réalisé en un matériau élastomère.
  7. Chaussure selon la revendication 1, caractérisée en ce que le dispositif limitateur de débattement (151, 161, 171, 181, 191) comporte :
    - un écrou (152, 182) dont une première portion est positionnée contre la face interne de la coque (300, 310, 320, 330, 340) et dont une seconde portion traverse une première ouverture (302) ménagée dans la coque (300, 310, 320, 330, 340) et
    - une vis (153, 173, 183) dont la tête est positionnée du côté de la face externe des bras (201) et dont le corps traverse une seconde ouverture (203, 213, 223), ménagée dans les bras (201), la vis coopérant avec l’écrou (152, 182) pour former un axe fixe par rapport à la coque (300, 310, 320, 330, 340).
  8. Chaussure selon la revendication 7, caractérisée en ce que la portion de l’écrou (152, 182) traversant la première ouverture (302) est nervurée.
  9. Chaussure selon la revendication 7, caractérisée en ce que les surfaces d’appui comprennent d’une part un ergot (202, 212) faisant saillie de la face interne des bras (201) et d’autre part la vis (153, 173, 183) et/ou l’écrou (152, 182), le pivotement vers l’avant du collier (200, 210, 220, 230, 240) provoquant la compression de l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) entre l’ergot (202, 212) et la vis (153, 173, 183) et/ou l’écrou (152, 182).
  10. Chaussure selon la revendication 5, caractérisée en ce que les surfaces d’appui comprennent d’une part un ergot (202, 212) faisant saillie de la face interne des bras (201) et d’autre part une paroi (303) du logement (301, 311, 321, 331) recevant l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194), le pivotement vers l’avant du collier (200, 210, 220, 230, 240) provoquant la compression de l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) entre l’ergot (202, 212) et la paroi (303, 313) du logement (301, 311, 321, 331).
  11. Chaussure selon les revendications 5 et 7, caractérisée en ce que l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) est solidaire de la face interne des bras (201), et en ce que les moyens de butée comprennent la vis (173), le pivotement vers l’avant du collier (200, 210, 220, 230, 240) provoquant la compression de l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) contre le corps de la vis (173).
  12. Chaussure selon la revendication 5, caractérisée en ce que l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) est solidaire de la face interne des bras (201), les moyens de butée comprennent une paroi du logement (301, 311, 321, 331) recevant l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194), le pivotement vers l’avant du collier (200, 210, 220, 230, 240) provoquant la compression de l’élément élastique (154, 164, 174, 184, 194) contre la paroi du logement (301, 311, 321, 331).
  13. Chaussure selon la revendication 7, caractérisée en ce que la seconde ouverture (203, 213, 223) est de forme oblongue présentant une hauteur, mesurée perpendiculairement à la semelle de la chaussure (1000, 2000), qui est supérieure au diamètre du corps de la vis (153, 173, 183), pour permettre un débattement vertical du collier (200, 210, 220, 230, 240) par rapport à la coque (300, 310, 320, 330, 340).
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Citations (3)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
US4601118A (en) * 1982-07-19 1986-07-22 Calzaturificio Tecnica Spa Ski-boot with a boot leg having adjustable side inclination
FR2663820A3 (fr) * 1990-06-29 1992-01-03 Rossignol Sa Chaussure de ski en matiere plastique.
FR2666201A1 (fr) * 1990-08-30 1992-03-06 Rossignol Sa Chaussure de sport, notamment pour la pratique du ski de fond.

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