FR2541537A1 - Dispositif pour controler des processus quasi periodiques - Google Patents

Dispositif pour controler des processus quasi periodiques Download PDF

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FR2541537A1
FR2541537A1 FR8302943A FR8302943A FR2541537A1 FR 2541537 A1 FR2541537 A1 FR 2541537A1 FR 8302943 A FR8302943 A FR 8302943A FR 8302943 A FR8302943 A FR 8302943A FR 2541537 A1 FR2541537 A1 FR 2541537A1
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S A Valkov
V L Valtschanov
D I Gradinarski
M I Todorov
E D Manolov
J D Sabev
G G Savov
D G Burschukov
A S Kaschurko
J I Feodorow
W S Walaew
A A Saboronski
W G Fedoseew
M G Kinker
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INST RADIOELEKTRONIKA
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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A01AGRICULTURE; FORESTRY; ANIMAL HUSBANDRY; HUNTING; TRAPPING; FISHING
    • A01CPLANTING; SOWING; FERTILISING
    • A01C7/00Sowing
    • A01C7/08Broadcast seeders; Seeders depositing seeds in rows
    • A01C7/10Devices for adjusting the seed-box ; Regulation of machines for depositing quantities at intervals
    • A01C7/102Regulating or controlling the seed rate
    • HELECTRICITY
    • H03ELECTRONIC CIRCUITRY
    • H03KPULSE TECHNIQUE
    • H03K5/00Manipulating of pulses not covered by one of the other main groups of this subclass
    • H03K5/22Circuits having more than one input and one output for comparing pulses or pulse trains with each other according to input signal characteristics, e.g. slope, integral
    • H03K5/26Circuits having more than one input and one output for comparing pulses or pulse trains with each other according to input signal characteristics, e.g. slope, integral the characteristic being duration, interval, position, frequency, or sequence

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Abstract

LA PRESENTE INVENTION CONCERNE UN DISPOSITIF DE CONTROLE DES PROCESSUS QUASI PERIODIQUES QUI COMPREND UNE SOURCE D'IMPULSIONS DE TRAVAIL 1 ET UNE SOURCE D'IMPULSIONS D'ETALONNAGE 2, CETTE DERNIERE ETANT CONNECTEE A UN DIVISEUR 3 QUI EST EN LIAISON AVEC UN MULTIVIBRATEUR MONOSTABLE 4 DONT UNE SECONDE SORTIE EST RELIEE A UNE PREMIERE MEMOIRE 15, TANDIS QUE CETTE DERNIERE EST EN LIAISON, PAR UNE SECONDE MEMOIRE 7 ET UN PREMIER CIRCUIT LOGIQUE 8, AVEC UNE UNITE D'AFFICHAGE 6, CEPENDANT QU'UN COMPTEUR REVERSIBLE 9 EST CONNECTE A UN DECHIFFREUR 10. SELON L'INVENTION UN COMMUTATEUR D'ETAT DE FONCTIONNEMENT 11 EST CONNECTE, RESPECTIVEMENT AU PREMIER CIRCUIT LOGIQUE 8 A UN SECOND, UN TROISIEME ET UN QUATRIEME CIRCUITS LOGIQUES 12, 13 ET 14 ET A L'ENTREE R D'UNE BASCULE 15, TANDIS QUE LA SECONDE, TROISIEME, QUATRIEME ET CINQUIEME ENTREES ET LA SORTIE DU SECOND CIRCUIT LOGIQUE 12 SONT RELIEES RESPECTIVEMENT A LA SOURCE D'IMPULSIONS DE TRAVAIL 1, AU DIVISEUR 3 DES IMPULSIONS D'ETALONNAGE, A LA SOURCE D'IMPULSIONS D'ETALONNAGE 2 ET A LA SORTIE Q DE LA BASCULE 15, ET AU MULTIVIBRATEUR MONOSTABLE 4. APPLICATION AU REGLAGE DE LA DISTRIBUTION DES SEMENCES DANS UN SEMOIR AGRICOLE AUTOMATIQUE.

Description

La présente invention se rapporte à un dispositif pour contrôler des processus quasi-périodiques, qui trouvent des applications dans le domaine des machines agricoles.
On connais, par exemple,d'après le brevet américain n 4159064, un dispositif pour contrôler ou surveiller des processus quasi-périodiques, qui comprend une source d'impulsions d'étalonnage, une source d'impulsions de travail, deux diviseurs pour le réglage de precision, un multivibrateur monostable, un compteur réversible, un déchiffreur, deux circuits de déblocage, deux mémoires, un circuit logique, un dispositif à seuil et une unité d'affi chage. La sortie de la source d'impulsions d'étalonnage est connectée à l1en- trée du premier diviseur, tandis que la sortie de la source d'impulsions de travail est en liaison avec l'entrée du second diviseur et avec l'entrée du circuit intégrateur.Les commutateurs des deux diviseurs sont reliés au premier circuit de déTloeage. La sortie du premier diviseur est en liaison avec le multivibrateur monostable. L'une des sorties du multivibrateur monostable est connectée aux entrés d'annulation ou d'effacement des deux diviseurs et du compteur réversible, tandis que sa seconde sortie est connectée à l'entrée d'annulation de la première mémoire. La troisième sortie du multivibrateur monostable est connectée au second circuit de déblocage et sa quatrième sortie est en liaison avec l'entre d'annulation ou d'effacement de la seconde mémoire.Les sorties du premier circuit de déblocage sont reliées aux deux entrées du compteur reversible, tandis que les sorties de ce dernier sont connectées aux entrées du déchiffreur. Les sorties du déchiffreur sont en liaison avec les entres de la première mémoire, tandis que les sorties de la première mémoire sont reliées aw; entrées du second circuit de déblocage.
Les sorties du second circuit de déblocage sont en liaison avec les entrées de la seconde mémoire, tandis que les sorties de la seconde mémoire sont reliées aux entre du circuit logique. Les sorties du circuit logique sont connectées à l'unit d'affichage. L'une des sorties de la première mémoire est en liaison avec le premier circuit de déblocage. La sortie du circuit intégrateur est connecte à l'entrés du dispositif à seuil, tandis que la sortie du dispositif à seuil est reliée à l'unité d'affichage.
L'inconvénient ce ces dispositifs connus de contrôle des processus quasi-pEriodiques réside dans la grande durée du cycle de contrôle, de sorte que le signal d'alarme n'est déclenché qu'avec un grand retard. De plus, lors d'un chevauchement partiel ou d'un décalage complet des impulsions de réfé rence et de travail, un affichage erroné peut se produire. Lors du contrôle du réglage de la distribution de semences, on utilise comme critère non pas la densité, mais la fréquence de distribution des semences.Le dispositif est compliqué ; il comprend deux diviseurs pour le réglage de précision et un double commutateur dont la synchronisation est néeessaire, il possède un canal séparé pour le contrôle du réglage de la distribution de la semence et ne peut pas être utilisé pour eontrler les pertes de récolte et la vitesse de déeélération d'un mouvement de rotation.
La présente invention s'est fixé pour but de réaliser un dispositif pour contrôler des processus quasi-périodiques qui permette de surveiller rapidement et avec précision, les variations absolues ou relatives des vitesses de rotation d'un arbre, ainsi que les variations absolues ou relatives de vitesse de ces variations,selon un schéma simplifiés
L'invention atteint le but qu'elle s'est fixé par un dispositif pour contrôler des processus quasi-périodiques qui comprend une source d'impulsions de travail, une source d'impulsions d'étalonnage, qui est connectée à un diviseur lequel, de son eté, est relié à un multivibrateur monostable dont la seconde sortie est reliée à une mémoire qui, par une seconde mémoire et un circuit logique, est connectée à une unité d'affichage. Le compteur réversible est relié à un déchiffreur.Le commutateur d'étant est respectivement relié au premier, second, troisième et quatrième circuits logiques et à l'entre R d'une bascule. La seconde, troisième, quatriene, cinquième entrées et la sortie du second circuit logique sont reliées respectivement à la source d'impulsions de travail, au diviseur des impulsions de référence, à la source d'impulsions de référence, à la sortie de la bascule et au multivibrateur monostable. A la même sortie, sont également reliées les secondes entrées du troisième circuit logique et du multivibrateur monostable, dont la troisième sortie est connectée au compteur réversible.La quatrième sortie du multivibrateur monostable est en liaison avec la seconde mémoire, dont la seconde sortie est reliée au troisième et au quatrieme circuits logiques. Le quatrième circuit logique est connecté à la troisième entrée de la seconde mémoire et à la seconde entrée du multivibrateur monostable, tandis que la seconde sortie de la première mémoire est reliée à la troisième entrée du premier circuit logique. Le déehiffreur est connecté au quatrième circuit logique et à la première mémoire . Le second circuit logique est respectivement, à l'entre d'addition et de soustraction du circuit de non coincidence, dont la sortie de comptage est reliée à l'entrée de comptage du compteur réversible.La sortie de signe de circuit de non colncidence est eonneetée à la quatrième entrée du troisième circuit logique, dont les sorties sont reliées à l'entre de signe du compteur réversible et à la troisième entrée du circuit de non eolneidence. La première sortie du multivibrateur monostable est aussi connectée à l'entre T de la bascule.
