FR2581079A1 - Procede et dispositif d'une unite de traitement bio-physique avec reactifs de resonance destinee a accelerer et optimiser les processus de fermentation des cellulo-ligneux - Google Patents

Procede et dispositif d'une unite de traitement bio-physique avec reactifs de resonance destinee a accelerer et optimiser les processus de fermentation des cellulo-ligneux Download PDF

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Abstract

CE PROCEDE ET DISPOSITIF DE TRAITEMENT BIO-PHYSIQUE AVEC REACTIFS DE RESONANCE EST DESTINE A ACCELERER ET OPTIMISER LES PROCESSUS DE FERMENTATION DES CELLULO-LIGNEUX EN EFFECTUANT UN TRAITEMENT PREALABLE MECANIQUE COMPLETE PAR L'ACTION D'UN COMPOSE BIOLOGIQUE FERMENTAIRE COMPOSE PREFERENTIELLEMENT DE 70 DE MELASSE, 19 DE LEVURES, 10 DE FERMENT LACTIQUE ET 1 DE REACTIF BIOENERGETIQUE COMPOSE DE 40 DE MAGNETITE, DE 50 D'ALCOOL ET DE 10 D'AGENT DISPERSANT PAR EXEMPLE NON LIMITATIF L'ACIDE OLEIQUE, AUQUEL ON AJOUTE DES SOLUTIONS A HAUTES DILUTIONS D'HUILES ESSENTIELLES A RAISON DE 5 A 25 DU REACTIF, DONT L'EAU DE DILUTION DE LA PRESENTE SOLUTION-MERE EST ALORS TRAITEE APRES PASSAGE DANS UN CHAMP ELECTROMAGNETIQUE DE 6000GAUSS MINIMUM, PAR UNE ELECTRODE EN VERRE COMPOSEE PAR UNE AME GRAPHITE ENTOUREE D'UN SOLENOIDE DE 22SPIRES A SENS INVERSE EN SON MILIEU, AVEC UNE BATTERIE DE 5FERRITES DE LONGUEUR EGALE AU 5 DE L'AME GRAPHITE ET REMPLIE D'UN MELANGE DE SILICE ET DE SEL DE MER EN PROPORTION DE 101 A 51, RELIE A UN CONDENSATEUR DONT LE DIELECTRIQUE EST ORGANIQUE (PREFERENTIELLEMENT CIRE D'ABEILLE) AUQUEL A ETE ADJOINT LE REACTIF BIO-ENERGETIQUE, CONDENSATEUR RELIE A UN GENERATEUR HAUTES FREQUENCES DE 769KHZ A 3,8GHZ ET A 3.1014HZ EN HARMONIQUES, ET RELIE A UNE ANTENNE A NEUF BRANCHES (EN CUIVRE DE PREFERENCE), ET A UNE ELECTRODE DE CAPTATION COMPOSEE D'UN TUBE REMPLI DE SULFATE DE CUIVRE ET ENTOURE D'UN SOLENOIDE (EN CUIVRE DE PREFERENCE), LE GENERATEUR ETANT EGALEMENT RELIE A DES RESONATEURS-OSCILLANTS SE COMPOSANT DE 9CIRCUITS DE LONGUEURS D'ONDE VARIABLES. LE DISPOSITIF SELON L'INVENTION EST SPECIALEMENT CONCU POUR LE RECYCLAGE DES CELLULO-LIGNEUX EN AGRICULTURE.

Description

La présente invention est relelive à un procédé et dispositif d'une unité de traitement bio-physique avec réactifs de résonance destiné à accélérer et optimiser les processus de fermentation des cellulo-ligneux.
Elle porte sur un procédé et sur un dispositif en vue de son obtention.
Les pailles sont. disponibles en grande quantité, mais leur utilisation est limitée par leur faible valeur alimentaire. On sait cependant que, d'un point de vue nutritionnel, elles contiennent, en plus de la fraction glucidique normalement digérée, une fraction potentiellement digestible.
De nombreuses etudes ont eu lieu depuis 80 ens pour libérer cette fraction potentiellernent digestible : il faut pour cela, soit délignifier la paille (c'est la solution idéale, mais elle est co'eus?), soit détruire en partie les liaisons lignine-glucides membranaires (c'est une solution beaucoup moins efficace, mais beaucoup plus facile).
C'est vers cette dernière solution que les recherches se sont intensifiées dans plusieurs pays (Danemark, Allemagne de l'Est, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Inde...) au cours des 10 dernières années, et la littérature sur la paille traitée est considérable, bien qu'il ex iste encore peu d'essais à caractère vraiment zootechnique publiés.
