FR2495100A1 - Chariot destine a transporter un bateau - Google Patents

Abstract

Chariot comprenant un bloc 10 de caoutchouc dur séparé par une rainure, qui, lorsqu'utilisé, chevauche la plaque de quille du bateau, deux paires de roues 13 tournant autour des extrémités d'un axe 12 qui traverse le bloc 10. Le chariot est fixé à la plaque de quille par un élément d'arrêt 18 en U coulissant, la branche supérieure 21 passe au travers de trous alignés dans les ailes latérales 15 du bloc 10 et dans la plaque de quille. (CF DESSIN DANS BOPI)

Description

1. L'invention concerne un chariot destiné à transporter un bateau et

particulièrement un chariot convenant au lancement d'un petit bateau tel qu'un canot. Antérieurement, les chariots servant à lan-

cer des canots étaient en fait des versions simpli-

fiées des chariots routiers servant à remorquer des canots derrière des véhicules pour le transport sur

de longues distances. Ces chariots de lancement com-

prennent normalement un berceau sur lequel se pose le bateau et qui est muni de roues très espacées et

d'un timon ou organe de manipulation allongé. En ser-

vice, on tire le chariot portant le canot jusqu'au bord de l'eau et jusque dans l'eau, jusqu'à ce que le canot commence à flotter, après quoi il faut tirer à nouveau le chariot hors de l'eau et le ranger dans

un endroit sûr o il est prêt à servir ensuite à ti-

rer le canot à sec.

Il faut au moins deux personnes pour ef-

fectuer une telle opération de lancement car l'une

doit rester près du canot pendant que l'autre récu-

père le chariot de lancement et le ramène sur la terre ferme. La présente invention vise à fournir un chariot convenant au transport d'un bateau, par exemple en vue du lancement, qui soit simple et peu coûteux à fabriquer et qui puisse être facilement

utilisé par une seule personne, aussi bien pour trans-

porter le bateau sur de courtes distances que pour

lancer le bateau sur l'eau.

Selon l'invention, on propose un chariot

destiné à transporter un bateau et comprenant un élé-

ment de corps muni de moyens permettant de fixer l'élément de façon libérable à une partie du bateau,

au fond ou près du fond de celui-ci, un axe tra-

versant l'élément de corps de manière à dépasser sur les c8tés opposés de celui-ci et une paire de roues montées de manière à pouvoir tourner sur l'axe

de part et d'autre de l'élément de corps.

Lorsqu'on utilise cette construction, le

chariot peut être une unité de petite dimension fa-

cile à manier par une seule personne. En service il se fixe à la plaque de quille ou à une autre partie inférieure du bateau, auprès de l'arrière, de sorte

que l'on peut alors lever l'avant du bateau et ti-

rer le bateau sur les roues du chariot. On peut ain-

si tirer ou-pousser le bateau dans l'eau. Lorsqu'il atteint une position o il commence à flotter, la personne qui effectue le lancement retire simplement le chariot de dessous le bateau tout en retenant le bateau et range l'unité dans le bateau o elle est prête à servir ensuite à le tirer à sec, L'élément de corps comprend de préférence un bloc unitaire de matière ayant la forme voulue

pour s'appliquer à la partie mentionnée du bateau.

Le bloc est de préférence formé ûe matière élasti-

que telle que le caoutchouc ou le caoutchouc syn-

thétique. Les moyens permettant de fixer l'él4ment de corps de façon libérable à la partie mentionnée d'un bateau peuvent comprendre un élément métallique -dépassant de l'élément de corps pour s'appliquer de

façon libérable à ladite partie du bateau. Par exem-

ple, l'élément métallique peut être partiellement enrobé dans la matière de l'éléement de corps. Dans un mode d'exécution, lélément métallique comprend

une broche dépassant de l'élément de corps de mna-

nr ière à se loger, en service, dans une ouverture

du bateau. La broche peut comprendre un organe d' ar-

rêt à ressort servant à retenir la broche dans 1'ou-

vertur e du bateau.

