FR2635554A1 - Serrure pourvue d'un moteur electrique d'entrainement et dispositif de gestion de commande d'une telle serrure - Google Patents

Abstract

Cette serrure comporte un dispositif de gestion de commande comportant un microprocesseur 3 destiné à recevoir par l'intermédiaire d'un circuit d'interface d'entrée 7 des signaux de commande EN, AT, DP, FG, PS, CD, DM, OG extérieurs au dispositif, ainsi que des signaux PS, DP élaborés à partir de capteurs 16, 17, 18 de position de la serrure et de moyens 19, 20 capteurs de position du battant d'une porte équipée de ladite serrure par rapport à son huisserie, et à élaborer des instructions CO, CF pour les transmettre par l'intermédiaire d'un circuit d'interface de sortie 10 vers un commutateur de commande de sortie 11 connecté à des relais 22, 23 de mise en rotation du moteur électrique 1 d'entraînement de la tringle 2 d'actionnement des pênes de la serrure dans un sens correspondant aux instructions à exécuter.

Description

La présente invention concerne les serrures du type motorisé pourvues d'un mécanisme d'entrainement du pêne dormant et du pêne demi-tour de la serrure, équipe d'au moins un moteur électrique.

Elle se rapporte plus particulièrement à un dispositif de gestion de la commande d'une telle serrure à l'aide d'instructions qui lui sont appliquées au moyen d'un système à code tel qu'un clavier, un lecteur de carte ou analogue.

On connait des serrures motorisées commandées à l'aide d'un clavier au moyen duquel l'utilisa- teur compose un code correspondant à un ordre d'ouverture, cet ordre provoquant la rentrée du pêne dormant et du pêne demi-tour de la serrure.

Si à la suite de l'exécution d'une commande d'ouverture, la porte équipée d'une serrure de ce type n'est pas manoeuvrée, les pênes dormant et demi-tour sont ramenés automatiquement en position de fermeture.

Si la porte a été manoeuvrée, le pêne demitour est actionné dans le sens de la sortie.

Lors de la fermeture de la porte, il y a reverrouillage de serrure.

L'invention vise à créer une serrure perfectionnée du type précité qui tout en étant associée à un dispositif de commande de construction relativement simple, présente vis à vis des serrures motorisées existantes, une souplesse de fonctionnement accrue.

L'invention a donc pour objet une serrure comprenant une tringle d'actionnement d'au moins un pêne, ladite tringle étant déplaçable en translation par un mécanisme à moteur électrique d'entrainement, caractérisée en ce qu'elle comporte en outre une came associée à ladite tringle et des capteurs de position coopérant avec ladite came, les signaux de sortie des capteurs de position traduisant la position de la tringle dans la serrure et par conséquent l'état rentré ou sorti dudit-au moins un pêne.

Elle a également pour objet un dispositif de gestion de commande d'une serrure du type défini cidessus, caractérisé en ce qu'il comporte un microprocesseur destiné à recevoir par l'intermédiaire d'un circuit d'interface d'entrée des signaux de commande extérieurs au dispositif, ainsi que des signaux élaborés à paritr des capteurs de position de la serrure et de moyens capteurs de position du battant d'une porte équipée de ladite serrure par rapport à son huisserie, et à élaborer des instructions pour les transmettre par l'intermédiaire d'un circuit d'interface de sortie vers un commutateur de commande de sortie connecté à des relais de mise en rotation du moteur électrique d'entrainement de la tringle dans un sens correspondant aux instructions à exécuter.

L'invention sera mieux comprise à l'aide de la description qui va suivre, donnée uniquement à titre d exemple et faite en se référant aux dessins annexés, sur lesquels
- la Fig. est un schéma synoptique du dispositif de commande électronique de la serrure motorisée suivant l'invention;
- la Fig.2A est une vue schématique en élévation des éléments essentiels d'une serrure suivant l'invention;
- les Fig.2B et 2C sont des vues analogues à celle de la Fig.2A, montrant différentes positions des organes de la serrure au cours de son fonctionnement;
- les Fig.3A à 3C sont des vues schématiques en coupe d'un mécanisme débrayable d'actionnement de la tringle de la serrure représentée aux Fig.2A à 2C;,
- la Fig.4 est une vue schématique d'une came circulaire utilisable avec la serrure représentée aux Fig.2A à 2C;;
- la Fig.5 est un organigramme de gestion des opérations d'ouverture et de fermeture de la serrure suivant l'invention.

Le dispositif représenté à la Fig.1 est destiné à commander un moteur électrique 1 d'entrainement du mécanisme d'une serrure dont seule une tringle 2 déplaçable en translation est représentée.

Il comporte principalement un microprocesseur 3 comportant une mémoire PROM interne contenant le programme et les sous-programmes de gestion de la serrure ainsi qu'une horloge interne pilotée par un quartz 3p. Ce microprocesseur peut être avantageusement du type 8748 HC fabriqué et vendu par la société
Intel.

Le microprocesseur 3 est relié à un compteur 4 utilisé comme référence de base pour toutes les temporisations du fonctionnement du dispositif.

Le compteur 4 est constitué par exemple par un compteur à 12 bits. Il peut être du type HC4040.

Le microprocesseur 3 comporte une entrée INT connectée à la sortie d'un relais 5 de commande d'ouverture générale de la serrure par action extérieure à la gestion. L'intervention du relais 5 sera décrite plus en detail par la suite.

Il est ensuite connecté par un bus 6 à un circuit d'interface d'entrée pour les informations nécessaires à la gestion du fonctionnement de la serrure. Le circuit d'interface d'entrée est par exemple du type HC4069.

Les informations principales parvenant au circuit d'interface d'entrée sont
AT : information provenant d'une boucle d'auto-protection;
DP : signal de sortie d'un capteur de présence de la porte équipée de la serrure dans son dormant;
PS : signal de sortie d'un détecteur de position du pêne dormant de la serrure;
CD : information de commande issue d'un système de codification;
DM : commande de fonction demi-tour seul;
OS : commande d'ouverture générale.

La sortie du circuit d'interface d'entrée 7 est en outre reliée à l'entrée d'un circuit 8 de simulation du fond de gache FG destiné à permettre la rentrée du pène dormant de la serrure dans tous les cas de rebond de la porte par rapport à son huisserie.

Le circuit simulateur 8 est avantageusement constitué de portes NON-ET à seuil. Il peut être du type HC 4093.

Il peut fonctionner avec ou sans dispositif détecteur de fond de gache cablé.

La sortie du circuit 8 délivre un signal de fond de gache FG au microprocesseur 3.

Le microprocesseur 3 est connecté par un bus 9 à un circuit d'interface de sortie 10 auquel parvient également l'information EN de validation des signaux de sortie d ouverture/fermeture CO/CF.

Une sortie du circuit d'interface de sortie 10 est connectée directement à une entrée Co d'un commutateur de commande de sortie 11.

Une autre sortie du circuit d'interface 10 est connectée à une entrée No et à une entrée CM du commutateur de commande de sortie Il par l'intermédiaire d'un relais 12 de fonction demi-tour seul.

Un bus de sortie 13 est relié au circuit d'interface de sortie 10.

Le commutateur de commande de sortie 11 comporte en outre des entrées D,T,# O,# F.

L'entrée D est connectée à une sortie d'un relais 14 de détection de porte,
L'entrée T est connectée par l'intermédiaire d'un sommateur 15 à un capteur électromécanique 16 de la position de la tringle 2 actionnée par le moteur 1.