On connait des procédés et dispositifs utilisés pour traiter les cellulo-ligneux en vue d'obtenir une amélioration nutritive de ceux-ci. L'état de latechnique rapporte les suivants;
Les traitements chimiques: Alcalis : Soude - Ammoniaque, et autres produits tels les agents oxydants. Les traitements physiques : Mécaniques: Broyage, et autres tels la vapeur et les rayons ionisants. Les traitements enzymatiques.
La mise en oeuvre des traitements implique le choix des opérations unitaires à effectuer, en fixant la valeur des pararnètres correspondants: - Procédé humide discontinu:
C'est le plus ancien des procédés : mis au point, à l'origine, en Allemagne durant la première guerre mondiale, il consiste an un trempage de la paille, hachée ou en balles, dans une solution à 1,5 % NaOH, à température ambiante, durant 4 à 24 heures. Le liquide est ensuite drainé, et la paille rincée, pour éliminer l'excès d'alcali.
Bien qu'efficace, le procédé s'avère peu praticable à'heure actuelle car : 1 - 20 % de la matière sèche sont solubilisés et entrainés dans les eaux de trempage.
20 - Une grande partie de la soude qui n'a pas raégi est éliminée de la meme manière la consommation de réactif est alors de 12 % en poids par rapport à la paille.
30 - Les eaux de lavage et de trempage sont une source de nuisances.
Un premier remède, appliqué en Norvège, consiste à pomper la lessive de trempage et à la recycler sec de la paille fraiche, en réajustant la concentration de soude àson niveau initial.
- Procédé humide continu:
De la même manière, en vue de limiter les pertes en NaOH par un traitement aussi peu polluant que possible, HART et al., 1975, ont développé un procédé humide continu à partir du précédent.
La paille est tout d'abord hachée dans un broyeur àmarteaux, en continu, mise au contact d'une lessive de soude à 50 % dans une vis doseuse conçue spécialement. Le temps de contact est de 15 à 30 minutes et la température du bain de 100C environ. Après trempage, la liqueur est séparée de lapaille dans une presse à cage, avant d'être recyclée (13 1/mon). La paille humide (67 S d'eau) peut être distribuée directement aux animaux, ou sechée dans un déshydrateur à tambour. Dans ces conditions, les pertes de matières solubles sont moins importantes. Des températures élevées sont nécessaires à l'efficacité du réactif. La quantité consommée est réduite à 4 %.Un chauffage du bain vient compléter l'apport de calories produit par la dissolution de lasoude dans l'eau. Son coût est prohibitif surtout si la paille humide est déshydratée
Autoclavage
La vapeur à haute pression peut être appliquée au substrat cellulosique avec ou sans intervention de soude ou d'ammoniaque~ L'efficacité du traitement est cependant bien supérieure en présence d'alcalis, en particulier de soude. À notre connaissance, ce procédé discontinu est expériemental et n'a pas encore fait l'objet d'une application industrielle à ce jour, en dehors de quelques tentatives allemandes au début du siècle.
La paille est tout d'abord broyée, après addition éventuelle d'une base concentrée au niveau du broyeur, puis soumise à des pressions de vapeur très élevées (20 à 40 bars) correspondant à des températures également élevées (2500 à 40 bars) durant des temps relativement courts (10 à 90 secondes). Un sur-traitement, se traduisant par un début de carbonisation du substrat, est un risque non négligeable en regard des conditions extrêmes appliquées. Le produit est ensuite envoyé dans une trémie de décompression: la vapeur d'eau en excès s'échappe alors, ainsi qu'une certaine quantité de produits volatils (5 à 15 % de la matière sèche traitée), perdus dans l'atmosphère.Leur récupération serait possible avec un Investissement plus important ; mals cet inconvénient, joint au sur-traitement d'un produit qui, par ailleurs, se présente sous forme humide, donc se prêtant mal à une conservation prolongée, limite la portée pratique du procédé.
Ammoniation en place
Une variante du procédé "humide" consiste à ajouter à la paille une solution d'ammoniaque 15 N à raison de 4 à 7 X NH3 par rapport au substrat, par une simple aspersion sur les balles regroupées en silo. Une lessive de soude peut être ajoutée éventuellement dans les mêmes conditions. L'ensemble est ensuite recouvert d'une enveloppe étanche. Au bout d'un mois, à température ambiante, l'action de l'alcali est considérée comme terminée : le silo est alors owert et laisse échapper, sous forme gazeuse, l'ammoniac qui n'a pas réagi, estimé à environ 50 % de la quantité ajoutée.