L'éllément de corpr susdit peut comprendre

deux ailes espacees conçues pour chevaucher la pla-

que de quille ou autre partie du bateau dirigée vers

le bas. Les moyens permettant de fixer de façon dé-

tachable l'élément de corps à une partie d'un ba-

teau peuvent comprendre un organe d'arrêt libéra-

ble monté sur l'élément de corps et pouvant se mou-

voir relativement à celui-ci pour venir coopérer et

cesser de coopérer avec la partie mentionnée du ba-

teau. Par exemple, l'organe d'arrêt peut compren-

dre une broche pouvant coulisser axialement et pou-

vant s'engager dans des trous alignés des deux ai-

les espacées.

Dans une variante de disposition, l'élé-

ment de corps comprend deux organes espacés conçus

pour chevaucher une partie d'un bateau qui est di-

rigée vers le bas, des moyens étant prévus pour sol-

liciter les organes espacés l'un vers l'autre, par exemple grâce à un levier à genouillère de sorte qu'en service la partie du bateau dirigée vers le

bas est enserrée entre eux.

Afin d'étaler la charge sur un sol mou, par exemple sur le sable ou la boue, les roues sont

de préférence sous la forme de rouleaux. Pour amé-

liorer la maniabilité, chaque rouleau peut compren-

dre deux parties de rouleau similaires coaxiales

et adjacentes qui peuvent tourner relativement.

On décrit ci-après plus en détail plusieurs modes d'exécution de l'invention en se référant aux dessins annexés sur lesquels:

la figure 1 est une perspective d'une for-

me de chariot selon l'invention; la figure 2 une perspective générale d'un canot muni du chariot de la figure 1;

la figure 3 une perspective d'une varian-

te de chariot adapté à l'arcasse d'un canot; la figure 4 une perspective d'une autre forme de canot; la figure 5 une vue frontale d'une autre forme de chariot propre à servir avec un aquaplane; La figure 6 une élévation latérale du chariot représenté par la figure 5 et la figure 7 une perspective d'une autre

forme de chariot.

on considèrera la figure 1; le chariot comprend un élément de forme en U, 10, à travers l'âme Il duquel passe un axe 12 sur les extrémités opposées duquel sont montés des rouleaux creux en matière plastique 13. Chaque rouleau 13 comprend deux

parties de rouleau 14 qui butent l'une contre l'au-

tre mais qui peuvent tourner relativement sur l'axe 12.

En service, l'élément en U, 10, est dis-

posé de telle sorte que les ailes 15 de l'élément

chevauchent la plaque de quille 16 du canot 17 pro-

che de l'arrière de celui-ci (voir figure 2). Un

organe d'arrêt libérable 18 est prévu pour assujet-

tir le chariot en position sur la plaque de quille.

L'organe d'arrêt 18 comprend un organe généralement en U 19 formé d'acier inoxydable, dont la branche inférieure 20 passe en pouvant coulisser à travers

un tube en fibre 22 encastré dans l'âme Il de l'élé-

ment en U et dont la branche supérieure 21 traver-

se des trous alignés opposés des ailes 15 de l'élé-

ment.

La branche inférieure 20 est plus longue que la branche supérieure 21 de sorte que lorsqu'on

retire la branche supérieure 21 de l'espacement en-

tre les ailes 15 en la déplaçant vers la droite de la figure 1, la branche 20 reste à l'intérieur de l'âme 11. Une butée (non représentée) est formée sur l'extrémité libre de la branche 20 pour assurer

que l'organe d'arrêt 18 reste captif sur l'élément.

La plaque de quille 16 du canot présente un trou ou

fente allongée à travers lequel passe la branche su-

périeure 21 quand elle est dans la position de fi-

xation.

En utilisant le chariot, on peut trans-

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porter le canot en soulevant l'avant et en le tirant sur le chariot comme le montre la figure 2. De cette manière, on peut amener le canot dans l'eau et une fois qu'il est à flot, on peut détacher le chariot de la plaque de quille en retirant l'organe d'arrêt 18. Le chariot est alors assez petit pour être rangé dans le canot lui-même. Comme on l'a déjà dit, cette

opération peut être exécutée par une seule personne.