Les entrées i O et X F sont connectées respectivement à deux autres capteurs électromécaniques 17,18 de la position de la tringle 2.

Le sommateur 15 est en outre connecte au relais d'ouverture générale 5.

Le relais de détection de porte 14 est commandé par un emetteur-récepteur infrarouge 19 connecté à une cellule infrarouge 20 disposée en regard d'une surface réfléchissante 21 destinée à détecter la présence de la porte équipée de la serrure suivant l'in- vention dans son huisserie.

L émetteur-récepteur infrarouge 19 est en outre relié par sa sortie au bus d'entrée du circuit d'interface d'entrée 7.

Le commutateur de commande de sortie il est connecte au moteur électrique 1 par l'intermédiaire d'un relais de commande de fermeture 22 et d'un relais de commande d'ouverture 23.

Le dispositif de commande décrit en référence à la Fig.1 peut être associé-à un grand nombre de serrures entrainées par un moteur électrique.

Il est cependant particuliérement bien adapté à la commande d'une serrure dont les éléments essentiels sont représentés en plan à la Fig.2A.

Cette serrure comporte dans un boitier non représenté une tringle 2 déplaçable en translation par un moteur électrique tel que le moteur 1 du dispositif de la Fig.1.

A cet effet, la tringle 2 comporte sur un de ses bords longitudinaux une crémaillère 25 en prise avec un pignon d entrainement 26 entrainé par le moteur.

Dans la tringle 2 sont ménagées, une lumière en forme de rampe 27 d'actionnement d'un pêne dormant 28 déplaçable perpendiculairement à la direction de déplacement de la tringle.

Dans la lumière 27 est engagé un doigt 29 solidaire du pêne dormant 28 et destiné à transformer les mouvements longitudinaux de la tringle 2 en mouvements transversaux du pène dormant 28.

La lumière 27 présente une portion rectiligne 27a parallèle à l'axe longitudinal de la tringle, suivie d'une portion rectiligne incline 27b. elle mème suivie d'une portion rectiligne 27c parallèle à la portion 27a et situé à une distance de celle-ci égale à la course du pène dormant.

La tringle 2 est également reliée à un pêne demi-tour 30 sollicité vers sa position sortie par un ressort de rappel 31 monté entre une extrémité du pêne demi-tour 30 et une partie fixe 32 de la serrure.

Le pêne demi-tour 30 comporte un doigt 33 engagé dans une lumière 34 ménagée dans la tringle 2 à une distance axiale appropriée de la lumière 27 pour le pêne dormant.

La lumière 34 comporte une portion 34a de forme rectangulaire parallèle à l-axe de la tringle 2 et dont la largeur est égale à la course du pêne demitour 30. Cette portion rectangulaire est suivie d'une portion 34b pourvue d'une rampe 34c d'actionnement du pêne demi-tour dans le sens de la rentrée.

La portion 34b est à son tour suivie d'une portion rectiligne 34d parallèle à l'axe longitudinal de la tringle 2 et destinée à assurer le maintien du pène demi-tour 30 en position rentrée à l'encontre de l'action du ressort de rappel 31.

Les dimensions axiales de la portion rectiligne 27c de la lumière d'actionnement du pène dormant et des portions 34b et 34d de la lumière d'actionnement du pêne demi-tour sont telles que lors d'un déplacement de la tringle 2, la manoeuvre du pêne demitour 30 puisse avoir lieu alors que le pêne dormant 28 reste en position rentrée.

La tringle 2 comporte de plus le long d'un de ses bords longitudinaux, dans le présent exemple dans le prolongement de la crémaillère 25, une came linéaire 35 coopérant avec les capteurs électromécaniques 16,17,18 du dispositif décrit en référence à la Fig.1.

La came 35 comporte selon son étendue axiale une première partie basse 35a, une seconde partie haute 35b, elle-meme suivie d'une troisième partie basse 35c.

Sur la Fig.3A, on a représenté en coupe transversale un mécanisme débrayable d'actionnement de la tringle telle que celle représentée à la Fig.2A faisant partie d'une serrure entrainée par un moteur électrique pouvant être commandée par ie dispositif de la Fig.1.

Ce mécanisme comporte un bouton d'actionnement manuel 38 monté dans un bloc 39 qui fait partie du boitier de la serrure.

Le bouton 38 porte une tige épaulée 40 montée déplaçable dans un alésage 41 du bloc 39.

La tige comporte une portion 42 de plus faible section entourée par un ressort hélicoidal de rappel 43 qui prend appui entre un épaulement 44 de la tige 40 et un rebord rentrant 45 du bloc 39.

A son extrémité opposee au bouton de manoeuvre 38, la-tige 39 porte le pignon 26 qui est en prise avec la crémaillère 25 de la tringle 2.

L'épaisseur du pignon 26 est telle qu'il soit en prise avec la crémaillère 25 quelle que soit la position axiale du bouton de manoeuvre 38.

Au-delà du pignon 26, la tige 38 se termine par un embout 46 pourvu d'une encoche excentrée 47 engagée dans une jupe 48 d'une roue dentée 49 coopérant avec une vis sans fin 50 entrainee par le moteur électrique 1.

La jupe 48 de la roue dentée est reliée de façon débrayable au pignon 26 qui à cet effet comporte une portion épaulée 52 pourvue de méplats 52a coopérant avec une portion épaulée 53 ménagée dans la jupe 48, et pourvue de méplats 53a complémentaires.

Le pignon 26 est monté déplaçable axialement avec la tige 40 et il est en partie escamotable dans un évidement 54 ménagé dans le bloc 39.

L'encoche 47 est destiné à coopérer avec un pion embrayeur 55 porté par une tige 56 disposée dans un passage axial 57 prévu dans une pompe 58 actionnable par une clé 59.

La tige 56 comporte une tête 60 entre laquelle et un épaulement 61 du passage est logé un ressort 62 de rappel de l'embrayeur 55 en position escamotée dans la pompe 58.

L'embrayeur 55 comporte une saillie 63 destinée à etre engagée dans l'encoche 47 de l'embout 46.

Comme représenté à la Fig.2A, la came 35 de détermination de la position de la tringle 2 est une came linéaire ménagée sur la tringle même.

Toutefois, cette came peut être constituée par une pièce indépendante rendue solidaire des déplacements longitudinaux de la tringle 2.

On peut également réaliser une came de type circulaire.

Une telle came est représentée à la Fig.4.

Elle est constituée par un disque 65 de rayon déterminé, comportant un secteur 65a de plus grand rayon.

Ce disque est rendu solidaire en rotation du pignon 26 d'entrainement de la crémaillère et présente un diamètre compatible avec la course de la tringle 2.

il coopère avec les capteurs électromécaniques 16,17,18 disposés à sa périphérie en contact avec le profil de came qu'il définit.

L agencement qui vient d'être décrit, que ce soit à came rectiligne ou circulaire permet de transmettre au dispositif de commande la position de la tringle 2, indépendamment du fait que celle-ci est actionnée par le moteur électrique d'entrainement, par le bouton de manoeuvre intérieur de la serrure ou par une clé.

Le fonctionnement de la serrure suivant l'invention va maintenant etre décrit en référence aux
Fig.2A à 2C et 3A à 3C représentant les divers organes mécaniques de la serrure dans des positions correspondant à divers états de celle-ci ainsi qu'au schéma synoptique de la Fig.i.