Les avantages du dispositif selon l'invention pour le contrôle des processus quasi-périodiques sont les suivants
- une dure sensiblement plus courte du cycle de contrôle ;
- un actionnement immédiat du signal d'alarme ;
- une absence d'erreur lors d'un dépassement partiel ou total des impulsions arrivant aux entrées
Pour le contrôle du réglage de la distribution des semences, on utilise comme critère la densité et non pas la fréquence de distribution (bien que cette dernière solution soit également possible) ; le seuil d'action du signal d'alarme est variable en fonction des tolérances admissibles du processus, ce qui permet de rdduire à un minimum les surfaces non ensemencées.
Le dispositif ne comporte pas de canal supplémentaire pour contrôler le réglage de la distribution des semences, et le réglage de la précision du contrôle est réalises par des moyens simples tout en étant universel.
D'autres caractéristiques et avantages de l'invention ressortiront de la description qui va suivre, faite sans aucun caractère limitatif en référence aux dessins annexés dans lesquels
- la figure 1 est un schéma par blocs d'un dispositif conforme à l'in vention ;
- la figure 2 est un schéma du montage du commutateur d'état de fonctionnement ;
- la figure 3 est un schéma du multivibrateur monostable ;
- la figure 4 est un diagramme de la chronologie des impulsions du multivibrateur monostable ;
- la figure 5 est un schéma du second circuit logique
- la figure 6 est le schéma du circuit de non colncidence ;
- la figure 7 est un schema du troisième circuit logique
- la figure 8 est un schéma du quatrième circuit logique ;;
- la figure 9 est un schéma de la première mémoire logique ;
- la figure 10 est un schéma de la seconde mémoire logique ; et
- la figure 11 est un schéma du premier circuit logique.
Le dispositif de contrôle des processus quasi-périodiques représenté comprend une source d'impulsions de travail 1, une source d'impulsions d'étalonnage 2, qui est connectée a un diviseur 3 auquel est relié un multivibrateur monostable 4. La seconde sortie F du multivibrateur 4 est connectée à une mémoire 5 qui, par l'intermédiaire d'une seconde mémoire 7 et d'un circuit logique 8, est reliée à une unité d'affichage 6. Le compteur réversible 9 est relié à un déchiffreur 10, tandis que le commutateur d'état de fonctionnement 11 est respectivement connecté, au premier circuit logique 8, au second circuit logique 12, au troisième circuit logique 13 et au quatrième circuit logique 14 et à l'entre R de la bascule 15.Les seconde, troisième, quatrième, cinquième et sixième entrées de la sortie du second circuit logique 12 sont respectivement reliées à la source d'impulsions de travail 1 au diviseur 3, à la source d'impulsions d'étalonnage 2, à la sortie Q de la bascule 15 et au multivibrateur monostable 4. La sortie Q est en liaison avec les secondes entres du troisième circuit logique 13 et avec le multivibrateur monostable 4.
La troisième sortie G du multivibrateur monostable 4 est connectée au compteur réversible 9, tandis que sa quatrième sortie E est reliée à la seconde mémoire logique 7, dont la seconde sortie est reliée au troisième circuit logique 13 et au quatrième circuit logique 14. Le quatrième circuit logique 14 est en liaison avec la troisième entre de la seconde mémoire 7 et avec la seconde entrée du multivibrateur monostable 4. La seconde sortie de la première mémoire 5 est connectée à la troisième entrée du premier circuit logique 8.
Le déchiffreur 10 estrelié, par l'intermédiaire du quatrième circuit logique 14, à la première mémoire 5. Le second circuit logique 12 est respectivement relié, aux entres d'addition et de soustraction d'un circuit de non coincidence 16, dont la sortie de comptage C est reliée à l'entre de comptage du compteur réversible 9. La sortie de signe du circuit de non coincidence 16 est connecte å la quatrième entrée du troisième circuit logique 13 dont les sorties communiquent, respectivement avec l'entrée de signe du compteur réversible 9 et avec la troisième entrée du circuit de non coincidence 16. La première sortie H du multivibrateur monostable 4 est aussi connectée à l'entrée T de la bascule 15.
Le commutateur d'état de fonctionnement 11, qui est représenté sur la figure 2, comprend deux commutateurs 17, 18, qui possèdent deux états, dont l'un correspond à la masse et l'autre a l'autre pôle de la source elec- trique d'alimentation.Le commutateur 17 est relié à un inverseur 19 et au premier circuit logique 8, au second circuit logique 12 et au quatrième circuit logique lli. Le second commutateur 18 est en liaison avec un second inverseur 20, ainsi qu'avec le premier circuit logique 8, le second circuit logique 12 et le quatrième circuit logique 14, le second commutateur 18 est en outre en liaison avec l'une des entrées d'un circuit NON-OU 21 dont l'autre entre est connectée à la sortie du premier inverseur 19, ainsi qu'au premier circuit logique 8 et au quatrième circuit logique 14.Le circuit NON-OU 21 est connecté au quatrième circuit logique 14 et, par l'intermédiaire d'un troisième inverseur 22, à l'entre R de la bascule 15, ainsi qu'au deuxième circuit logique 12 et au quatrième circuit logique 14.
Sur la figure 3, on voit que le multivibrateur monostable 4 comprend une bascule D 23 mottée en série avec trois bascules R-S synchronisées 2li, 25, 26. Les entrées C de la bascule D et de la seconde bascule R-S synchronisée 25 sont connectées à la seconde sortie d'un générateur designaux d'horloge, tandis que les entrées C des bascules R-S synchronisées 24 et 26 sont en liaison avec la première sortie de ce générateur non représenté sur la figure 3. L'entre R de la première bascule R-S synehronisée 24 est respectivement reliée aux premières entrées d*un quatrième inverseur 27, d'un einquième inverseur 28 et d'un sixième inverseur 29, dont les secondes entres sont connectées à l'entrée S de la troisième bascule R-S synchronisée 26. Les troisièmes entrées du quatrième inverseur 27 et du cinquième inverseur 28 sont reliées à la première sortie inversée d'un générateur de signaux dlhor- loge non représenté sur la figure . Les sorties des deux inverseurs 27, 28 sont respectivement reliées au diviseur 3 et à la seconde mémoire 7. L'entrée
R de la seconde bascule R-S 25 est connecte respectivement à la troisième entrée du sixième inverseur 29 et à la première entrée d'un septième inverseur 30. Les quatrièmes entrées du cinquième inverseur 28 et du sixième inverseur 29 sont en liaison avec la sortie Q de la bascule 15. La sortie du sixième inverseur 29 est connectée au compteur réversible 9. La seconde entrée du septième inverseur est en liaison avec la seconde sortie inversée du générateur de signaux d'horloge non représenté sur la figure. La troisième entrée du septième inverseur 30 est connectée à la sortie de la troisième bascule R-S 26.
Le second circuit logique 12 est représenté sur la figure 5. Il comprend trois multiplexeurs 31, 32 et 33 qui sont relies respectivement à trois éléments à seuil 34, 35 et 36. La sortie du troisième Inverseur 22 du commutateur diétat 11, ainsi que la sortie Q dela bascule 15 sont reliées au circuit NON-OU 37 lequel est en liaison avec la seconde entrée du second élément à seuil 35 dont la sortie est reliée à l'entrée de soustraction du circuit de non coincidence 16. La sortie du premier élément à seuil 34 est reliée à l'entrée d'addition du circuit de non colncidence 16, tandis que le troisième élément à seuil 36 est en liaison avec le multivibrateur monostable 4.Le premier commutateur 17 est connecté aux entrées A des trois multiplexeurs,
o tandis que le second commutateur 18 est connecté à la borne A1 de ces trois multiplexeurs. La première entrée du premier multiplexeur 31 est à la masse.
La sortie de la source d'impulsions d'étalonnage 2 est reliée à l'entrée zéro et à la seconde entrée du premier multiplexeur 31 et à la troisième entrée du second multiplexeur 32. Le diviseur de tension est en liaison avec la troisième entrée du premier multiplexeur 31, avec la seconde entre du second multiplexeur 32 et avec la première entre et l'entre zéro du troisième multiplexeur 33. La source d'impulsions de travail 1 est connectée à la première entrée et à l'entre zéro du second multiplexeur 32, ainsi qu'à la seconde et a la troisième entrées du troisième multiplexeur 33.
Le circuit de non coincidence 16 est représenté sur la figure 6 il comprend deux canaux dont chacun comporte une bascule D 38 dont l'entre D est connectée aux sorties correspondantes du premier élément à seuil 34 et du second élément à seuil 35. Les entrées C sont communes et sont reliées à la seconde sortie du générateur de signaux d'horloge non représenté sur la figure.