Ce procédé relativement simple à mettre en oeuvre, entraine cependant un risque de sur-dosage dans la partie supérieure du silo (surtout en présence de NaOH) et, selon les conditions, une humidité notable de la paille traitée (20 àAO ) principal facteur limitant pour une utilisation en dehors de l'exploitation, auquel s'ajoute la manutention malaisée d'un produit volumineux.
Les auteurs Norvégiens et Canadiens ont alors préféré une injection directe de gaz ammoniac anhydre dans la masse du silo, au moyen de rampes d'injection disposées à 2 m les unes des autres. La répartition du gaz et safix ation sur les brins de paille grâce à leur humidité initiale (15 %), s'effectue assez rapidement : la durée de réaction est en proportion inverse de la température ambiante 60 jours à 0 C:; 30 jours à 10 C; 15 jours à 20 C.
L'amélioration de digestibilité obtenue par ce prodédé est relativement faible, de 3 % pour la paille de blé in vitro, mais son intérêt pourrait résider en l'apport d'azote non protéique simultané.
Procédé "sec" par pulvérisation
Elaboré par les Canadiens et développé surtout au Danemark, ce procédé est typiquement industriel et fait actuellement l'objet d'un développement important dans plusieurs pays d'Europe.
Les balles de paille sont hachées etlou broyées assez finement, de manière à pouvoir se prêter aux transferts mécaniques équipés de dispositifs ayant pour but d'obtenir un flux régulier. Après dosage en continu de la paille et de la lessive de NaOH concentrée, celle-ci est pulvérisée directement par l'arbredelamélangeuse,àraison de4 % de soude par rapport à la paille. Un mélasse facultatif -la mélasse est corisidérée à la fois comme facteur d'appétence et liant d'agglomération- peut intervenir dans un second appareil de mélange. L'ensemble est ensuite aggloméré dans une presse à filière : le produit obtenu se présente alors sous forme de cylindres à 15.20 X d'humidité, d'une manipulation aisée.
La réaction s'effectue, en fait, en 2 temps : partie dans le-mélangeur, partie dans la presse où le contact liquide Solide est accru considérablement.
Ce procédé offre un certain nombre d'avantages par rapport aux précédents : il ne nécessite ni séchage, ni lavage ou neutralisation complémentaire: le produit aggloméré est facile à trsnsporter et à distribuer et autorise l'incorporation possible d'un complément azoté et minéral en variante industrielle. Enfin, le traitement à sec n'entraine pas de nuisances particulières. I1 exige cependant un investissement lourd et bien adapté, pour une amélioration attendue de digestibilité, in vitro de 20 à 30 %, et de 15 - 2 in vivo seulement. Ce qui est Insuffisant en rapport avec l'investissement devant être consenti.
Il est très difficile d'effiectuer un bilan des procédés existants en raison, nous venons de le voir, de la multiplicité des paramètres et de la variahilité de chacun d'eux des résultats équivalents peuvent être obtenus en agissant sur l'une ou l'autre des conditions de traitement propres à chaque procédé. D'autres part, le manque de précision des tests in vitro ou in vivo dont on dispose, conduit à laisser une certaine marge d'appréciation.
L'action de la soude sur la paille peut être réalisée par différentes manipulations utilisant des doses croissantes d'eau, les doses utilisées sont comprises entre 30 et 60 g de soude pure par Kg de paille - voie sèche
Ce sont principalement les danois qui ont mis au point et étudié une technique de traitement semi-industriella utilisant une solution très concentrée de soude (300 ml d'une solution à 16 % de soude pour 1 Kg de paille).Cette technique consiste à hacher la paille, à y introduire la solution de soude, à malaxeur le mélange paille - eau - soude, puis à le passer dans une presse à filière. Dans ce cas, l'action de la soude est très rapide (20 secondes à t minute) et a lieu en majeure partie dans la presse à filière, grâce à la pression très élevée et àlatempérature quiyrègnent. L'action est d'autant plus efficace que le mélange eau - soude est bien malaxé avant pressage.
Voie semi-sèche. Récemment, des firmes privées danoises ont mis au point une machine actionnée par un tracteur qui hache la paille et la malaxe fortement avec une solution de soude un peu moins concentrée que précédemment (environ 400 ml d'une solution à 12 % de soude). Le temps d'action de la soude après le malaxage, est estimé à environ 8 jours.
- Voie semi-humide. Il est possible aussi d'introduire la soude dans 1 à 3 litres d'eau par
Kg de paille (solutions à 1,6-5 X de soude) et de mélanger la paille avec cette solution diluée de soude. La paille ainsi obtenue peut etre distribuée aux animaux 24 à48 heures après le mélange, ou peut être ensilée.