L'initialisation du circuit de commande de la Fig.1 est assurée par une mise sous tension, ce qui provoque l'initialisation du programme contenu dans le microprocesseur 3 et le début du cycle de gestion par l'horloge interne du microprocesseur 3 pilotée par le quartz 3a.

L'initialisation du système provoque le déroulement du programme de gestion avec prise en compte de tous les paramètres d'entrée nécessaires au pilotage de la serrure.

La position du pêne dormant 28 est donnée par le capteur 18 sous la forme d'un signal PS.

L'état fermé, verrouillé de la serrure est donne par le capteur 17 sous la forme d'un signal F.

L'état ouvert, déverrouillé de la serrure est donné par le capteur 18 sous la forme d'un signal i O.

La position de la tringle 2 est donnée par le capteur 16 sous la forme d'un signal T.

La position du battant de la porte équipée de la serrure est donnée par la cellule 20 sous la forme d'un signal DP.

Les signaux ct F, o(O. T sont appliqués au commutateur de commande de sortie 11.

Les signaux PS et DP sont appliqués au circuit d'interface d'entrée 7.

I1 y a en outre prise en compte des informations suivantes, extérieures à la serrure.

- Ouverture générale OG appliquée au relais 5;
- Signal de fonction DM, pêne demi-tour seul appliqué au relais 12;
- Auto-protection AT appliquée aubus d'entrée du circuit d'interface d'entrée 7;
- Signal d'état de fond de gâche FG appliqué sur le bus d'entrée du circuit d'interface d'entrée 7.

Ce signal est dans le présent exemple généré par simulation par le circuit 8.

Les informations de commande CD et EN sont appliquées au bus d'entrée du circuit d'interface d'entrée 7.

Quelle que soit 1a position de la tringle 2, c'est à dire l'état mécanique de la serrure lors de-la mise sous tension, la gestion électronique pilotée par le microprocesseur 3 place la tringle 2, par une commande d'ouverture ou de fermeture CO ou CF appliquée par le circuit d'interface de sortie 10 au commutateur de commande de sortie 11 en faisant tourner le moteur 1 dans une position fermée, verrouillée, représentée à la Fig.2C si le battant de la porte est placé correctement dans son huisserie ou dans une position correspondant du pêne demi-tour seul sorti représentée à la
Fig.2B si le battant de la porte est ouvert.

Après initialisation, on suppose que le battant de la porte est dans son huisserie et la serrure est fermée et verrouillée, les pênes dormant 28 et demi-tour 30 étant sortis.

La tringle 2 se trouve dans la position représentée à la Fig.2C.

Le capteur 18 est non actif et délivre l'information pêne sorti PS.

Les capteurs 17 et 16 sont actifs.

Une information SR apparait à la sortie du circuit d'interface de sortie 10.

Cette information matérialisée par l'éclairement d'un voyant rouge indique l'état actif de la serrure et qu'aucun défaut technique n'étant enregis tré, la serrure et son dispositif de gestion sont en état d'attente.

Le dispositif teste alors régulièrement les paramètres d'entrée énumérés plus haut.

Après le cycle d'initialisation et la mise
en attente, on peut effectuer une commande CD enregis
trée par le circuit d'interface d'entrée 7 (Fig.1).

Cette commande est transmise au microproces
seur 3. Elle entraine dans le cycle programmé une com
mande d'ouverture Co amplifiée par l'interface de sor
tie 10 et transmise au commutateur de commande de
sortie Il pour exciter le relais 23, ce qui permet de
faire tourner le moteur 1 pour déplacer la tringle 2
et ainsi rentrer les pênes dormant 28 et demi-tour 30.

La tringle 2 se trouve alors dans la posi
tion de la Fig.2A.

Alors si l'on ouvre la porte, le capteur in
frarouge 20 qui est constitué par une cellule à émis
sion-réception infrarouge, piloté par son émetteur-ré
cepteur 19 permettent une émission-réception au niveau
du réflecteur 21 placé sur 1 huisserie de la porte.

Si la porte est ouverte, il y a émission,
mais pas de réflexion vers la cellule 20.

Alors le relais électromécanique 4 connecté
à la sortie de l'émetteur-récepteur 19 est excité par
ce dernier et l'information porte ouverte est transmi
se au circuit d'interface d'entrée 7 qui la communique
au microprocesseur 3, ainsi qu'au commutateur de com
mande de sortie Il sous la forme du signal D.

Le commutateur Il commande alors directement le relais électromécanique 22 de commande de fermeture
en prenant également en compte l'information de posi
tion de la tringle 2 correspondant aux pènes dormant
et demi-tour rentrés.

Alors le relais 22 met le moteur 1 en rota
tion dans le sens contraire du sens dans lequel il est
commandé par le relais 23 pour déplacer la tringle 2
d'une distance correspondant à la course de sortie du
pêne demi-tour 30.

Le changement d'état du capteur 18 provoque l'annulation de 1 excitation du relais 22 car son signal T passe à la valeur T comme représenté à la Fig.

28.

Le capteur 18 reste activé et délivre l'information PS de pêne dormant rentré et l'information
F complémentaire de l'information de fin de course.

Le capteur 17 reste également activé et délivre l'information i O complémentaire de l'information de fin de course d'ouverture.

Lorsque dans le cas le plus simple,le battant de la porte revient dans son huisserie, on retrouve au niveau de l'ensemble émetteur-récepteur 19 et cellule 20, une émission-réception normale car la cellule 20 se trouve à nouveau en regard du reflecteur 21.

L'émission-réception normale provoque la génération d'un signal DP de présence du battant dans son huisserie de sorte que le relais 14 est dexécité et l'information DP est transmise au microprocesseur 3 par le circuit d'interface d'entrée 7.

Dans le cycle du programme et dans le cas le plus favorable correspondant à la pénétration du battant de la porte dans son huisserie sans rebond, le microprocesseur 3 émet un ordre de fermeture CF transmis et amplifié par le circuit d'interface de sortie 10 et passant par le relais électromécanique 12 qui délivre une information No prise en compte par le commutateur de commande de sortie 11. Celui-ci provoque l'excitation du relais 22 de commande de fermeture.

Le relais 22 provoque la rotation du moteur 1 dans le meme sens que pour la course de sortie du pène demi-tour 30 dans le but de déplacer la tringle 2 pour provoquer la sortie du pène dormant 28.

A la fin de cette opération, la tringle occupe la position représentée à la Fig.2C, le capteur 18 est alors rendu inactif et délivre l'information PS péne sorti au microprocesseur 3 par 1 intermédiaire du circuit d'interface d'entrée 7 ainsi que l'infor- mation de fin de course de fermeture iF au commutateur de commande de sortie 11, ce qui entraine l'an- nulation de l'excitation du relais de commande de fermeture 22.

La serrure est alors fermée, verrouillée et prête à fonctionner à nouveau selon le cycle qui vient d entre décrit.

Après avoir décrit le fonctionnement général de la serrure suivant l'invention, on va examiner un certain nombre de cas particuliers qui permettent de mieux faire ressortir les performances de cette serrure.

On va tout d'abord examiner le cas de la sollicitation d'une commande sans ouverture de porte.