La sortie inversée de la bascule D est en liaison avec la première entrée d'un second circuit NON-OU 39 et avec l'entrée R d'une quatrième bascule R-S synchronisée 40, dont les entrées C pour les deux canaux sont connectées ensemble à la première sortie du générateur de signaux d'horloge non repre-- sentie sur le schéma, tandis que les entrées S sont reliées à la sortie de la bascule D 38. La sortie inversée de la quatrième bascule R-S synchronisée 40 est en liaison avec l'entre R d'une cinquième bascule synchronisée 41 dont les entrées C pour les deux canaux sont reliées ensemble à la seconde entrée du générateur de signaux d'horloge, non représenté sur le schéma.L'entrée
S est reliée à la sortie de la quatrième bascule synchronisée 40,cependant que la sortie de la cinquième bascule R-S synchronisée est connectée à la seconde entrée du second circuit NON-OU 39. Ce dernier est en liaison, par un troisième circuit NON-OU 42, a un quatrième circuit NON-OU 43 reliant les deux canaux. Les entrées du second circuit NON-OU 39 de chacun des canaux sont en liaison avec la seconde et la troisième entrées du troisième circuit
NON-OU 42, et sont en outre, en liaison avec un cinquième circuit NON-OU commun 44 dont la sortie est connectée à ltentrée de comptage du compteur réversible 9.La sortie du quatrième circuit NON-OU 43 est reliée à un sixième circuit NON-OU 45 dont la sortie est connectée a l'entrée de comptage du-compteur réversible 9.La sortie du troisième circuit NON-OU 42 du second canal est reliée au troisième circuit logique 13, lequel aboutit à l'entre de signe du compteur réversible 9. Au cinquième circuit NON-OU 44 est connectée la première sortie inversée du générateur de signaux d'horloge,non représenté sur le sche-ma,qui est également relié à la seconde entre du sixième circuit NON-OU 45.
Le circuit logique 13 contient un septième et un huitième circuits
NON-OU respectivement 46 et 47. Au septième circuit NON-OU 46 sont connectées la sortie du second inverseur 20 et la seconde sortie de la seconde mémoire 7. La sortie inversée du septième circuit logique NON-OU 46 est reliée au huitième circuit NON-OU 47 dont les deux autres entrées sont respectivement en liaison avec la sortie Q du déclencheur 15 et avec la sortie du circuit de non coincidence 16. La sortie du huitième circuit NON-OU 47 est reliée au sixième circuit NON-OU 44 et, par l'intermédiaire du neuvième inverseur 48, avec l'entrée de signe du compteur 9.
Le quatrième circuit logique 14 est représenté sur la figure 8. L'entrée du déchiffreur 10 est reliée, respectivement a un neuvième, un dixième, un onzième et un douzième circuits NON-OU respectivement références 49, 50, 51 et 52. Les sorties du troisième inverseur 22, du premier circuit NON-OU 21, du premier inverseur 19, du second commutateur 18, du premier commutateur 17 et du second inverseur 20 sont respectivement reliées aux onzième, douzième, treizième, quatorzième, quinzième et seizième circuits NON-OU respectivement 51, 52, 53, 54, 55 et 56. La sortie de la seconde mémoire 7 est reliée à la seconde entrée du seizième circuit NON-OU 56.La seconde entrée du multivibrateur monostable 4 est connectée a l'entre R de la bascule asynchrone 57. Les sorties du onzième et du douzième circuits NON-OU 51 et 52 sont en liaison avec le circuit OU 58 dont la sortie est connectée à l'entre S de la bascule asynchrone 57, à l'entre d'un neuvième inverseur 59 et à celle de la première mémoire 5. La bascule asynchrone 57 est connectée, par l'intermédiaire du neuvième circuit NON-OU 49, à la première mémoire 5. Le seizième circuit
NON-OU 56 est relié, par l'intermédiaire du treizième circuit NON-OU 53 et du dixième circuit NON-OU 50, la première mémoire 5.Le dixième circuit NON
OU 50 est relié, par l'intermsdiaire d'un dixième inverseur 60 et du quinzième circuit NON-OU 55, à la seconde mémoire 7. Le neuvième inverseur 59 est connecté, par l'intermédiaire du quatorzième circuit NON-OU 54, à la seconde mémoire 7.
Le schéma de la première mémoire 5 est représenté sur la figure 9. Ce montage comprend une seconde, une troisième et une quatrième bascules asynchrones 61, 62 et 63 dont les entrées S sont respectivement reliées aux sorties du neuvième circuit NON-OU 49, à la sortie du circuit OU 58 et à la sortie du dixième circuit NON-OU 50. Ces deux dernières sorties sont aussi connectées à deux circuits logiques 64, 65, formant une bascule, dont les sorties sont reliées au premier circuit logique 8. Les entrées R des trois bascules asynchrones 61, 62, 63 sont en liaison avec la seconde sortie du multivibrateur monostable 4, cependant que leurs sorties sont reliées à la seconde mémoire 7.
La seconde mémoire 7 est représentée sur la figure 10. Elle comprend une cinquième, une sixième et une septième bascules asynchrones 66, 67 et 68.
Les entrées S de celles-ci sont reliées aux sorties des seconde, troisième et quatrième bascules asynchrones 61, 62 et 63 de la première mémoire 5. Les sorties inversées des bascules de la première mémoire 5 sont en liaison avec les entrées R des bascules de la seconde mémoire et les entrées C des cinquième, sixième et septième bascules asynchrones 66,67 et 68 sont connectées au multivibrateur monostable 4. Les entrées d'enregistrement asynchrone sont reliées au neuvième circuit NON-OU 49, au quinzième circuit NON-OU 55 et au quatorzième circuit NON-OU 54. Les sorties du cinquième, sixième et septième bascules asynchrones 66, 67 et 68 sont en liaison avec le premier circuit logique 8.
Le premier circuit logique 8 est représenté sur la figure 11. La sortie du second inverseur 20 est connectée à un dix-septième circuit NON-OU 69, tandis que le commutateur 17 est en liaison avec un dix-huitième circuit
NON-OU 70. Le premier inverseur 19 est connecté à un dix-neuvième circuit
NON-OU 71 et le second commutateur 18 est relié à un vingtième circuit NON-OU 72. La sortie de la sixième bascule asynchrone 67 est connectée à la seconde entrée du dix-septième circuit NON-OU 69. La sortie de la dix-septième bascule asynchrone 68 est en liaison avec la seconde entrée du dix-neuvieme circuit NON-OU 71. La sortie inversée de la septième bascule asynchrone 68 est connectée à l'entre du dix-huitième circuit NON-OU 70 et-à la troisième entrée du dix-septième circuit NON-OU 69.La sortie inversée de la sixième bascule asynchrone 67 est en liaison avec le vingtième circuit NON-OU 72 et avec la troisième entre du dix-neuvième circuit NON-OU 71. Les dix-septième, dix-huitième, dix-neuvième et vingtième circuits NON-OU respectivement 69, 70,71 et 72 sont connectés à une unité d'affichage 6 par l'intermédiaire d'un vingt et unième, d'un vingt deuxième et d'un vingt troisième circuits NON-OU 73, 74 et 75, ainsi que d'un second circuit OU 76 d'un vingt quatrième circuit NON-OU 77. La sortie du vingt et unième circuit NON-QU 73 est reliée à un multivibrateur 78 qui, par l'intermoediaire d'une quatrième unité à seuil 79, est connecté a la seconde entrée du vingt deuxième circuit NON-OU 74.La sortie inversée du multivibrateur 78 est reliée à la seconde entrée du vingt troisième circuit NON-OU 75 qui, par l'intermédiaire d'un vingt-cinquième circuit NON-OU 8o et d'un troisième circuit OU 81, est connectée à ltunité d'affichage 6. La sortie de la cinquième bascule asynchrone 66 est en liaison avec le troisième circuit OU 81 et avec le vingt quatrième circuit NON-OU 77.
La sortie du vingt troisième circuit NON-OU 75 est connectée à la seconde entrée du vingt cinquième circuit NON-OU 80 à laquelle est connectgela sortie du circuit logique 65. La sortie du second élément logique 64 est en liaison avec le second circuit OU 76.
Le fonctionnement de ce dispositif de contrôle de processus quasipériodique est le suivant : les impulsions qui transportent des informations relatives au processus à surveiller, constituent les impulsions de travail.
En supposant qu'on procède à des semailles, une impulsion de travail correspond a la plantation d'une semence. Dans le cas d'un contrôle des pertes, le nombre des impulsions de travail représente la masse des pertes. Dans le cas de la rotation d'un arbre, le nombre des impulsions de -travail est proportionnel au nombre de révolution de l'arbre dont la rotation doit être con trlée. La durée des impulsions de travail est fonction de la nature du pro ces sus devant hêtre commandé ou eontrlé et peut être différente de la vitesse du déroulement ou de ltévolution de celui-ci. La période de récurrence des impulsions de travail peut osciller, d'une manière statistique, autour d'une certaine valeur nominale, dans un processus se déroulant à une vitesse constante.