De préférence, les rouleaux creux en matiè-

re plastique du chariot sont étanches et ont un mlu-

me tel que le chariot puisse flotter. On peut relier le chariot au canot par une amarre de façon qu'il ne

puisse pas se perdre.

La figure 3 montre une variante de chariot propre à s'adapter en-dessous de l'arcasse 23 d'un canot. Dans ce cas, les rouleaux 13 sont identiques aux rouleaux de la figure 1, mais l'élément central de corps 24 comprend une partie supérieure plate 25 destinée à l'appliquer par-dessous le canot et avec

laquelle est moulée d'une seule pièce une partie di-

rigée vers le bas 26 à travers laquelle passe l'axe

12 sur lequel sont montés les rouleaux 13.

Le chariot est retenu en position sur le

canot par une barre en U renversé 27 dont les extré-

mités inférieures des branches 28 sont moulées dans

la matière de la partie 25 de l'élément 24. En ser-

vice, la barre 27 est placée à plat contre l'arcas-

se 23 comme on l'a représenté et elle est mise en place par quatre pattes espacées 29. Les pattes 29 sont disposées de telle sorte que les branches 28 peuvent être amenées latéralement en coopération avec les pattes inférieures 29 et ensuite déplacées

verticalement pour amener la partie 25 à buter con-

tre le dessous du canot et la partie supérieure des branches 28 à coopérer avec les pattes supérieures

29. Des billes à ressort (non représentées) ou au-

tres dispositifs de l'organe d'arrêt à ressort peu-

vent être montés sur les branches 28, près de leurs extrémités supérieures, pour retenir les branches

en coopération avec les pattes supérieures 29.

Des pattes similaires aux pattes 29 peu-

vent être montées sur une cloison à l'intérieur du canot de sorte que l'on peut monter le chariot sur

la cloison pour le ranger quand il n'est pas utili-

sé. Dans une variante (non représentée), la

barre 27 est remplacée par une seule broche verti-

cale placée au centre, près du bord postérieur de la partie 25. de manière à passer à travers des trous

de deux supports centraux espacés verticalement mon-

tés sur l'arcasse. Dans ce cas, la broche est à nou-

veau munie d'une bille à ressort ou d'un dispositif

s15 d'organe d'arrêt similaire pour la retenir en coo-

pération avec l'un ou l'autre des supports. La sur-

face supérieure de la partie 25 de l'élément inter-

médiaire peut être rainurée, évidée ou façonnée au-

treeient de nanière à s'adapter étroitement à la con-

figuration de surface de la partie du dessous du ca-

not à laquelle il s'applique.

L'autre forme de chariot représentée par la figure 4 convient à l'utilisation avec des canots

munis de plaquas de quille et elle est conçue de tel-

le sorte qu'elle peut s'adapter à des plaques de quille de diverses épaisseurs. A cet effet, l'axe 12

sur lequel sont montés les rouleaux 13 passe à tra-

vers un tube de palier en fibre de la partie infé-

rleure d'un élément de corps 30 dont la partie su-

périeure 31 est munie d'une gorge 3.2 presentant des c5tés à gradins et qui, en service, s'applique au bord inférieur de la plaque de quille, la disposition

à gradins des côtés de la gorge assurant qu'elle en-

serre étroitement la plaque de quille. On comprend

que l'on pourrait obtenir un ffet similaire en mu-

nissant la gorge 32 de côtés inclinés rectilignes.

Du fond de la gorge 32 se dresse vers le haut une broche en acier inoxydable 33 qui s'insère

dans un trou vertical de la plaque de quille de ma-

nière à mettre en place et à assujettir le chariot sur la plaque de quille. Le trou peut être doublé d'un tube de palier et une bille à ressort 34 est montée sur la broche 33 et peut coopérer avec une dépression ou une fente de l'intérieur du tube, à l'intérieur de la plaque de quille, pour retenir la broche à l'intérieur du tube. Ou encore, la pression élastique de la bille 34 contre la paroi du tube ou du trou de la plaque de quille peut, à elle seule, suffire à retenir la broche à l'intérieur du tube

ou du trou.