Comme dans le cas général. la serrure est initialisée et placée en attente, une signalisation rouge SR étant émise à partir du microprocesseur 3 par l'intermédiaire de l'interface de sortie 10 et apparaissant sur le bus 13.

L'exécution d'une commande est assurée comme suit.

A l'entrée de l'interface d'entrée 7 est appliqué un signal CD d'ordre de commande. Ce signal est transmis au microprocesseur 3 et provoque l'émis- sion par celui-ci d'un ordre de commande d'ouverture
CO. Cet ordre est transmis par l'interface de sortie 10 au commutateur de commande de sortie 11. Ce dernier. en fonction de l'information F qui lui parvient du capteur 18 provoque l'excitation du relais de puissance de sortie 23 entrainant le cycle de commande d'ouverture décrit plus haut.

Sur le bus de sortie 13 apparait un signal d'état de signalisation verte SV.

En même temps que cette commande d'ouverture, le microprocesseur 3 engage un cycle de temporisation de passage TP, ladite temporisation étant assurée par le compteur 4 sur la base de temps élaborée par le quartz-3a.

Le capteur 18 délivre une information pêne rentré PS au microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface d'entrée 7.

A la fin du temps de passage TP, dans le cas où il n'y a pas eu ouverture de la porte, intervient un cycle normal de fermeture et la porte est à nouveau verrouillée.

En supposant que les cycles de sortie du pê- ne demi-tour 30 et de retour à l'état fermé vexrouil- lé, sont exécutés simultanément, l'information T provenant du capteur 16 est donnée par le microprocesseur 3 à la fin de la période- de temporisation de passage
TP au niveau du compteur 4. Cet ordre est transmis à l'interface de sortie 10 puis, par l'intermédiaire du relais 12, l'information NO est appliquée au commutateur de commande de sortie 1t, qui, en fonction de l'information C O provenant du capteur 17 excite le relais 22 pour commander l'exécution des cycles de sortie du pêne demi-tour 30 et de retour à l'état fermé verrouillé.

Lorsque le capteur 18 délivre une information PS de pêne sorti, il y a retour à la signalisation rouge initiale SR et annulation de la signalisation verte SV sur le bus de sortie 13.

Lors de la sollicitation d'une commande avec ouverture de la porte, les opérations sont les suivantes.

Le système se met tout d'abord en attente et émet une signalisation rouge SR provenant du microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10.

Pour l'exécution d'une commande, le signal
CD est appliqué à l'entrée du circuit d'interface d'entrée 7 qui le transmet au microprocesseur 3. Celui-ci délivre un ordre de commande d'ouverture CO au commutateur de commande de sortie 11 qui, en fonction de l'information o(F provenant du capteur 18 excite le relais de puissance de sortie 23 qui commande le cycle de commande d'ouverture décrit plus haut.

Le système passe à l'état de signalisation verte SV, ce signal apparaissant sur le bus de sortie 13.

En même temps que cette commande d'ouverture, le microprocesseur 3 engage un cycle-de temporisation de passage TP à l'aide du compteur 4 sur la base de temps élaborée par le quartz 3a associé au microprocesseur. Le capteur 18 délivre l'information de position de pêne rentré PS au microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface d'entrée 7.

Il y a ouverture de la porte.

Dans ce cas, au niveau de la cellule 20, il y a émission mais non réception sur le réflecteur 21, de sorte que l'émetteur-recepteur 19 donne un ordre de non détection de porte DP au relais 14 qui à la fois transmet cet ordre au microprocesseur 3 par l'intermé- diaire du circuit d'interface d'entree 7 et délivre l'information O au commutateur de commande de sortie 11.

Cette information D entraine l'exécution du cycle de sortie du pêne demi-tour 30 seul et ce cycle est terminé par l'information T provenant du capteur 16.

Si le temps d'ouverture et de refermeture est inférieur au temps de passage TP, au retour de la porte dans son huisserie, on retrouve au niveau de la cellule 20, une émission et une réception normale sur le réflecteur 21. L'information de détection de porte
TP est transmise au microprocesseur 3 par l'intermé- diaire du circuit d'interface d'entrée 7.

On a alors un ordre de fermeture après une petite temporisation à la fermeture TF. Cet ordre de fermeture CF est donné par le microprocesseur 3 et il y a annulation de la temporisation de passage au niveau du compteur 4, cet ordre CF étant transmis à l'interface de sortie 10 puis, par l'intermédiaire du relais 12 l'information NO est appliquée au commutateur de commande de sortie 11 qui, en fonction de l'information 0 provenant du capteur 17 excite le relais de puissance de sortie 22, ce qui entraine le cycle de fonctionnement de commande de fermeture décrit plus haut.

L'information de pêne sorti PS provenant du capteur 18 est appliquée au microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface d'entrée 7. Il y a alors retour à l'état initial de signalisation rouge SR et annulation de la signatlisaiton verte SV.

Lors de la sollicitation d'une commande avec ouverture de la porte et dépassement de la temporisation de passage, le fonctionnement du système est presque identique à celui qui vient d'être décrit pou; la sollicitation d'une commande avec ouverture de la porte en utilisation normale.

Le système se met tout d'abord en position d attente puis il y a commande d'ouverture, ouverture de la porte et sortie du pene demi-tour 30. Mais la porte restant ouverte pendant un temps supérieur au temps de passge TP. après écoulement de ce temps et la porte etant restée ouverte, il n'y a pas comme dans le cas précédent d'ordre de fermeture CF.

Le microprocesseur 3 donne un ordre de défaut technique DT et place le système en état de signalisation jaune SJ apparaissant sur le bus de sortie 13. Il y a de plus annulation de la signalisation verte SV.

Tant que la porte reste ouverte, l'ordre de défaut technique DT donné par le microprocesseur 3 par l'intermédiaire de l'interface de sortie 10 est maintenu.

La fermeture de la porte entraine l'exécu- tion d'un cycle de fermeture, comme dans le cas précédent.

L'ordre de défaut technique est maintenu jusqu'à la sortie totale du pène dormant 28 et lorsque la serrure est normalement fermée et verrouillée, il y a retour à l'état de signalisation initial rouge SR avec annulation de l'état de défaut technique DT.

Dans certain cas, il est nécessaire d'assurer une sollicitation de la commande d'ouverture gené- rale.

Le système est placé d'abord en attente avec signalisation rouge SR provenant du microprocesseur 3 appliqué par le circuit d'interface de sortie 10 sur le bus de sortie 13. Lors de l'exécution d'une commande d'ouverture générale, un signal OS est appliqué au circuit d'interface d'entrée 7 qui le transmet au microprocesseur 3. Celui-ci commande 1 actionnement du relais d'ouverture générale 5. Ce relais délivre deux informations. Une première information est une information d'interruption INT qui se concrétise au niveau du microprocesseur 3 par un saut inconditionnel dans un sous-programme d'ouverture générale. Une seconde informa,tion est additionnée par le sommateur 15 à l'information T délivrée par le capteur 16 dans le but de neutraliser celle-ci.

Ainsi l'information D délivrée au commutateur de commande de sortie 11 par le relais 14, est ignorée. Quelle que soit la position de la porte après la rentrée des pènes dormant et demi-tour 28 et 30, que l'information D soit présente ou non, il n'y a pas d'ordre de sortie du pène demi-tour.