Les impulsions qui sont utilisées comme base de comparaison pour le contrôle ou la commande, sont les impulsions d'étalonnage ou de "référence".
Leur nombre doit être proportionnel à la vitesse d'évolution nominale du processus quasipériodique commandé. Lorsqu'il s'agit de semailles, le nombre des impulsions de référence est proportionnel à la vitesse de marche du semoir mécanique et est choisi égal au nombre nominal d'impulsions de travail.
Pour le contrôle des pertes, le nombre des impulsions de référence est proportionnel au rendement nominal. Pour le contrôle de la vitesse de rotation d'un arbre, le nombre des impulsions de référence est proportionnel au nombre de révolutions correspondant à la vitesse choisie. A cette fin, les impulsions de référence sont, le plus souvent, obtenues par des sources ou des générateurs reliés à l'arbre menant de la machine correspondante. Quand il est nécessaire de contrôler une durée, la source fournissant les impulsions d'étalonnage ou de référence peut être un générateur d'impulsions autonome.
Dans ces conditions, dans le cas des semailles, par exemple, on contrôle non pas la densité mais la fréquence de l'ensemencement, tandis que dans le cas de la rotation d'un arbre, on mesure les écarts par rapport a une vitesse de rotation prédéterminée.
Afin de pouvoir réaliser un contrôle de la vitesse de rotation d'un arbre avec une précision et une vitesse suffisante, il est nécessaire que le rapport entre le nombre des impulsions de référence et le nombre nominal d'impulsions de travail soit maintenu le plus grand possible (par exemple, au-dessus de 100).
Le commutateur d'état de fonctionnement 11 peut etre un appareil soit mécanique, soit électronique. Il peut être commandé manuellement ou par un programme, le dispositif étant commuté automatiquement d'un état de fonctionnement à l'autre dans le second cas. Dans certaines circonstances, il est nécessaire non seulement de vérifier les écarts par rapport à une vitesse de rotation nominale, mais également de mesurer la vitesse avec laquelle ces écarts se produisent. La commutation peut aussi être réalisée par un rétro couplage entre la sortie du dispositif et le commutateur d'état de fonctionnement 11 (non représenté sur la figure 1).
En fonction de la position du commutateur d'état de fonctionnement 11, le dispositif peut aussi être utilisé pour le contrôle des semences ou des pertes quand on rentre la moisson, ainsi que pour celui des révolutions de l'arbre ou de la diminution de la vitesse de rotation de celui-ci. Lors-qu'une commutation d'état ntest pas nécessaire pendant le travail, le choix du mode de fonctionnement peut être assuré par des couplages rigides (fixes) aboutissant à la source d'alimentation et à la masse et qui remplissent le rôle du commutateur d'état de fonctionnement 11.
On se propose de décrire d'abord le fonctionnement de ce dispositif dans le contexte de son utilisation pour le contr8le- des semailles. Dans ce cas, les signaux de sortie du commutateur d'état 11 modifient la configuration intérieure des circuits logiques 12, 13, 14 et 8 de telle manière qu'ils assurent les couplages suivants entre les blocs (unités) du dispositif : la source des impulsions de référence 1 est reliée à l'entrée d'addition "+" du circuit de non coincidence 16 ; la sortie du diviseur de tension 3 est connecte au multivibrateur monostable 4,1a source d'impulsions de travail 1 est reliée å l'entrée de soustraction "-" du circuit de non coincidence 16 ; la sortie de signe du circuit de non coincidence 16 est reliée à l'entre de signe du compteur réversible 9. Le couplage entre la sortie de la mémoire 7 et l'entre du compteur réversible 9.est interrompu.La liaison entre la sortie de la mémoire 7 et l'entrée de la mémoire 5 est également interrompue ; trois des sorties du dEchiffreur 10 sont relies aux entres correspondantes de la mémoire 5, ainsi qu'aux entrées asynchrones de la mémoire 7. Simultand- ment, le signal que le commutateur d'état de fonctionnement 11 fournit à l'en- trEe R de la bascule T 15, devient un "1" logique de sorte que la sortie Q de cette même bascule présente un zéro logique. Pour cette raison, la quatrième sortie du multivibrateur monostable 4 est reliée & l'entre de remise à zéro du compteur réversible 9 et à la mémoire 7.
Le nombre des impulsions de référence ou d'étalonnage qui se présen- tent à chaque unité de temps est égal au nombre nominal d'impulsions de travail.
A l'entre du multivibrateur monostable 4, apparaît respectivement une impulsion pour chaque nombre m d'impulsions de référence, ce nombre m étant choisi à l'aide d'un diviseur réglable 3. Cette impulsion déclenche le multivibrateur monostable h, qui engendre deux courtes impulsions E et F, l'impulsion E précédant l'impulsion F. L'impulsion E remet à zéro le diviseur réglable 3, le compteur réversible 9 e-t transfère l'information de la première mémoire 5 dans la seconde mémoire 7. L'impulsion F annule la première mémoire 5. Elle ne modifie pas ltétat de la bascule 15 car l'entre R de cette dernière reçoit un "1" logique constant. A partir du moment où le diviseur 3 et le compteur réversible 9 ont été remis à zéro, un nouveau cycle de commande ou de contrôle commence.
Les impulsions de travail et d'étalonnage ou de référence coincidantes et partiellement eolncidantes sont séparées par le circuit de non coincidence 16,en fonction du temps et apparaissent à la sortie de celui-ci sous la forme d'un train ou d'une série d'impulsions successives. En synchronisme avec les impulsions de référence, il est appliqué à l'entrée du circuit de non coincidence 16, un ordre d'addition, et en synchronisme avec les impulsions de travail un ordre de soustraction. Ces ordres sont appliqués à l'entrée de signe du compteur réversible 9 qui ainsi additionne ou soustrait les impulsions arrivant à son entrée de comptage.En conséquence, on obtient aux sorties du compteur réversible 9 un signal représentatif de la difference entre le nombre des impulsions de travail et celui des impulsions de référenee présentes à un moment donné et codées par le temps.- L'état de la sortie du compteur réversible 9 est décodé par le déchiffreur 10. A la première mémoire 5, sont connectées, par l'intermédiaire du quatrième circuit logique 14, les sorties du déchiffreur 10, dont les états correspondent au nombre N, aN et M-N+1.
Dans ce qui précède, M correspond à la capacité du compteur réversible 9 et
N est un nombre positif qui a été choisi parce que la fréquence des impulsions de travail présente des fluctuations statiques, même dans le cas où la rangée semée est pleine. Quand N est petit, un signal d'alarme erroné peut être déclenché à cause du retard ou du dépassement de quelques graines. Par contre, quand N est grand, le contrôle prend plus de temps. il est judicieux de choisir
N égal à h. Ainsi, quand à un moment donné, la différence entre les impulsions de référence et les impulsions de travail devient égale à 4, on voit apparaît tre à la sortie N du déchiffreur 10 un signal qui traverse le circuit logique 14 et qui vient s'incrire dans la mémoire 5.Simultanément, ce signal est également enregistré dans la mémoire 7, par son entrée asynchrone. Par l'in termédiaire du circuit logique 8, ce signal actionne immédiatement l'unité d'affichage 6,~laquelle déelenehe un signal d'alarme (qui peut être un signal lumineux, un signal acoustique audible, etc.), lequel diminue immédiatement la densité ou la fréquence de distribution des semences d'un pourcentage de-- terminé (réduisant ainsi le nombre de semences qui sont plantées le long du trajet fixé).
La détermination du pourcentage admissible de réduction de la densité ou de la fréquence de distribution des semences d'effectue au moyen du diviseur réglable 3 (ctest-à-dire, en modifiant son rapport de division m). En supposant par exemple, m = 100, une réduction acceptable de la densite ou de la fréquence de distribution des semences M = 4 a été déterminée. Pour m = 50, la réduc-
m tion admissible est 8 %, etc.