- Voie humide, effectuée en trempant la paille dans un bain de soude à 2 8 puis la paille est lavée abondamment et séchée à l'air libre
On connait egalement des procédés de traitement à base d'action enzymatique, utilisant des bactéries cellulolytiques destinés à dissoudre une partie des hémicelluloses ainsi qu'un peu de la lignine et de la silice d'une part et d'autre part d'altérer la structure.
physique des membranes cellulaires de la paille en faisant gonfler les fibres cellulosiques permettant une meilleure digestiblité de la paille ainsi traitée.
La paille est préalablement broyée puis placée en cuves dans lesquelles est incorporée une solution d'eau contenant la préparation enzymatique. Le traitement nécessite une durée de 5 à 15 jours. Le coût de revient d'un tel traitement n'en a pas encore permis son utilisation industrielle.
Enfin l'on connait les enrichissements divers effectués sur de la paille préalablement broyée et éventuellement compressée en "bouchons", à l'aide de mélasse, levures, bagasse, déchets de fruits, farines de poissons, etc. qui en améliore l'appétence.
Ces enrichissements se différencient des autres procédés par le fait qu'il n'y a pas de traitement destiné à transformer la valeur alimentaire des pailles mais seulement utilisation de celles-ci comme support cellulosique d'aliments concentrés issus des industries aiimentaires.En conclusion, l'état de la technique n'indique à ce jour aucun procédé de traitement par procédé bio-physique réactif derésonnance ayant un rapport direct ou indirect avec le présent procédé etiou son dispositif pour sa mise en oeuvre.
Le présent procédé de traitement bio-physique avec réactifs de résonnance des cellulo-ligneux utilise en association une action physique mécanique: le broyage et une action organique : fermentation hactérienne sur substrat organique.
Ces deux associations sont destinées à compléter industriellement le procédé. Ces systèmes sont parfaitement connus de la technique industrielle et nous n'insisterons pas dessus.
Mécanisme d'action du présent procédé selon lsinvention.
Lafaiblevaleur alimentaire de la paille est due à la lignine, constituant du bois, est, elle, totalement indigestible pour tous les animaux.
La présence de lignine, formant une "barrière physique" entre la cellulose et les enzymes cellulolytîques, mais aussi limitant, par certaines liaisons chimiques avec la cellulose, l'efficacité des micro-organismes.
la cellulose n(C6 H10 05) (n = 10 à 15 000) est insoluble dans l'eau. C'est le constituant membranaire de toutes les cellules végétales, membrane qui s'épaissit avec l'âge des végétaux. Sa dégradation par les microbes donne diverses substances, parmi lesquelles des acides organiques (acides acétiques, propioniques, butiriques) qui dans le sang des herbivores joueront un rôle équivalent à celui du glucose chez les non herbivores.
La structure de la cellulose, moins accessible lorsqu'elle est sous forme cristalline : les groupements OH de la cellulose amorphe sont plus réactifs que ceux de la forme cristalline, bien que la composition chimique soit identique.
la silice présente, qui poursit inhiber la digestibilité des hydrates de carbone.
Les parois cellulaires d'un tissu végétal sont, en effet, formées d'une juxtaposition de molécules de cellulose cristalline, groupées en fibrilles élémentaires, elles-mêmes regroupées en microfibrilles, et de molécules amorphes. Il est admis que la lignine, incrustée dans les espaces interfibrillaires, est associée aux polysaccharides par des liaisons très mal connues, de nature chimique ou d'interpénétrations purement physiques de macromolécules avec la cellulose amorphe. La lignine agit comme un écran, ne laissant accéder aux fibres cellulosiques que des molécules de très petit diamètre (2 à 7 A).
L'accessibilité de la cellulose aux enzymes est conditionnée par un certain nombre de facteurs - humidité = à 10 X d'eau lcorrespondant à une activité de 0t81 il y a hydratation, gonflement des fibres et ouverture de certaines structures cellulosiques.
- dimensions du réseau capillaire des tissus, macro capillaires (diamètre 10 à 200 A) correspondant aux vaisseaux du bois ou du liber, dont la surface spécifique, donc la surface d'attaque par les enzymes, est relativement faible (2.10 3 cm2lg) de plus faible diamètre (8 à 25 A) mais dilatables par l'eau.
- cristallinité de la cellulose1 entrainant une certaine rigidité stérique des unités anhydroglucose qui explique la moindre accessibilité des enzymes.