Le système passe à l'état de signalisation verte SV. Par suite de l'exécution du sous-programme d'ouverture générale, l'ordre délivré par le microprocesseur 3 est un ordre simple d'ouverture CO qui, par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10 est appliqué au commutateur de commande de sortie 11. Celui-ci commande le relais de puissance de sortie 23 et par conséquent l'exécution du cycle de commande d'ouverture décrit plus haut. La temporisation de passage TP n'est pas prise en compte.

L'ordre OG d'ouverture générale peut être annulé dans les deux cas suivants.

Si la porte est dans son huisserie, il y a émission-réception au niveau de la cellule 20 et du réflecteur 21. Dans ce cas, il y a exécution simultanée des cycles de sortie du pêne demi-tour 30 et de retour å l'état fermé, verrouillé d'une façon identique au cycle de fermeture normale décrit plus haut à ceci prés que pendant l'exécution du cycle de fermeture, le microprocesseur 3 donne par l'intermé- diaire du circuit d'interface de sortie 10 un ordre de passage à l'état de signalisation jaune, traduisant une alarme ou un défaut technique.

Si la porte n'est pas dans son huisserie, la cellule 20 émet un signal mais ne reçoit pas de signal réfléchi provenant du réflecteur 21. Par conséquent, l'émetteur-récepteur 19 donne un ordre de non détection de porte DP au relais 14 qui transmet à la fois cet ordre au microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface d'entrée 7 et une information D au commutateur de commande de sortie 11.

Cette information D entraine l'exécution du cycle de sortie du pêne demi-tour 30 seul, ce cycle étant annulé par l'information T provenant du capteur 16 qui cette fois ne sera plus neutralisé. car le relais 5 de commande d'ouverture générale n'est plus excité et la fonction logique du sommateur 15 sur l'information T ne remplit plus son office. Au cours de cette phase, le système délivre sur le bus de sortie 13 un signal de signalisation jaune DT ou 53.

Lorsque la porte se place dans son huisserie, il y a reprise normale de fermeture, annulation de la signalisation jaune et retour à l'état de signalisation rouge SR initial.

Dans toutes les phases de fonctionnement, les informations de détection de porte DP, de position du pêne dormant PS et de commande d'ouverture CO sont prises en compte pour l'élaboration de l'information de fond de gâche. L'intéret de créer cette information de fond de gache FG est de supprimer totalement le câblage d'un minirupteur dans l'huisserie.

La simulation de l'information de fond de gache FG au niveau du microprocesseur 3 est réalisée de la façon suivante.

A l'état normal en cycle d'attente, l'infor mation de sortie FG du circuit 8 de simulation de fond de gache est à l'état logique 1. Lors de l'apparition d'une commande d'ouverture CO qui fait passer l infor- mation FG à l'état logique O au niveau du microprocesseur 3. Pour le microprocesseur 3, il s'agit d'un fond de gâche non actif. Comme la commande d'ouverture
CO c'est à dire le signal CO pour le circuit de surveillance de fond de gâche 8 est limitée dans le temps, par exemple le temps d'ouverture, le circuit de surveillance de fond de gâche met en mémoire l'infor- mation SG à l'état O au niveau du microprocesseur 3.

Cet état O pour l'information de fond de gâche est normale au niveau du microprocesseur à partir du moment ou il y a eu commande d'ouverture et donc rentrée du pene dormant 28. L'information de position du pêne PS est également changée (pêne rentré PS).

Cette information PS valide la mise en mémoire de l'état logique O du signal SG au niveau du microprocesseur 3.

Pour retrouver un état 1 pour l'information SG au niveau du microprocesseur 3, il faut retrouver des informations normales de position de porte DP et de position de pêne PS traduisant le fait que la porte est dans son huisserie et que le pêne est sorti dans sa gâche.

Le circuit 8 est donc en fait un circuit de simulation qui délivre l'information SG à l'état logique 1 pour le microprocesseur 3 dans l'attente d'une autre commande, le système se trouvant alors dans le cycle d'attente.

On va maintenant examiner le fonctionnement du système lors d'un cycle d'analyse de rebond de la porte dans son huisserie avec simulation de fond de gache.

On suppose que le système a reçu le signal
CO de commande d'ouverture. Ensuite, la porte équipée de la serrure est ouverte et le pêne demi-tour 30 a été sorti. Lors du retour de la porte dans son huisserie, le pène demi-tour 30 n'a pu s'engager dans la gache correspondante. Il y a alors détection de la présence de la porte et commande de fermeture par le microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10, du relais 12 et du commutateur de commande de sortie 11. Le relais de puissance de sortie 22 est excité, mais la porte ayant rebondi dans son huisserie, elle s'ouvre intempestivement et comme les cycles de sortie du pene demi-tour 30 et de retour à l'état fermé verrouillé sont engagés, les pênes dormant et demi-tour 28 et 30 sortent dans le vide.

Le système est alors mis à l'état de signalisation de défaut technique DT, signal qui apparait sur le bus de sortie 13.

Au niveau du microprocesseur 3, il y a maintien absolu à l'état 0 de l'information de fond de ga-che FG simulée par le simulateur de fond de gache 8 en fonction de l'information inverse de la commande d ouverture CO, de l'information de détection de porte
DP et de l'information de pene sorti PS.

On a effectivement dans cette situation le pene dormant 28 sorti, mais l'information de détection de porte DP est remplacée par son inverse DP,
Le circuit de simulation de fond de gâche 8 ne délivre un signal de sortie à l'état logique 1 au niveau du microprocesseur 3 que si est seulement si les informations de position de porte et de position de pêne traduisant à nouveau la possibilité de fermer la porte.

De plus, si les tests de l'état de fond de gâche est négatif, il y a un saut inconditionnel du système au sous-programme d'ouverture qui se traduit par la rentrée du pêne dormant 28 alors que la rentrée du pêne demi-tour 30 n'est pas commandée puisque la porte est ouverte. La signalisation de défaut technique est maintenue jusqu'à ce que la porte revienne dans son huisserie.

Le retour de la porte dans son huisserie entraine comme précédemment un cycle de fermeture.

L'ordre de défaut technique est maintenu jusqu'à la sortie totale du pêne dormant 28 et lorsque la serrure sera normalement fermée et verrouillée, il y aura retour à l'état de signalisation initiale rouge SR avec annulation du signal de défaut technique.

L'information de fond de gâche SG sera alors à nouveau à l'état logique 1 au niveau du microprocesseur 3.

A l'issue de toute phase de fonctionnement et lors du cycle de fermeture de la serrure, la pénétration de la porte dans son huisserie peut ne pas etre compléte alors que la cellule infrarouge 20 émet un signal vers le réflecteur 21 et en reçoit un signal réfléchi, ce qui se traduit par une information normale de détection de porte DP pour le microprocesseur 3.

La détection de la présence de la porte étant normale, le microprocesseur 3 donne un ordre normal de fermeture après l'exécution de la temporisation TF à la fermeture. Mais comme la porte n'est pas complètement fermée, la sortie du pêne dormant 28 ne peut être complète, car le pêne dormant bute sur l'huisserie au lieu de pénétrer normalement dans sa gache. L'ordre de fermeture donné par le microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10, du relais 12 et du commutateur de commande de sortie 11 est maintenu pendant le temps d'excitation TE du relais 22, le temps d'excitation TE d'ouverture ou de fermeture étant légèrement supérieur au temps de déplacement de la tringle 2.