La dure du cycle de commande est égale au nombre m des impulsions de référence. A l'arrivée de la mieme impulsion de réference, un signal apparaît à l'entre du diviseur 3, signal qui actionne le multivibrateur monostable 4, après quoi ce dernier remet à zéro le diviseur 3 et le compteur réversible 9, transfère l'information de la mémoire 5 dans la mémoire 7 et efface ensuite la m < moire 5, après quoi le nouveau cycle commence.De cette manière, le signal d'alarme du cycle de commande précédent continu-à être affiché à condition que l'un des deux autres écarts des conditions de travail normales ne se soit pas établi. Si, au cours du nouveau cycle de commande, ltécart devient inférieur a la limite admissible, aucun signal n'apparaît aux sorties du déehiffreur 10, et partant, rien ne s inscrit dans la mémoire 5. Dans ces conditions, à la fin du nouveau cycle de commande, les informations entrées sont rectifiées, tandis que la mémoire 7 et le signal d'alarme sont mises hors d'action.Un certain retard du signal d'alarme est également nécessaire pendant le nouveau cycle de commande, afin d'éviter un déclenchement erroné lorsque l'écart continu d'etre intolErablement grand. Dans ce cas, une information se rapportant au même encart est a nouveau inscrite dans la mémoire 5 qui, à la fin du nouveau cycle de commande, est transférée dans la mémoire 7, ce qui a pour effet de retarder le signal d'alarme pendant le troisième cycle de commande, etc.
Si, par contre, au cours du nouveau cycle de commande, l'écart n'a pas seulement diminué, mais sa direction a également changée et il est devenu into le-rablement grand, alors apparaît à la sortie M-N+1 du déchiffreur 10 un signal qui signifie que la densité (ou la fréquence de distribution) de la semence est devenue excessive. Le dépassement admissible de la densité (ou de la fréquence de distribution) de la semence est N et est également choisi sur le diviseur
m 3. Lorsqu'il est nécessaire que celle-cisoit différente du pourcentage de diminution admissible de la densité (ou de la fréquence de distribution), on peut choisir une autre sortie du déchiffreur, au lieu- de la sortie M-N+1.
Le signal apparaissant à la sortie M-N+1 est enregistré dans la mémoire 5 et est appliqué par la sortie de celui-ci à la mémoire 7 et au circuit logique 8, ce qui supprime le signal d'alarme précédent. Simultanément, ce signal arrive, par le circuit logique 14, à l'entrée asynchrone A de la mémoire 7, y est enregistré, puis, par le circuit logique 8, actionne l'unité d'affichage qui correspond au dépassement inacceptable de la densité (ou de la fréquence de distribution) de la semence. Au terme du nouveau cycle de commande, il ne reste dans la mémoire 7 que l'information relative du dépassement de la densité (ou de la fréquence de distribution) de la semence. Le signal d'alarme est retenu (retardé), lorsqu aucun nouvel écart ne se produit.Si, au cours du troisième cycle de commande une diminution de la distribution normale de la semence se produit, celle-ci s'inscrit dans la mémoire 5, puis est dirigée vers le circuit logique 8,de sorte que le signal d'alarme relatif à un dépassement de la normale est mis hors d'action, en même temps qu'il est enregistré dans la mémoire 7, tandis qu'un signal d'alarme indiquant une diminution par rapport à la normale est déclenché.
Un cas particulièrement important est celui où la diminution de la cadence normale de distribution des semences est de plusieurs fois supérieure à la valeur admissible. Ceci signifie pratiquement un arrêt des semailles et a pour conséquence, du fait de la surface qui reste non ensemencde, des pertes eonsidérables. En conséquence , ce type d'écart doit etre indiqué par priorité, comparativement aux autres. A cet écart correspond la sortie aN du déchiffreur 10. Pour la sélection du coefficient a, les facteurs suivants ont été pris en considération. Lorsque celui-ci est petit, l'arrêt pratique de la distribution des semences n'est pas indiqué, l'indication exigeant un écart plus important de la normale. Quand le coefficient a est grand, le temps de réaction du système est prolongé, ce qui augmente les pertes dues aux surfacesnon ensemencées. il suffit de choisir a = 2+ 4 (ce pourrait aussi être un nombre fractionnaire). Le choix de a dépend du pourcentage d'écart maximal admissible devant être contrôlé. C'est ainsi, par exemple, que lorsque ltécart représente 32 %, a ne doit pas hêtre supérieur à 3 et dans le cas où il est 24 %, a ne doit pas être supérieur à 4, etc.
Pour atteindre la position aN, le compteur réversible 9 doit d'abord passer par ltétat N dans lequel apparaît, à la sortie du dispositif, un signal d'alarme indiquant un courant de semence inférieur à la normale admissible.
Immédiatement après que l'[tat aN a été atteint, une information est enregistrée dans la memoire 7 pour régler la distribution de la semence. Cette information actionne, par l'intermédiaire du circuit logique, le signal d'alarme concernant le réglage de la distribution. Le circuit logique 8 est conçu de telle manière que lorsqu'un signal commandant le réglage de la distribution de la semence apparaît, les deux autres signaux sont interdits ou inhibés. Le signal d'alarme qui commande le réglage pratique de la distribution de la semence est aussi retardé pendant le cycle de commande suivant. Ceci évite la nécessité de bloquer les entrées du compteur réversible. 9 afin d'éviter un dépassement de celui-ci qui serait lié à une modification erronée de l'affichage.En outre, on assure en meme temps la continuité du signal d'alarme lorsque ltéeart se prolonge. Les avantages de l'invention, comparativement aux dispositifs connus sont les suivants : les impulsions d'étalonnage et de travail sont appliquées aux deux entrées du compteur réversible, sans modifier la fréquence de réeurrence. Ceci supprime la nécessité d'utiliser deux composants réglables synchronisés pour régler la précision de la commande, simplifiant ainsi le dispositif.
La remise à zéro du compteur réversible 9 ne s'effectue pas après que le diviseur a atteint son débit global 3-M 9, mais simplement après m impulsions de reference. Etant donné que mMa, le cycle de commande est toujours plus court que celui des dispositifs connus. C'est ainsi, par exemple, que quand ltécart admissible par rapport a un courant de semence normal est deux fois plus grand que l'écart minimal, le cycle de commande se trouve abre-ge- du double, tandis que quand ltécart admissible représente 32 fois le minimum, le cycle de commande se trouve abrégé 32 fois.Ceci raccourcit con sidérablement le temps de- déclenchement du dispositif d'alarme.
Dans les dispositifs connus, la commande du réglage pratique de la distribution de la semence s'effectue à l'aide d'un canal séparé, opérant selon un principe analogique. En conséquenee, ce canal ne commande que la fréquence de distribution de la semence, (par exemple, la délivrance de moins de 1,5 semence par seconde), et non pas la densité de la distribution (nombre de semences par unité d'espacement), ce qui est plus important. Dans le dispositif selon l'invention, on utilise à cette fin les mêmes unités que celles utilisées pour les astres écarts de la normale. Ceci permet de renoncer à un canal supplémentaire, en ne compliquant que d'une manière presque négligeable le canal principal.La commande du réglage pratique de la distribution de la semence est réalisée selon un principe digital qui permet d'etre indépendant de la vitesse de la machine. En outre, la limite de commande de l'écart inadmissible par rapport à un courant de distribution de semences normal d'une manière proportionnelle, ce qui est avantageux car ceci a pour effet d'abréger très considérablement le temps de déclenchement de l'alarme.
Dans les dispositifs connus, le signal d'alarme n'est déclenché qu'au terme du cycle de commande correspondant. Par contre, selon l'invention, les sorties du déchiffreur 10 sont non seulement connectées à la mémoire 5, mais sont également en liaison avec les entrées asynchrones de la mémoire, ce qui a pour conséquence que le signal d'alarme est déclenché immédiatement après l'enregistrement de l'écart. En conséquence, les pertes dues à des surfaces non ensemencées ou sur-ensemencées sont réduites à un minimum.
Enfin, il convient encore de mentionner que lors du réglage partiel ou complet des impulsions d'étalonnage et de travail, le compteur réversible peut entrer en action fautivement > ce qui se traduit soit par un signal d'alarme erroné, soit au contraire, par une absence erronée de ce signal. Or, cette situation est évitée dans l'invention proposée par l'utilisation du circuit de non coincidence 16.
On va dScrire maintenant le fonctionnement de ce dispositif dans le cadre de son utilisation pour contrler les pertes au moment de rentrer la moisson.Dans ce cas, les signaux de sortie du commutateur 11 modifient la configuration interne des circuits logiques 12, 13, 14 et 8 de manière à établir les liaisons suivantes entres les unités du dispositif : la source d'impulsions d'étalonnage ou de référence n'est connectée qu'au diviseur 3 ; à l'entrée d'addition "+" du circuit de non coincidence 16 est transmis permanence un zéro logique ; la sortie du diviseur réglable 3 est reliée au multivibrateur monostable 4 ; la source d'impulsions de travail 1 est en liaison avec l'entrée de soustraction "-" du circuit de non coincidence 16 la sortie de signe du circuit de non coîncidence 16 est connectée à l'entrée de signe du compteur réversible 9 ; la liaison entre la sortie de la mémoire 7 et l'entrée du compteur réversible 9 est interrompue ; est également interrornpue la liaison entre la sortie de la mémoire 7 et l'entrée de la mémoire 5 ; la sortie M-N+1 du déchiffreur 10 est en liaison avec l'entre correspondante de la mémoire 5 ainsi qu'avec l'entrée asynchrone correspondante de la mémoire 7. Le signal appliqué par le commutateur 11 à l'entre R de la bascule
T 15 représente un "1" logique, de sorte que la sortie Q de cette même bascule 15 présente un zéro logique. En conséquence, la sortie E du multivibrateur monostable 4 est'reliée à l'entrée O d'annulation du compteur réversible 9.