- presence de substances associées (tanins) et, en particulier, de la lignine.
Le présent procédé a donc pour but: 1) de détruire la structure cristalline de la cellulose associée à la lignine, de manière à la rendre plus réactive vis-à-vis des agents bio-chimiques ou enzymatiques extérieurs, en la transformant le plus possible en molécules amorphes.
2) de briser les fibrilles cellulosiques de manière à accroitre la surface spécifique du tissu et modifier son réseau capillaire en présence d'eau d'hydratation, multipliant les points de pénétration de ces mêmes agents bio-chimiques et enzymatiques.
Nous effectuons donc un traitement mécanique capable de briser les structures et de modifier la cristallinité de la cellulose.
Il est complété, en second lieu, par l'action d'un composé biologique fermentaire à réactif biophysique, dont le râle est de favoriser l'hydrolyse de certaines liaisons ester ou ether entraînant le gonflement et la rupture des parois des canaux cellulosiques.
En pratique ces objectifs se traduisent par des opérations unitaires, dont les paramètres, variables selon les opérations considérées, les substrats et les réactifs en présence, sont fixés en vue d'un traitement efficace. priori, il agit: 1) d'assurer un contact le meilleur possible entre un solide grossier et un liquide. Ce contact est favorisé par le broyage du substrat et la pulvérisation etlou le mélange du composé réactif liquide.
2) de favoriser la réaction chimique d'hydrolyse, par le choix et la quantité des réactifs, leur concentration en milieu aqueux.
3) de donner une structure de mouture optimum en rapport avec l'animal à nourrir.
Indépendamment de tout traitement, un broyage plus ou moins poussé de paille n'entraine pas de modification significative des performances quelle que soit l'humidité de cette ration.
k, après pulvérisation, l'on note in vitre, une digestibilité accrue de la paille la plus finement broyée, par rapport à la même paille seulement hachée. Cette différence s atténue in vivo, pour devenir non significative du moins en-dessous d'un certain seuil (brins de 3 cm environ), dans les conditions expérimentales pratiquées. Tout se passe comme si la rumination venait compenser la plus faible utilisation de la matière sèche observée invitro avec la paille grossièrement hachée.
L'effet optimum de notre technique d'incorporation sur le substrat de paille est dû au mélange de la paille avec lasolution, en des quantités d'eau justement équilibrées et non éliminées ensuite, ce qui évite d'entrainer de nombreuses matières solubilisées (près de 32%).
Nous avons constaté qu'en accroisssnt la mobilité des molécules, l'apport de calories accroît leur probabilité de réaction: une élévation de température de 100C à partir de la température ambiante peut multiplier par 2 à 3 la vitesse de réaction. En supposant significative une dégradation du complexe lignocellulosique au bout de 5 jours à 200C, on peut penser obtenir une dégradation similaire à diverses températures ; si la vitesse est multipliée par 2, cela donne 432 000 secondes à 200C et 54 000 secondes à 500C. Si la vitesse est multipliée par 3, cela donne 432 000 secondes à 200C et 16 000 secondes à 50"C.
Cet exemple, tout théorique, ne tient pas compte de l'action propre de la pression combinée à celle de la température, mais il met en lumière la dépendance étroite température - temps.
A une même température (2320C), dans les conditions du laboratoire une paille de seigle broyée avec une grille de 1 rnm, contenant 3 % de composé fermentaire à réactif bio-physique et soumise à une pression de 28 bars pendant la durée de réaction jusqu'à4 mm, suivie d'un effet dépressif ensuite. Il y aurait solubilisation de la cellulose, libération de composés digestibles à partir de la lysine et de silice dans la première phase, polymérisation est complexification durant la seconde.
En dehors de ces conditions extrêmes, la durée de laréaction est un facteur d'autant plus important que la température est plus basse, en-dessous de 600C. On obtient la même digestibilité (53 - 54 41) en 15 mn à 60 C qu'en 24. heures 8 température ambiante.
Ainsi une température de 380C multiplie par 2 à 3 la vitesse de réaction. Nous obtenons ainsi une dégradation du complexe lignocellulosique au bout de 2 à 4 jours à 400C de température interne.
I1 est certain que les pailles de différentes espèces de graminées, les résidus de cultures industrielles, ou les sous-produits de décorticage ne réagissent pas de la même manière aux traitements physico-bio-chimiques. Ainsi, la paille de blé est mieux valorisée que d'autres pailles de céréales, ainsi que les pailles de mais. Peut-être en liaison inverse de la teneur en lignine.
La dose d'incorporation est, avec la durée de réaction, le facteur que nous avons le plus étudié.