Après une excitation du relais 22 à la fermeture, il y a relaxation du courant dans le moteur, exécution de la temporisation à la refermeture TF puis un nouvel ordre est donné par le microprocesseur 3 et ainsi de suite, le nombre de fois programmé. Le nombre de tentatives de fermeture est variable et programmable.

Ces tentatives de refermeture sont accompa gnées de la signalisation de défaut technique DT délivrée par le microprocesseur 3 par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10 et apparaissant sur le bus de sortie 13.

Si au cours de l'une de ces tentatives pro grammées, il y a positionnement correct de la porte, alors une tentative de fermeture qui n'est autre que le cycle de retour à l'état fermé verrouillé, permet de retrouver l'état normal fermé verrouillé, avec mise à l'état de signalisation rouge SR et annulation du défaut technique DT.

Si après toutes les tentatives il n'y a pas de fermeture correcte de la porte, il y a maintien permanent du défaut technique DT délivré par le microprocesseur 3 par 1: intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10 et les pênes dormant 28 et demitour 30 sont maintenus rentrés.

La serrure suivant l'invention peut également fonctionner avec le pêne demi-tour seul.

Le système étant en attente et la signalisation rouge SR engendrée par le microprocesseur 3 étant délivrée sur le bus de sortie 13, on applique au circuit d'interface d'entrée 7, un signal DM de commande de fonctions pêne demi-tour seul.

Ce signal est appliqué au microprocesseur 3 et n'entraine aucun effet sur le système lorsque la porte reste fermée et verrouillée. Lorqu'on applique à l'entrée du système un signal de commande CD, alors le microprocesseur 3 réagit comme pour un fonctionnement normal et délivre un ordre d'ouverture CO par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10 vers le commutateur de commande de sortie 11 qui excite le relais de puissance de sortie 23 provoquant un cycle de rentrée du pène dormant 28 et du pène demi-tour 30.

Si la porte n'est pas ouverte, il y a comme pour le cycle normal, declenchement d'une temporisation de passage TP par le compteur 4 associé au microprocesseur et à la base de temps délivrée par le quartz 3a. Une fois que cette temporisation est écou lée, le microprocesseur 3 donne un ordre de fermeture par l'intermédiaire du circuit d'interface de sortie 10 et du relais 12 qui est rendu actif du fait qu'il reçoit l'ordre DM de fontionnement en pène demi-tour seul. Le relais 12 délivre un signal de commande CM au commutateur de commande de sortie 11 qui excite le relais de puissance 22.

Le système engage ainsi le cycle de sortie de pêne demi-tour seul car le commutateur de commande de sortie 11 prend en compte l'information T provenant du capteur 18 qui annule la commande CM une fois que le pêne demi-tour 30 a été sorti.

Le relais 12 donne également un ordre masqué
PS traduisant la position du pêne dormant sorti qui simule pour le microprocesseur 3 la présence du pêne dormant dans sa gache et qui est appliqué au microprocesseur par l'intermédiaire du circuit d'interface d'entrée 7.

Le système retourne alors à la signalisation rouge SR correspondant à l'état normal.

Si, après une commande d'ouverture CO, en fonctionnement de pêne demi-tour seul DM, on ouvre la porte, alors comme pour les autres cas, la cellule 20 ne se trouve plus à l'état d'émission-réception et l émetteur-récepteur 19 donne un ordre D par l'inter- médiaire du relais 14 qui supplante alors l'ordre CM au niveau du commutateur de commande de sortie 11.

Celui-ci excite le relais de puissance de sortie 22 et le système engage le cycle de sortie du pene demi-tour seul, la commande de sortie du pêne dormant étant annulée par l'information T provenant du capteur 16.

Lorsque la porte ayant été ramenée dans son huisserie. le pene demi-tour 28 vient en prise mécanique dans sa gâche, du fait de la simulation du pene dormant sorti matérialisée par le signal PS délivre par le relais 12. la cellule 20 et l'émetteur récepteur 19 délivrent un signal DP et le système est initialisé avec retour à la signalisation rouge normale SR.

Un retour de la fonction DM de commande de pêne demi-tour seul à un fonctionnement normal avec pêne dormant et pêne demi-tour, entraine l'exécution dans un cycle de sortie du pêne demi-tour accompagne d'un signal de défaut technique DT ou 53 si la porte est ouverte ou un cycle de retour à l'état fermé verrouillé et à un état de signalisation normale SR.

si la porte est engagée dans son huisserie.

En l'absence totale d'énergie électrique, la commande d'ouverture et de fermeture à la clé de la serrure suivant l'invention reste possible car, en raison de la présence du dispositif d'actionnement débrayable décrit en référence aux Fig.3A à 3C, aucun frein moteur ne s oppose à cette manipulation lors de l'introduction de la clé dans la serrure.

En revanche, lorsque le système est alimenté en énergie électrique. l'état de la serrure est surveillé en permanence par le microprocesseur 3, de sorte que 1 actionnement de la serrure par la clé au moyen du dispositif d'actionnement débrayable repré senté aux Fig.3A à 3C provoque de la part du dispositif de gestion les réactions suivantes.

- L'introduction de la clé dans la serrure n'entraine aucune rédaction.

- La rotation de la clé dans le sens du verrouillage alors que la serrure est fermée verrouillée, les pênes dormant et demi-tour étant sortis, n'entrainent aucune rédaction.

- La rotation de la clé dans le sens du de- verrouillage provoque de la part du dispositif de gestion, dès que la serrure est ouverture. un ordre de refermeture immédiat de sorte que l'action d'ouverture exercée par la clé est annulée et que des que le relâchement de la clé par l'utilisateur provoque la venue en prise du pignon 26 d'entraînement de la tringle 2 avec la jupe 48 de la roue dentée 49, le dispositif d'actionnement électrique de la serrure est remis en prise avec la tringle 2 de celle-ci.

Afin d'éviter cet inconvénient, on associe à la pompe 58 de la serrure, un capteur 66 de détection de l'actionnement de la clé dans le sens du verrouillage de la serrure, ledit capteur recevant le signal
EN de validation et étant connecté au microprocesseur 3 du circuit de la Fig.1 de manière à provoquer un délestage électrique interdisant toute commande intempestive d'ouverture ou de fermeture électrique tout en conservant au circuit ses propriétés de surveillance de tous les paramètres de la serrure.

La présence de cette fonction de délestage commandée par le capteur 66 permet donc de déverrouiller la serrure mécaniquement à l'aide de la clé.

Le capteur 66 est disposé de façon à être sensible à une poussée exercée sur la clé pour assurer le désaccouplement entre la roue dentée 49 et le pignon 26 d'entraînement de la tringle 2. Après une rotation d'un tour de la clé, le pène dormant 28 soit rentré, la clé se retrouve dans sa position de départ à l'introduction,
La serrure reste toujours délestee.

Lors de la poursuite de la rotation de la clé dans le sens de l'ouverture, il y a rentrée du pêne demi-tour 30. La serrure reste toujours délestée électriquement.

Les deux pênes étant rentrés, la porte peut etre ouverte.

A l'aide de la clé, on ramène le pène demitour 30 en position sortie.

Dès que le pène demi-tour est totalement sorti, et la clé retirée de la serrure. le système repasse automatiquement en fonctionnement électrique.