Dans cesconditions, le compteur réversible 9 n'opère qu'en "soustraction" car le signal de l'entrée d'addition "+" du circuit de non coincidence 16 n'est pas appliqué.
Le nombre des impulsions de travail est proportionnelle à la masse des pertes, tandis que le nombre des impulsions de référence correspond à la masse du rendement prévue ou mesurée. Les coefficients de proportionnalité sont habituellement égaux.
La fin du cycle de commande précédent et le commencement du nouveau cycle coincident avec l'apparition d'une impulsion t la sortie du diviseur 3.
Cette impulsion actionne le multivibrateur monostable 4, lequel émet deux courtes impulsions E et F, l'impulsion E précédant l'impulsion F. L'impulsion
E annule le diviseur réglable 3, le compteur réversible 9 et transfère l'information de la mémoire 5 dans la mémoire 7. La mémoire 5 est annulée ou effacée par l'impulsion F. Ceci ne modifie pas l'état de la bascule T 15 car à l'entre
R de cette dernière est appliqué en permanence un "1" logique.
La duree du cycle de commande ou de contrôle est de m impulsions de référence, m étant le facteur de division du diviseur 3 et pouvant etre réglé entre certaines limites.
Quand le compteur réversible 9 a compté N impulsions de travail, il apparaît à la sortie M-N+1 du déchiffreur 10 un signal qui traverse le circuit logique 14, pour être enregistré simultanément dans la mémoire 5 et dans la mémoire 7 (par son entrée asynchrone^a). Cette information est transmise, de la sortie de la mémoire 7, par le circuit logique 8, a l'unité d'affichage 6 qui est ainsi activée.Le signal d'alarme résultant indique que le pourcentage des pertes est devenu supérieur a N x 100 (par. rapport au rendement mesuré ou prévu). Simultanement les signauX des autres entrées des mémoires 5 et 7 sont constamment égaux à zéro, ce qui fait qu'il est impossible d'actionner les deux autres unités d'affichage, même si des impulsions devaient également apparaître à l'une des autres sorties du déehiffreur 10.
Le dépassement des pertes reste aussi affiché pendant le cycle de contrôle suivant et ne s'efface que si, au cours de ce cycle, le pourcentage descend au-dessous de la limite admissible. De cette manière est réalisée la continuité du signal d'alarme lorsque les pertes continuent d'être excessives.
La sélection du pourcentage de pertes admissible peut être déterminé en modifiant le rapport entre le nombre des impulsions d'étalonnage ou de référence et celui des impulsions de travail, qui correspondent à une unite de masse.
Les avantages du dispositif de l'invention dans ce mode de fonctionnement sont les suivants : un contrôle des pertes au moment de rentrer la moisson n'est pas prévu dans les dispositifs traditionnels. Dans l'invention proposée, ceci est réalisé par une commutation de quelques circuits logiques, en utilisant, toutefois, les mimes unités du dispositif. De cette manière, le dispositif représenté sur la figure 1 prend un caractère universel. Ce dernier peut être réalisé, presque complètement, sous le forme d'un circuit intégré ayant un domaine d'applications presque universel. Cette universalité contribue à augmenter la production en série et à abaisser le cout, tandis que l'uniformisation des solutions constructives se traduit par une simplification de l'entretien, par une augmentation de la fiabilité, etc.
Le mode de fonctionnement de ce dispositif lors de son utilisation pour le contrôle d'une rotation est le suivant : dans ce eas, les signaux de sortie du commutateur 11 modifient la configuration interne des circuits logiques 11, 13, 14 et 8 de manière à établir les liaisons suivantes-entres les unités du dispositif : la source des impulsions de référence 2 est reliée à l'entre de soustraction "-" du circuit de non coincidence 16 ; la sortie du diviseur réglable 3 est connectée à la sortie d'addition "+" du circuit de non coincidence ; la sortie de la source d'impulsions de travail 1 est en liaison avec le multivibrateur monostable 4 ; la sortie de signa du circuit de non coincidence 16 et l'une des sorties de la mémoire 7 sont reliées, à travers un troisième circuit logique 13, à ltentrée de signe du compteur réversible 9 ; la meme sortie de la mémoire 7 et la sortie M-N+1 du déchiffreur 10 sont reliées, par l'intermédiaire d'un quatrième circuit logique 14, à l'entre correspondante de la mémoire 5 ; la sortie N du déchiffreur 10 est en liaison avec l'autre entrée de la mémoire 5 et,par un diviseur, avec l'entre asynchrone correspondante de la mémoire 7 ; la troisième entrée de la mémoire 5 reçoit un zéro logique permanent ; les liaisons directes entre les sorties du déehiffreur 10 et les entrées asynchrones de la mémoire 7 sont interrompues. Le signal appliqué par le commutateur 11 à l'entrée R de la bascule T 15 est un "1" logique, de sorte que la sortie Q de cette meme bascule 15 présente un zéro logique. En consdquence, la sortie E du multivibateur monostable h est reliée à l'entre d'annulation zéro du compteur réversible 9 et à la seconde mémoire 7.
Le rapport diminué entre le nombre des impulsions de référence et de travail doit être M-N+1. En principe, il est également possible de choisir un autre rapport approprié, mais dans ce cas, il serait nécessaire d'augmenter le nombre des sorties du déchiffreur 10 et de compliquer le circuit logique 14.
Au commencement du premier cycle de contrôle, le contenu de la mé- moire 7 est égal à zéro. Dans ce cas, la sortie de ce dernier transmet, par les circuits logiques 13 et 14, a l'entrée de signe du compteur réversible 9 un signal qui a pour effet que celui-ci soustrait toutes les impulsions arrivant a son entrée de comptage. Or, à ltentrée de comptage du compteur réversible 9 arrivent toutes les impulsions de référence, ainsi que les impulsions de référence divises par m dans le diviseur 3. Le circuit de non coincidence 16 transforme ces deux séries d'impulsions en un seul train d'impulsions successives, comprenant un nombre d'impulsions (1 + 1) fois plus
m grand que le nombre des impulsions de réferenee.En soustrayant ce train d'impulsions du contenu du compteur réversible, celui-ci est transféré dans l'spat M-N+1, après quoi, le résultat est enregistré, par l'intermédiaire du de-chiffreur 10 et du circuit logique 14, dans la moire 5. Lorsque, jusqu'à l'arrivent de l'impulsion de travail suivante, le compteur réversible peut atteindre ou dépasser l'spat N, ceci signifie que la vitesse n'a pas augmentée au-delS du pourcentage admissible préétabli, égal à 100. Le nouvel état N T du compteur réversible est dgalement enregistrE, par l'intermédiaire du déchiffreur 10 et du circuit logique 14, dans la mémoire 5.
Le cycle de contrôle ou de commande est égal à l'intervalle entre deux impulsions de travail. La nouvelle impulsion de travail actionne le multivibrateur monostable 4 qui, en réponse, engendre deux courtes impulsions successives E et F. L'impulsion E annule ou remet à zéro le compteur réversible 9 et transfère l'information de la mémoire 5 dans la mémoire 7, tandis que l'impulsion F annule la mémoire 5.
La présence de deux "1" logiques aux sorties de la mémoire 7 est décodée par le circuit logique, tandis que, en l'absence de ceux-ci, aucun signal n'est transmis à l'unité d'affichage, (ou bien un signal est envoyé pour indiquer que le fonctionnement est normal). En même temps, par suite du rétrocouplage entre la mémoire 7 et le circuit logique 13, ltétat de ce dernier est modifié de telle manière que l'entrée de signe du circuit de non coincidence 16 se trouve reliée à l'entre de signe du compteur réversible 9. Après cela, commence un cycle de contrôle destiné à vérifier si la vitesse de rotation est descendue au-dessous du pourcentage admissible 100.Pendant ce cycle,
m le compteur réversible enregistre également la différence entre le nombre des impulsions de référence et celles apparaissant à la sortie du diviseur 3 avec le signe contraire, et qui est m fois plus petit. En même temps, le rétrocouplage entre la mémoire 7 et le circuit logique 14 bloque la liaison entre la sortie M-N+1 du déchiffreur 10 de l'entrée correspondante de la mémoire 5.