Dans chacune des dispositions des figures 1 à 4, l'élément central de corps peut être formé

de bois, de métal ou de toute autre matière appro-

priée mais il est de préférence formé d'une matière flexible élastiquement telle qu'un caoutchouc dur ou un caoutchouc synthétique ayant une dureté Shore de 65 à 80. L'axe 12 est de préférence formé d'acier inoxydable et là o l'axe traverse l'élément 10, il

est de préférence entouré d'un tube de palier en fi-

bre de manière à étaler la charge sur la matière de

l'élément 10.

Le rôle de l'élasticité de l'élément de corps est d'éviter un dommage à la partie du bateau auquel le chariot s'adapte, par suite des charges communiquées au chariot pendant l'utilisation, par

exemple par suite du choc contre un obstacle.

Les figures 5 et 6 montrent un chariot

propre à servir avec un aquaplane, une planche à voi-

le ou tout autre engin présentant un aileron dirigé

vers le bas.

Dans cette disposition, l'élément de corps

35, entre les rouleaux 13, comprend deux plaques la-

térales généralement triangulaires 36 reliées par une plaque transversale 37. Les plaques latérales 36 sont formées d'un métal élastique tel que la t8le d'acier et le long de leurs bords supérieurs sont fixées des barres métalliques à section carrée 38. Ou encore,

les bords supérieurs des plaques 36 elles-mêmes peu-

vent être repliés ou façonnés autrement de manière à présenter des mâchoires pour enserrer les côtés

de l'aileron 39 d'un aquaplane ou autre engin indi-

qué en 40.

Les extrémités adjacentes des barres 38 sont reliées par des tiges filetées 41 et à l'une des tiges filetées est relié de façon pivotante un levier à genouillère qui, lorsqu'on le fait basculer

horizontalement, s'applique contre une rondelle fa-

çonnée 43 de manière à solliciter les extrémités des barres 38 l'une vers l'autre. Ainsi, en service, le

levier à genouillère 42 étant dans la position re-

présentée par la figure 6 et les plaques 36 étant séparées, on place le chariot de façon telle que

les plaques 36 de l'élément 35 se trouvent de part.

et d'autre de l'aileron 39. on actionne alors le le-

vier à genouillère 42 pour rapprocher les deux bar-

res 38 l'une de l'autre de manière à enserrer étroi-

tement la partie supérieure de l'aileron 39 comme

le montre la figure 5.

Les barres 38 ou bords façonnés des pla-

ques 38, lorsqu'elles sont prévues, sont de préfé-

rence rembourrées pour éviter d'endommager l'aile-

ron 39. Par exemple, à tout l'élément 35 peut être

appliqué un revêtement épais de matière plastique.

Sur la surface supérieure de l'aquaplane peut être prévue une saillie, dirigée vers le haut, sur laquelle le chariot peut être bloqué lorsqu'il

n'est pas utilisé pour manoeuvrer l'aquaplane.

Dans les formes de chariot représentées

par les figures 1 à 4, les moyens de fixation libé-

rable du chariot au bateau comprennent des éléments en saillie destinés à coopérer avec une partie du bateau. Ainsi, normalement, le bateau luimême devra être muni de certains moyens, tels que des

pattes ou un trou, pour recevoir et retenir la par-

tie en saillie du chariot. La figure 7 montre une forme de chariot que l'on peut fixer à de nombreux

types différents de bateau sans qu'il soit néces-

saire de modifier le bateau ni d'y prévoir des mon-

tures spéciales.

On considèrera la figure 7, le chariot comprend un élément de corps 50 à travers la partie

inférieure 51 duquel passe un axe 52 sur les extré-

mités opposées duquel sont montés des rouleaux creux en matière plastique 53. Chaque rouleau 53 comprend deux parties de rouleau 54 qui butent l'une contre l'autre mais qui peuvent tourner relativement sur

l'axe 52. L'axe 52 passe à travers un tube de pa-

lier en fibre (non représenté) monté dans la partie

inférieure 51 de l'élément de corps.