Ceci permet d'éviter de forcer la rotation de la cle par les moyens d'entraînement électrique afin que la clé entrainée intempestivement par un ordre électrique ne risque d'échapper de la main de l'utilisateur et ne soit éjectée par le ressort 62 de la pompe (Fig.3c).

Le microprocesseur 3 prend alors en compte un état de serrure déverrouillée normalement sans calculer de temporisation de passage.

Lors de la fermeture de la porte, il y a un cycle normal de verrouillage automatique.

Le capteur 66 provoque également le délestage des moyens électriques d'actionnement de la serrure lors de l'actionnement de celle-ci par le bouton de manoeuvre 38.

L'ensemble du fonctionnement du système qui vient d'etre décrit est géré par l'organigramme de la Fig.5.

Au début du fonctionnement, il y a initialisation du système et allumage d'un voyant rouge non représenté au moyen du signal SR apparaissant sur le bus de sortie 13.

Cette opération est exécutée au cours de la phase 100.

Cette phase est suivie d'une phase 101 d'initialisation du nombre de tentatives de fermeture de la serrure dans le cas où l'examen de l'état de celle-ci révélerait que les pênes dormant et demi-tour 28 et 30 ne se trouvent pas dans leurs gâches respectives.

Au cours de la phase 102. on lit l'état de la position du pêne dormant 28.

Au cours de la phase 103, on détermine si le pêne dormant 28 est sorti.

Si tel est le cas, cette phase est suivie d'une phase 104 de lecture de l'état du fond de gache simulé par le circuit 8 de la Fig.1.

Au cours de la phase 105 on détermine si le fond de gache est actif.

L'activité du fond de gache provoque une nouvelle phase 106 d'initialisation du nombre de tentatives de fermetures de la serrure suivie d'une phase 107 de lecture des autoprotections.

Au cours de la phase 108, il y a détermination si les autoprotections sont correctes.

Si oui, au cours de la pha-se 109. on procède à la lecture de l'état de la porte équipée de la serrure par rapport à son huisserie, cet état étant donné par la cellule 20 associée à l'émetteur-récepteur 19 du circuit de la. Fig.1.

Au cours de la phase 110 on détermine si la porte est dans son huisserie.

Dans l'affirmative, on dispose de l'information correspondant au verrouillage de la serrure et à la porte dans son huisserie qui traduit un état normal fermé, verrouillé de sorte qu'au cours de la phase 111 il y a allumage du voyant rouge indiquant que le pêne dormant 28 est sorti et se trouve dans la gâche.

En revenant à la phase 103 de détermination de la position du pêne dormant, si le pêne dormant 28 n'est pas sorti, il y a au cours de la phase 112 apparition sur le bus de sortie 13 (Fig.1) d'un signal
DT commandant l'allumage d'un voyant jaune qui indique un défaut technique.

On lit ensuite au cours de la phase 113 l'é- tat de la position de la porte par rapport à son huisserie.

Au cours de la phase 114, on détermine si la porte est dans son huisserie.

Si tel est le cas, on détermine au cours de la phase 115 si le nombre de tentatives de fermeture est égal à zéro.

Dans le cas contraire, on revient à la phase t13 de lecture de l'état de la position de la porte.

Si au cours de la phase 115, on a constat qu'il n'y a pas eu de tentative de fermeture,. ceci confirme le défaut technique du système et on passe directement à une phase 116 de lecture d'état de la commande.

Si au contraire, le nombre de tentatives de fermeture est différent de zéro, ce qui montre que la porte 'est engagée imparfaitement dans son huisserie, au cours de la phase 117, il y a appel dans le microprocesseur 3 d'un sous-programme de temporisation à la fermeture. Cette phase est suivie d'une phase 118 d'appel d'un sous-programme de fermeture et d'une phase 119 de décrémentation du nombre de tentatives de fermetures assurées sous la commande du compteur 4 (Fig.1). Puis, on passe à la phase 116 de lecture de l'état de la commande.

Si au cours de la phase 105, on détermine que le fond de gâche n'est pas actif, ce qui signifie que le pêne dormant 30 est sorti, mais se trouve en dehors de sa gâche, il y a au cours de la phase 120 allumage du voyant jaune de défaut technique à la suite de l'émission sur le bus de sortie 13 d'un signal DT de défaut technique.

Au cours de la phase 121, on détermine si ce nombre de tentatives de fermetures est égal à zéro.

Dans la négative, il y a appel d'un sousprogramme d'ouverture au cours de la phase 122.

Dans l'affirmative, on saute directement à la phase 116 de lecture d'état de la commande.

A l'issue de la phase 111 d'allumage du voyant rouge indiquant que le pêne dormant est sorti, la serrure étant fermée on passe également à la phase 116 précitée.

Au cours a la phase 123, on détermine si la commande a éte effectuée.

Dans l'affirmative, cette phase est suivie d'une phase 124 d'allumage d'un voyant vert et de cy cle de commande -d'ouverture traduisant la manoeuvre normale de la serrure initialement fermée.

Dans la négative, il y a au cours de la phase 125 validation d'une demande d'interruption.

A la suite de la phase 124, on procède au cours de la phase 126 à une mise à l'état de commande d'ouverture, puis au cours de la phase 127 à l'appel d'un sous-programme de temporisation d'excitation et au cours de la phase 128 à l'appel d'un sous-programme de chargement du nombre de routines de temporisation, cette phase étant suivie de la phase 129 d'appel d'un sous-programme de temporisation de référence.

Au cours de la phase 130, il y a lecture de l'état de la position de la porte et au cours de la phase 131 de détermination si la porte est dans son huisserie.

Si tel est le cas au cours de la phase 132, il y a détermination si le nombre de routines de temporisation est égal à zéro.

Dans l'affirmative, au cours de la.phase 133, il y a déclenchement d'une sécurité d'interdiction de commande d'ouverture puis au cours de la phase 134 appel du sous-programme de fermeture.

Dans la négative, il y a au cours de la phase 135 incrémentation du nombre de routines de temporisaiton et retour à la phase 129 d'appel de sousprogramme de temporisation.

Si au cours de la phase 131 il est établi que la porte n'est pas dans son huisserie, il y a passage à une phase 136 de sécurité d'interdiction de mande d'ouverture. puis à une phase 137 d'appel du sous-programme de chargement du nombre de routines de temporisation et à une phase 138 de lecture de l'état de la position de la porte.

Si au cours de la phase 139 suivante, il est établi que la porte'est dans son huisserie, il y a au cours de la phase 140 appel du sous-programme de tem porisation à la fermeture et passage à la pahse 134 d'appel de sous-programme de fermeture mentionnée plus haut.

Si la porte n'est pas dans son huisserie, il y a au cours de la phase 141 appel du sous-programme de temporisation de référence, cette phase étant suivie d'une phase 142 de détermination si le nombre de routines de temporisation est égal à zéro.

Dans l'affirmative, au cours de la phase 143, il y a dépassement de la temporisation de passage et au cours de la phase 144 allumage du voyant jaune indiquant un défaut technique.

Au cours de la phase 145, il y a incrémentation du nombre de routines de temporisation et retour à la phase 138 de lecture de l'état de la position de la porte.

Si au cours de la phase 142, il est établi que le nombre dé routines de temporisation est différent de zéro, il y a directement passage à la phase 145 d'incrémentation du nombre de routines de temporisation.

Après la phase 134 d'appel du sous-programme de fermeture, on passe à la phase t46 d'allumage du voyant rouge indiquant que le pêne dormant 28 est sorti et que la serrure est normalement fermée.