En eonséquence, ceci n' est pas enregistré dans la mémoire 5 lors du passage du compteur par ltétat M-N+1. Lorsque, jusqu'à l'arrivée de l'impulsion de travail suivante, le compteur réversible n'a pas atteint l'état N, ceci signifie que la vitesse de rotation n'est pas descendue au-dessous du pourcentage admissible. Dans ce cas, à la fin du cycle de contrôle, l'état 00 est enregistré dans la mémoire 7, après quoi, les contrôles décrits à ce point sont res pestés, c'est-à-dire, qu'on vérifie en premier lieu si une accélération inacceptable ou inadmissible de la vitesse ne s'est pas produite et dans la négative, on vérifie si un ralentissement intolérable n'a pas eu lieu. L'état 00 à l'entre de la mémoire 7 est décodé comme étant normal, après quoi un signal est envoyé à l'unité d'affichage 6 pour indiquer que les conditions de travail sont normales.
Lorsque, pendant la vérification du ralentissement de la vitesse de rotation, un signal est obtenu de la sortie N du déehiffreur 10, il en résulte un enregistrement de celui-ci dans la mémoire 5, et son transfert à la fin du cycle de contrôle dans la mémoire 7. La combinaison binaire 01 à la sortie de la mémoire 7 est déchiffrée comme un signal d'alarme indiquant un ralen tissement inadmissible de la vitesse de rotation et qui est transmis à l'unité d'affichage 6. SimultanémentS il est transmis au circuit logique 14, continuant ainsi à bloquer la liaison entre la sortie M-N+1 du déehiffreur 10 et l'entrée correspondante de la mémoire 5.Ce signal est également appliqué au circuit logique 13 où il libère la liaison entre la sortie du circuit de non cornciaence 16 et l'entrée du compteur réversible 9. En conséquence, l'alternance des vérifications (ou des contrôles) relatives à l'augmentation et à la diminution de la vitesse est affectée par une réduction inadmissible de celle-ci. Pendant le cycle de contrôle suivant, on répète les vérifications du cycle précédent. Cette procédure se poursuit jusqu'à l'instant où, au cours de l'un des cycles de contrôle, on constate que ltéeart est redescendu audessous de la limite admissible et que, dans la mémoire 5 a été inscrit l'état 00.A la fin du cycle de contrôle, le signal d'alarme est réglé et un nouveau contrôle se rapportant à une aecélération inadmissible de la vitesse de rotation recommence. Lorsqu'un écart est constate, ltétat 10 est enregistré dans la mémoire 5, cet état étant transféré dans la mémoire 7 à la fin du cycle de commande, puis décodé et transmis en tant que signal d'alarme reflétant une augmentation inadmissible de la vitesse de rotation, pour finalement être indiqué par l'unité d'affichage 6.
Pendant cet état de fonctionnement de la mémoire 7, la liaison entre la sortie M-N+1 du de-chiffreur 10 et l'entrée de la mémoire 5 est débloquée.
La liaison entre l'entre de signe du circuit de non coincidence 16 et l'entrée de signe du compteur réversible 9 est bloquée, de sorte que, dans cet état, le compteur réversible 9 ne peut opérer que des soustractions. En conséquence, le contrôle auquel il a été procedé au cours du cycle précédent est répété.
Le dispositif continu de procéder ainsi jusqu'à ce que, au cours de l'un des cycles de contrôle, il est constaté que l'état est descendu au-dessous de la limite admissible et que, dans la mémoire 5, ltétat 11 a été inscrit. Dans ces conditions, le contrôle suivant s'effectue dans la direction opposée.
Le dispositif indique, de cette manière, tout écart inadmissible de la vitesse de rotation nominale, au plus tard, après deux rdvolutions de l'arbre et lorsqu'à une révolution de l'arbre correspondent plusieurs impulsions de travail, la vitesse de réponse est multipliée par le nombre de ces dernières. Le signal d'alarme n'est pas supprimé tant que l'écart correspondant dure, du fait qu'il est différé ou retard jusqu'au cycle suivant.
Les avantages qui découlent de l'invention dans ces conditions de fonctionnement sont les suivants : la fin du cycle de contrôle est déter minée par l'impulsion de travail suivante et non pas par la capacité Ma du diviseur réglable. Dn conséquence, le temps nécessaire pour le contrôle et M 2 sont plus petits que dans les dispositifs connus.
Si, à un instant quelconque après sa mise en action le dispositif constate que l'arrivée des impulsions de travail est interrompue ou que la vitesse de rotation a très fortement diminuée, le compteur réversible 9 passe deux fois par l'état N. il en résulte à la sortie de la première bascule asynchrone 57 connecté à la sortie du déehiffreur,un signal qui active l'en- trée asynchrone correspondante de la mémoire 7, faisant ainsi apparaître à sa sortie une indication de l'arret de la rotation. Lorsque les impulsions de travail apparaissent sans écart excessif (ne dépassant pas, par exemple, un petit nombre de fois la limite admissible), celles-ci remettent à zéro la première bascule asynchrone 57, ce qui fait qu'il ne peut exercer aucune influence sur le fonctionnement du montage.Si, après le déclenchement du signal d'alarme concernant l'arret de la rotation, une impulsion de travail se présente à nouveau, celle-ci remet également à zéro la première bascule asynchrone 57 et libère l'entre asynchrone correspondante de la mémoire 7, après quoi le dispositif procède à un contrôle, comme après l'indication normale de ralentissement de la rotation, eest-à-dire, procède à un nouveau contrôle de ralentissement. Le passage répété du compteur réversible par l'état N ne se répercute pas sur les informations de la mémoire 7, à condition qu'aucune impulsion de travail ne soit arrivée, c'est-à-dire, que le signal d'alarme est retardé. De cette manière, le dispositif peut contrôler l'aurez de la rotation en considérant son ralentissement.
Pour régler la précision, on peut utiliser le meme diviseur programmable que dans les états de fonctionnement précédents. Ceci est rendu possible par le circuit de non coincidence 16 et par le rdtrocouplage entre la seconde mémoire 7 et le circuit logique 13. Du fait que le circuit de non colncidence 16, qui sépare les impulsions arrivant à ses deux entrées d'après le temps, permet d'additionner ou de soustraire ces impulsions en fonction des informations du cycle précédent, qui ont été transmises par la voie du rétrocouplage mentionné.
Le fonctionnement du dispositif selon l'invention lorsqu'il est utilisé pour vérifier ou contrôler la décélération d'un mouvement de rotation est le suivant : dans ce cas, les signaux apparaissant à la sortie du commutateur 11 modifient la configuration des circuits logiques 12, 13, 14 et 8,de telle manière que les liaisons suivantes sont établies entre les unités du dispositif : la source d'impulsions d'étalonnage ou de référence 2 est connectée à l'entre d'addition "+" du circuit de non colncidence 16 ; la sortie. du diviseur réglable 3 est enliaison avec l'entrée de soustraction "-" du circuit de non coincidence 16 ; la source d'impulsions de travail 1 est reliée au multivibrateur monostable 4 ; l'entrée de signe du circuit de non coincidence 16 et la sortie Q de la bascule T 15 sont reliées, par un troisième circuit 13, a l'entre de signe du compteur réversible 9 ; la sortie i du déchiffreur 10 est reliée à l'une des entrées de la mémoire 5 et la sortie N est connectée, par la bascule asynchrone 57 a l'entre asynchrone correspondante de la mémoire 7 ; les sorties restantes du déchiffreur 10 et les entrées restantes de la mémoire 5 sont bloquées tandis que le rétroeouplage entre la seconde mémoire 7 et les circuits logiques 13 et 14 est interrompu, est également interrompue la liaison directe entre les sorties du déchiffreur 10 et les entrées asynchrones de la mémoire 7 ; le signal envoyé par le commutateur 11 à l'entre R de la bascule T 15 représente un zéro logique.
Le rapport minimal entre les nombres des impulsions d'étalonnage ou de référence et le nombre des impulsions de travail est déterminé par la prend cision maximale désire du contrôle. Lorsque, par exemple, ce rapport s > élève à 20, le dispositif peut enregistrer un ralentissement de la rotation de 5 % toutes les deux rdvolutions (deux impulsions de travail). Ce pourcentage peut seulement être modifié dans le sens d'une augmentation au moyen du diviseur réglable 3. Dans de nombreux cas, la vitesse de rotation de l'arbre de travail peut diminuer sensiblement par rapport a son maximum, par exemple, sous l'effet d'une charge. Ce ralentissement s'effectue relativement régulièrement, de sorte qu'il ne représente aucun danger pour la machine à condition qu'un seuil déterminé ne soit pas dépassé. Dans ce cas, le rapport entre le nombre des impulsions de révérence et celui des impulsions de travail peut augmenter ou etre multiplié par deux et plus par rapport au maximum. Lorsqu'un ralentissement brusque de la vitesse de rotation se produit, ceci est le signe précurseur d'une avarie. Dans un tel cas, il faut qu'après un ralentissement de 10 % seulement de la vitesse au cours d'une ou de deux révolutions, un signal d'alarme soit déclenché, bien qu t un ralentissement uniforme pouvant atteindre, par exemple, jusqu'j 30 % de la vitesse soit admissible.