La partie supérieure de l'élément de corps 50 comprend, deux ailes espacées 55 entre lesquelles est formée une gorge 56 munie de côtés à gradins et qui, en service, s'applique au bord inférieur de

la plaque de quille ou autre partie du bateau à la-

quelle il s'agit d'adapter le chariot. La disposi-

tion à gradins des côtés de la gorge assure qu'elle enserre étroitement la plaque de quille quelle que

soit son épaisseur.

A la jonction entre les ailes 55 et la partie inférieure 51, l'élément de corps est muni d'une fente transversale 57 à section allongée qui

passe complètement à travers l'élément de corps 50.

A travers la fente 57 passe une courroie flexible 58 de préférence formée de tissu résistant à l'eau, par exemple de matière plastique tissée

ou de toute autre forme appropriée de matière flexi-

ble résistant à l'eau.

A une extrémité de la courroie 58 est re-

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liée une boucle 59 à laquelle on peut adapter l'ex-

trémité opposée de la courroie.

En service, on place le chariot dans une

position appropriée sur le bateau, la plaque de quil-

le se logeant par exemple dans la gorge 56, on fait passer les deux extrémités libres de la courroie 58

autour de la coque du bateau, on les boucle ensem-

ble et on les serre fermement pour attirer fermement le chariot contre la plaque de quille. Au lieu d'être relié à la plaque de quille, le chariot peut, bien entendu, être monté sur toute autre partie appropriée

du bateau. Par exemple, lorsque le chariot doit ser-

vir avec un aquaplane, on peut tourner celui-ci de côté, introduire l'un de ses bords dans la gorge 56 et boucler ensemble les extrémités de la courroie

58 aux bords latéraux opposés de l'aquaplane.

Au lieu que la courroie 58 passe à travers une fente de l'élément de corps 50, elle peut être reliée à l'élément de corps de toute autre manière munie appropriée. Au lieu d'une seule courroie continue/de

deux extrémités libres, deux courroies séparées peu-

vent être prévues, chacune étant reliée par une ex-

trémité à l'élément de corps.

Dans certains cas, il se peut qu'il ne soit pas possible de faire passer la courroie autour de toute la coque du bateau pour relier ensemble les deux extrémités de la courroie et en pareil cas, il peut être nécessaire de lier ou de fixer autrement chaque extrémité de la courroie, séparément, à une

partie fixe du bateau, par exemple un taquet.

Toutes les dispositions ci-dessus fournis-

sent un chariot peu encombrent qui permet de manipu-

ler et de manoeuvrer facilement l'embarcation à la-

quelle i1 est relié et qui peut être facilement adap-

té, puis retiré et rangé dans un espace relativement

petit, par exemple sur 1lembarcation elle-meême.

On comprend que le fait que chaque rouleaiu i1

13 soit formé de deux parties 14 améliore la mania-

bilité de chaque chariot. Etant donné que les cha-

riots sont de préférence formés de matière plasti-

que et d'acier inoxydable, ils ne sont pas sujets à

la rouille ni à la corrosion.

Claims (18)

R E V E N D I C A T I O N S

1. Chariotdestiné à transporter un bateau et caractérisé par un élément de corps (10, 24, 30,

, 50) muni de moyens (18, 27, 33, 38, 58) permet-

tant de fixer l'élément de façon libérable à une par- tie du bateau, au fond ou près du fond de celui-ci,

un axe (12) traversant l'élément de corps de maniè-

re à dépasser par des côtés opposés de celui-ci, et une paire de roues (13) montées de manière à pouvoir tourner sur l'axe de part et d'autre de l'élément

de corps.

2. Chariot selon la revendication 1, ca-

ractérisé par le fait que l'élément de corps com-

prend un bloc unitaire (10, 24, 30, 50) de matière ayant la forme voulue pour s'appliquer à la partie

mentionnée du bateau.

3. Chariot selon la revendication 2, carac-

térisé par le fait que le bloc (10O, 24, 30, 50) est

formé de matière élastique.