La phase 146 est suivie de la phase 125 de validation d'interruption à laquelle le système passe directement si au cours de la phase 123, il est établi que la commande n'a pas été effectuée. La phase 125 engendre deux séries d'instructions
a) une phase 147 de fonction d'attente, sui vie d'une phase 148 d'annulation de la demande d'interruption et une phase 149 de retour au début du fonctionnement,
b > une phase 150 d'interruption validée, suivie d une phase 151 d'appel du sous-programme d'ouverture et d'une phase 152 de mise à l'état de commande d'ouverture. Celle-ci est suivie d'une phase 153 de lecture de l'état des autoprotections.

Au cours de la phase 154, on détermine si les autoprotections sont correctes. Si oui, il y a au cours de la phase 155 allumage du voyant vert et déclenchement du cycle de commande d'ouverture.

Si non, il y a au cours de la phase 156 allumage du voyant jaune et indication de défaut technique.

Les phases 155 et 156 sont toutes deux suivies par une phase 157 de détermination de validation d'interruption.

Si l'interruption est validée, il y a retour à la phase 153 de lecture de l'état des autoprotections.

Si elle n'est pas validée, il y a passage à la phase 148 d annulation de la demande d'interruption.

Claims (13)

REVENDICATIONS

1. Serrure comprenant une tringle (2) d'actionnement d'au moins un pêne (28,30), ladite tringle étant déplaçable en translation par un mécanisme à moteur électrique d'entraînement (1) caractérisée en ce qu'elle comporte en outre une came (35;65) associée à laditre tringle (2) et des capteurs de position (16,17,18) coopérant avec ladite came, les signaux de sortie des capteurs de position traduisant la position de la tringle (2) dans la serrure et par conséquent l'état rentré ou sorti dudit au moins un pêne (28,30).

2. Serrure suivant la revendication 1, caractérisée en ce que ladite came (35) est une came à profil général rectiligne solidaire des déplacements de ladite tringle (2).

3. Serrure suivant la revendicaiton 2, ca ratérisée en ce que ladite came (35 > est réalisée dans ladite tringle (2) ou fixée à celle-ci.

4. Serrure suivant la revendication 1, dans laquelle entre le moteur électrique d'entraînement (1) et la tringle (2) est interposé un pignon lié à l'ar- bre de sortie du moteur et coopérant avec une cré maillera (25) solidaire de la tringle, caractérisée en ce que ladite came (65) est une came de forme générale circulaire rendue solidaire en rotation dudit pignon (26).

5. Serrure suivant l'une des revendications 1 à 4. caractérisée en ce qu'elle comporte un pêne dormant (28) et un pène demi-tour (30 > actionne par ladite tringle (2) et en ce qu'elle comporte en outre trois capteurs de position (16,17,18), coopérant avec ladite came (35;65) associée à la tringle et délivrant respectivement une information d'état du pêne demi tour (30) une information de fin de course de fermeture du pène dormant (28 > , une information d'état du pêne dormant (28) et une information de fin de course d ouverture du pène dormant (28).

6. Serrure suivant l'une des revendications 1 à 5, caractérisée en ce qu'elle comporte en outre un dispositif (38,40,41,42,47,48,52,55,57) d'actionnement débrayable de la tringle (2) de ladite serrure, ledit dispositif d'actionnement comprenant des moyens (38, 40) d'actionnement manuel du pignon (26) d'entraîne- ment de la tringle (2) et des moyens débrayables d'accouplement (52,53 > dudit pignon avec des moyens (48, 49,50) de liaison dudit pignon avec le moteur électrique d'actionnement (1).

7. Serrure suivant la revendication 6. caractérisée en ce qu'elle comporte en outre des moyens (47,55,56,57,58) d'actionnement dudit pignon (26) à l'aide d'une clé (59) et en ce que lesdits moyens débrayables d'accouplement sont actionnables par lesdits moyens d'actionnement à l'aide de ladite clé pour assurer le désaccouplement du pignon par rapport auxdits moyens (48,49,50 > de liaison dudit pignon avec ledit pignon lors de l'actionnement de ladite serrure à l'aide de la culé.

8. Dispositif de gestion de commande d'une serrure suivant l'une quelconque des revendications 1 à 7, caractérisé en ce qu'il comporte un microprocesseur (3) destiné à recevoir par l'intermédiaire d'un circuit d'interface d'entrée (7) des signaux de commande (EN, AT, DP, FS, PS, CD, DM, OG) extérieurs au dispositif, ainsi que des signaux (PS, DP) éla borés à partir des capteurs (16,17.18) de position de la serrure et de moyens (19,20 > capteurs de position du battant d'une porte équipée de ladite serrure par rapport à son huisserie, et à élaborer des instructions (CO,CF) pour les transmettre par l'intermédiaire d'un circuit d'interface de sortie (10) vers un com-mutateur de commande de sortie (11) connecté à des relais ' (22,23) de mise en rotation du moteur électrique (1) d'entraînement de la tringle (2) dans un sens correspondant aux instructions à exécuter.

9. Dispositif de gestion suivant la revendication 8. caractérisé en ce qu'il comporte un bus d'entrée des signaux de commande extérieurs et un bus (13) de signalisation relié au circuit d'interface de sortie (10) et destiné à délivrer des signaux d'état normal (SR) de défaut technique (DT) et de fonctionnement en cours (SV).

10. Dispositif de gestion suivant l'une des revendications 8 et 9, caractérisé en ce que lesdits moyens capteurs de position du battant comportent une cellule infrarouge (201 fixée au battant de ladite porte et coopérant avec un réflecteur (21) solidaire de l'huisserie de ladite porte, ladite cellule infrarouge (19) étant connectée à un émetteur-récepteur infrarouge (29) connecté à son tour par l intermédiai- re d'un relais (14 > à une entrée du circuit d'interface d'entrée (7) pour lui appliquer un signal (DP) de détection de porte et à une entrée du commutateur de commande de sortie (11).

11. Dispositif de gestion suivant l'une des revendications 8 à 10. caractérisé en ce qu'il comporte en outre un circuit (8) de signalisation de fond de gâche associé au circuit d'interface d'entrée (7) et connecté au microprocesseur (3) afin de lui délivrer des signaux relatifs à l'état du fond de gâche du pêne dormant (28).

12. Dispositif de gestion suivant l'une des revendications 8 à 11, caractérisé en ce qu'il comporte en outre des moyens (5) de commande d'ouverture générale de ladite serrure, comprenant une entrée connectée au bus d'entrée du système. une première sortie connectée directement du microprocesseur (3) et une seconde sortie connectée au commutateur de commande de sortie (11) par l'intermédiaire d'une sommateur (15) qui reçoit également le signal de sortie de l'un des capteurs électromécaniques (16) associé aux déplacements de la tringle (2) de ladite serrure.

13. Dispositif de gestion suivant l'une quelconque des revendications 8 à 12. caractérisé en ce qu'il comporte en outre un capteur (66) associé au dispositif d'actionnement débrayable de la serrure, ledit capteur (66) étant connecté au microprocesseur (3) pour commander le délestage des moyens électriques d'entraînement de la serrure lors de l'actionnement manuel de celle-ci tout en conservant au dispositif sa capacité d'élaborer les signaux relatifs à l'état de la serrure au cours de l'actionnement manuel de celle ci.