Dans cet état de fonctionnement, le sens du comptage du compteur réversible 9 est déterminé par l'état de la bascule T 15. Lorsque la solfie
Q de la bascule 15 présente un zero logique, le compteur réversible 9 opère en soustraction. Il décompte les impulsions qui apparaissent aux deux entrées du circuit de non coincidence 16. Cette somme est (1 + 1 ) fois plus grande que le nombre des impulsions d'étalonnage ou de référence. L'impulsion de travail suivante active le multivibrateur monostable,lequel engendre deux courtes impulsions successives E et F. La brève impulsion E annule le diviseur 3 et inverse le premier étage de la bascule T 15.Du fait que cette impulsion présente, à la sortie Q de la bascule 15, après un certain temps, un "1" logique, elle a pour effet d'interrompre la liaison entre la sortie E du mutivibrateur monostable 4, ainsi qu'entre l'entre d'annulation ou d'effacement du compteur réversible 9 et la seconde mémoire 7. L'impulsion F efface la mémoire 5 et transfère l'information du premier étage de la bascule T 15 au second étage de celle-ci, ce qui a pour conséquence l'apparition d'un zéro logique à sa sortie Q. Ce zéro, en combinaison avec le signal provenant du commutateur 11 modifie la configuration interne du circuit logique 12,due de telle sorte que la liaison est interrompue entre la bascule 15 et l'entrée de soustraction "-" du circuit de non coincidence 16.Par contre, il assure la liaison entre la sortie de signe du circuit de non coincidence 16 et'l'entrée de signe du compteur réversible 9 et entre la sortie E du multivibrateur monostable 4, d'une part, et l'entre d'annulation du compteur réversible 9 et de la seconde mémoire 7, d'autre part. Maintenant, les impulsions de référence qui arrivent sont additionnées par le compteur réversible 9. Si, pendant la période de temps précédant l'impulsion de travail suivante, on a constaté que leur nombre est supérieur à celui des impulsions soustraites au cours de l'intervalle précédent, le compteur réversible passe par ltétat "1", ce qui est enregistré dans la mémoire 5.L'impulsion de travail suivante actionne à nouveau le multivibrateur monostable 4, de sorte que l'impulsion E annule le diviseur 3 inverse le premier étage de la bascule T 15, annule le diviseur réversible 9 et transfère l'information de la mémoire 5 dans la mémoire 7.Ala sortie du dispositif apparut un signai d'alarme indiquantunralentissement de la vitesse de rotation supérieure à 100 %, par rapport à celle de la révolution précédente. Après cela, l'impulsion F est effacée dans la mémoire 5 et l'information est trans fériée du premier étage de la bascule T 15 dans le second, ce qui fait appaître un zéro logique à sa sortie Q.
Maintenant, commence le second cycle de contrôle pendant lequel les informations du précédent sont conservées. Le "1" logique de la sortie Q de la bascule 15 établit, en combinaison avec les signaux du commutateur 11, la liaison entre le diviseur 3 et L'entrée de soustraction "-t' du circuit de non coincidence 16. Par ce "1" logique, le compteur réversible 9 est placé dans son état de soustraction et la sortie du circuit logique 13 est bloquée.
Le compteur 9 poursuit le comptage jusqu'à l'arrivent de l'impulsion de travail suivante, en totalisant les impulsions arrivées de la source d'impulsions d'étalonnage ou de référence 2 et du diviseur 3. L'impulsion de travail provoque l'annulation du diviseur 3, l'inversion de la bascule 15 et l'annulation re-pe-te-e de la mémoire 5, cependant que le compteur réversible 9 et la mémoire 7 ne sont pas annulés ou effacés. En conséquence, l'affichage persiste, à la sortie, pendant l'intervalle suivant entre deux impulsions de travail, tandis que le compteur réversible n'additionne que les impulsions de référence venant de la source 2.
Si, maintenant, le nombre de ces impulsions se révèle inférieur ou si la somme des impulsions arrivées pendant l'intervalle suivant est égale, le compteur réversible 9 n'atteint pas ltétat "1", la mémoire 5 reste annule et à la fin du cycle de contrôle, le contenu zéro de la mémoire 7 est enregistré.
L'affichage relatif à un ralentissement inadmissible de la vitesse de rotation s'atteint car la décélération est infe-rieure ou égale à 100 P. Après cela, le dispositif opère comme il a été décrit ci-dessus. Ici également, la durée du cycle de contrôle est egale à l'intervalle entre deux impulsions de travail.
Les avantages du dispositif selon l'invention dans cet état de fonctionnement, comparativement à la technique connue, sont les suivants : cette dernière n'offre aucune possibilité pour contrôler le ralentissement de la vitesse de rotation. Par contre, dans le dispositif proposé, ce résultat est obtenu par l'utilisation de la bascule T 15 et du circuit logique 13, ainsi que par les commutations correspondantes des circuits logiques 12, 13, 14 et 8.
Pour ce contrôle, on utilise aussi les memes unites et le meme diviseur 3 pour régler la précision du contrôle. Cette dernière est liée a l'utilisation du circuit de non coincîdence 16 qui sépare, selon le temps, les impulsions arrivant de la source d'impulsions de référence 2 et celles du diviseur 3.
Lorsque, au commencement de l'opération du dispositif ou au cours de la première moitié du cycle de contrôle, la rotation s'arrente ou ralentit très fortement, ceci actionne la première bascule asynchrone 57 et sa sortie déelen- che le signal d'alarme correspondant, indépendamment du fait que les impulsions de travail ont cessé leur activité. Lorsque les impulsions de travail arrivent régulièrement, la première bascule asynchrone 57 est annulé par chacune d'elles, de sorte que le fonctionnement du dispositif n'est pas influencé. De cette manière, lorsque l'arbre de travail ne démarre pas du tout, c'est-à-dire, ne commence même pas à tourner, ceci est signalé par le dispositif.
L'universalité de ce dispositif permet de réaliser, avec un seul circuit intégré, spcialisé, un montage offrant tous les avantages précités.

Claims (1)

  1. REVENDICATION
    Dispositif de contrôle des processus quasi-périodiques qui comprend une source d'impulsions de travail (1) et une source d'impulsions d'étalonnage (2), cette dernière étant connectée à un diviseur (3) qui est en liaison avec un multivibrateur monostable (4) dont une seconde sortie est reliée à une première mémoire (5), tandis que cette dernière est enliaison, par une seconde mémoire (7) et un premier circuit logique (8), avec une unité d'affichage (6), cependant qu'un compteur réversible (9) est connecté à un déchiffreur (10), caractérisé en ce qu'un commutateur d'état de fonctionnement (11) est connecté respectivement au premier circuit logique (8), à un second, un troisième et un quatrième circuits logiques (12, 13 et 14) et à ltentrée R d'une bascule
    (15), tandis que la seconde, troisième, quatrième et cinquième entrées et la sortie du second circuit logique (12) sont relies respectivement à la source d'impulsions de travail (1), au diviseur (3) des impulsions d'étalonnage, à la source d'impulsions d'étalonnage (2) et à la sortie (Q) de la bascule (15) et au multivibrateur monostable (4) ; en ce que, à la sortie Q de la bascule (155 sont connectées les secondes entrées du troisième circuit logique (13) et du multivibrateur monostable (4), dont la troisième sortie est en liaison avec le compteur réversible (9) et dont la quatrième sortie est connectée à la seconde mémoire (7), la seconde sortie de laquelle est reliée au troisième
    (13) et au quatrième (14) circuits logiques ; en ce que le quatrième circuit logique (14) est connecté à la troisième entrée de la seconde mémoire (7) et à la seconde sortie du multivibrateur monostable (4), tandis que la seconde sortie de la première mémoire (5) est reliée à la troisième entrée du gremier circuit logique (8) ; en ce que le déchiffreur (10) est connecté, par l'intermédiaire du quatrième circuit logique (14), à la première mémoire (51 tandis que le second circuit logique (12) est relie respectivement aux entrées d'addition et de soustraction du circuit de non coincidence (16), dont la sortie de comptage est reliée à l'entrée de comptage du compteur réversible
    (9), et en ce que la sortie de signe du circuit de non coïncidence (16) est en liaison ave-c la quatrième entrée du troisième circuit logique (13), dont les sorties sont connectées à l'entrée de signe du compteur réversible (9) et à la troisième entrée du circuit de non coincidence (16), cependant que la première sortie du multivibrateur monostable (4) est aussi en liaison avec l'entrée T de la bascule (15).
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* Cited by examiner, † Cited by third party
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EP0255630A1 (fr) * 1986-07-25 1988-02-10 Amazonen-Werke H. Dreyer GmbH &amp; Co. KG Machine agricole à distribuer

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* Cited by examiner, † Cited by third party
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EP0255630A1 (fr) * 1986-07-25 1988-02-10 Amazonen-Werke H. Dreyer GmbH &amp; Co. KG Machine agricole à distribuer

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