4. Chariot selon la revendication 3, carac-

térisé par le fait que la matière plastique est le

caoutchouc ou le caoutchouc synthétique.

5. Chariot selon l'une des revendications

1 à 4, caractérisé par le fait que l'élément de corps (10, 30, 35, 50) comprend deux ailes espacées (15, 36, 53) conçues pour chevaucher la plaque de quille ou autre partie du bateau dirigée vers le bas.

6. Chariot selon la revendication 5,carac-

térisé par le fait que les moyens permettant de fi-

xer de façon libérable l'élément de corps (10) à une partie d'un bateau comprennent un organe d'arrêt

libérable (18) montée sur l'élément de corps et pou-

vant se mouvoir relativement à celui-ci pour venir coopérer et cesser de coopérer avec la partie (16) du bateau.

7. Chariot selon la revendication 6, carac-

térisé par le fait que les moyens permettant de fi-

xer de façon libérable l'élément de corps (10) à une partie d'un bateau comprennent une broche (21) pouvant coulisser axialement, pouvant s'engager dans des trous alignés des deux ailes espacées (15).

8. Chariot selon l'une des revendications

2 à 4, caractérisé par le fait que les moyens per-

mettant de fixer de façon détachable l'élément de corps (24, 30) à la partie mentionnée d'un bateau comprennent un élément métallique (27, 33) dépassant de l'élément de corps de manière à s'appliquer de

façon libérable à la partie mentionnée du bateau.

9. Chariot selon la revendication 8,caracté-

risé par le fait que l'élément métallique (27, 33).

1S est partiellement encastré dans la matière de l'élé-

ment de corps (24, 30).

, Chariot selon la revendication 8 ou 9, caractérisé par le fait que l'élément métallique comprend une broche (33) se dressant sur l'élément de corps (30) de manière à se loger en service dans

une ouverture du bateau.

11. Chariot selon la revendication 10 ca-

ractérisé par le fait que la broche (33) comprend un organe d'arrêt à ressort (34) servant à retenir

la broche dans l'ouverture du bateau.

12. Chariot selon la revendication 11 ca-

ractérisé par le fait que l'élément de corps comprend deux organes espacés (36) conçus pour chevaucher une partie dirigée vers le bas (39) d'un bateau et des moyens (42) servant à solliciter les organes espacés l'un vers l'autre de sorte qu'en service, la partie

du bateau dirigée vers le bas est enserrée entre eux.

13. Chariot selon la revendication 12 ca-

ractérisé par le fait que les moyens servant à sol-

liciter les organes espacés l'un vers l'autre com-

prennent un levier à genouillère (42).

14. Chariot selon l'une des revendications

1 à 5 caractérisé par le fait que les moyens permet-

tant de fixer de façon détachable l'élément de corps

(50) à une partie du bateau comprennent un ou plu-

sieurs éléments flexibles allongés (58) s'appliquant à l'élément de corps et destinés à être reliés à une

partie du bateau.

15. Chariot selon la revendication 14 ca-

racterisé par le fait que deux éléments flexibles allongés (58) partent de l'élément de corps (50) et ont des extrémités libres qui peuvent être reliées

entre elles, les éléments enserrant une partie du ba-

teau.

16. Chariot selon la revendication 15 carac-

térisé par le fait que les ext.rémitées libres des elé-

ments flexibles (58) présentent des parties (59) pou-

vant coopérer de façon libérable.

17. Chariot selon la revendication 15 ou 16

caractérisé par le fait que les deux éléments consti-

tuent des extrémités opposées d'un seul élément (58) dont une partie centrale s'adapte ou est reliée à

l'élément de corps (50).

18. Chariot selon l'une des revendications

1 à 17 caractérisé par le fait que les roues (13)

sont sous la forme de rouleaux.

19. Chariot selon la revendication 18, ca-

ractérisé par le fait que chaque rouleau (13) com-

prend deux parties de rouleau similaires coaxiales

et adjacentes (14) pouvant tourner relativement.