L'augmentation de digestibilité du substrat, mesuree in vitro est pratiquement proportionnelle à la quantité incorporée, jusqu'à un seuil de 9 - 10 g par 100 g de matière sèche de paille.
La concentration de la solution doit être rapportée à notre mode d'incorporation.
Rappelons que la concentration de la solution ne parait pas être un facteur décisif. Seule, la quantité de réactif appliquée est importante, et le volume de solution utilisé doit être suffisant pour humidifier uniformément la paille, et assurer un contact optimum entre le produit pondéreux et le réactif. Ce volume minimum est d'environ 100 litres 1100 Kg.
En fin de compte, pour arriver à la digestibilité d'environ 60 (0,65 UFL), il faut réunir des conditions précises et fevorebles pour que les paillestraitéesse digèrent bien. Dans nos essais, la digestibilité des pailles utilisées était, en moyenne de 47 sans traitement (orge surtout). Avec des pailles de blé principalement, et en réunissant toutes les conditions favorables, on fait passer la dIgestibilité des pailles à 57(0,6 UFL) en les traitant avec 4 6 % de produit. La paille de mais atteignant 0,85 UFLIKg MS.
Effets du traitement bio-physique
Ce traitement obtenu grâce à un appareillage spécifiquement bio-physique qui permet une forte augmentation de ltactivité enzymatique, une forte augmentation du développement des levures, une accélération de la vitesse de dégradation des cellules cellulosiques, une amplification de l'hydrolyse.
Titre d'exemple cycle d'évolution d'une paille de mais selon l'invention.
Au bout de 24 heures, on prélève premier échantillon. La teneur en protéines brutes digestibles que l'on établit alors, représente plus de 600 X de lateneur de départ.
Au bout de 48 heures, on prélève un second échantillon. La teneur en protéines brutes digestibles que l'on détermine alors, représente plus de 700% de lateneur au départ.
Lors du prélèvement du premier échantillon, on peut déjà nettement déceler une odeur d'alcool. Lors du prélèvement du second échantillon, on note une odeur fruitée très agréable.
Un échantillon prélevé au bout de 12 heures adéjà atteint 500% de lavaleur de départ.
Comment obtient on ce résultat? Pour 1 Kg de paille de mais contenant 2 9 de MAD, on utilise un produit de fermentation comprenant 60 g de mélasse (4,2 g de MAD) laquelle on adjoint 15 g de levure (contenant 2,2 g de MAD), 10 g de ferment lactique et 1 g de réactif bio-énergétique.
Nous passons dans un premier temps, par adjonction du produit de fermentation, de 2 g à 8,4 g soit un coefficient de 4,2 g (420 . Puis l'enrichissement s'effectue en deux parties: 1) Développement des levures qui passent à 5,6 g soit un coefficient de 3,6 (360 %), donnant un enrichissement de 2 g à 11,8 g soit un coefficient de 5,9 (590 %).
2) Action du réactif bio-énergétique apportant un enrichissement complémentaire de 1,64(164%), sur le traitement de la paille elle-même. Avec 103% sur l'action fermentaire des levures. Soit un enrichissement total fermentaire de 267 % par rapport å une action fermenteire normale de levures sans le procédé blo-physique de la présente invention.
REACTIFS BIO-ENERGETIQUES
Avec les réactifs bio-energétiques, nous abordons ce qu'on a appelé longtemps les substances fonctionnelles, se distingant des substances dites plastiques.
Ces réactifs bio-énergétiques ont des propriétés architectoniques sur les cellules, les organes, l'organisme tout entier. Les substances dites plastiques ne sont donc plus elles-mêmes que des fonctions structurantes.
Ce qui les caractérise de la façon la plus nette, mais aussi la plus extérieure, c'est leur quantité infime par rapport à la masse des substances constitutives de l'être vivant, comme leur considérable activité.
Les réactions bio-énergét..iques sont bien moindre sans leur action catalytique. Et ce pouvoir est si grand qu'une molécule de réactif agissant sur son substrat spécifique, peut modifier en une minute, selon le type de réactif jusqu'à trois millions de molécules de ce substrat.
Ces réactifs opèrent par biocatalyse, c'est-è-dire par apport d'énergie, et par déclic des réactions biochimiques à la limite contradictoire de la stabilité et de l'instabilité, au degré le plus vulnérable de la quantité maximum d'antagonisme et donc de la concentration maximum d'énergie dans lesquels elles se trouvent, pour faire basculer cette énergie dans les voies d'actualisation spécifiques du système hétérogène, à exclusion individualisatrice, constituant lastructure biologique.
La bio-énergie au sein des réactifs montre mieux que tout autre système, sa constitution fonctionnelle et même anatomique antagoniste et cybernétique, parce qu'il est fait de circuits actifs et rétroactifs, d'actions et de contre-actions nettement coretatables.
Mais l'antagonisme et la cybernétique sont orientés Ici vers des équilibrages de compensation, des corrections d'écarts en vue d'un équilibre symétrique, théoriquement à égales tensions contradictoires, alors que les systèmes purement biologiques possèdent des antagonismes cybernétiques orientés vers des équilibres dissymétriques, où la variation, la diversification, l'hétérogénéité et l'hétérogénélsation,
caractéristiques fondamentales de la vie, doivent constamment dominer.
La nouvelle chimie, essentiellement dynamique, bien plus complexe sans doute, va pourtant permettre de noter dans la forme comme dans la structure spécifique de ses éléments non seulement leurs possibilités d'antagonisme systématisant - que signale déjà leur complexe constitution électronique, atomique, nucléaire - mais, par là même et allant plus loin, leurs capacités biologiques, les biogénèses qu'ils sont susceptibles d'engendrer, de favoriser ou d'exclure.
Le réactif selon le présent procédé est un fluide colloidal possédant des propriétés ferromagnétiques, composé de magnétite (40 %) en suspension dans de l'alcool (50 %) auquel est joint un agent dispersant tels que de l'acide oléique (10 t).
Cette préparation reçoit alors des plasmas énergétiques de correspondance vibratoire des états fermentaîres à obtenir des pailles traitées à l'aide de générateurs à ondes pulsées à l'intérieur de champs magnétiques de 6 000 gauss minimum, ainsi que des solutions à hautes dilutions d'huiles essentielles destinées à activer la prolifération des levures et contrôler les fermentations. Ces solutions sont incorporées au fluide colloïdal 8 raison de 5 à 25 4;selon les cas.
Ce réactif, une fois incorporé à l'eau de traitement à raison de 0,5 % à 2,5 % selon les cas, permet une transformation notable des propriétés de celle-ci.
L'eau à laquelle a été adjoint le réactif, passe alors dans un champ électro-magnétique qui permet de modifier satension de surface,saviscosité,saréslstance électrique, et la mobilité des ions en solution.
Lette instabilité et ses nouvelles propriétés lui permette de se charger de plasmas énergétiques puissants en liaison avec l'action fermentaire envisagée à l'aide d'une électrode composée d'un tube de verre d'environ 50 cm comprenant, une ême en graphite entourée d'un solénoïde en cuivre à sens inversé en son milieu de 11 spires de chaque côté. En haut de l'âme graphite est placée une batterie de 5ferrites de longueur égale au 5e de l'âme graphite. L'ensemble de l'électrode étant rempli d'un mélange de silice et de sel de mer à des proportions variant de 1011 à 511. L'ensemble étant bouché hermétiquement.Le solénoide étant relié à un câble de liaison à âme de cuivre, blindé, de diamètre variable selon lataille de l'électrode.
Le traitement de l'eau s'effectuant dans une cuve non métallique équipée d'un retour capacitif relié à une électrode plaçée en terre. Le retour capacitif étant composé d'un solénoïde en cuivre en bande, de 18 spires complètes.
Ensuite cette eau recevra mélasse, levure et ferment lactique selon une mise en oeuvre traditionnellement connu des hommes de l'art sur laquelle nous n'insisterons pas.
L'électrode est reliée au bloc générateur par le cable de liaison blindé et par l'intermédiaire du condensateur biologique. Ce bloc générateur se compose d'une antenne de captation, de deux électrodes de captation, d'un générateur hautes fréquences multi-oscillant à champs électro-magnétiques, d'un multi-condensateur à diélectrique biologique. De ce bloc générateur part également des résonateurs oscillants à retours destinés à créer des aires de traitement sous champs én & giques.
L'antenne se compose de neuf branches coniques en cuivre, longues de 1 mètre 50 environ, isolées les unes des autres et inclinées de 300 par rapport à la verticale. Le support est en matériau isolant, placé sur un support isolant. Le câble de liaison est composé par neuf fils diamètre 1,5 mm et il est blindé.
Les électrodes de captation dont une est également en retour capacitif de charge de réservoir de traitement de l'eau se composent d'un cyclindre de bois creux de 1 m de long et d'un diamètre intérieur de 5 à 10 cm, rempli de sulfate de cuivre et entouré d'un solénoïde en fil de cuivre dénudé 10110e environ à fils jointés et bouchés et protégés par une toile épaisse et solide. 6e câble de liaison avec le bloc générateur étant blindé.
Les résonateurs oscillants à retours se composent de neuf circuits de longueurs d'ondes variables et la nature de chaque circuit peut être modifiée grâce à un potentiomètre de 1
Kilo-ohms permettant de moduler à volonté la nature des émissions en fonction des corps à traiter. Les neuf circuits ont respectivement une longueur d'onde intégrale de -0,390 m- 0,337 m - 0,290 m - 0,240 m - 0,210 m - 0,170 m - 0,117 m - 0,078 m - 0,030 m et vibre de 3,8 GHz à 769 KHz environ et jusqu'à 3.10 14 Hz en harmoniques. Un champ électro-magnétique de longeur d'onde de 3 à 80 cm se superpose au champ électrique alternatif et la longueur d'onde est choisie en fonction du corps à traiter.
Les résonnateurs étant reliés au générateur hautes fréquences dont les caractéristiques correspondent aux données ci-dessus énoncées.
Le condensateur est. construit comme un condensateur à armature souple hautement sensible aux influences électro-magnétiques et vibratoires Il se compose de plaques conductrices en cuivre et d'un diélectrique en cire d'abeillle contenant le réactif de résonance avant reçu les solutions hautes dilutions citées ci-avant. Le nombre de couches est fonction des corps à traiter ainsi que des quantités La forme préférentielle étant locteèure La partie protectrice dudit condensateur étant composée d'une première couche en gros tissu, d'une seconde couche en nickel, et d'une troisième couche en bois non verni. Ledit condensateur etant monté dans un champ magnétique de plus de 8000 gauss.
Le dispositif selon l'invention est spécialement conçu pour le recyclage des cellulo-ligneux en agriculture.

Claims (9)

REVENDICATIONS
1) Procédé de traitement bio-physique avec réactifs de résonance destiné à accélérer et optimiser les processus de fermentation des cellulo-ligneux, caractérisé en ce que l'on effectue un traitement préaiable mécanique complété par l'action d'un composé biologique fermentaire composé de mélasse, de levures, de ferment lactique et de réactif bioénergétique composé d'un ferrofluide auquel on ajoute des solutions à hautes dilutions d'huiles essentielles dont l'eau de dilution de la présente solution-mère est alors traitée après passage dans un champ électromagnétique de 6 000 gauss minimum, par une électrode en verre composée par une âme graphite entourée d'un solénoïde avec une batterie de ferrites remplie d'un mélange de silice et de sel de mer et relié à un condensateur dont le diélectrique est organique et auquel a été adjoint le reactif bio-énergétique, condensateur relié à un générateur hautes fréquences relié à une antenne à neuf branches et à une électrode de captation composée d'un tube rempli de sulfate de cuivre et entouré d'un solénoïde, le générateur étant également relié à des résonateurs-oscillants se composant de 9 circuits de longeurs d'onde variables.
2) Procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'on effectue le traitement par l'action d'un composé biologique fermentaire composé de 70 Ye de mélasse, 19 % de levures, et 10 % de ferment lactique.
3) Procédé selon l'une quelconque des revendications 1 à 2, caractérisé en ce que le réactif bioénergétique est composé de 40 % de magnétite, de 50 X d'alcool et de 10 % d'agent dispersant par exemple l'acide oléique, auquel on ajoute les solutions à hautes dilutions d'huiles essentielles à raison de 5 à 25 X dudit réactif
4) Dispositif pow la mise en oeuvre du procédé selon la revendication 1, caractérisé en ce que l'électrode en verre est composée par une âme graphite entourée d'un solénoïde de 22 spires à sens inversé en son milieu, avec une batterie de 5 ferrites de longueur égale au 5e de l'âme graphite et remplie d'un mélange de silice et de sel de mer en proportion de 10/1 à 5/1.
5) Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le condensateur a un diélectrique organique en cire d'abeille auquel a éte adjoint le réactif bioénergétique.
6) Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le générateur hautes fréquences émet de 769 KHz à 3,8 GHz et à 3.10 14 Hz en harmoniques.
7) Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que l'antenne a neuf branches en cuivre, isolées les unes des autres et inclinées de 20 à 45 et reliées au générateur par un câble à 9 fils blindé.
8) Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que l'électrode de captation est composée d'un tube en bois de 1 mètre environ rempli de sulfate de cuivre et entourée d'un solénoïde en cuivre recouvert d'une toile protectectrice.
9) Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que le générateur est également relié à des résonateurs-oscillants se composant de 9 circuits de longeurs d'onde variables fonctionnant par induction.
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